!"#$%&'&(%)*"#+)&%)*,-&".#(/&)&() 0(/*+*1$&2)+&)/#(/&")34)-&$() 56)7-8$9) :&(%"&)3&-)'#+#3$&-)34)-&$() ;<8$%#+)=%)>*4$-)
|
|
- Geoffroy Brosseau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 !"#$%&'&(%)*"#+)&%)*,-&".#(/&)&() 0(/*+*1$&2)+&)/#(/&")34)-&$() 56)7-8$9) :&(%"&)3&-)'#+#3$&-)34)-&$() ;<8$%#+)=%)>*4$-)
2 Histoire des traitements oraux du cancer du sein : CMF oral adjuvant 1976 :Tamoxifène en phase métastatique 1986 :Tamoxifène en adjuvant 1996 :Inhibiteurs d aromatases en phase métastatique 2000:Capécitabine monothérapie en phase métastatique 2002 :Capécitabine associée en phase métastatique 2005:Vinorelbine monothérapie en phase métastatique :Inhibiteurs d aromatases en adjuvant 2008:Thérapie ciblée en métastatique (lapatinib) 2008:Vinorelbine associée en phase métastatique 2010
3 !"#$%&'&()%*+",&-#(+".-#,(/+# 0/#
4 La chimiothérapie orale pour qui? Tout le monde sauf Facteurs associés à une non compliance aux traitements oraux: Surveillance inadéquate. Support social inadéquat. Antécédent de non compliance. Troubles mnésiques et comportementaux
5 Chimio orale pour la pa=ente âgée Tendance à proposer la chimiothérapie par voie orale aux personnes âgées Pour ne pas les embêter Pour éviter des consulta=ons hospitalières Pour ne pas bouleverser leurs habitudes
6 Chimio orale pour la pa=ente âgée Et pourtant, popula=on Fragilisée Moins surveillée, seule Erreur d observance Co- morbidités «Polymédicamentée» pas de maîtrise des interackons médicamenteuses
7 !"#$%&'&()%*+",&-#(+".-#,(/+0/(#
8 D aiguë, la pathologie cancéreuse devient chronique. le pa=ent a besoin de «souffler»
9 Le point de vue de l oncologue
10 Le point de vue de l oncologue 1iere ligne..manque de données; Les taxanes étant de + en + prescrits en adjuvant la Navelbine, la Capécitabine et la Gemcitabine vont se posi=onner en 1ère ligne 2ième- 3ième ligne de chimio Explica=on il s agit d une VRAI CHIMIO +++
11 Le point de vue de l oncologue Chimiothérapie orale en «entre=en» après une chimiothérapie «d induc=on» pour péréniser la réponse. Maladie chronique = chimiothérapie au long cours Pour appliquer un traitement con=nu ou quasi- con=nu chimiothérapie métronomique (pe=tes doses permanentes)
12 Chimiothérapie prolongée Coates : Méta- analyse présentée à l ASCO 2003 R Chimiothérapie X cycles Chimiothérapie prolongée jusqu à progression de la maladie ou toxicité inacceptable 7 essais, 1248 pakentes Avantage modeste mais significakf de la survie sans progression et de la survie, en faveur d un traitement prolongé. 1 essai avec étude de la qualité de vie: bénéfice d un traitement prolongé.
13 Chimiothérapie Chimiothérapie metronomic an=angiogénique Administra=on au long cours de faible dose de chimiothérapie sans interrup=on Avantages Baisse de la toxicité aiguë Administra=on orale Associable à des thérapeu=ques cibles sur des périodes prolongées St. Gallen 2005 D après Munoz R. et al., Toronto, Canada, abstract S7 actualisé
14 Chimio orale, une facilité pour l oncologue? Chimio orale prend plus de temps++++ en tout cas tant que nous ne serons pas structurés pour y faire face.. Le médecin seul interlocuteur face au pa=ent Educa=on thérapeu=que plus longue qu avec l IV Prise du médicaments (heure, conservakon..) Effets secondaires Prévoir les situakons (oubli, ne pas doubler la dose..) Mise en place de système de communica=on +++
15 Le point de vue de la pakente
16 Le point de vue de la Pa=ente Pa=ente lasse de l hôpital.. des allées et venues..et des a_entes Désir de ne pas être «bouleversée» dans ses habitudes Pa=ent ac=f qui désire travailler.a_enkon La chimio orale ne permet pas tout La voie orale est à la mode
17 Patient preferences for oral versus intravenous palliative chemotherapy 103 pakents métastakques : 92 préfèrent per os, 10 I.V. Plus de commodité. Pas de problèmes d accès veineux. Environnement plus agréable. Décision : 39 % ne veulent pas prendre la décision eux- mêmes. 38 % veulent prendre eux- mêmes la décision. 22 % indifférents! Liu, et al, JCO 1997
18 Chimiothérapie orale : qu en est il est en prakque? 1/ Observatoire NAVAL: Étude observa=onnelle: Sur la prise en charge par la chimiothérapie du cancer du sein métastakque. N= médecins Objec=fs : Impact de la prise orale sur la qualité de vie Définir les raisons de la préférence de la voie per os Définir les facteurs de choix de la forme orale. Lotz.Annals of oncology 2008:Abstract
19 Préférence globale des pakentes : N=355 3 raisons principales : Plus de temps avec les proches MainKen de la vie sociale Préférence pour une prise à domicile Observatoire NAVAL: j.p Lotz :annals of oncology 2008
20 La voie orale ressentie par les patients Le traitement est- il aussi efficace que l injectable? ++ Toxicité, Que dois- je faire en cas de vomissements? Quand et comment dois- je prendre mon traitement? Dois- je prendre des précaukons pour la manipula=on?
21 R*$-55&)*#4H/3-#(+?"3&5"=(3# $-3)+*-#5/+#.-#'"."4-# 0'1('2",3,!"4$", "&,526(", 728,%&#, 9"8%'&, :;6':", E4/$"=(3#,./5#.(3?/-# El-)5#5-$(34"&+-5# a(/b.&f#3-#,"5#4(/b.-+#."# 4(5-JJb# \&5-#-3#,."$-#4-#5d5)D'-#4-#$(''/3&$"=(3#PPP#
22 Qu en pensent les autorités de santé? Le plan cancer : Assurer une meilleure qualité de vie aux pakents Développer la chimiothérapie à domicile Faciliter l accès aux chimiothérapies en per os Développer les soins de support Recommanda=ons ANAES : Les médicaments ankcancéreux pour les quels une forme per os est disponible sont à considérer comme présentant un degré de sécurité habituellement saksfaisant. À efficacité équivalente,ils sont donc à privilégier par rapport aux formes parentérales. Rapport ANAES septembre 2003: critères d éligibilité des pakents à une chimiothérapie ank cancéreuse à domicile
23 Une confiance mutuelle Médecin Pa=ente Pharmacien IDE
24 Le premier jour Médecin : consultakon, informakon En hôpital de jour : prise du J1 IDE : éducakon du pakent Carnet personnalisé
25 Des outils fiables
26 Chimiothérapie orale : un sommet d organisation CHIMIO ORALE ENTRETIEN IDE CONSULTATION MEDECIN
27 L hôpital au service du pa=ent à domicile LES ACTEURS AU DOMICILE LES ACTEURS HOSPITALIERS Médecin généraliste ou oncologue: feu vert pour le traitement IDE : assure la réalisa=on du traitement LE PATIENT A SON DOMICILE Les médecins hospitaliers (recrutement) IDE coodinatrice L HAD santé service Réseau
28 Conseils à prodiguer Importance de l informa=on au pa=ent Livret de liaison Mise en garde contre les effets indésirables Pa=ent pouvant se prendre en charge Impact sur la famille : moins anxiogène Éviter la banalisakon
29 Conclusion La chimiothérapie orale est une vraie chimiothérapie, ac=ve et avec des effets indésirables Nécessité du suivi à domicile : rôle des réseaux, des médecin correspondants (généraliste) Importance des carnets de liaison Accès facile à un interlocuteur hospitalier désigné Adapta=on des doses Observance des traitements
30 Historique du Cancer du sein métastatique: Survie globale mois mois mois mois mois mois? 10 ans 11.4% survie Greenberg P, JCO 1996; 14: Anthracyclines +hormonothérapie Taxanes Thérapies ciblées
31 Her- 2/neu Her- 2/neu est un proto- oncogène localisé sur le chromosome 17 q qui code pour la produckon d une glycoprotéine trans- membranaire appelée protéine ou récepteur HER- 2 Le récepteur HER- 2 est composé d un récepteur extracellulaire, d un segment trans- membranaire et d une parke intracellulaire avec une ackvité tyrosine kinase L amplificakon ou la sur- expression de C- erbb2 a été mise en évidence dans 10 à 30% des cancers du sein
32 Her- 2/neu et facteurs pronoskques La sur- expression de HER- 2/neu est souvent associée à des facteurs de mauvais pronoskques: La taille tumorale Le grade La négakvité des récepteurs hormonaux L envahissement ganglionnaire
33 Trastuzumab: étude randomisée Slamon, NEJM, 2001 Première ligne métastakque Traitement : Paclitaxel 175 mg/m²/21j +/- trastuzumab : AC 60/600 mg/m²/21j Gain en survie globale pour l associakon chimiothérapie + trastuzumab versus chimiothérapie seule: RR = 0,80 (0,64-1,00) p= 0,046 Épisode cardiaque chez 63/469 pakentes (13.4%) dont 51/63 sous trastuzumab (81%)
34 EGF Baselga J et al. Cancer Cell.1: , 2002 Mab an= récepteur An=- erbb2(her2) 2 1 Inhibiteurs Tyr Kinase An=- HER1, HER2, HER4 K K Shc PI3K Grb2 Shc Sos Grb2 Sos Ras RAS farnesyl transferase inhibiteurs PTEN Akt Raf Raf inhibiteurs m TOR inhibiteurs mtor FKHR p27 GSK- 3 Bad MEK1/2 MAPK MEK inhibiteurs Progression du cycle cellulaire Cycline D1 survie proliféra=on P
35 LapaKnib Cible Erb- 1 et Erb- 2, agit en intracellulaire au niveau du domaine tyrosine kinase et bloque l ackvakon du récepteur C est une pekte molécule Avantages théoriques: Inhibe Erb1 et ERb2 (hétérodimères) Inhibe les formes tronquées de CerbB2 (p95erbb2) Franchissement de la barrière hémato- méningée
36
37 Étude EGF internakonale de phase III randomisée, en ouvert, comparant capecitabine seule à l associakon capecitabine- lapaknib : Cancer du sein HER2+ métastatique ou localement avancé en progression Traitement antérieur par anthracycline, taxane et trastuzumab Maladie mesurable (RECIST) Non antérieurement traité par capecitabine Stratification : - sites métastatiques - stade de la maladie R A N D O M I S A T I O N n =399 lapatinib mg/j per os en continu + capecitabine mg/m²/j, 2 semaines sur 3 capecitabine mg/m²/j, 2 semaines sur 3 Patientes traitées jusqu à progression ou toxicité inacceptable, suivies ensuite pour la survie Geyer NEJM 2006;335:
38 EGF : critère principal Temps jusqu à progression évalué par IDMC* Analyse finale % Patients n ayant pas progessé Lapatinib + No. de patients Capecitabine 198 Capecitabine 201 Progression ou décés 82 (41%) 102 (51%) Median TTP, mois Hazard ratio (95% CI) 0.57 (0.43, 0.77) P value (log rank, 1 sided) Temps (semaines) 90 D.Cameron Breast Cancer Res Treat 2007
39 !" #$"!"!"!"!" %"!"#$%&'"(&)*+),+-./++ 0+1*+#"'&*)'2+ 3"#"'&)&(+4+!"#$%&'"(&)*+),+/ *+#"'&*)'2+ /7+ $" !" &" '()*" -9+ +" /.+ //+ -7+!" +" 5+ /-+,(-./01" 9/+ $%" -9+ /-+ 97+!" $&" -5+ /:+ 234" --+ &" 8+ /:+ -.+!" $" 7+ / ))-" 77+ &" / !" &" /: (0)91" 7.+ $!" /7+ /;+ ;9+ $" $+" -.+ :/+ :.(;;*91" <='">+ +" &" $" <='">+ %" +" &" $" <;(=1"" 8>?" Cameron et al. Brest Cancer Res Treat 2008
40 :A!)2)3$#""P9&-)3&)yVtyM) CAT initiale) Traitement)!Modifications diététiques : Arrêt des aliments lactés et hydratation orale (8 à 10 verres d eau)!si G2 : Suspendre la CT cytotoxique et Tyverb )!Lopéramide : 4 mg puis 2 mg/4h ou après chaque selle non moulée) "9A(B0(-.6C"$&"D"&%"E"FB0)"-(;=" v&(-*()a+)v)("$&'6)c;d)mnnw{mm\vw])2mbvxembmx))
41 :A!)3$#""P9&-)3&)yVtyM) V a"& )9.#+4#K*()VM)L)MW);)8+4-)%#"3) G&5,"+&=(3#4-#."#4&"++%*-) T!G*4"-4$%&)3&-)'&-4"&-) 3$9%9K@4&-) T!A""d%)34)+*89"#'$3&)#8"a-) VMP)-#(-)3$#""P9&) T!R&8"$-&)34)!H.&", )&() #--*/$#K*()L)+#) /#89/$%#,$(&)# A-+5&5)"3$-#4-#."#4&"++%*-) T!A3'$($-%"&")34)+*89"#'$3&)2) ))))M)'1)%*4%&-)+&-)M)P&4"&-) T!y"#3&)V)2)R&8"$-&)34)!H.&", ) &()#--*/$#K*()L)+#) /#89/$%#,$(&)z# T D'- ##*@"./"=(3#NT#9#Tr#[#,./5#)"+4# z)=$)1"#3&)v)*4)"&%*4")l)+#)(*"'#+&)2)!h.&",)vmin)'1ts*4"6)7()/#-)3&)"9#88#"$k*() 3&)+#)%*?$/$%9)2)8*--$,$+$%9)3D4(&)"&8"$-&)L)4(&)8*-*+*1$&)"934$%&)\VNNN)'1tS*4"]6) v&(-*()a+)v)("$&'6)c;d)mnnw{mm\vw])2mbvxembmx))
42 CCAT diarrhées de G3/4 (G1/2 compliqués)at Diarrhées de G3/4 (G1/2 compliqués) HospitalisaKon RéhydrataKon IV AdministraKon d octréokde AdministraKon éventuelle d ankbiokques (fluoroquinolones) en cas de diarrhée persistante au delà de 24 heures, en cas de fièvre ou en cas de neutropénie de grade 3/4 Discussion de la reprise du tyverb- Capécitabine à doses réduites en fonckon du contexte clinique Octréo=de:analogue synthékque de la somatostakne qui inhibe la sécrekon de pepkdes intesknaux,tsh,prolackne,insuline. Benson Al B et al. JCO 2004;22(14) :
43 Les rashs dans les études lapaknib: analyse poolée portant sur 1126 pakents Grade : Rashs tous grades : 41% à la dose de 1250mg/j une majorité de grades 1 et 2 EssenKellement dermaktes et érupkons Grades 3 rares, pas de grade 4 Début : 45% des cas : entre J1- J14 après instaurakon du traitement Durée moyenne de chaque épisode = 29 jours GesKon et résolukon: 82% des pakents sous lapaknib n ont pas nécessité de modificakon de traitement 1% des cas : arrêt du traitement JP Crown; Breast Cancer Res Treat;
44 R#-P-2) -ATB oraux cyclines :(tetralysal) -ATB locaux:- (dalacine T Topique, Eryfluid) - Dermocuivre -crème hydratante -corticothérapie locale
45 Syndrome main- pied: Grade I Grade II Grade III Interrompre xeloda jusqu à retour à un Gr I Pas de modification Tyverb Administration soins locaux: -pommade au Calendula (2 à 3/j), -poudre d argile, coldcream
46 G&"$*(H?$-C)Z--4"&-2) -Perionyxix: -diprosone crème (2 x/j), -nitrate d argent batonnet (1x/j) -Fissures: baume du commandeur (1x/j)
47 K!" QR" N(F(-.C.O"P"M(F9M.-(O.C1" M(F9M.-(O.C1",G5<"79=.(C1"HIJ" Q!" LR" L!" RR" R!" CS$L&" CS$R$" CS$$&"""" CSKK" CSKR"" CSLL" CSLR" CS+R" CS%!"" CS&+" CS$K" CSL" CSK" CS!" 29B1M-.6C" 217(.C1"L" 217"$&" 217"$K" 217"&%" 217"+L" 217"%K" GA(B0(-.6C" y&h&"):7)("$&'6)>#8#k($,)8+4-)/#89/$%#,$(&)[*");7rme8*-$k.&)#3.#(/&3),"&#-%)/#(/&"6)e$f)g'$c$4(<$mnnx{oii2muooewo)
48 v9(9z/&-)3&)+#)/p$'$*%p9"#8$&)*"#+&)2)!a(/+#.-#,"=-3);#!a"5#4-#,(5-#4-#$%"'b+-#&',."3)"b.-#!a"5#4-#$(',.&$"=(3#.&*-#9#."#6(+'-#zw#!\(&35#4-#5)+-55f#,./5#4-#$(36(+)#!\(&35#4-#6"=?/-#f,./5#4-#)-',5#9# @&..-#!H(3$(.(?/-#+-5)-#.H"$)-/+#,+&3$&,".#;## Y$)-/+## &3$(3)(/+3"B.-;# +D$(Z"'$a"&)
49
Les plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailXVème Journées de Sénologie Interactive
XVème Journées de Sénologie Interactive Jeudi 20 et vendredi 21 septembre 2012 PARIS Symposium GSK Cancer du sein métastatique HER2+ Nouveaux challenges Hormonothérapie mécanisme de résistance Gérard MILANO
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailThérapies ciblées: quelle place dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules? Dr AP Meert
Thérapies ciblées: quelle place dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules? Dr AP Meert Standards thérapeutiques En première ligne CBNPC Local Locorégional Métastatique Chirurgie +/-
Plus en détailvoies de signalisation
Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailAnticorps et tumeurs solides Cibles établies et pistes prometteuses
MEDECINE/SCIENCES 2009 ; 25 : 1090-8 > Grâce aux progrès biotechnologiques récents, les anticorps monoclonaux constituent une nouvelle classe de médicaments pour le traitement des tumeurs solides. Afin
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailAnormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules
J Fran Viet Pneu 2015; 17(6): 1-53 2015 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info CrossRef: http://doi.dox:10.12699 JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailThérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours
Réanimation 15 (2006) 297 302 Mise au point Thérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours J. Fayette a,b, *, J.-Y. Blay a,b a Service
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailAUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES. Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil
AUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil Fréquence des mutations Étude Biomarqueurs France Sur 10 000 prélèvements Mutations Fréquence Aucune
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailThérapies ciblées des cancers :
Thérapies ciblées des cancers : Pr. Gilles VASSAL Directeur de la Recherche Clinique et Translationnelle Institut Gustave Roussy, Villejuif Thérapies ciblées du cancer: Conséquences pour le biologiste
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailBilan du suivi des produits traceurs 2008
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailProjet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités
Projet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités Formation des médecins généralistes et gynécologues EFFETS INDESIRABLES ET COMPLICATIONS DES TRAITEMENTS DANS LE CANCER DU
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailPIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.
Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,
Plus en détailCANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE
ERBITUX - cetuximab RÉFÉRENTIELS DE BON USAGE HORS GHS CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE Situations hors-amm pour lesquelles l insuffisance des
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailAvis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV
Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV INTRODUCTION Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailSituation de la chimiothérapie des cancers en 2009
TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailCécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.
Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailProgramme pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux.
Programme P H A R M A C O pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux. AG Caffin 1, Y Chabi 1, C Sévin 2, B Leclere 3, C Debelmas 4, G Camus 1, X Bohand 1 1 Hôpital d Instruction des
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailComprendre la chimiothérapie
Comprendre la chimiothérapie Réédition actualisée 2008 c o l l e c t i o n Guides d information Le déroulement d une chimiothérapie Son action Ses aspects pratiques Ses effets secondaires La surveillance
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détail