Vaccinations cellulaires anti tumorales
|
|
- Henriette Paré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaccinations cellulaires anti tumorales M2 Biothérapies 1 er Décembre 2011 Claude LEMARIÉ Pharmacien Biologiste CTCG lemariec@marseille.fnclcc.fr
2 Rationnel de l Immunothérapie anti tumorale Immunogénicité des tumeurs: Incidence accrue des tumeurs chez les souris immuno déficientes (Dighe A. Immunity 1994), vérifié chez l homme (Euvrard S, NEJM 2003). Expression de nombreux Ag associés aux tumeurs (TAA) par les cellules tumorales: Ag de différenciation (MELAN-A/MART1), Ag germinaux (MAGE-A1), Ag du soi surexprimé (Her2/neu), Ag mutés (van der Bruggen P, Science 1991; Gilboa E, Immunity 1999). Effecteurs : Démonstration in vitro du rôle des LT dans la réponse anti tumorale (Greenberg P, Adv. Immunol. 1991), rôle des LT CD8+ (Albert M, Nat Med 1998). Confirmation chez l animal du rôle des LT et de l INF-γ (Shankaran V, Nature 2001). Réponse immune spontanée contre les TAA chez certaines patientes (Ac, LT cytotoxiques, LT mémoires) (Wang W, Cancer Res 2006)
3 Effecteurs Banchereau J, Nature Rev. Immunol. 2005
4 L immunothérapie anti-tumorale Passive Active Ac Cellules tumorales mortes Peptides, protéines, ADN, ARN LT NK NK LT DC Schéma T.Simon
5 Lymphocytes T αβ C Resolved Infection From Freeman G JEM 2006
6 Immunothérapie cellulaire active: vaccination par Cellules Dendritiques Objectif: stimuler la réponse immune antitumorale adaptative (et innée). Type d Immunothérapie: active, cellulaire, autologue, spécifique d Ag, thérapeutique curative et préventive de la rechute. Rationnel d une immunothérapie par Cellules Dendritiques: 1) seules cellules présentatrices d Ag (CPA) capables de stimuler les LT naïfs, 2) seules CPA pouvant stimuler les LT CD4+ et CD8+ avec des Ag exogènes, 3) anomalies fonctionnelles des DC mises en évidence chez les patients atteints de cancers.
7 Cross Présentation Tacken P Nat rev Immunol 2007
8 Origine des Cellules Dendritiques
9 Biologie des DC myéloïdes immatures CD immature CD mature DC immatures: capture antigénique from Moser M, Nature Immunology 2000
10 Signal de danger: 1 er signal donné en périphérie Simon T Immunotherapy 2009
11 Biologie des DC myéloïdes matures CD immature stimuli inflammatoires CD mature DC matures: CPA from Moser M, Nature Immunology 2000
12 Interraction avec LT CD4+: 2 nd signal donné dans les ganglions Simon T Immunotherapy 2009
13 Les essais cliniques de vaccination par DC
14 Vaccination par Cellules Dendritiques: en pratique From Tacken P Nat rev Immunol 2007
15 Vaccination par Cellules Dendritiques: historique ere observation des DC dans la peau Production in vitro de DC à partir de Monocytes Congélation de doses de DC de grade cliniques FDA autorise la mise sur le marché du Provenge (Dendreon) DC = CPA capables de stimuler LT naïfs Cytotoxiques et Helper 1er essai de vaccination anticancéreuse par DC (LNH) 1000 patients vaccinés par DC (98 essais cliniques) Identification des Ag Associés aux Tumeurs (TAA) 1er essai de vaccination par DC dans les tumeurs solides (Mélanome) 1er essai de phase III (K Prostate, Dendreon)
16 Vaccination par DC: pathologies étudiées Ridgway D, Cancer Invest 2003
17 Vaccination par Cellules Dendritiques: résultats publiés dans le cancer du sein Triozzi PL, Cancer 2000 Brossart P, Blood 2000 Dees EC, Cancer Immunol Immunother 2004 Vonderheide RH, Clin Canc Res 2004 Svane IM, Cancer Immunol Immunother 2004 Brossart P, Blood 2000 Pecher G, Cancer Immunol Immunother 2004 Loveland BE, Clin Canc Res 2006 Kobayashi T, Surg Today 2001 Avigan D, Clin Canc Res 2004 from Pinzon-Charry A, Expert Opin. Biol. Ther. 2006
18 Vaccination par DC: TAA ciblés
19 Vaccination par DC: Ag vaccinaux
20 Vaccination par DC: degré de maturation des DC
21 Maturité des DC utilisées Simon T Immunotherapy 2009
22 Agents de maturation utilisés Simon T Immunotherapy 2009
23 Vaccination par DC: voie d injection (1/2)
24 Calendrier des injections: Figdor C. Nature Med 2004
25 Vaccination par DC dans le cancer du sein : réponse clinique
26 Vaccination par DC: réponse clinique Banchereau J, Nature Med., % des patients traités Ridgway D, Cancer Invest 2003
27 Essais Dendreon (Provenge ): Cancer de la Prostate
28 Essais récents avec mdc - Bahl S Am J Surg 2009 : 6 peptides de her 2 neu (CMH II ) All patients demonstrated evidence of CD4+ T cell response to at least one peptide. -Park JCO 2007: Dendreon prot de fusion Her-2 / Gm-CSF Significant cellular immune responses specific for the immunizing antigen and HER-2 sequences were induced after treatment, as measured by lymphocyte proliferation and INF-γ ELISPOT assay. One patient experienced a PR lasting 6 months. Three additional patients had SD lasting more than 1 year. - Czerniecki Canc Res 2007: Peptides de classe I et II diminution significative de l expression Her2 à la surface tumeurs (7 pt/11). Immunisation CD4 et CD8, et infiltrat tumoral par CD4+ (Fox p3-) diminution significative de la masse tumorale chez patientes vaccinées / non vaccinées chez 5 Pt /11 ; les mêmes dont l expression Her 2 neu a diminué.
29 Vaccination par DC: réponse immune
30 Vaccination par DC: Effets secondaires Très fréquents mais peu graves, fréquence peu différente des groupes placebo. <10 % SAE de grade III (résolutifs en moins de 24h): frissons, fatigue, douleurs lombaires douleurs musculaires, hypertension, hypokaliémie. Ridgway D, Cancer Invest 2003 Kantoff P NEJM 2010
31 Les raisons des échecs passés
32 DC efficaces mais Patients à un stade avancé de la maladie (forte masse tumorale) : régression observées chez patients avec faible masse tumorale (Maier et al. 2003) Résistance tumorale : défaut de présentation des antigènes (Campoli et al. 2002) Résistance à l apoptose, protéase anti-granzyme B et perforine, perte d expression de Fas (Evan et al. 2001, Malmberg et al.2006 Landowski et al. 1997) Environnement tumoral immunosuppresseur (Li et al. 2006) LT régulateurs (Ormandy et al. 2005)
33 Conclusions des essais cliniques (1/3) Réponses biologiques : induction d une réponse T spécifique chez la plupart des patients Maturité des DC: La moitié des essais effectués avec des idc = tolérogènes Cocktail et durée de maturation adequat toujours à l étude. Mode d injection : IV: DC restent dans les poumons LT8 cytotoxiques et mémoires stimulés en moins grand nombre. SC, ID, Intra ganglion? Nbre d injections : Induction d une réponse immune après ~ 3 injections. Maintien de la réponse spécifique si injections multiples. Nbre et fréquence?
34 Conclusions des essais cliniques (2/3) Quels Antigènes: 1) Approche Multi Ag (lysats, exosomes, fusion, mrna transfectés): intéressant si TAA non identifiés, mais manipulation complexes et immunomonitoring plus restreint. Pas de supériorité évidente en terme de réponse clinique. 2) Approche mono Ag (peptides): cibles et HLA restreints, mais immunomonitoring complet. Cibler plusieurs Ag: corrélation réponse T et survie si immunisation contre > 2Ag. Stimuler LT CD8+ et CD4+ : stimulation LT CD8+ mémoire à long terme Analyser la réponse clinique à long terme: corrélation réponse T et survie, pas de corrélation entre réponse T et réduction masse tumorale immédiate (CR, PR).
35 Corrélation survie globale / réponse immune spécifique p= Palucka J Immun Rev 2007
36 Cibler l utilisation des DC à certains groupes de patients Groupe Mes: surexpression gènes de l inflammation Prins R Clin Can Res 2011
37 Conclusions des essais cliniques (3/3) Traiter des pathologies moins avancées: stade >III: Treg augmentés LTCD8+ cytotoxiques et mémoires immunosupprimés, pas d efficacité de la thérapie cellulaire hématopoïétique allogénique sur pathologies avancées ou en progression: Combiner immunothérapie et chimiothérapie(s): Coinjection de cytokines: Autres
38
39 Conclusions des essais cliniques (3/3) Traiter des pathologies moins avancées: Combiner immunothérapie et chimiothérapie(s): inhiber suppression par Treg, accroître l immunogénicité tumorale: Survie > chez des patients atteints de glioblastome traités avec DC puis chimio vs DC ou chimio seule (Wheeler CJ, Clin Cancer Res 2004).. Coinjection de cytokines: GM-CSF + pep / pep seul : réponse T plus intense et plus longue (> 24 mois après dernière vaccination). les cytokines proinflammatoires pourraient augmenter la migration des DC vers les ganglions. Autres DC + Trastuzumab
40 Prochainement à l IPC Essai Theracell 01 (1/2) Promoteur: IPC Principe: Etude de phase I d immunothérapie des cancers du sein métastatiques par induction d une réponse aux antigènes associés aux tumeurs. Objectif principal: Démontrer l induction d une réponse dirigée contre les antigènes associés aux tumeurs chez des patientes traitées par DC autologues matures chargées avec peptides de 4 TAA (Her/2-neu, MAGE-A1, NYESO/LAGE-2 et MAGE-A3). Spécificités de cette étude: 1) Ciblage spécifique des LT CD4+ (peptide de MAGE-A3 restreint HLA DP4) et des LT CD8+ (peptides de Her/2-neu, MAGE-A1, NYESO/LAGE-2 restreints HLA A2), 2) Vaccination par DC matures.
41 Prochainement à l IPC Essai Theracell 01 (1/2) Critères d inclusion: - Expression des TAA vaccinaux par la tumeur primitive ou les métastases: HER-2/neu +++, MAGE-A1, MAGE-3 et NYESO-1/LAGE-2 + (immunohistochimie, RT- PCR), - Traitement antérieur par anthracyclines, taxanes et trastuzumab, - Délai dernière chimiothérapie (ou immunosuppresseur) - Cytaphérèse > 30 jours, - Pas d immunodépression profonde: numération normale des cellules CD4+ et CD8+, - HLA-A201 et HLA-DP4. Critères de non inclusion: - Non réponse aux traitements de la maladie métastatique, - Espérance de vie < 3 mois, - Métastases cérébrales ou du système nerveux central. Critères de sortie d essai: - Pas d obtention de DC matures, - Toxicité importante, - Progression, - Souhait de la patiente.
42 La mise au point d un essai clinique de vaccination par DC (ou autre Immunothérapie Cellulaire)
43 Etapes préalables à l ouverture d un essai clinique d Immunothérapie cellulaire Préclinique, Transfert, Optimisation. Demandes d autorisations (COS, CPP, AFSSaPS) Reproductibilité, constitution des dossiers réglementaires
44 Transfert vers un procédé de grade clinique Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) Transfert vers une production de DC de grade clinique: Sélection de réactifs, consommables et équipements autorisés pour leur usage en thérapeutique humaine. Locaux adaptés aux préparations de PTC en milieu ouvert ou semi ouvert pour limiter le risque de contamination microbiologique des PTC (travail sous PSM classe A dans une pièce de classe D : décision du 27/10/2010): air filtré, surpressions, portes asservies, habillage spécifique, contrôles environnementaux. Production à grand échelle: Évaluation de la reproductibilité du procédé: (Injection)
45 Transfert vers un procédé de grade clinique Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) Transfert vers une production de DC de grade clinique: Réactifs, consommables et équipement autorisés pour leur usage en thérapeutique humaine, Niveau 3 de transformation cellulaire (arrêté du 16/12/1998). Production à grand échelle: Optimisation du procédé de production, Contrôle des cellules produites. Évaluation de la reproductibilité du procédé: Différenciation de cellules de donneurs et de patientes, Évaluation quantitative et qualitative des DC générées, Définition de critères de libération des vaccins. (Injection)
46 Transfert vers un procédé de grade clinique: J0: prélèvement des précurseurs Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Prélèvement par Cytaphérèse des précurseurs: (Cobe Spectra) Prélèvement de Cellules Mono Nucléées incluant les précurseurs de DC (CD14+) Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) (Injection)
47 Transfert vers un procédé de grade clinique: J0: sélection des précurseurs monocytaires (2/2) Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Immunosélection magnétique: Sélection positive CD14+ (Clinimacs ) automatique (standardisé), pas de Ficoll préalable, pureté élevée, utilisable en préclinique + clinique, automate «multi applications», coût élevé. Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) (Injection)
48 CliniMacs
49 Sélection positive des CD14+ Enrichissement CD14+ Marquage cellules CD14+ (à purifier) avec Ac anti CD14 couplés à des billes métalliques Elution des cellules CD14- Enrichissement des cellules CD14+
50 Transfert vers un procédé de grade clinique: J0 à J7: différentiation in vitro Prélèvement cellulaire Différenciation en poches avec milieu de culture et cytokines de grade clinique Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) J0 J6 (Injection)
51 Transfert vers un procédé de grade clinique: J0 à J7: différentiation in vitro Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Différenciation Maturation avec cytokines de grade clinique Chargement des idc avec les Ag vaccinaux Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) J0 J6 J7 (Injection)
52 Transfert vers un procédé de grade clinique: J0-J7: Contrôles de qualité qualitatifs et quantitatifs Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs J0 J6 J7 Monocyte DC immature DC mature Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) (Injection)
53 Transfert vers un procédé de grade clinique: J7: congélation Prélèvement cellulaire Mise en poches, descente en température programmée, conservation en azote vapeur. Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) (Injection)
54 Transfert vers un procédé de grade clinique: J>8: décongélation / lavage Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Décongélation: Bain-Marie 38 C. Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) Lavage: centrifugation. (Injection)
55 Transfert vers un procédé de grade clinique: décongélation (J>8): test fonctionnel Prélèvement cellulaire MLR allogénique (Mixte Lymphocyte Reaction): Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) DC matures décongelées Lymphocytes allogéniques marqués (CFSE) + Maturation Congélation des mdc Nombre de divisions: Nombre de divisions: Décongélation / Lavage (Mise en seringue) (Injection) Counts % CFSE
56 Transfert vers un procédé de grade clinique Prélèvement cellulaire Sélection des précurseurs Différenciation (Chargement des idc avec les Ag vaccinaux) Maturation Congélation des mdc Décongélation / Lavage (Mise en seringue) Transfert vers une production de DC de grade clinique: Réactifs, consommables et équipement autorisés pour leur usage en thérapeutique humaine, Niveau 3 de transformation cellulaire (arrêté du 16/12/1998). Production à grand échelle: Optimisation du procédé de production, Évaluation de la reproductibilité du procédé: Différenciation de cellules de plusieurs donneurs et patientes, Évaluation quantitative et qualitative des DC générées, Définition de critères de libération des vaccins. (Injection)
57 Essais de reproductibilité : caractérisation du produit cellulaire initial, intermédiaire Produit cellulaire mis en culture : Viabilité et Rendement cellulaire du tri CD 14+ Produit cellulaire à chaque étape de la culture : Viabilité et Rendement cellulaire des étapes de culture: Ex d un test quantitatif (mesure de l expression des marqueurs de différenciation et maturation): J6 J7
58 Résultats des essais de reproductibilité : caractérisation du produit cellulaire final Caractérisation du produit cellulaire décongelé: Viabilité des mdc décongelées, Rendement de décongélation, Stabilité des mdc décongelées (définition h. de péremption). Ex d un test qualitatif (Prolifération mesurée par MLR allogénique): Test: DC + LT Contrôle négatif: LT seuls 26% 0.5 %
59 Définition des Valeurs Attendues Prélèvement cellulaire par aphérèse non CD14 > oui Chargement des idc avec des peptides CNT < oui non Division du PTC et réalisation de 2 cytomates Maturation J0 Lavage/marquage sur Cytomate CNT < CD14 < non Division du PTC et réalisation de 2 tris CD14+ non Rendement CN>10% Maturation des DC viables >70% (marqueurs à déterminer) Pureté des DC J7> 80% (FSC/SSC) J7 non oui Tri des monocytes CD14+ CD14 > oui Critères de libération oui Congélation des mdc Décongélation/lavage (mise en seringue) J6 non Différenciation Rendement CN viv >20% Culture microbio J0 négative % CD14+ < 15% MFI CD40 > 50% non Cultures microbio J7 négatives MLR de mdc décongelées entre J7 et l injection 1 positive (seuil à déterminer) Quantité de mdc vivantes à injecter >1x10 e7 oui Inj oui Injection
60 Critères de libération des vaccins: Contrôle de Qualité effectué avant congélation: Cultures micro biologiques aérobies et anaérobies: négatives Pureté des DC > 80% (FSC/SSC) Différenciation suffisante à J7: perte CD14: <20% Maturation suffisante à J7: % cellules Topro3- / CD83+ > 70% CQ effectué sur chaque dose après décongélation et lavage: Coloration de Gram: négative Dose de cellules viables: dose à injecter (1x10e7).
61 Immuno monitoring de l essai clinique
62 Immuno Monitoring: Analyse réponse immune induite par le vaccin Comparaison de l immunité spécifique: avant, pendant et à après vaccinations. Evaluation de la réponse immune induite: 1) Test in vivo: test d hypersensibilité retardée (DTH): injection ID des Ag vaccinaux, évaluation du diamètre d induration. 2) Test in vitro: prélèvement des CMN circulantes: - Quantitatif: Evolution du % de LT spécifiques des Ag vaccinaux: mesure par cytométrie (Tétramère) des CD3+/8+ et CD3+/4+. Ne s applique qu à la vaccination par DC+ peptides. - Qualitatif
63 Évaluation quantitative des effecteurs: Tétramère Side Scatter Tetramer Forward scatter CD8
64 Immuno Monitoring: Comparaison de l immunité spécifique: avant, pendant et à après vaccinations. Evaluation de la réponse immune induite: 1) Test in vivo: test d hypersensibilité retardée (DTH): injection ID des Ag vaccinaux, évaluation du diamètre d induration. 2) Test in vitro: prélèvement des CMN circulantes: - Quantitatif - Qualitatif : mesure de la fonctionnalité de ces LT spécifiques: Sécrétion de cytokines (ELISPOT, ELISA, FACS), Prolifération, Cytotoxicité
65 Évaluation qualitative des effecteurs: ELISPOT Contrôle négatif: Peptide test:
66 Évaluation qualitative des effecteurs: MLR Nbre de divisions: Nbre de divisions: DC allo + Lymphocytes marqués Counts CFSE % CD CD CD CFSE CFSE CD4 # Cells % 84.2 # Cells % CFSE Contrôle CFSE Test
67 Des questions?
DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailProduction d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy
Production d effecteurs immuns Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Conditionnement Receveur Allogreffe de CSH Non prise et rejet de la greffe Donneur Immunosuppression
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailEVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN
REHAL : actualités et perspectives; 10 ème journée 22 novembre 2012 EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN Dr Azzedine ASSAL Directeur EFS-AQLI LA RÉGION AQUITAINE-LIMOUSIN
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détail1) Immunothérapie non spécifique. 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique
Immunothérapie du cancer 1) Immunothérapie non spécifique 2) Immunothérapie par anticorps monoclonaux 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique Marie-Alix Poul Institut de recherche
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailVIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C
VIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C M. Brahimi, N. Yafour, S. Osmani, F. Attaf, A. Arabi, B. Enta-Soltan, M.A. Bekadja. Service d Hématologie et de Thérapie
Plus en détailwww.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.
Tuberculose intérêt des tests sanguins Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.fr Pouvoir Pathogène : Maladie Granulomateuse Chronique
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLes greffes de cellules souches
A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55
ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, RUE BONAPARTE 75272 PARIS CEDEX 06 TÉL : 01 42 34 57 70 FAX : 01 40 46 87 55 RAPPORT au nom de la Commission I (Biologie Immunologie Génétique) Les banques de sang de
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailApproche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH
Approche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH Boris Hejblum 1,2,3 & Rodolphe Thiébaut 1,2,3 1 Inserm, U897
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailInnovation. Research. Care. Excellence. Dans ce numéro
-cancer newsletter n3 7/06/07 16:02 Page 1 N E W S L E T T E R 3 - J U I N 2 0 0 7 Innovation Research Care Excellence Dans ce numéro Cliniques universitaires Saint-Luc Av Hippocrate, 10 1200 Bruxelles
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détail