Traumatismes hépatiques : imagerie diagnostic et thérapeutique
|
|
- Laure Latour
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traumatismes hépatiques : imagerie diagnostic et thérapeutique N MOATASSIM BILLAH, H ZIANE, S KILALI, S BOUKLATA SERVICE DE RADIOLOGIE DES URGENCES - CHU IBN SINA RABAT - MAROC
2 INTRODUCTION Les traumatismes hépatiques, majoritairement dus aux accidents de la voie publique, intéressent une population jeune. Ils restent potentiellement graves. Le foie est le deuxième organe le plus atteint au cours des traumatismes abdominaux. Deux mécanismes qui peuvent être associé: les décélérations brutales. les contusions appuyées par compression directe contre les côtes ou le rachis.
3 EPIDEMIOLOGIE Les traumatismes hépatiques fermés sont observés dans 33 % des contusions de l abdomen. Les accidents de la voie publique représentent 72 % des causes des THF, les chutes 12 % et les traumatismes direct 8 %. Les plaies du foie sont observées dans 29 à 39 % des traumatismes pénétrants de l abdomen. Les traumatismes hépatiques sont fréquemment associées à des lésions gastro-intestinales, jusqu à 63 % des cas.
4 CLINIQUE Toute plaie pénétrante thoracique droite sous-mammelonnaire est susceptible de léser le foie. Une plaie pénétrante de l abdomen impose classiquement une exploration chirurgicale.
5 CLINIQUE L atteinte hépatique est évoquée devant la présence : d une douleur et ou une défense de l hypocondre droit, une ecchymose ou un hématome basithoracique, des fractures costales. Une cytolyse hépatique proportionnelle au degré des lésions parenchymateuses, est quasi-constante.
6 CLASSIFICATION Classification TDM des lésions traumatiques du foie, d après Mirvis et al. Grade Foie 1 Avulsion capsulaire ; fracture superficielle < 1 cm Hématome sous capsulaire < 1 cm épaisseur ; infiltration périportale 2 Fracture de 1 à 3 cm de profondeur Hématome central ou sous capsulaire de 1 à 3 cm de diamètre 3 Fracture(s) > 3 cm Hématome central ou sous capsulaire > 3 cm 4 Hématome sous-capsulaire ou central > 10 cm Destruction tissulaire ou dévascularisation d un lobe 5 Destruction tissulaire ou dévascularisation des 2 lobes Lésions des veines hépatiques ou de la veine cave rétrohépatique
7 MOYENS D IMAGERIE Abdomen sans préparation Radiographie du thorax Echographie Tomodensitométrie Angiographie IRM
8 MOYENS D IMAGERIE ABDOMEN SANS PRÉPARATION (ASP) Intérêt discuté Souvent normal ou révèle un iléus RADIOGRAPHIE DE THORAX Systématiquement réalisé dans le bilan des polytraumatismes. Recherche des lésions thoraciques droites : contusions, épanchement pleural, fractures de côtes basses.
9 ECHOGRAPHIE INDICATION ET TECHNIQUE Examen de première intention L exploration est difficile par les conditions d urgence Doit être complète et minutieuse, intéressant l ensemble des viscères, des vaisseaux et des espaces abdominopelviens
10 ECHOGRAPHIE RESULTATS Hémopéritoine Sa présence oriente vers une lésion d organe Epanchement abondant : liquide anéchogène réparti dans tout l abdomen et dissocie les anses. Epanchements peu abondants : gouttières pariétocoliques, l espace de Morrison, l espace inter-hépato-diaphragmatique et le cul-de-sac de Douglas.
11 ECHOGRAPHIE Hématome sous capsulaire Image en «croissant», hypoéchogène, hétérogène avec parfois des échos déclives de sédimentation, déprimant le parenchyme hépatique. Il peut être difficile à différencier du parenchyme ou d un épanchement intrapéritonéal périhépatique.
12 ECHOGRAPHIE Lésions parenchymateuses Leur détection difficile à la phase aiguë du traumatisme. Plages mal définies discrètement hyperéchogènes, devenant progressivement plus hypoéchogène. Collections révélées par leur effet de masse sur les repères vasculaires ou canalaires Travées hypoéchogènes, plus ou moins étendues et ramifiées.
13 ECHOGRAPHIE Lésions vasculaires L échodoppler peu d aide à leur détection à la phase aiguë. Lésions des voies biliaires Peu frequentes Hémobilie : hyperéchogénicité intravésiculaire Cholépéritoine : épanchement péritonéal strictement anéchogène s aggravant sans cause évidente.
14 Echo-doppler: Anévrysme circulant
15 TOMODENSITOMETRIE INDICATION C est l examen de choix pour le bilan précis des lésions. Elle s adresse à un patient stable sur le plan hémodynamique. TECHNIQUE Deux acquisitions : Sans injection pour la visualisation d un caillot sentinelle ou la détection d une lésion isodense après l injection l autre en angioscanner.
16 TOMODENSITOMETRIE RESULTATS Hémopéritoine Epanchement liquidien de plus ou moins grande abondance. Densité est variable souvent hypodense en raison de la dilution du sang. Signe du caillot sentinelle : zone hyperdense au contact du foyer hémorragique.
17 Scanner abdominale avec contraste : Importante fracture hépatique avec hémopéritoire
18 TOMODENSITOMETRIE Lésions parenchymateuses Hématomes Phase aiguë : zones spontanément hyperdenses, plus ou moins hétérogènes, non rehaussées par l injection. Evolution : zones hypodense, voire liquidienne. Topographie sous-capsulaire : aspect en «croissant» ou lenticulaire, déprimant le contour hépatique.
19 a b TDM abdominale avec (a) et sans (b) contraste: Hématome hépatique grade IV de Mirvis
20 TOMODENSITOMETRIE Lésions parenchymateuses Lacérations et fractures Travées hypodenses, irrégulières, ramifiées. Suivent le trajet des vaisseaux. Localisation préférentielle : lobe droit, parallèles à la veine sushépatique droite. Leur extension à la face postérieure du foie s accompagne d une effusion hémorragique péricave pouvant s étendre à la surrénale droite.
21 TDM abdominale avant et après contraste: Fracture hépatique du segment V grade 3 de Mirvis.
22 TDM abdominale avec injection IV de produit de contraste iodé: Contusion hépatique associée à un hématome sous capsulaire splénique. TDM abdominale avec contratse : Contusion hépatique grade IV de Mirvis.
23 Scanner abdominale avec contraste: Contusion hépatique associée à une fracture rénale polaire supérieure droite.
24 TOMODENSITOMETRIE Lésions parenchymateuses Les hématomes et lacérations : Sont classés en superficiels (à moins de 3 cm de la capsule) ou profonds (à plus de 3 cm). Leur étendue par rapport à la surface du foie doit être notée ainsi que leur extension vers le lit vésiculaire et les gros vaisseaux.
25 TOMODENSITOMETRIE Lésions vasculaires Sensibilité : 65 % Spécificité : 85 % Les faux positifs peuvent être dus à : des saignements extrahépatiques la persistance de parenchyme normalement rehaussé au sein d une contusion hypodense un vaisseau hépatique traversant une fracture.
26 TOMODENSITOMETRIE Lésions vasculaires Deux formes de l hémorragie active artérielle : Saignement extrahépatique, sous-capsulaire ou intrapéritonéal révélé par une extravasation en «flaque» du produit de contraste. Saignement intrahépatique réalisant, soit l opacification d un pseudoanévrisme, image arrondie de densité quasi équivalente à 10 UH près à la densité artérielle, soit l opacification de flaques intraparenchymateuses.
27 TDM abdominale avec injection IV de PCI: Opacification du sac anévrysmal. TDM abdominale avec injection IV de PCI: Anévrysme post traumatique circulant de l artère hépatique
28 TOMODENSITOMETRIE Lésions vasculaires Les lésions des gros troncs veineux sont rares et suspectées devant : Une extension des lacérations vers l origine des veines sus hépatiques, la veine cave inférieure ou le tronc porte. Des défauts de perfusion du parenchyme hépatique. Un abondant hématome.
29 TOMODENSITOMETRIE Lésions biliaires Cholépéritoine : Epanchement libre ou d une collection de densité proche ou inférieure à celle de l eau. Difficile de le différencier d un épanchement sanguin vieilli.
30 TOMODENSITOMETRIE Lésions biliaires Hémobilie : Hyperdensité spontanée intravésiculaire. Spécifique si aucun produit de contraste n a été injecté dans les 48 heures précédentes.
31 TOMODENSITOMETRIE Modifications de la vésicule évoquent un traumatisme : Epanchement localisé périvésiculaire. Hyperdensité du contenu de la vésicule (caillot). Epaississement localisé ou interruption de sa paroi. Petite vésicule de contours mal définis Lacérations hépatiques juxtavésiculaires, Volumineux hématome de la loge vésiculaire par rupture de l artère cystique.
32 ANGIOGRAPHIE Indication Phase aiguë Réalisée après une TDM ayant révélé une fuite vasculaire intraou extrahépatique. Préconisée de façon systématique dans les grades supérieurs à 3, avec extension des lésions aux veines sus-hépatiques. Confirme l existence d une atteinte vasculaire artérielle. Précise le nombre de vaisseaux atteints. Permet un geste d embolisation.
33 ANGIOGRAPHIE Indication Phase chronique Permet le bilan des fistules artérioportales ou artériobiliaires et constitue le premier temps du traitement.
34 ANGIOGRAPHIE Technique Injection dans l aorte et le tronc cœliaque Repérage de la disposition anatomique des vaisseaux Cathétérisme sélectif de l artère hépatique commune, voire de l artère hépatique droite issue de l artère mésentérique supérieure avec séries de face et oblique. Embolisation de la fuite artérielle de façon la plus sélective possible avec des agents résorbables (particules) ou non (coils).
35 ANGIOGRAPHIE Résultats Fuite de produit de contraste Opacification d un pseudoanévrisme intrahépatique Occlusion ou des irrégularités de la lumière vasculaire Dévascularisation de segments hépatiques Fistule artérioveineuse ou artériobiliaire
36 Opacification du sac anévrysmal
37 IRM Indication La phase tardive du traumatisme : recherche des complications biliaires. Technique et résultats Séquences de cholangio-irm montrant : Zones de sténoses le plus souvent périhilaires Dilatations plus ou moins importantes des voies biliaires intrahépatiques sus-jacentes.
38 CONDUITE A TENIR ET TRAITEMENT Le choix thérapeutique dépend : L état hémodynamique du patient et sa réponse à la réanimation Le bilan scanographique des lésions anatomiques Possibilités locales : accès à un geste d embolisation.
39 OPTIONS THERAPEUTIQUES Trainement chirurgical Traitement par embolisation Traitement non opératoire en milieu spécialisé
40 Traitement chirurgical L absence d amélioration après perfusion d un volume liquidien supérieur à 3 L (dont trois à quatre culots sanguins) fait décider la laparotomie. Traitement par embolisation Patient stabilisé présentant une fuite active en angiographie. D emblée ou après un geste chirurgical de packing, qui permet de limiter le saignement mais non de traiter la cause.
41 Artériographie après embolisation
42 Traitement non opératoire en milieu spécialisé La décision d un traitement non opératoire repose sur les arguments suivants : Stabilité tensionnelle ; Absence de suspicion de lésion associée d un organe creux ; Capacité à organiser une surveillance vigilante continue ; Possibilité d intervention à tous moments ; Disposition d examens échographique et tomodensitométrique et d artériographie avec embolisation éventuelle. La durée de la surveillance nécessaire ne fait pas l objet d un consensus.
43 COMPLICATIONS Persistance ou la reprise hémorragique Complications septiques Complications vasculaires Complications biliaires
44 Persistance ou la reprise hémorragique Patient non opéré +++ Aggravation d un hémopéritoine Augmentation de volume d un hématome => Traitement chirurgical ou radiologique.
45 Complications septiques Patient opéré +++ Surinfection d un hématome ou d un bilome Nécrose parenchymateuse Abcès intraabdominal => Traitement de choix : ponction-drainage percutanée sous écho ou scanoguidée.
46 Complications vasculaires Hémobilie Hypertension portale : évoquée sur l échodoppler et confirmée sur l examen tomodensitométrique Fistule artérioportale : rehaussement précoce d un vaisseau porte Pseudoanévrisme : formation arrondie, intensément rehaussée au temps artériel L artériographie peut être indiquée dans un but diagnostique et thérapeutique.
47 Complications biliaires Bilome, fistule, sténose Décalée dans le temps : plusieurs semaines ou mois après le traumatisme initial Collections liquidiennes encapsulées, anéchogènes et/ou hypodenses, contenant parfois quelques septa. Dilatation des voies biliaires intrahépatiques => Sténose Diagnostic différentiel : hématomes en cours de liquéfaction, abcès Ponction percutanée à visée diagnostic et thérapeutique
48 MESSAGES A RETENIR L échographie est l examen à réaliser en urgence chez un traumatisé abdominal. La TDM est l examen de choix pour : évaluer et classer les traumatismes hépatiques quantifier l hémopéritoine détecter les lésions associées. L attitude thérapeutique actuelle est de privilégier un traitement conservateur grâce aux gestes de radiologie interventionnelle.
49 AUTO-EVALUATION 1) Devant la suspicion d un traumatisme hépatique : a. L échographie est l examen de première intention b. Le scanner est l examen de choix pour le bilan précis des lésions c. L IRM peut être indiquée à la phase chronique du traumatisme d. L IRM est indiquée à la phase aigue du traumatisme
50 AUTO-EVALUATION 2) Devant un traumatisme hépatique l angiographie est : a. Préconisée systématiquement b. Réalisée après une TDM ayant révélé une fuite vasculaire intraou extrahépatique. c. Préconisée de façon systématique dans les grades supérieurs à 3 de Mirvis, avec extension des lésions aux veines sus-hépatiques. d. Permet un geste d embolisation.
51 AUTO-EVALUATION 3) Devant un traumatisme hépatique : a. un traitement par embolisation peut se faire d emblée ou après un geste chirurgical. b. Un traitement non opératoire au milieu spécialisé; nécessite la disposition d examens échographique et tomodensitométrique et d artériographie avec embolisation éventuelle. c. Il n y a pas de place pour le traitement non opératoire d. Les complications septiques se voient surtout chez les patients opérés.
52 AUTO-EVALUATION Réponses 1. a, b, c 2. b, c, d 3. a, b, d
53 Références A.Nawaz and coll. «liver trauma» Emedecine june2004 Matthes G, Stengel D, Seifert J, et al. Blunt liver injuries in polytrauma: results from a cohort study with the regular use of whole-body helical computed tomography. World J Surg 2003; 27: Goffette PP, Laterre PF. Traumatic injuries: imaging and intervention in post-traumatic complications (delayed intervention). Eur Radiol 2002; 12: Wong YC, Wang LJ, See LC, et al. Contrast material extravasation on contrast-enhanced helical computed tomographic scan of blunt abdominal trauma: its significance on the choice, time, and outcome of treatment. J Trauma 2003; 54: Ciraulo DL, Luk S, Palter M, et al. Selective hepatic arterial embolization of grade IV and V blunt hepatic injuries. J Trauma 1998; 45: Johnson JW, Gracias VH, Gupta R, et al. Hepatic angiography in patients undergoing damage control laparotomy. J Trauma 2002; 52: Mohr AM, Lavery RF, Barone P, et al. Angiographic embolization for liver injuries: low mortality, high morbidity. J Trauma 2003; 55: Hagiwara A, Murata A, Matsuda T, Matsuda H, Shimazaki S. The efficacy and limitations of transcatheter embolization for severe hepatic injury. J Trauma 2002; 52: Goldman R, Zilkoski M, Mullins R, et al. Delayed celiotomy for the treatment of bile leak, compartment syndrome, and other hazards of nonoperative management of blunt liver injury. Am J Surg 2003; 185:
LES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailDIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE
DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailSurveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation
DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailL Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30
Introduction L obésité est une maladie susceptible d entraîner de multiples complications altérant la qualité et l espérance de vie des patients. Sa fréquence est en augmentation et elle constitue désormais
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLuxation traumatique du testicule. A propos de trois observations
CAS CLINIQUE Progrès en Urologie (1999), 9, 322-326 Luxation traumatique du testicule. A propos de trois observations Pierre GIMBERGUES (1), Laurent GUY (1), Louis BOYER (2), Jean-Paul BOITEUX (1) (1)
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailRecommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires
Recommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires Comité Exécutif de «l European Stroke Organization» (ESO) et Comité de Rédaction de l ESO.
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailTraitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Nathalie Pirot * Jérôme Caudron * Jeannette Fares * Hélène Eltchaninoff Alain Cribier Jean-Nicolas Dacher * Traitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détail