PREFECTURE DE L ARDECHE. Compte-rendu synthétique des ateliers de la journée du 20/01/2014 Organisation et mise en œuvre des temps périscolaires.
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- Aubin Léonard St-Louis
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1 PREFECTURE DE L ARDECHE Compte-rendu synthétique des ateliers de la journée du 20/01/2014 Organisation et mise en œuvre des temps périscolaires. Atelier A Se déclarer en Accueil collectif de mineurs : pourquoi? comment? Animateurs : Lionel MIGLIORINI DDCSPP 07, lionel.migliorini@ardeche.gouv.fr, : la réglementation des accueils collectifs de mineurs, le code de l action sociale et des familles. Fanny RAYMOND - CAF Ardèche, fanny.raymond@cafardeche.cnafmail.fr, : les modalités de financements des accueils de loisirs et des temps périscolaires. Qu est-ce qu un accueil de loisirs? - Cadre général : On appelle Accueil Collectif de Mineurs (ACM), l accueil répondant aux critères suivants : L accueil de loisirs de 7 à 300 mineurs en dehors d une famille pendant au moins 14 jours dans l année, consécutifs ou non, fonctionnant au minimum 2 heures par jour en temps extrascolaire ou périscolaire. Il existe une obligation de déclaration d un tel accueil auprès des services de la DDCSPP. - Cadre de la réforme des rythmes scolaires : La durée minimale prévue pour les activités périscolaires par journée de fonctionnement est ramenée à une heure (Décret n du 2 août 2013). A ce titre, les collectivités ayant choisi de fonctionner sur la base de 45 minutes d accueil périscolaire par jour ne peuvent prétendre à une déclaration en accueil de loisirs. A contrario, celles ayant choisi un accueil de 3 fois 1 heure ou 2 fois 1h30 peuvent se déclarer. - La différence entre garderie et ACM La garderie n a pas de caractère éducatif, elle n est donc pas soumise à déclaration et aux obligations réglementaires de qualifications et de taux d encadrement L accueil de loisirs revêt un caractère éducatif avec des activités structurées autour d un projet comme c est le cas dans la réforme. Quelles sont les obligations liées à la déclaration en tant qu accueil collectif de mineurs? - Le projet éducatif Il s agit pour l organisateur de fixer des objectifs afin que l enfant puisse être pris en charge en dehors du temps scolaire avec une visée éducative. Sa forme est libre. Il décline les grandes valeurs que l organisateur souhaite transmettre à l enfant. ATTENTION : Le projet éducatif est différent du Projet Educatif De Territoire (PEdT). Le PEdT est un cadre global permettant de mener une concertation entre l ensemble des acteurs et précise les modalités de fonctionnement de leur collaboration. Le projet éducatif dans le cadre des ACM est plus précis et ne vaut que pour le temps de l accueil pour lequel il a été élaboré
2 - Les conditions d encadrement Concernant la direction Il est obligatoire d avoir un directeur titulaire du Brevet d Aptitude aux fonctions de direction (BAFD) ou d un diplôme équivalent par site d accueil. Pour exercer des fonctions de direction, lorsque l accueil périscolaire fonctionne sur une durée de plus de quatre-vingts jours et avec un effectif supérieur à quatre-vingts mineurs, l organisateur doit demander une dérogation auprès de la DDCSPP pour une personne titulaire du BAFD ou avoir recours à un diplômé professionnel. Il existe une possibilité de mutualisation de la direction appelée «direction multi-sites» : Un seul directeur sur plusieurs sites différents. Le nombre d enfants présents par site doit être inférieur à 50 mineurs, ce qui exclut cette possibilité de déclaration pour tout accueil sur lequel un des sites est fréquenté par plus de 50 mineurs. Un accueil multi-sites est dirigé par un directeur titulaire d une des qualifications prévues par les textes réglementaires. Le directeur ne peut être compté dans l effectif d encadrement. Il doit être constamment joignable et disponible en cas de sollicitations de la part d une équipe d animation de l un des sites et doit pouvoir se rendre rapidement sur chacun de ces sites. Chaque site peut être placé sous la responsabilité d un animateur désigné par le directeur. Concernant l équipe d animation - 50 % de titulaires du BAFA ou d un diplôme équivalent - 30 % de stagiaires BAFA ou diplôme équivalent - 20 % de personnes non qualifiées Il faut noter que sur un encadrement composé de 3 personnes, l équipe peut être constituée d un BAFA, d un stagiaire BAFA et d un non diplômé. Cadre général PEDT Enfants de moins de 6 ans 1 pour 10 1 pour 14 Enfants de plus de 6 ans 1 pour 14 1 pour 18 La dérogation au cadre général doit figurer expressément dans le PEDT ou faire l objet d une demande auprès des services de la DDCSPP. En quoi consiste la procédure de déclaration? Les services de la DDCSPP proposent un accompagnement dans la déclaration en deux temps : - Une visite auprès de l organisateur afin d évoquer le projet de création de l accueil de loisirs ; - Une formation à l utilisation de l interface en ligne (télé-procédure internet) de déclaration dans les locaux de la DDCSPP. La déclaration en ACM doit être effectuée 2 mois avant le début de l accueil (au mois de juin). Elle implique de fournir : le procès verbal de sécurité ou à défaut, de l arrêté municipal d ouverture. Les locaux doivent satisfaire aux exigences de la réglementation des Etablissements Recevant du Public (ERP). Le numéro de police d assurance des locaux et de la responsabilité civile sur les activités proposées aux enfants. Le projet éducatif de l accueil de loisirs. Pour les accueils recevant des enfants de moins de 6 ans, une procédure complémentaire de déclaration est prévue afin de programmer une visite des services de la protection maternelle infantile (conseil général). L organisateur reçoit un récépissé de déclaration à la fin de cette procédure. L organisateur devra par la suite renseigner la fiche complémentaire de cette déclaration et ce, 8 jours avant le début de l accueil. Cette fiche complémentaire devra comprendre : - 2 -
3 l identité de l encadrement (direction, équipe d animation et intervenants réguliers). Il faut être vigilant à la bonne orthographe des noms et l exactitude des renseignements (au besoin avec une pièce d identité) afin d opérer notamment la vérification automatique du casier judiciaire. Les effectifs prévisionnels des élèves inscrits sur le temps périscolaire et non pas ceux de l école. De quelle nature est l intervention de la CAF dans le financement des temps périscolaires? La CAF intervient indirectement dans le fonds d amorçage à hauteur de 62 millions d euros pour Par ailleurs, elle intervient par le versement d une aide spécifique aux structures déclarées en ACM, via une convention entre l organisateur et la CAF. Cette convention s appuie sur des données prévisionnelles (activités, budgets prévisionnels si la structure a moins de deux ans d existence ) et déterminera un montant prévisionnel de l aide. Il est donc nécessaire d évaluer le besoin au plus près de l existant (par exemple par la réunion des familles, l élaboration de questionnaires, la prise d inscription ). Les organisateurs devront ajuster leurs prévisions tous les trimestres et une actualisation de ces données sera faite par les services de la CAF en juin et en septembre. En début d année N+1, les gestionnaires devront fournir un compte de résultat afin de régulariser le versement de l aide spécifique. Le montant de cette aide est forfaitaire et plafonné : 0.5 X nombre d heures réalisées par enfant X nombres de semaines ; dans la limite de 3 heures de fonctionnement par semaine et de 36 semaines/an. Il est obligatoire de tenir un registre de présence des enfants afin de pouvoir justifier de la fréquentation. Pour les ACM en délégation de service public : l aide est versée à la collectivité à travers le centre de loisirs. L obligation de non gratuité du service (périscolaire) ne joue pas dans le cadre des PEdT et de l aide spécifique, cependant elle peut conduire à une grande variabilité des effectifs. Pour éviter de trop grandes variations du nombre d enfants, il est conseillé d être directif au moment des inscriptions et de fonctionner par cycles. Si une commune passe par un centre de loisirs déjà existant et organisant des temps périscolaires sur la journée (hors réforme des rythmes scolaires), l aide spécifique pourra être versée pour un «TAPS» (temps d accueil périscolaire) même inférieur à une heure (c est la durée journalière totale de l'activité périscolaire du centre de loisirs qui devra être au moins égale à 1h). Attention, l'opérateur doit bien être le même pour ces deux temps. A noter que pour les nouveaux centres de loisirs intervenant dans le cadre du périscolaire, la CAF pourra verser l aide spécifique ou la Prestation de Service Ordinaire. L intégration de ces nouveaux services au Contrat Enfance Jeunesse et par conséquent le versement de la Prestation de Service Enfance Jeunesse sera néanmoins impossible. Enfin, outre sa participation financière, la CAF peut également accompagner les collectivités locales dans la mise en œuvre d un diagnostic de territoire ou dans l élaboration de budget de fonctionnement de structure d accueil. Atelier B Articuler le projet d école et le PEDT : quels objectifs et quelles passerelles? Animateurs : Claire CHEVALIER DDCSPP 07, claire.chevalier@ardeche.gouv.fr, : le PEdT. Jean-Marc GAUTHIER - DSDEN 07, ce.dsden07-iena@ac-grenoble.fr, : le projet d école. Projet d école / PEdT : quelles différences? - Le projet d'école est un document obligatoire, valable 3 années. Il doit être présenté pour avis en conseil d'école et validé par l'inspectrice d'académie. Par ce document la collectivité s'engage moralement avec pour objectif d'améliorer les performances scolaires des élèves
4 Le projet d'école s'appuie sur un diagnostic. Il doit prendre en compte les ressources des territoires mais aussi les résultats scolaires dans le but de faire évoluer les pratiques pédagogiques. - Le PEDT est issu de la circulaire du 20 mars Il s'agit d'un outil de concertation au service des collectivités. Contrairement au projet d'école, ce dernier n'est pas obligatoire sauf en cas de: dérogation sur les horaires scolaires ; dérogation sur les taux encadrement ; Il peut aussi émaner de la volonté de la collectivité de rassembler l'ensemble des acteurs de son territoire concernés par les temps de l'enfant autour d'un même projet éducatif. C est un outil de collaboration locale qui peut rassembler, à l'initiative de la collectivité territoriale, l'ensemble des acteurs intervenant dans le domaine de l'éducation. Il formalise un engagement. Il offre à la réflexion une dimension partenariale basée sur le respect des compétences de chacun, dans l intérêt de l enfant. Projet d école / PEdT : quelles points de rencontre? Ce sont deux projets centrés sur l enfant, sa réussite scolaire d une part et son épanouissement en tant que citoyen en devenir d autre part. Ils permettent de mettre en évidence une continuité éducative, notamment par les valeurs qu ils défendent : Respecter le rythme de l enfant Favoriser son développement personnel et son épanouissement Eveiller les esprits, former des individus libres, responsables et acteurs de leurs vies ; Permettre l accès de tous à la culture, au savoir et à la connaissance ; Favoriser l autonomie et l apprentissage de la citoyenneté Favoriser les liens intergénérationnels ; Sensibiliser à la connaissance du monde, son environnement, au développement durable. Pour mémoire, le socle commun de compétences définit par la Ministère de l Education nationale, précise le contenu des compétences sociales et civiques (les règles élémentaires de la vie en société, les notions de responsabilité et de liberté ) et celles ayant trait à l'autonomie et l initiative (être autonome, travailler en équipe ). De même, l organisateur d un accueil de loisirs élabore un projet éducatif qui décrit comment sont pris en compte dans l organisation de la vie collective et lors de la pratique de diverses activités, les besoins psychologiques et physiologiques des adolescents (décret du 3 mai 2002). Comment s élabore un PEdT? Il est élaboré par la commune ou la communauté de communes pour tous les enfants scolarisés sur le territoire
5 - Au sein du comité de pilotage du PEdT peuvent intervenir : les enseignants ; les animateurs périscolaires ; les acteurs associatifs (champs culturel et sportif) les représentants de parents d'élèves... - Le COPIL valide : les objectifs poursuivis en matière éducative et les effets attendus ; les activités proposées (en cohérence et en complémentarité entre elles et avec les projets d'école) ; le cas échéant, leur articulation avec les activités extrascolaires (petites et grandes vacances) ; les modalités d'information des familles ; les éléments prévus dans le bilan annuel (nombre d'enfants concernés, actions menées, etc.) ; les modalités d'évaluation (périodicité et critères) ; les tarifs des prestations éventuellement facturées aux familles ; les acteurs (services et associations) engagés. - L'élaboration d'un PEDT permet d identifier les ressources et les besoins. La démarche fixe une ambition et un calendrier : Identification des besoins de chaque territoire Etat des lieux nécessaire pour prise en compte de l offre existante (cf politique enfance-jeunesse PEL/CEL existants et sur lesquels s appuyer ) : activités périscolaires et extrascolaires existantes, besoins non satisfaits, atouts et contraintes les publics cibles (nombre d'enfants, classes d'âge) et les modalités de leur participation ; Identifier aussi les ressources locales : partenaires associatifs dans les champs culturels, artistiques et sportifs intervenants individuels Il est conseillé aux structures d'adapter leurs projets à leurs moyens et à leurs ressources territoriales. Chaque collectivité doit créer son propre projet à partir de son diagnostic sans chercher à imiter ou tenter d'offrir les mêmes contenus partout. De plus, il ne faut pas perdre de vue que le PEdT est une démarche évolutive, en perpétuelle construction dont la première étape vient de s'engager. Les ambitions peuvent rester modestes et le calendrier peut anticiper les marges d amélioration, en tenant compte notamment de la formation continue des équipes. Enfin, les collaborations à échelle intercommunale sont prévues par les textes. Elles peuvent permettre par exemple la mutualisation de matériel et de personnel. Les locaux, les qualifications : quelques précisions - Concernant les locaux scolaires, il est rappelé que le/la maire peut décider de l'utilisation des locaux scolaires hors temps scolaire. Une Charte d'utilisation des locaux scolaires va être proposée au comité de suivi départemental de la réforme et sera proposée aux collectivités après validation. - L'ouverture de nouvelles formations BAFA est annoncée. Elles peuvent autant intéresser des nouveaux personnels à former que la reconnaissance de compétences d employés communaux déjà au service des enfants par exemple sur les temps de garderie. Des Certificats de qualification professionnelle (CQP) mention périscolaire devraient aussi voir le jour sur le territoire dans les prochains mois. Ces CQP donnent les prérogatives du BAFA et permettent la validation d'une partie (2 Unités Complémentaires) du Brevet Professionnel de la Jeunesse, l'education Populaire et du Sport «Loisirs Tout Public» (BPJEPS LTP)
6 ATELIER C ANIMER UNE CONCERTATION Animateurs : Marc ZANONI - DSDEN 07, marc.zanoni@ac-grenoble.fr, Vanessa JAUME, FACS, animationfacs@gmail.com, L atelier démarre par un exercice de photo langage Il s agit de choisir deux images, l une évoquant «ce qu est une concertation», l autre : «ce que n est pas une concertation». Relevé de quelques propos qui permettent d approcher les représentations et propos des participants : Qui parle? Ce qu est la concertation Ce que n est pas la concertation association Une force Etre seul élue Trouver des réponses ensemble Politique de l autruche : ne rien dire, voir, écouter élu Parler ensemble en intégrant un «étranger», Cloisonnement entre personnes une parole différente technicien Les grains de sable qui font avancer Un «fouillis-foutoir» élue Ensemble, bonne humeur, collectif Isolement, pas de rapport avec les autres adjoint Avoir des choses en commun élu Hémicycle évoque rassemblement pour Visage inexpressif, vide de la pensée échanger élu Bonne humeur cloisonnement Elue se mettre ensemble pour arriver à quelque Ceux qui ne veulent rien voir ni entendre chose technicienne Tous ensembles pour faire des choses Un chemin tout tracé technicienne Un jeu = trouver un assemblage de pièces, des Se focaliser sur une seule chose combinaisons élue Se donner la main, coopérer Pas moyen de créer un dialogue élu Ni entendre, ni parler technicienne Faire coïncider des idées différentes Ce n est pas celui qui parle le plus fort qui «gagne» technicienne Un feu d artifice = succès Idée d échec technicienne Tous réunis au même niveau association Des individus répartis sur des espaces Un regard unique différents qui communiquent néanmoins Définition proposée : La concertation est un dialogue horizontal pour atteindre un objectif commun entre des participants en vue d agir ensemble. - La Voulte Les expériences de concertation sur les territoires Q : avez-vous eu une réflexion préalable sur la méthodologie, la stratégie pour mettre en place la concertation? Plusieurs étapes ont été nécessaires : 1. Identification des acteurs 2. Mise en place de réunions bilatérales : réunions préalables avec les enseignants, puis avec les associations, puis avec les délégués des parents. Remarque méthodologique des intervenants Ces réunions sont utiles pour prendre la température, recenser les contraintes, recueillir des réflexions et propositions, identifier les résistances, les désaccords, les points d appui, et les problèmes
7 3. Mise en place d un comité de pilotage (avec SDEN, CAF, DDCSPP). 4. Réunion des délégués de parents, enseignants, centre social, MJC, élus et techniciens. Le pilote = la ville ; l animation des réunions : DGS + élue. Il est possible et parfois utile de dissocier les rôles de pilotage et d animation du groupe de pilotage. 5. Réunion publique. - Privas Les étapes ultérieures et à venir : 1. Consultation des équipes enseignantes pour le choix des horaires ; avec le pilotage de l adjointe à l enseignement qui considère que les enseignants sont les «spécialistes» sur ce sujet. 2. Des réunions publiques d information, sur l organisation des temps péri-éducatifs visant à répondre aux questions des parents. (4 écoles - 35 parents participants). En termes de méthodologie, on pourrait dire que le choix «politique» de concertation de Privas a été de «segmenter». La concertation vise la mise en place d un processus de dialogue pour aller vers un objectif commun. C est une mise en mouvement, une dynamique Une «réunion publique» n a pas forcément vocation / ou n est pas forcément la «forme» la plus adaptée pour engager une concertation ; elle peut avoir pour objectif d informer, ou de consulter L animateur de la concertation «travaille» à développer une reconnaissance mutuelle, des métiers, des compétences, et des spécificités (cf préjugés et fantasmes, clivage historique entre école et éducation populaire). La concertation est aussi nécessaire pour passer du «chacun fait ce qu il sait bien faire» à «chacun fait ce qui est bénéfique aux enfants» ; elle permet aux intervenants de se «régler» au regard des besoins des enfants (besoin de souffler, d expérimenter, de jouer ), et par rapport aux autres intervenants. 3. Envoi de questionnaires aux parents. Animer une concertation mobilise du temps et de l énergie. : chacun vient a priori pour défendre un intérêt individuel, l enjeu pour l animateur est, par le jeu du dialogue, de faire évoluer chacun vers l idée d une collaboration visant un intérêt collectif ; de faire en sorte que des acteurs éducatifs qui ont des intérêts spécifiques, acceptent de construire un parcours éducatif cohérent, au bénéfice des enfants. 4. A venir : nouvelle réunion d information qui fera la synthèse. Des principes sont déjà fixés, des négociations et modifications sont néanmoins possibles encore «à la marge». SYNTHESE/ préconisations : Penser une méthodologie de concertation : qui pilote? Qui anime? Clarifier les mandats : des instances (des espace-temps) de «proposition» / des instances de «décision» ; Rendre compte : les comptes-rendus permettent d acter des propos / décisions, et sont utiles à l information de tous... Identifier les acteurs éducatifs : les enseignants, mais aussi les intervenants spécialisés (centres sociaux, MJC, accueil de loisirs ), parents délégués et parents moteurs, élus «porteurs» Mobiliser les personnes-ressources du territoire et faire «partager» la réforme en sollicitant ces acteurs le plus tôt possible. Savoir anticiper ou repérer les blocages, y trouver des réponses, par exemple en organisant des groupes de travail. La concertation demande du temps, de l énergie, de la capacité à s exposer à des «frottements», mais génère des dynamiques et de l enthousiasme
8 Atelier D Accompagner les intervenants du périscolaire : Embauche, formation, posture, Animateurs : Stéphanie LABAU DDCSPP 07, stephanie.labau@ardeche.gouv.fr, : la mise en place de la réforme : des problèmes organisationnels auxquels on peut trouver des réponses. Nathalie MARTELLI - FOL 07, contact@folardeche.fr, : s appuie sur son expérience dans l accueil d enfants en temps de loisirs et en matière d ingénierie de formation pour faire des propositions pour accompagner les acteurs de la réforme. Le projet au cœur du dispositif. Partir du projet éducatif et y revenir pour chacune des questions qui se poseraient Le recrutement 1. Contrats de droit communs : CDI, CDD 2. Contrats aidés : CUI-CAE, Emploi d avenir 3. Mobilisation d autres ressources : Services civiques, les associations (pour les professionnels œuvrant pour le compte de l association ou afin de consolider leur temps de travail, par la mise à disposition de bénévoles ) Question : «le bénévolat» : Comment l encadrer? Quelle responsabilité? Le champ sportif est règlementé par le code du sport dès lors qu il y a rémunération de l intervenant (la DDCSPP vérifie notamment les diplômes et l honorabilité des intervenants) ; si bénévolat cette procédure n existe pas. Par contre le système fédéral a mis en place des formations pour donner de la compétence à son encadrement bénévole. Importance de la coordination du dispositif : prévoir une personne qui est disponible, attentive aux difficultés rencontrées par les intervenants, et qui veille au bon déroulement de l activité, voire suggère la formation des bénévoles. Ce suivi peut garantir un service rendu de qualité. La réforme est une occasion pour les associations de consolider leurs activités (par le biais des prestations reçues), et de faire reconnaître les éducateurs sportifs et les animateurs comme des acteurs éducatifs à part entière. CDOS et FOL proposent tout au long de l année des formations pour les bénévoles. Q. : peut-on signer un contrat d engagement réciproque? On ne peut pas faire signer un contrat à un bénévole, sous peine d être sous l effet d une «requalification» (= d un emploi) mais d autres «garanties» sont possibles : le comité de pilotage peut valider les modes d organisation. Q. : Une loi sur la sécurisation des emplois poserait des limites aux temps partiels? Comment embaucher pour un petit nombre d heures? Mutualisation : mise en place un partenariat intercommunal avec un conventionnement pour la mise à disposition du salarié. Une fédération ou une association locale peuvent supporter cet emploi partagé ; Recours à une structure mettant du personnel qualifié à disposition (Profession sport et loisirs Création de groupements d employeurs pour des structures ayant des besoins communs. Difficulté constatée des «mêmes besoins aux mêmes horaires» : tenter de mutualiser les emplois avec un projet commun/ ou en choisissant des horaires d accueils périscolaires alternés. La concertation peut permettre des partages d emplois, mais aussi de matériels. Q. : Faut-il envisager un paiement à la personne ou à l association? Les deux formes sont possibles. Dans un cas la commune peut devenir employeur accessoire d un intervenant (si celui-ci n est pas déclaré comme travailleur indépendant), dans l autre elle rétribue un travailleur indépendant ou une prestation à une association. La collaboration est-elle le choix d une personne ou d association? Par exemple, si un éducateur sportif est salarié, il doit demander une autorisation d activité accessoire à son employeur ; celui-ci peut préférer qu il soit mis à disposition par l association. Il semble plus facile pour une collectivité de conventionner avec une association autour d un projet global dont la mise en œuvre de la réforme ne serait qu un des volets
9 Q. : Un bénévole encadrant une activité sportive a-t-il besoin d un diplôme? La question n est pas nouvelle : elle existe déjà pour les pratiques en clubs ; le cadre «réforme des rythmes éducatifs» ne change rien. Un bénévole n est pas soumis à l obligation de diplôme, cependant il faut savoir que les fédérations sportives ont mis en place des formations fédérales afin de donner de la compétence y compris à leurs intervenants bénévoles. Il faut faire confiance en l association qui connait ses intervenants, il y a un enjeu pour tous à ce que ces temps se passent bien. Formation Q. : Quelles formations seront mises en place? Quand? Plusieurs acteurs locaux existent sur le terrain. Le CREPS organise, outre ses formations classiques (BPJEPS, DE, DES), des pré-qualifications aux métiers du sport et de l animation. La FOL (BAFA Base aménagé, CQP périscolaire) et l association FEA (un BPJEPS LPT est en préparation) sont aussi des acteurs ardéchois de premier plan. Il est important pour l organisateur d anticiper, notamment en définissant le plus précisément possible les ressources humaines nécessaires au projet. Le projet est central : au vu du projet, il convient de déterminer quels sont les besoins. La formation et le statut d emploi doivent être définis au plus tôt, en fonction des fiches de poste et du contexte. Q : Peut-on faire confiance aux formations fédérales? Elles ont été mise en place pour accompagner les intervenants bénévoles qui officient dans les clubs. Si les interventions durant les temps périscolaires sont spécifiques (les enfants ne connaissent pas la pratique, peuvent avoir des attentes différentes, ne sont pas forcément motivés par cette pratique) la principale qualité de l éducateur est de s adapter à son public, et de donner du plaisir dans la pratique. Réflexion sur la formation professionnelle et le BAFA. La FOL milite en faveur de stages BAFA se déroulant en internat, préparant à l accueil en séjours de vacances (elle souhaite aussi préserver le statut de «Contrat d engagement éducatif au regard de la spécificité du champ non professionnel de l animation). A titre exceptionnel, elle pourra proposer des stages in situ et en externat, en réponse aux demandes d une collectivité territoriale. Elle pourrait aussi conventionner avec plusieurs municipalités sur un territoire pour l organisation de formations. La FOL engage une réflexion sur le choix des formations les mieux adaptée aux projets et aux contextes entre des formations professionnelles (BPJEPS, CQP) et non professionnelles (BAFA BAFD). Posture professionnelle Attractivité des métiers du sport et de l animation mais ce sont de vrais métiers avec des contraintes importantes notamment en terme d organisation du travail. Champs réglementés du sport et des accueils collectifs de mineurs. Importance du volontariat dans l animation : on ne peut pas «contraindre» à animer sans mettre en cause la question de la qualité de l animation. Quid de personnels communaux que l on forcerait à investir le champ? Réelle opportunité professionnelle pour certains d évoluer
10 Rappels de quelques enjeux et points clés en guise de conclusion L objectif des activités péri et extrascolaires n est pas l instruction, mais l éducation : il s agit d ouvrir le champ des «possibles», de susciter des envies de former des enfants «citoyens». Ce sont des choix à évoquer / débattre au cours de l élaboration des PEdT. La réforme ne devrait pas créer pour les enfants une «suractivité». Privilégier si possible des «temps calmes» : où les enfants sont surveillés de façon bienveillante, où l animateur joue, lit, avec l enfant il propose et l enfant choisit. Sans doute faut-il lutter contre certaines tendances consuméristes des parents et travailler d abord sur les valeurs éducatives ; puis choisir des activités (ou non-activités) adaptées aux objectifs éducatifs choisis. La première préoccupation des élus doit être la prise en compte des besoins des enfants, le respect de leurs rythmes, leur épanouissement
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