Panorama Financier. Les défis persistent en Europe. Informations financières du Private Banking

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1 0 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai 2012 Informations financières du Private Banking Panorama Financier N o 9 Mai 2012 Les défis persistent en Europe Situation du marché Les marchés des actions ont connu un démarrage sur les chapeaux de roue en cette nouvelle année, mais le marché suisse à vocation défensive n a pas été en mesure de suivre. Fin 2011, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé de fournir des On s attend à une volatilité accrue sur les marchés des actions liquidités supplémentaires aux banques européennes. Des opérations de refinancement à long terme, dites Longer Term Refinancing Operations (LTRO), ont permis aux banques de lever des fonds auprès de la Banque centrale, en échange du dépôt de titres. Fin février 2012, la BCE a renouvelé cette opération. Les programmes LTRO ont été suivis d une hausse classique des liquidités et les marchés des actions ont enregistré une hausse plus forte que prévue. L augmentation des rendements des emprunts d Etat espagnols a toutefois entraîné une correction des marchés des actions à la mi-mars. Le gouvernement espagnol a certes annoncé des mesures d économie massives dans le domaine de la santé et de l éducation, mais de nombreux intervenants sont inquiets et pensent que ces mesures sont insuffisantes. Nous prévoyons une volatilité accrue (fluctuations de cours) dans les fourchettes suivantes au cours des prochaines semaines (voir illustration 1) : à la baisse : soutien par la tendance à long terme (cours moyens des 200 derniers jours de négoce) à la hausse : résistance au niveau des plus hauts annuels Nous pensons par ailleurs que les marchés baisseront au troisième trimestre et que le cycle des présidentielles (évolution plus positive des marchés les années d élections présidentielles aux Etats-Unis) pourrait nous valoir une fin d automne en or, de sorte que l année des placements en actions 2012 pourrait très bien se terminer sur une performance positive.

2 2 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai 2012 Editorial Sur fond de politique économique, les marchés financiers jouent aux montagnes russes Ces derniers temps, ce sont surtout les marchés des actions qui affichent une volatilité accrue. L alternance de nouvelles positives et négatives en provenance des sphères politique et économique ne cesse de provoquer des retournements de tendance de courte durée. Le thème essentiel demeure la crise de la dette qui s est propagée à plusieurs pays dans le monde. La présente édition de Panorama Financier vous propose des analyses de nos experts à ce sujet. Dans ce type de situations, l important est de penser à long terme. Ne vous laissez donc pas détourner de votre stratégie de placement à long terme par des retournements de courte durée sur le marché, indépendamment des opportunités ou des risques qu ils peuvent receler. Citons un vieux dicton de marin à ce sujet : «Peu importe d où vient le vent, l essentiel est de bien régler les voiles.» En ce qui nous concerne Intégrée à la Banque sous la forme inchangée de segment «Private Banking» à compter du 1 er janvier 2012, l ancienne Banque Privée est désormais sous la direction de Jean-Claude Mariéthod. Celui-ci m a succédé à sa direction. En tant que responsable Clientèle/Marchés, je suis chargé dans mes nouvelles fonctions des segments Retail Banking, Private Banking, Clientèle Entreprises et Prévoyance. Sur les pages 5 et 6, Jean-Claude Mariéthod vous présente, dans ses propres termes, la philosophie et la gamme de prestations de ce segment. Mais ce n est pas tout : nous avons le plaisir de vous informer que le Credit Suisse a octroyé à notre banque une note de crédit «High A» assortie d une perspective stable. C est là le fruit de notre assise financière solide ainsi que de notre politique d octroi de crédits toujours avisée. En matière de risques de crédit, ne se laisse pas guider par l opportunisme mais par une politique de risque prudente. Appréciation de l économie mondiale Au cours des trois dernières décennies, bon nombre de pays du monde occidental ont accumulé la montagne de dettes la plus importante de tous les temps. Longtemps, cette accumulation s est déroulée dans le secteur privé et non dans le secteur public. Le renforcement des cycles économiques grâce à un effet de levier n est rien d autre que le financement de la croissance et de l opulence à l aide d une bonne dose de fonds empruntés. L accumulation de la dette combinée à des taux d intérêt historiquement bas nous a conduit à un tournant. Après la crise immobilière aux Etats-Unis puis le surendettement des pays européens, nous sommes à présent arrivés à une situation où les nations concernées devront massivement réduire leur endettement. La question du «Et maintenant?» est incontournable. Nous partons du principe que la réduction de la dette des particuliers et des Etats prendra plusieurs années, car nous n en sommes qu au début. Elle aura une incidence négative sur les activités d investissement des gouvernements et d autres mesures d économie seront nécessaires. Le consommateur privé va lui aussi devoir continuer à épargner et à adapter son comportement de consommation. Une autre question est de savoir comment la réduction de la dette devra être financée. Le maintien délibéré des taux d intérêt au-dessous du taux d inflation constitue une approche. Cette répression dite financière constitue un premier pas en vue de la réduction de la dette. La politique monétaire actuelle des Illustration 1: Indice SMI avec limite quotidienne 200 Points La réduction de la dette reste un thème majeur Avec mes meilleures salutations Martin Gafner Responsable Clientèle/Marchés, Banque SA

3 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai pays concernés ne résout cependant pas les problèmes structurels, mais les repousse simplement sur l axe temps. Les attentes que nous avions exprimées en décembre 2011 concernant l évolution conjoncturelle aux Etats-Unis, en Europe et dans les pays émergents ont pour la plupart été confirmées. Nous prévoyons toujours une évolution économique différente dans ces trois régions, comme c était déjà le cas fin Des tendances à la récession se dessinent dans la zone euro. Les Etats d Europe méridionale tels que l Italie, l Espagne, le Portugal et la Grèce souffrent des mesures d économies adoptées par leurs gouvernements respectifs. Selon le Fonds monétaire international (FMI), les économies italienne et espagnole devraient respectivement reculer de près de 2 %. Des réformes structurelles sont envisagées et ont parfois même été adoptées dans ces deux pays, mais leur mise en œuvre prendra du temps. Le FMI ne prévoit pas de récession en Allemagne, mais un net ralentissement économique. Alors que les exportations restent un pilier, l Allemagne ressent principalement les tendances négatives du commerce intra-européen. En Suisse, la conjoncture a sensiblement ralenti jusqu à la fin 2011, mais une récession semble peu probable. Selon le Centre de recherches conjoncturelles de l EPF de Zurich, de premières tendances à la stabilisation se font jour et la probabilité d une légère embellie économique dans les mois à venir est forte. Le franc fort reste cependant un défi majeur pour les entreprises exportatrices, notamment pour les petites et moyennes entreprises. Une croissance de l économie américaine de 2,2 % (année précédente : 1,7 %) est attendue cette année. Le marché de l emploi reste préoccupant et bien que le taux de chômage ait reculé de plus de 9 % à 8,3 % depuis l automne dernier, la créa tion de nouveaux emplois est toutefois très lente. Le pré sident de la Réserve fédérale américaine Ben Bernanke a ré cemment souligné que les taux directeurs américains resteraient encore très longtemps à un très bas niveau. Pour le deuxième semestre 2012, nous partons du principe que l économie va progressivement retrouver un certain dyna misme, notamment grâce aux élections présidentielles américaines en novembre 2012 (voir illustration 2). S agissant des pays émergents, l attention se focalise sur la Chine. La conjoncture chinoise ne progresse plus aussi vite que les années précédentes et il n y a pas d unanimité parmi les économistes quant à la capacité du gouvernement chinois à maintenir le cap de la croissance. Un ralentissement économique se dessine également dans d autres pays importants du BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), par exemple au Brésil et en Inde. Les taux d inflation sont par ailleurs encore trop élevés pour que les banques centrales puissent déjà engager des contre-mesures. Thème spécifique : Espagne Stabilisation de la conjoncture en Suisse Comme évoqué précédemment, la Banque centrale européenne (BCE) a, par deux fois, mis des moyens très généreux et bon marché à la disposition des banques européennes. Ces deux programmes ont entre-temps permis d atténuer les fluctuations de taux pour les emprunts d Etat italiens et espagnols. Alors que la situation s est quelque peu calmée en Italie, l Es Illustration 2: Prévisions de croissance des PIB du FMI Illustration 3: Suisse Allemagne Italie Rendement Espagne Zone euro Angleterre 23 % 4 30 % Etats-Unis Japon Asie hors Japon Amérique latine Au niveau mondial 9 Revenu fixe 72 % Rendement 50 % Equilibré 6 Croissance 9 Actions -2 % 0 % 2 % 4 % 6 % 8 % 10 % Risque n Liquidités n Obligations n Actions 4 30 % 23 %

4 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai pagne est de nouveau le point de mire des investisseurs. Les taux d intérêt ont subi une nouvelle hausse prononcée et ont atteint le niveau des programmes LTRO mentionnés. Un scénario similaire à celui de la Grèce est-il envisageable en Espagne? Alors que les prévisions affichent une tendance légèrement positive pour l endettement de l Etat en Italie, l évolution en Espagne plaide clairement en faveur d une dégradation. Car en Espagne, les mesures d austérité risquent également de freiner la croissance économique, ce qui ne permettra pas de résorber le poids de la dette, mais risquera probablement de l amplifier. Ces dernières années, la croissance a été portée par un boom immobilier financé par le crédit. Après une baisse des prix de près de 30 %, les experts estiment que les prix pourraient encore subir une nouvelle correction. Entre-temps, le chômage a nettement dépassé les 20 %, ce qui en fait l un des plus élevés de la zone euro. Le chômage des jeunes très élevé constitue une charge supplémentaire pour le pays. Le gouvernement central, n est d ailleurs pas le seul à être fortement endetté. Il en va de même des communes et du secteur privé. Par rapport à l Italie, une part importante des dettes espagnoles est entre des mains étrangères, ce qui s exprime par le déficit de la balance des opérations courantes et ne facilite pas la résolution des problèmes. L Espagne est confrontée à un mélange des problèmes irlandais (bulle immobilière) et grecs La situation se dégrade en Espagne (problèmes structurels de l économie et du marché de l emploi). De nombreux experts débattent des mesures requises pour résoudre cette situation. Aucun masterplan ne semble avoir été trouvé pour l instant. La nouvelle évaluation des agences de notation confirme les problèmes importants de l économie espagnole. Mandat de gestion de fortune Le mandat proposé en francs suisses ou en euros combine les catégories de placement traditionnelles que sont les liquidités, les obligations, les actions, les obligations convertibles, l immobilier et les métaux précieux. Il est proposé avec cinq stratégies différentes comportant chacune une quotepart actions différente : Revenu fixe, Rendement, Equilibré, Croissance, Actions (voir illustra tion 3). L essentiel est investi en francs suisses, les placements en monnaies étrangères se limitent aux domaines dont nous attendons un meilleur rapport risque-rendement que dans notre monnaie nationale. Depuis le début de l année, nous avons revu les fourchettes des différentes catégories de placement à la baisse afin de pouvoir réduire les risques et donc bénéficier d une plus grande flexibilité lors de la mise en œuvre. Mandat Equilibré CHF Norme Minimum Maximum Marché monétaire 0 % 80 % Obligations 50 % 20 % 100 % Emprunts convertibles 0 % 0 % 20 % Actions 4 0 % 5 Immobilier 0 % 0 % 1 Métaux précieux 0 % 0 % % Le mandat Helvétique investit exclusivement en francs suisses ou en placements couverts vis-à-vis du franc suisse. Vous pouvez ainsi pratiquement exclure les risques de fluctuation de change. Les placements sont réalisés dans des actions et placements similaires (p. ex. matières premières) ainsi que dans des obligations et placements similaires (p. ex. fonds immobiliers). Gestion de fortune A combien doit se monter la part risque dans un portefeuille? Autrement dit, quel risque un investisseur est-il prêt et capable d accepter. En tant qu investisseur, vous devriez réfléchir à cette question. Il n y a pas de réponse universellement valable, car normalement l attitude à l égard de la part risque change en fonction de l état de l économie et des marchés, ainsi que de la situation personnelle en matière de fortune et d existence. Une gestion flexible et dynamique de la part risque est déterminante. C est ce que montre la détermination de la stratégie de placement (voir illustra tion 3). Nous vous proposons en outre la gestion de fortune individuelle pour votre fortune dès un million de francs. Vous avez la possibilité d opter pour une allocation d actifs avec des fourchettes flexibles qui répond exactement à vos besoins. Nous vous conseillerons volontiers à propos de l allocation, du choix des produits et vous accompagnerons dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de placement choisie. n Mandats de gestion de fortune de adaptés aux risques

5 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai «Nous sommes une boutique sur le marché du Private Banking» Interview de Jean-Claude Mariéthod, responsable Private Banking et Investment Ils reposent sur la connaissance du client et sur une longue expérience. Ce n est qu à cette condition que nous pouvons élaborer les solutions adéquates, répondant aux besoins concrets. Nous voulons aussi continuer à être le partenaire des clients institutionnels pour toutes les questions financières. Nous disposons pour cela d une vaste gamme de prestations. De plus, nous offrons aux gestionnaires de fortune indépendants une plate-forme leur permettant d exécuter leurs transactions. Fin 2011, Banque Privée a fusionné avec la Banque. Elle a été intégrée sous la forme inchangée de segment «Private Banking et Investment». Jean-Claude Mariéthod est désormais à la tête de ce segment. Auparavant, il a assuré, pendant trois ans, les fonctions de responsable Clientèle privée de Banque Privée. a pour devise : «Le client et ses besoins sont au coeur de notre action.» Comment cette approche est-elle mise en pratique dans le domaine du Private Banking? Nos conseillers à la clientèle n ont pas d objectifs de vente explicites. Nous nous affirmons de plus en plus comme une banque de conseil et jouons un rôle de partenaire auprès de nos clients pour toutes les questions financières. La connaissance du client, déjà évoquée, constitue la base d un conseil axé sur les besoins. L analyse approfondie de la situation familiale, professionnelle et financière est absolument essentielle. Elle seule permet à la planification financière de rendre compte de la situation globale du client et de contribuer pour une grande part à l élaboration d une solution sur mesure. Monsieur Mariéthod, vous avez pris en charge la direction du segment «Private Banking et Investment» début Quel bilan tirez-vous au terme des 150 premiers jours? Ce regroupement a été décisif et absolument opportun pour notre avenir de banque universelle. Le modèle d affaires intégré nous permet de conseiller nos clients de manière encore plus globale et de leur proposer tous les services selon le principe du guichet unique. Nous sommes ainsi en mesure d agir systématiquement dans l intérêt de nos clients. Même si le marché suisse du Private Banking affiche une croissance modeste depuis longtemps, nous pouvons, de cette façon, exploiter nos potentiels. Quels sont vos objectifs quant au développement du segment? Nous voulons optimiser le positionnement de notre compétence en matière de Private Banking. Il faut que le marché sache que offre des services de Private Banking et qu elle constitue une alternative de choix! Nous voulons continuer à être un partenaire fiable et compétent pour nos clients à l avenir, y compris dans le domaine du Private Banking. Nous les accompagnons dans toutes les étapes de leur vie et connaissons l évolution de leurs besoins. Dans ce contexte, le suivi et le conseil personnalisés sont d une importance cruciale. Le segment Private Banking de compte quelque 90 spécialistes expérimentés. Etes-vous en mesure d offrir à vos clients tous les produits et services même sur la base de cette structure «familiale»? Nous sommes une boutique sur le marché du Private Banking. En tant que partenaire en matière de questions financières, nous sommes le premier interlocuteur de nos clients. Mais cela ne signifie pas que produise elle-même tous les produits. A chaque fois que cela est utile, nous coopérons avec des tiers. Nous pouvons, pour ce faire, recourir à des partenariats éprouvés. Cette architecture produit ouverte issue de notre taille relativement modeste s avère maintenant être un avantage concurrentiel supplémentaire. Qu est-ce qui caractérise le segment Private Banking de? Trois caractéristiques principales me viennent à l esprit : premièrement, nous disposons de notre propre service Investment, qui gère nos fonds de placement ainsi que les mandats de gestion de fortune qui nous sont confiés. Deuxièmement, nous avons notre propre politique de placement et nous concentrons sur les com

6 PANORAMA FINANCIER N o 9 Mai pétences clés qui nous sont propres. Grâce à notre structure ouverte et à notre indépendance, nous pouvons sélectionner les produits présentant le meilleur rapport prix/prestation. Troisièmement, nous offrons des solutions innovantes dans le domaine de la gestion de fortune, ce qui est une spécificité unique dans l environnement actuel de prestations standardisées. Quelques exemples de nos solutions novatrices : Nos mandats de gestion de fortune sont gérés de manière dynamique et flexible : en définissant des fourchettes assez larges, nous avons la possibilité de gérer les actifs qui nous sont confiés soit en mode «préservation du capital», soit en mode «plus-value», en fonction de la situation sur les marchés financiers. Le risque défini avec le client ne s en trouve pas renforcé au contraire. A partir d un montant de placement d un million de francs, nos spécialistes gèrent les mandats à l aide de paramètres définis de façon entièrement individuelle. Durant les années passées, les marchés des changes ont connu de fortes turbulences. Notre type de mandat Helvétique exclut ce risque de change et investit exclusivement en francs suisses ou en placements couverts vis-à-vis du franc suisse. Vous pouvez ainsi pratiquement exclure les risques de fluctuation de change. Quels sont les services offerts par dans les domaines de l Asset Management et du conseil aux clients institutionnels, tels les caisses de pension? Dans le cas des clients institutionnels aussi, nous offrons un conseil global, qui comprend le conseil en allocation à long terme le conseil en stratégie de placement le suivi de la mise en œuvre des décisions de placement ainsi que la mise en place et l élaboration d un reporting personnalisé professionnel Dans le cadre de la mise en œuvre des décisions de placement, nous suivons une approche core/satellite rentable. De plus, grâce à de bons partenariats, nous avons accès à des instruments de placement qui nous permettent de mettre en œuvre des stratégies de placement passives à très faibles coûts. offre également un large éventail de services pour les clients du Global-Custodian. En tant que centrale de dépôt, nous proposons à nos clients à la fois des services de tenue de compte et de reporting personnalisé. Nous vous remercions de cet entretien. Clause de non-responsabilité (disclaimer) Le présent document n a qu un but informatif et ne constitue ni une offre ni une invitation ou une recommandation à acheter ou à vendre certains produits, à effectuer des transactions ou à conclure un acte juridique. Nous vous demandons instamment de vous adresser à votre conseiller en placement avant de prendre une décision de placement sur la base des présentes informations. L évolution passée des cours ne saurait préjuger de la performance future des placements et leur valeur peut par conséquent évoluer à la hausse comme à la baisse. La préservation (voire l augmentation) du capital investi ne peut pas être garantie en raison de fluctuations des cours. Le présent document ne résulte pas de notre analyse financière. Malgré tout le soin apporté aux présentes informations qui proviennent de sources dignes de foi, nous ne saurions garantir leur justesse, leur fiabilité, leur exactitude, leur actualité ou leur exhaustivité. Les «Directives visant à garantir l indépendance de l analyse financière» de l Association suisse des banquiers ne s appliquent pas pour cette publication. Des modifications des taux d intérêt et des cours énumérés ainsi que pour toutes les autres conditions sont possibles en tout temps. Dans les limites des dispositions légales applicables, la Banque SA décline toute responsabilité en cas de perte quelconque, que ce soit en rapport avec la présente information ou suite aux risques inhérents aux marchés financiers. Ni l original, ni aucune copie du présent document ne doivent être envoyés ou emportés aux Etats-Unis, ni être distribués ou remis à des US Persons. Banque SA Private Banking Bundesplatz Berne Tél Fax Private Banking proche de vous Aarau, Bâle, Berne, Delémont, Fribourg, Langnau i.e., Lucerne, Neuchâtel, Reinach AG, Yverdon-les-Bains, Zoug Ensemble nous irons plus loin

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