LES PROTEINES SERIQUES. I - Electrophorèse II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques
|
|
- Michel Lecompte
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES PROTEINES SERIQUES INTRODUCTION A - METHODES D ANALYSE I - Electrophorèse II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques B - ETUDE DE QUELQUES PROTEINES SERIQUES I - L albumine II - Transferrine ou sidérophiline et métabolisme du fer
2 LES PROTEINES SERIQUES INTRODUCTION - Composition du sang - Plasma et sérum * protéines totales du sérum: 65 à 83 g/l chez l adulte les protéines plasmatiques sont augmentées de 3g/L - Historique: la précipitation fractionnée * albumine et globulines: rapport A/G = 1,2-1,8
3 LES PROTEINES SERIQUES ET URINAIRES INTRODUCTION A - METHODES D ANALYSE I - Electrophorèse 1 Electrophorèse sérique normale: en gel d acétate de cellulose ou agarose électrophorèse capillaire 2 Exemples de profils pathologiques II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques
4 ELECTROPHORESE A ph 8,6
5 Electrophorèse sur acétate de cellulose ou agarose Dépôts des échantillons Migration à ph alcalin Coloration-décoloration Intégration Interprétation
6 Dépôt Dépôt
7
8 LES PROTEINES SERIQUES INTRODUCTION A - METHODES D ANALYSE I - Electrophorèse 1 Electrophorèse sérique normale: en gel d acétate de cellulose ou agarose électrophorèse capillaire 2 Exemples de profils pathologiques II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques
9 Schéma de l électrophorèse capillaire Détecteur Injection Température Contrôlée Migration Tampon Tampon Générateur HT
10 DETECTION INJECTION Anode + Électro-endosmose Migration des protéines Champ électrique Charges positives de la solution tampon Charges négatives des parois du capillaire Forte différence de potentiel générant un important courant d électro-endosmose. Ce courant, plus important que le champ électrique, entraîne les protéines du coté cathodique.
11 Identification des fractions a-1 glycoprotéine acide a-1 antitrypsine Haptoglobine a-2 macroglobuline Complément C3 Transferrine Hémopexine
12 ELECTROPHORESE DES PROTEINES SERIQUES Six groupes : - Albumine (35 à 48 g/l) - a1-globulines (2 à 3,5 g/l) a1-glycoprotéine acide ou orosomucoïde a1-antitrypsine ou a1-antiprotéase - a2-globulines (5 à 8,5 g/l) a2-macroglobuline (MM = Da) haptoglobine - b1-globulines (3,2 à 5,2 g/l) transferrine ou sidérophiline hémopexine - b2-globulines (2,1 à 5 g/l) protéines du complément C3 et C4 IgA - g-globulines ou immunoglobulines: anticorps de l organisme (8 à 13,5 g/l) IgG quantitativement les plus importantes (10 g/l) IgM, IgD et IgE
13 ELECTROPHORESE DES PROTEINES SERIQUES Six groupes : - Albumine (35 à 48 g/l) - a1-globulines (2 à 3,5 g/l) a1-glycoprotéine acide ou orosomucoïde a1-antitrypsine ou a1-antiprotéase - a2-globulines (5 à 8,5 g/l) a2-macroglobuline (MM = Da) haptoglobine - b1-globulines (3,2 à 5,2 g/l) transferrine ou sidérophiline hémopexine - b2-globulines (2,1 à 5 g/l) protéines du complément C3 et C4 IgA - g-globulines ou immunoglobulines: anticorps de l organisme (8 à 13,5 g/l) IgG quantitativement les plus importantes (10 g/l) IgM, IgD et IgE
14 Valeurs normales: Protéines totales: g/l Fractions % g/l Albumine 55,1 65, Alpha 1 3,1 5,6 2 3,5 Alpha 2 8,0 12,7 5 8,5 Bêta 1 4,9 7,2 3,2 5,2 Bêta 2 3,1 6,1 2,1-5 Gamma 10,3 18,2 8 13,5
15 Electrophorèse des protéines : exemple d un profil normal PROTEINES 75 g/l N: Commentaire : Protéinogramme normal. FRACTIONS % ALBUMINE : 56 ALPHA 1 : 4,6 ALPHA 2 : 10,4 BETA 1 : 5,9 BETA 2 : 5,9 GAMMA : 17,2 g/l NORMALES g/l : 42 ( ) : 3,4 ( 2-3,5) : 7,8 ( 5,0-8,5 ) : 4,4 ( 3,2-5,2 ) : 4,4 ( 2,1-5 ) : 12,9 ( 8-13,5 )
16 LES PROTEINES SERIQUES INTRODUCTION A - METHODES D ANALYSE I - Electrophorèse sur acétate de cellulose ou agarose 1 Electrophorèse normale 2 Exemples de profils pathologiques II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques
17 Inflammation: Ensemble des modifications vasculaires, tissulaires et humorales d un organisme en relation avec une atteinte à son intégrité Une réaction inflammatoire peut être d origine: - traumatique - toxique - mécanique - thermique - infectieuse - (auto)-immune
18 Variation des protéines de la réaction inflammatoire: synthèse protéique globalement augmentée Remarque: la procalcitonine ou PCT est un marqueur très intéressant pour caractériser une infection aigüe bactérienne
19 Electrophorèse des Protéines : ex de profil inflammatoire PROTEINES * 84 g/l N: ALBUMINE 45,5 % Soit 38,2 g/l N: ALPHA 1 9,0 % Soit * 7,6 g/l N: 2-3,5 ALPHA 2 20,6 % Soit * 17,3 g/l N: 5-8,5 BETA 1: 4,6 % Soit 3,9 g/l N: 3,2-5,2 BETA 2: 6,6 % Soit * 5,5 g/l N: 2,1-5 GAMMA 13,7 % Soit 11,5 g/l N: 8,0-13,5 Conclusion : Elévation des alpha-1 et alpha-2 globulines: Profil inflammatoire. Pas d'anomalie monoclonale détectable au niveau des gammaglobulines.
20 Electrophorèse des protéines : ex de bloc bêta-gamma chez un patient cirrhotique PROTEINES * 59 g/l N: g/l FRACTIONS % g/l (NORMALES) ALBUMINE : 42,8 % * 25,3 ( ) ALPHA 1: 7,1 % * 4,2 ( 2-3,5 ) ALPHA 2: 6,6 % * 3,9 ( 5,0-8,5 ) BETA 1 : 6,2% : 3,7 ( 3,2-5,2 ) BETA 2 : 8,7% :* 5,1 ( 2,1-5 ) GAMMA : 28,6% :* 16,9 ( 8-13,5 ) Commentaire : Hypoalbuminémie. Présence d'un bloc béta/gammaglobulines. Pas d anomalie monoclonale visible.
21 Electrophorèse des Protéines : ex d hypogammaglobulinémie chez un patient ayant un traitement immunosuppresseur dans le cadre d une allogreffe PROTEINES * 62 g/l N: ALBUMINE 69,3 % Soit 43,0 g/l N: ALPHA 1 4,8 % Soit 3,0 g/l N: 2-3,5 ALPHA 2 10,7 % Soit 6,6 g/l N: 5-8,5 BETA 1: 5,7 % Soit 3,5 g/l N: 3,2-5,2 BETA 2: 3,9 % Soit 2,4 g/l N: 2,1-5 GAMMA 5,6 % Soit * 3,5 g/l N: 8,0-13,5 Conclusion : Hypogammaglobulinémie expliquée par le contexte clinique Pas d'anomalie monoclonale détectable au niveau des gammaglobulines.
22 Electrophorèse des Protéines : ex de pic monoclonal PROTEINES * 86 g/l N: ALBUMINE 42,4 % Soit 36,5 g/l N: ALPHA 1 4,9 % Soit * 4,2 g/l N: 2-3,5 ALPHA 2 12,0 % Soit * 10,3 g/l N: 5-8,5 BETA 1: 5,2 % Soit 4,5 g/l N: 3,2-5,2 BETA 2: 6,4 % Soit * 5,5 g/l N: 2,1-5 GAMMA 29,1 % Soit * 25,0 g/l N: 8,0-13,5 Conclusion : Présence d un pic monoclonal à cheval sur bêta 2 et gamma. Elévation des alpha-1 et alpha-2-globulines. Baisse des immunoglubulines polyclonales dans un contexte clinique connu. L immunofixation permet de caractériser cette dysglobulinémie monoclonale
23 Gammapathie IgG kappa Immunofixation G A M K L Pic g monoclonal
24 Gammapathie IgG kappa G A M K L Pic g monoclonal
25 Gammapathie IgA lambda G A M K L Zone b2
26 N ou
27 LES PROTEINES SERIQUES INTRODUCTION A - METHODES D ANALYSE I - Electrophorèse sur acétate de cellulose ou agarose II Détection et dosage spécifique des différentes protéines sériques
28 Détection d'une protéine spécifique par la méthode de Western blot (Immunoblot) Echantillon Marqueurs colorés Marqueurs de taille (kda) Transfert sur membrane AC spécifique marqué radioactivement Autoradiographie Electrophorèse
29 Méthode ELISA pour le dosage quantitatif d une protéine Support Protéine Antigène ENZ Substrat incolore 1er Ac 2e Ac couplé Produit coloré
30 Néphélométrie et turbidimétrie Détecteur néphélométrique (signal de lumière diffusée) Lampe source Filtre Faisceau incident Détecteur turbidimétrique (Extinction du signal lumineux) Cuvette réactionnelle
31 LES PROTEINES SERIQUES B - ETUDE DE DEUX PROTEINES SERIQUES I - L albumine 1 - Métabolisme 2 - Trois rôles majeurs 3 - Variations pathologiques II - Transferrine ou sidérophiline et métabolisme du fer
32 L ALBUMINE Introduction: La plus abondante des protéines sériques: Concentration: 35 à 48 g/l Masse moléculaire: daltons phi bas: 4,7
33 L ALBUMINE (Suite) 1 ) Métabolisme: - Synthèse hépatique: 10 à 15g/j: la moitié de l ensemble des protéines hépatiques; réserve fonctionnelle de synthèse (x 2 à 3 fois) - Répartition: 40% dans le plasma, 60% dans le secteur EV - Demi-vie de 3 semaines - Dégradation essentiellement dans l intestin Albuminurie physiologique très faible < 30mg/24h Microalbuminurie : 30 à 299mg/24h Macroalbuminurie : > 300mg/24h
34 2 ) Trois rôles majeurs: L ALBUMINE - Pression osmotique ou oncotique plasmatique - Fonction de transporteur - Réserve faible mais mobilisable d AA
35 + 12 mmhg artérioles : pression hydrostatique 37 oncotique Pression résultante +1 mmhg Espace interstitiel - 8 mmhg veinules : pression hydrostatique 17 oncotique 25-8 Pathologie : si Alb P. onc. Pression résultante entre EI et veinules devient proche de zéro : oedèmes
36 L ALBUMINE 2 ) Trois rôles majeurs: - Pression osmotique - Fonction de transporteur: médicaments, hormones, bilirubine, acides aminés, acides gras libres, calcium - Réserve faible mais mobilisable d AA
37 L ALBUMINE (Suite) 3 ) Variations pathologiques: Pas d hyperalbuminémie vraie : hémoconcentration par deshydratation a) Hypoalbuminémie: * Augmentation des pertes: - urinaires: syndrome néphrotique - digestives: exsudation dans certaines entéropathies * Diminution de la synthèse - malnutrition importante (sujet âgé, kwashiorkor) - déficit hépatique (cirrhose à un stade avancé) Cas particulier d une bis-albuminémie - anomalie héréditaire (rare) - liaison à certains antibiotiques
38 Electrophorèse des Protéines : ex de syndrome néphrotique Conclusion : Hypoalbuminémie. Rapport A/G abaissé: 0,93 (Nal: 1,2-1,8) Elévation des alpha-2 globulines (alpha-2 macroglobuline) Hypo béta-1 globulinémie (position transferrine). Aucune autre anomalie qualitative et/ou quantitative détectable. A noter : gamma limite basse PROTEINES * 53 g/l N: ALBUMINE: 48,1 % Soit * 25,5 g/l N: ALPHA 1: 4,5 % Soit 2,4 g/l N: 2-3,5 ALPHA 2: 19,4 % Soit * 10,3 g/l N: 5-8,5 BETA 1: 5,3 % Soit * 2,8 g/l N: 3,2-5,2 BETA 2: 6,8 % Soit 3,6 g/l N: 2,1-5 GAMMA 15,9 % Soit 8,4 g/l N: 8,0-13,5
39 N ou
40 Dénutrition chez la personne âgée (1) Mesure des marqueurs nutritionnels - Poids et taille Indice de masse corporelle: IMC = Poids (kg)/taille au carré (m 2 ) (Nal = 18,5-25 kg/m 2 ) - Albumine (mais pas spécifique: inflammation) - Transthyrétine ou préalbumine (transporteur de la thyroxine (ou T4) et de la vit A) Synthèse hépatique, SNC et pancréas Demi-vie: 2 à 3 jours marqueur sensible et précoce Valeur normale = 0,25 à 0,35 g/l
41 Dénutrition chez la personne âgée (2) Critères de dénutrition selon l HAS: - Perte de poids > 10% en 6 mois - Indice de masse corporelle < 21 kg/m 2 - Albumine < 35g/l (vérifier l absence d inflammation par la CRP) - Transthyrétine ou préalbumine < 0,25g/l
42 LES PROTEINES SERIQUES B - ETUDE DE QUELQUES PROTEINES SERIQUES II - Transferrine ou sidérophiline et métabolisme du fer 1 - Structure et rôle biologique 2 - Exploration du métabolisme du fer 3 - Pathologie: Hémochromatose primitive
43 Transferrine ou Sidérophiline et métabolisme du fer Structure Sialoglycoprotéine migrant au niveau de la fraction b1-globuline Dosage spécifique néphélométrique: 2-3 g/l (25-40mmol/L) Nombreux variants: - Forme CC: normale (95%) -Variants B1, B2, D, (5%) Rôle biologique Transport du fer dans l organisme Fixation de 2 atomes de fer Fe +++ Délivrance aux cellules périphériques par l intermédiaire d un récepteur spécifique
44 ELECTROPHORESE DES PROTEINES SERIQUES Six groupes : - Albumine (35 à 48 g/l) - a1-globulines (2 à 3,5 g/l) a1-glycoprotéine acide ou orosomucoïde a1-antitrypsine ou a1-antiprotéase - a2-globulines (5 à 8,5 g/l) a2-macroglobuline (MM = Da) haptoglobine - b1-globulines (3,2 à 5,2 g/l) transferrine ou sidérophiline hémopexine - b2-globulines (2,1 à 5 g/l) protéines du complément C3 et C4 IgA - g-globulines ou immunoglobulines: anticorps de l organisme (8 à 13,5 g/l) IgG quantitativement les plus importantes (10 g/l) IgM, IgD et IgE
45 La Structure transferrine de la transferrine Isoformes de la transferrine
46 CC variant Profil électrophorétique des différents variants de la transferrine
47 Transferrine ou Sidérophiline et métabolisme du fer Structure Sialoglycoprotéine migrant au niveau de la fraction b1 globuline Dosage spécifique néphélométrique: 2-3 g/l (25-40mmol/L) Nombreux variants: - Forme CC: normale (95%) -Variants B1, B2, D, (5%) Rôle biologique Transport du fer dans l organisme Fixation de 2 atomes de fer Fe +++ Délivrance aux cellules périphériques par l intermédiaire d un récepteur spécifique
48 Le pool du fer dans l organisme: 3800 mg 600mg 1000mg mg/j 10-20mg/j 1-2mg/j 2000mg 200mg Pertes: 1-2mg/j
49 Absorption intestinale du fer au niveau du duodénum Pôle apical Pôle basolatéral Fe(II) Fe(III) Dcyt b Hème Nramp2/DMT1 HCP1 Fe(II) Hème Stockage (ferritine) Dcyt b = ferriréductase Nramp2 = transporteur au pôle apical Ferroportine = transporteur au pôle basolatéral Héphaestine = ferroxydase HCP1 = transporteur de l hème Ferroportine Fe(II) héphaestine Fe(II) Fe(III) Transferrine
50 récepteur de la transferrine RTf apotransferrine Fe(III) transferrine diferrique Membrane cellulaire Endosome (ph 5,5) vésicule d endocytose Fe(II) stockage (ferritine) Fe(II) utilisation (hémoglobine, cytochromes) Cycle d endocytose de la transferrine
51 Le pool du fer dans l organisme: 3800 mg 600mg 1000mg mg/j 10-20mg/j 1-2mg/j 2000mg 200mg Pertes: 1-2mg/j
52 Recyclage du fer héminique par les macrophage (rate, moelle, foie): Erythrophagocytose Globule rouge sénescent Fe(II) Céruloplasmine Fe(II) Ferroportine Fe(III) Bilirubine apotransferrine Fe(III) transferrine diferrique
53 REGULATION DE L ABSORPTION PAR L HEPCIDINE Petit peptide de 25 AA: hormone hyposidérémiante synthétisé et sécrété par le foie ++ agent anti-infectieux expression augmentée par un régime riche en fer et par l inflammation régulateur de l homéostasie du fer Inhibition de l absorption intestinale Inhibition du relargage du fer par les macrophages
54 Mécanisme de régulation de l absorption du fer par l hepcidine Fe(II) DMT1 Fe(II) Ferroportine Fe(II) Foie Hepcidine Ferroportine Fe(II) DMT1 Fe(II) Lysosome Ferritine Internalisation et dégradation de la ferroportine dans le lysosome Inhibition de l export et élimination du fer par exfoliation de l entérocyte
55 L HEPCIDINE: Hormone de régulation du fer 1 ) L excès de fer ou l inflammation entraîne une augmentation de l expression de l hepcidine aboutissant à : - diminution de l absorption intestinale - diminution de la libération de fer par les macrophages 2 ) Le déficit en fer, l érythropoïèse inefficace et l hypoxie entraînent une diminution de l expression de l hepcidine aboutissant à: - l augmentation de l absorption intestinale - libération du fer des macrophages
56 2 - Exploration du métabolisme du fer Paramètres hématologiques: Numération, hématocrite, Hb Fer sérique: 13 à 27 µmol/l (F) ou 15 à 30 mmol/l (H) Transferrinémie (Tf): 25 à 40 mmol/l Capacité totale de fixation (CTF) = Tf x 2: 50 à 80 mmol/l Fer sérique Coefficient de saturation (CST) = = 0,30 CTF Ferritinémie = 30 à 200 mg/l (F) ou 50 à 300 mg/l (H) Récepteur soluble de la Tf : srtf
57 LES PROTEINES SERIQUES B - ETUDE DE QUELQUES PROTEINES SERIQUES III - Transferrine ou sidérophiline et métabolisme du fer 1 - Structure et rôle biologique 2 - Exploration du métabolisme du fer 3 - Pathologie
58 mmol/litre Capacité totale de fixation Capacité latente de fixation Fer sérique NORMAL Sidéropénie 6-9 mois de la grossesse Infection inflammation Syndrome néphrotique Hémochromatose
59 PROT: 61g/l ALB/GLOB: 1,38
60 Détermination de la transferrine désialylée ou carboxy-déficiente (CDT) Marqueur biochimique d une consommation excessive d alcool Tf sous de multiples formes: asialo, mono-, di-, tri-, tétra-, penta-, hexa-sialotransferrine Forme majoritaire nale: tétrasialotransferrine CDT = (a- + mono- + di-sialotf)/total Tf x 100 Valeur normale < 1,9% Augmentation en cas d alcoolisme chronique
61 Fractions intervenant dans le calcul de la CDT Différentes formes sialylées de la Tf chez un consommateur modéré et un abuseur d alcool
62 Hémochromatose primitive Maladie génétique la plus fréquente en Europe du Nord Caractérisée par une hyperabsorption intestinale du fer - surcharge multiviscérale progressive (à partir de 40 ans chez l homme, 50 ans chez la femme) Anomalies biologiques du bilan martial - coefficient de saturation de la Tf compris entre 0,60 et 1 - élévation du fer sérique (peu spécifique) - ferritinémie élevée: d autant plus que la maladie est évoluée
63 Génétique - Forme la plus fréquente: hémochromatose de type 1 Gène en cause: HFE localisé au voisinage du locus HLA (chr 6) : 1 mutation prédominante: C282Y 1 mutation fréquente mineure: H63D Ces deux mutations sont responsables de 70 à 95% des cas d hémochromatose génétique. - D autres gènes récemment découverts sont responsables de formes particulières de la maladie: *Hémochromatoses juvéniles (type 2A et 2B) *Hémochromatose de type 3 etc
64 Classification des surcharges primitives en fer Génes Localisation Protéine Surcharges généralisées Hémochromatose de type 1 Hémochromatose juvénile de type 2A HFE HJV 6p22 1q21 HFE 1 Hémojuvéline Hémochromatose juvénile de type 2B HAMP 19q13 Hepcidine Hémochromatose de type 3 RTF2 7q22 RTf 2 Hémochromatose de type 4 SLC40A1/IREG1 2q Ferroportine a-transferrinémie TRANSFERRINE 3q21 Transferrine a-céruloplasminémie CERULOPLASMINE 3q21-24 Céruloplasmine Surcharges localisées Anémie sidéroblastique liée à l'x Anémie sidéroblastique liée à l'x avec ataxie ALAS -2 ABC7 Xq11-21 Xq13 ALAS-e ABC7 Ataxie de Friedreich FRATAXINE 9q13 Frataxine Neuroferritinopathie FERRITINE L 19q13 Ferritine L Syndrome de Hallervorden-Spatz PANK2 20p13 PANK2 Diagnostic différentiel Syndrome hyperferritinémie/cataracte FERRITINE L 19q13 Ferritine L
65 Dénominateur commun de toutes les formes : Taux anormalement bas d hepcidine en regard de la surcharge systémique en fer Traitement: - Saignées répétées jusqu à normalisation du paramètre biologique de surcharge en fer: ferritinémie < ou = 200mg/L (F) < ou = 300mg/L (H) - Enquêtes familiales : prévention de la maladie.
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailMODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité
MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité Roche Diagnostics 2, avenue du Vercors - BP 59 38242 MEYLAN Cedex Tél. : +33 (0)4 76 76 30 00 Fax : +33 (0)4 76 76 30 01 www.rochediagnostics.fr
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailGuide destiné aux patients atteints d un myélome multiple
Guide destiné aux patients atteints d un myélome multiple ÉDUCATION CONNAISSANCE ACCÈS RECHERCHE Exclusivement au service de la communauté canadienne du myélome Introduction Ce document s adresse aux :
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailAnémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailL alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGrande journée de Charleroi. Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert
Grande journée de Charleroi 15 janvier 2010 Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert Cas N 1: bilan phospho-calcique Femme 64 ans Polyarthrite rhumatoide R/ methylprednisolone
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailLa bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la bêtathalassémie.
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détail