Raffinement de maillage spatio-temporel pour les équations de l élastodynamique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Raffinement de maillage spatio-temporel pour les équations de l élastodynamique"

Transcription

1 Raffinement de maillage spatio-temporel pour les équations de l élastodynamique Jerónimo Rodríguez García sous la direction de Éliane Bécache et Patrick Joly Université Paris-Dauphine Projet POems en collaboration avec EDF 8 Décembre

2 Le contexte applicatif et scientifique Simulation numérique d expériences de contrôle non-destructif Travail realisé dans le cadre d un contrat avec le département SINETICS de EDF (J. L. Vaudescal). Continuation de deux thèses financées par EDF: C. Tsogka et G. Scarella. 2

3 Le contexte historique Code ATHENA-2D [Tsogka - Fouquet - Duwig]. Formulation vitesse - contraintes. Éléments finis mixtes sur des maillages réguliers. Condensation de masse. Schéma explicite centré en temps, non dissipatif. 3

4 Le contexte historique Code ATHENA-2D [Tsogka - Fouquet - Duwig]. Formulation vitesse - contraintes. Éléments finis mixtes sur des maillages réguliers. Condensation de masse. Schéma explicite centré en temps, non dissipatif. Domaines fictifs pour la prise en compte des fissures. 3

5 Le contexte historique Code ATHENA-2D [Tsogka - Fouquet - Duwig]. Formulation vitesse - contraintes. Éléments finis mixtes sur des maillages réguliers. Condensation de masse. Schéma explicite centré en temps, non dissipatif. Domaines fictifs pour la prise en compte des fissures. PML pour la simulation des domaines non-bornés. 3

6 Le contexte historique Code ATHENA-2D [Tsogka - Fouquet - Duwig]. Formulation vitesse - contraintes. Éléments finis mixtes sur des maillages réguliers. Condensation de masse. Schéma explicite centré en temps, non dissipatif. Domaines fictifs pour la prise en compte des fissures. PML pour la simulation des domaines non-bornés. Problématique Bien prendre en compte des détails géométriques. Microfissures, présence de trous, singularités de la solution,... 3

7 Stratégie retenue Mettre au point des méthodes non-conformes de raffinement de maillage espace-temps. 4

8 Stratégie retenue Mettre au point des méthodes non-conformes de raffinement de maillage espace-temps. Continuité de la thèse de T. Fouquet en électromagnétisme. 4

9 Rodríguez Stratégie retenue Mettre au point des méthodes non-conformes de raffinement de maillage espace-temps. Continuité de la thèse de T. Fouquet en électromagnétisme. Tsogka Fouquet CND 4

10 Stratégie retenue Mettre au point des méthodes non-conformes de raffinement de maillage espace-temps. Continuité de la thèse de T. Fouquet en électromagnétisme. Tsogka Fouquet CND Rodríguez Contraintes industrielles Doivent être facilement intégrables dans ATHENA-2D. Doivent pouvoir être couplées avec la méthode des domaines fictifs. 4

11 Les contributions de la thèse Première Partie: Raffinement de maillage spatio-temporel avec multiplicateur de Lagrange Méthode conservative (p q) pour l élastodynamique. Nouvelles analyses d erreur 1-D: Par techniques énergétiques (1 2). Par techniques de Fourier (p q). Construction d une nouvelle méthode stable plus précise. Implémentation en élastodynamique 2D. 5

12 Les contributions de la thèse Première Partie: Raffinement de maillage spatio-temporel avec multiplicateur de Lagrange Méthode conservative (p q) pour l élastodynamique. Nouvelles analyses d erreur 1-D: Par techniques énergétiques (1 2). Par techniques de Fourier (p q). Construction d une nouvelle méthode stable plus précise. Implémentation en élastodynamique 2D. 5

13 Les contributions de la thèse Troisième Partie: Sur la méthode des domaines fictifs Correction de la méthode des domaines fictifs initiale: Enrichissement de l espace de vitesses. Amortissement des modes parasites. Analyse de convergence dans le cas acoustique. Implémentation en élastodynamique 2D. 5

14 Les contributions de la thèse Quatrième Partie: Couplage entre les deux méthodes Conception de deux formulations variationnelles approchées conservatives du problème couplé. Implémentation en élastodynamique 2D d une d entre elles. 5

15 Les contributions de la thèse Deuxième Partie: Raffinement de maillage spatio-temporel sans multiplicateur de Lagrange Construction d une méthode conservative (p q). Analyse dans le cas multidimensionnel (1 2). Même précision que pour la méthode avec multiplicateur. [Diaz] 5

16 Une présentation technique Raffinement de maillage spatio-temporel conservatif Présentation de la méthode Expériences numériques: Phénomènes parasites Analyse de Fourier 1D Une nouvelle technique de raffinement spatio-temporel Post-traitement en temps Expériences numériques avec la nouvelle méthode Un nouveau schéma Analyse de Fourier 1D Une expérience numérique moins académique 6

17 Une présentation technique Raffinement de maillage spatio-temporel conservatif Présentation de la méthode Expériences numériques: Phénomènes parasites Analyse de Fourier 1D Une nouvelle technique de raffinement spatio-temporel Post-traitement en temps Expériences numériques avec la nouvelle méthode Un nouveau schéma Analyse de Fourier 1D Une expérience numérique moins académique 7

18 Intérêt du raffinement spatio-temporel Raffinement de maillage Prendre en compte un détail géométrique (typiquement = une fissure) Ω c Γ Ω f 8

19 Intérêt du raffinement spatio-temporel Raffinement de maillage Prendre en compte un détail géométrique (typiquement = une fissure) Ω c Γ Ω f Inconvénients d un raffinement seulement en espace: 8

20 Intérêt du raffinement spatio-temporel Raffinement de maillage Prendre en compte un détail géométrique (typiquement = une fissure) Ω c Γ Ω f Inconvénients d un raffinement seulement en espace: Stable si CFL, t/ x < Cte = Pas de temps global imposé par la grille fine (coûteux). 8

21 Intérêt du raffinement spatio-temporel Raffinement de maillage Prendre en compte un détail géométrique (typiquement = une fissure) Ω c Γ Ω f Inconvénients d un raffinement seulement en espace: Stable si CFL, t/ x < Cte = Pas de temps global imposé par la grille fine (coûteux). La dispersion numérique augmente lorsque t/ x diminue = Le schéma est dispersif dans la grille grossière. 8

22 Intérêt du raffinement spatio-temporel Raffinement de maillage Prendre en compte un détail géométrique (typiquement = une fissure) Ω c Γ Ω f Pas de temps local pour avoir la même CFL dans le domaine entier. t x 8

23 État de l art. Raffinement purement en espace La méthode des éléments joints. [Bernardi - Maday - Patera] (94) Éléments joints pour les équations de Maxwell. [Belgacem - Buffa - Maday - Rappeti] (01-03) Éléments joints avec multiplicateur de Lagrange. [Belgacem] (99) 9

24 État de l art. Raffinement purement en espace La méthode des éléments joints. [Bernardi - Maday - Patera] (94) Éléments joints pour les équations de Maxwell. [Belgacem - Buffa - Maday - Rappeti] (01-03) Éléments joints avec multiplicateur de Lagrange. [Belgacem] (99) Application à l acoustique en temporel. [Bamberger - Glowinski - Tran] (97) 9

25 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens fort: Techniques d interpolation. [Kunz - Simpson] (81), [Prescott - Shuley] (92), [Chevalier - Luebbers] (97) [Zakharian - Brio - Moloney] (04) [M. Berger - Colella - R.J. Leveque - Oliger] (84-98) 10

26 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens fort: Techniques d interpolation. [Kunz - Simpson] (81), [Prescott - Shuley] (92), [Chevalier - Luebbers] (97) [Zakharian - Brio - Moloney] (04) [M. Berger - Colella - R.J. Leveque - Oliger] (84-98) F.D.T.D. Consistance. Peuvent être instables sous la CFL habituelle si on couple des schémas intérieurs non-dissipatifs (Analyse G.K.S.). 10

27 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens faible: Décomposition de domaines en espace-temps: [Gander - Halpern - Nataf] (03) 10

28 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens faible: Décomposition de domaines en espace-temps: [Gander - Halpern - Nataf] (03) Volumes finis. Consistance. Stabilité prouvée pour certains cas. 10

29 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens faible: Décomposition de domaines en espace-temps: [Gander - Halpern - Nataf] (03) Volumes finis. Consistance. Stabilité prouvée pour certains cas. Méthodes conservatives: [Collino - Fouquet - Joly] (03), [Bécache - Joly - R.] (04), F.D.T.D., éléments finis, 10

30 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens faible: Décomposition de domaines en espace-temps: [Gander - Halpern - Nataf] (03) Volumes finis. Consistance. Stabilité prouvée pour certains cas. Méthodes conservatives: [Collino - Fouquet - Joly] (03), [Bécache - Joly - R.] (04), [Piperno] (03) F.D.T.D., éléments finis, volumes finis, G.D. 10

31 État de l art. Raffinement espace - temps Méthodes avec des équations de raccord au sens faible: Décomposition de domaines en espace-temps: [Gander - Halpern - Nataf] (03) Volumes finis. Consistance. Stabilité prouvée pour certains cas. Méthodes conservatives: [Collino - Fouquet - Joly] (03), [Bécache - Joly - R.] (04), [Piperno] (03) F.D.T.D., éléments finis, volumes finis, G.D. Stabilité assurée par construction. Consistance. 10

32 Les équations de l élastodynamique Ω ρ v t A σ t div(σ) = f dans Ω ε(v) = 0 dans Ω 11

33 Les équations de l élastodynamique Ω ρ v t A σ t div(σ) = f dans Ω ε(v) = 0 dans Ω 11

34 Les équations de l élastodynamique Le point de vue de la décomposition de domaines. Formulation comme un problème de transmission entre deux sous-domaines. Ω c Γ Ω f ρ v c t div(σ c) = f dans Ω c A σ c t ε(v c) = 0 dans Ω c ρ v f t div(σ f ) = f dans Ω f A σ f t ε(v f ) = 0 dans Ω f σ c n c = σ f n f, sur Γ v c = v f sur Γ 11

35 Formulation variationnelle Utiliser la même formulation sur chaque sous-domaine. 12

36 Formulation variationnelle Utiliser la même formulation sur chaque sous-domaine. σ l, τ l X sym l = { τ L 2 (Ω l )/ τ sym., div( τ) L 2 (Ω l ) } v l, w l M l = L 2 (Ω l ), ε(v l ) : τ l Ω l = div(τ l ) v l + τ l n l v l Ω l Γ 12

37 Formulation variationnelle Utiliser la même formulation sur chaque sous-domaine. σ l, τ l X sym l = { τ L 2 (Ω l )/ τ sym., div( τ) L 2 (Ω l ) } v l, w l M l = L 2 (Ω l ), ε(v l ) : τ l Ω l = div(τ l ) v l + τ l n l j l Ω l Γ On introduit un multiplicateur de Lagrange ( trace de v l ) j l, µ J = H 1 2 (Γ), 12

38 Formulation variationnelle Trouver (σ f, σ c, v f, v c, j f, j c ) X sym f X sym M c f M c J 2 ρ v c Ω c t w c div(σ c ) w c = f w c Ω c Ω c A σ c : τ c + div(τ c ) v c τ c n c j c = 0 Ω c t Ω c Γ ρ v f Ω f t w f div(σ f ) w f = f w f Ω f Ω f A σ f : τ f + div(τ f ) v f τ f n f j f = 0 Ω f t Ω f Γ σ f n f µ = σ c n c µ, j f = j c. Γ Γ 12

39 Conservation de l énergie L énergie E := E c + E f, E l := 1 [ ] A σ l : σ l + ρ v l 2, 2 Ω l l {c, f } satisfait de dt = Γ (σ c n c j c + σ f n f j f ) + l {c,f } Ω l f l v l En l absence de forces externes, elle est conservée. 13

40 Discrétisation en espace Ω c Ω f Γ x c = x x f = x/p H = x 14

41 Discrétisation en espace Ω c Ω f Γ x c = x x f = x/p H = x X sym h l X l, M hl M l, l {c, f }, J H J 14

42 Discrétisation en espace Trouver (σ h l, v h l, j H l ) X sym M h hl J l H ρ v h c Ω c t w c h div(σ h c) wc h = Ω c f wc h Ω c A σh c : τc h + div(τc h ) v h c τc h n c j H c = 0 Ω c t Ω c Γ ρ v h f Ω f t w f h div(σ h f ) w f = f wf h Ω f Ω f A σh f : τf h + div(τf h Ω f t ) v h f τf h n f j H f = 0 Ω f Γ σ h f n f µ H = σ h cn c µ H, j H c = j H f Γ Γ 14

43 Discrétisation en espace M v,c d dt V c D c Σ c = F c M σ,c d dt Σ c + D t cv c C Γ,c J c = 0 M v,f d dt V f D f Σ f = F f M σ,f d dt Σ f + D t f V f C Γ,f J f = 0, dans Ω c,, dans Ω f, C t Γ,c Σ c = C t Γ,f Σ f, J c = J f, sur Γ, 14

44 Discrétisation en espace M v,c d dt V c D c Σ c = F c M σ,c d dt Σ c + D t cv c C Γ,c J = 0, dans Ω c, M v,f d dt V f D f Σ f = F f M σ,f d dt Σ f + D t f V f C Γ,f J = 0, dans Ω f, [C t Γ,c (M σ,c) 1 C Γ,c + C t Γ,f (M σ,c) 1 C Γ,f ] J = C t Γ,c (M σ,c) 1 D t cv c + C t Γ,f (M σ,f ) 1 D t f V c 14

45 Les espaces d approximation X sym h l = { τl h X sym l : τ h l C [Q 1(C)] 2 2}, σ h xx M σ,l est diagonale par blocs σ g zz σ xz σ b xx σ d zz 15

46 Les espaces d approximation X sym h l = M hl = { τl h X sym l : τ h l C [Q 1(C)] 2 2}, { w h l M l : w h l C [Q 0(C)] 2}, [Tsogka] (v x, v z ) M σ,l est diagonale par blocs σ g zz σ h xx σ xz σ d zz M v,l est diagonale σ b xx 15

47 Les espaces d approximation X sym h l = M hl = { τl h X sym l : τ h l C [Q 1(C)] 2 2}, { w h l M l : w h l C [P 1(C)] 2}, (v x, v z ) M σ,l est diagonale par blocs σ g zz σ h xx σ xz σ d zz M v,l est diagonale σ b xx 15

48 Les espaces d approximation J H = { µ H L 2 (Γ) : µ H S [P 0(S)] 2} J Ω c Γ H = x Ω f 15

49 Discrétisation en temps n + 1 n + 1 n n Σ l n n p = 3 V l Ω c Γ Ω f 16

50 Discrétisation en temps n + 1 n + 1 J n+ 5 6 f n J n+ 1 2 c J n+ 1 2 f n J n+ 1 6 f n n p = 3 Σ l V l Ω c Γ Ω f 16

51 V n+ 1 2 c V n 1 2 c M v,c t Σ n+1 c Σ n c M σ,c t V n+ f M v,f 2k+1 2p k+1 p Σ n+ f M σ,f t/p 2k 1 n+ 2p V f t/p Σ n+ k p f Discrétisation en temps D c Σ n c = F n c, + D t cv n+ 1 2 c = C Γ,c J n+ 1 2 c, + D t f D f Σ n+ k p f = F n+ k p f, 2k+1 n+ 2p V f = C Γ,f J, dans Ω c 2k+1 n+ 2p f,, dans Ω f 16

52 V n+ 1 2 c V n 1 2 c M v,c t Σ n+1 c Σ n c M σ,c t V n+ f M v,f 2k+1 2p k+1 p Σ n+ f M σ,f t/p 2k 1 n+ 2p V f t/p Σ n+ k p f Discrétisation en temps D c Σ n c = F n c, + D t cv n+ 1 2 c = C Γ,c J n+ 1 2 c, + D t f D f Σ n+ k p f = F n+ k p f, n+ 2k+1 2p 2k+1 n+ 2p V f = C Γ,f J, dans Ω c 2k+1 n+ 2p f,, dans Ω f Relation entre J n+ 1 2 c et Jf? (Approx. de J c (t) = J f (t)). Comment peut-on discrétiser CΓ,c t Σ c(t) = CΓ,f t Σ f (t)? 16

53 Conservation d une énergie E n c = 1 2 (M σ,cσ n c, Σ n c) (M v,cv n+ 1 2 c, V n 1 2 c ) 2n+1 2p n p Ef = 1 n n 2 (M p σ,f Σf, Σ p f ) (M v,f V f E n = Ec n + Ef n 1 Aσ : σ Ω 2 Ω, V ρ v 2 2n 1 2p f ) 17

54 Conservation d une énergie E n c = 1 2 (M σ,cσ n c, Σ n c) (M v,cv n+ 1 2 c, V n 1 2 c ) 2n+1 2p n p Ef = 1 n n 2 (M p σ,f Σf, Σ p f ) (M v,f V f E n = Ec n + Ef n 1 Aσ : σ Ω 2 Ω, V ρ v 2 2n 1 2p f ) Conservation de l énergie C t Γ,c Σ n+1 c + Σ n c 2 p 1 c = J n+ 1 2 Si CFL satisfaite = Stabilité l=0 C t Γ,f l+1 n+ p Σf + Σ n+ l p f 2p 2l+1 n+ 2p Jf 17

55 Conservation d une énergie E n c = 1 2 (M σ,cσ n c, Σ n c) (M v,cv n+ 1 2 c, V n 1 2 c ) 2n+1 2p n p Ef = 1 n n 2 (M p σ,f Σf, Σ p f ) (M v,f V f E n = Ec n + Ef n 1 Aσ : σ Ω 2 J n+ 1 2 c = J n+ 1 2, Ω, V ρ v 2 2n 1 2p f ) 2k+1 n+ 2p Jf = J n+ 1 2, k {0,..., p 1}, C t Γ,c Σ n+1 c + Σ n c 2 p 1 = l=0 C t Γ,f l+1 n+ p Σf + Σ n+ l p f 2p 17

56 Interaction entre les multiplicateurs de Lagrange n + 1 n + 1 n J n+ 1 2 n Σ l n n p = 3 V l Ω c Γ Ω f 18

57 V n+ 1 2 c V n 1 2 c M v,c t Σ n+1 c Σ n c M σ,c t V n+ f M vf 2k+1 2p k+1 p Σ n+ f M σ,f t/p Le schéma numérique 2k 1 n+ 2p V f t/p Σ n+ k p f D c Σ n c = F n c, + D t cv n+ 1 2 c = C Γ,c J n+ 1 2, + D t f D f Σ n+ k p f = F n+ k p f, 2k+1 n+ 2p V f = C Γ,f J n+ 1 2,, dans Ω c, dans Ω f C t Γ,c Σ n+1 c + Σ n c 2 p 1 = l=0 C t Γ,f l+1 n+ p Σf + Σ n+ l p f 2p 19

58 V n+ 1 2 c V n 1 2 c M v,c t Σ n+1 c Σ n c M σ,c t V n+ f M vf 2k+1 2p k+1 p Σ n+ f M σ,f t/p Le schéma numérique 2k 1 n+ 2p V f t/p Σ n+ k p f D c Σ n c = F n c, + D t cv n+ 1 2 c = C Γ,c J n+ 1 2, + D t f D f Σ n+ k p f = F n+ k p f, 2k+1 n+ 2p V f = C Γ,f J n+ 1 2, ] [CΓ,c t (M σ,c) 1 C Γ,c + CΓ,f t A f ( t f )C Γ,f J n+ 1 2 =, dans Ω c, dans Ω f L(Σ n c, V n+ 1 2 c, Σ n f, V n+ 1 2p f, F ) Détails 19

59 B 1 p = 2 Expériences numériques Milieu homogène isotrope: ρ = 1, µ = 2.04, λ = Domaine de calcul: Ω = [0, 10] [0, 10]. x = 1/15. α = t/ x = 0.95CFL opt. Condition initiale de rayon 1.5. p = 5 B 3 p = 10 B 4 B 2 p = 3 20

60 21 Expériences numériques

61 Le modèle simplifié 1D Grille grossière (x < 0). A u c t ρ v c t v c x u c x = 0 = 0 v c (0, t) = j c (t) A u f t ρ v f t Grille fine (x > 0). v f x u f x = 0 = 0 v f (0, t) = j f (t) t u c (0, t) = u f (0, t) j c (t) = j f (t) A = I, ρ = 1 u l v l j l x 22

62 Le modèle simplifié 1D Dans la grille grossière: (v c ) n+ 1 2 (v j+ 1 c ) n 1 2 j t (u c ) n+1 j (u c ) n j t Dans la grille fine: 2n+1 2n 1 2p 2p (v f ) 2j+1 (v f ) 2j+1 2p 2p t/p n+1 n p p (u f ) j (u f ) j p p t/p (u c ) n j+1 (u c) n j x (v c ) n+ 1 2 (v j+ 1 c ) n+ 1 2 j x n p (u f ) j+1 p 2n+1 2p (v f ) 2j+1 2p n p (u f ) j p x/p 2n+1 2p (v f ) 2j 1 2p t/p = 0, j < 0, = 0, j < 0. = 0, j 0, = 0, j > 0. 22

63 Le modèle simplifié 1D Les équations de couplage (v f ) (v c ) n k+1 n+ 2p 1 2p (u c ) n (u c ) n 0 2 x [ (uc ) n+1 0 (u c ) n ] 0 2 t + x ] k+1 n+ p [(u f ) 0 (u f ) n+ k p 0 2 t = p 1 k=0 = j n+ 1 2, = j n+ 1 2, k+1 n+ p (u f ) 0 + (u f ) n+ k p 0. 2p 22

64 Analyse par ondes planes sur une grille uniforme Ondes planes harmoniques u n j = U e i(kx j ωt n), v n+ 1 2 j+ 1 2 = V e i(kx j+ 1 ωt n+ 1 2 ) 2 ( ) ( ) ω t k x sin 2 = α 2 sin α = t x Relation de dispersion ω 2π t ω π t ω ω π t 23

65 Analyse par ondes planes sur une grille uniforme Soit ω = 2 t arcsin(α), alors si ω [ ω, ω ] + 2π t Z: k ± (ω) = ± 2 x arcsin l onde est propagative. si ω [ ω, ω ] + 2π t Z: ( α 1 sin k ± (ω) = ± π 2i sign(ω)± x x argch l onde est évanescente. ( ω t 2 ( α 1 sin )), U = ±V, ( ω t 2 )), U = ±V, 23

66 Analyse par ondes planes sur deux grilles Un problème de propagation d ondes sur un milieu bi-couche Ω c Γ Ω f R ω T 0 ω 1 ω 24

67 Analyse par ondes planes sur deux grilles Un problème de propagation d ondes sur un milieu bi-couche Ω c Γ Ω f R ω T 0 ω 1 ω T k ω + 2πk t Dans la grille fine il faut considérer plus de fréquences... 24

68 Analyse par ondes planes sur deux grilles ω c ω c 3π t π t π t 3π t Ω c ω 2π t ω ω + 2π t 24

69 Analyse par ondes planes sur deux grilles ω c ω c 3π t π t π t 3π t Ω c p = 3 ω 2π t ω ω + 2π t ω f ω f 3π t 3π t Ω f 24

70 Analyse par ondes planes sur deux grilles Dans la grille grossière (u c ) n j = e i(k+ c (ω)x j ωt n ) + R e i(k c (ω)x j ωt n), (v c ) n+ 1 2 j+ 1 2 = e i(k+ c (ω)x j+ 1 ωt n+ 1 2 ) 2 R e i(k c (ω)x j+ 1 2 ωt n+ 1 2 ). Dans la grille fine n p (u f ) j p 2n+1 2p (v f ) 2j+1 2p = = p 1 k=0 p 1 T k e i(k+ f (ω+ 2πk t )x jp (ω+ 2πk t )t np ), T k e i(k+ f (ω+ 2πk k=0 t )x 2j+1 2p Les p + 1 amplitudes sont les inconnues. (ω+ 2πk t )t 2n+1 2p ). 24

71 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. 24

72 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. Pour la convergence: 24

73 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. Pour la convergence: R t 0 0, T 0 t 0 1, T k t 0 0, k {1,..., p 1}. 24

74 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. Pour la convergence: R t 0 0, T 0 t 0 1, T k t 0 0, k {1,..., p 1}. La nature des ondes pour ω t petit 24

75 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. Pour la convergence: R t 0 0, T 0 t 0 1, T k t 0 0, k {1,..., p 1}. La nature des ondes pour ω t petit Les ondes transmise et réfléchie de fréquence ω sont propagatives. 24

76 Analyse par ondes planes sur deux grilles On calcule R, T k, k {0,..., p 1} avec les équations de transmission. Pour la convergence: R t 0 0, T 0 t 0 1, T k t 0 0, k {1,..., p 1}. La nature des ondes pour ω t petit Les ondes transmise et réfléchie de fréquence ω sont propagatives. Les ondes parasites dépendent de α. Si ( ) 0 < α < sin = Toutes évanescentes. π p 24

77 Les résultats pour p = 2 Si 0 < α < 1 (l onde parasite est évanescente): R(ω t, α) = 1 [1 3α ] 64 2 (ω t) 2 + O(ω t) 3, T 0 (ω t, α) = 1 3 [1 + 1α ] 64 2 (ω t) 2 + O(ω t) 3, T 1 (ω t, α) = iα 4 1 α 2 (ω t) + O(ω t)3. 25

78 Les résultats pour p = 2 Si 0 < α < 1 (l onde parasite est évanescente): R(ω t, α) = 1 [1 3α ] 64 2 (ω t) 2 + O(ω t) 3, T 0 (ω t, α) = 1 3 [1 + 1α ] 64 2 (ω t) 2 + O(ω t) 3, T 1 (ω t, α) = iα 4 1 α 2 (ω t) + O(ω t)3. Si α = 1 (l onde parasite est propagative): R(ω t, 1) = 0, T 0 (ω t, 1) = cos(ω t) = T 1 (ω t, 1). 25

79 Les résultats dans le cas général Si α < sin ( π p ) = O( t) 3 2. p = α 26

80 Les résultats dans le cas général Si α < sin ( π p ) = O( t) 3 2. ( ) Si 0 α = sin πk p, k N = O( t) 1 2. p = α 26

81 Les résultats dans le cas général Si α < sin ( π p ) = O( t) 3 2. ( ) Si 0 α = sin πk p, k N = O( t) 1 2. Sinon = O( t). Détails p = α 26

82 Une présentation technique Raffinement de maillage spatio-temporel conservatif Présentation de la méthode Expériences numériques: Phénomènes parasites Analyse de Fourier 1D Une nouvelle technique de raffinement spatio-temporel Post-traitement en temps Expériences numériques avec la nouvelle méthode Un nouveau schéma Analyse de Fourier 1D Une expérience numérique moins académique 27

83 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t n 2 ) = T 1 (ω t, α) e 28

84 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 = ( 1) n 2π i(k(ω t )x j2 ωt n 2 ) T 1 (ω t, α) e Comportement hautement oscillatoire 28

85 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 = ( 1) n 2π i(k(ω t )x j2 ωt n 2 ) T 1 (ω t, α) e La valeur moyenne entre deux pas de temps consécutifs: (ũ par f ) 2n+1 4 j 2 := (u par f ) n+1 j (u par f ) n 2 j

86 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t n 2 ) = T 1 (ω t, α) e (ũ par f ) 2n+1 4 j 2 La valeur moyenne entre deux pas de temps consécutifs: [ = T 1 (ω t, α) ω t ] + O(ω t) 3 4 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t 2n+1 4 ) e 28

87 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t n 2 ) = T 1 (ω t, α) e (ũ par f ) 2n+1 4 j 2 La valeur moyenne entre deux pas de temps consécutifs: [ = T 1 (ω t, α) ω t ] + O(ω t) 3 4 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t 2n+1 4 ) e Encore mieux: (ū par f ) n 2 j 2 := (u par f ) n+1 j (u par f ) n 2 j (u par f ) n 1 2 j 2 28

88 Post-traitement en temps pour p = 2 L onde parasite (u par f ) n 2 j 2 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t n 2 ) = T 1 (ω t, α) e (ũ par f ) 2n+1 4 j 2 La valeur moyenne entre deux pas de temps consécutifs: [ = T 1 (ω t, α) ω t ] + O(ω t) 3 4 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t 2n+1 4 ) e Encore mieux: (ū par f ) n 2 j 2 = T 1 (ω t, α) [ (ω t) O(ω t) 4 ] 2π i(k(ω t )x j2 (ω 2π t )t n 2 ) e 28

89 Post-traitement en temps pour le cas général La dernière équation de couplage suggère Σ n+ 1 2 c := Σn+1 c + Σ n c, 2 V n c := V n+ 1 2 c + V n dans la grille grossière, 1 2 c, 2 n p Σ f := 2n+1 p V f := p 1 l=0 p 1 V l=0 n+l+1 p Σf 2n+2l+3 2p f n+l p + Σf, 2p + V 2p 2n+2l+1 2p f, dans la grille fine, 29

90 Expériences numériques Comp 30

91 Le nouveau schéma n n J n+ 1 3 f n J n c J n f n 1 2 J n 1 3 f n 1 6 n 1 2 p = 3 Σ l V l Ω c Γ Ω f 31

92 Le nouveau schéma V n c V n 1 c M v,c t Σ n+ 1 2 c Σ n 1 2 c M σ,c t D c Σ n 1 2 c = F n 1 2 c, + D t cv n c = C Γ,c J n c, V n+ f M v,f 2k+1 2p 1 2 2k 1 n+ 2p V 1 2 f t/p Σ n+ k+1 p 1 2 f Σ n+ k p 1 2 f M σ,f t/p D f Σ n+ k p 1 2 f = F n+ k p 1 2 f, + D t f V n+ 2k+1 2p 1 2 f = C Γ,f J 2k+1 n+ 2p 1 2 f 31

93 Le nouveau schéma Toutes les équations de transmission J n c = 1 2 Jn Jn 1 2, [ 1 2k + 1 2p 2k+1 n+ 2p J 1 2 f = C t Γ,c Σn+ 1 2 c = C t Γ,f Σ n+ 1 2 f ] J n k + 1 2p Jn+ 1 2, sont consistantes à l ordre deux! 31

94 Interaction entre les multiplicateurs de Lagrange n J n+ 1 2 n n n 1 6 Σ l V l n 1 2 J n 1 2 n 1 2 p = 3 Ω c Γ Ω f 32

95 Les résultats dans le cas général ( ) Si 0 α = sin πk p, k N = O( t) 3 2. p = α 33

96 Les résultats dans le cas général ( ) Si 0 α = sin πk p, k N = O( t) 3 2. Sinon = O( t) 2. Détails p = α 33

97 Une présentation technique Raffinement de maillage spatio-temporel conservatif Présentation de la méthode Expériences numériques: Phénomènes parasites Analyse de Fourier 1D Une nouvelle technique de raffinement spatio-temporel Post-traitement en temps Expériences numériques avec la nouvelle méthode Un nouveau schéma Analyse de Fourier 1D Une expérience numérique moins académique 34

98 35 Une expérience numérique moins académique

99 35 Une expérience numérique moins académique

100 35 Une expérience numérique moins académique

101 Conclusions et... Méthode de raffinement de maillage spatio-temporel performante et robuste bien adaptée au code ATHENA2D. Technique avec multiplicateur. 36

102 Conclusions et... Méthode de raffinement de maillage spatio-temporel performante et robuste bien adaptée au code ATHENA2D. Technique avec multiplicateur. Méthode de couplage des problèmes de propagation d ondes capable de gérer des maillages non-conformes en espace et en temps. Technique sans multiplicateur [Diaz]. 36

103 Conclusions et... Méthode de raffinement de maillage spatio-temporel performante et robuste bien adaptée au code ATHENA2D. Technique avec multiplicateur. Méthode de couplage des problèmes de propagation d ondes capable de gérer des maillages non-conformes en espace et en temps. Technique sans multiplicateur [Diaz]. Nouvelles analyses de convergence. 36

104 Conclusions et... Méthode de raffinement de maillage spatio-temporel performante et robuste bien adaptée au code ATHENA2D. Technique avec multiplicateur. Méthode de couplage des problèmes de propagation d ondes capable de gérer des maillages non-conformes en espace et en temps. Technique sans multiplicateur [Diaz]. Nouvelles analyses de convergence. Nouvel élément fini qui assure la convergence de la méthode des domaines fictifs. Analyse pour le cas scalaire. 36

105 Conclusions et... Méthode de raffinement de maillage spatio-temporel performante et robuste bien adaptée au code ATHENA2D. Technique avec multiplicateur. Méthode de couplage des problèmes de propagation d ondes capable de gérer des maillages non-conformes en espace et en temps. Technique sans multiplicateur [Diaz]. Nouvelles analyses de convergence. Nouvel élément fini qui assure la convergence de la méthode des domaines fictifs. Analyse pour le cas scalaire. Deux méthodes de couplage entre domaines fictifs et les techniques de raffinement spatio-temporel. 36

106 ... perspectives Implémentation: Essayer des autres choix de multiplicateur de Lagrange. Coder la méthode sans multiplicateur. Implémentation 3-D. 37

107 ... perspectives Implémentation: Essayer des autres choix de multiplicateur de Lagrange. Coder la méthode sans multiplicateur. Implémentation 3-D. Développement des méthodes: Construction des méthodes de raffinement plus précises. Développement des méthodes de raffinement multi-conservatives. 37

108 ... perspectives Implémentation: Essayer des autres choix de multiplicateur de Lagrange. Coder la méthode sans multiplicateur. Implémentation 3-D. Développement des méthodes: Construction des méthodes de raffinement plus précises. Développement des méthodes de raffinement multi-conservatives. Analyse mathématique: Pousser plus loin l analyse de convergence des méthodes de raffinement spatio-temporel avec des techniques énergétiques. Effectuer l analyse de convergence de la méthode des domaines fictifs pour l élastodynamique. Comprendre le défaut de convergence de la méthode des domaines fictifs avec l élément Q div 1 Q 0. 37

109 38

110 Resumé La matrice A f ( t f ) Analyse par Fourier de la méthode conservative Analyse par Fourier de la méthode post-traitée 39

111 Une présentation technique La matrice A f ( t f ) Analyse par Fourier de la méthode conservative Analyse par Fourier de la méthode post-traitée 40

112 La matrice A f ( t f ) Suposons que les matrices N l ( t l ) := M σ,l t2 l 4 Dt l (M v,l ) 1 D l, l {c, f }, sont définies positives (condition CFL habituelle sur chaque domaine). 41

113 4 p 1 p 2 Si p > 2 et impair p 1 2 k=1 La matrice A f ( t f ) [(M σ,f ) 1 ( N f ( t f ) cos 2 ( πk p ) )] 2 M σ,f (M σ,f ) 1 41

114 4 p 1 p 2 Si p > 2 et impair p 1 2 k=1 La matrice A f ( t f ) [(M σ,f ) 1 ( N f ( t f ) cos 2 ( πk p Si p > 2 et pair p 2 1 k=1 4 p 1 p 2 [ (Mσ,f ) 1 N f ( t f ) ] [(M σ,f ) 1 ( N f ( t f ) cos 2 ( πk p ) )] 2 M σ,f ) )] 2 M σ,f (M σ,f ) 1 (M σ,f ) 1 41

115 Une présentation technique La matrice A f ( t f ) Analyse par Fourier de la méthode conservative Analyse par Fourier de la méthode post-traitée 42

116 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

117 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

118 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

119 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

120 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

121 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

122 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

123 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

124 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

125 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

126 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

127 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

128 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

129 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

130 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

131 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

132 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 43

133 Une présentation technique La matrice A f ( t f ) Analyse par Fourier de la méthode conservative Analyse par Fourier de la méthode post-traitée 44

134 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

135 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

136 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

137 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

138 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

139 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

140 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

141 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

142 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

143 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

144 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

145 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

146 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

147 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

148 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

149 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

150 p = 9, α = , R(ω t) T 0 (ω t) T 1 (ω t) = T 8 ( ω t) T 2 (ω t) = T 7 ( ω t) T 3 (ω t) = T 6 ( ω t) T 4 (ω t) = T 5 ( ω t) 45

151 Resumé Présentation L élément Q div 1 Q 0 P1 cont L élément Q div 1 P1 disc P1 cont Amortissement des ondes parasites. Schéma dissipatif 46

152 Une présentation technique Présentation L élément Q div 1 Q 0 P1 cont L élément Q div 1 P1 disc P1 cont Amortissement des ondes parasites. Schéma dissipatif 47

153 Une présentation technique Présentation L élément Q div 1 Q 0 P1 cont L élément Q div 1 P1 disc P1 cont Amortissement des ondes parasites. Schéma dissipatif 48

154 Expériences numériques avec Q div 1 Q 0 P1 cont Onde S incidente Onde P incidente 49

155 Une présentation technique Présentation L élément Q div 1 Q 0 P1 cont L élément Q div 1 P1 disc P1 cont Amortissement des ondes parasites. Schéma dissipatif 50

156 Expériences numériques avec Q div 1 P1 disc P1 cont Onde S incidente Comp Onde P incidente Comp 51

157 Expériences numériques avec Q div 1 P1 disc P1 cont Onde S incidente Onde S incidente X 4 52

158 Expériences numériques avec Q div 1 P1 disc P1 cont Onde S incidente Comp Onde S incidente X 4 Comp β = 6 53

159 Une présentation technique Nombre de points par longueur d onde 54

160 B 1 p = 2 Expériences numériques Milieu homogène isotrope: ρ = 1, µ = 2.04, λ = Domaine de calcul: Ω = [0, 10] [0, 10]. x = 1/15. α = t/ x = 0.95CFL opt. Second membre. p = 5 B 3 p = 10 B 4 B 2 p = 3 55

161 55 Expériences numériques

162 56 N Λ,10 = 10, N Λ,1 = 8,

163 57 N Λ,10 = 13, N Λ,1 = 11,

164 58 N Λ,10 = 17, N Λ,1 = 14,

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½

Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½ Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½ Patrick Ciarlet et Vivette Girault ciarlet@ensta.fr & girault@ann.jussieu.fr ENSTA & Laboratoire Jacques-Louis Lions, Paris 6 Condition

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques

SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques Durée 4 h Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui semble être une erreur d énoncé, d une part il le signale au chef

Plus en détail

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

Transmission d informations sur le réseau électrique

Transmission d informations sur le réseau électrique Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

BTS Groupement A. Mathématiques Session 2011. Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL

BTS Groupement A. Mathématiques Session 2011. Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL BTS Groupement A Mathématiques Session 11 Exercice 1 : 1 points Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL On considère un circuit composé d une résistance et d un condensateur représenté par

Plus en détail

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver

Plus en détail

Appel à Propositions. Thème : «Couplage CFD / CAA»

Appel à Propositions. Thème : «Couplage CFD / CAA» Appel à Propositions CORAC Feuille de route Propulsion Thème : «Couplage CFD / CAA» Référence de l Appel Titre de l appel Personne à contacter responsable de l appel à proposition (AàP) Date de début du

Plus en détail

Une fréquence peut-elle être instantanée?

Une fréquence peut-elle être instantanée? Fréquence? Variable? Instantané vs. local? Conclure? Une fréquence peut-elle être instantanée? Patrick Flandrin CNRS & École Normale Supérieure de Lyon, France Produire le temps, IRCAM, Paris, juin 2012

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Probabilités III Introduction à l évaluation d options

Probabilités III Introduction à l évaluation d options Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008) Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

THESE DOCTEUR. Génie Electrique. Maxime MOREAU

THESE DOCTEUR. Génie Electrique. Maxime MOREAU N d ordre : 117 ECOLE CENTRALE DE LILLE THESE présentée en vue d obtenir le grade de DOCTEUR en Génie Electrique par Maxime MOREAU DOCTORAT DELIVRE PAR L ECOLE CENTRALE DE LILLE Modélisation haute fréquence

Plus en détail

Deux disques dans un carré

Deux disques dans un carré Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................

Plus en détail

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Les techniques de multiplexage

Les techniques de multiplexage Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe

Plus en détail

Simulation numérique d un stockage de déchets nucléaires en site géologique profond

Simulation numérique d un stockage de déchets nucléaires en site géologique profond Simulation numérique d un stockage de déchets nucléaires en site géologique profond Page 1 de 12 G. Allaire, M. Briane, R. Brizzi and Y. Capdeboscq CMAP, UMR-CNRS 7641, Ecole Polytechnique 14 juin 2006

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre

Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables

Plus en détail

Quantification Scalaire et Prédictive

Quantification Scalaire et Prédictive Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance.

CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. XIII. 1 CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. Dans les chapitres précédents nous avons examiné des circuits qui comportaient différentes

Plus en détail

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot

Plus en détail

Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité

Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité Andreea Grigoriu avec Jean-Michel Coron, Cătălin Lefter and Gabriel Turinici CEREMADE-Université Paris Dauphine

Plus en détail

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons

Plus en détail

CHAPITRE V. Théorie de l échantillonnage et de la quantification

CHAPITRE V. Théorie de l échantillonnage et de la quantification CHAPITRE V Théorie de l échantillonnage et de la quantification Olivier FRANÇAIS, SOMMAIRE I INTRODUCTION... 3 II THÉORIE DE L ÉCHANTILLONNAGE... 3 II. ACQUISITION DES SIGNAUX... 3 II. MODÉLISATION DE

Plus en détail

Systèmes de communications numériques 2

Systèmes de communications numériques 2 Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes cnrs supélec ups supélec, Plateau de Moulon, 9119 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université

Plus en détail

Statistiques Descriptives à une dimension

Statistiques Descriptives à une dimension I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Introduction. Mathématiques Quantiques Discrètes

Introduction. Mathématiques Quantiques Discrètes Mathématiques Quantiques Discrètes Didier Robert Facultés des Sciences et Techniques Laboratoire de Mathématiques Jean Leray, Université de Nantes email: v-nantes.fr Commençons par expliquer le titre.

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

Retournement Temporel

Retournement Temporel Retournement Temporel Rédigé par: HENG Sokly Encadrés par: Bernard ROUSSELET & Stéphane JUNCA 2 juin 28 Remerciements Je tiens tout d'abord à remercier mes responsables de mémoire, M.Bernard ROUSSELET

Plus en détail

Cisco Certified Network Associate

Cisco Certified Network Associate Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques

Plus en détail

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux. UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases

Plus en détail

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Maitine.Bergounioux@labomath.univ-orleans.fr Plan 1. Un peu de

Plus en détail

Systèmes asservis non linéaires

Systèmes asservis non linéaires Christian JUTTEN Systèmes asservis non linéaires Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de troisième année du département 3i Options Automatique Août 2006 1 Table des matières 1 Introduction

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Estimation d erreur de propagation acoustique dans la CFD

Estimation d erreur de propagation acoustique dans la CFD Estimation d erreur de propagation acoustique dans la CFD A. Chelius Onera, 29 avenue de la Division Lelerc, 92322 Châtillon, France alain.chelius@onera.fr 1535 CFA 2014 Poitiers On étudie dans cet article

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

La fonction d onde et l équation de Schrödinger

La fonction d onde et l équation de Schrödinger Chapitre 1 La fonction d onde et l équation de Schrödinger 1.1 Introduction En physique classique, une particule est décrite par sa position r(t). L évolution de sa position (la trajectoire de la particule)

Plus en détail

Master Modélisation Aléatoire Paris VII, Cours Méthodes de Monte Carlo en nance et C++, TP n 2.

Master Modélisation Aléatoire Paris VII, Cours Méthodes de Monte Carlo en nance et C++, TP n 2. Master Modélisation Aléatoire Paris VII, Cours Méthodes de Monte Carlo en nance et C++, TP n 2. Techniques de correction pour les options barrières 25 janvier 2007 Exercice à rendre individuellement lors

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Simulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel

Simulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel Simulation Matlab/Simulink une machine à inuction triphasée Constitution un référentiel Capocchi Laurent Laboratoire UMR CNRS 6134 Université e Corse 3 Octobre 7 1 Table es matières 1 Introuction 3 Moélisation

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx? Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons

Plus en détail

Module : propagation sur les lignes

Module : propagation sur les lignes BS2EL - Physique appliquée Module : propagation sur les lignes Diaporama : la propagation sur les lignes Résumé de cours 1- Les supports de la propagation guidée : la ligne 2- Modèle électrique d une ligne

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une

Plus en détail

LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB

LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB 5.1 Introduction Au cours de séances précédentes, nous avons appris à utiliser un certain nombre d'outils fondamentaux en traitement du

Plus en détail

On ne peut pas entendre la forme d un tambour

On ne peut pas entendre la forme d un tambour On ne peut pas entendre la forme d un tambour Pierre Bérard Institut Fourier Laboratoire de Mathématiques Unité Mixte de Recherche 5582 CNRS UJF Université Joseph Fourier, Grenoble 1 Introduction 1.1 Position

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

Object Removal by Exemplar-Based Inpainting

Object Removal by Exemplar-Based Inpainting Object Removal by Exemplar-Based Inpainting Kévin Polisano A partir d un article de A. Criminisi, P. Pérez & H. K. Toyama 14/02/2013 Kévin Polisano Object Removal by Exemplar-Based Inpainting 14/02/2013

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale. MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

Compression et Transmission des Signaux. Samson LASAULCE Laboratoire des Signaux et Systèmes, Gif/Yvette

Compression et Transmission des Signaux. Samson LASAULCE Laboratoire des Signaux et Systèmes, Gif/Yvette Compression et Transmission des Signaux Samson LASAULCE Laboratoire des Signaux et Systèmes, Gif/Yvette 1 De Shannon à Mac Donalds Mac Donalds 1955 Claude Elwood Shannon 1916 2001 Monsieur X 1951 2 Où

Plus en détail

Chapitre 2 : Techniques de transmission

Chapitre 2 : Techniques de transmission Chapitre 2 : Techniques de transmission /home/kouna/d01/adp/bcousin/repr/cours/2.fm - 14 Janvier 1998 20:09 Plan. Introduction. Phénomènes caractéristiques. Les éléments de la transmission. La modulation.

Plus en détail

Calculs et Certificats de Quantités d Intérêts Non Linéaires d un Mousqueton Cédric Bellis

Calculs et Certificats de Quantités d Intérêts Non Linéaires d un Mousqueton Cédric Bellis Ecole Normale Supérieure de Cachan Département de Génie Mécanique Rapport de Stage de M1 Mécanique et Ingéniérie des Systèmes Stage effectué du 10/04 au 27/08 Laboratori de Càlcul Numèric - Universitat

Plus en détail

Théories de champ moyen et convection à grande échelle

Théories de champ moyen et convection à grande échelle Chapitre Théories de champ moyen et convection à grande échelle 51 Introduction Au cours de ce travail, nous avons à plusieurs reprises été confrontés au problème de la compréhension et de la modélisation

Plus en détail

Le concept cellulaire

Le concept cellulaire Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une

Plus en détail

5.2 Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème

5.2 Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème . Théorème de Fourier et Transformée de Fourier Fourier, Joseph (788). Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème Théorème «de Fourier»: N importe quelle courbe peut être décomposée en une superposition

Plus en détail

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014 Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal

Plus en détail

Laboratoires de Physique générale

Laboratoires de Physique générale Laboratoires de Physique générale Cours PHYS-F101 et PHYS-F102, BA1 en Sciences Physiques Année académique 2010-2011 Titulaires : Laurent Favart et Pascal Vanlaer Assistants : Malek Mansour et Tiziana

Plus en détail

Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique

Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique Gerald R. Kneller kneller@llb.saclay.cea.fr, kneller@cnrs-orleans.fr Université d Orléans Laboratoire Léon Brillouin, CEA Saclay

Plus en détail

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

Mathématiques I Section Architecture, EPFL

Mathématiques I Section Architecture, EPFL Examen, semestre d hiver 2011 2012 Mathématiques I Section Architecture, EPFL Chargé de cours: Gavin Seal Instructions: Mettez votre nom et votre numéro Sciper sur chaque page de l examen. Faites de même

Plus en détail

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème... TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................

Plus en détail

Gestion réactive des opérations de maintien et d actualisation réglementaire et technologique des systèmes complexes.

Gestion réactive des opérations de maintien et d actualisation réglementaire et technologique des systèmes complexes. Gestion réactive des opérations de maintien et d actualisation réglementaire et technologique des systèmes complexes. LE QUERE Yann, SEVAUX Marc, TRENTESAUX Damien, TAHON Christian Equipe Systèmes de Production

Plus en détail

Systèmes de communications numériques 2

Systèmes de communications numériques 2 Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université

Plus en détail

Contrôle Non Destructif : Implantation d'algorithmes sur GPU et multi-coeurs. Gilles Rougeron CEA/LIST Département Imagerie Simulation et Contrôle

Contrôle Non Destructif : Implantation d'algorithmes sur GPU et multi-coeurs. Gilles Rougeron CEA/LIST Département Imagerie Simulation et Contrôle Contrôle Non Destructif : Implantation d'algorithmes sur GPU et multi-coeurs Gilles Rougeron CEA/LIST Département Imagerie Simulation et Contrôle 1 CEA R & D for Nuclear Energy 5 000 people Nuclear systems

Plus en détail

Mesures de très faibles vitesses instantanées par échographie Doppler

Mesures de très faibles vitesses instantanées par échographie Doppler N 798 BULLETIN DE L UNION DES PHYSICIEN 1925 Mesures de très faibles vitesses instantanées par échographie Doppler par André DEIBER Lycée Fustel de Coulanges - 67000 Strasbourg et Olivier KEMPF IUFM d

Plus en détail