Exercice. dont le dénominateur ne s annule pas. Donc I(r) est bien définie. 2 Posons: u = Ze it r convergence de n 0u n et l égalité
|
|
- Marie-Dominique St-Amour
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Corrigé de la première épreuve de l ENSIETA 96 Exercice f, étant la somme d une série entière de rayon de convergence R, est continue sur le disque ouvert de centre O, et de rayon R. On en déduit que l application t f(re it ) est continue sur [, 2π]. Donc, l application t reit f(re it ) re it est continue sur [, 2π] comme quotient de deux fonctions continues Z dont le dénominateur ne s annule pas. Donc I(r) est bien définie. 2 Posons: u = Ze it r convergence de n u n et l égalité. u est un complexe dont le module est strictement inférieur à. On en déduit la n= u n = u Pour tout réel t, la série n Z n r n e int converge et : n= Z n r n e int = Ze it r = reit re it Z 3 On reconnait dans n Z n r n e int et n p= n= d après le cours que: r n p a n p r p ei(n p)t e ipt Z p le terme général de la série-produit des deux séries a n z n, avec z = re it, ces deux séries étant absolument convergentes. On sait alors la série n u n converge absolument et, pour tout réel t, 4 On a: t ],+ [ u n (t) Posons: v n = Z n r n n v n. n Puisque n p= et de n t ], + [ v n converge n On a donc, d après 3: I(r) = 2π u n (t) n p= a n p rn p r p Z p n= u n (t) = reit f(re it ) re it Z a n p rn p r p Z p. On reconnait dans v n le terme général de la série-produit de a n r n, dont on sait qu elles convergent absolument.on en déduit la convergence de u n (t) v n u n converge uniformément sur l ensemble des réels. n n= u n converge uniformément sur l ensemble des réels, donc uniformément sur [, 2π]. D où: n I(r) = 2π n= u n (t)dt
2 2π u n (t)dt = Si n est impair, n 2π a n p r n 2p Z p e i(n 2p)t dt p= 2π Si n est pair, égal à 2k, D où, finalement: I(r) = u n (t) dt = 2π k= u n (t)dt = 2πa k Z k 2πa k Z k = 2πf(Z) 2
3 Problème I a Soit ϕ une solution de E. La dérivée de t E(ϕ(t), ϕ (t)) vaut: ϕ (t)ϕ (t) + ϕ (t)u (ϕ(t)) = ϕ (t) ( ϕ (t) + U (ϕ(t) ) = Donc, t E(ϕ(t), ϕ (t)) est constante sur ], + [. I b Le résultat découle directement de la question précédente: toute trajectoire de (E) est incluse dans une ligne de niveau de E. I 2a E k est d équation : 2 y2 + 2 ω2 x 2 = k l ensemble vide pour k < le point O pour k = E k est donc: l ellipse d équation: ω2 x 2 2k + y2 2k = pour k > Dans le cas où E k est une ellipse, son centre est O et son excentricité e vaut: 2k 2k pour ω : e = ω 2 ω2 = 2k ω 2k + 2k pour ω : e = ω 2 = ω 2k 2 ω 2 I 2b (E) est l équation différentielle: x = ω 2 x Les solutions de (E) sont : ϕ(t) = Acos ωt + B sin ωt. Dans le cas où ces solutions ne sont pas la fonction nulle, elles sont périodiques, de plus petite période strictement positive T = 2π ω I 2c Il est clair ici que les lignes de niveau de E sont confondues avec les trajectoires de (E) (on reconnait dans les trajectoires de (E) les représentations paramétriques d une ellipse, en écrivant: ϕ(t) = r sin(ω(t t )) ϕ (t) = ω cos(ω(t t )). I 3a D après l hypothèse (), la fonction U est strictement décroissante sur ]a, c[. Etant de plus continue sur cet intervalle, elle admet une limite l en a, avec l ]U(c), + ]. De même, U est strictement croissante et continue sur ]c, b[ et admet une limite l en b, avec l ]U(c),+ ]. I 3b De la question précédente, on déduit que w est strictement croissante et continue sur ]a,c[, strictement croissante et continue sur ]c, b[. De plus, w est continue en c, puisque U est continue en c et s annule en ce point. Donc, w est strictement croissante et continue sur ]a, b[. w réalise donc un homéomorphisme de I sur l intervalle J =] 2(l U(c), 2(l U(c)[, cet intervalle contenant. I 3c On a: g ( c + t(x c) ) dt = Nous posons donc: g (x) = g(x) x c pour x c g (c) pour x = c g ( c + t(x c) ) dt 3
4 g (x) = h(t,x)dt avec : h(t,x) = g ( (c + t(x c) ) On a: h est continue sur [, ] I pour p n p h x p existe et est continue sur [, ] I, avec p h x p = tp g (p+)( c + t(x c) ) On en déduit que g est de classe C n sur I. On a donc démontré l existence d une application g de I dans ],+ [, de classe C n telle que pour tout x élément de I, g(x) = (x c)g (x) I 3d En posant g(x) = U(x) U(c), g est une application de I dans ], + [ de classe C 3 s annulant en c. D après la question précédente, il existe une application U de I dans ], + [ de classe C 2 telle que pour tout x élément de I g(x) = (x c)u (x). On a: x I U (x) = g (x) = U (x) + (x c)u (x). On en déduit que U s annule en c (d après la propriété (2)). En appliquant de nouveau la question précédente, il existe une application U 2 de I dans ], + [ de classe C telle que pour tout x élément de I: U (x) = (x c)u 2 (x). Il existe une application U 2 de I dans ], + [ de classe C telle que pour tout x élément de I U(x) U(c) = (x c) 2 U 2 (x). U 2 est à valeurs strictement positives puisque: pour tout élément x de I {c} U(x) > U(c) U(x) U(c) U 2 (c) = lim U 2 (x) = lim x c x c (x c) 2 = 2 U (c) De ce qui précède, on déduit que: x I w(x) = (x c) 2U 2 (x) Donc, w est de classe C sur I comme produit de fonctions de classe C sur I. I 3e On a vu en I 3b que w est un homéomorphisme de I sur J et en I 3d que w est de classe C sur I. w ne s annule pas sur I {c}, puisque pour tout x de I {c} w U (x) (x) = sgn(x c). 2(U(x) U(c)) De plus, pour tout x élément de I: w U 2 (x) = (x c) (x) 2U2 (x) + 2U 2 (x) Donc, w (c) = 2U 2 (c) w, étant un homéomorphisme de I sur J, de classe C sur I, dont la dérivée ne s annule pas sur I, est donc un difféomorphisme de I sur J. On déduit facilement de ce qui précède que W est un difféomorphisme de classe C de I ], + [ sur J ], + [ I 3f On a: Donc: X = w (x) = x = sgn(x c) 2(U(X) U(c) = x 2 = 2((U(X) U(c)) = U(X) = x2 2 + U(c) (x,y) W(E k ) = (w (x),y) E k = 2 y2 + U ( w (x) ) = k = 2 y2 + x2 2 + U(c) = k 4
5 x 2 + y 2 Réciproquement, soit (x, y) un point du cercle d équation : + U(c) = k. On a alors : x 2 < 2 2(k U(c)). On en déduit que x appartient à J = w(i) (cf question I 3b). On alors: x y2 y2 + k = U( w (x),y ) = k = (w (x), y) E k = (x,y) W(E k ) W(E k ) est donc le cercle d équation x 2 + y 2 = 2(k U(c)) I 4a On a: U (x) = x 2 2 x 3 U (x) = 2 x x 4 Donc: U est strictement négatif sur ], 2 [, strictement positif sur ] 2, + [ U ( 2 ) =, U ( 2 ) > U vérifie bien les hypothèses () et (2) On déduit facilement de ce qui précède le tableau de variation de U et sa représentation graphique. On a choisi = pour la représentation graphique. 5
6 I 4b Pour k = 4 2, E k est d équation: y x 2 x = 4 2 E k est d équation : y = ± h(x) avec h(x) = x 2 x 2 h est positive pour x [( 2 2 ) 2, ( ) 2] 2 2 x 2 h (x) = (42 2x)x 2 2x( x 2 x 2 ) 2 2 x 4 = 2x x 3 On en déduit le tracé de E k. On a choisi = pour la représentation graphique. On a évidemment des tangentes verticales aux points d abscisses 2 2 et
7 I 5a D après I, pour tout t E(ϕ(t), ϕ (t)) = E(ϕ(), ϕ ()) = U(c) + 2 β2 = k Donc, pour tout t: U(ϕ(t)) + 2 ϕ 2 (t) = k ϕ 2 (t) = 2 ( k U(ϕ(t)) ) On déduit des variations de U sur I (revoir I 3a) qu il existe un unique couple (x m, x ) d éléments de I tel que x m < c < x et U(x ) = U(x m ) = k I 5b De la même manière, on déduit des variations de U que: ξ ]x m,x [ U(x) < k Donc, l application ξ est définie et continue sur ]x m, x [ 2(k U(ξ) Donc, l application τ définie par τ(x) = x c dξ 2(k U(ξ) est définie sur ]x m, x [ Au voisinage de x m, U ne s annulant pas en x m : U(ξ) U(x m ) (ξ x m )U (x m ) 2(k U(ξ) 2U (x m )(x m ξ) c dξ Donc, d après le critère de Riemann, est convergente. 2(k U(ξ) x m On en déduit que τ admet une limite t m lorsque x tend vers x m. Par un raisonnement analogue, τ admet une limite t lorsque x tend vers x. NB Il y avait dans I 5b une petite erreur d énoncé (l une des bornes de l intégrale). I 5c D après l étude précédente, τ est de classe C sur ]x m,x [. De plus, τ (x) = dérivée ne s annulant pas, τ réalise un C -difféomorphisme de ]x m, x [ sur ]t m, t [. 2(k U(x)). Cette Il est clair, d après la question précédente, que τ se prolonge en une application continue ϕ sur [t m, t ]. Il reste à montrer que ϕ est dérivable en t m et t. Pour cela, ϕ étant continue sur [t m, t ] et de classe C sur ]t m, t [, il suffit de démontrer que ϕ admet une limite en t m et t. lim (ϕ ) (t) = lim t t m τ (τ (t)) = lim τ (x) = On a une démonstration identique pour t. t t m x x m On a donc démontré que τ se prolonge en une application ϕ de classe C sur [t m,t ]. I 5d ϕ étant de classe C sur [t m, t ], on en déduit que ϕ est de classe C sur ]t m, 2t t m [ {t }. On a vu à la question précédente que: ϕ (t m) = ϕ (t ) =. On en déduit que ϕ est dérivable en t, de dérivée, puis que ϕ est de classe C sur [t m,2t t m [. ϕ étant périodique de période 2(t t m ), de classe C sur [t m, 2t t m ], sa dérivée à droite en t étant égale à sa dérivée à gauche en 2t t m, on en déduit que ϕ est de classe C sur ], + [. ϕ est de classe C sur R. Pour x ]t m,t [, on a: ϕ (t) = ( τ ) (t) = τ (τ (t)) = 2(k U (τ (t)) ( ϕ (t)) 2 = 2(k U ( ϕ(t)) () ϕ, gardant un signe constant sans s annuler sur ]t m, t [, est donc de classe C 2 sur ]t m,t [, avec: ϕ (t) = U ( ϕ(t)) (2) On vérifie facilement que l égalité () reste vraie pour t = t m et t = t. D après l égalité (2), ϕ admet une limite en t m et t. ϕ étant de classe C sur ]t m, t [, continue sur [t m, t ], sa dérivée admettant une limite en t m et t, on en déduit que ϕ est de classe C 2 sur [t m,t ]. De plus, ϕ vérifie l égalité (2) sur [t m, t ]. 7
8 De l égalité ϕ(t) = ϕ (2t t) pour t élément de [t m, 2t t m ], et du fait que ϕ est 2(t t m )- périodique, on déduit que ϕ est de classe C 2 et vérifie l égalité (2) sur ], + [. De plus: τ(c) =. Donc, ϕ() = c et ϕ () = 2(k U(ϕ()) = β Donc, ϕ = ϕ. De plus, ϕ est périodique de période: x T = 2(t t m ) = 2 x m dξ 2(k U(ξ)) C est bien la plus petite période strictement positive de ϕ, puisque ϕ est strictement croissante sur [t m, t ] et strictement décroissante sur [t, 2t t m ] II V est de classe C 3 sur R 2 {(,)} comme composée de V, de classe C 3 sur R +, et de l application Z Z, de classe C sur R 2 {(, )}, à valeurs dans R +. De plus, gradv (Z) = V ( Z ) Z (calculs faciles à faire) Z II 2a On a : H (t) = X (t).x (t) + X (t). gradv (X(t)) = Donc, H est constante sur R II 2b On a: σ (t) = det(x (t), X (t)) + det(x(t), X (t)) = det(x(t),gradv (X(t)) = Donc, σ est constante sur R. II 3a On a : X (t) = r (t) ( cos(θ(t)), sin(θ(t)) ) + r(t)θ (t) ( sin(θ(t)), cos(θ(t)) ) Donc : det(x(t), X (t)) = r(t) 2 θ (t) D où : θ (t) = r(t) 2 On a : X (t) = (r (t) r(t)θ (t) 2 ) ( cos(θ(t)),sin(θ(t)) ) + (2r (t)θ (t)+r(t)θ (t)) ( sin(θ(t)), cos(θ(t)) ) Or : grad V (X(t)) = V ( X(t) ) X(t) X(t) = V (r(t)) ( cos(θ(t)),sin(θ(t)) ) Donc : r (t) r (t)θ (t) 2 = V (r(t)) Donc, pour tout t élément de R: θ (t) = r(t) 2 et r (t) = V (r(t)) + 2 r(t) 3 II 3b La dérivée de t 2 r (t) 2 + U(r(t)) est égale à: ) r (t)r (t) + r (t)u (r(t)) = r (t) (r (t) + V (r(t)) 2 r(t) 3 = Donc, t 2 r (t) 2 + U(r(t)) est constante sur R, cette constante ayant pour valeur 2 r () 2 + V (r()) + 2 2r() 2 = V (r()) + ( r () 2 + r() 2 θ () 2) = V (r()) X () 2 On reconnait donc dans cette constante la constante de H. { ϕ II 4a Notons ϕ l unique solution du système: (t) = U (ϕ(t)) ϕ() = ϕ () = k D après l étude faite en I 5: Il existe un unique couple (x m,x ) tel que: x m < c < x et U(x m ) = U(x ) = k. xm dξ x dξ tau m =, τ =, 2(k U(ξ) 2(k U(ξ) c ϕ est périodique de période 2(τ τ m ) c 8
9 ϕ est strictement croissante sur [τ m, τ ] et strictement décroissante sur [τ,2τ τ m ] ϕ(τ m ) = x m ϕ(τ ) = x t R 2 ϕ (t) 2 + U(ϕ(t)) = k (question I a) D après II 3b: k = 2 V 2 + V(X ) = ( r () 2 + U(r()) ) 2 On peut supposer que r () est positif (un raisonnement analogue aurait lieu dans le cas où r () est strictement négatif) r (t) = U (r(t)) r est solution de: r() = X r () = 2 ( k U(r()) ) () On a: U(c) U(r()) k. U, est strictement décroissante sur ], c[ et strictement décroissante sur ]c, + [. Donc: r() [x m,x ] ϕ étant croissante sur [τ m,τ ], il existe t dans [t m,t ] tel que: ϕ(t ) = r() De plus: ϕ (t ) = 2 ( k U(r()) ) = r () Donc, t ϕ(t + t ) est solution de (). Par unicité de la solution de (): r(t) = ϕ(t + t ) On en déduit que ϕ est 2(t t m )-périodique II 4b Avec les notations employées dans la question précédente; r m = x m r = x t m = τ m t T = 2(t t m ) Il est clair alors que: r(t ) = r On a, d après II 3a: θ(t ) θ(t m ) = t t m r(t) 2 dt On rappelle que d après II 3b 2 r (t) 2 + U(r(t)) = k. De plus, r est positif sur [t m, t ]. Donc r (t) = 2(k U(r(t))) En posant le changement de variable ξ = r(t), on obtient: r dξ θ(t ) θ(t m ) = ξ 2 2(k U(ξ)) r m II 4c Notons ( I cette intégrale. On a, par un raisonnement analogue à celui fait en II 4b: θ t + T ) θ(t ) = I 2 Donc: θ(t m + T) θ(t m ) = 2I r étant T-périodique, on a, pour tout t: θ(t + T) θ(t) = t+t tm +T t r(u) 2 du = t m r(u) 2du = 2I Donc, pour tout t: θ(t + nt) = θ(t) + 2nI (2) Si I π est un rationnel p, alors X est périodique de période qt, puisque r et θ le sont. q Réciproquement, si X est périodique de période P, alors, r et θ le sont. On en déduit que P est égal à pt, où p est entier. Par conséquent, grâce à l égalité (2): 2qI = 2pπ Donc, X est périodique si et seulement si l intégrale de II 4c est un rationnel p q II 5a En posant V (s) = s, on a: U(s) = s + 2 2s 2. 9
10 On a démontré en I 4a que U définie au II 3b satisfait bien pour ce choix de V aux hypothèses de la première partie. II 5b Posons: θ (t) = arccos r(t) 2k + 2 θ ( est bien définie car: r(t) ) 2 (2k ) 2 = 2 r(t) 2 2 r(t) 2k = 2U(r(t)) 2k = r (t) 2 De plus, pour tout t tel que r (t) > : θ (t) = r (t) 2k + 2 r(t)2 2 r(t) r(t) 2k + 2 = 2(k U(r(t)) r(t) 2 2k + 2 r(t) 2 r(t) 2 = r(t) 2 = θ (t) De même, pour tout t tel que r (t) < : θ (t) = θ (t) Donc, sur tout intervalle où r (t) ne s annule pas: θ(t) = ± arccos r(t) 2k + + C 2 II 5c D après l étude faite à la question précédente, r (t) s annule lorsque: arccos r(t) 2k + = ou π 2 On en déduit que la constante C est définie modulo2π. Donc, il existe un réel θ tel que, pour tout t: r(t) cos(θ(t) θ ) = 2k + 2 r(t) = 2k + 2 cos(θ(t) θ ) 2 D où: r(t) = + + 2k 2 cos(θ(t) θ ) On en déduit que pour tout k strictement négatif et strictement supérieur à U(c), X(t) décrit l ellipse p d équation polaire ρ = + ecos(θ) avec p = 2 e = + 2k 2. Cette ellipse est de foyer O, de paramètre p et d excentricité e.
Continuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailIntégrales doubles et triples - M
Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détail6 Equations du première ordre
6 Equations u première orre 6.1 Equations linéaires Consiérons l équation a k (x) k u = b(x), (6.1) où a 1,...,a n,b sont es fonctions continûment ifférentiables sur R. Soit D un ouvert e R et u : D R
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailChp. 4. Minimisation d une fonction d une variable
Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailExercice 1 Trouver l équation du plan tangent pour chaque surface ci-dessous, au point (x 0,y 0,z 0 ) donné :
Enoncés : Stephan de Bièvre Corrections : Johannes Huebschmann Exo7 Plans tangents à un graphe, différentiabilité Exercice 1 Trouver l équation du plan tangent pour chaque surface ci-dessous, au point
Plus en détailDérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailChapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul
DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.
L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailFonctions Analytiques
5 Chapitre Fonctions Analytiques. Le plan complexe.. Rappels Soit z C, alors!(x,y) IR 2 tel que z = x + iy. On définit le module de z comme z = x 2 + y 2. On peut aussi repérer z par des coordonnées polaires,
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 OBLIGATOIRE MATHÉMATIQUES. Série S. Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 MATHÉMATIQUES Série S Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformément à la
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailBaccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé.
Baccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé. L usage d une calculatrice est autorisé Durée : 3heures Deux annexes sont à rendre avec la copie. Exercice 1 5 points 1_ Soit f la
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailCorrection du baccalauréat ES/L Métropole 20 juin 2014
Correction du baccalauréat ES/L Métropole 0 juin 014 Exercice 1 1. c.. c. 3. c. 4. d. 5. a. P A (B)=1 P A (B)=1 0,3=0,7 D après la formule des probabilités totales : P(B)=P(A B)+P(A B)=0,6 0,3+(1 0,6)
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailEspérance conditionnelle
Espérance conditionnelle Samy Tindel Nancy-Université Master 1 - Nancy Samy T. (IECN) M1 - Espérance conditionnelle Nancy-Université 1 / 58 Plan 1 Définition 2 Exemples 3 Propriétés de l espérance conditionnelle
Plus en détailDeux disques dans un carré
Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailTests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles
Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailBaccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé
Baccalauréat S/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé A. P. M.. P. XRCIC 1 Commun à tous les candidats Partie A 1. L arbre de probabilité correspondant aux données du problème est : 0,3 0,6 H
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailChapitre 3. Mesures stationnaires. et théorèmes de convergence
Chapitre 3 Mesures stationnaires et théorèmes de convergence Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée p.1 I. Mesures stationnaires Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailn N = u N u N+1 1 u pour u 1. f ( uv 1) v N+1 v N v 1 1 2 t
3.La méthode de Dirichlet 99 11 Le théorème de Dirichlet 3.La méthode de Dirichlet Lorsque Dirichlet, au début des années 180, découvre les travaux de Fourier, il cherche à les justifier par des méthodes
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détail