Suivi thérapeutique des inhibiteurs de protéase du VIH Therapeutic Drug Monitoring of HIV-protease inhibitors
|
|
- Arnaud Henry
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Suivi thérapeutique des inhibiteurs de protéase du VIH Therapeutic Drug Monitoring of HIV-protease inhibitors! J.M. Poirier*, J.B. Guiard-Schmid**, J.L. Meynard***, P. Jaillon* RÉSUMÉ. L introduction des trithérapies antirétrovirales incluant un inhibiteur de la protéase (IP) du VIH a permis de diminuer de manière importante la mortalité et la morbidité associées à cette pathologie. Plusieurs études ont montré qu il existait une relation entre l exposition aux IP et la réponse clinique. Le suivi thérapeutique des IP est recommandé par le groupe français d experts, car ces médicaments présentent un faible rapport entre leurs concentrations résiduelles et leurs concentrations inhibitrices in vitro, une importante variabilité inter- et intraindividuelle des concentrations plasmatiques et de nombreuses interactions médicamenteuses pouvant réduire leurs concentrations et diminuer leur efficacité thérapeutique. À l inverse, une augmentation de leurs concentrations peut entraîner la survenue d effets indésirables. Il faut insister sur la nécessité de l interprétation de leurs concentrations, qui est indispensable à la compréhension des résultats des dosages. Mots-clés : Inhibiteurs de protéase - Suivi thérapeutique - Interprétation des concentrations. ABSTRACT. The introduction of protease inhibitors (PIs) as a component of the antiretroviral therapy dramatically decreased mortality and morbidity due to HIV-infection. Several studies demonstrated the relationships between PIs exposure and clinical outcome. Therapeutic drug monitoring of PIs is recommended by the French expert group because these drugs present a low ratio between their trough plasma concentrations and in vitro inhibitory concentrations, a wide intra- and interpatient variability in plasma concentrations and numerous drug-drug interactions which can reduce PI plasma concentrations and will compromise efficacy. At the opposite, elevated concentrations will induce adverse events. It must be noted that interpretation of a concentration is critical for understanding the meaning of the results. Key words : Protease inhibitors - Therapeutic drug monitoring - Interpretation of concentrations. Les traitements antirétroviraux visent à obtenir chez le patient infecté par le VIH une suppression maximale et durable de la réplication virale, ainsi qu une restauration immunitaire (1). Ces stratégies thérapeutiques ont permis, depuis l introduction des multithérapies antirétrovirales incluant un inhibiteur de la protéase, de réduire de manière importante la mortalité et la morbidité associées à cette pathologie (2). Les recommandations actuelles (3) concernant le traitement initial sont des trithérapies incluant soit un inhibiteur de la protéase (IP) et deux inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI), soit un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI) et deux INTI, ou trois INTI. Le groupe français d experts (4) recommande, en cas de charge virale * Service de pharmacologie, unité d aide à la prescription & laboratoire de dosage des médicaments, centre hospitalo-universitaire Saint-Antoine, Paris Cedex 12. ** Service des maladies infectieuses et tropicales, hôpital Rothschild, Paris Cedex 12. *** Service des maladies infectieuses et tropicales, hôpital Saint-Antoine, Paris Cedex 12. élevée (> 1 copies d ARN VIH/ml) et/ou de déficit immunitaire profond (lymphocytes TCD4+ < 2/mm 3 ), l association d un IP et de deux INTI. Les principaux facteurs prédictifs du succès virologique sont une faible charge virale et un taux de lymphocytes TCD4+ élevé à l instauration du traitement (5), l obtention rapide d une charge virale < 5 copies/ml (6), des concentrations plasmatiques d antirétroviraux suffisantes (6) et une bonne adhésion au traitement (7). La surveillance des concentrations plasmatiques des antirétroviraux peut donc jouer un rôle dans l optimisation de ces traitements. Les INTI sont des prodrogues actives après triphosphorylation intracellulaire et pour lesquelles il n existe pas de bonne corrélation entre leurs concentrations systémiques et celles de leurs dérivés phosphorylés (8). En outre, le dosage de ces métabolites actifs intracellulaires est très complexe, et reste actuellement du domaine de la recherche. Les INTI ne sont donc pas pour l instant de bons candidats pour le suivi thérapeutique. Les INNTI ont des demi-vies d élimination longues et les concentrations plasmatiques résiduelles obtenues à l état d équilibre sont normalement très largement supérieures à leurs La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22 47
2 concentrations inhibitrices in vitro. Leur dosage systématique n est donc pas justifié, mais il peut être néanmoins indiqué en cas de doute sur l observance, de survenue d effets indésirables ou chez les patients présentant une surcharge pondérale importante. Les IP présentent des demi-vies d élimination courtes et un faible rapport entre leurs concentrations plasmatiques résiduelles et leurs concentrations inhibitrices in vitro (CI 5/9 ). Leur biodisponibilité est limitée par l action de la P-glycoprotéine intestinale et des cytochromes P 45 intestinaux et hépatiques (en particulier le CYP 3A). Cela entraîne une importante variabilité interindividuelle de leurs concentrations plasmatiques et de nombreuses interactions pharmacocinétiques cliniquement significatives qui peuvent soit diminuer leurs concentrations et altérer la réponse thérapeutique, soit les augmenter et induire des effets indésirables pouvant retentir sur l adhésion au traitement. Il est donc très difficile de prédire chez un patient donné le niveau de concentration pouvant être atteint après administration d une posologie standard. Pour ces raisons, le suivi thérapeutique des traitements par IP est recommandé dans certaines circonstances (4). ARGUMENTS EN FAVEUR DU SUIVI THÉRAPEUTIQUE DES INHIBITEURS DE PROTÉASE Relations concentration-efficacité Plusieurs études ont démontré l existence d une relation entre les concentrations systémiques des IP et la réponse antirétrovirale (1-13). Il est donc important de pouvoir maintenir des concentrations d IP suffisantes, un niveau d exposition trop faible pouvant induire l apparition de mutations sur la protéase du VIH et entraîner des résistances à l IP administré, mais aussi à d autres médicaments de la même classe thérapeutique (résistances croisées). À l inverse, des concentrations trop importantes peuvent conduire à l apparition d effets indésirables (14), comme des calculs rénaux dans le cas de l indinavir. Variabilité interindividuelle très marquée des concentrations plasmatiques La variabilité interindividuelle des concentrations plasmatiques des IP est particulièrement importante (tableau I) ; elle est moins prononcée pour l amprénavir et le lopinavir. Les principaux déterminants de cette variabilité sont l absorption digestive, qui peut être influencée par la prise alimentaire, et le métabolisme. Les IP sont principalement métabolisés au niveau intestinal et hépatique par le CYP 3A, qui présente une grande hétérogénéité de distribution chez l homme. Le métabolisme hépatique des IP, qui peut être altéré par certaines maladies hépatiques (cirrhoses dans les co-infections VIH-VHC, par exemple), apparaît donc comme la source majeure de cette variabilité. À l exception du nelfinavir (15), le métabolisme des autres PI produit des métabolites inactifs. Complexité des interactions médicamenteuses Tous les IP sont impliqués dans de très nombreuses interactions médicamenteuses d ordre pharmacocinétique de par leur métabolisme CYP 3A-dépendant. La liste de ces interactions peut être consultée sur le site Internet : À l exception de l abacavir et de la zidovudine, l élimination des INTI est essentiellement rénale et, par conséquent, ils ne modifient pas les concentrations circulantes des IP. La plupart des interactions pharmacocinétiques documentées entre antirétroviraux concernent les IP et les INNTI deux à deux (2 IP ou 1 IP +1INNTI), alors que beaucoup de patients, lorsqu ils ont déjà présenté un ou plusieurs échappements virologiques, reçoivent un plus grand nombre d antirétroviraux. Si l association IP-ritonavir, l effet inhibiteur du ritonavir diminuant la clairance métabolique de l IP associé, est largement utilisée en pratique clinique, il est beaucoup plus difficile de prévoir les interactions en cas de triple thérapie, et seuls des dosages plasmatiques peuvent permettre de les dépister. Des essais cliniques sont alors indispensables, afin d étudier la pertinence clinique de ces interactions d ordre pharmacocinétique. Adhésion au traitement Les nombreuses unités de prises réparties en deux ou trois administrations journalières peuvent entraîner des difficultés d observance. De plus, les fortes posologies administrées peuvent induire des effets indésirables, ce qui limite la tolérance et peut aussi diminuer l adhérence au traitement. Les dosages peuvent également, dans certaines circonstances, mettre en évidence une mauvaise observance. Dose IP/RTV n T min (h)* C min IP Extrêmes (mg/x 2/j) médian médiane (ng/ml) (ng/ml) APV 6/ , IDV 8/ , IDV 6/ , IDV 4/ , SQV 8/ , LPV 4/ , NFV 1 25/ 84 12, *Seuls les dosages plasmatiques réalisés 12 ± 2 heures après la dernière administration ont été pris en compte. APV : amprénavir ; IDV : indinavir ; SQV : saquinavir ; LPV : lopinavir ; NFV : nelfinavir. Tableau I. Variabilité interindividuelle de la concentration résiduelle (C min ) des différents IP sans INNTI associés. (Données du laboratoire de pharmacologie du CHU Saint-Antoine). 48 La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22
3 LE SUIVI THÉRAPEUTIQUE DES ANTIPROTÉASES EN PRATIQUE Quels paramètres pharmacocinétiques utiliser? La diminution de la charge virale est corrélée avec l aire sous la courbe (ASC) et les concentrations résiduelles (C min ) des IP. Si, d un point de vue pharmacocinétique, la détermination de l ASC est plus rigoureuse, car elle permet de mesurer l exposition globale au médicament entre deux administrations successives, elle est difficilement réalisable en pratique clinique, car elle nécessite de nombreux prélèvements répartis dans un même intervalle de prise. La détermination de la C min (habituellement réalisée avant la prise du matin ; en outre, il peut exister des différences entre les C min mesurées le matin ou le soir) est beaucoup plus simple, ne demande qu un seul prélèvement juste avant la prise suivante et peut être réalisée aisément par tous les centres de pharmacologie. Quant à la détermination de la concentration maximale (C max ) des IP, généralement mesurée 3 heures après la prise, ce qui ne correspond pas forcément à la concentration réellement maximale, elle serait plus le reflet de leur toxicité potentielle. Dosage des IP Ces antirétroviraux sont dosés par chromatographie liquide à haute performance (CLHP) après une ou plusieurs étapes de purification des échantillons plasmatiques. Actuellement, il n existe pas de méthode de dosage standardisée, et la mise au point de ces dosages est relativement complexe en raison de la présence des métabolites de ces médicaments et des nombreux traitements associés. Les dosages doivent être réalisés en accord avec le Guide de bonne exécution des analyses (GBEA), ce qui implique qu ils soient validés (gamme d étalonnage, analyse de contrôles de qualité internes) et que l on participe à une évaluation externe de la qualité (contrôle de qualité Asqualab mis en place en 2). Selon les centres, un ou plusieurs IP sont dosés simultanément. Le dosage individuel de chaque IP est plus facile à réaliser, mais demande autant de méthodes analytiques que d IP à analyser, ce qui implique un temps de rendu des résultats relativement long. Le dosage simultané des différents IP (16), bien que plus difficile à mettre au point en raison de la complexité de la séparation chromatographique, permet de quantifier le ritonavir utilisé comme booster (dont l intérêt sera discuté plus loin) et un rendu beaucoup plus rapide des résultats (en moyenne trois jours dans le laboratoire de pharmacologie du CHU Saint-Antoine). Raccourcir le délai de rendu des résultats est important dans plusieurs situations : patient en échec, effet indésirable important, suspicion de mauvaise observance. Enfin, outre la validation analytique des dosages, il faut insister sur la nécessité de l interprétation pharmacologique des résultats, ce qui est souvent compliqué, mais indispensable au clinicien. Quand prescrire un dosage d IP? Les indications d un dosage plasmatique sont nombreuses : " Lors de l instauration d un traitement contenant un ou plusieurs IP, boosté ou non par le ritonavir, les dosages doivent être réalisés 2-3 semaines après le début du traitement, afin de pouvoir éliminer un sous-dosage et éviter ainsi une situation favorable à l apparition de résistances virales (souvent croisées entre IP). En raison de l auto-inhibition du métabolisme de certains IP (ritonavir, nelfinavir), le temps nécessaire pour atteindre l état d équilibre des concentrations plasmatiques est largement supérieur à ce que l on pourrait attendre compte tenu de leur courte demi-vie d élimination. " Lors de modifications des traitements associés aux antirétroviraux (antiépileptiques, antituberculeux, par exemple) : en raison des très nombreuses interactions médicamenteuses impliquant les IP, il est souhaitable de contrôler leurs concentrations plasmatiques, mais aussi celles des médicaments associés (à cause du risque de surdosage par inhibition de leur métabolisme, notamment en présence de ritonavir). " En cas de réponse incomplète ou d échec précoce : afin d éliminer un dosage suboptimal et de pouvoir selon les cas soit intensifier le traitement (en conservant les mêmes molécules), soit, après réalisation de tests de résistance virologique, mettre en place un nouveau traitement. " En présence d un effet indésirable sévère, bien qu il soit difficile de réaliser un dosage au moment de sa survenue. Pour les effets indésirables concentration-dépendants, des concentrations plasmatiques élevées (C max ) constituent un facteur prédictif d intolérance. " En cas de doute sur l observance, bien que le diagnostic différentiel soit difficile entre une mauvaise adhésion au traitement et une autre cause de sous-dosage : mauvaise absorption digestive (saquinavir), métabolisme très intense, interactions médicamenteuses, ou encore non-respect de l intervalle entre les prises. RENSEIGNEMENTS PRATIQUES NÉCESSAIRES À L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les demandes de dosages doivent être accompagnées d un certain nombre de renseignements pour que les résultats puissent être correctement interprétés (tableau II). En ce qui concerne les IP administrés : posologie unitaire et nombre de prises journalières, date d instauration du traitement (l auto-induction du ritonavir, par exemple, demande 2-3 semaines de traitement répété), date et heure de la dernière administration, date et heure du prélèvement. La connaissance des traitements associés est également primordiale, ainsi que le statut immunovirologique du patient. Dans le service de pharmacologie du CHU Saint- Antoine, l horaire du prélèvement (C min juste avant la prise ou C min +C max 3 heures après la prise) a été individualisé en fonction du motif de la demande : " Surveillance thérapeutique chez un patient en succès virologique (charge virale indétectable) : mesure de la C min ou mesure C min +C max en cas d administration d indinavir (seul ou associé au ritonavir à une posologie supérieure à 4 mg x 2/j). " En cas d inefficacité thérapeutique : Suspicion de mauvaise observance ou de malabsorption : dosage C min et C max. En effet, le rapport C max /C min, comparé à ceux observés dans des bases de données pour les mêmes posologies, peut être indicatif du bon respect ou non des La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22 49
4 IP administré(s) Patient - Posologie unitaire et nombre de prises - Naïf ou non d IP - Date de début de traitement - Co-infection VIH/VHB ou VHC # C min (juste avant la prise suivante) - Charge virale - Date et heure de la dernière administration - Nombre de cellules TCD4+ - Date et heure du prélèvement Traitements associés # C max (généralement 3 heures après la prise) - Inhibiteurs nucléosidiques - Date et heure de la dernière administration - Inhibiteurs non nucléosidiques - Date et heure du prélèvement - Inducteurs du CYP 3A Tableau II. Recommandations pour la réalisation des dosages d antiprotéases. Dosage à réaliser - Surveillance chez sujet indétectable : dosage C min ou C min + C max (IDV ou IDV/RTV) - Effet indésirable majeur : dosage C min + C max - Suspicion de résistance : dosage C min - Risque d interaction médicamenteuse : dosage C min - Doute sur l observance : dosage C min et C min horaires des prises. Si ces deux concentrations sont anormalement basses, un phénomène de malabsorption intestinale peut être évoqué. Suspicion d interaction médicamenteuse ou de résistance : dosage C min. " En cas d effet indésirable majeur : dosage C min et C max, certains effets indésirables des IP étant concentrationdépendants (intolérance digestive et ritonavir, calculs rénaux et indinavir). INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS DES DOSAGES L interprétation des concentrations plasmatiques obtenues chez un patient donné est primordiale et la qualité des commentaires associés aux résultats dépend des renseignements fournis par le service demandeur. Les résultats doivent être interprétés en tenant compte du motif de la demande de dosage et de l évolution du statut immunovirologique du patient. Les concentrations observées sont comparées aux concentrations-cibles, aux résultats précédents (le cas échéant), aux banques de données (bibliographiques ou propres au laboratoire, ce qui est le cas à Saint-Antoine) en tenant compte des posologies des IP administrés et des médicaments associés. Une analyse de la littérature est également souvent nécessaire en raison des multiples traitements associés et des interactions médicamenteuses complexes. PROBLÈMES LIÉS À L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Concentrations-cibles (17, 18) Les relations effet-concentration plasmatique in vivo des IP sont établies sur de relativement faibles cohortes de patients naïfs chez lesquels il existe une très importante variabilité intra- et interindividuelle de leurs concentrations plasmatiques. À l heure actuelle, les concentrations-cibles sont encore établies à partir de données obtenues in vitro sur des souches virales sauvages de laboratoire, en présence de 5 % de sérum humain (tableau III), afin de tenir compte de leur fixation aux protéines plasmatiques. Mais ces valeurs (CI 5,CI 9,CE 5 ), qui dépendent entre autres de la souche virale testée, ne sont qu approximatives car les IP, à l exception de l indinavir, présentent un taux de fixation aux protéines plasmatiques > 9 %. En outre, les relations effet-concentration in vitro ne prennent pas en compte les associations d antirétroviraux. Enfin, la sensibilité virale à un traitement donné peut évoluer au cours du temps chez un même patient, mais la dynamique de cette évolution est inconnue. Cela implique un contrôle relativement fréquent de la charge virale, des concentrations plasmatiques d antirétroviraux, et de connaître le statut immunovirologique des patients pour pouvoir interpréter correctement les résultats des dosages. Tableau III. Concentrations inhibitrices in vitro (CE 5 ) et concentrations-cibles (C min ) des antiprotéases. Antiprotéase Concentration Concentration efficace 5 % in vitro minimale + 5 % sérum humain (17) cible in vivo (18) (ng/ml) (ng/ml) IDV 7 ± NFV 76 ± RTV 12 ± SQV 45 ± APV 49 ± LPV/RTV 3 * * Donnée des Laboratoires Abbott. Récemment, le concept de quotient inhibiteur (QI) a été introduit pour les IP. Il correspond au rapport C min /CI 5 et permet d intégrer l exposition au médicament et la sensibilité du virus à un IP donné chez un patient donné. Une valeur de QI > 1 est nécessaire pour observer une efficacité virologique, mais l utilisation de ce concept comme facteur prédictif de la réponse clinique doit être validée par de nombreuses études. De plus, la détermination du QI est influencée par de nombreux paramètres, notamment les conditions de mesure in vitro de la CI 5 et la variabilité intra-individuelle de la C min in vivo. 5 La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22
5 Variabilité intra-individuelle des concentrations plasmatiques des IP La variabilité intra-individuelle des concentrations plasmatiques des IP est plus faible que la variabilité interindividuelle, mais elle est néanmoins relativement marquée, et les données sont beaucoup plus rares. Les résultats présentés (tableau IV) obtenus à l état d équilibre chez des patients présentant a priori une bonne adhésion au traitement montrent que cette variabilité intra-individuelle est la plus faible pour l amprénavir et la plus importante pour le saquinavir, IP présentant la biodisponibilité la plus basse (4 %). Des variations d absorption digestive (pouvant résulter de la prise simultanée ou non d aliments et de leur nature) et/ou de leur métabolisme hépatique peuvent expliquer au moins en partie cette variabilité. Un mauvais respect de l intervalle entre les prises médicamenteuses est une cause majeure de variabilité intra-individuelle, et toute variation très importante des concentrations plasmatiques sans modification de posologie et avec les mêmes traitements associés peut laisser supposer un défaut d observance (ou de malabsorption intestinale). L interprétation des résultats est faite en fonction des dosages réalisés un jour donné, alors qu elle aurait pu être différente si les dosages avaient été effectués la veille ou le lendemain, par exemple. Pour cette raison, tout dosage d IP devrait être recontrôlé (2-4 mois environ après le premier dosage), même si la posologie est maintenue. Le ritonavir comme booster À l exception du nelfinavir, couramment utilisé seul, les autres IP sont administrés en présence de ritonavir (1 mg x 2/j généralement) dont les propriétés inhibitrices du CYP 3A (effet booster) permettent d augmenter leurs concentrations circulantes tout en diminuant les doses administrées. Des exemples de relations entre la C min des antiprotéases et celles du ritonavir sont donnés pour l indinavir, le lopinavir (Kaletra : coformulation de lopinavir et de ritonavir 133 mg/33 mg par gélule) et l amprénavir (figure 1). Pour tous les IP, à l exception de l amprénavir, il existe une bonne relation entre la C min de l IP boostée et celle du ritonavir. L effet booster sur l amprénavir est indépendant de la concentration, et donc de la dose de ritonavir (19), ce qui n est pas le cas pour les autres IP. De ces constatations, il découle que pour augmenter la C min de l amprénavir, il est nécessaire d augmenter sa posologie, alors que pour les autres IP, l augmentation de la concentration peut être obtenue en augmentant leur dose journalière, ou bien celle du ritonavir. En outre, l amprénavir et le lopinavir (19, 2) diminuent dans les mêmes proportions (d un facteur 3 à 4) les concentrations circulantes du ritonavir par rapport à celles observées avec les autres IP boostés par cette antiprotéase. En cas d association de l une de ces deux molécules avec un autre IP, il peut être nécessaire d augmenter la posologie du ritonavir afin de conserver des concentrations efficaces de l IP associé. Pour ces raisons, même si le ritonavir n est utilisé qu à faible dose, afin de diminuer la clairance hépatique des IP associés, il demeure utile dans certaines associations de connaître son niveau de concentration, afin de pouvoir interpréter correctement les concentrations mesurées. C min LPV (ng/ml) C min IDV (ng/ml) Tableau IV. Variabilité intra-individuelle de la C min des IP sans INNTI associé. (Données du laboratoire de pharmacologie du CHU Saint-Antoine). Dose IP/RTV IP * RTV associé * n (mg/x 2/j) CV (%) CV (%) médian (extrêmes) médian (extrêmes) APV 6/1 31,7 (9,3-93,4) 41, (4,2-15,1) 11 IDV 8/1 52,1 (11,8-136,9) 45,1 (,5-128,5) 14 IDV 6/1 44,3 (3,-133,1) 37,6 (6,8-114,7) 31 IDV 4/1 22,9 (1,-78,5) 21,9 (,1-63,3) 2 LPV 4/1 38, (,5-99,8) 36,2 (4,1-84,6) 2 SQV 8/1 61, (6,-9,8) 56,8 (11,5-156,8) 7 NFV 1 25/ 45, (,-125,7) 26 * Seuls les dosages plasmatiques réalisés 12 ± 2 heures après la dernière administration ont été pris en compte. R 2 =,72 ; n = 117 Indinavir 6 mg x 2 + ritonavir 1 mg x 2 Kaletra 3 gélules x 2/j (4/1 mg x 2 lopinavir/ritonavir) R 2 =,51 ; n = 59 C min APV (ng/ml) NS ; n = C min RTV (ng/ml) Amprénavir 6 mg x 2 + ritonavir 1 mg x 2 C min RTV (ng/ml) C min RTV (ng/ml) Figure 1. Relation entre la C min d IP et la C min du ritonavir associé (en l absence d INNTI). La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22 51
6 CONCLUSION Si la mesure de la charge virale et celle du taux de lymphocytes TCD4+ restent les meilleurs indicateurs cliniques de l efficacité thérapeutique d un traitement antirétroviral, en cas d échappement virologique, ils représentent un marqueur d inefficacité relativement tardif. Le contrôle des concentrations plasmatiques des IP peut permettre, dans certains cas, de prévenir de façon plus précoce l émergence de souches résistantes. Le suivi thérapeutique des IP est un outil permettant d optimiser le traitement de manière individuelle, en fonction des données disponibles sur leur efficacité et leur tolérance. Cependant, il faut insister sur la nécessité d une interprétation bien documentée (et rapide) des concentrations mesurées, indispensable à la compréhension des résultats. Cette interprétation, bien que souvent difficile, est plus aisée si l on dispose du dosage simultané du ritonavir lorsqu il est associé au traitement et d une base de données informatisée reliant les concentrations mesurées aux posologies administrées, ainsi qu aux principaux médicaments associés. Enfin, notamment en cas de réponse non optimale ou d échec thérapeutique avéré, les résultats des dosages doivent être confrontés aux données immunovirologiques du patient, d où l intérêt d une interprétation pluridisciplinaire associant clinicien, virologue et pharmacologue. # R É F E R E N C E S B I B L I O G R A P H I Q U E S 1. Panel on clinical practices for treatment of HIV infection. Guidelines for the use of antiretroviral agents in HIV-infected adults and adolescents. Washington, DC : US Department of Health and Human Services, Pallella FJ, Delaney KM, Moorman AC et al. Declining mordibity and mortality among patients with advanced human immunodeficiency virus infection. HIV Outpatient Study Investigators. N Engl J Med 1998 ; 338 : Department of Health and Human Services and the Henry J. Kaiser Family Foundation. Guidelines for the use of antiretroviral agents in HIV-infected adults and adolescents. April 21. Site Web 4. Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH. Rapport 1999 sous la direction de J.F. Delfraissy. Paris : Flammarion Médecine-Sciences, 1999 ; Deeks SG, Hecht FM, Swanson M et al. HIV RNA and CD4 cell count response to protease inhibitor therapy in an urban clinic : response to both initial and salvage therapy. AIDS 1999 ; 13 : Powderly WG, Saag MS, Chapman S et al. Predictors of optimal virological response to potent antiretroviral therapy. AIDS 1999 ; 13 : Parerson DL, Swindells S, Mohr J et al. Adherence to protease inhibitor therapy and outcomes in patients with HIV infection. Ann Intern Med 2, 133 : Barry MG, Khoo SH, Veal GJ et al. The effect of zidovudine dose on the formation of intracellular phosphorylated metabolites. AIDS 1996 ; 1 : Marzolini C, Telenti A, Decosterd LA et al. Efavirenz plasma levels can predict treatment failure and central nervous system side effects in HIV-1-infected patients. AIDS 21 ; 15 : Acosta EP, Henry K, Baken L et al. Indinavir concentrations and antiviral effect. Pharmacotherapy 1999 ; 19 : Gieschke R, Fotteler B, Nuss N et al. Relationships between exposure to saquinavir monotherapy and antiviral response in HIV-positive patients. Clin Pharmacokin 1999 ; 37 : Dumon C, Solas C, Thuret I et al. Relationship between efficacy, tolerance and plasma drug concentration of ritonavir in children with advanced HIV infection. Ther Drug Monit 2 ; 22 : Hoetelmans RM, Reijers MH, Weverling GJ et al. The effect of plasma drug concentrations on HIV-1 clearance during quadruple therapy. AIDS 1998 ; 12 : F Dieleman JP, Gyssens IC, Van der Ende ME et al. Urological complaints in relation to indinavir plasma concentrations in HIV-infected patients. AIDS 1999 ;13 : Zhang KE, Wu E, Patick AK et al. Circulating metabolites of the human immunodeficiency virus protease inhibitor nelfinavir in humans : structural identification, levels in plasma, and antiviral activities. Antimicrob Agents Chemother 21 ; 45 : Poirier JM, Robidou P, Jaillon P. Simultaneous determination of the six HIV-protease inhibitors amprenavir, indinavir, lopinavir, nelfinavir, ritonavir and saquinavir plus M8 nelfinavir metabolite and the non-nucleoside reverse transcriptase inhibitor efavirenz in human plasma by solidphase extraction and column liquid chromatography. Ther Drug Monit. Sous presse. 17. Molla A, Vasavanonda S, Kumar G et al. Human serum attenuates the activity of protease inhibitors toward wild-type and mutant human immunodeficiency virus. Virology 1998 ; 25 : Back DJ, Khoo SH, Gibbons SE et al. The role of therapeutic drug monitoring in treatment of HIV infection. Br J Clin Pharmacol 21 ; 51 : Poirier JM, Meynard JL, Guiard-Schmid JB et al. Unexpected drug-drug interaction between amprenavir and ritonavir. 2nd International Workshop on Clinical Pharmacology of HIV Therapy, Noordwijk, 21. Abstract Poirier JM, Meynard JL, Guiard-Schmid JB et al. Lopinavir and ritonavir trough plasma concentrations in HIV-experienced patients treated with Kaletra. 2nd International Workshop on Clinical Pharmacology of HIV Therapy, Noordwijk, 21. Abstract 1.7. Les articles publiés dans La Lettre du Pharmacologue le sont sous la seule responsabilité de leurs auteurs. Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction par tous procédés réservés pour tous pays. février EDIMARK S.A. Imprimé en France - Differdange S.A Sannois - Dépôt légal à parution 52 La Lettre du Pharmacologue - Volume 16 - n 2 - mars-avril 22
Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailAvis 6 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détail9 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux
9 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux La résistance aux antirétroviraux est liée à la sélection de quasi-espèces virales comportant des mutations dans les gènes de la transcriptase inverse, de la protéase,
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailSuivi thérapeutique des médicaments antirétroviraux: Aspects pharmacologiques et pharmacogénomiques
Suivi thérapeutique des médicaments antirétroviraux: Aspects pharmacologiques et pharmacogénomiques PD Dr Laurent Decosterd, PhD Laboratoire de la Division de Pharmacologie clinique CHUV Lausanne ARL,
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailVIH & Interactions Médicamenteuses
VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailMédecine de Précision / Médecine Personnalisée et Infection VIH: Concepts et Applications?
AVRIL 25, 2013 Institut Pasteur PARIS Médecine de Précision / Médecine Personnalisée et Infection VIH: Concepts et Applications? Shahin Gharakhanian Drug Development Approval Launch Infectious Diseases
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailDonnées récentes sur les nouveaux TAR : incidence sur la gestion du VIH dans la pratique clinique
Données récentes sur les nouveaux TAR : incidence sur la gestion du VIH dans la pratique clinique Supported by an independent educational grant from WebMD Global, LLC This document is for educational purposes
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailGestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence
Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence Vendredi 23 mai 2014 Valérie Poirier Clément d Audigier Service d Hématologie biologique Hôpital Saint-Antoine Les anticoagulants oraux
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailMise à jour VIH Revue des données récentes concernant les nouveaux traitements antiviraux
Mise à jour VIH Revue des données récentes concernant les nouveaux traitements antiviraux Soutenu par une bourse indépendante de formation de ViiV Healthcare. www.medscape.org/viewarticle/826417 Mise à
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailSeuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien
14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailAoût 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec
Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détaildans les médicamentsm
Les impuretés s génotoxiquesg dans les médicamentsm D. Marzin Institut Pasteur de Lille Université lille2 Société Française de Toxicologie 25-26 0ctobre 2007 Le guideline L affaire Viracept (mésylate de
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailÉzin Jocelyn Come Alex AK.AKPO
Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO LES DETERMINANTS DE L'OBSERVANCE A LA TRITHERAPIE ANTIRÉTROVIRALE CHEZ LES PATIENTS INFECTÉS PAR LE VIH A COTONOU, BENIN Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailRésistance du VIH aux ARV : Nécessité de surveillance
Résistance du VIH aux ARV : Nécessité de surveillance Pr Ndeye Coumba Touré Kane Laboratoire de Bactériologie-Virologie CHNU A. Le Dantec-Dakar-Sénégal Introduction F VIH (Virus de l Immunodéficience Humaine)
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailNotes sur les technologies de la santé
Notes sur les technologies de la santé numéro 110 décembre 2007 Sommaire Le maraviroc (Celsentri ) contre le virus de l immunodéficience humaine (VIH)-1 multirésistant Contexte Le maraviroc appartient
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLundi 4 et mardi 5 décembre 2006 Monday 4th et tuesday 5th december 2006
XIXes Entretiens du Centre Jacques Cartier XIXth Jacques Cartier Symposium NOUVELLES PANDEMIES, LES COMPRENDRE, LES COMBATTRE Les virus HIV et le SIDA, et HCV et les hépatites chroniques On HIV and AIDS,
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailM.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director
M.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director Vos Responsabilités en Matière de Pharmacovigilance Notification Spontanée d'événements Indésirables Formation 2 Notification Spontanée d Événement Indésirable
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailAnalyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements
71 Prépublication n 16 Fascicule n 2 Analyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements Marie-José Mhawej IRCCyN Institut de recherche en communication et cybernétique de Nantes, UMR-CNRS
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailL'enfuvirtide, nouveau médicament dans le traitement de l'infection par le VIH
Notes sur les technologies de la santé en émergence numéro 50 octobre 2003 L'enfuvirtide, nouveau médicament dans le traitement de l'infection par le VIH Sommaire L'enfuvirtide est le premier médicament
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailContribution des protéines régulatrices Vif et Vpr du VIH-1 dans la résistance aux antirétroviraux chez des patients en échec virologique
Contribution des protéines régulatrices Vif et Vpr du VIH-1 dans la résistance aux antirétroviraux chez des patients en échec virologique Slim Fourati To cite this version: Slim Fourati. Contribution des
Plus en détailCaroline Hurault-Delarue 1, Cécile Chouquet 2, Nicolas Savy 2, Isabelle Lacroix 1, Christine Damase- Michel 1
Trajectoires individuelles d'exposition aux psychotropes au cours de la grossesse et partitionnement en fonction du profil d'exposition : utilisation des K-means pour données longitudinales Caroline Hurault-Delarue
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailComment mesurer la résistance aux antiviraux???
Comment mesurer la résistance aux antiviraux??? Dr Marie-Laure Chaix Laboratoire de Virologie Hôpital Necker DIU de physiopathologie et thérapeutique des maladies infectieuses et tropicales (Module 1)
Plus en détailHIV et Soins Intensifs. Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA
HIV et Soins Intensifs Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA HIV et Soins Intensifs: pourquoi? Interactions Effets secondaires Risques Suivi du traitement 2 Patients HIV en soins intensifs: causes
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détail