Nouvelles Modalités de Prise en Charge de l Intubation Difficile
|
|
- Marie-Jeanne Moreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Nouvelles Modalités de Prise en Charge de l Intubation Difficile Professeur Gilles Dhonneur CHU APHP Henri Mondor, Créteil Faculté de Médecine Paris 12
2 Mots clefs Culture «Gestion des Voies Aériennes» Anticipation Planification Standardisation Education Entraînement Simulation Recherche
3 Culture «Gestion des Voies Aériennes» Culture de Service Evaluation de la Difficulté de Gestion des Voies Aériennes La planification de la Gestion des Voies Aériennes Le Tableau des Intubations Prévues Difficiles Les indications de l Intubation sous Fibroscopie
4 Anticipation Evaluation préopératoire des VAS Prédicteurs (Feuille d Anesthésie) Age IMC SAS DTM DII Mallampati grades (standard) Périmètre Cervical (standard) Protrusion mandibulaire ATCD D intubation Difficile Absence de mobilité cervicale < 15
5 Planification pré-opératoire de la Gestion des VAS Feuille d Anesthésie
6 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Qualité de l Anesthésie Choix de la technique d anesthésie (consensus de Service) Intubation vigile Intubation sous anesthésie générale» Choix du curare» Quand? Lequel?» Définition de «Séquence Rapide»» Définition de «Estomac Plein»
7 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Intubation trachéale prévue sous Fibroscopie Indications ATCD d intubation vigile liées à une néoplasie ORM Ouverture de bouche < 20 mm Rachis fixé en flexion extrême Information aux Patients Technique d Anesthésie ALR (modalités) Sédation/ Remi Technique réalisée par un Senior Expérimenté Vidéo enseignement systématique
8 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Définir les rôles des acteurs dans la gestion des VAS Qui fait quoi? Et jusqu à ou? Place du DESAR, de l IADE et du Senior» Jusqu à ou dans les situations difficiles, Palier 1-2?
9 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Définir précisément l échec des techniques En fonction de la qualité de l intervenant Notion de durée du geste En fonction du nombre de tentatives En fonction du nombre d intervenants Durée limite? Se fixer une limite dans la durée du geste pour activer la technique (palier) suivante Peut être différente d un palier à l autre Performance connue de l outil d intubation Peut être différente en fonction de la situation Situation réglée Situation d urgence» Procédures/ Algorithmes différents
10 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Se fixer une limite dans le paramètre d oxygénation (SaO2) pour activer une autre technique de ventilation J arrive pas à ventiler = J arrive pas à maintenir une SaO2 SaO2 limite 90% en situations réglée SaO2 limite à 85% en médecine d Urgence» Pas attendre l ACR pour réaliser une oxygénation transtrachéale
11
12
13
14 Standardisation des Pratiques de Gestion des VAS Qualification des utilisateurs du laryngoscope de Macintosh Lame métallique UU Les manipulations tête et cou BURP, Sellick.. On fait tous la même chose La pré-oxygénation Règles, objectifs FEO2, positions. Assistance mécanique (PAI, PEP) On utilise les mêmes outils d évaluation Difficulté de ventilation au masque facial O-3 Difficulté de la laryngoscopie directe Cormack & Lehane
15 Algorithmes
16 Algorithme C est quoi? C est une série de procédures qui envisage toutes les situations critiques liées au contrôle des voies aériennes et qui apporte des solutions adaptées à chacune d entre-elles
17 Algorithme Pourquoi? Réduire le risque anesthésique Réduire la mortalité anesthésique Réduire la morbidité liée au contrôle des voies aériennes Développer la compétence professionnelle Développer la performance individuelle Développer une expertise de groupe Limiter le stress professionnel
18 Algorithme Pour QUI? Médecins Externes Internes Séniors Infirmier(e ) anesthésiste Le rôle et les limites d action de gestion des voies aériennes de tout les participants doivent être définies et respectées.
19 Elaboration d un algorithme Comment? Méthode Action de groupe Travail d éducation Travail d enseignement Travail pratique d entraînement Processus d acquisition et de maintient de compétence Processus de validation des procédures Analyse des causes de non respect (adhérence stricte) Revue périodique de l efficience des procédures en se laissant la possibilité d intégrer des nouveaux outils de gestion des voies aériennes
20 Méthode Action de groupe Processus qui est long (3-6 mois) Stratégie collective JVR-HMN» Chirurgie générale» Unité d anesthésie en chirurgie de l obésité morbide» Unité d obstétrique» Réanimation» SAMU-MUR 94 et 95 (Gonesse) Tous les praticiens de ces unités ont été impliqués dans l élaboration de l algorithme» Tous l ont validé» Adhésion large est nécessaire
21 Education- Enseignement Standardisation Pratiques de gestion des VAS Connaissances précises de l épidémiologie de l intubation difficile dans les différentes unités» Chirurgie plastique et reconstructrice =/= obstétrique =/= SMUR Sélections des outils de gestion des voies aériennes Après une analyse bibliographique extensive Critères de sélection» Simplicité d utilisation» Facilité d acquisition» Efficacité» Courbe d apprentissage courte» Coût» Prêt à l emploi» Stockage simple au bloc opératoire» Usage unique
22 Outils de Gestion des Voies Aériennes Difficiles Les standards 1) Laryngoscope avec lame de Macintosh métallique 2) Bougie de type Eschmann Long mandrin béquillé flexible 3) LMA Fastrach 4) ManuJet Oxygénation transtrachéale Le chariot d intubation difficile Adapté à la structure Composition standardisée Contrôle systématique On enlève tout ce qui est inutile à la gestion des VAS difficile Impact sur l observance de l algorithme
23 Bougie d Eschmann Analyse bibliographique Résumé Pas de courbe d apprentissage clinique Quelques poses sur mannequin Très efficace en cas de Cormack & Lehane grade IIB et III Facilite l accès trachéal même en cas de Cormack I avec les vidéolaryngoscopes Confirme l intubation trachéale Ressauts et butée
24 Bougie d Eschmann
25
26
27 LMA Fastrach
28
29 ! LMA Fastrach LMA Fastrach Analyse bibiographique!courbe d apprentissage courte!efficace pour l intubation à l aveugle! Taux de réussite dans les échecs du Macintosh! T1 à T3: 80 à 92 %!Outil de ventilation performant! Taux de réussite 98 à 100 %!Performance facile à maintenir! Mannequin
30 Travail pratique et d entraînement Mannequin Standard D intubation difficile Cadavre et animaux Ponction de la membrane cricothyroidienne Ventilation transtrachéale Simulations Airway difficile Scénarii calibrés Situations cliniques Voies aériennes normales Patients à risque d Airway difficile Obèse morbides
31 Courbe d Apprentissage Maintien de la Compétence Identifier et valider la courbe d apprentissage Sur mannequin Confirmation en situation clinique Perte de qualification/maintien de la compétence Training régulier sur mannquin et en pratique clinique Expérience JVR» Tous les 6 mois (Juin et Novembre)» Pendant une semaine LMA Fastrach/CTrach, Airtraq Remise en condition de simulation Rescue scenarios
32 Courbe d Apprentissage LMA Fastrach
33 Maintenir la Qualification/Compétence LMA Fastrach
34 Elaboration de l algorithme Obéit à des règles simples Prend en compte les situations critiques «Cannot ventilate» «Cannot intubate» 2 bras : Intubation et Ventilation Premier palier En cas d échec du premier outil, un second palier en alternative En cas d échec du second outil, un troisième palier en alternative Dissocier les situations réglées et les situations urgentes
35 Algorithme Pourquoi? Gérer 3 situations cliniques 2 scenarios critiques J arrive pas à intuber J arrive pas à ventiler d emblée Je peux pas intuber, puis j arrive plus à ventiler
36 Algorithmes Réglé / Urgence Ventilation Intubation Masque Facial Premier Palier Passerelles Premier Palier Macintosh laryngoscope Macintosh ± Eschmann Bougie Alternative Second Palier LMA Fastrach LMA CTrach Alternative Second Palier Eschmann Bougie Airtraq ± Eschmann Bougie GlideSope + Malleable Stylet Alternative 3em Palier Transtracheal ManuJet Ventilation Cricothyroidotomie Ventrain Alternative 3em Palier LMA Fastrach LMA CTrach Fiberscope
37 Elaboration de l algorithme Les points importants 1) Définition précise de l échec d une technique ou d un outil» Macintosh laryngoscope (2 attempts)» Eschmann Bougie (2: tracheal access attempts, esophageal access)» LMA Fastrach (2: tracheal access attempts, esophageal access) 2) Définition d une durée acceptable des technique ou manoeuvres» 2 min in the elective cases» 1 min job in the emergency medicine situation» A mix depending of the device 3) Définition d un seuil critique d activation du palier suivant de l algorithme dans le bras ventilation» Sp02 < 90% in the elective cases» SP02 < 85% in the emergency medicine situations 4) Application systématique de la devise suivante Pas d acharnement Do not struggle against the patient, just skip to the next step of the DAMA
38 Validation prospective de la Performance d un Algorithme - Bloc
39 Algorithme pour l Urgence pour l Obstétrique Suivre le même procédé
40 Epidémiologie Intubation Difficile en Médecine Pré-Hospitalière
41 Validation prospective/performance Algorithme pour la Médecine Pré-Hospitalière
42 Adoption de l Algorithme Application de l Algorithme Nécessité de Service Conditionne le succès Observance maximale > 95% Facteurs Décision collective Travail collectif Implication des infirmier(e )s anesthésistes Choix des outils de management des VAS Simplicité de l algorithme
43 La recherche Gestion des Voies Aériennes
44 L évaluation Les Nouveaux Outils de Gestion des VAS Intubation trachéale Vidéolaryngoscope Airtraq GlideScope McGrath Serie 5 MacMcgrath AirwayScope La ventilation LMA Ctrach LMA Supreme Oxygénation VenTrain EtView
45 EtView
46 Nouveaux Systèmes Optiques Systèmes Intubation/Ventilation 25 produits testés La vidéo se généralise, mais non sans poser des problèmes CHOIX?
47 Nouvelles Lames! Lames! Glottiscopes avec chenal! Glottiscopes avec lame simple! Vidéolaryngoscopes «Combis» Glottiscopes
48 Nouvelles Technologies! Ecran dédié! Transmission! Filaire! WIFI/BlueTooth/HF! PDA de Visualisation
49 Evaluation des glottiscopes
50 Switch LMA Fastrach / CTrach
51 LMA CTrach
52
53 LMA CTrach Performance
54 LMA CTrach Analyse bibliographique! LMA CTrach! Courbe d apprentissage clinique relativement longue! 15 to 20 utilisations! Outil efficace d intubation sous le contrôle de la vue! Taux de succès 98-10%! Outil de ventilation puissant! Idem LMA Fastrach! 100% sur JVR
55 Le plus Performant & Rapide chez l Obèse Morbide! Le confort de l intubation trachéale avec l Airtraq
56 Airtraq Laryngoscope Courbe d Apprentissage
57
58
59
60
61
62 Airtraq Laryngoscope Analyse bibliographique Résumé Courbe d apprentissage très courte sur mannequin Courbe d apprentissage clinique courte utilisations Efficace pour l intubation trachéale en cas d échec du laryngoscope de Macintosh laryngoscope Efficace chez les patients ayant une difficulté prévue de gestion des VAS Efficace en chirurgie ORL lorsque des séniors sont en échec (3 essais) avec le laryngoscope de Macintosh Rescue tracheal intubation device en vigile
63
64 Actualisation de l Algorithme Incorporation de nouveaux outils Revue périodique des résultas de l algorithme pour l adapter (défaut d observance) ou le faire évoluer Destruction des lames McCoy Proposition d incorporation LMA CTrach Airtraq laryngoscope Nouveaux processus Education Enseignement Entraînement Evaluation
65 Validation of updated DAMA for Modern Optical Devices
66
67
68 L évaluation Les Nouvelles Techniques de Gestion des VAS Mannequin -> Simulation -> Pratique clinique Manipulation de la sonde d intubation trachéale Vidéolaryngoscope Lame type Macintosh Alternative à la ventilation au masque facial LMA Supreme L intubation trachéale Position latérale Face au patient
69 Nouvelles Techniques d Intubation Intubation face au patient Simulation Position assise
70 Airtraq Face-to-Face OTI Sitting-Video-WIFI
71 Validation Clinique
72 Nouvelles Techniques d Intubation Glottiscopes à lame courbe Manœuvre sécuritaire Apprentissage sur mannequin
73 La manœuvre sécuritaire Clinique-1
74 La manœuvre sécuritaire Clinique-2
75 Cas clinique Femme 37 ans! Obèse morbide IMC = 43 kg/m2! Diabète T2! HTA! FDR VAS difficile!!sas!!obésité!!ob 28 mm!!tdc 43 cm!!mallampati 3! Grade 3 DFMV!!!
76 McGrath S5! POGO 100% (Cormack 1)! Traction = 0! Guide malléable et IOT! Passage CV 21 s!!!!!
77 McGrath MAC! POGO 75% (Cormack 2 A)! Traction = intense! Passage CV sans guide 23 s!!!!!
78 Laryngoscopie directe! POGO 0% (Cormack 2 B)! Base de aryténoïdes visible! Traction = très intense! Bougie d Eschmann! Passage CV sur guide 39 s!!!!!
79 Nouvelles Techniques d Intubation Intubation avec l Airtraq Lunettes
80 Confort de l Intubation Trachéale Airtraq & Lunettes
81 Nouvelles Pratiques de Gestion des VAS
82
83
84 LMA Supreme
85 Distal end position (male) LMA Supreme Igel
86 Novice Non physician First time users Simplicité d Utilisation
87 LMA Supreme Tolérance et Performance
88 Performance Ventilatoire
89 LMA Supreme Sécurité
90 LMAs improve patient s outcome during anesthesia Morbidly obese patients General anesthesia Rescue oxygenation in case of difficult face mask ventilation or tracheal intubation
91
92
93 Pre hospital LMA Supreme placed by firemen improves (/ FM) early oxygenation/ventilation in case of cardiac arrest
94 Early BLS sequence performed by first responders using a Second Seal LMA
95 Conclusion Epidémiologie de l intubation difficile change Intubation difficile imprévue diminue Connaissance des «Prédicteurs» % -> Culture des algorithmes Intubation difficile anticipée Curarisation Réduction de la morbidité Nouveaux outils de gestion des VAS Outils d intubation difficile Outils d intubation classique Switch HMN Indications persistantes de l endoscopie pour l intubation difficile programmée Acquisition de la compétence Maintient de le compétence
quelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailQuestion 5 Difficult airway algorithms and management Question 5
Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Annales Françaises d Anesthésie et de Réanimation 27 (2008) 41 45 Conférence d experts Stratégies et algorithmes de prise en charge d une difficulté de contrôle
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détail1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4
Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailLe laboratoire Laerdal, leader du marché du matériel de simulation adhère à ce projet et se propose d en être le principal partenaire.
Page 1 sur 12 Introduction Il y a 75 ans..les premiers simulateurs aéronautiques arrivaient. Aujourd hui ils sont :. Une obligation réglementaire pour les compagnies aériennes Maintien des compétences
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailPANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES
PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES C.PIEL T.CHERFAOUI CARHAIX 18 MARS 2008 INTRODUCTION La médecine d urgence est reconnue comme spécialité depuis 2004 Les
Plus en détailModalités d évaluation en Simulation
Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailL'oxygène. Rappel. plus d informations au : 02 54 21 97 39 ou par mail à : gaz-medicaux@spengler.fr
L'oxygène Spengler, fabricant français de matériel médical et établissement pharmaceutique distributeur en gros de gaz à usage médical, propose des ensembles de premiers secours conformes à la législation
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détailCystoscopie vidéo mobile KARL STORZ
URO 43 7.0 07/2015-FR Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ La technologie d'image numérique 2 Solution numérique complète Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ Utilisé avec l'écran transportable C-MAC à éclairage
Plus en détailTransport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville
Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Dr David TRAN Afravietmur Association Franco-Vietnamienne de médecine d urgence Assises de la coopération franco-vietnamienne Brest
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailClinique de chirurgie dentaire (Budapest) Résultat Audit
Clinique de chirurgie dentaire (Budapest) Résultat Audit Cet audit se présente sous forme d affirmations ou d infirmations à des critères simples, qui regroupées par thème, permettent de définir la qualité
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION
ÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION «La défibrillation externe automatique dans les centres de conditionnement physique». Cette énoncé
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 6 : Risque iatrogène Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Emergence
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailUrgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire
Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire Docteur Jean-Pierre PERTEK Chef de service d anesthésie réanimation L arrêt cardio-respiratoire est un événement
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailINFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE
INFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE A. Spaite, J-M. Foissin, P. Klecthka Clinique Saint André, 54500 - Vandœuvre les Nancy INTRODUCTION Le décret de décembre 94 rendant obligatoire la consultation
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailSERENITY. Crow s Passion for Smart Residential Security
Crow s Passion for Smart Residential Security Serenity est un système d alarme extraordinaire qui s intègre dans votre intérieur comme une oeuvre d art Avec Serenity vous pouvez profiter de l expérience
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailMémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale. Par Valeria Martinez. Titre. Nouveau programme d enseignement des urgences à
Universités Paris Descartes, Pierre et Marie Curie, Paris Sud et Paris-Est Créteil Val de Marne Mémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale Par Valeria Martinez Titre Nouveau programme
Plus en détailA qui proposer ce concept?
29 Praticiens qui souhaitent créer une salle de chirurgie Praticiens qui souhaitent avoir une solution polyvalente 2 éclairages = soins en chirurgie 1 éclairage = soins omni-pratiques Pour quelles raisons
Plus en détailF.M.A.S. COMITE TECHNIQUE NATIONAL MANUEL du MONITEUR PLONGEUR 1 ETOILE
PLONGEUR 1 ETOILE ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur 1 étoile sont organisées à l échelon du club, en formation continue ou sous forme d un examen ponctuel. - L acquisition de chacune des
Plus en détailLes solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE
Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex TM Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Améliorer la qualité de vie La nécessité d une réhabilitation efficace des patients à la suite de complications
Plus en détailConseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation
Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P
Plus en détailPENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie
PENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie Rigidité maximale et grande capacité Plages d'action presque illimités Modularité avec possibilité de choix Conception ergonomique Fiche complète de prises et access.
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailCURRICULUM VITAE DIPLOMA. Name: BENCHAOU. First name: Mimoun. Date of birth: 1st May 1966. Nationality: Moroccan, French and Swiss
CURRICULUM VITAE Name: BENCHAOU First name: Mimoun Date of birth: 1st May 1966 Nationality: Moroccan, French and Swiss Languages: spoken and written French, English, German and Arabic Marital status: single
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailCompte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE
Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE Intervenants : - Docteur Nicolas Bonnet, chirurgien, service de Chirurgie Thoracique et Cardiovasculaire de l Hôpital de la Pitié-Salpêtrière,
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailGUIDE DES FORMATIONS ET PROGRAMMES DPC
GUIDE DES S ET PROGRAMMES DPC 2015 SOMMAIRE PRÉSENTATION DU CENTRE OSCAR LAMBRET LA DÉMARCHE DE L S EN INTRA ET INTER Pratiques et Techniques de Soins PTS 1 Prise en charge infirmière d un patient atteint
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailLa présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :
Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailINSTITUT REGIONAL DE FORMATIONS SPECIALISEES EN SANTE HOUPHOUET BOIGNY INSTITUT DE FORMATION D INFIRMIERS PUERICULTEURS 416 chemin de la Madrague Ville 13314 MARSEILLE Cedex 15 Tél : 04 91 96 67 18 Réanimation
Plus en détailGuide de bonnes pratiques en matière de simulation en santé
Évaluation et amélioration des pratiques Guide de bonnes pratiques en matière de simulation en santé Décembre 2012 Préambule Programme de simulation Analyse de la situation Mise en place du programme de
Plus en détailOrthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS
rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailFMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu
FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailGL5 GLS5. Lève-personnes mobiles
GL5 GLS5 Lève-personnes mobiles Lève-personnes mobile GL5 Les lève-personnes mobiles GL5 sont les alternatives au sol des appareils de levage fixés au plafond de la gamme de produits Guldmann. Depuis plus
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailApplications Manométriques de la SWS
Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et
Plus en détailMaître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine
Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailClub Utilisateurs 2 ème Réunion, 8 Octobre 2014 International RFID Congress, Marseille. Diffusion Restreinte
Club Utilisateurs 2 ème Réunion, 8 Octobre 2014 International RFID Congress, Marseille 1 2 ème Réunion du Club Utilisateurs GINTAO AGENDA 9:00 Accueil 9:30 Présentation du projet GINTAO 10:00 Présentation
Plus en détailPro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -
Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailVEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30
VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1
Plus en détailCHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique
CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique Tuttlingen, novembre 2011 - La nouvelle CHROMOPHARE Génération
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques
LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques Dr D.Nocca, Dr C. de Seguin de Hons,Dr V.Salsano, Dr PM.Blanc, Dr E.Deneve, Dr S.Faure, Dr R.Altwegg, Dr M.Veyrac, Dr P.Bauret, Dr JC Valats, Pr D.Larrey, V.Harivel,
Plus en détailGuide du stagiaire. Le stagiaire des écoles de Genève (ECAMB) ou Bois-Cerf-CESU, viendra avec sa tenue de travail de l école.
Guide du stagiaire Horaire : Horaire : 07h00 19h00 Le premier jour, le stagiaire se présentera 15 minutes avant le début du travail. Il sera attendu par l ambulancier référent devant les garages de S.T.A.R.
Plus en détailUn choc pour une vie!
www.cardiouest.fr Un choc pour une vie! Spécialiste Défibrillateurs Formations 1ers Secours 6, rue Eugène Quessot 35000 RENNES Tél : 02 30 96 19 53 Mail : info@cardiouest.fr CardiAid est conçu pour rendre
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détail