«Evaluation de la Bientraitance en établissement sanitaire et en EHPAD : Regards Croisés des professionnels de santé et des patients/résidents»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "«Evaluation de la Bientraitance en établissement sanitaire et en EHPAD : Regards Croisés des professionnels de santé et des patients/résidents»"

Transcription

1 «Evaluation de la Bientraitance en établissement sanitaire et en EHPAD : Regards Croisés des professionnels de santé et des patients/résidents» Réunion de présentation 27/06/2017 Noémie Terrien, coordonnateur Aurélie Gaultier, statisticienne Marion Lucas, chargée de missions

2 Ordre du jour Contexte Présentation de l outil Perspectives Enseignements des enquêtes précédentes 2

3 Contexte Promotion de la Bientraitance 3

4 Histoire de la Bientraitance Entre culture et réglementation : l expérience du secteur médico-social, la place de la bientraitance en établissement de santé. «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 4

5 Histoire de la Bientraitance (1) Un terme issue de la petite enfance Comité de Pilotage ministérielle «Opération pouponnières» (1990) Naissance du terme «Bientraitance» en opposition à celui de maltraitance «Faire émerger les potentialités et les ressources propres à tous les acteurs» 1992 : intégration du terme maltraitance et 2012 du terme bientraitance dans les dictionnaires usuels français! «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 5

6 Histoire de la Bientraitance (2) Des évolutions réglementaires, porteur d un projet Bientraitance Loi du 2 janvier 2002 rénovant l action sociale et médico-sociale Affirmer et promouvoir les droits des bénéficiaires et de leur entourage, affirmer le droit des usagers sous l angle d une meilleure reconnaissance du sujet citoyen, en définissant les droits et libertés individuels des usagers du secteur social et médicosocial. Loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé Promotion des droits tels que le respect, la dignité humaine, le droit à la protection de la santé, le consentement libre aux soins, soulagement de la douleur, le droit de mourir dans la dignité. «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 6

7 Histoire de la Bientraitance (3) Qui prend corps dans le secteur médico-social 2007 : Plan gouvernemental de développement de la bientraitance et du renforcement de la lutte contre la maltraitance et création de l Anesm (Agence Nationale de l évaluation de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux) Philippe BAS, Ministre délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la famille. Recommandation de bonnes pratiques professionnelles 2008 «La Bientraitance : définition et repères pour la mise en œuvre» «La bientraitance ne se réduit ni à l absence de maltraitance, ni à la prévention de la maltraitance. La Bientraitance, démarche volontariste, situe les intentions et les actes des professionnels dans un horizon d amélioration continue des pratiques, tout en conservant une empreinte de vigilance incontournable, car il existe une profonde résonnance entre maltraitance et bientraitance.» «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 7

8 Histoire de la Bientraitance (4) Qui prend corps dans le secteur médico-social (2) Programme Mobiqual «Améliorer la qualité du service rendu aux établissements et services médico-sociaux» Porté depuis 2007 par la Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG) pour soutenir l amélioration de la qualité des pratiques professionnelles qualité des soins et du prendre soins en Ehpad, établissements de santé et à domicile Personnes âgée et handicapées Financé depuis 2010 par la Caisse Nationale pour l Autonomie (CNSA) au titre de sa contribution au développement de la qualité des établissements médicosociaux «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 8

9 Histoire de la Bientraitance (5) Une réflexion commune sanitaire et Ehpad Groupe de travail FORAP-HAS (depuis 2010) «Promotion de la bientraitance en établissement de santé et Ehpad» Proposer aux établissements de santé et médico-sociaux des outils opérationnels d aide au développement interne des démarches en faveur de la bientraitance. Donner des clés pour opérationnaliser la démarche de promotion de la Bientraitance au sein de son établissement 6 structures d appui participantes «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 9

10 Histoire de la Bientraitance (6) Une réflexion commune sanitaire et Ehpad (2) Une appropriation commune du concept de Bientraitance Développement d outils pour le déploiement de la bientraitance (Validé par un groupe indépendant) La rédaction d un guide FORAP-HAS en collaboration avec l Anesm et les représentants des usagers (Stratégie de promotion de la bientraitance, Mise à disposition d outils, Stratégie d utilisation) Sortie en octobre 2012 «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» 10

11 Place de la SRA dans la promotion de la Bientraitance Un premier état des lieux en mai 2010 : des besoins identifiés Appropriation du concept de Bientraitance Besoin en formation Besoin en outil de promotion de la Bientraitance Un groupe de travail lancé en juin établissements de santé et Ehpad 25 professionnels (médecins, directeurs, cadres de santé, infirmiers, psychologue, assistante sociale, responsable qualité, etc.) 1er axe de travail : périmètre de la Bientraitance 2 ème axe de travail : développement d outils de promotion de la bientraitance Retours d expériences échanges 3 ème axe de travail : développement d une formation-action 4 ème axe de travail : développement de l implication des usagers / sensibilisation des professionnels 11

12 1 er axe de travail : définition du concept de Bientraitance Brainstorming collectif (99 idées) Analyse qualitative (thématiques et approche processus) Avis individualisés et collectifs (groupe de travail) Juin à septembre 2010 Rapport ministériel février 2011 Modélisation du concept de la Bientraitance Démarche globale et transversale Management, institution, professionnels, patients/résidents, entourage Interactions entre les acteurs 12

13 Bientraitance Savoirs Savoir-faire Les Professionnels (toute catégorie professionnelle) Processus de prise en charge Savoir-être Processus de pilotage Processus de support L établissement, l institution Les patients, les usagers, l entourage Nécessite une vision globale de la prise en charge au-delà de l acte technique et de la posture professionnelle. Nécessite de la coordination et de la communication entre les différents acteurs. Nécessite une adaptation au profil des patients, usagers pris en charge 13 / à la filière de prise en charge / taille de l établissement.

14 2 ème axe de travail : construction d un outil d évaluation A partir du brainstorming initial (99 idées) Elaboration de critères (60 critères) Avis individualisés et collectifs Septembre 2010 à février 2011 Construction d un outil d évaluation Construction de deux grilles d évaluation Outil d auto-évaluation «Regards croisés sur la Bientraitance» 1 ère expérimentation de l évaluation Mai Juin

15 Déjà 3 vagues d évaluation! ère expérimentation 28 établissements, 850 professionnels répondants Analyse statistique et psychométrique Evaluer la perception des professionnels vis-à-vis de la Bientraitance dans leur établissement selon trois indicateurs. «Organisation» «Respect» «Information» ème expérimentation 86 établissements, 3500 professionnels répondants Analyse statistique et psychométrique Evaluer l approche des supports et méthodes mis en œuvre par l établissement selon trois indicateurs «Stratégie et management» «Pratiques et organisation» ème expérimentation 37 établissements, 2395 professionnels répondants et 2422 patients/résidents répondants Projet de recherche PREPS DGOS CONVERGENCE Analyse statistique et psychométrique Evaluation de la Bientraitance en établissement sanitaire et en EHPAD : Regards Croisés des professionnels de santé et des patients/résidents» «Stratégie et management» «Pratiques et organisation» «Organisation» «Respect» «Information» Expérience Patient/Résident 15

16 Présentation de l outil d auto-évaluation «Regards croisés sur la Bientraitance» V3 16

17 Outil d auto-évaluation «Regards croisés sur la Bientraitance» Place dans le déploiement de la Bientraitance Outil d évaluation à l attention de l établissement Outil d évaluation à l attention des professionnels Outil d évaluation à l attention des patients / résidents Identifier les leviers et faiblesses au sein de son établissement Regards croisés : volet organisationnel, point de vue des patients/résidents et point de vue des professionnels Impulser la démarche, poser un état des lieux Apprécier l impact des actions d amélioration mises en œuvre. 17

18 Etablir un état des lieux de la Bientraitance dans l établissement Apprécier les écarts et cohérences entre le ressenti des patients/résidents, des professionnels et la mise en œuvre des méthodes et supports par l établissement. Définir et prioriser la mise en place d actions opérationnelles en faveur de la Bientraitance Un outil dans une démarche globale et participative 18

19

20 Trois questionnaires d évaluation (1) Auto-évaluation établissement Complétude par le management + représentants des usagers (réunion COPIL) Version sanitaire / Version EHPAD 19 items sur le processus de pilotage de l établissement 19 items sur les processus supports de l établissement 2 items sur le profil d établissement pour les établissements sanitaires. 20

21 Trois questionnaires d évaluation (2) Questionnaire à l attention des professionnels Individuel et anonyme Professionnels médico-soignants Version sanitaire / Version Ehpad Temps de remplissage : 15 minutes 14 items sur le regard du professionnel sur ses pratiques individuelles 10 items sur le regard du professionnel sur les pratiques collectives de l établissement / service / unité 5 items sur le profil du répondant 1 item à commentaire libre 21

22 Trois questionnaires d évaluation (3) Questionnaire à l attention des patients / résidents Individuel et anonyme Patients volontaires de + 15 ans en capacité de répondre et hospitalisés depuis au moins 2 nuits consécutives (MCO) et 10 jours (SLD/SSR) Résidents volontaires en capacité de répondre et hébergés depuis au moins 3 mois consécutifs. Version sanitaire / Version EHPAD Temps de remplissage : 10 minutes 9 items sur le vécu, 4 items sur l interaction soignants/soignés, 4 items sur les informations délivrés, 1 (2) item(s) sur le choix et 1item la qualité de soins, 3 items sur le respect de l intimité, 1 (2) item(s) sur la vie sociale, 3 items sur le profil du répondant, 1 item à commentaire libre. 22

23 Différents niveaux d évaluation sont possibles : A échelle de l établissement A l échelle de la filière de prise en charge : MCO, SSR, SLD, EHPAD A l échelle d un service A l échelle d une unité

24 Etablissements des secteurs : MCO, SSR, SLD et EHPAD A l échelle de l établissement, d une filière de prise en charge, d un service ou d une unité. Les professionnels : les Médecins, les Infirmiers, les Aides- Soignantes et Agents de service de l établissement ; Les patients de plus de 15 ans répondant aux critères d inclusion, notamment une durée d hospitalisation > 2 nuits consécutives (à temps plein ou temps partiel) au moment de l enquête ; Les résidents répondant aux critères d inclusion, notamment un hébergement > 3 mois consécutifs au moment de l enquête. 24

25

26

27

28

29

30 Plateforme eforap -> Réception de la charte d engagement complétée et signée -> Ouverture de compte eforap et envoi de l identifiant et du mot de passe par mail au responsable de la campagne, avec en copie l interlocuteur QualiREL -> Connexion à la plateforme :

31 -> Retrouver également un guide d utilisation complet

32 -> Liste des outils disponibles sur votre compte eforap

33 -> Autant d enquêtes que de services/sites/pôles évalués -> 1 rapport de résultat par enquête

34 -> Pour chaque enquête : -> Une campagne correspond à un tour d évaluation

35 Saisie d une description obligatoire

36

37

38

39

40

41 -> Rapport de résultat pour la campagne 1 dans le service 1

42 -> Ajout de la modalité «Non réponse» pour la saisie des questionnaires professionnels et patients/résidents

43 -> Si le nombre de questionnaires analysés ne correspond pas au nombre de questionnaires récoltés ou saisis -> Pour toute question sur la plateforme eforap : Aurélie GAULTIER QualiREL Santé (Antennes de Nantes) Aurelie.gaultier@chu-nantes.fr Secrétariat Nantes : Ligne directe :

44 Présentation du rapport INDIVIDUEL Plan du rapport (1) Modalités organisationnelles de l évaluation - Objectif de l évaluation - Mise en œuvre - Description de la population - Modalités de restitution de résultats Indicateurs - Indicateurs de perception de la bientraitance - Indicateurs d approche managériale - Indicateurs de perception de la bientraitance par les professionnels - Indicateur de perception de la bientraitance par les patients/ résidents P. 2 P. 2 P. 2 P. 3 P. 3 P. 4 P. 5 P. 6 44

45 Présentation du rapport INDIVIDUEL Plan du rapport (2) Regards croisés Concordance des items miroirs de l auto-évaluation de l établissement ; du questionnaire à l attention des professionnels et du questionnaire à l attention des patients/ résidents divisé en 6 parties : - Pilotage - Accueil - Information - Accompagnement - Coordination - Respect Annexes - Résultats de l auto-évaluation de l établissement - Résultats du questionnaire à l attention des professionnels - Résultats du questionnaire à l attention des patients/ résidents 45

46 Présentation du rapport INDIVIDUEL Modalités de restitution des résultats (1) A partir des indicateurs d'approche managériale Centrée sur les pratiques professionnelles Centrée sur le management et les organisations A partir des indicateurs de perception de la bientraitance par les professionnels Respect Organisation Information A partir de l'indicateur de perception de la bientraitance par les patients/résidents Expérience du patient/résident En croisant les données d'auto-évaluation, des questionnaires destinés aux professionnels et aux patients/résidents 49

47 Présentation du rapport INDIVIDUEL Modalités de restitution des résultats (2) Tous les résultats et les indicateurs sont exprimés sur 100. Code couleur pour les indicateurs : 80% entre 60 et 80% < 60% Code couleur pour les taux de réponses positives (Toujours/Très souvent) : 80% entre 60 et 80% < 60% Code couleur pour les taux de réponses négatives (Rarement/Jamais) : 10% Code couleur pour les réponses de l'auto-évaluation établissement : Oui En grande partie Partiellement Non 50

48 Présentation du rapport INDIVIDUEL Indicateurs d approche managériale Centrée sur les pratiques professionnelles XX Réponses à l auto-évaluation de l établissement 51

49 Présentation du rapport INDIVIDUEL Indicateurs de perception des professionnels Centrée sur les pratiques Respect professionnelles XX Regard des professionnels sur leurs pratiques en tant que soignant Taux de toujours/très souvent au questionnaire à l attention des professionnels 52

50 Présentation du rapport INDIVIDUEL Indicateur de perception des patients/résidents Respect Expérience du patient/résident Classement des questions en fonction du taux de «toujours/très souvent» Attention : Lorsque les questionnaires ont été remplis avec l aide d un professionnel, on constate une augmentation des taux de «toujours/très souvent» 53

51 Présentation du rapport INDIVIDUEL Regards croisés L'objectif de cette partie est de Expérience comparer la du perception patient/résident des patients/résidents sur les pratiques de bientraitance vis-à-vis de la perception des professionnels et du management de l'établissement. Nous avons organisé ce regard croisé en 6 parties qui sont les suivantes : Pilotage Accueil Information Accueil Information Accompagnement Coordination Respect Respect 54

52 Présentation du rapport INDIVIDUEL Regards croisés Exemple : Centrée sur les pratiques Respect professionnelles Expérience du patient/résident Pilotage Accueil Accueil Information Accompagnement Coordination Respect Respect 55

53 Présentation des outils de communication AVANT EVALUATION La communication a une influence directe sur le taux de retour! Diaporama Personnalisable et à reprographier par l établissement 57

54 Trois questionnaires d évaluation Auto-évaluation établissement Questionnaire à l attention des professionnels Questionnaire à l attention des patients/ résidents 58

55 Présentation des outils de communication APRES EVALUATION La communication a une influence directe sur le taux de retour! Affiche Personnalisable et à reprographier par l établissement 59

56 Méthode de mise en œuvre (1) 1 Envoi de la charte d engagement (semaine prochaine) 2 Engagement de l établissement dans la démarche Charte d engagement bilatérale Identification d un interlocuteur privilégié Définition du protocole (cadre pré-défini ; aide à la conduite du projet en interne) (Avant le 1 septembre 2017) 60

57 3 4 Méthode de mise en œuvre (2) Mise à disposition du kit Bientraitance via le site internet du réseau qualirelsante.com Questionnaire à l attention des professionnels Questionnaire à l attention des patients / résidents Auto-évaluation établissement Méthodologie de mise en œuvre Supports d information / sensibilisation (A partir de septembre 2017) Communication interne autour de l étude Objectifs de l évaluation Caractère anonyme du questionnaire professionnel Caractère anonyme du questionnaire patient / résident Affiches, dépliant et support type (Septembre-Décembre 2017) 61

58 Méthode de mise en œuvre (3) 5 Mise en œuvre de l évaluation Auto-évaluation établissement Questionnaire à l attention des professionnels Questionnaire à l attention des patients /résidents (Septembre-Décembre 2017) 6 Centralisation et recueil des données Urnes / enveloppes retours (caractère anonyme) Saisie des données par l établissement (masque / site) -plateforme de saisie e-forap- (Septembre-Décembre 2017) 62

59 7 Résultats Méthode de mise en œuvre (4) (immédiat sur la plateforme e-forap) Rapport d analyse de l évaluation «regards croisés sur la Bientraitance» 8 Plan de communication (Premier trimestre 2018) Affiche et Power Point de communication des résultats Mise en place d actions 9 Réunion de restitution des résultats et de retour d expériences (Premier trimestre 2018) 63

60 Temps de mise en œuvre - établissement Juillet-Aout Septembre Septembre Engagement Mise à disposition du kit via qualirelsante.fr Communication Octobre- Décembre Déploiement de l évaluation Octobre- Décembre Centralisation Saisie des données Novembredécembre Rapport d analyse Définition et mise en œuvre du plan d actions Téléchargeable sur qualirelsante.com Généré automatiquement sur eforap + 64

61 Perspectives 65

62 Perspectives Rapport / établissement Etat des lieux. Identification et mise en œuvre d un plan d actions opérationnelles Rapport global Identification des facteurs influents / modélisation Retour d expériences et perspectives de réflexion (premier semestre 2018) Perspectives et mise en œuvre des plans d actions, construction d indicateurs de bientraitance 66

63 Organiser l intégralité du projet ; Nos engagements Respecter la confidentialité des données échangées et des informations; Respecter l anonymat des données quantitatives ; Accompagner de façon méthodologique la mise en œuvre pour chaque établissement ; Mettre à disposition des établissements le kit «Regards croisés sur la Bientraitance» (protocole de l évaluation, questionnaires reprographiés, supports de présentation) ; Rédiger les rapports individualisés via la plateforme e-forap; Valoriser la participation des établissements participants dans les productions scientifiques. 67

64 Quelles contributions attendues des établissements? Désignation au sein de l établissement d une personne chargée de la coordination de l évaluation. Organisation du recueil selon le protocole prédéfini par le Réseau QualiREL Santé. Respect de la confidentialité des données échangées. Communiquer en interne pour faciliter la mise en œuvre du projet (plan de communication mis à disposition) Et maintenant? Quels sont les établissements intéressés? 68

65 Enseignements des enquêtes précédentes 69

66 «Bientraitance» Terme restrictif au regard de ce qu il porte : Renvoi aux interactions individuelles et collectives ; Questionne les pratiques individuelles et collectives ; S inscrit nécessairement dans un changement culturel ; Porte l ambition de passer de l approche centrée sur la personne vers une approche partenariale. 70

67 Faut-il regarder le verre à moitié vide ou à moitié plein? Valoriser Les pratiques individuelles et collectives en faveur de la bientraitance. Porter une attention particulière Aux marges d amélioration et ainsi agir sur les risques de maltraitance (physique, morale, ordinaire ou institutionnelle). 71

68 Les leviers Intérêt de la thématique (participation) Une promotion de la bientraitance renforcée sur les organisations - Levier de la certification (thématique d impulsion) - Levier des outils de la loi et des évaluations internes / externes Nécessitant un dernier coup de pouce pour passer vers une approche centrée sur les pratiques - S appuyer sur les espaces de dialogues avec les usagers et leurs représentants (CDU, CVS) - Intégrer le questionnement sur les pratiques de bientraitance au sein des évaluations de pratiques professionnelles - (Ré) ouvrir des espaces d échanges et d analyses de pratiques entre les professionnels 72

69 Les points de vigilance Les moyens de questionnement (EPP, espaces de réflexions) Les modalités de coordination entre les professionnels L information du patient/résident L implication du patient / résident La question de la qualité de vie au travail «On est bientraitant quand on est bientraité» Un contexte contraint en défaveur des espaces de dialogue et de questionnement «On a plus le temps» 73

70 «Interpeller, c est déjà se questionner» Au final, un outil de mesure sur - Les organisations - La perception des professionnels - L expérience de la personne accueillie Mais ce n est qu un outil - Au-delà des constats, ouvrir les échanges sur les marges d amélioration - Pas de solution «toute faite» 74

71 Identifier l objectif avant de mobiliser l outil Inciter le questionnement individuel et collectif - Analyse de pratiques, questionnement éthique - Charte de promotion de la bientraitance - Se saisir des plaintes et réclamations - Se saisir des évènements indésirables - Ouvrir le dialogue en CDU et CVS - Etc. Favoriser l information et l implication du patient/résident - «Rien sur moi, sans moi» - Outil de reformulation - Outil «Osez dire» - Projet personnalisé - Etc. Améliorer les mécanismes de coordination entre les professionnels -Organiser la culture de l oral : organiser les messages -Renforcer la culture de l écrit : transmissions ciblées -Réfléchir au temps de briefing / débriefing, de concertation -Etc. 75

72 Merci de votre attention!

15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL

15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL 15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE ET DES OUTILS * Sébastien DOUTRELIGNE responsable diffusion nationale, suivi et évaluation Éléments constitutifs Une action nationale initiée

Plus en détail

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de

Plus en détail

Auto-évaluation. Évaluation de la promotion de la bientraitance

Auto-évaluation. Évaluation de la promotion de la bientraitance Auto-évaluation Évaluation de la promotion de la bientraitance Octobre 2012 Référentiel d évaluation des pratiques professionnelles Établissement(s) concerné(s) Responsable du projet Services impliqués

Plus en détail

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé L organisation et la planification

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

Le partenaire de la gestion des risques des acteurs du social et du médico-social

Le partenaire de la gestion des risques des acteurs du social et du médico-social Le partenaire de la gestion des risques des acteurs du social et du médico-social Présentation de la société La société Sham Fondée en 1928 par des Directeurs d hôpitaux SHAM est une Société d Assurance

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Dernière mise à jour le 11/09/15 1

Dernière mise à jour le 11/09/15 1 Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF

Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE

Plus en détail

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

Programme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012

Programme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012 Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité plénier du 10 janvier 2012 Axe 1: Poursuivre le développement de l offre hospitalière et favoriser l essor des dispositifs extrahospitaliers

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21. A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie

Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie Paris, le 25 février 2014 Innovation Capital, société de capital investissement fondée

Plus en détail

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges

Plus en détail

DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE

DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE RAPPORT RELATIF AUX AGREMENTS DES CONVENTIONS ET ACCORDS APPLICABLES AUX SALARIES DES ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MEDICO-SOCIAUX PRIVES A BUT NON LUCRATIF POUR 2010

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

Liaison Bac Pro ASSP - BTS

Liaison Bac Pro ASSP - BTS Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,

Plus en détail

Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution.

Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution. FORMATION CEFIEC Editorial La formation est par essence continue. Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution. La technique, l informatique semblent

Plus en détail

PROJET SENIOR COMPETENCE. Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3

PROJET SENIOR COMPETENCE. Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3 PROJET SENIOR COMPETENCE Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3 3. ACTIONS ET CALENDRIER DU PROJET...5 3.1. ETAT DES LIEUX ET DIAGNOSTIC (1 ER

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent

Plus en détail

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de

Plus en détail

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce 3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles

Plus en détail

Stratégie de déploiement

Stratégie de déploiement Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011

Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu

Plus en détail

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.

Plus en détail

Projet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique

Projet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique Projet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique Les conditions d exercice des missions des agents publics, leurs métiers et l organisation des services ont beaucoup évolué

Plus en détail

Ministère des sports. Le ministre des sports

Ministère des sports. Le ministre des sports Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE

Plus en détail

Proposition de valeur aux Etablissements de santé

Proposition de valeur aux Etablissements de santé Prix valables jusqu au 31 octobre 2015 Proposition de valeur aux Etablissements de santé OFFRE, OPTIONS, SERVICES Les sites d avis deviennent incontournables 91% des français consultent les avis avant

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT

LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT D ÉTABLISSEMENT POUR LES USAGES PÉDAGOGIQUES DU NUMÉRIQUE LETTRE DE MISSION ACADÉMIQUE Vous avez accepté d être le référent pour les usages pédagogiques du numérique de votre

Plus en détail

Mesdames et Messieurs les préfets (pour information)

Mesdames et Messieurs les préfets (pour information) Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère délégué en charge des personnes handicapées et de la lutte contre l exclusion Ministère délégué en charge des personnes âgées et de l autonomie

Plus en détail

Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace!

Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace! Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace! Mardi 14 Février 2012 L accompagnement des professionnels de santé sur le terrain M. Gaston STEINER directeur d Alsace e-santé(gcs) Le DMP, socle

Plus en détail

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,

Plus en détail

CoordinationNationaleInfirmière

CoordinationNationaleInfirmière CoordinationNationaleInfirmière Direction générale de l action sociale Sous-direction des institutions, des affaires juridiques et financières Bureau de la réglementation financière et comptable (5B) Circulaire

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.

La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à

Plus en détail

contre la pauvreté et pour l inclusion sociale

contre la pauvreté et pour l inclusion sociale PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel

Plus en détail

Règlement de fonctionnement du. Service d accompagnants des étudiants

Règlement de fonctionnement du. Service d accompagnants des étudiants Règlement de fonctionnement du Service d accompagnants des étudiants mis à jour au 1er septembre 2014 (Selon décret n 2003-1095 du 14 novembre 2003) 1 Préambule : Préambule : Le présent document s adresse

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

Le projet de L Arche à Nancy, c est

Le projet de L Arche à Nancy, c est Vivre Avec des personnes ayant un handicap mental... Le projet de L Arche à Nancy Au plus près de la vie ordinaire Dans le partage des gestes quotidiens Le projet de L Arche à Nancy, c est de créer trois

Plus en détail

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

CATALOGUE. Interventions - Formations - Accompagnement - Evolution professionnelle CATALOGUE. Développer votre potentiel ici et maintenant ENTRER

CATALOGUE. Interventions - Formations - Accompagnement - Evolution professionnelle CATALOGUE. Développer votre potentiel ici et maintenant ENTRER Développer votre potentiel ici et maintenant Interventions - Formations - Accompagnement - Evolution professionnelle ENTRER Alioth Conseil - 1, chemin de la colline Saint Joseph Alioth - Conseil Résidence

Plus en détail

La feuille de route du Gouvernement en matière d ouverture et de partage des données publiques

La feuille de route du Gouvernement en matière d ouverture et de partage des données publiques La feuille de route du Gouvernement en matière d ouverture et de partage des données publiques L ouverture des données publiques, liberté publique et levier d innovation L ouverture des données publiques

Plus en détail

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Diaporama de présentation. Présentation de l outil

Diaporama de présentation. Présentation de l outil Diaporama de présentation Présentation de l outil Le programme MobiQual Le programme MobiQual est une action nationale élaborée par la SFGG et soutenue par la Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Certification des Etablissements de Santé en France

Certification des Etablissements de Santé en France Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Intérêts de l outil PAACO

Intérêts de l outil PAACO 12 février 2014 Colloque TIC Santé Intérêts de l outil PAACO Association «Gaves et Bidouze» - Plateforme de coordination CLIC, Réseau Gérontologique, MAIA L outil PAACO Objectifs : pourquoi cet outil dans

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d

Plus en détail

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76. 2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire

Plus en détail

Introduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9

Introduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9 1 Sommaire Introduction :... 5 Première partie : la prise en charge de la personne... 9 B. Le traitement des demandes auxquelles il ne peut pas être répondu de manière immédiate.... 10 C. Le traitement

Plus en détail

INTITULE DU POSTE (1) EXPERT MEDICAL évolution des modèles de financement des établissements de santé (MCO et SSR)

INTITULE DU POSTE (1) EXPERT MEDICAL évolution des modèles de financement des établissements de santé (MCO et SSR) Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative Ministère des solidarités et de la cohésion sociale Ministère de la ville Ministère

Plus en détail

Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale

Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé

La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement

Plus en détail

3 e symposium international

3 e symposium international 3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination

Plus en détail

Annexe : Tableau récapitulatif des actions

Annexe : Tableau récapitulatif des actions Direction e de l offre de soins (DGOS) Direction e de la santé () Haute autorité de santé () Annexe : Tableau récapitulatif des actions Axe 1 In du patient, le patient co-acteur de sa sécurité p. 2 Axe

Plus en détail

RAPPORT DE L EVALUATION EXTERNE

RAPPORT DE L EVALUATION EXTERNE I TACA Consultants RAPPORT DE L EVALUATION EXTERNE Service d Accompagnement à la Vie Sociale I.A.D.E.S Antonella Relli Germaine Peyronnet 17 juillet 2012 I TACA Consultants S.A.R.L N Siret : 508 566 40300012

Plus en détail

Catalogue de. formations

Catalogue de. formations Catalogue de 2014 formations GC Epsilim - 4, avenue de la Révolu on - 87000 imoges - Tél. 05 44 00 00 44 - Fax 05 55 58 74 49 - N agrément forma on 74870088287 EITO adame, onsieur, e GC EPII propose à

Plus en détail

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui Avec la Mutualité Française, la santé avance Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mutualité en matière

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC)

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) D ETABLISSEMENT 2013-2017 Rédaction : Page 1 sur 68 D ETABLISSEMENT 2013-2017 - ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) EPS Ville-Evrard Direction Qualité Gestion des Risques

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail