Démarche Qualité menée en direction des porteurs de projets à visée sociolinguistique sur le territoire du CUCS de Nîmes Métropole - Année
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- François-Xavier Rochefort
- il y a 7 ans
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1 Démarche Qualité menée en direction des porteurs de projets à visée sociolinguistique sur le territoire du CUCS de Nîmes Métropole - Année Marie-Laure Béïs, CUCS Nîmes Métropole (Gard) Sandra Solinski, Centre de Ressources Gardois pour la maîtrise des savoirs de base (Ceregard)
2 Présentation des protagonistes Rôle et missions du CUCS de Nîmes Métropole Rôle et missions du Ceregard vis-à-vis des acteurs du territoire gardois
3 Contexte d élaboration de la commande Constats de la commande publique Constats du Ceregard - Des interpellations récurrentes des acteurs de la proximité, salariés et bénévoles - Des difficultés similaires, quel que soit le territoire d intervention - Une grande variété d interrogations, concernant la pédagogie, les supports à utiliser, mais aussi le rythme, les contenus des ateliers, l organisation des équipes, etc.
4 Enjeux de la proposition de travail - Répondre de manière efficiente aux questionnements des acteurs de terrain en s appuyant sur une expertise validée nationalement - Questionner les objectifs et les attendus des actions à visée sociolinguistique afin de redéfinir des principes d intervention partagés entre les acteurs et redessiner une offre territoriale lisible et cohérente - Réinscrire l offre de proximité dans un paysage plus large, permettant de retravailler la notion de parcours pour les publics cibles - Redéfinir des critères d efficacité pertinents et partagés entre les publics, les associations et la commande publique
5 Contenus de la proposition de travail Élaborer tout au long de l année 2010, au travers d un groupe de travail régulier composé des actuels porteurs de projet, une «Charte Qualité» autour des enjeux, objectifs, conditions de mise en oeuvre et résultats attendus des actions à visée sociolinguistique du territoire de Nîmes Métropole, avec pour visées : Pour les partenaires de Nîmes Métropole, de se servir de cette «Charte Qualité» comme mètre étalon pour soutenir les actions à visée sociolinguistique du territoire dès Pour les porteurs de projet, de profiter de ce travail de réflexion collective sur le sens et la qualité de leurs ateliers pour élaborer de nouvelles pistes pour l action, notamment en ce qui concerne la notion de parcours pour les individus et le développement de logiques territoriales inter associatives. Pour les publics, à partir des nouvelles propositions qui leur seront faites, de développer plus rapidement des compétences communicatives et sociales afin de mieux réussir leur parcours d intégration, de socialisation et/ou de professionnalisation.
6 Méthodologie proposée Mise en place de 2 groupes de travail concomitants dès le mois de février 2010 : un groupe de travail avec les acteurs et un groupe de travail avec les institutionnels, avec une restitution publique du travail mené au mois de décembre Chaque groupe de travail bénéficie de l expertise de Mariela de Ferrari, qui travaille sur ces questions depuis de nombreuses années et qui a modélisé la démarche des ateliers sociolinguistiques (ASL) notamment en Île-de-France. Un accompagnement permanent du Ceregard dans les interstices, qui permet aux acteurs qui le souhaitent de bénéficier, en dehors des temps de travaux collectifs, d un soutien individualisé adapté à leur contexte spécifique.
7 Démarche Qualité menée en direction des porteurs de projets à visée sociolinguistique sur le territoire de Nîmes Métropole - Année Modes d intervention, productions et effets constatés Marie-Laure Béïs, CUCS Nîmes Métropole (Gard) Sandra Solinski, Centre de Ressources Gardois pour la maîtrise des savoirs de base (Ceregard)
8 Modes d intervention : différents niveaux de traduction opérationnelle Un préalable, un contexte favorable : - Un mode d appui de terrain et de proximité préexistant à la démarche et donc une interrelation avec un certain nombre d acteurs qui a favorisé l installation du groupe dans une dynamique de travail «positive» - Différents travaux menés auprès d acteurs de la formation permettant un crédit de confiance de la part des partenaires de la commande publique
9 Modes d intervention : différents niveaux de traduction opérationnelle Tout au long de la démarche : - Un rôle de coordination de la démarche (façon capitaine de navire) à ne pas sous-estimer car il contient en lui-même la garantie de la dynamique nécessaire pour lever les obstacles. Selon nous, pas de démarche aboutie possible sans impulsion permanente et adaptabilité à l imprévu. - Un rôle d interface facilitatrice d intercompréhension entre les partenaires et les acteurs (qui rejoint notamment le principe de transparence) : relais permanent d informations entre les différentes instances, rôle d explicitation, de restitution d étapes et de traduction des difficultés spécifiques rencontrées des deux côtés.
10 Modes d intervention : différents niveaux de traduction opérationnelle Tout au long de la démarche : - Un appui permanent au fait des questionnements et une souplesse d accompagnement propice : les deux forces majeures de notre accompagnement Notre implication «à tous les niveaux» dans la démarche nous a permis de construire une vision systémique de l accompagnement et de faire des propositions en rapport : Quelques exemples : - au-delà des intersessions pédagogiques, un appui individuel ou différemment collectif aux acteurs ou structures qui le souhaitaient - rencontrer les dirigeants de structure, avec ou sans leur équipe, pour expliciter les enjeux et mesurer les impacts - sensibiliser les autres partenaires régionaux à la démarche afin d explorer de nouvelles sources de financement au profit des actions et du territoire
11 Productions et effets constatés : du côté des acteurs En termes de résultats tangibles, en fin d année 2010 : - La production effective de la Charte Qualité envisagée, résultat de la construction d un regard partagé sur les actions et feuille de route à suivre pour l action - L élaboration d une grille synthétique des acquis et des besoins des publics destinée à récapituler les données recueillies par chacun des organismes à travers les outils partagés produits collectivement, et qui a permis d élaborer une cartographie territoriale des profils et des besoins des publics.
12 Productions et effets constatés : du côté des acteurs En ce qui concerne les effets : - L effet de la réflexion sur l action, la production : offrir un espace de recul et de réflexion et une vision d expertise sur leurs pratiques aux acteurs qui ont «le nez dans le guidon» a fait naître de nouveaux regards, condition essentielle de l émergence de nouvelles pratiques. - L apport du collectif et l intérêt de la coproduction : se rendre compte que l on est pas seul à se poser les mêmes questions permet de les sentir légitimes ; co-construire des outils, de fonder un point de vue, des pratiques partagées et des pistes d échanges et de collaboration. - Passer d une vision de «quartier» à une vision de territoire : s inscrire dans un collectif de pratiques, c est comprendre la complémentarité des offres, accepter de répondre à plusieurs aux besoins d une même personne, permettre aux publics de s enrichir de cette pluralité
13 Points positifs de la démarche : du côté des institutionnels - Une reconnaissance inhabituelle de l expertise des acteurs : offrir aux acteurs de travailler sur la base de leur propre cahier des charges, c est implicitement reconnaître qu ils détiennent une forme d expertise nécessaire à l établissement d un cahier des charges de qualité. - Un partage différent des espaces de travail, vers une meilleure intercompréhension : passer «de l autre côté du miroir» pour quelques heures et plancher sur l opérationnalité de sa propre commande, c est mieux comprendre la complexité du travail demandé aux acteurs associatifs.
14 Les freins rencontrés, selon le Ceregard - La m(/d)éfiance de certains dirigeants associatifs, développée suite à de longues années d absence de dialogue véritable avec la commande publique : une impression ancrée d instrumentalisation difficile à faire passer, une crainte du «travaillez plus pour gagner moins» ambiant, une absence habituelle de transparence de l éligibilité qui se traduit par un manque de confiance manifeste. - L inertie institutionnelle, qui a fait blocus : en ces temps de RGPP, la légitimité des individus à représenter leurs instances est remise en cause et met un frein aux collaborations. Le devenir incertain des CUCS ne fait rien pour arranger les choses - Des acteurs de terrain en butte avec leurs obligations contextuelles : une mobilisation volontaire mais difficile face à la continuité des obligations de terrain, un contexte d accompagnement au changement schizophrénique qui les oblige à construire leur mutation en marche dans un continuum de pratiques ressenties comme obsolètes.
15 Démarche Qualité menée en direction des porteurs de projets à visée sociolinguistique sur le territoire de Nîmes Métropole - Année Perspectives et difficultés à résoudre Marie-Laure Béïs, CUCS Nîmes Métropole (Gard) Sandra Solinski, Centre de Ressources Gardois pour la maîtrise des savoirs de base (Ceregard)
16 Perspectives : du côté des acteurs en Une continuité de l appui technique et pédagogique par le biais de la constitution d un groupe permanent de travail (sous forme d échanges de pratiques encadrés et d interventions extérieures sur des thématiques identifiées) - Le développement d une offre spécifique à destination des «nouveaux rejoignants» sous forme de séances de sensibilisation à la démarche ASL et d intégration progressive au groupe permanent de travail - Des rencontres avec les responsables associatifs pour connaître les besoins nécessaires à la stabilisation des compétences dans les structures et développer une stratégie de financement territoriale
17 Perspectives : du côté des partenaires du CUCS en La mise en œuvre d un groupe de travail technique destiné à produire un référentiel de territoire (février juin 2011) - La perspective d un dépôt d un projet de territoire concernant les ASL auprès du FEI au nom de Nîmes Métropole Et plus largement : - Le recensement de l ensemble des offres d accès à la langue française et aux savoirs fondamentaux sur le département piloté par la Préfecture de Région afin de rendre lisibles l articulation des différents dispositifs et les parcours possibles pour les publics
18 Des difficultés à résoudre - Aucun engagement d augmentation des financements au vu du travail fourni (avec des enveloppes CUCS encore en baisse), alors que les équipes doivent rénover leur ingénierie et leurs outils, et parfois même l orientation de leur projet Ce qui a pour effet : - Pas de stabilisation notable des compétences avec des acteurs de terrain investis dans la démarche et arrivant en fin de contrat dans leur structure - Des directeurs de structure qui ne permettent pas forcément à leur équipe de se rendre disponibles sur les temps de travail partagés n ayant pas de signe d un soutien affirmé ni de reconnaissance de leur investissement - Des acteurs difficiles à garder mobilisés car pris entre leur intérêt pour le travail pédagogique et les injonctions parfois contradictoires de leur structure dans la nécessité de développer des actions correctement financées
19 D autres difficultés de taille - Des lignes de financement sensées soutenir les ASL inactives en Languedoc-Roussillon, comme la ligne 104, dont l enveloppe serait de toute façon insuffisante - Un futur appel à projets FEI 2011 qui n est pas certain de conserver un volet sur les ASL - Des enveloppes réduites chez l ensemble des partenaires qui ne favorisent pas le développement de nouveaux partenariats financiers Mais, comme dirait Marc Twain : «Ils ne savaient pas que c était impossible, alors ils l ont fait»
20 Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter le centre de ressources gardois pour la maîtrise des savoirs de base (Ceregard) au ou par mail à : ceregard@orange.fr
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