POINT SUR L EFFICACITÉ ÉCONOMIQUE DES ÉLEVAGES BOVINS VIANDE Réseaux d élevage bovins viande Cantal, Lozère, Aveyron et Haute-Loire
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- Raoul Étienne Crevier
- il y a 6 ans
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1 POINT SUR L EFFICACITÉ ÉCONOMIQUE DES ÉLEVAGES BOVINS VIANDE Réseaux d élevage bovins viande Cantal, Lozère, Aveyron et Haute-Loire Les indicateurs de type marges de l atelier ou Excédent Brut d Exploitation restent pertinents en élevage allaitant. L approche des coûts de production et de la rentabilité de l atelier est un complément pour mesurer l efficacité économique des élevages bovins viande. Ce document permet de fournir des références par système sur les niveaux objectifs de performances économiques et les évolutions récentes de ces critères. Description de l échantillon 49 exploitations ont été suivies de 2007 à 2011 par les réseaux d élevage bovins viande des départements du Cantal, Lozère, Haute-Loire et Aveyron. Les données techniques et économiques de ces fermes, sur plusieurs années, permettent de mesurer les évolutions et l impact des conjonctures sur les élevages. Complémentarité des approches et des indicateurs d analyse économique L analyse technico-économique des élevages bovins viande peut combiner différentes approches : > Figure 1 : Localisation des 49 exploitations bovins viande des réseaux d élevage Cantal, Lozère, Haute-Loire et Nord Aveyron Elevage en AB Aubrac avec finition Aubrac broutards + repro. Limousins avec finition Salers avec finition Salers broutards + repro L analyse économique globale à partir de l Excédent Brut d Exploitation = Produit brut - Charges opérationnelles - Charges de structure (hors amortissements et frais financiers). Le calcul de l EBE hors main-d œuvre et foncier permet de comparer la rentabilité des exploitations avant impôts, fermage, MSA et salaires. C est un indicateur de la capacité des exploitations à dégager du résultat. Il permet de comparer différents systèmes en excluant leurs spécificités (mode de faire-valoir et main-d œuvre salariée ou exploitant). La marge de l atelier bovin viande associe les produits et les charges opérationnelles affectables à l activité de l élevage : Marge brute de l atelier = Produits dont ventes et aides (animales et SFP) - charges spécifiques y compris surfaces fourragères. Il s agit de la capacité à dégager du produit après couverture des charges liées à l atelier bovin viande (aliments, frais d élevage, engrais ). Cette marge est ramenée à l Unité Gros Bétail (UGB) ou à l hectare de surface fourragère. Les céréales intraconsommées sur l exploitation sont cédées au prix de marché de l atelier culture à l atelier viande. Le coût de production de l atelier bovin viande regroupe les charges courantes constituées des charges opérationnelles et structurelles affectées à l atelier bovin viande, les amortissements qui rendent compte des investissements réalisés (bâtiment, matériel) et enfin les charges supplétives qui rémunèrent les facteurs de production (foncier, capitaux propres et main-d œuvre non salariée). L ensemble des coûts est ramené à la production brute de viande vive (kgvv) = kg vifs vendus (animaux vendus en vif ou en carcasse transformée en vif) kg achetés + kg d inventaire final kg d inventaire initial et exprimé en /100 kg vifs. Les céréales intraconsommées sont comptabilisées au coût à produire sur l exploitation. 1
2 Dimension, fonctionnement et productivité des systèmes > Tableau 1 : Principaux critères de dimensions et de fonctionnement technique des systèmes d élevage bovins viande en 2011 (source : 49 fermes des réseaux d élevage en conjoncture 2011) Systèmes d'élevage bovin viande (effectif) Élevages en Agriculture Biologique (8) Salers broutards + repro. (10) Salers avec finition de femelles (8) Limousins avec finition (10) Aubrac broutards + repro. (6) Aubrac avec finition de femelles (7) Main d'œuvre totale 1,90 1,54 1,92 2,02 2,33 2,23 Surface Agricole Utile (SAU en ha) Surface fourragère principale (ha) Nombre d'ugb Nombre de vaches allaitantes Productivité numérique Kg de viande vive produits / UGB Chargement UGB / ha SFP 1,47 1,08 1,81 1,14 1,19 0,85 Surface pastorale (ha) Chargement corrigé* UGB / ha SFP 1,18 0,90 1,46 0,93 0,90 0,79 Azote minéral / ha SFP 0 6, ,3 T Matière Sèche stockées / UGB 2,02 2,30 2,29 2,89 2,20 1,92 Kg de concentrés distribués / UGB Productivité (kgvv / UMO) *chargement corrigé : [UGB annuel UGB mis en pension + UGB pris en pension (production de dérobés externes SFP +/- variations de stocks de fourrages achats de fourrages + ventes de fourrages) / kg de matière sèche consommés par UGB]/ ha SFP = UGB corrigés / ha de SFP Les élevages en Agriculture Biologique sont principalement suivis dans le Cantal (5 sur 8). En 2011, ces élevages ont acheté en moyenne 300 kg de matière sèche de fourrage par UGB, soit 6% des besoins annuels totaux ou 15% des stocks fourragers. La productivité animale est limitée à 237 kg de viande vive par UGB par le faible recours aux concentrés pour alourdir les animaux. Certains élevages produisent des veaux sous la mère finis entre 5 et 6 mois pour une valorisation en circuits courts. Les systèmes naisseurs Salers avec broutards et reproducteurs sont principalement situés dans les zones Volcaniques toutes en herbe du Cantal. Ces troupeaux de taille moyenne (63 vaches) sont conduits de manière extensive, avec un chargement apparent de 1,08 UGB / ha de SFP et très peu d intrants. En conséquence, la productivité est limitée à moins de 300 kg vifs/ugb. Les systèmes Salers avec finition sont situés en Châtaigneraie et sont généralement de grande dimension (structure sociétaire) avec 98 vaches en moyenne et utilisent parfois des estives en complément des surfaces autour du siège d exploitation. Ces élevages produisent des animaux alourdis pour l export (380 à 420 kg vifs) et des femelles finies (génisses et vaches de réforme). Situé en zone maïs favorable, le système fourrager basé sur les stocks (maïs, ensilage d herbe ) engendre une forte utilisation d intrants, avec 46 unités d azote par ha de SFP. La consommation de concentrés reste maîtrisée avec 408 kg de concentrés distribués par UGB. Les élevages Limousins principalement en Haute-Loire, sont orientés vers la finition de génisses et de vaches de réforme et pour certains de jeunes bovins. Une partie des mâles est commercialisée en broutards pour l exportation, avec si possible vente de quelques reproducteurs. Ces systèmes détiennent 85 vaches en moyenne et sont consommateurs d intrants pour intensifier les surfaces (céréales, ensilage de maïs et récoltes précoces d herbe), avec un chargement corrigé supérieur à 0,9 UGB/ha SFP, ces exploitations achètent des fourrages. L engraissement des animaux occasionne des consommations de concentrés de l ordre de 880 kg par UGB. Les 6 élevages Aubrac en production de broutards et ventes de reproducteurs sont localisés sur le plateau de l Aubrac et en Margeride. Ils regroupent des exploitations qui produisent des broutards lourds avec parfois des achats complémentaires pour la repousse. Pour produire 340 kg vifs de 2
3 viande par UGB, le troupeau consomme de l ordre de 450 kg de concentrés par UGB. En 2011, les achats de fourrages ont représenté 475 kg de MS par UGB, soit 20 % du besoin en stock annuel (2,2 TMS/UGB). Les Aubrac avec finition sont situés en Lozère et Aveyron. Ils sont engagés dans la finition des femelles en démarches de qualité (Génisses «Fleur d Aubrac» et vaches grasses en «Bœuf Fermier Aubrac») qui engendre une consommation élevée de concentrés en majorité achetés (590 kg par UGB). Avec 1,56 UGB par vache présente, un chargement corrigé de 0,8 UGB/ha de SFP, ces élevages valorisent une SAU moyenne de 138 ha mais achètent peu de fourrages. L économie globale des exploitations par l EBE Objectif d EBE hors main-d œuvre et foncier : + de 50 % du produit, + de / UMO! En conjoncture 2011, l EBE représente 37 % du produit brut, l EBE hors main-d œuvre et foncier s élève à 48 % du produit brut des exploitations ou / UMO totale. Cette capacité à dégager du produit après avoir couvert les charges opérationnelles et de structure a été dégradée de 5 points depuis Cependant, l efficacité à libérer de l EBE peut atteindre jusqu à 70 % du produit total dans certaines exploitations qui diminuent fortement les charges mises en jeu pour produire. > Figure 2 : Approche globale des résultats économiques 2011 des exploitations bovins viande, selon les systèmes d élevage bovins viande (source : 49 fermes des réseaux d élevage en conjoncture 2011) Selon les systèmes les charges opérationnelles passent de 204 / UGB en élevages Agriculture Biologique à 618 / UGB pour les élevages Aubrac + repro. Les charges de structure à l hectare sont plus liées aux dimensions des exploitations : les élevages naisseurs Salers + repro affichent 655 / ha contre 305 / ha pour le groupe des naisseurs Salers avec finition de femelles disposants de 95 ha en moyenne. Entre 2007 et 2011, l EBE hors main-d œuvre et foncier dégagé par UMO s est maintenu autour de , à main-d œuvre constante, par effet conjoint du bilan de santé de la PAC appliqué en 2010 et de l augmentation de la productivité du travail sur la période : - une hausse des aides de l ordre de par UMO entre 2007 et 2011 qui représente 11 % de l EBE hors main-d œuvre et foncier - une augmentation de la productivité du travail avec plus 4 UGB, plus 2 hectares et surtout plus kg vifs de viande produits par travailleur 3
4 La marge brute de l atelier bovin viande Objectif : 500 / UGB > Figure 3 : Situation des marges brutes des ateliers bovins viande en 2011, selon les groupes de systèmes d élevage bovins viande (source : 49 fermes des réseaux d élevage en conjoncture 2011) Les marges brutes des ateliers bovins viande, entre 450 à 550 / UGB, sont très comparables d un système à l autre (figure 3). En effet, un produit d atelier élevé par UGB est souvent synonyme de charges opérationnelles élevées pour l alimentation et la conduite du troupeau. Depuis 2010 et le découplage partiel de la PMTVA, la marge brute de l atelier bovin viande a été réduite de 50 à 60 (figure 4). En 2011, les conditions climatiques très sèches au printemps ont entraîné des achats de fourrages et une diminution de la marge moyenne de l ordre de 30 /UGB malgré la hausse du prix moyen de la viande par rapport à > Figure 4 : Évolution de la marge brute des ateliers bovins viande et du prix moyen du kg vif vendu entre 2007 et Les charges moyennes des ateliers bovins viande sont de 378 / UGB dont 131 d aliments concentrés et fourrages achetés, 62 de charges sur les surfaces fourragères (engrais, semences ), 44 de frais vétérinaire, 32 de frais divers d élevage et 34 d achats de paille. En 2011, la marge atelier varie de l ordre 250 à 800 / UGB dans tous les groupes étudiés. Soit pour 100 UGB, à pour couvrir les charges de structure et tirer une rentabilité de l exploitation. 4
5 Les coûts de production des ateliers bovins viande Objectif : 1,5 SMIC par exploitant > Figure 5 : Coût de production hors rémunération du travail et produit de l atelier bovin viande par 100 kg de viande vive produits, selon les systèmes d élevage en 2011 (source : 49 fermes des réseaux d élevage, conjoncture 2011) En 2011, le coût de production avant rémunération du travail exploitant est en moyenne de 375 / 100 kg vifs (figure 6). Le produit de l atelier bovins viande est de 422 / 100 kg vifs. Soit 47 / 100 kg vifs de différence pour rémunérer le travail des exploitants (de 25 à 75 par 100 kg vifs selon les groupes, figure 5). Avec une productivité moyenne de 21,6 tonnes de viande vive par exploitant, la rémunération permise par le produit est de ou 0,6 SMIC brut par UMO exploitant, en baisse de 0,3 SMIC par rapport à Le poste mécanisation (dépenses d entretien et de fonctionnement du matériel + amortissements) représente à lui seul 28 % du coût de production avant rémunération. Les postes approvisionnement des animaux (achats de concentrés et de fourrages) et des surfaces fourragères et de céréales intraconsommées (engrais, semences ) pèsent 19 % du coût de production avant rémunération. > Figure 6 : Évolution du coût de production moyen avant rémunération du travail exploitant et produit de l atelier bovin viande de 46 élevages de 2009 à 2011 (source : fermes des réseaux d élevage BV) Selon les groupes, le coût de production avant rémunération du travail varie de 319 à 491 (figure 6). En agriculture biologique, la moindre productivité en kg par UGB ou par UMO limite la dilution des charges. Parallèlement, le produit viande et les aides sont également plus élevés pour 100 kg vifs produits. Au final, la rémunération est de 0,4 à 1.25 SMIC brut par UMO exploitant selon les groupes. 5
6 Une conjoncture 2012, plus favorable en viande bovine Un marché en manque d animaux En 2012, la reprise des cours pour toutes les catégories commerciales a été portée par le manque d offre. La décapitalisation observée en 2011 sur le troupeau allaitant, associée à une demande soutenue sur les marchés de l export, tire vers le haut les prix de toutes les catégories commerciales : une hausse moyenne des cotations de 15 % a été enregistrée sur l année 2012 en France. Dans le bassin du sud Massif Central le rebond du prix des vaches de réformes finies de conformation R et U en 2012 est de + 10 à + 15 % par rapport à En parallèle, le prix des broutards a particulièrement augmenté sur les 9 premiers mois de 2012 pour chuter en fin d année (figure 7) et se lisser sur la campagne avec peu de différenciation entre les sorties de printemps et d automne (figure 8). Au final, toutes catégories commerciales confondues, les hausses de prix ont été de 15 % en races rustiques (Salers et Aubrac) et de 12 % en Limousine entre 2011 et > Figure 7 : Cotations mensuelles 2011 et 2012 mâle Aubrac de 350 kg U/R +, source : commission des cotations DRAAF Auvergne. En 2012, le produit des exploitations de bovins viande est en hausse significative de 10 à 20 % par rapport à Malgré la modulation des aides à 10 % et la hausse des coûts alimentaire : + 10 à + 20 % sur les concentrés achetés et + 10 % sur les engrais, la marge brute de l atelier bovin viande progresse de + 30 à + 50 / UGB selon les systèmes de production. > Figure 8 : Évolution du prix des broutards selon les périodes de vente entre 2011 et 2012, source : réseaux d élevage bovin viande. La hausse des charges de structure régulière de 2 à 3 % par an est toujours d actualité en Au final, l EBE hors main-d œuvre et foncier par UMO est de l ordre de quel que soit le système (figure 9). Cela permet une amélioration du revenu de l ordre de à / UMO par rapport à
7 > Figure 9 : Dimension, fonctionnement et résultats des principaux cas-types bovins viande en conjoncture 2012, source : réseaux d élevage BV. Cas-types BV1 BV 5 BV10 BV 14 BV 20 Races Aubrac Aubrac Salers Salers Limousine Unité de Main d Oeuvre exploitants 2,0 2,0 1,5 2,0 1,7 Nombre de vêlages SAU (ha) Taux en croisement 60 % 40 % 65 % 60 % 0 % Catégorie mâle brd cr 12 m brd cr 12 m brd Cr 9-10 m lourds automne Catégorie femelle Brtde croisée 10 mois Génisses Fleurs d Aubrac Broutarde pur "export" brd pur 9-10 m printemps Génisses finies (26-28 mois) brd pur 9-10 m printemps Génisse St- Étienne UGB / vache présente 1,39 1,46 1,25 1,49 1,44 kg de viande vive produits kg vifs produits / UGB Surfaces fourragères principales (ha) Surfaces pastorales (ha) Chargement apparent (UGB/ha SFP) 1,17 0,70 1,00 1,57 1,01 N / ha SFP (unités/ha) Tonnes MS stockées / UGB 2,35 2,14 2,08 2,59 2,40 Prix moyen du kg vendu ( / kg) 2,42 2,43 2,29 2,17 2,48 Marge de l atelier BV / UGB EBE hors MO et foncier / UMO Résultat courant / UMO exploitant Coûts de production et efficacité économique Coût de production pour 1,5 SMIC / UMO exploitant ( /100 kg vifs) Prix de revient pour 1,5 SMIC / UMO exploitant ( / 100 kg vifs) Rémunération permise par le produit en SMIC / UMO exploitant % EBE hors main d œuvre et foncier 51% 52% 57% 53% 48% La rémunération à 1,5 SMIC de l UMO exploitant représente 133 pour 100 kg de viande produite. Au-delà de ce poste, c est la mécanisation qui pèse le plus avec 18 % du coût de production ou 25 % du coût hors rémunération du travail. Entre 2011 et 2012, le coût de production de 100 kg vifs a augmenté en lien avec la hausse des charges d alimentation (concentrés, engrais ) et l augmentation tendancielle des charges de structure (carburants, entretiens, frais divers ). Cependant, la rémunération permise progresse de 0,2 à 0,4 SMIC par UMO grâce à la hausse des prix de vente. > Figure 10 : Coût de production moyen des cas-types (BV1, BV5, BV10, BV14 et BV20) en conjoncture 2012, source : réseaux d élevage bovin viande. 7
8 Perspectives 2013, attention aux charges Le début de l année 2013 est marqué par un maintien correct des prix payés aux producteurs sur les animaux maigres comme sur les animaux finis. En parallèle, les charges continuent leurs augmentations en particulier pour les aliments achetés avec +13,1 % sur les 12 derniers mois selon l IPAMPA (figure 11). Dans ce contexte, les coûts de production de la viande bovine restent élevés. Il s agit pour les élevages de raisonner au plus juste les recours aux intrants (équilibre du système fourrager, gestion des surfaces en herbe, introduction de céréales dans l assolement ) et assurer une bonne productivité animale (nombre de veaux produits et croissance des animaux) pour amortir les charges. > Figure 11 : IPAMPA - Indice des prix d'achat des moyens de production agricole, sources : Institut de l Élevage d'après INSEE et AGRESTE mai-13 Variation Variation Variation sur 12 mois Base 100 en 2005 sur 1 mois (%) sur 1 an (%) glissants (%) Indice général vainde bovine * 0,4 3,8 4,4 dont Consommations courantes 0,5 4,4 5,5 dont aliments achetés (18%)** 0,3 12,5 13,1 dont énergie (8.3%)** 0,9-3,5 5,7 Consommations courantes Produits et services véto. 0,2 2,5 3,0 Engrais et amendements 1,5 2,4 1,7 Semences 0,2 4,9 3,8 Protection des cultures 0,1 1,1 0,3 Fournitures 0,2 3,0 1,5 Entretien du matériel 0,3 3,3 3,4 Entretien des bâtiments 0,2 1,4 1,5 Frais généraux 0,2 2,0 1,0 Biens d' investissements Marériels 0,2 2,8 2,2 Bâtiments 0,3 0,4 0,1 * L'indice général couvre 65 à 80% des charges totales. Ne sont pas pris en compte les postes : travaux par tiers, fermages, impôts et taxes, frais de personnel, une partie des assurances, charges sociales et frais financiers ** Contribution dans l'indice général Coordination et rédaction de la synthèse - Julien BELVEZE - julien.belveze@idele.fr Mathilde BONESTEBE mathilde.bonestebe@cantal.chambagri.fr Michel WEBER michel.weber@aveyron.chambagri.fr Yannick PECHUZAL yannick.pechuzal@cantal.chambagri.fr Jean-Louis BALME Jean-Louis.Balme@lozere.chambagri.fr Pierre ESTEVE pierre.esteve@cantal.chambagri.fr Philippe HALTER phalter@haute-loire.chambagri.fr LES RÉSEAUX D ÉLEVAGE Les Réseaux d Elevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Elevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a été mis à jour dans le cadre d une action financée par FranceAgriMer et par le Ministère de l'agriculture (CasDAR) Juillet 2013 Document édité par l Institut de l Elevage rue de Bercy, Paris cedex PUB IE :
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