par Francis Rousselière
|
|
- Louise Perras
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiches de médecine nucléaire n Médecine nucléaire par Francis Rousselière Fiche n 14 : Politique et organisation de l évaluation des pratiques professionnelles Le troisième volet des EPP relate l expérience de mise en place d une commission Qualité en Médecine Nucléaire au Centre Henri Becquerel de Rouen (CRLCC). La visite annoncée d experts visiteurs de l HAS en janvier 2011 nous a incités, fin 2009, à réfléchir en association avec l encadrement paramédical et la cellule Qualité de notre établissement, à mettre en œuvre le travail qui nous était demandé. Plusieurs réunions ont été nécessaires. La réflexion menée fait l objet de la première partie de cet article. La deuxième traite de l organisation retenue. Bien entendu un bilan annuel et les perspectives pour l année sont également abordés. Choix de référentiel Réflexions de fond Le médecin RAQ (Responsable Assurance Qualité) ouvre une première réunion Qualité au service de Médecine Nucléaire en rappelant au groupe qu il existe un référentiel d accréditation «métier» spécifique permettant aux services de Médecine Nucléaire d auto évaluer leur organisation et fonctionnement pour une dynamique de démarche Qualité et d amélioration. Le «manuel AFTMN» est constitué de références et de critères. Chaque référence correspond à un thème d évaluation du fonctionnement d un service de Médecine Nucléaire (diagnostic et traitement) pour lequel se définit des objectifs à atteindre qui sont déterminés par des critères et des indicateurs d évaluation de l atteinte de l objectif. Il permet en face de chaque référence et en fonction des réponses aux critères au cours de la phase d autoévaluation de noter les points forts, les points à améliorer et de déterminer les objectifs d amélioration nécessitant des plans d action. Le document a été testé dans différents services de Médecine Nucléaire et a fait l objet de plusieurs corrections par des personnes liées à la discipline. Le médecin RAQ profite de cette occasion pour rappeler au service que ce cahier n a pas simplement pour finalité d être rempli mais il doit permettre d apporter toutes les preuves nécessaires à la validation de chaque critère et ce de manière la plus exhaustive possible. Lorsqu un critère n est pas (ou pas entièrement) satisfait, il doit permettre au service de réfléchir à ses points à améliorer et de proposer des axes d amélioration dans une logique d amélioration continue (cf. roue de Deming et PDCA). Sur l exemple de la démarche Qualité menée par l établissement pour répondre aux exigences du manuel de certification HAS V2010, le service Qualité propose au service de Médecine Nucléaire de mettre en place des groupes de travail en fonction des items du référentiel d accréditation. Chaque groupe de travail affecté à un thème donné serait en charge de lire les critères qui le concernent, d une part, et de répondre à ces critères, d autre part, en apportant à chaque
2 n fois des éléments de preuve précis et tangibles c'est-à-dire que l on pourra référencer de manière effective. Pourquoi mettre en place une démarche Qualité en Médecine Nucléaire? Quels objectifs? Quelles échéances? Le médecin RAQ pose deux questions fondamentales à l encadrement : Quels sont vos objectifs? Pour quelles raisons s investir dans une démarche Qualité? L encadrement explique que la Médecine Nucléaire recherche une reconnaissance officielle de ses compétences. Le problème est qu il n existe pas actuellement de référentiel certifiable spécifique à la Médecine Nucléaire. A cette occasion, le médecin RAQ rappelle ce qui avait déjà été présenté dans une précédente réunion : - La norme ISO 9001 : 2008 «Systèmes de management de la Qualité Exigences» est un référentiel certifiable (possibilité de faire réaliser un audit de certification par une société extérieure telle que AFNOR, Bureau Veritas, LRQA, etc.). Cette certification ISO 9001 jouit d une reconnaissance internationale et a le mérite d introduire la notion d approche par processus mais la norme reste assez générale pour pouvoir être applicable à tout type d organisme. - Le Prix Français de la Qualité, reconnaissance accordée par le Mouvement Français pour la Qualité, association reconnue d utilité publique depuis 1991, qui agit pour le renforcement de la performance des entreprises et plus globalement des organismes privés et publics pourrait constituer une solution. L encadrement estime qu au-delà des objectifs de sécurité, de conformité des examens et de satisfaction des patients, la Qualité doit être un outil de management, d évaluation et d amélioration. Cet outil permet d évaluer, de prendre du recul sur ses pratiques de manière objective et dans un souci d amélioration. L encadrement évoque la volonté du service de Médecine Nucléaire d obtenir une reconnaissance (éventuellement un label). Pour ces raisons de reconnaissance des compétences, le service de Médecine Nucléaire hésite encore entre une certification de type ISO 9001 : 2008 ou une simple conformité à un référentiel «métier» type «référentiel d accréditation AFTMN». Il conviendrait de se renseigner sur l existence ou non d une norme certifiable spécifique à la Médecine Nucléaire. L encadrement fait part au service Qualité de ses inquiétudes quant à la baisse des activités de scintigraphie. Or, cette baisse d activité n est pas le signe d une non reconnaissance des compétences du personnel de Médecine Nucléaire de l établissement par des patients mais semble généralisée à l ensemble du territoire français. Même en travaillant selon des standards de qualité, l évolution des technologies explique cette baisse de régime. Il cherche à gagner en efficacité et en efficience. Au travers d une démarche Qualité clairement identifiée et reconnue, il recherche une meilleure organisation notamment face à la gestion du changement. Ce sont les aspects planification et communication (diffusion des informations) qu ils souhaitent particulièrement optimiser. L aspect participatif inhérent à toute démarche Qualité l intéresse également. Il attend donc d une démarche Qualité une méthode et des outils pour se fixer des objectifs mais surtout pour les atteindre grâce à des responsables, des échéances et éventuellement des moyens définis et clairement identifiés. Le médecin RAQ insiste sur le fait que la Médecine Nucléaire dispose déjà d une culture Qualité. En effet, il existe déjà des pratiques (Qualification des manipulateurs par postes), des procédures, des modes opératoires et
3 n autres documents Qualité mais ces derniers ne sont pas toujours bien maîtrisés. Il existe beaucoup de documents opératoires constituant la base de la pyramide documentaire mais finalement assez peu de documents transversaux. Le service Qualité préconise éventuellement une approche par processus. Quelle méthode? La méthode présentée dans les trois fiches dédiée à la démarche Qualité en Médecine Nucléaire commentée rapidement plus haut ne demande pas énormément de travail car elle se résume à l étude de 10 critères du manuel HAS V2010. De plus, elle met en pratique un système de cotation qui a fait ses preuves (cf. système de cotation HAS). La pratique du CREx en Radiothérapie (CREX), comité au cours duquel un dysfonctionnement (événement indésirable, non-conformité, etc.) survenu dans le service est analysé de manière collective, en essayant de comprendre le pourquoi de l évènement et de proposer des actions d amélioration ou correctrices, afin d éviter son renouvellement. Un groupe de travail est en charge d effectuer une analyse des causes (diagramme d Ishikawa) et de mettre en place des actions correctives et/ou préventives sans oublier d assurer à intervalles planifiés le suivi de leur efficacité. Le médecin RAQ souligne que le seul point négatif de ce type de comité est d appréhender la Qualité uniquement au travers d une gestion des non-conformités, c'est-à-dire a posteriori et non en termes de gestion des risques. Il faudrait réfléchir à la mise en place d outils participatifs de résolution de problèmes de type CREX en Médecine Nucléaire. Le service Qualité pense qu il serait intéressant de remplir le «cahier AFTMN» qui deviendrait alors un véritable diagnostic Qualité du service avec ses points forts et ses axes d amélioration. Il invite donc le service de Médecine Nucléaire à mettre en place des groupes de travail qui remplirait ce cahier en y apportant (quand ils existent) tous les éléments de preuve nécessaires. Puis cet exercice serait suivi d une relecture par un comité de pilotage (validation du travail des groupes) sur l exemple de ce qui s est mis en place dans le cadre de la certification HAS V2010. Le médecin RAQ conseille à l encadrement de considérer dans un premier temps le critère 26b. Il est important de noter que le Manuel de certification des établissements de santé V2010 propose un critère (Critère 26b : Organisation des autres secteurs d activité à risque majeur) qui parle de la médecine nucléaire. Il fait partie des critères hors PEP et reprend les points essentiels que doit respecter un service de médecine nucléaire. Ce critère s intéresse surtout à la mise en place de démarches Qualité documentées pour identifier, analyser, hiérarchiser et limiter les risques éventuels liés à l activité du service. Ceci dans le but principal d assurer la sécurité du patient lors de sa prise en charge. Spécifique à la Médecine Nucléaire, il est donc fondamental. En travaillant dans un premier temps de façon exhaustive sur ce critère, il sera possible d avancer sur la démarche participative afin d insuffler la culture Qualité en Médecine Nucléaire (mise en place d un comité de type CREX, etc.). Tout laisse à penser que de bons résultats pourraient être obtenus en mettant en place un CREX/mois éventuellement complétés par d autres réunions (groupe de travail/pep). Afin de travailler sur une gestion des risques a priori, réaliser une enquête en interne sur les quinze risques les plus fréquents (quinze risques les plus cités dans le service). Cette démarche serait participative car les risques sont identifiés par le service lui-même. L encadrement communiquerait les résultats
4 n sous forme d affichage ou autre puis un nouveau questionnaire serait envoyé pour déterminé d autres axes de travail. L existence d un document unique sur la question des risques est à considérée. Cependant, le médecin RAQ indique que ce dernier ne recense que les risques encourus par le personnel et non des risques généraux bien que souvent les risques encourus par le personnel soient aussi des risques patients. En ce qui concerne le CREX, le plus important dans un premier temps est de bien définir quelles seront les «règles du jeu» en les formalisant dans une procédure. A cette procédure devront être associés des plans d actions indiquant actions d amélioration, responsables, échéances et éventuellement moyens à disposition. L efficacité des actions mises en place devra être évaluée à périodicité définie (planifiée). Quels seront les référentiels à prendre en considération. Dans le cadre de la mise en œuvre des réunions de travail de type CREX, la question de la «charte de non punition» est abordée. Etant donné que les mesures coercitives n ont jamais fait partie de la politique de la Médecine Nucléaire (l outil est une opportunité d amélioration et non de «flicage»), la question ne se pose pas. Il faudra seulement indiquer dans la procédure sur l exemple de la Pharmacie, que les organisateurs s engagent à instaurer un climat de confiance propice à la résolution des dysfonctionnements. Organisation retenue Présentation du groupe de travail pluridisciplinaire «Commission Qualité» Présentation du groupe de travail «Commission Qualité» composé de représentants de chaque corps professionnels et de suppléants du département de Médecine Nucléaire : Représentant médical Représentant physicien médical Représentant radio pharmacien Représentant encadrement Représentant manipulateur Représentant secrétaire : Représentant ASH Traitement du critère 26.b du manuel de certification des établissements de santé V2010 (édition Juin 2009) : «Organisation des autres secteurs d activité à risque majeur» Travail sur ce critère en priorité avec un impératif de date : remise du document final (cahiers d autoévaluation HAS V2010 cotés) à la Haute Autorité de Santé d ici été Critère spécifique aux secteurs d activité à risque : Radiothérapie et Médecine Nucléaire. S intéresser surtout à la mise en place de démarches qualité documentées pour identifier, analyser, hiérarchiser et limiter les risques éventuels liés à l activité du service dans le but principal d assurer la sécurité du patient lors de sa prise en charge. E 1 E 2 E 3 1 : Identification, recensement, analyse des processus (activités) à risques (cf. cartographie des risques). 1 : Identification des responsabilités (ex : fiche de poste). 2 : Gestion documentaire. 2 : Gestion documentaire et veille réglementaire 3 : Identification des interfaces 3 : Mettre en place une traçabilité (ex : fiches de traçabilité). 4 : Intégration des SI. 1 : Mettre en place un système de recueil des événements indésirables afin de mettre en place des actions correctives et préventives. 2 : Suivi d indicateurs à définir et mise en place de plans d actions
5 n Travailler sur ce critère 26.b permettra également de répondre au critère 8.d «Evaluation des risques a priori» (cf. cartographie des risques) Gestion documentaire Mettre en place une procédure de gestion documentaire fixant un cadre au cycle de vie et au processus de validation des documents utilisés en Médecine Nucléaire. Rédaction des procédures par un groupe de travail de préférence. Validation par une personne experte du métier, du domaine concerné par la procédure (nécessairement différent des rédacteurs). Approbation finale par le chef de service. A partir du moment où un document a été approuvé, toute modification entraîne sa révision et son passage de l indice de révision n à n+1 (nouveau cycle de validation/approbation). De nombreuses procédures existent au service de Médecine Nucléaire ce qui rend complexe ce travail de gestion documentaire. Seule une partie des procédures est référencée sous APTA. Le service Qualité se tient à disposition afin d y inclure les procédures manquantes. Possibilité d utiliser l outil de partage des documents mis à disposition du service de Radiothérapie : SharePoint. Voir avec le service informatique pour se renseigner des modalités d implémentation. Proposition de gestionnaires de documentation: l encadrement. Une analyse du degré d utilité et d utilisation des procédures de Médecine Nucléaire devra être réalisée en première intention. Des procédures institutionnelles ont été mises en place dans l établissement. Voir possibilités de benchmarking dans certains cas (ex : procédure de gestion documentaire). Recherche d une reconnaissance extérieure Référentiel AFTMN : spécifique à la Médecine Nucléaire mais sans grande notoriété. Certification ISO 9001 : 2008 : démarche moins axée métier mais reconnaissance internationale. Prix Français de la Qualité. Accréditation européenne de la société médicale européenne de Médecine Nucléaire (EANM). Rechercher un retour d expérience auprès des services certifiés ou disposant d une accréditation européenne avec éventuellement possibilité à terme de mettre en place des audits croisés (cf. expériences locales). Dans tous les cas, cette reconnaissance constituera un objectif à plus long terme. Mise en place d un Comité de Retour d Expérience (CREX) Mise en place d un Comité de Retour d EXpérience (CREX), comité au cours duquel un dysfonctionnement (événement indésirable, non-conformité, etc.) survenu dans le service est analysé de manière collective, en essayant de comprendre les causes profondes de l évènement (méthode des 5M ou diagramme d Ishikawa) et de proposer des actions d amélioration (actions correctives et/ou préventives) afin d éviter son renouvellement. Nécessité de mettre en place un système de recueil des évènements indésirables (EI) en amont. Importance du retour d information au déclarant. Formaliser les modalités du CREX dans une procédure (type règlement intérieur). Réunion en Radiothérapie programmée pour «initiation». Fréquence : 1 CREX/mois. A mettre en place dès le mois de février Une réunion du groupe pluridisciplinaire accompagné du technicien Qualité de l établissement est programmée chaque deuxième (réunion Qualité) et dernier mardi du mois (CREX) de 16h à 17h30.
6 n Bilan après 12 mois de fonctionnement La gestion documentaire (critère 5c). Ce critère passe par la définition d un plan de classement qui tient compte du circuit du patient. Ce classement est proposé par corps professionnel en fonction de la chronologie de prise en charge du patient lors de son passage dans le service. Un logigramme (pour prise de rendez-vous, approvisionnement des médicaments, accueil patient, prise en charge manipulateur, médecin, radio pharmacien, compte rendu examen et suivi dossier) est construit. Parallèlement, le passage à un autre logiciel de gestion documentaire est acté pour l établissement. L évaluation de la satisfaction des usagers (critère 9.b) Un questionnaire de satisfaction est construit et testé. Un bilan de tous nos indicateurs d activité est réalisé Suivi de l'activité par caméra Suivi des déchets radioactifs du CHB Suivi de l'activité par famille d'examens Nombre de demandes TEP par jour Suivi des examens en fonction de leur provenance (ext/hospi ) Taux de remplissage des caméras Délais de RDV des examens et traitements Audit sur les dossiers de cardiologie Suivi des commandes de radio pharmaceutiques Prise en compte des demandes urgentes Enregistrement des factures de radio pharmaceutiques Tracabilité des administrations de radio pharmaceutiques Suivi des maintenances préventives des équipements Délai d'envoi des comptes-rendus Enquête de satisfaction des patients Nombre de signalements d'événements indésirables Suivi du taux d'immobilisation des équipements Suivi des Contrôles Qualité des équipements Taux d'actions réalisés suite aux CREX Suivi des formations des manipulateurs Suivi de l'archivage des examens sur le PACS Suivi de la cotation des examens dans Crossway Niveaux de référence diagnostiques Suivi des contrôles internes et externes des installations Suivi des incidents de radioprotection
7 n L organisation des activités à risques majeurs (26.b) Mise en place d un Comité de Retour d Expérience (voir fiche technique n 13) dont voici le bilan - 8 réunions, 7 analyses d évènements Indésirables Mesures d'améliorations - 26 mesures d améliorations décidées en CREx -62 % réalisées -19 % en cours 19% fait -19 % restent à faire en cours 19% 62% a faire Evaluation des Pratiques Professionnelles (28.a) Participation à un audit clinique sur la pose de voie d abord veineuse périphérique. Cet audit a concerné l ensemble de l établissement. Perspectives Commission Qualité en 2011 Gestion documentaire (Ennov) : Migration documentaire (procédures révisées) Utilisation du logiciel pour la déclaration des E.I (mutualisation des FSEI) Rédaction d un manuel d assurance qualité (M.A.Q) Poursuivre Cartographie des risques à priori (Benchmarking) Développer la culture de la déclaration. Planifier des EPP Paramédicaux (audits cliniques) Enquête permanente satisfaction Patient en M.N Enquête satisfaction médecins prescripteurs Conformités des demandes d examens Conclusions Ce qui était pressenti en fin d année 2009 se révèle être exact : la Qualité s avère être un outil de management structurant où la participation de chaque corps professionnel est une nécessité. C est alors que la Commission Qualité prend toute sa dimension, sa raison d être. La Qualité ne doit pas être chronophage et le patient doit rester son essence même.
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailCertification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse
Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailL Assurance Qualité DOSSIER L ASSURANCE QUALITE
DOSSIER L ASSURANCE QUALITE L Assurance Qualité DOSSIER N D4-2-GW0301 Satisfaction.fr 164 ter rue d Aguesseau 92100 Boulogne Billancourt 01.48.25.76.76 http://www.satisfaction.fr/ Page 1 Définition Normalisée.
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailCertification V2014. Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé. Juillet 2013 ACC01-F203-A
Certification V2014 Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé Juillet 2013 ACC01-F203-A Sommaire 1. Les enjeux et les ambitions : une démarche plus
Plus en détailMise en place d une démarche qualité dans un système d information
Mise en place d une démarche qualité dans un système d information IMGT The international ImMunoGeneTics information system Laëtitia Regnier, IE Bioinformatique, Responsable Management de la Qualité (RMQ).
Plus en détail2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15
2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa
Plus en détailLa méthode A.S.A.P.P. Actions socles pour des Achats Publics Performants. Michel Madar
La méthode A.S.A.P.P Actions socles pour des Achats Publics Performants Michel Madar Des problèmes persistent 1 Le manque de planification et prévision des achats fait qu une très grande partie des dossiers
Plus en détailLES BASES DE LA QUALITE
LES BASES DE LA QUALITE Sommaire I.PREAMBULES A LA DEMARCHE DE CERTIFICATION II. LES REGLES POUR METTRE EN ŒUVRE UN SMQ III. LES ETAPES DU PROCESSUS DE CERTIFICATION IV. LA NORME ISO 9001 ET SES EXIGENCES
Plus en détailGUIDE METHODOLOGIQUE
GUIDE METHODOLOGIQUE AIDE A LA MISE EN PLACE D UNE POLITIQUE «QUALITE ET RISQUES» EN ETABLISSEMENT DE SANTE Février 2006 Direction des Activités Médicales et de la Qualité Cellule Qualité, Risques et Vigilances
Plus en détailL approche processus c est quoi?
L approche processus c est quoi? D après FD X50-176 Management des processus (2005) AC X50-178 Management des processus, Bonnes pratiques et retours d expérience (2002) Introduction Termes et définitions
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailMise en place d'une démarche qualité et maintien de la certification ISO 9001:2008 dans un système d'information
Mise en place d'une démarche qualité et maintien de la certification ISO 9001:2008 dans un système d'information IMGT The international ImMunoGeneTics information system Joumana Jabado-Michaloud IE Bioinformatique,
Plus en détailGestion de parc et qualité de service
Gestion de parc et qualité de service Journée Josy, 14 octobre 2008 A. Rivet Gestion de parc et qualité de service Gestion de parc Fonctions de base GT «Guide de bonnes pratiques» Référentiels et SI ITIL/ISO
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailPartager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :
Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de
Plus en détailDr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détail> innovation. Action «Normalisation» descriptif
Action «Normalisation» descriptif > Pour répondre aux questionnements des entreprises, la CCI Paris Ile-de-France et AFNOR Normalisation proposent aux entreprises de réaliser un pré-diagnostic normalisation
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailC N F - Tunis. Manuel du stagiaire. Intitulé de l'atelier : Animer la qualité au quotidien Dans un établissement universitaire 1-2-3 juin 2015
C N F - Tunis Manuel du stagiaire Intitulé de l'atelier : Animer la qualité au quotidien Dans un établissement universitaire 1-2-3 juin 2015 Formateur : Pr. Abdellah CHICHI Manuel du STAGIAIRE Page 1 sur
Plus en détailPrincipes d une démarche d assurance qualité, évaluation des pratiques professionnelles
Principes d une démarche d assurance qualité, évaluation des pratiques professionnelles Virginie Gardette Avril 2010 SOMMAIRE Introduction I. Assurance qualité / Démarche Qualité 1.1 Définition 1.2 Principes
Plus en détailGUIDE OEA. Guide OEA. opérateur
Guide > > Fiche 1 : Pourquoi être certifié? > > Fiche 2 : Les trois types de certificats et leurs critères > > Fiche 3 : La préparation de votre projet > > Fiche 4 : Le questionnaire d auto-évaluation
Plus en détailCe document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE
MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d
Plus en détailEric CIOTTI Président du Conseil général des Alpes-Maritimes
A sa création, en 2005, la FORCE 06, rattachée à l ONF, constituait une unité de forestiers-sapeurs dédiée aux travaux d entretien des infrastructures de Défense des Forêts Contre l Incendie (DFCI) et
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailTremplins de la Qualité. Tome 2
Tome 2 CET OUVRAGE EST UN GUIDE D INTERPRETATION DE LA NORME NF EN ISO 9001 VERSION 2000 AVANTPROPOS Ce guide d aide à la rédaction du Manuel de Management de la Qualité a été rédigé par la Fédération
Plus en détailintégration tri ogique Démarches Processus au service des enjeux de la Santé
Démarches Processus au service des enjeux de la Santé Sommaire 1. Présentation d IDS Scheer et de ses Partenaires «Santé» 2. Modélisation par les métiers des processus et données clés dans le secteur «Santé»
Plus en détailUne réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement. www.evaluation-envol-afnor.org
Une réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement www.evaluation-envol-afnor.org Quelques mots à propos du groupe Afnor Opérateur central du système français de normalisation
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailLa démarche qualité. Un nouveau mode de management pour l hôpital
La démarche qualité Un nouveau mode de management pour l hôpital Quelques définitions La qualité selon la norme ISO La qualité selon la définition de l'oms L'assurance qualité selon la norme ISO Le management
Plus en détailManuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13
Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne
Plus en détailAuditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon
Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)
Plus en détailPhase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire
Phase 2 : Mettre en œuvre Gestion des projets Gestion Gestion du changement Gestion Plusieurs documents dans un organisme : Documentation technique Documentation sociale Documentation commerciale Documentation
Plus en détailAdministration canadienne de la sûreté du transport aérien
Administration canadienne de la sûreté du transport aérien Norme relative au système de gestion des fournisseurs de services de contrôle de l ACSTA Octobre 2009 La présente norme est assujettie aux demandes
Plus en détailConseils et préconisations de mutualisation ISO 2700x et ISO 20000 / ITIL Groupe de travail du Club 27001 Toulouse 3 Avril 2012
S Conseils et préconisations de mutualisation ISO 2700x et ISO 20000 / Groupe de travail du Club 27001 Toulouse 3 Avril 2012 Nicole Genotelle (ONX / Edelweb), Joris Pegli (SRCSolution), Emmanuel Prat (FullSave),
Plus en détailRéduire les risques en santé
Réduire les risques en santé «Mieux vaut penser le changement que changer le pansement» Marie-Françoise Dumay, Garménick Leblanc, Marc Moulaire, Gilbert Mounier 1 Définition du risque «Possibilité de dommage»
Plus en détailDPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE»
Programme de DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Séance cognitive DPC Samedi 20 juin 2015 Journée Régionale d Hémovigilance ARS IDF Généralités Unprogramme de DPC est un ensemble d activités d évaluation
Plus en détailPRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté»
PRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté» Ce référentiel s adresse à toutes les actions de formation pouvant être dispensées dans
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailCONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER
CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012
Plus en détailQualité et gestion des risques
formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques
Plus en détailLa Qualité de SFR Business Team
La Qualité de SFR Business Team au service de ses clients Faire équipe avec vous est la promesse de SFR Business Team faite à son marché. Présent et performant sur l ensemble des segments, de la TPE au
Plus en détailPROJET QUALITE 2015-2019
PROJET QUALITE 2015-2019 [Texte] TABLE DES MATIERES I. INTRODUCTION 5 II. LES ORIENTATIONS 6 AXE 1 PERENISER UN SYSTÈME DE MANAGEMENT BIEN STRUCTURÉ DANS LEQUEL LES ACTEURS S IMPLIQUENT ACTIVEMENT 6 a.
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailTHEORIE ET CAS PRATIQUES
THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise
Plus en détailManagement des risques
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES Management des risques acteurs de la santé, du social et du médico-social «Enfin un assureur qui m accompagne dans la gestion des risques» Édito La mission de Sham
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le
Plus en détailLa certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux
C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les
Plus en détailDEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN
DEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN Certification CQPM réf : 2008 07 69 0272 Animateur de la démarche LEAN pour l amélioration de la performance et des processus. BUTS DE LA FORMATION : Etre
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux
Plus en détailMANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement
MANUEL Q S E Mise à jour : Mai 2014 Qualité - Sécurité - Environnement Editorial BÂTIMENTS - Privé - Public - Industriel La société RIVASI BTP est implantée dans la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Elle
Plus en détailInformation Technology Services - Learning & Certification. www.pluralisconsulting.com
Information Technology Services - Learning & Certification www.pluralisconsulting.com 1 IT Consulting &Training Créateur de Performance Pluralis Consulting Services et de Conseil en Système d Information
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailMise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM
Mise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM Jean-Claude SCHREPFER Année 2011 2012 DU Qualité et Gestion des Risques
Plus en détailLa gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES
La gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES Gilbert Mounier 1 La SoFGRES association loi 1901 à but non
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailValidation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel)
Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Traduction non officielle du document Réponses et décisions de EK-Med 3.9 B 18 publié sur le site Web de l organisme
Plus en détailCircuit du médicament informatisé
Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailD ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire
D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire www.teamup-consulting.com Teamup Consulting - 1 Certificat nºinf/2007/29319 1 ère société de conseil française certifiée ISO 20000-1:2011 Sommaire Introduction
Plus en détailA1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE
Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de
Plus en détailITIL FOUNDATION 2011 & PREPARATION A LA CERTIFICATION
SEMINAIRE DE FORMATION ITIL FOUNDATION 2011 & PREPARATION A LA CERTIFICATION Management des services informatiques Objectifs de la formation Cette formation est destinée aux personnes qui aimeraient gagner
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailGénie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5
Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la
Plus en détailHERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet
HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Norme ISO 22301 Système de Management de la Continuité d'activité
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique
Plus en détailPolitique Qualité et Gestion des Risques (2011-2016) version du 05 août 2013
POLITIQUE QUALITE ET GESTION DES RISQUES 2011-2016 DOCUMENT REVISE AOUT 2013 1 SOMMAIRE I Évolution de la démarche Qualité A Historique B Évolution des moyens et structuration C Bilan des principaux travaux
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Lorraine Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans
Plus en détailSystème de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise
CCI Moselle, le16 avril 2013 Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement Un atout pour l entreprise Intervention de Olivier Rousseaux, Auditeur QSE, Expert en organisation et management
Plus en détailAudit du PCA de la Supply Chain en conformité avec la norme ISO 22318 GUIDE ADENIUM BUSINESS CONTINUITY
GUIDE ADENIUM BUSINESS CONTINUITY 2015 Audit du PCA de la Supply Chain en conformité avec la norme ISO 22318 Adenium SAS www.adenium.fr +33 (0)1 [Texte] 40 33 76 88 adenium@adenium.fr [Texte] Sommaire
Plus en détailRecommandations sur les mutualisations ISO 27001 ISO 20000 & ISO 27002 ITIL
Recommandations sur les mutualisations ISO 27001 ISO 20000 & ISO 27002 ITIL Groupe de travail du Club 27001 Toulouse Présentation du 10 novembre 2011 Nicole Genotelle, Joris Pegli, Emmanuel Prat, Sébastien
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailITIL v3. La clé d une gestion réussie des services informatiques
ITIL v3 La clé d une gestion réussie des services informatiques Questions : ITIL et vous Connaissez-vous : ITIL v3? ITIL v2? un peu! beaucoup! passionnément! à la folie! pas du tout! Plan général ITIL
Plus en détailBâtir un système intégré
Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE
Plus en détailL application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailLE SYSTÈME DOCUMENTAIRE
LE SYSTÈME DOCUMENTAIRE Alain Antoine, Maître de conférence IAE (Université Nancy 2) Pascale Dellea-Warin, Consultant en Management de la Qualité Karine Lesquoy-Fischer, Responsable Qualité (CUCES - Université
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION
Plus en détail8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace
Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme
Plus en détailLaissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services
Laissez-nous prendre soin de vous Recrutement - Intérim - Services affirmer Nos différences Adecco Medical, filiale santé du leader mondial des solutions RH, a bâti une relation de confiance avec ses clients,
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et
Plus en détail