SCHEMA DIRECTEUR DE L ALIMENTATION EN EAU POTABLE

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1 DEPARTEMENT DE LA SAVOIE COMMUNE DE VILLARD SUR DORON SCHEMA DIRECTEUR DE L ALIMENTATION EN EAU POTABLE Rapport final

2 PREAMBULE La commune de VILLARD SUR DORON, agissant en tant que maître d ouvrage, a décidé de réaliser un SCHEMA DIRECTEUR DE SON ALIMENTATION EN EAU POTABLE. L étude engagée a pour but de faire un état des lieux du service public de l eau potable et de proposer les solutions techniques les mieux adaptées pour résoudre les problèmes constatés. Le présent rapport relate la situation actuelle du service et définit les solutions à mettre en œuvre pour garantir aux populations actuelles et futures une alimentation en eau en quantité et en qualité satisfaisante. La commune de Villard sur Doron a chargé le bureau d études S.C.E.R.C.L ALBERTVILLE de cette tâche. Cette étude a été réalisée avec les aides financières de l'agence de l'eau Rhône- Méditerranée-Corse et du Conseil Général de la Savoie. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 2 -

3 BIBLIOGRAPHIE Liste des documents établis dans le cadre de l étude : Rapport du prédiagnostic Prédiagnostic des ouvrages :Production / Distribution Diagnostic de la défense la défense incendie Diagnostic des réseaux Modélisation mathématique du réseau d eau potable et fichiers de résultats Etude technico-économique Cartographie associée à l étude Plans d ensemble des réseaux : prédiagnostic, inventaire du patrimoine, le plan des travaux. Plan de recollement des réseaux : plan 0, plan d ensemble, échelle 1/4 000 ème, plans 1 à 12, plans de détail, échelle1/1 000 ème. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 3 -

4 SOMMAIRE CHAPITRE I - PRESENTATION DE LA COLLECTIVITE Localisation géographique de la Collectivité, échelle 1/ ème Localisation géographique de la Collectivité, échelle 1/25000ème Situation géographique Habitat et démographie Economie Projets à moyen et long terme Inventaire des consommateurs d eau 10 CHAPITRE II - PRESENTATION DE L ALIMENTATION EN EAU POTABLE Périmètre de l étude L alimentation en eau potable de la Collectivité Localisation géographique du périmètre de l étude, échelle 1/25000 ème Répartition des consommations pour chacun des réseaux Les réseaux privés La description des différents réseaux et leurs problèmes Généralités Les ressources et les réservoirs Schéma altimétrique des réseaux Les réseaux et les canalisations Adéquation entre les besoins et les ressources disponibles Les problèmes à traiter 49 CHAPITRE III ADEQUATION ENTRE LES BESOINS FUTURS ET LES RESSOURCES DISPONIBLES Adéquation entre les besoins futurs et les ressources disponibles Les projets à moyen et à long terme Développement de la ZAC de Bisanne Les besoins futurs Les ressources actuelles Conclusion Remarques Mise en conformité de l alimentation en eau potable Mise en conformité des captages existants Renforcement des ressources Renforcement des réseaux (distribution et défense incendie) Télésurveillance des ouvrages Récapitulatif et impact sur le prix de l eau 62 Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 4 -

5 5 - Schémas altimétriques des travaux Programme des travaux et échéancier Conséquence au niveau du patrimoine 66 CHAPITRE IV LE SERVICE PUBLIC DE L EAU POTABLE Organisation du service public de l eau potable Les compteurs d abonnés 68 ANNEXES Annexe 1 : Conventions entre le SIVOM des Saisies et la Commune de Villard sur Doron Annexe 2 : Projet du règlement du service de l eau Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 5 -

6 CHAPITRE I - PRESENTATION DE LA COLLECTIVITE 1 - Localisation géographique de la Collectivité, échelle 1/ ème Villard-sur-Doron est situé sur la rive droite du Doron où les limites sont Le Nant Berlin avec Queige et le ruisseau de Manant avec Hauteluce et Beaufort. Sur la rive gauche du Doron, le Nant Bruyant et le Nant Tavellard servant de limites, convergent et forment un triangle de forêt. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 6 -

7 2 - Localisation géographique de la Collectivité, échelle 1/25000ème La population est très dispersée en de nombreuses clairières, le long des chemins montant vers Bisanne et le Col des Saisies. A l'exception du Chef-lieu, des Perrières, de l'etraz et du Bochon, zones agglomérées, l'habitat est très diffus sur l'ensemble du territoire. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 7 -

8 3 - Situation géographique Villard-sur-Doron est la plus petite commune du Beaufortain, massif de moyenne montagne qui constitue une entité géographique, économique et administrative. Son appartenance à cet ensemble lui confère un certain nombre de traits caractéristiques : Le passé géologique de cette entité (massif cristallin affaissé, nappé d une importante couverture sédimentaire) se traduit aujourd hui par une altitude peu élevée, inférieure à 3000 mètres et des formes douces voire lourdes (signal de Bisanne). Le climat, de type climat de montagne des Alpes du Nord, est marqué par une pluviosité abondante (en grande partie sous forme de neige) et par la rudesse des températures. Les différences de situations topographiques permettent cependant de pondérer ce schéma climatique général avec notamment un ensoleillement important. Le territoire communal s étend sur ha dont 580 ha sont en propriété communale. Les contrastes d altitude sont assez forts puisque le point le plus haut atteint 2000 mètres tandis que le point le plus bas est de 650 mètres. Le Chef-lieu se situe à 722 mètres. Les communes riveraines sont : au Nord-Est : Hauteluce, au Nord-Ouest : Cohennoz, à l Ouest et au Sud-Ouest : Queige, à l Est et au Sud-Est : Beaufort-sur-Doron. Sur le plan administratif, la commune de Villard-sur-Doron fait partie du canton de Beaufort-sur-Doron et de l arrondissement d Albertville. 4 - Habitat et démographie Des conditions naturelles favorables ont permis le développement d une économie agropastorale prospère, permettant à une population nombreuse de vivre. Cela a contribué à donner à ce massif un aspect bien caractéristique avec un habitat très dispersé, situé à des altitudes diverses : petits hameaux, remues, mazots, chalets d alpages. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 8 -

9 Toutefois cette économie s est considérablement modifiée au début du siècle engendrant une baisse de la population sauf pour la période De 1975 à 1990, la diminution se poursuit à un rythme faible mais régulier. Aujourd hui, il semble que la population ait tendance à augmenter. Au dernier recensement la population était de 641 habitants Nbre d'habitants Economie Le contexte naturel a favorisé autrefois la prospérité de l économie agro-pastorale. Cependant, à partir du début du siècle, l économie a changé notamment à cause de : L implantation d industries à Ugine et Albertville qui a orienté une partie importante des populations de Queige et Villard sur les emplois industriels, La réalisation de plusieurs barrages (Roselend, Saint-Guérin, etc ), La transformation des conditions de la production agricole de plus en plus intégrée à l économie du marché et la mise en place d une unité de transformation performante : la coopérative de Beaufort, Le développement touristique (Les Saisies, Arêches) qui prend une importance grandissante et emploie de plus en plus de personnes sur place. Aujourd hui, les activités économiques de la commune peuvent être regroupées en cinq pôles principaux : L agriculture, Le tourisme, L industrie (Venthon et Ugine), L artisanat du bâtiment et les activités annexes, Les services publics (mairie, école, bibliothèque). Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final - 9 -

10 La part de la population active a augmenté de 35,9 % en 1975 à 48 % en Par contre, le nombre d emplois sur la commune a fortement baissé entre 1982 et Cela est dû vraisemblablement en partie, à la diminution du nombre d emplois agricoles. En effet, il a été constaté une forte baisse du nombre d exploitants, entre 1979 et 1988 (38 en 1995 contre 85 en 1970) mais leur nombre reste encore important par rapport à la moyenne du département. En 1995, un quart des exploitants a moins de 35 ans et plus de la moitié sont à temps plein. Par contre le cheptel a quant à lui, fortement augmenté entre 1979 et 1988 et cela a été encore plus spectaculaire entre 1988 et 1995 (729 UGB en 1995 contre 383 en 1970). Dans le même temps la productivité a fortement augmenté aussi, le bon prix de vente du lait à la coopérative grâce à la commercialisation d un produit de qualité comme le Beaufort n y est certes pas étranger. (31 exploitants livrent du lait à la coopérative). D une manière générale l espace agricole occupe un tiers du territoire communal alors que la forêt occupe la moitié et la friche et les rochers, 14 %. Cela provient du fait que les conditions d exploitation sont rendues difficiles par la pente du terrain. La principale utilisation des surfaces est tournée vers l élevage (pâture et fauche). 6 - Projets à moyen et long terme Les projets sont principalement basés sur le développement de la ZAC de Bisanne 1500 (Zone d Aménagement Concerté) pour arriver, à terme, à lits touristiques. Il est également prévu l implantation de restaurants et d une piscine. Il n est pas prévu d augmentation importante au niveau de la population permanente. Il sera retenu une évolution «naturelle» de la population de l ordre de 10 % supplémentaire pour les différents hameaux. Des projets de lotissements au niveau du Chef-Lieu vont engendrer la venue de 250 personnes supplémentaires. A terme, 1050 habitants permanents sur l ensemble de la commune seront retenus. L étude porte également sur l extension des réseaux existants afin de pouvoir alimenter les habitations isolées dispersées sur l ensemble du territoire communal. 7 - Inventaire des consommateurs d eau Les consommations du réseau sont représentées par : Les habitants permanents au nombre de 641 au recensement de 1999, Les lits touristiques existants : 964 (en 2000, hors SIVOM des Saisies), Les unités de gros bétail, les ovins et les caprins présents dans la Commune : 674 UGB (en 2000). Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

11 Les différentes données relatées ci-dessus peuvent être résumées dans le tableau suivant : BASSE SAISON HAUTE SAISON Actuelle Future Actuelle Future Résidents permanents Lits touristiques Unités de gros bétails, ovins et caprins TOTAUX Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

12 CHAPITRE II - PRESENTATION DE L ALIMENTATION EN EAU POTABLE 1 - Périmètre de l étude 1.1- L alimentation en eau potable de la Collectivité L alimentation en eau potable est assurée à partir : du captage de Nant Verger qui alimente le réservoir des Drabons de 100 m 3, des captages du Planay (2 chambres de captage et une chambre de réunion) qui alimentent le réservoir des Rosières de 300 m 3, du captage du Plane qui alimente le réservoir de la Place de 100 m 3, des captages des Devins (5 chambres de captage et une chambre de réunion) qui alimentent le réservoir de la Combe de 2 x 50 m 3, du captage de la Chenalette qui alimente le réservoir du Cudray de 50 m 3. Remarque : le réservoir de la Place dessert le réservoir de la Combe. Un compteur au niveau du réservoir de la Combe permet de distinguer la consommation réelle du réseau de la Place de celle du réservoir de la Combe. La distribution des différents réseaux assure l alimentation de la Commune qui s étend des Billords à Manant pour la partie basse jusqu aux Rosières, Bisanne 1500 et les Drabons pour la partie la plus haute. Le réseau d eau potable de Villard-sur-Doron est indépendant de celui du SIVOM des Saisies. Cependant, des conventions permettent la mise à disposition de certaines ressources pour l alimentation des deux parties. Les Pachons et l Ortier, deux hameaux de la commune de Villard-sur-Doron, ne sont pas alimentés par le réseau communal, mais par un réservoir, les Pachons, d un volume de 75 m 3, appartenant au SIVOM des Saisies, par une conduite en fonte de diamètre 60 mm. La dernière convention en date du 20 juillet 1998 fixe le prix de l eau à 1,50 francs au comptage du réservoir des Pachons. Le SIVOM des Saisies dispose, en hiver, du trop-plein des captages du Planay et du Nant Verger, appartenant à Villard-sur-Doron, qui alimentent le réservoir des Pachons, par le biais de la station de refoulement des Drabons. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

13 1.2 - Localisation géographique du périmètre de l étude, échelle 1/25000 ème Le périmètre de l étude ne comprend pas le secteur des Saisies (VVF) implanté sur la commune de Villard sur Doron. Une mise à jour du schéma directeur de l alimentation en eau potable des Saisies est en cours de réalisation. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

14 1.3 - Répartition des consommations pour chacun des réseaux Réseau communal Réseau Nombre d abonnés (données 2000) Nombre d unités de gros bétail (UGB) (données 2000) Nombre d abonnés futurs Les Pachons Les Drabons Les Rosières La Place 11 (+ le réservoir de la Combe) 37 (dont 26 sur le Plane) La Combe Le Cudray TOTAL Prochainement, il est prévu 138 abonnés supplémentaires sur la Commune, soit un total de 458 abonnés. 11 Réseaux privés Réseau Nombre d unités de gros bétail (UGB) (données 2000) Le Cray-Haut 39 Plan-Chagnat 32 Plan Frais 3 Champarnand 11 Le Mont 27 Le Manon 29 Les Nants 30 TOTAL 171 La Commune de Villard-sur-Doron compte, en 2000, 677 UGB sur l ensemble de son territoire. 2 - Les réseaux privés La Collectivité compte également un grand nombre de réseaux privés disséminés sur le versant qui desservent un certain nombre d habitations. Un inventaire exhaustif de ces ressources a été établi au cours de la semaine du 18 au 22 novembre 2002 par un hydrogéologue agréé. Un rapport d étude, établi par l hydrogéologue agréé, est donné en pièce jointe. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

15 3 - La description des différents réseaux et leurs problèmes Généralités La collectivité de Villard-sur-Doron est alimentée en eau potable à l aide de cinq réseaux principaux : Le réseau des Drabons, Le réseau des Rosières, Le réseau de la Place, Le réseau de la Combe, Le réseau du Cudray. Le réseau des Pachons a également fait l objet d une investigation. Cette partie de la Commune est alimentée par un réservoir du SIVOM des Saisies, le réservoir des Pachons. Les périmètres de protection de l ensemble des captages de la Collectivité ont été définis dans le rapport hydrogéologique du 15 septembre 1998, de Monsieur CARFANTAN, hydrogéologue agréé. Il a été établi que les captages ont été correctement réalisés et qu ils sont bien entretenus. Les différentes contraintes édictées pour les différents périmètres de protection sont les suivantes : ϕ Périmètres de protection immédiate : Ils seront matérialisés sur le terrain par une clôture, éventuellement amovible et à retirer durant la saison de ski si elle peut constituer un danger. A l intérieur de ces périmètres, toutes activités seront interdites, à l exception du déboisement, du débroussaillage, de la fenaison et des activités qui découlent de l entretien des captages. Conformément à la réglementation, les aires ceinturées par ces périmètres doivent être la pleine propriété de la commune de Villard-sur-Doron. ϕ Périmètres de protection rapprochée : A l intérieur de ces périmètres, seront interdits : Toute nouvelle construction à usage d habitation. Les habitations existantes devront évacuer leurs effluents en canalisations étanches à l extérieur des périmètres de protection. Dès que possible, les habitations seront raccordées au réseau d assainissement. Les citernes à fuel devront être apparentes et placées dans une cuve étanche destinée à recueillir les fuites éventuelles. Les étables, les écuries et les parcs à ovins, porcins, volailles, La stabulation et le pacage des animaux domestiques. Le stockage, l épandage ou l infiltration de fumiers frais, lisiers, purins, boues de stations d épuration et eaux usées de toute nature. Les dépôts d ordures, d immondices, de détritus ou autre substance ou produit polluant. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

16 L utilisation d herbicides, de fongicides, de pesticides ou autres produits phytosanitaires ou d enrichissement des sols sont interdits à l intérieur des périmètres de protection. Les activités agricoles intensives de type maraîchage ou jardinage. La pose de canalisations d égout collectives. Le camping et le stationnement de caravanes. Les excavations de plus de 3 mètres de profondeur. Les parcs de stationnement de véhicules. Le percement de galeries. L ouverture et l exploitation de carrières. D une façon générale, toute activité ou tout fait susceptible de porter atteinte directement ou indirectement à la qualité ou à la quantité des eaux captées. Seront réglementées : La construction de remontées mécaniques et l ouverture de nouvelles pistes de ski. L ouverture de nouvelles voies de communication, routes, chemins ou sentiers de randonnée. L ouverture de nouvelles pistes de débardage sera interdite. La construction de pylônes EDF ou autres. L exploitation de la forêt pourra être poursuivie à condition de respecter scrupuleusement les interdits. Les coupes rases devront être suivies d un reboisement immédiat. ϕ Périmètres de protection éloignée : En dehors des aires de protection immédiate et rapprochée, les superficies restantes seront déclarées «zones sensibles à la pollution». Elles feront l objet de soins attentifs de la part de la Commune et des administrations. Le règlement sanitaire départemental y sera appliqué scrupuleusement. Ces différentes prescriptions relatives aux différents périmètres de protection sont valables pour l ensemble des captages de la Collectivité. NB : la procédure de DUP a été stoppée dans l attente des conclusions du SDAEP pour connaître les sources à abandonner ou celles à protéger Les ressources et les réservoirs a- Le réseau des Drabons L alimentation en eau du réseau est assurée par un captage, représenté par la source du Nant Verger (Drabons). Il est calé à 1653 m d altitude. A partir du captage une conduite d adduction, en PVC, de diamètre 40 mm, alimente le réservoir de Drabons. Le trop-plein est dérivé vers la station de refoulement, qui alimente le réservoir des Pachons, desservant la station des Saisies. Le périmètre de protection immédiate n est pas matérialisé sur le terrain. Le bilan de qualité des eaux produites établi entre 1993 et 2001, à partir des analyses effectuées par les services de la DDASS (73) met en évidence (étude réalisée sur 5 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 100%, Un taux de conformité physicochimique de 100%. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

17 Les eaux captées sont de très bonne qualité. Il faudra juste s assurer que la teneur en nickel soit inférieure à 20 µg/l (limite de qualité imposée par le nouveau décret ). Le débit d étiage est donné pour 1,87 L/s (le 16/01/1990). Le stockage des eaux du réseau est assuré par le réservoir des Drabons d une capacité de 100 m 3. L ouvrage est calé à 1630 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en fonte de diamètre 80 mm. Le départ de la conduite est situé à environ 1,80 m du radier. Cette disposition ne permet pas un renouvellement total des volumes stockés dans la cuve et peut être à l origine d une dégradation de la qualité des eaux. Le volume dédié à la défense incendie du secteur desservi par le réseau est de l ordre de 60 m 3. La réglementation actuelle, à savoir la circulaire n 465 du 10 décembre 1951, a fixé le volume réglementaire de la défense incendie à 120 m 3. Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. L ouvrage n est pas muni d un équipement de télésurveillance. Bien que le réservoir présente de nombreuses fissures et des traces d infiltration, le test d étanchéité de l ouvrage, réalisé sur 30 minutes, s est révélé positif. Le réseau de distribution dessert les hameaux des Drabons, du Chardonnet et des Pallières. Les abonnés desservis sont au nombre de 52. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

18 La consommation sur les trois dernières années se répartit de la manière suivante : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / Les Drabons Volume en m Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre L étude de la consommation montre qu elle est caractéristique d un habitat rural : les consommations les plus importantes sont au printemps. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

19 Le bilan de qualité des eaux distribuées met en évidence une eau de bonne qualité avec (étude réalisée sur 14 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 93% (nombre de germes fécaux maximal : 1) Un taux de conformité physicochimique de 93% (dû à une turbidité très élevée en juillet 1998, supérieure à la limite de qualité fixée par le décret ( 1 NFU)). Le suivi sur une semaine des volumes introduits et du marnage du niveau de l eau dans le réservoir montre que les variations de la consommation au cours du temps influent sur le niveau de l eau dans le réservoir. L augmentation de la consommation a entraîné une baisse du niveau de l eau dans le réservoir (4 cm environ). Cette augmentation est due à une fuite qui a été repérée et réparée. Le volume moyen distribué a été mesuré à 44,6 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 4,8 m 3 /h. Le débit permanent (fontaines, bassins, WC publics) est nul. Sachant que le débit minimum est de l ordre de 3 m 3 /h, le débit de fuite est de 3 m 3 /h. Le réseau représente un linéaire de ml et ml de branchements (52 abonnés x 22 ml en moyenne par branchement). Un indice de perte linéaire brut (sans les branchements) et un indice de perte linéaire net (avec les branchements) sont calculés pour déterminer si le réseau doit faire l objet ou non d une campagne de recherche de fuites par sectorisation. Les références retenues sont de 8 m 3 /j/km pour l indice brut et de 3 m 3 /j/km pour l indice net. Si le réseau a des indices de perte supérieurs à ces valeurs, il doit faire l objet d une investigation. Le réseau des Drabons présente des indices de pertes linéaires bruts et nets respectivement de 19,5 m 3 /j/km et de 14,9 m 3 /j/km. Une recherche de fuites a été réalisée. Outre les problèmes déjà évoqués, le réseau présente les anomalies suivantes : Les canalisations et l échelle d accès sont rouillées, des rambardes de sécurité sont nécessaires. Une marche supplémentaire à l entrée faciliterait son accès. Des fissures, des traces d infiltration ont été observées dans l ouvrage. Les fissures peuvent poser le problème d infiltration d eaux parasites (ruissellement par exemple) dans la cuve et ainsi engendrer une contamination de l eau. Certaines parties du génie civil de la chambre de vannes sont abîmées (mur, bâti de la porte, ). Une fourmilière est présente sur le toit de l ouvrage. Le captage ne comporte qu un bac. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

20 b- Le réseau des Rosières L alimentation en eau du réseau est assurée par un ensemble de deux captages, représentés par les sources du Planay. Ils sont calés à 1620 m d altitude, pour la chambre Ouest ainsi que pour la chambre de réunion et à 1627 m d altitude, pour la chambre Est. Au niveau de la chambre de réunion, une conduite d adduction, en fonte, de diamètre 125 mm, alimente le réservoir des Rosières. Le trop-plein est dérivé vers la station de refoulement, qui alimente le réservoir des Pachons, desservant la station des Saisies. Le périmètre de protection immédiate est matérialisé sur le terrain. Le bilan de qualité des eaux produites établi entre 1993 et 2001, à partir des analyses effectuées par les services de la DDASS (73) met en évidence (étude réalisée sur 5 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 100%, Un taux de conformité physicochimique de 100%. Les eaux captées sont de très bonne qualité. Le débit d étiage est donné pour 3 L/s (le 16/01/1990). Le stockage des eaux du réseau est assuré par le réservoir des Rosières d une capacité de 300 m 3. L ouvrage est calé à 1612 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en fonte de diamètre 125 mm située à la base de l ouvrage, ce qui permet un renouvellement total des volumes stockés. Le volume dédié à la défense incendie du secteur desservi par le réseau est de l ordre de 130 m 3, matérialisé par une lyre à incendie. Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. L ouvrage n est pas muni d un équipement de télésurveillance. Bien que le réservoir présente de nombreuses fissures et des traces d infiltration, le test d étanchéité de l ouvrage, réalisé sur 30 minutes, s est révélé positif. Le réseau de distribution dessert les hameaux des Rosières et la ZAC Bisanne Les abonnés desservis sont au nombre de 10. La consommation sur les trois dernières années se répartit de la manière suivante : Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

21 Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / Les Rosières Volume en m Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre L étude de la consommation montre qu elle est caractéristique d une station de sport d hiver : les consommations les plus importantes sont en hiver et en été. La pointe de consommation hivernale en février met en évidence une clientèle familiale de la station. Entre juin et octobre 2002, une augmentation de la consommation est visible. Elle est due à une consommation de la part de la société MGM sur le chantier de Bisanne Leur consommation est relevée mais n est pas facturée dans la phase construction. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

22 Le bilan de qualité des eaux distribuées met en évidence une eau de bonne qualité avec (étude réalisée sur 20 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 90% (nombre de germes fécaux maximal : 1) Un taux de conformité physicochimique de 95% (dû à une valeur de PH un peu élevée. La limite de qualité fixe le PH entre 6,5 et 9,0). Le suivi sur une semaine des volumes introduits et du marnage du niveau de l eau dans le réservoir montre que les variations de la consommation au cours du temps n influent pas sur le niveau de l eau dans le réservoir. Il est, en effet, stabilisé à un peu moins de 4,20 mètres entre le 10 et le 16 juillet L étude a été réalisée en période creuse. Le volume moyen distribué a été mesuré à 5,14 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 2 m 3 /h. Le débit permanent (fontaines, bassins, WC publics) est nul. Sachant que le débit minimum est nul, le débit de fuite est nul. Le réseau représente un linéaire de ml et 220 ml de branchements (10 abonnés x 22 ml en moyenne par branchement). Le réseau des Rosières présente des indices de pertes linéaires bruts et nets nuls. Une recherche de fuites n a donc pas été envisagée. Un suivi des volumes introduits dans le réseau a également été réalisé en période de pointe (février-mars 2003). Il figure en annexe 5. Le volume moyen distribué a été mesuré à 51,43 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 10 m 3 /h. Le débit permanent est nul. Sachant que le débit minimum est nul, le débit de fuite est nul. Le réseau des Rosières présente donc des indices de pertes linéaires bruts et nets nuls. Une recherche de fuite n a donc pas été envisagée. Outre les problèmes déjà évoqués, le réseau présente les anomalies suivantes : Au niveau du réservoir, il faudrait boucher la fenêtre qui engendre la formation de mousse au sein de la chambre de vannes. Une marche supplémentaire à l entrée faciliterait son accès. Des fissures, des traces d infiltration ainsi que des stalactites ont été observées dans l ouvrage. Les fissures peuvent poser le problème d infiltration d eaux parasites (ruissellement, par exemple) dans la cuve et ainsi engendrer une contamination de l eau. La chambre de réunion des captages du Planay présente également des traces d infiltrations. c- Le réseau de la Place Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

23 L alimentation en eau du réseau est assurée par un captage, représenté par la source du Plane. Il est calé à 1320 m d altitude. A partir du captage, une conduite d adduction, en PVC, de diamètre 60 mm, alimente le réservoir de la Place. Le périmètre de protection immédiate n est pas matérialisé sur le terrain. Le bilan de qualité des eaux produites établi entre 1993 et 2001, à partir des analyses effectuées par les services de la DDASS (73) met en évidence (étude réalisée sur 4 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 100%, Un taux de conformité physicochimique de 100%. Les eaux captées sont de très bonne qualité. Le débit d étiage a été mesuré à 1,36 L/s (le 16/01/1990). Le stockage des eaux du réseau est assuré par le réservoir de la Place d une capacité de 100 m 3. L ouvrage est calé à 1057 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en fonte de diamètre 60 mm. Le départ de la conduite est situé à environ 1,85 mètres du radier. Cette disposition ne permet pas un renouvellement total des volumes stockés dans la cuve et peut être à l origine d une dégradation de la qualité des eaux. Le volume dédié à la défense incendie du secteur desservi par le réseau est de l ordre de 60 m 3. Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. L ouvrage n est pas muni d un équipement de télésurveillance. Bien que le réservoir présente de nombreuses fissures et des traces d infiltration, le test d étanchéité de l ouvrage, réalisé sur 30 minutes, s est révélé positif. Le réseau de distribution dessert les hameaux de la Place, des Chagney ainsi que le réservoir de la Combe (Chef-lieu). Le réservoir de la Combe est alimenté à un débit moyen de l ordre de 1,8 m 3 /h. Le débit varie entre 0,6 m 3 /h et 2,7 m 3 /h. Les abonnés desservis sont au nombre de 11. Des réducteurs de pression sont placés à l amont sur la conduite d adduction du réservoir pour assurer une pression suffisante aux 6 abonnés situés à l amont. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

24 La consommation sur les trois dernières années se répartit de la manière suivante : 4 La consommation du réservoir de la Combe est prise en compte dans ce premier cas : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / La Place Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Volume en m Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

25 4 Dans ce deuxième cas, la consommation du réservoir de la Combe n est pas prise en compte. Il s agit donc de la consommation réelle du réseau de la Place : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / La Place Volume en m Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre La consommation est caractéristique d un habitat rural. La baisse de la consommation s explique par une diminution du cheptel (une augmentation est visible au mois de septembre car le cheptel restant redescend des alpages) et par le fait qu il n y a que deux résidences principales, les autres sont secondaires. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

26 Le bilan de qualité des eaux distribuées met en évidence une eau de qualité moyenne avec (étude réalisée sur 13 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 95% (nombre de germes fécaux maximal : 35 Un taux de conformité physicochimique de 100%. Ce nombre de germes fécaux important n a été détecté qu une seule fois, le 22 juillet Le suivi sur une semaine des volumes introduits et du marnage du niveau de l eau dans le réservoir montre que les variations de la consommation au cours du temps influent sur le niveau de l eau dans le réservoir. La fermeture de l alimentation de la Combe au cours de la semaine du 22 juin au 30 juin 2002 a engendré une chute de consommation sur le réseau (plus de 1,5 m 3 de diminution au cours d une journée) et une montée du niveau d eau dans le réservoir (2 cm de hauteur). Le volume moyen distribué a été mesuré à 22,3 m 3 /jour. Si seul le réseau est pris en compte, le volume moyen distribué est de 2,87 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 2,4 m 3 /h. Le débit permanent (fontaines, bassins, WC publics) est nul. Sachant que le débit minimum est nul, le débit de fuite est nul. Le réseau représente un linéaire de ml et 242 ml de branchements (11 abonnés x 22 ml en moyenne par branchement). Le réseau de la Place présente des indices de pertes linéaires bruts et nets nuls. Une recherche de fuites n est donc pas à envisager. Outre les problèmes déjà évoqués, le réseau présente les anomalies suivantes : Les canalisations et l échelle d accès sont rouillées. Les abords devraient faire l objet d un débroussaillage ainsi que d un nettoyage (présence de foin au sommet de l ouvrage). Des fissures, des traces d infiltration ont été observées dans l ouvrage. Les fissures peuvent poser le problème d infiltration d eaux parasites (ruissellement, par exemple) dans la cuve et ainsi engendrer une contamination de l eau. Certaines parties du génie civil à l extérieur du réservoir sont fissurées. Le captage ne comporte qu un bac. L adduction n est pas protégée par une crépine. d- Le réseau de la Combe L alimentation en eau du réseau est assurée par un ensemble de cinq captages, représentant la source des Devins. Ils sont calés à 1030 m d altitude pour la chambre de réunion (la plus basse) et 1070 m d altitude, pour la chambre n 5 (la plus haute). Au niveau de la chambre de réunion, une conduite d adduction, en PEHD, de diamètre 80 mm, alimente le réservoir de La Combe. Le périmètre de protection immédiate n est pas matérialisé sur le terrain. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

27 Le bilan de qualité des eaux produites établi entre 1993 et 2001, à partir des analyses effectuées par les services de la DDASS (73) met en évidence (étude réalisée sur 15 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 87% (nombre de germes fécaux maximal : 21) Un taux de conformité physicochimique de 100%. Les eaux captées sont de qualité médiocre. Il faudra s assurer que la teneur en nickel soit inférieure à 20 µg/l (limite de qualité imposée par le nouveau décret ). Le débit d étiage est donné pour 3 L/s, en Il ne concerne que les chambres 1, 2 et 3. Après la construction des deux autres chambres en 1964, le plus faible débit mesuré est de 3,5 L/s (le 01/09/1994). L alimentation se fait également par le réservoir de la Place, à raison de 1,8 m 3 /h (débit moyen). Le stockage des eaux du réseau est assuré par le réservoir de La Combe d une capacité de 100 m 3. Il est constitué de deux cuves de 50 m 3. Il est calé à 772 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en fonte de diamètre 100 mm située à la base de la cuve 2, ce qui permet un renouvellement total des volumes stockés. Le volume dédié à la défense incendie du secteur desservi par le réseau est de l ordre de 50 m 3, matérialisé par la cuve 1. La cuve 1 est alimenté par les captages et alimente le cuve 2 par surverse. Ceci ne permet donc pas de renouveler la totalité des volumes stockés dans cette première cuve. 50 m 3 50 m 3 Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. Un compteur permet de suivre l évolution de l alimentation par le réservoir de la Place. L alimentation du réservoir de la Combe par celui de la Place est régulée par un robinet à flotteur. L ouvrage n est pas muni d un équipement de télésurveillance. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

28 Le test d étanchéité de l ouvrage, réalisé sur 30 minutes, s est révélé négatif. La fuite du réservoir a été évaluée à 0,13 L/s, soit 11 m 3 /jour. Un suivi pendant une journée permettrait d évaluer exactement la perte réelle de l ouvrage. Le réseau de distribution dessert le Chef-lieu, les hameaux de L Etraz à Manant et des Perrières aux Billords, ainsi que le réservoir des Billords. Les abonnés desservis sont au nombre de 196. La consommation sur les trois dernières années se répartit de la manière suivante : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / La Combe - Chef Lieu Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Volume en m Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

29 La consommation est caractéristique d un habitat rural. Le bilan de qualité des eaux distribuées met en évidence une eau de qualité médiocre avec (étude réalisée sur 25 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 80% (nombre de germes fécaux maximal : 11) Un taux de conformité physicochimique de 100%. Le suivi sur une semaine des volumes introduits et du marnage de niveau de l eau dans le réservoir montre que les variations de la consommation au cours du temps n influent pas sur le niveau de l eau dans le réservoir. Il est, en effet stabilisé à environ 3,07 mètres entre le 2 et le 8 juillet Le volume moyen distribué a été mesuré à 173 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 24 m 3 /h. Le débit permanent (fontaines, bassins, WC publics) est de 1,5 m 3 /h. Sachant que le débit minimum est de 6 m 3 /h, le débit de fuite est de 4,5 m 3 /h. Le réseau représente un linéaire de ml et ml de branchements (196 abonnés x 22 ml en moyenne par branchement). Le réseau de La Combe présente des indices de pertes linéaires bruts et nets respectivement de 12,86 m 3 /j/km et de 8,50 m 3 /j/km. Une recherche de fuites a été réalisée. Outre les problèmes déjà évoqués, le réseau présente quelques anomalies. La porte de la chambre de vannes de la distribution n est pas munie de verrou ou de cadenas. La clé de la porte de l autre chambre de vannes reste continuellement sur cette dernière. Les portes devraient être repeintes. L ouvrage est habité par de nombreuses limaces, salamandres, Les canalisations sont rouillées. Un débroussaillage des abords ainsi que le toit est nécessaire. Le principal problème des captages réside dans leur environnement sanitaire. En effet, la plupart des eaux usées rejetées par les habitations, en amont, ne sont pas épurées. De plus, des bovins circulent dans le périmètre des captages (présence de bouses, ). Hormis la chambre n 5, les adductions ne sont pas protégées par une crépine. Les chambres 1, 2, 3 et 4 ne comportent qu un bac. Le réservoir de la Combe alimente le réservoir des Billords. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

30 Cet ouvrage est calé à 699 m d altitude, il a une capacité de 50 m 3. Le réservoir permet d alimenter le réseau de la Combe en cas de manque d eau. Il alimente également quelques abonnés situés sur le haut du hameau, afin de permettre un renouvellement des volumes stockés. Le test d étanchéité, réalisé sur 30 minutes, s est révélé positif. Les principales anomalies observées sont les suivantes : Il est souhaitable de démonter le surpresseur qui est situé dans la chambre de vannes du réservoir. Des rambardes de sécurité sont nécessaires. La distribution n est pas équipée de compteur de distribution. Il est préconisé d installer un dispositif afin de renouveler les volumes stockés dans la cuve. En effet, l alimentation des quelques abonnés ne permet pas un renouvellement rapides des volumes. e- Le réseau du Cudray L alimentation en eau du réseau est assurée par un captage, représenté par la source de la Chenalette. Il est calé à 802 m d altitude. A partir du captage une conduite d adduction, en eternit, de diamètre 60 mm, alimente le réservoir du Cudray. Le périmètre de protection immédiate n est pas matérialisé sur le terrain. Le bilan de qualité des eaux produites établi entre 1993 et 2001, à partir des analyses effectuées par les services de la DDASS (73) met en évidence (étude réalisée sur 4 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 100%, Un taux de conformité physicochimique de 100%. Les eaux captées sont de très bonne qualité. Il faudra juste s assurer que la teneur en nickel soit inférieure à 20 µg/l (limite de qualité imposée par le nouveau décret ). Le débit d étiage est donné pour 0,25 L/s (le 01/03/1994). Le stockage des eaux du réseau est assuré par le réservoir du Cudray d une capacité de 50 m 3. L ouvrage est calé à 770 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en eternit, de diamètre 60 mm. Le départ de la conduite est situé à environ 1,83 m du radier. Cette disposition ne permet pas un renouvellement total des volumes stockés dans la cuve et peut être à l origine d une dégradation de la qualité des eaux. Le volume dédié à la défense incendie du secteur desservi par le réseau est de l ordre de 30 m 3. Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. L ouvrage n est pas muni d un équipement de télésurveillance. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

31 Bien que le réservoir présente de nombreuses fissures et des traces d infiltration, le test d étanchéité de l ouvrage, réalisé sur 30 minutes, s est révélé positif. Le réseau de distribution dessert les hameaux du Cudray, du Martel et une partie des Perrières. Les abonnés desservis sont au nombre de 40. La consommation sur les cinq dernières années se répartit de la manière suivante : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Volumes distribués / Le Cudray Volume en m Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre NB : le compteur a été remis à 0 en début août Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

32 La consommation est caractéristique d un habitat rural (visible en 1998 et 1999). Plusieurs problèmes sont intervenus sur les réseaux ce qui explique des données aberrantes : Fuites aux Perrières fin début 2001, réparées en avril Un défaut sur le compteur, remise à 0 en début août 2001, pas de données entre mai et juillet. Essai de transfert du Cudray sur Billords et réparation de fuites sur les Billords - Vernets, en mai Suppression du Vaz et de la distribution de ce réseau fin Le bilan de qualité des eaux distribuées met en évidence une eau de bonne qualité avec (étude réalisée sur 20 analyses) : Un taux de conformité bactériologique de 95% (nombre de germes fécaux maximal : 4) Un taux de conformité physicochimique de 100%. Le suivi sur une semaine des volumes introduits et du marnage du niveau de l eau dans le réservoir montre que les variations de la consommation au cours du temps n influent pas sur le niveau de l eau dans le réservoir. Il est en effet, stabilisé à un peu plus de 3,00 mètres entre le 10 et le 16 juillet Le compteur s est bloqué à partir du troisième jour de l étude. L exploitation des résultats ne couvrira donc que les trois premiers jours. Le volume moyen distribué a été mesuré à 20 m 3 /jour. Le débit de pointe est de 4 m 3 /h. Le débit permanent (fontaines, bassins, WC publics) est nul. Sachant que le débit minimum est de l ordre de 1 m 3 /h, le débit de fuite est de 1 m 3 /h. Le réseau représente un linéaire de ml et 880 ml de branchements (40 abonnés x 22 ml en moyenne par branchement). Le réseau du Cudray présente des indices de pertes linéaires bruts et nets respectivement de 21,8 m 3 /j/km et de 12,1 m 3 /j/km. Une recherche de fuites a été réalisée. Outre les problèmes déjà évoqués, le réseau présente quelques anomalies : des rambardes de sécurité sont nécessaires. un débroussaillage des abords ainsi que du toit est souhaitable. les canalisations et l échelle d accès sont rouillées. des fissures ont été observées dans l ouvrage. Les fissures peuvent poser le problème d infiltration d eaux parasites (ruissellement, par exemple) dans la cuve et ainsi engendrer une contamination de l eau. le captage de la Chenalette n est équipé que d un seul bac. Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

33 f- Le réseau des Pachons Le réseau des Pachons est différent des autres réseaux de la Collectivité. En effet, il est directement alimenté par le réservoir des Pachons, appartenant au SIVOM des Saisies. Une convention entre la Commune et le SIVOM a été établie dans ce but. L alimentation en eau du réseau est assurée par les captages des Rosières et de la Grande Grange supérieure. Le débit d étiage des deux sources est de 3L/s. Ils se situent entre 1600 et 1670 mètres d altitude, sur la commune de Villard-sur-Doron. Aucune investigation n a été réalisée. En complément de ces ouvrages, le SIVOM disposent des trop-pleins des captages du Planay et du Nant Verger. Ils représentent un débit d environ 2,88 L/s. A partir de ces différents captages, une conduite d adduction conduit les eaux captées jusqu à la station de pompage des Drabons (à 1560 mètres d altitude). La station de pompage est équipée de deux groupes électropompes capables de refouler individuellement 31 m 3 /h à travers une conduite en fonte de 80 mm de diamètre jusqu au réservoir des Pachons. Les eaux subissent un traitement de chloration au niveau de la station de pompage. Le stockage des eaux du réseau est donc assuré par le réservoir des Pachons d une capacité de 75 m 3. L ouvrage est calé à 1820 m d altitude. La distribution se fait par une conduite en fonte de diamètre 60 mm. Le réservoir n a pas de réserve incendie. Le réservoir est équipé d un compteur de distribution pour comptabiliser les volumes introduits dans le réseau de Villard-sur-Doron, mais il n est pas muni de compteur de production pour comptabiliser les volumes prélevés dans le milieu naturel. L ouvrage est muni d un équipement de télésurveillance. Les données sont transmises à la Lyonnaise des Eaux, située à Albertville. Aucun test d étanchéité n a été effectué. Le réseau de distribution dessert les hameaux des Pachons et de l Ortier. Les abonnés desservis sont au nombre de 11. La consommation sur les trois dernières années se répartit de la manière suivante : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Cumul Document établi par SCERCL KW/AV en juin 2006 Réf Villard sur Doron V SDAEP / Rapport final

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