Collection des études 2015 PAS DE PRINTEMPS SANS AILES

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1 Collection des études 2015 PAS DE PRINTEMPS SANS AILES Inventaire participatif des populations d hirondelles et de martinets en Pays de la Loire Synthèse des prospections des années 2012 à

2 Pas de Printemps sans ailes bénéficie du soutien de : L Europe investit en Pays de la Loire avec le FEADER Citation du document : URCPIE des Pays de la Loire, «Pas de Printemps sans ailes» : Inventaire participatif des populations d hirondelles et de martinets en Pays de la Loire. Synthèse des prospections des années 2012 à Conseil Régional des Pays de la Loire DREAL des Pays de la Loire - FEADER, 42 p. 2

3 SOMMAIRE 1- Présentation du programme et des espèces d hirondelles et de martinet concernés par le suivi «Pas de printemps sans ailes» P Une démarche participative en faveur de la valorisation de la biodiversité commune P Présentation des espèces P L Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum) P L Hirondelle rustique (Hirundo rustica) P L Hirondelle de rivage (Riparia riparia) P Le Martinet noir (Apus apus) P Suivis scientifiques et participatifs pour accroître la connaissance des populations ligériennes d Hirondelles et de Martinet P Le protocole de suivi P Mobilisation régionale et pression d échantillonnage P Synthèse des résultats des prospections spécifiques et comparaison interannuelle P L Hirondelle rustique (Hirundo rustica) P Suivi des populations P Evolution des populations sur les quadrats P Habitats de nidification P L Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum) P Suivi des populations P Evolution des populations sur les quadrats P Habitats de nidification P L Hirondelle de rivage (Riparia riparia) P Suivi des populations P Habitats de nidification P Le Martinet noir (Apus apus) P Synthèse générale P 27 3

4 3- Sensibilisation des ligériens à la conservation des populations d Hirondelles et de Martinet P Recueil des données individuelles des ligériens P Formulaire de saisie P Synthèse des observations P Actions de formation et de sensibilisation des publics P Les outils de communication P La mobilisation et la formation des vigies P Les actions de sensibilisation P Actions de conservation et de protection des nichées P La protection des sites de nidifications P Prise en compte des colonies d hirondelle dans la restauration des bâtiments P Installation de bac de terre humide P Le cas des Martinets noir p Conclusion & Perspectives P Estimation des tendances évolutives des populations P Une transférabilité de la méthodologie du projet Pas de printemps sans ailes sur d autres territoires P Une mobilisation à maintenir et à amplifier P Une diffusion de l étude auprès des élus, carriers et professionnels du bâtiment P Remerciements P 45 Annexe 1 : Fiche de terrain p 48 Annexe 2 : Protocole Martinet noir p 49 Annexe 3 : Protocole Hirondelle de rivage p 50 4

5 1 Présentation du programme et des espèces d hirondelles et de martinet concernés par le suivi «Pas de printemps sans ailes» 5

6 1. UNE DEMARCHE PARTICIPATIVE EN FAVEUR DE LA VALORISATION DE LA BIODIVERSITE COMMUNE «Pas de Printemps sans ailes» s intègre dans une démarche nationale des CPIE sur les sciences participatives : les Observatoires Locaux de la Biodiversité (OLB : L Union Nationale des CPIE marque les outils et les démarches de portée nationale, qui reflètent le savoir-faire du réseau des CPIE et ses engagements sur des thématiques à enjeux. Pour mettre en œuvre un Observatoire Local de la Biodiversité, l URCPIE ou le CPIE : - initie et anime une opération à double entrée : implication citoyenne et observations scientifiques ; - encourage la participation des publics, qu il accompagne dans la découverte de l espèce en faveur de sa préservation ; - mène des inventaires et suivis d espèces sous protocoles scientifiques en faisant appel à ses propres compétences ; - s entoure des partenaires techniques essentiels ; - est garant des données relevées, qui viennent nourrir les recueils et suivis nationaux - agit dans la durée, évalue son action et la fait évoluer. En voulant mettre ces objectifs en pratique sur son territoire, l URCPIE des Pays de la Loire a lancé, en 2012 et jusqu en 2014, l opération «Pas de Printemps sans Ailes». Cette opération a pour objectif : - d inciter à l observation par tous des espèces d hirondelles et de martinets présentes sur leur territoire (peu d espèces et donc facile à différencier); - d apporter des connaissances pour sensibiliser à leur préservation ; - de permettre à tout citoyen de devenir acteur du maintien de la biodiversité ; - d inventorier et étudier les espèces de son territoire sous protocole scientifique - de favoriser la cohabitation entre les hirondelles et l homme par la sensibilisation et la mise en œuvre de mesures conservatoires (pose de planchette anti-fientes, installation de bac de terre humide ). Le choix de cet observatoire local s est porté sur les hirondelles et les martinets, car ce sont des espèces facilement reconnaissables, qui vivent en cohabitation avec l homme et qui bénéficient d un capital sympathie important. 6

7 2. PRESENTATION DES ESPECES Les hirondelles, de la famille des Hirundinidés et les martinets, de la famille des Apodidés sont des oiseaux migrateurs qui installent leurs nids au sein de nos villes et villages (sauf exception pour l Hirondelle de rivage). Ces oiseaux symbolisent traditionnellement l'arrivée du printemps. A ce titre, le retour d'hivernage en Afrique se fait en Pays de la Loire dès les premiers jours de mars et s accentue ultérieurement jusqu à la mi-mai. Ce voyage représente un périple qui peut dépasser les km. Ces espèces sont très fidèles à leur site de reproduction, et les nids peuvent fréquemment être utilisés pendant plusieurs années consécutivement (Jarry, 1999). A noter que les hirondelles et les martinets sont également fidèles à leur partenaire tout au long de leur vie L HIRONDELLE DE FENETRE (DELICHON URBICUM) Avec ses 13 à 15 cm de long et ses 28 cm d envergure, l Hirondelle de fenêtre est la plus citadine de nos espèces. Il n existe pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce. Elle construit son nid qui est fait de boue et de salive, sur les bâtiments. Il est souvent placé sous les toits ou aux encoignures des fenêtres (d où son nom). Cette espèce se rencontre essentiellement dans nos bourgs. Au niveau national les effectifs d Hirondelles de fenêtre suivie dans le cadre du programme STOC ont chuté de 41% en 20 ans (Jiguet F., Résultats nationaux du programme STOC de 1989 à 2009). Ces résultats sont 7

8 probablement liés à plusieurs facteurs : conditions climatiques défavorables lors de la migration, matériaux de rénovation de bâtiment non appropriés à la fixation du nid, destruction des nids de cette espèce du fait des salissures occasionnée par leurs fientes, sur les bâtiments, régression des zones humides, utilisation importante des produits phytosanitaires... En revanche en Pays de la Loire, les effectifs semblent stables, voire en augmentation, puisqu une hausse de 17% a été constatée (Dulac P., Le suivi des oiseaux «communs» en Pays de la Loire (STOC EPS). Analyse des données ) L HIRONDELLE RUSTIQUE (HIRUNDO RUSTICA) L Hirondelle rustique peut aussi porter le nom d Hirondelle de cheminée. Cette espèce est la plus largement répandue en France et en Europe. Mâles et femelles peuvent se distinguer par les longs filets de leur queue. Celui du mâle est nettement plus long que celui de la femelle. A la différence des Hirondelles de fenêtre qui sont citadines, les Hirondelles rustiques sont essentiellement campagnardes même si elles se croisent régulièrement en ville y compris dans les grandes agglomérations ligériennes. En effet, pour nicher, elles peuvent s installent dans les dépendances, à l intérieur des étables, des granges et autres bâtiments agricoles. 8

9 Au niveau national les effectifs d Hirondelle rustique ont connu un déclin de 34% entre 1989 et 2001 (Jiguet F., Les résultats nationaux du programme STOC de 1989 à 2009). Depuis 2001, la population semble se stabiliser. En Pays de la Loire l Hirondelle rustique était un oiseau peu étudié avant les années 2000, il était donc difficile d évaluer la tendance dans cette région. Depuis 2001 le suivi STOC-EPS dans cette région nous montre une stabilité des effectifs (Dulac P., Le suivi des oiseaux «communs» en Pays de la Loire (STOC EPS). Analyse des données ) L HIRONDELLE DE RIVAGE (RIPARIA RIPARIA) Avec ses 12 à 13 cm de long, l Hirondelle de rivage est la plus petite de nos espèces d hirondelles. A la différence de ses cousines qui construisent leurs nids pour les fixer à un support, celle-ci creuse un trou dans des parois de sablières, talus ou berges de rivières. C est une espèce très inféodée aux milieux aquatiques, elle est d ailleurs très souvent visible au-dessus des points d eaux où elle chasse les insectes. Sur le territoire national, cette espèce est en augmentation. Depuis 2001 ses effectifs ont connu une hausse de 28% (Jiguet F., Les résultats nationaux du programme STOC de 1989 à 2009). En Pays de la Loire, les 9

10 effectifs ont fortement décliné depuis les années 1980, puisqu une chute de 40% a été constaté (Marchadour, Avifaune prioritaire en Pays de la Loire) LE MARTINET NOIR (APUS APUS) Le Martinet noir se reconnait à son plumage sombre, presque noir, à ses longues ailes effilées tenues en arrière, à sa tête courte et à sa queue fourchue qui lui donne une silhouette particulière. Initialement, cette espèce était inféodée aux falaises, où elle nichait dans les trous. Aujourd hui elle s est adaptée aux constructions humaines (tours, église, habitations en pierre), où elle trouve les anfractuosités nécessaires à sa nidification. Nous la trouvons dans nos villes et villages, où parfois, nous pouvons observer un adulte entrer rapidement sous un toit ou dans un trou entre les pierres et entendre un jeune réclamer la becquée. L analyse des effectifs de cette espèce n est pas aisée puisqu il existe une incompatibilité entre le comportement de l espèce et la méthode de recensement. La tendance à long terme est donc peu fiable. Cependant, notons que de 1989 à 2001 les effectifs nationaux auraient augmenté de 56% (Jiguet F., Les résultats nationaux du programme STOC de 1989 à 2009); depuis ceux-ci semblent stables bien qu une légère chute de 7% soit mesurée. Cette espèce est très peu étudiée en Pays de la Loire, ainsi nous ne disposons que d une connaissance fragmentaire du statut des populations. 10

11 2 Suivis scientifiques et participatifs pour accroître la connaissance des populations ligériennes d Hirondelles et de Martinet 11

12 1. LE PROTOCOLE DE SUIVI Le recensement des hirondelles et martinets, a été effectué par la méthode des plans quadrillés (quadrat), définis sur chaque commune selon un échantillonnage aléatoire stratifié. Cette méthode a consisté à déterminer le nombre nids (occupés, vides ou détruits ) de trois espèces (Hirondelle rustique, Hirondelle de fenêtre, Martinet noir) nichant sur un site de surface définie, étudié par des visites répétées et standardisées. Toutes les observations d espèces ont été notées précisément de manière à obtenir une image précise des territoires à une date donnée. En fonction de la superficie communale, nous avons proposé un protocole d échantillonnage précis (tableau 1). Tableau 1 : Protocole d échantillonnage en fonction des superficies communales Superficie communale < 1000 ha ha ha > 3000 ha Nombre de quadrats de 100 ha Les résultats ont été conditionnés par le nombre de visites réalisées. Le nombre et la durée des visites n ont été ni définis, ni limités, mais ils ont dû être suffisamment importants pour que l observateur atteigne, à la fin du printemps, une connaissance quasi exhaustive du peuplement d oiseaux ayant niché dans le quadrat. La prospection a débuté à partir de la deuxième semaine de mai et la fin de prospection s est terminée lors de la première semaine d août. Les quadrats ont été visités de la façon suivante : 1ère visite : semaine 21 à 24 2ème visite : semaine 27 à 29 Les localisations des nids d hirondelles et martinets ont été reportées sur photographie aérienne en précisant sur une base de données jointe : - l espèce rencontrée, - le nombre de nids occupés, - le nombre de nids vides, - la typologie de support des nids, - le nombre de jeunes au nid (si l information est mobilisable), - le type de bâtiment. D autres informations ont été notées : nom de l observateur, date, heure de début, heure de fin (Cf. Annexe 1 : Fiche de terrain). Evolution du protocole entre 2012 et 2013 passage de 3 sorties à 2 sorties création d un protocole spécifique Martinet noir et amendement du protocole Hirondelle de rivage (Cf. Annexe 2 et 3) 12

13 2. MOBILISATION REGIONALE ET PRESSION D ECHANTILLONNAGE Depuis 2012, ce sont 112 communes ligériennes différentes qui ont été suivies par des vigies dans le cadre de l opération pas de printemps sans ailes. Tableau 2 : Synthèse régionale de la mobilisation et comparaison entre les années 2012, 2013 et 2014 Nombre de communes Nombre de Vigies mobilisés Nombre de quadrats suivis A l échelle régionale, ce travail d inventaire participatif a permis une mobilisation très importante et maintenue dans le temps aussi bien au regard du nombre de vigies engagés que du nombre de quadrats et communes suivis. Néanmoins, si l on constate une érosion de l implication inhérente à tous dispositifs de sciences participatives, dans le cadre de «Pas de Printemps sans ailes» celle-ci reste mesuré compte-tenu du niveau d exigence du protocole réalisé par des citoyens le plus souvent non initiés aux démarches scientifiques d inventaire. Le temps bénévole consacré au projet par les vigies est estimé à heures depuis A ce titre, l implication des participants est remarquable pour un dispositif de science participative. Tableau 3 : Comparaison par département du nombre de communes engagées dans la démarche Loire-Atlantique Maine et Loire Mayenne 1 Morbihan 3 1 Sarthe Vendée TOTAL Les suivis ont été réalisés respectivement sur 86 communes en 2012, 76 communes en 2013 et 71 communes en La variation interannuelle est néanmoins non négligeable au regard de l échantillon mais ne semble pas modifier significativement les résultats des inventaires. 13

14 Tableau 4 : Comparaison du nombre de quadrats de 100 ha suivis par département Loire-Atlantique Maine et Loire Mayenne 1 Morbihan 17 2 Sarthe Vendée TOTAL Le nombre de quadrat inventorié reste globalement stable entre les deux dernières années de l inventaire. Il se situe à environ hectares suivi après avoir accusé un recul non négligeable entre 2012 et Tableau 5 : Comparaison du nombre de Vigies mobilisés par département Loire-Atlantique Maine et Loire Mayenne 1 Morbihan 6 2 Sarthe Vendée TOTAL Les vigies sont des bénévoles chargés de mettre en œuvre le protocole scientifique d inventaire. En fonction des départements, le nombre de vigies peut varier significativement en adéquation avec l effort de mobilisation produit et la sensibilité locale des citoyens à s investir dans des projets collectifs en faveur de l environnement. 14

15 Fig. 1 Mobilisation des vigies sur les Pays de la Loire L érosion globale des contributeurs précédemment évoquée s est traduite différemment selon les départements. Elle est particulièrement notable en Vendée pour l année 2014 tout en restant supérieur à la moyenne régionale alors que cette diminution avait été observée dès la seconde année de suivi dans les autres départements. Ainsi, pour ces derniers, la mobilisation entre 2013 et 2014 a été relativement stable. 3. SYNTHESE DES RESULTATS DES PROSPECTIONS SPECIFIQUES ET COMPARAISON INTERANNUELLE 3.1. L HIRONDELLE RUSTIQUE (HIRUNDO RUSTICA) SUIVI DES POPULATIONS Depuis 2012, nids d hirondelle rustique ont été suivi dans le cadre de cette étude présentaient des indices d occupation au cours de la saison de reproduction considérée. Ainsi, plus de la moitié des nids (57%) présents sur les territoires d observation étaient fréquentés. La densité de nids observés ainsi que la densité de nids occupés par kilomètre carré semblent, sur l ensemble des quadrats, diminuer. Cependant, cette observation ne s avère pas significative en retenant uniquement les quadrats suivis pendant les 3 années, 15

16 puisque cette constatation n est pas confirmée sur ces derniers et que l évolution n est pas statistiquement différente d une année à l autre (Fig.1). Le taux de nids occupés semble relativement stable entre les années et est compris entre 55 et 60%. Tableau 6 : Comparaison régionale des résultats des suivis entre les années 2012, 2013 et 2014 Nombre de nids suivis Nombre de nids occupés Pourcentage de nids occupés Nombre de nids ,2% ,5% ,3% TOTAL ,4% Densité de nids occupés / Km² ,79 3, ,65 4, ,08 2,81 A l échelle départementale, les densités suivent globalement les constats régionaux. En ce qui concerne le taux d occupation des nids, on observe néanmoins une variation relativement importante entre département et particulièrement marqué entre le Maine et Loire (68%) et la Sarthe (39%) alors que la moyenne régionale se situe à un taux d occupation de 57%. Tableau 7 : Comparaison départementale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2013 (n=nombre de quadrats suivis par an) Loire- Atlantique (2012, n=164 ; 2013, n=78; 2014, n=105) Maine et Loire (2012, n=137 ; 2013, n=134; 2014, n=122) Mayenne (2014, n=1) Morbihan (2012, n=17) Sarthe (2012, n=67 ; 2013, n=71; 2014, n=66) Vendée (2012, n=152 ; 2013, n=117; 2014, n=96) Nombre de nids inventoriés TOTAL

17 Nombre de nids occupés TOTAL Densité nids occupés / Km² ,68 3,58 4,80 4, ,64 4,19 2,39 4, ,06 2,64 2,82 4,75 Pourcentage de nids occupés Somme 2012 à ,0% 67,8% 38,6% 51,0% Fig. 2 - Densité de nids occupés par l Hirondelle rustique sur les trois ans. 17

18 EVOLUTION DES POPULATIONS SUR LES QUADRATS Entre 2012 et 2014, 220 quadrats ont bénéficié d un suivi annuel soit une superficie de ha. Sur ces quadrats, une analyse de comparaison de moyenne a été réalisée afin de mesurer l évolution de la population sur ce pas de temps. Fig. 3 - Hirondelle rustique (Hirundo rustica) : Comparaison pour les années 2012, 2013 et 2014, des densités de nids observés, nids occupés et de nids avec jeunes par Km² par quadrat identique suivi avec le même effort de prospection au cours des trois années sur le territoire régional (moyenne ± erreur-type ; données recueillies 18

19 par un réseau d observateurs bénévoles dans le cadre de l observatoire locale de la biodiversité Pas de printemps sans ailes, sur 220 quadrats entre 2012 et 2014) Tableau 8 : Taille de la population Loire- Atlantique Maine et Loire Sarthe Vendée REGION PAYS DE LA LOIRE Extrapolation taille de la population [±25%] [ ] [ ] [ ] [ ] [ ] HABITATS DE NIDIFICATION L analyse fine des supports des nids utilisés par l Hirondelle rustique sur les trois années de suivi, en Pays de la Loire, traduit la diversité typologique des habitats fréquentés. Néanmoins, en synthèse, 85% des nids sont observés dans trois grands habitats : les anciens bâtiments d habitation (38% des nids observés), les garages ouverts, appentis ou porches (26 %) et enfin, les bâtiments agricoles (17 %) Bâtiments agricoles Garages ouverts / appentis / porches bâtiments d'habitation anciens bâtiments d'habitation récents Autres Fig. 4 - Hirondelle rustique (Hirundo rustica): Fréquence d observation des nids au cours des trois années de suivi. 19

20 Concernant les paysages environnants, deux types se démarquent également des autres, il s agit des Zones Urbanisées (ZU) fréquentées à 50 % et des zones de Bocage (Boc) fréquentées à 33 %. Au regard de tous ces éléments, il apparaît que l Hirondelle rustique semble beaucoup moins exigeante que l Hirondelle de fenêtre, fréquentant ainsi aussi bien des zones urbaines que des zones rurales, des bâtiments d habitation ou agricoles, anciens ou contemporains, 3.2. L HIRONDELLE DE FENETRE (DELICHON URBICUM) SUIVI DES POPULATIONS Depuis 2012, nids d Hirondelle de fenêtre ont été suivi dans le cadre de cette étude présentaient des indices d occupation au cours de la saison de reproduction considérée. Plus de 70% des nids suivis sont utilisés pour la nidification. La densité de nids suivis par Km² reste relativement stable au cours des 3 années sur l ensemble des quadrats. Cette tendance se confirme sur ceux, ayant fait l objet d une prospection interannuelle, avec néanmoins, une densité supérieure. Ce qui traduit une assiduité des vigies plus importantes dans le suivi interannuelle des quadrats avec des populations plus conséquente d oiseaux. Tableau 9 : Comparaison régionale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2013 Nombre de nids Nombre de nids suivis Nombre de nids occupés Pourcentage de nids occupés ,1% ,4% ,1% TOTAL ,3% Densité / Km² ,50 4, ,39 4, ,18 4,76 A l échelle départementale, les densités semblent plus importantes sur les départements de la Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire en comparaison à ceux de la Vendée et de la Sarthe avec respectivement pour les premiers des densités comprises entre 5 et 7 nids utilisés par Km² et pour les seconds des densités comprises 20

21 entre 3 et 4 nids par Km². Cependant, il semble exister une variation locale significative dans les densités de nids occupés. Tableau 10 : Comparaison départementale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2013 (n=nombre de quadrats suivis par an) Loire- Atlantique (2012, n=164 ; 2013, n=78; 2014, n=105) Maine et Loire (2012, n=137 ; 2013, n=134; 2014, n=122) Mayenne (2014, n=1) Morbihan (2012, n=17) Sarthe (2012, n=67 ; 2013, n=71; 2014, n= 66) Vendée (2012, n=152 ; 2013, n=117; 2014, n=96) Nombre de nids inventoriés TOTAL Nombre de nids occupés TOTAL Densité nids occupés / Km² ,17 6,10 3,17 4,61 3, ,02 5,90 1,91 3, ,43 6,90 4,52 3,83 Pourcentage de nids occupés Somme 2012 à ,6% 78,9% 72,3% 67,6% 21

22 Fig. 5 - Densité de nids occupés par l Hirondelle des fenêtres sur les trois ans EVOLUTION DES POPULATIONS SUR LES QUADRATS Entre 2012 et 2014, 220 quadrats ont bénéficié d un suivi annuel soit une superficie de ha. Sur ces quadrats, une analyse de comparaison de moyenne a été réalisée afin de mesurer l évolution de la population sur ce pas de temps. Celle-ci traduit l absence de différence significative entre les séries de données pour chacun des compartiments analysés : densité de nids par Km², densité de nids occupés par Km², densité de nids avec jeunes. 22

23 Densité de nids avec jeunes / Km² Densité de nids occupés / Km² Densité de nids / Km² 15 KW -Chi²=-0,09; n=220 ; DF=2 ; P=0, KW -Chi²=-0,07 ; n=220 ; DF=2 ; P=0, KW -Chi²=0,08 ; n=220 ; DF=2 ; P=0, Fig. 6 - Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum): Comparaison pour les années 2012, 2013 et 2014, des densités de nids observés, nids occupés et de nids avec jeunes par Km² par quadrat identique suivi avec le même effort de prospection au cours des trois années sur le territoire régional (moyenne ± erreur-type ; 23

24 données recueillies par un réseau d observateurs bénévoles dans le cadre de l observatoire locale de la biodiversité Pas de printemps sans ailes, sur 220 quadrats entre 2012 et 2014) Tableau 11 : Taille de la population Loire- Atlantique Maine et Loire Sarthe Vendée REGION PAYS DE LA LOIRE Extrapolation taille de la population HABITATS DE NIDIFICATION A l échelle des Pays de la Loire, les trois années de suivi nous ont montré que l Hirondelle de fenêtre se rencontre majoritairement en zone urbanisées, puisque 97% des nids occupés concerne un habitat urbain. Cependant, une analyse par département fait ressortir une spécificité des Hirondelles de fenêtre Sarthoise. En effet, 40 % des couples nicheurs recensés se sont installés en milieu rural. Dans ce type d habitats, elles vont nicher à l intérieur des bâtiments agricoles, notamment dans les granges ou les étables en compagnie des Hirondelles rustiques. Il a été constaté que, d une manière générale, dans ce genre de configuration, les Hirondelles de fenêtre nichent aux abords de la sortie du bâtiment, tandis que les Hirondelles rustiques s installent plus en retrait. En ce qui concerne les sites de nidification à proprement parlé, il s avère que cette espèce affectionne davantage les bâtiments anciens. Ce type d architecture est particulièrement attractif pour l espèce puisque, bien souvent, elle présente des avant-toits et l enduit est granuleux ce qui permet une meilleure accroche du nid. Ce constat s observe dans tous les départements à l exception de la Sarthe. Effectivement, en ce qui concerne les populations nicheuses urbaines d Hirondelles de fenêtre, même si elles s installent majoritairement sur les bâtiments anciens, elles ne nichent pas sous les passements de toit. L architecture Sarthoise ne présentant pas ce genre de typologie, les hirondelles vont davantage fixer le nid aux encoignures des fenêtres. Il est fort probable que cette particularité pousse les hirondelles à nicher en campagne. En effet, la disponibilité en site de nidification en ville est limitée du fait de l absence d avant-toit. Malgré un rabat des colonies sur les encoignures des fenêtres, il a été constaté une pression de destruction de nids plus importante sur ce type de support. De fait, cette espèce trouve peut-être davantage de site de nidification et de tranquillité sur les zones rurales pour accomplir son cycle de reproduction. Pour continuer notre analyse par département, il a été constaté qu en Loire-Atlantique, les communes présentes sur le littoral ont une densité moins importante que celles présentes dans les terres. L architecture de ces communes est relativement récente et donc généralement moins attractive pour ces espèces: surface des bâtiments lisses, absence de passements de toits 24

25 3.3. L HIRONDELLE DE RIVAGE (RIPARIA RIPARIA) SUIVI DES POPULATIONS Au total, 3828 nids ont été recensés au cours des trois années dont 2461 étaient occupés. Annuellement, les effectifs nicheurs suivis varient en fonction du nombre de site recensés. Seules les colonies connues dans le Maine-et-Loire ont été recensées chaque année. En Loire-Atlantique, le suivi a été uniquement possible en 2012 et 2014 alors qu en Sarthe, l inventaire des colonies dans les sites d extraction n a été possible qu à l issue d un partenariat engagé entre l URCPIE des Pays de la Loire et l UNICEM (syndicat professionnel) mis en œuvre à partir de la saison 2014 Tableau 12 : Comparaison régionale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2014 Nombre de nids suivis Nombre de nids occupés Nombre de nids TOTAL Nombre de sites suivi (49 : 6 ; 44 :3) (tous dans le 49) (49: 9; 44: 6; 72: 3) En moyenne 1200 nids d Hirondelle de rivage ont été recensés au cours des trois années de suivis, dont plus de 800 occupés HABITATS DE NIDIFICATION Les colonies recensées en Loire-Atlantique sont essentiellement installées sur le littoral et sont de petites tailles (en moyenne 11 nids). Notons la présence malgré tout de trois colonies présentes en carrière: une colonie recensée en 2012 sur une carrière de roche massive et deux colonies recensées en 2014 au sein de sablière. 25

26 En Maine-et-Loire, les Hirondelles de rivage s installent soit sur les berges de la Loire, soit dans les sablières. En 2012, alors que le niveau de la Loire était relativement bas, la moitié des colonies recensées se situait sur les berges du fleuve. En 2013, les fortes intempéries n ont pas permis aux niveaux d eau de baisser. De fait, les Hirondelles de rivage se sont installées en masse dans les sablières et seule une colonie a été observée sur les berges d une île de la Loire. En 2014, du fait des eaux de la Loire encore élevées malgré un temps clément dans notre région, l espèce s est de nouveau reportée sur les sablières. Enfin, en Sarthe, toutes les colonies recensées en 2014 sont présentes en carrière LE MARTINET NOIR (APUS APUS) Le suivi de cette espèce a également été réalisé sur trois ans mais avec plus de difficulté que pour les espèces d hirondelles. En effet, le Martinet nichant dans des anfractuosités présentes généralement dans de vieux bâtiments, les nids seuls ne sont pas observables directement. Il a donc été nécessaire d identifier les Martinets en vol et de suivre leurs mouvements afin de pouvoir repérer leurs nids. Face à cette difficulté d observation, il est fort probable que cette espèce ait été sous-prospectée par les vigies. Même s ils ne sont certainement pas représentatifs de l état de la population des Martinets en Pays de la Loire, les résultats quantifient à minima les effectifs locaux. Tableau 13 : Comparaison régionale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2013 Nombre de nids suivis Nombre de nids occupés Nombre de nids Tableau 14 : Comparaison départementale des résultats des suivis entre les années 2012 et 2013 (n=nombre de quadrats suivis par an) Loire- Atlantique (2012, n=190 ; 2013, n=78 ; 2014, n=105) Maine-et- Loire (2012, n=137 ; 2013, n=134 ; 2014, n=122) Sarthe (2012, n=67 ; 2013, n=71 ; 2014, n=66) Vendée (2012, n=126 ; 2013, n=117; 2014, n=96) Nombre de nids inventoriés

27 Nombre de nids occupés SYNTHESE GENERALE Tableau 15 : Synthèse par espèce des nids suivis entre les campagnes de prospection 2012, 2013 et 2014 Hirondelle rustique Hirondelle de fenêtre Martinet noir Hirondelle de rivage Total TOTAL 2012/2013 /2014 Nids recensés Nids occupés Nids recensés Nids occupés Nids recensés Nids occupés Nids recensés Nids occupés

28 3 Sensibilisation des ligériens à la conservation des populations d Hirondelles et de Martinet 28

29 1. RECUEIL DES DONNEES INDIVIDUELLES DES LIGERIENS 1.1. FORMULAIRE DE SAISIE En complément du protocole scientifique, l opération «Pas de Printemps sans Ailes» a invité les particuliers à nous transmettre des données ponctuelles sur les espèces étudiées. Trois possibilités de transfert des observations étaient possibles pour les particuliers : - Formulaire de saisie en ligne sur le site internet de l opération - Dépliant dédié à Pas de printemps sans ailes avec coupon réponse détachable. - Envoi des informations par mail ou téléphone au CPIE le plus proche La création d une page internet et d un dépliant a permis à toutes personnes intéressées par l action de nous transmettre leurs observations (Cf. Figue 7 : Formulaire à remplir par les particuliers). Afin de pouvoir exploiter ces informations, il a été demandé aux particuliers de préciser: l espèce observée, le lieu de l observation, la date de l observation ainsi que le nombre de nids observés. Fig. 7 - Formulaire à remplir par les particuliers 29

30 1.2. SYNTHESE DES OBSERVATIONS L ensemble des données ponctuelles collectées de 2012 à 2014 représente 865 observations majoritairement situées en Pays de la Loire. Sept observations ont été transmises hors région. La collecte des données a été importante lors des deux premières années et moindre en Au lancement de l opération en 2012, une communication d envergure régionale avait permis de faire connaître «Pas de printemps sans ailes» et ainsi de recueillir de nombreuses informations. Pour les deux années suivantes, chaque CPIE a communiqué sur son territoire d action avec des moyens différents pouvant, en partie, expliquer les écarts de données. Fig. 8 - Evolution du nombre de données transmises par les particuliers au cours des 3 années de l opération «Pas de Printemps sans ailes» En Maine-et-Loire, la contribution de l association la Cicadelle a fortement augmenté le nombre de données ponctuelles reçues en 2012 et En Loire-Atlantique, une participation importante des particuliers a été observée en 2012 (91 données) puis a baissé au cours des deux années suivantes (48 données en 2014). Le CPIE Mayenne-Bas-Maine ayant commencé l opération en 2014, le regain de données recueillies sur ce département pour cette dernière année peut être attribué à la communication réalisée localement sur ce programme d inventaire. Pour les autres départements de la Région, une trentaine d observations maximum ont été saisies par année. Fig. 9 - Distribution départementale de l origine des données transmises depuis

31 Parmi les données recueillies, 58% concernent des Hirondelles rustiques et 37% des Hirondelles de fenêtre. Tableau 16 : Synthèse départementale des données transmises dans le cadre du dispositif «Pas de printemps sans ailes» TOTAL Loire- Atlantique Maine et Loire Mayenne Sarthe Vendée Hors Région TOTAL Fig.10 Communes ayant fait l objet de retours de particuliers 31

32 2. ACTIONS DE FORMATION ET DE SENSIBILISATION DES PUBLICS 2.1 LES OUTILS DE COMMUNICATION Plusieurs outils de communication ont été créés et développés au cours des trois années de Pas de printemps sans ailes afin d informer les habitants sur l opération en cours et la préservation des hirondelles. LE DEPLIANT WANTED Un dépliant A5 en trois volets a été créé au démarrage de l action afin d inciter les particuliers à nous envoyer leurs observation ponctuelles de nids d hirondelles et martinets. Ce dépliant présente les quatre espèces à rechercher associé à un formulaire pour signifier une observation. Chaque CPIE peut y apposer ses coordonnées locales. LA LETTRE D INFORMATION ET LE RAPPORT DE RESULTAT ANNUEL Trois lettres d information ont été diffusées. Organisées sur un format A4 recto/verso, elles ont pour but d apporter des informations régulières aux contributeurs de Pas de printemps sans ailes. Les résultats provisoires des inventaires y sont mentionnés ainsi que les actualités ou curiosités du moment concernant les hirondelles. Le rapport permet une analyse plus complète des observations annuelles. LE SITE INTERNET Ce site a pour vocation d expliquer les différentes possibilités de participation à l opération ainsi que de donner des éléments pratiques pour préserver les hirondelles et faciliter la cohabitation avec celles-ci. Le site est alimenté régulièrement en actualités et informations, les résultats annuels ainsi que la lettre d information sont mis en ligne. LA PRESSE ET LES MEDIAS Chaque CPIE a communiqué sur l opération localement : présentation de l opération, animations grand public et formations proposées, préservation des espèces Au total, une soixantaine d articles ont été rédigés dans la presse. Les CPIE Loire Anjou et Sèvre et bocage ont chacun communiqué leurs informations dans une dizaine de bulletins communaux. Le CPIE Vallées de la Sarthe et du Loir et le CPIE Mayenne Bas-Maine ont également diffusés leurs informations via la radio France Bleu local. Le journal local de France 3 a relayé l information en Sarthe. 32

33 LES PUBLICATIONS ET COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES Les données recueillies par l action «Pas de printemps sans ailes» ont pu être mobilisées et valorisées dans le cadre du travail sur l atlas régional des oiseaux nicheurs coordonné par Benoît Marchadour pour la LPO des Pays de la Loire. Ainsi, dans le cadre de cette publication, les monographies des Hirondelles rustiques et de fenêtre ont pu être réalisées respectivement par Laurent Desnouhes du CPIE Sèvre et bocage et Tiphaine Heugas du CPIE Loire Anjou LA MOBILISATION ET LA FORMATION DES VIGIES Les CPIE ont mobilisé un réseau de vigies afin de suivre les populations d hirondelles et de martinets sur un territoire déterminé. Chaque vigie s est engagée à réaliser l inventaire d un ou plusieurs quadrats d 1 km² sur sa commune d origine ou une autre de son choix suivant le protocole défini auparavant dans ce dossier. Afin de faciliter les prospections par les vigies, une formation leur est proposée pour présenter : - les Observatoires Locaux de la Biodiversité - les territoires concernés - les espèces à inventorier - les protocoles - les moyens de protection pouvant être mis en place Tableau 17 : Actions de formation de Vigies au cours du projet Nb formation Total 2012/2014 Nb pers. Nb formation Nb pers. Nb formation Nb pers. Nb formation Nb pers. Logne et Grand- Lieu Loire Anjou Loire Océane Mayenne Bas- Maine Sèvre-et-Bocage Vallées de la Sarthe et du Loir Total formations ont été proposées la première année. Elles étaient moins nombreuses pour les deux années suivantes, une partie de vigies étant déjà formée. Initialement proposées aux habitants des territoires, ces formations ont été proposées plus largement a différents publics intéressés par la démarche. Ainsi, en Sarthe, la LPO a participé aux inventaires, permettant d intégrer de nouvelles communes au suivi des colonies d hirondelles et martinets. Sur le territoire du CPIE Sèvre et bocage, les vigies formées en 2012 ont expliqué le 33

34 protocole d inventaire à deux clubs nature. Cette initiative donne tout son sens à la formation initiale des vigies. Des sessions de restitution des résultats ont également été organisées pour les vigies et les partenaires. Ces rencontres sont importantes pour maintenir le lien avec les bénévoles participants à l opération au cours des trois années. La restitution régulière des résultats permet également aux vigies de bien comprendre la valeur des données qu ils collectent au niveau régional et l importance de leur participation LES ACTIONS DE SENSIBILISATION Les six CPIE ont réalisé des animations pour le grand public et les scolaires de 2012 à 2014 afin de faire découvrir les hirondelles et martinets et de sensibiliser le plus grand nombre à l importance et aux moyens de préserver ces espèces. Au total, 26 actions ont été menées en ce sens, qui peuvent être réparties en quatre catégories : - les sorties grand public - les soirées grand public - les animations scolaires - la tenue de stand sur des manifestations LES SORTIES GRAND PUBLIC Environ 120 personnes ont participé aux dix animations organisées par les CPIE de 2012 à La plupart de ces animations se sont déroulées sous la forme d une sortie sur le terrain afin de permettre aux participants d observer les hirondelles et les martinets dans leurs milieux naturels. Leur mode de vie, la nidification et la migration sont abordés lors de ces sorties pour appréhender la question de leur préservation dans nos lieux de vie. LES SOIREES GRAND PUBLIC Soixante personnes ont participé à une soirée organisée par le CPIE Vallées de la Sarthe et du Loir en 2013 en partenariat avec l association «Fous de nature». Après la diffusion du film Les beaux jours de l hirondelle, une conférence a permis de présenter l opération Pas de printemps sans ailes aux participants. En 2014, le CPIE Loire Anjou a organisé un souper martinet pour les habitants. Ce souper était l occasion de partager un repas avec les vigies au pied d une colonie de martinet. Le but a été d échanger sur nos connaissances et d observer le comportement de ces oiseaux. LES ANIMATIONS SCOLAIRES Les CPIE ont réalisé des animations en milieu scolaire auprès de 200 enfants. Le CPIE Loire Anjou a monté six séances d animation permettant à 24 élèves de l école de Vallet de découvrir les hirondelles et leur mode de vie au sein de nos territoires ligériens. Divers exemples de protection des colonies ont été exposés aux enfants (installation de planchette anti-fientes, de bac de terre humide ). Des outils pédagogiques ont été créés pour s adapter aux différents cycles scolaires : plaquette présentant chaque espèce, jeu de l oie, panneaux et diaporama. 34

35 Le CPIE Loire Océane a fait découvrir le protocole d inventaire aux enfants en parcourant le centre-ville de Pénestin à la recherche d hirondelles. LA TENUE DE STANDS LORS DES MANIFESTATIONS Plus de 3000 personnes sont passées sur les stands organisés par les différents CPIE et l Union Régionale au cours des trois années de Pas de printemps sans ailes. Les CPIE ont été présents sur 14 stands afin de présenter l opération et de sensibiliser le public à la préservation et la connaissance des hirondelles et martinets. Le CPIE Loire Océane a organisé un atelier construction de nids de substitution en argile et paille pour les hirondelles en Le but était de montrer la fragilité des nids des hirondelles et surtout l implication des habitants dans la conservation et la préservation de l espèce en évitant leur destruction volontaire. Par ailleurs, un stand sur une partie de la remorque pédagogique a été réservé aux hirondelles. Chaque espèce y est présentée avec ses particularités et les notions de migration abordées par des cartes. Lors des Printanières organisées par le CPIE Sèvre-et-Bocage, l association a tenu un stand trois années consécutives à la Flocellière. Le CPIE Loire Anjou a profité de l organisation des Mauges grandeur nature pour présenter l opération en L URCPIE était présente sur trois jours au Festival BIRDFAIR à Paimboeuf pour présenter son action auprès du grand public et du réseau ornithologique français, plus de 400 personnes sont venues à notre rencontre lors de cette manifestation. 35

36 Actions de conservation et de protection 4 des nichées 36

37 Une des causes de la diminution des effectifs d hirondelle sur le territoire national est la destruction, ou l obstruction, des nids. En effet, les hirondelles provoquent des salissures sur les bâtiments avec leurs fientes. Malgré la bonne image dont bénéficient ces oiseaux auprès du public, ces déjections entrainent parfois un rejet, occasionnant la destruction ou l obstruction des nids, pourtant prohibées par la loi. Les deux espèces d hirondelles antrophophiles sont touchées par ce phénomène. Face à un tel phénomène de rejet, il est tentant d essayer de déplacer la nidification des oiseaux sur des sites propres, isolés. C est ainsi que l installation de tour à hirondelles, édifice destiné aux Hirondelles de fenêtre, est parfois engagée. Le réseau des CPIE, pour son compte, a choisi d orienter son action sur la cohabitation. Outre les actions de sensibilisation décrites plus loin, il s agissait de promouvoir des actions simples permettant aux hirondelles de côtoyer les propriétaires sans les gêner, voire de favoriser le retour des oiseaux sur des sites précédemment abandonnés. C est dans cet esprit qu une partie du site dédié à l action a été consacré à la vie avec les hirondelles. Notre travail s est orienté sur trois axes ; la protection des sites de nidifications, la prise en compte des colonies d hirondelle dans la restauration des bâtiments, et enfin l installation de bac de terre humide. 1 LA PROTECTION DES SITES DE NIDIFICATIONS Face au problème posé par les déjections des hirondelles au pied de leur nid, l action la plus simple est d installer une planchette sous celui-ci, récupérant ainsi les fientes. Les CPIE de la région mettent donc à disposition gratuitement ce type de planchette pour toutes personnes intéressées. Ces planchettes doivent être disposées entre 50 et 70 centimètres en dessous du nid, d une part pour ne pas déranger les oiseaux dans leur accès au nid, d autre part pour ne pas favoriser la prédation des nids ainsi protégés. Lors de la pose, il est recommandé de laisser un léger vide (1 cm) entre la planchette et le mur, sous peine d offrir un nouveau lieu d installation aux oiseaux. De même il est vivement conseillé d engager l installation du dispositif avant l arrivée des oiseaux afin de ne pas les perturber durant la nidification. Ce type d action est possible autant pour les Hirondelles de fenêtre que pour les Hirondelles rustiques. Fig Schéma de disposition d une planchette. De nombreuses communes et particuliers ont au cours de l opération engagé ce genre d action sur les départements de Vendée, de Maine-et-Loire et de Mayenne. En voici quelques exemples. En 2013, le Grand Parc du Puy du Fou a équipé toutes ses toilettes de planchettes anti-fientes sous les nids d Hirondelles rustiques pour maintenir la cohabitation entre l homme et les nichées d hirondelles installées sur le site depuis de nombreuses années. Des panneaux de présentation de l espèce et de son intérêt pour l écosystème ont également été mis en place pour sensibiliser les visiteurs, leur expliquer l intérêt des 37

38 planchettes et les inciter à observer les nids. Notons que des bénévole et des salariés du parc se sont mobilisés par ailleurs depuis 2012 en tant que vigies sur l ensemble du site pour suivre l évolution des populations. La commune de Saint-Rémy-en-Mauges (49) a souhaité participer à la conservation des hirondelles. Sous le porche de la mairie se trouve en effet deux nids d Hirondelle rustique. Les nids se situent juste au-dessus de la boîte aux lettres, qui était donc souillée par les déjections lors de l élevage des jeunes. Désireux de conserver ces nids malgré ce désagrément, la mairie a contacté le CPIE Loire Anjou en fin d année 2012 afin d installer des planchettes anti-fientes sous les nids. Une vigie particulièrement active sur la commune de Saint-Pierre-la-Cour (53) a permis, par son implication, d intervenir auprès de propriétaires d un bâtiment en cours de rénovation. Les nids venant d être détruits, ils ont été très vite remplacés par des nichoirs judicieusement placés, aussitôt occupés par les oiseaux qui venaient d être délogés. Suite à cette intervention, la municipalité a même fait passer dans son journal un article sur la nécessité (et l obligation légale) de respecter et protéger les hirondelles et leur nid. Cette même vigie a découvert une colonie incongrue d Hirondelles de fenêtre sur la commune de Saint- Berthevin. Un restaurant routier, situé en pleine campagne, abrite depuis 2013 une colonie florissante, d'abord constituée d une douzaine de nids puis, en 2014, de plus de quarante couples nicheurs juste au-dessus de la terrasse dudit restaurant. Les propriétaires de celui-ci, désireux de ne pas nuire aux oiseaux, ont accepté de louer un échafaudage pour permettre l installation de 22,8 mètres de planchettes. Malgré une mise en place alors que la saison de reproduction était bien entamée (les premiers poussins étaient sortis de l œuf), la colonie a pu mener à terme ses nichées. Le contact a été gardé avec le propriétaire du restaurant pour l accompagner dans la future isolation par l extérieur du bâtiment, afin de conserver cette colonie atypique. Fig. 12 Chantier d installation des planchettes anti-fientes sur le restaurant de Saint-Berthevin Les particuliers désireux de protéger leurs hirondelles tout en conservant leur façade en bon état ont eux aussi bénéficié de planchettes anti-fientes. En Maine-et-Loire, pour l année 2013, ce sont donc 12 particuliers qui ont installé 27 planchettes sur leur façade, soit l équivalent de 32.7 mètres linéaires. En 2014, dans ce même département, ce sont 3 particuliers qui ont installé un total de 5,4 mètres de planchettes. Sur l ensemble de la région ce sont donc plus 60 mètres de planchettes qui ont été installé lors de l opération. 38

39 Notons le rôle important, difficilement quantifiable mais régulièrement rapporté, des vigies dans cette action de sensibilisation. Plusieurs d entre-deux ont fournis de nombreux renseignements aux propriétaires désireux de sauvegarder leurs nids malgré les salissures constatées. 2 PRISE EN COMPTE DES COLONIES D HIRONDELLE DANS LA RESTAURATION DES BATIMENTS Au-delà l installation de planchette anti-fiente, ayant pour but principale la bonne cohabitation entre l homme et les hirondelles ; l opération «Pas de Printemps sans Ailes» œuvre pour la prise en compte de ces oiseaux dans les travaux de restauration des bâtiments public ou privé. La commune de Saint-Florent-le-Vieil a entre 2012 et 2013 réalisé la rénovation de l ancienne habitation du célèbre écrivain, Julien Gracq, qui accueillait plus d une dizaine de nid d Hirondelle de fenêtre. Cette rénovation nécessitait de détruire les nids (travaux de restauration des charpentes, voliges et de la toiture). Une rencontre en mars 2013 entre le CPIE Anjou et la société de couverture a donc permis de concilier travaux et conservation de cette belle colonie grâce à des délais de chantier (fini pour avril 2013) et des matériaux adéquats (support granuleux). En mai 2013, les Hirondelles de fenêtre sont revenues et ont pu élever leurs jeunes telles qu elles l avaient toujours fait sur ce bâtiment. La commune de Saint-Florent-le-Vieil est allée plus loin, en faisant installer des planchettes sous les nids d hirondelles afin d éviter les salissures engendrées sur la façade et faciliter ainsi la cohabitation entre les habitants de la maison de l écrivain et ces petites bêtes annonciatrices du printemps. Fig Maison Julien Gracq Saint-Florent-le-Vieil (49) - restaurée et ses nids d Hirondelle de fenêtre Une autre commune à, grâce à l opération, permis la conservation des hirondelles. Il s agit de la commune du Pin-e-Mauges (49). En effet sur la mairie de la commune du Pin-en-Mauges, se situe une belle colonie d Hirondelle de fenêtre. Sur ce bâtiment étaient prévu une restauration de la toiture en 2012, nécessitant une destruction des nids. Ici le CPIE Loire et Mauges a préconisé d effectuer ces travaux durant la période hivernale (hiver ) et de conserver l angle initiale de la toiture (40 au lieu de 90 prévu initialement par le maître d œuvre). Ici aussi, les hirondelles sont revenues au printemps

40 3 INSTALLATION DE BAC DE TERRE HUMIDE Le nid des hirondelles est remarquable par le matériel utilisé pour sa construction : la boue. Particulièrement solide, les nids peuvent être utilisés plusieurs années de suite, jusqu à dix ans pour certains. Pour maçonner cette merveille d architecture, le couple peut transporter plus de 1000 boulettes, enchaînant les allers-retours entre le nid en construction et la source de matière première. Or, contre toute attente, celleci se fait de plus en plus rare, particulièrement en milieu urbain. L absence de boue, phénomène rendu de plus en plus courant avec l imperméabilisation croissante des sols, est parfois considérée comme une cause majeure de la disparition des colonies urbaines d Hirondelle de fenêtre. En réalisant un aménagement un peu original, une commune de Belgique a réussi à multiplier par 6 le nombre de nids comptabilisés dans ses rues en moins d un mois! Cette collectivité avait juste installé des bacs de terre humide. Cette méthode, en plus de favoriser la présence des hirondelles, permet l observation des hirondelles. Dans ce dernier objectif, une école de Vallet (44) à elle aussi souhaité installer des bacs de terre humide dans son potager. Au nombre de six, ces bacs ont permis aux enfants de pouvoir observer les hirondelles et de mieux comprendre leur biologie. 3 LE CAS DES MARTINETS NOIRS En 2014, une action de sauvegarde d une colonie de Martinet noir a été engagée sur la commune de Cholet (49). Une vigie très impliquée dans l opération Pas de Printemps sans Ailes a en effet découvert une belle colonie de Martinet noir au sein d un lycée. Les nids de martinets se trouvaient entre l espace séparant la corniche d un bâtiment et la gouttière. Durant l été 2014, l isolation de ce bâtiment devait s effectuer par l extérieur, ceci obstruant de façon total les cavités propices à la nidification des martinets. De par l œil vigilant de cette vigie, le CPIE Loire Anjou a pu intervenir à temps et alerter la direction du lycée et l entreprise quant à la nidification des martinets. Suite à diverses rencontres, les travaux de rénovation se sont d abord concentrés sur les zones où les martinets étaient absents. Les sites de nidification ont quant à eux été rénovés après la saison de reproduction et des nichoirs spécifiques à l espèce ont été intégré à la façade pour permettre le retour de l espèce en

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