Olivier GALLAND CNRS-GEMAS
|
|
- Liliane Gascon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Olivir GALLAND CNRS-GEMAS INDIVIDUALISATION DES MŒURS ET CHOIX CULTURELS Dans l accès à c qu on appll parfois la «cultur légitim», la démocratisation smbl marqur l pas. Olivir Donnat l rmarquait ncor récmmnt dans la drnièr livraison d Donnés Socials 1. Ls équipmnts culturls sont plus fréquntés, mais ls écarts ntr groups sociaux smblnt rstr à pu près constants. Pour comprndr ls rssorts d ctt stabilité ds écarts, il st évidmmnt tntant d braqur l projctur sur ls comportmnts ds juns générations : l élitism dans l accès à la cultur s maintint-il chz ls juns c qui xpliqurait la prpétuation ds différncs socials? Or, lorsqu on y rgard d près l constat n st pas clui-là. Ma contribution n portra pas sur la stratification social d la cultur, mais j prnds c point d départ pour dévloppr mon argumnt ssntil : l rapport d l nsmbl ds juns générations à la cultur a changé t n prmt plus d s contntr d un lctur, qui a été la plus courant jusqu à présnt, n trms d handicaps ou d atouts culturls liés à la position dans l échll d stratification social. Pour étayr l argumnt, il faut rgardr qulqus chiffrs. J prndrai comm indicatur résumant l rapport à la cultur, la pratiqu d la lctur. Comm l rmarquait François d Singly, il y a qulqus annés dans un articl sur la lctur ds juns, ctt pratiqu rst très corrélé à la sphèr d la cultur «classiqu» 2. Ell put donc bin résumr l rapport global aux pratiqus cultivés. La figur 1 nous montr l évolution slon l âg du % d non lcturs. L évolution générationnll divrgnt apparaît clairmnt : malgré lur nivau d étuds, n moynn plus élvé, ls juns s détachnt nttmnt d la lctur. L font-ils dans ds proportions équivalnts, quls qu soint lurs atouts scolairs? La répons st positiv, c st c qu montr l duxièm graphiqu (figur 2). On constat mêm qu la divrgnc générationnll st d autant plus fort qu l nivau d étuds st élvé. Chz ls Français qui ont au moins l bac, ls juns lisnt d moins n moins, alors qu ls plus âgés, au moins dpuis l nquêt d 1981 lisnt plus (ou du moins sont moins nombrux à n lir aucun livr) (figur 3). 1 Olivir Donnat L évolution ds pratiqus culturlls, Donnés Socials , INSEE, 2002, p F. d Singly, La lctur d livrs pndant la junss : statut t fonction, in Lir aujourd hui n Franc, sous la dirction d Martin Poulain, Editions du Crcl d la Librairi, 1993
2 Figur 1. L'éloignmnt ds juns à l'égard d la lctur (Sourc : nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français) % n'ayant lu aucun livr n un an ans ans 40 ans t plus Ensmbl Figur 2. L'éloignmnt ds juns à l'égard d la lctur slon l nivau d'étuds 40,0 % d ans n'ayant lu aucun livr 30,0 20,0 10,0 <= CEP BEC CAP >= Bac 0, Figur 3. L'éloignmnt à l'égard d la lctur parmi ls Français ayant au moins l bac 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 % n'ayant lu aucun livr, Français ayant au moins l bac t plus Ensmbl Il st inutil d multiplir ls donnés, mais on pourrait présntr ds graphiqus tout à fait comparabls à propos d la fréquntation ds xpositions d pintur ou ds musés. Qu conclur d c prmir nsmbl d donnés? Un chos qu constatait déjà Ann-Mari Chartir dans un articl sur la lctur scolair 3 ou qu constatait égalmnt Emmanul Fraiss dans un 3 Ann-Mari Chartir, La lctur scolair ntr pédagogi t sociologi, in Lir aujourd hui n Franc, sous la dirction d Martin Poulain, Editions du Crcl d la Librairi, 1993
3 livr sur ls étudiants t la lctur 4 il y a déjà qulqus annés : qu, dans ls juns générations au moins, la rlation ntr un haut nivau d éducation t ls pratiqus cultivés tndait à s distndr. Si c résultat st confirmé, t j rst évidmmnt prudnt, il m smbl qu cla dvrait conduir ls sociologus à un révision assz considérabl d lur approch ds pratiqus culturlls, cll sur laqull rposait, par xmpl, l argumnt ssntil d la Distinction. Faut-il raisonnr toujours n trms d hiérarchi d accès aux bins culturls fondé sur l inégal répartition ds atouts sociaux d départ, si un fft générationnl fait qu un génération dans son nsmbl n montr plus, quls qu soint ls atouts initiaux dont disposnt ss mmbrs, aucun «bonn volonté culturll»? Il rst évidmmnt à comprndr c qui xpliqurait c détachmnt générationnl. C st sur c point maintnant qu j voudrais proposr qulqus pists d réflxion, tout à fait provisoirs. J propos d xplorr trois pists. L un a trait à l évolution ds valurs qui, slon moi, transform l rapport aux bins culturls. La scond s rapport à l affaiblissmnt d la socialisation familial. La drnièr concrn la sociabilité t ls loisirs. 1 L individualisation ds mœurs Dans l analys récnt d l évolution ds valurs ds Français t ds Européns qu nous avons mné avc qulqus collègus 5, un tndanc commun s dégagait qu nous avons applé l individualisation ds mœurs, c st-à-dir l comportmnt qui consist pour ls individus à vouloir choisir par ux-mêms t uniqumnt par ux-mêms c qui st bon ou mauvais pour ux. Ctt rvndication d librté dans ls choix moraux n st évidmmnt pas nouvll. C st un tndanc séculair lié à l affaiblissmnt d l ncadrmnt ds individus par ds institutions, t notammnt par ls Egliss. Mais l accélération qu a connu c mouvmnt au cours ds 10 drnièrs annés st spctaculair. L un d ss illustrations ls plus frappants concrn l évolution ds attituds à l égard d l homosxualité. Comm l montr la figur 4, la toléranc à son égard s st fortmnt accru dpuis dix ans, d aillurs dans touts ls générations, mêm si ls juns rstnt ls plus prmissifs (prsqu la moitié d ntr ux la considèrnt aujourd hui avc un crtain binvillanc). Sans bin sûr forcémnt partagr ux-mêms ctt orintation sxull, un part grandissant ds Français considèrnt donc, qu chacun doit êtr libr, s il l désir, d y adhérr, mêm si ll st condamné par l Eglis. Mais c n st qu un xmpl ; ls Français admttnt aussi baucoup plus facilmnt qu il y a vingt ans l idé du divorc, d l uthanasi t dans un moindr msur du suicid. C qu il y a d commun drrièr tout cla, c st l idé d la libr disposition d soi-mêm. 4 Emmanul Fraiss (dir.), Ls étudiants t la lctur, PUF, Politiqu d aujourd hui, Voir à c sujt ls travaux réalisés par ls chrchurs rgroupés dans l association ARVAL : Pirr Bréchon (dir.), Ls valurs ds Français, A. Colin, t l numéro spécial d la rvu Futuribls (n 277, juillt-août 2002)
4 Figur 4. Un xmpl : un toléranc croissant à l égard d l homosxualité (nquêts «valurs») 50,0 45,0 40,0 35,0 30,0 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 % d Français considérant l'homosxualité comm plutôt justifié ans ans ans 60 ans t plus Bin sûr, comm l rapplait récmmnt Raymond Boudon 6, c comportmnt n équivaut pas au triomph d un prmissivité généralisé t sans limits, ni au rjt ou à l abandon d touts ls valurs qui ont, jusqu à présnt, composé l univrs mntal ds Français. Mais ls limits qu ls individus fixnt à lurs choix n s trouvnt plus aujourd hui dans ds princips abstraits, dans ds règls imprsonnlls t intangibls, lls résidnt simplmnt dans l rapport à autrui : st licit c qui n nuit pas aux autrs, st condamné c qui put avoir ds conséquncs négativs sur autrui. On constat, par xmpl, un maintin d l attachmnt à la fidélité dans l coupl t un dmand accru d autorité dans ls rlations socials. Mais il n y a pas là d contradiction avc la prmissivité croissant dans l domain privé : l individualisation ds mœurs s accompagn d un souhait réaffirmé t put-êtr mêm rnforcé d régulation ds rlations ntr prsonns. Ls Français, t ls juns parmi ux, adhèrnt à un moral rlationnll qui fond ls norms non plus sur ds princips abstraits, mais sur lur fft social dirct dans ls rlations intrprsonnlls. L attachmnt à la fidélité, par xmpl, rlèv d c princip : chacun st libr d choisir son orintation sxull, mais un coupl st fondé sur un contrat moral ntr dux prsonns t c contrat n put êtr rompu d manièr subrptic. Il n put l êtr qu au trm d un constat commun d désaccord : c st pourquoi tout n étant favorabls à la fidélité, ls Français jugnt qu, dans c cas, l divorc st un solution raisonnabl. Ctt tndanc à l individualisation ds mœurs n xrcnt pas sulmnt ss ffts sur ls norms d comportmnt ; ll l fait aussi probablmnt n c qui concrn ls choix culturls. Dans c domain égalmnt, m smbl-t-il, ls individus, t plus ncor ls juns, vulnt choisir c qui lur smbl bon ou mauvais pour ux t c nouvau princip attaqu d plin fout l idé d la transmission intrgénérationnll, sur laqull st fondé la concption traditionnll d la cultur. Baucoup d parnts ont probablmnt fait comm moi l xpérinc prsonnll ds réticncs d lurs nfants à accptr d rcvoir n dépôt un fonds culturl, supposé commun t imprscriptibl, 6 Raymond Boudon, Déclin d la moral? Déclin ds valurs?, PUF, 2002
5 qui, jusqu alors s transmttait d génération n génération, par xmpl à travrs la littératur classiqu. La concurrnc d la télévision ou d autrs mdias m smbl un xplication baucoup trop court, mêm si bin sûr ll contribu aussi à ctt désaffction. Car si on ls écout, qu disnt cs nfants ou cs adolscnts? Un chos simpl, mais nouvll par rapport à c qu était la norm dans ma génération : ils n vulnt pas rcvoir sans pouvoir choisir. Dans ls générations précédnts, la transmission ds œuvrs culturlls avait qulqu chos d sacré, ll xprimait plus qu l accès à la cultur, ll xprimait l introduction à la société tout ntièr. J n ignor pas, bin ntndu, c qu avait d élitist ctt form d transmission culturll. Mais ss ffts dépassaint sans dout largmnt, l univrs social auqul ll était résrvé. Comm l disait Bourdiu, crtains classs qui n étaint xclus, faisaint pruv d «bonn volonté culturll». Forc st d constatr qu c rspct d princip a disparu. Chaqu œuvr st évalué à l aun d critèrs d immédiatté, c st-à-dir qu ll doit ntrr n concordanc avc ds goûts t ds attnts qui s xprimnt aujourd hui. Bin sûr, ls mods culturlls ont toujours xisté, mais au dlà ds mods un fonds commun s sédimntait t s transmttait. C fonds commun n a pas disparu, il st aujourd hui transmis, n parti au moins, par l écol à un nombr d aillurs grandissant d juns. Mais, c faisant, il sort d l univrs ds librs choix. Or pouvoir choisir st c qui paraît aujourd hui ssntil aux juns générations. On a d aillurs un illustration tout à fait frappant d cs nouvaux rapports à la cultur n constatant qu c qu ls nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français appllnt «ls pratiqus amaturs», c st-à-dir ds activités réalisés par ls prsonns lls-mêms dans un champ très voisin d clui qui donn liu à la production d œuvrs culturlls rconnus - clui d l écritur, du théâtr, d la dans, par xmpl - connaissnt un succès grandissant. Cs pratiqus progrssnt fortmnt dans touts ls générations, y compris chz ls juns (figur 5). C n st donc pas l idé mêm d pratiqus culturlls qu on associ tout à fait habitullmnt à l idé classiqu d cultur, qui srait délaissé ou rjté, c st plutôt probablmnt un mod d transmission. Figur 5. L succès croissant ds pratiqus amaturs (nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français) 50,0 40,0 30,0 20,0 10,0 0,0 % d Français ayant pratiqué au moins un activité amatur dans l'anné t plus Ensmbl
6 2 L affaiblissmnt d la socialisation familial La duxièm pist qu j voulais xplorr concrn l affaiblissmnt d la socialisation familial. Ctt idé n st évidmmnt pas sans lin avc la précédnt, puisqu dans ls miliux qui s stimaint dépositairs d la cultur classiqu, l introduction aux œuvrs s faisait n grand parti par l biais d la socialisation familial. L idé du libr choix contribu donc d facto à affaiblir c mod d transmission. Mais il y a plus. Plusiurs indics smblnt montrr qu l autonomi culturll ds juns, c st-à-dir l fait d affirmr ds goûts t ds fréquntations n parti indépndants ds norms t ds choix familiaux, s manifst d plus n plus précocmnt. J n ai, pour ma part, trouvé un illustration assz ntt dans l xploitation ds nquêts «mplois du tmps» d l INSEE. En xploitant cs nquêts n , j avais constaté d ntts différncs dans la structur ds mplois du tmps ds lycéns t ds étudiants. Dans l palmarès ds activités ls plus pratiqués par ls lycéns apparaissaint pu d activités complètmnt étrangèrs aux dux grands instancs d socialisation qu sont la famill t l écol. Cs activités, notammnt tout c qui concrn ls sortis t la fréquntation ds amis, apparaissaint par contr fortmnt chz ls étudiants. J concluais donc qu ls lycéns, pour un grand part, rstaint ds adolscnts largmnt ncor sous l contrôl d la famill t d l écol. En 1998, dat d la drnièr nquêt mplois du tmps, l tablau st assz largmnt boulvrsé : ls lycéns sortnt ainsi baucoup plus au spctacl qu ils n l faisaint n 1986 (+17 mn/jour n moynn), ils passnt plus d tmps à rndr visit à ds amis (+14 mn), à prndr ds rpas à l xtériur d lur domicil (+ 8mn), à s promnr (+ 6mn). Il passnt aussi plus d tmps à xrcr un activité d travail qui lur procur probablmnt ls rssourcs supplémntairs qui lur prmttnt d sortir plus souvnt. La structur d l mploi du tmps ds lycéns s st donc fortmnt rapproché d cll ds étudiants Par aillurs, si on prnd n compt l nsmbl ds activités d un journé, la baiss du tmps passé par ls juns scolarisés, qu ils soint lycéns ou étudiants, avc ds mmbrs du ménag pour pratiqur cs activités, st snsibl (figur 6).
7 Figur 6. La baiss du tmps passé avc ds mmbrs du ménag (nquêts «mploi du tmps», INSEE) % d tmps passé avc ds mmbrs du ménag Lycéns Etudiants L profil «adolscnt» ds lycéns s st donc fortmnt atténué t, d un manièr plus général, ls juns smblnt s détachr plus vit t plus complètmnt d l influnc familial. Bin sûr l indicatur sur lqul j m appui rst trop grossir ; il faudrait fair un travail baucoup plus approfondi sur la transmission ds goûts ntr ls générations, mais sous résrv d c travail qu j n ai pas fait t qui, à ma connaissanc n xist pas, j frais volontirs l hypothès d un autonomi croissant d la sphèr ds goûts t ds pratiqus d loisirs juvénils. Un drnièr rmarqu à c sujt : cs lins intrgénérationnls distndus n signifint pas qu cs goûts s xprimnt au travrs d pratiqus étrangèrs à la sphèr marchand ; cla put arrivr bin sûr, mais l plus souvnt ds homms d markting tout à fait avisés savnt détctr t répondr à cs bsoins. 3 L primat ds rlations sur ls activités L drnir point qu j voudrais abordr concrn l orintation, ll aussi très spécifiqu aux juns, qui s fait jour dans ls comportmnts sociaux t accompagn l individualisation ds mœurs t la baiss d influnc d la socialisation familial : ls rlations ntrtnus avc l crcl l plus étroit ds amis prnnnt un importanc grandissant dans la vi social 8. On sait dpuis longtmps qu la junss st la périod d la vi durant laqull on fréqunt l plus ss amis 9. Mais c qui st nouvau, m smbl-t-il c st qu la sociabilité dvint un valur n ll-mêm : ls juns sont ls adpts d un «moral rlationnll», c st-à-dir qu ls conséquncs ds actions sont moins nvisagés n fonction d lur résultat intrinsèqu ou n fonction d princips abstraits (il faut fair cci, n pas fair cla) qu n fonction d l fft concrt t dirct qu lls puvnt avoir sur ls autrs t 7 Olivir Galland t Pascal Garrigus, La vi quotidinn ds juns du lycé au mariag, Economi t statistiqu n 223, cf O. Galland, Ls Français ntr : ds rlations élctivs t sélctivs, Pirr Bréchon (dir.), Ls valurs ds Français, Evolutions d 1980 à 2000, Armand Colin, Cf Galland t Garrigus op. cit., Clair Bidart, L amitié un lin social, La Découvrt, 1997, Nathali Blanpain t Jan-Louis Pan Ké Shon, A chaqu étap d la vi ss rlations, Donnés Socials 1999, Brnard Roudt, Jan-François Tchrnia, L amitié, un valur toujours cntral, in Ls valurs ds juns, Galland, Roudt (dir.), L Harmattan, 2001
8 notammnt cux qu l on fréqunt l plus intimmnt. C princip a évidmmnt ds conséquncs importants dans l domain moral : dans un tll concption, on l a dit, ls norms imprsonnlls n ont plus cours. Mais il a aussi ds conséquncs sur la hiérarchi qui s établit ntr ls prsonns qu on fréqunt t ls choss qu l on fait avc lls. Cla signifi concrètmnt qu, pour ls juns l «êtrnsmbl» dvint plus important qu l «fair-nsmbl» ou du moins qu l scond n st justifié qu par l prmir. Un ptit étud qualitativ réalisé avc ds étudiants nous a bin montré ls caractéristiqus spécifiqus d ctt sociabilité juvénil. Au trm d ctt étud sur ls pratiqus culturlls, quatr typs d juns ont été dégagés 10, t l un ds plus importants st clui qu nous avons simplmnt applé ls «sociabls». Ls juns d c group ont un sociabilité amical intns. Pour ux, ls amis, souvnt rncontrés dès l écol primair ou au collèg, sont ls prsonns auxqulls on put s confir totalmnt, tout dir, avour «ss moindrs problèms» (c n st pas l cas ds parnts) t sur lsquls on put comptr n cas d coup dur. Ls sortis ntr amis rprésntnt pour ux la bas d la vi d jun. L nquêt Emploi du tmps d l INSEE montr ffctivmnt qu ls sortis occupnt un part d plus n plus important d la vi ds juns, surtout avant qu ils n vivnt n coupl. L tmps moyn passé à cs sortis par ls lycéns t ls étudiants, par xmpl, a doublé d 1986 à 1998 (tablau 1) : l pourcntag d juns qui sortnt augmnt fortmnt t, lorsqu ils l font, c st pour un plus longu duré. Tablau 1 Moynn du tmps passé par ls juns t taux d pratiquants par jour n «sortis» (mn/jour t %). Lycéns t étudiants En mploi, pas n coupl En coupl Ensmbl nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu ,1 12, ,3 17, , ,3 8, ,1 19, ,3 17, , ,9 161 Lctur : chaqu individu a été intrrogé sur un journé donné, y compris ls samdi t dimanch. Pour chacun ds groups d juns, corrspondant à un stad donné d l insrtion, l tablau livr trois informations : l tmps moyn passé dans un journé qu l activité ait été pratiqué ou non, l taux d pratiquants (% d prsonns ayant passé au moins un minut à l activité considéré l jour d l nquêt) t l tmps moyn passé par ls suls pratiquants. Ls «sortis» comprnnnt l cinéma, la fréquntation ds spctacls sportifs, ds musés t xpositions, ls autrs sortis donnant liu à un rncontr. Sourc : INSEE, nquêts mploi du tmps 1986 t 1998, donnés traités par nos soins. pratiquan ts 10 Ls trois autrs typs sont ls «passionnés» pour qui, à l invrs du group ds sociabls, la communauté d goûts st c qui guid l choix ds amis. Cs passionnés pratiqunt d façon intns un activité (souvnt la musiqu ou l sport) t partagnt ctt passion avc un ou qulqus amis ; ls «accros d l écran» sont ds fanatiqus t ds gros consommaturs d jux vidéos ; nfin, ls «désouvrés» sont ds juns, souvnt plus âgés, plus avancés dans la vi familial t profssionnll, vivant souvnt n zons rurals nclavés, qui s sntnt isolés, ont pu d activités t pu d amis. Enquêt sur ls pratiqus culturlls t ls pratiqus d communication ds juns, Obsrvatoir sociologiqu du changmnt, Rapport ronéo pour Franc-Tlcom, 2002
9 D plus, lorsqu ils sortnt, ls juns l font prsqu xclusivmnt avc lurs amis t ctt prépondéranc d la sociabilité amical s st ncor rnforcé (figur 7). Figur 7. Ls sortis ds lycéns t étudiants, principalmnt t d plus n plus avc ds amis (nquêts «mploi du tmps» INSEE) % du tmps d sorti ds lycéns t étudiants slon la compagni 77,7 85, ,21,2 20,3 9,4 0,72,6 sul famill amis autrs Ctt sociabilité n a pas bsoin d occasions ou d prétxts particulirs pour s déployr. La rncontr ll-mêm compt autant, sinon plus qu ls choss qu l on put fair nsmbl. Un ds juns fills intrrogés, par xmpl, xpliqu bin qu ll s adapt, pour ss sortis, aux choix d activités d ss différnts amis, t, dit-ll, aux «affinités qu ll a avc chacun». C qu il faut, comm l disnt plusiurs juns intrrogés, c st «avoir ls mêms délirs», c st-à-dir partagr ls mêms snsations t ls mêms nvis au mêm momnt. Cux qui «sont pas prêts à nous suivr dans ls délirs» dit un autr jun, «on ls voit à d autrs momnts». C st souvnt par la dans, ls sortis n «boit» ou par la participation aux activités ds salls d sport (stp, fitnss, cours d dans, tc..) qu s xprim ctt sociabilité qui, dans l nquêt rassmbl souvnt ds groups d fills, mêm clls qui sont n coupl t qui n sacrifint pas pour autant ls momnts passés avc ls «copins». Baucoup d cs juns fills insistnt sur ctt séparation, ntrtnu délibérémnt, ntr la vi d coupl t la sociabilité ds «copins». S ils sortnt baucoup, cs juns aimnt aussi tout simplmnt s rtrouvr chz ls uns ou chz ls autrs dans ds soirés improvisés qui dépndnt ds opportunités d rncontrs t d la taill ds appartmnts. C primat ds rlations sur ls activités put avoir ds conséquncs importants sur la fréquntation ds équipmnts culturls ou ds équipmnts d loisirs. Ainsi, plusiurs juns d l nquêt, amaturs d films, font état d lur préférnc pour la solution qui consist à lour ds vidéos pour ls rgardr à plusiurs chz l un ou l autr d lurs amis. Au dlà d l aspct financir, il y a aussi l xprssion d un préférnc pour «êtr n group», «voir ls amis», plutôt qu d s nfrmr dans ls salls obscurs dans un rapport plus individualisé au film qui st projté. La baiss
10 d la fréquntation du cinéma smbl d aillurs confirmé par ls nquêts Emplois du tmps 11. D un manièr général, c st tout un rapport «individualisé» à la cultur t aux œuvrs qui st mis n caus par la préférnc xprimé pour ds activités pratiqués n group. Pour conclur, on put soulignr un form d paradox qui ntour ls rapports d la junss avc la société adult t avc la cultur qui, dans l sprit d la plupart ds juns, st associé au mond ds adults. D un crtain point d vu, la junss actull st miux intégré à la société qu n l étaint ds générations d juns précédnts. Parsons montrait autrfois, dans un articl sur la junss américain 12, qu cll-ci s définissait ssntillmnt comm un sous-cultur opposé aux valurs adults. Si on mt à part la parti révolté d la junss qui xist, mais qui st très minoritair t qui présnt ds caractéristiqus socials très particulièrs, il n y a plus rin d tl aujourd hui. Ls juns n contstnt plus ls fondmnts d la société ; ils dmandnt mêm plus d autorité dans ls rlations socials, comm l montraint ls résultats ds nquêts valurs ; l idntité générationnll anti-institutionnll t anti-autoritair st bin drrièr nous. Mais, n mêm tmps, tout n rnonçant à contstr la société, ls juns smblnt s détachr d un parti d ss valurs t d son histoir culturll, au nom d un autonomi générationnll rvndiqué ds goûts t ds choix culturls t au nom d valurs qui mttnt n avant, l authnticité, l xprssion d soi t la communication intrprsonnll. Cs juns n rfusnt pas d dvnir c qu la société attnd d ux mais ils rvndiqunt l droit d pouvoir librmnt choisir parmi l stock xtrêmmnt divrsifié d produits, d bins t d sollicitations qu ll lur propos. Ils n vulnt plus êtr ls récptacls passifs d un offr culturll décidé t construit n dhors d ux. Ils vulnt êtr ls acturs d lur vi tout court t égalmnt, pour crtains, d lur vi culturll. Il rst à réfléchir pour savoir si cs nouvaux comportmnts n constitunt qu un limit à la diffusion ds bins culturls ou si ils puvnt êtr un occasion à saisir pour invntr un nouvau rapport à la cultur. 11 L taux d pratiquants d un journé moynn rst stabl à 2,5%, mais ctt stabilité masqu ds disparités. Ls élèvs t étudiants comm ls juns n mploi mais pas ncor n coupl sortnt moins au cinéma : l taux d pratiqu journalièr st passé d 5% à 3,5% pour ls prmirs, d 6% à 2% pour ls sconds. Suls ls juns plus avancés dans la vi adult ont vu lur pratiqu légèrmnt augmntr. 12 Talcott Parsons, Ag and sx in th social structur of th Unitd Stats, Amrican Sociological Rviw, 7, 5, 1942.
MAISON DE LA RATP 54, quai de la Râpée -189, rue de Bercy - 75012 Paris. M Gare de Lyon. M Gare de Lyon
i d r c r m 3 1 0 2 r 9 octob s i a n n o c u? t è b a i d mon MISON D L RP 54, quai d la Râpé -189, ru d Brcy - 75012 Paris M Gar d Lyon È B I D L R U S N N O I C S L M R O D O F N I L D D N URdNlaÉRapé
Plus en détailLes nouvelles orientations politiques du budget 2015 du Gouvernement prévoient
GO NEWSLETTER N 1/2015 19 janvir 2015 L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation ACTUALITÉ L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation Allianc pour la qualification profssionnll
Plus en détailLe guide du parraina
AGREMENT DU g L guid du parraina nsillr co t r g ra u co n r, Partag rs ls mini-ntrprnu alsac.ntrprndr-pour-apprndr.fr Crér nsmbl Ls 7 étaps d création d la Mini Entrpris-EPA La Mini Entrpris-EPA st un
Plus en détailCSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013
Enrichissmnt modal du Slctiv Mass Scaling Sylvain GAVOILLE 1 * CSMA 2013 11 Colloqu National n Calcul ds Structurs 13-17 Mai 2013 1 ESI, sylvain.gavoill@si-group.com * Autur corrspondant Résumé En raison
Plus en détailFlorence Jusot, Myriam Khlat, Thierry Rochereau, Catherine Sermet*
Santé t protction social 7 Un mauvais santé augmnt fortmnt ls risqus d prt d mploi Flonc Jusot, Myriam Khlat, Thirry Rochau, Cathrin Srmt* Un actif ayant un mploi a baucoup plus d risqus d dvnir inactif
Plus en détailau Point Info Famille
Qustion / Répons au Point Info Famill Dossir Vivr un séparation La séparation du coupl st un épruv souvnt longu t difficil pour la famill. C guid vous présnt ls différnts démarchs n fonction d votr situation
Plus en détailTVA et Systèmes d Information. Retour d expérience d entreprise. A3F - 26 mars 2015 Hélène Percie du Sert COFELY INEO
isr la t l t t zon iqur nt TVA t Systèms d Information Rtour d xpérinc d ntrpris A3F - 26 mars 2015 Hélèn Prci du Srt COFELY INEO Pour Sup Ins À p NB. M 30/03/2015 Sommair isr la t l t t zon iqur nt I
Plus en détailC est signé 11996 mars 2015 Mutuelle soumise au livre II du Code de la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DOC 007 B-06-18/02/2015
st signé 11996 mars 2015 Mutull soumis au livr II du od d la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DO 007 B-06-18/02/2015 Édition 2015 Madam, Monsiur, Vous vnz d crér ou d rprndr un ntrpris artisanal ou commrcial
Plus en détail7. Droit fiscal. Calendrier 2014. 7.1 Actualité fiscale 7.2 Contrôle et contentieux fiscal 7.3 Détermination du résultat fiscal.
7. Droit fiscal 7.1 Actualité fiscal 7.2 Contrôl t contntiux fiscal 7.3 Détrmination du résultat fiscal 7.4 Facturation : appréhndr ls règls juridiqus t fiscals, t maîtrisr l formalism 7.5 Gstion fiscal
Plus en détailSommaire G-apps : Smart fun for your smartphone!
Sommair G-apps : Smart fun for your smartphon! Sommair Présntation G-apps Pourquoi choisir G-apps Sctorisation t sgmntation d marchés Votr accompagnmnt clints d A à Z ou à la cart Fonctionnalités G-apps
Plus en détailExemple de Plan d Assurance Qualité Projet PAQP simplifié
Exmpl d Plan d Assuranc Qualité Projt PAQP simplifié Vrsion : 1.0 Etat : Prmièr vrsion Rédigé par : Rsponsabl Qualité (RQ) Dat d drnièr mis à jour : 14 mars 2003 Diffusion : Equip Tchniqu, maîtris d œuvr,
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 13 avril 2011
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry avril EXERCICE Commun à tous ls candidats Parti I points. L ax ds ordonnés st asymptot à C au voisinag d ; la fonction étant décroissant sur ] ; + [, la limit quand
Plus en détail«COMBATTRE LES BLEUS» Ce que signifie le programme social des Conservateurs pour les femmes
«COMBATTRE LES BLEUS» C qu signifi l programm social ds Consrvaturs pour ls fmms La 13 Conférnc national d la condition féminin du CTC Documnt d conférnc L hôtl Crown Plaza Ottawa L hôtl Ottawa Marriott
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION
DOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION Ls informations donnés nécssairs pour traitr votr candidatur rstront confidntills. Un dossir incomplt n put êtr xaminé. C dossir d candidatur rst soumis à l approbation
Plus en détailA. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. (Adresse civique) 3. Veuillez remplir l'annexe relative aux Sociétés en commandites assurées à la partie E.
Chubb du Canada Compagni d Assuranc Montréal Toronto Oakvill Calgary Vancouvr PROPOSITION POLICE POUR DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES Protction d l Actif Capital d Risqu A. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 1. a. Nom
Plus en détailDEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP
DEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP ADMINISTRATEURS DE BIENS ET AGENTS IMMOBILIERS Compagni Europénn d Garantis t Cautions 128 ru La Boéti 75378 Paris Cdx 08 - Tél. : +33 1 44 43 87 87 Société anonym
Plus en détailLa transformation et la mutation des immeubles de bureaux
La transformation t la mutation ds immubls d buraux Colloqu du 14 févrir 2013 L group d travail sur la transformation ds immubls d buraux a été lancé n novmbr 2011 à la dmand du consil d administration
Plus en détailComment utiliser une banque en France. c 2014 Fabian M. Suchanek
Commnt utilisr un banqu n Franc c 2014 Fabian M. Suchank Créditr votr compt: Étrangr Commnt on mt d l argnt liquid sur son compt bancair à l étrangr : 1. rntrr dans la banqu, attndr son tour 2. donnr l
Plus en détailDécouverte Sociale et Patrimoniale
Découvrt Social t Patrimonial M :... Mm :... Dat :... Origin du contact :... Sommair 1. Vous 3 Votr famill 3 Votr situation matrimonial 4 Votr régim matrimonial 4 Libéralités 4 2. Votr actif 5 Vos garantis
Plus en détailProgramme GénieArts Î.-P.-É. 2009-2010. GénieArts
Programm GéniArts Î.-P.-É. 2009-2010 GéniArts Allum l nthousiasm ds juns à l égard d l acquisition ds matièrs d bas par l truchmnt ds arts. Inspir la collaboration ntr ls artists, ls nsignants, ls écols
Plus en détailLes ressources du PC
Modul 2 Ls rssourcs du PC Duré : 2h (1 séanc d 2h) Ctt séanc d dux hurs suit l ordr du référntil d compétncs du portfolio rattaché à c modul (v. portfolio du modul 2). Votr ordinatur PC st un machin composé
Plus en détailLes maisons de santé pluridisciplinaires en Haute-Normandie
Ls maisons d santé pluridisciplinairs n Haut-Normandi tiq Guid pra u EDITO Dans 10 ans, l déficit d médcins sra réllmnt problématiqu si l on n y prnd pas gard. D nombrux généralists quinquagénairs n trouvront
Plus en détailJournée d échanges techniques sur la continuité écologique
16 mai 2014 Journé d échangs tchniqus sur la continuité écologiqu Pris n compt d critèrs coûts-bénéfics dans ls étuds d faisabilité Gstion ds ouvrags SOLUTION OPTIMALE POUR LE MILIEU Gstion ds ouvrags
Plus en détailLE SURENDETTEMENT. a s s e c o. leo lagrange UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS FAMILIALES. union féminine civique et sociale
LE SURENDETTEMENT 1 lo lagrang UNION NATIONALE 2 L'ENDETTEMENT 1984 : 4 ménags sur 10 avaint ds crédits (crédit à la consommation + immobilir) 1997 : 1 ménag sur 2 a un crédit n cours 55 % ds consommaturs
Plus en détailLe traitement des expulsions locatives
L traitmnt ds xpulsions locativs n io nt s til v ré p d t n am m t ai p n nd a m om r ay td m Tr C l ab i u O COMPTE RENDU DU SÉMINAIRE DU 10 SEPTEMBRE 2012 u n io at j n c sti n g ssi A c in d Au ui q
Plus en détailInitiation à la virologie Chapitre IV : Diagnostic viral
Initiation à la virologi Chapitr IV : Diagnostic viral [www.virologi-uclouvain.b] Objctifs du modul Nous disposons d outils d laboratoir nous prmttant d détctr ls infctions virals t lurs ffts. Lorsqu on
Plus en détailDemande de retraite de réversion
Nous somms là pour vous aidr Dmand d rtrait d révrsion Ctt notic a été réalisé pour vous aidr à complétr vos dmand t déclaration d rssourcs. Pour nous contactr : Vous désirz ds informations complémntairs,
Plus en détailPAR. été 2014. Les Affaires Plus
s, nag un é m t st ds cs é étai n l i n na rb la c Pou r ls fi Et si amill. f gér -têt r sa ntr r s ifi cas onsidé ptit E sign c d m un nd PM ants. f a com? Qu an, n RD pris, mam SA ES a L p TE pa ET CH
Plus en détailBloc 1 : La stabilité, une question d équilibre
Bloc 1 : La stabilité, un qustion d équilibr Duré : 3 hurs Princips scintifiqus Ls princips scintifiqus s adrssnt aux nsignants t aux nsignants. Structur Un structur st un form qui résist aux forcs qui,
Plus en détailBénévole pour quoi? N 20 - Sommaire. N 20 - Déc 08. v d s. f www.e-volontaires.org/rennes. 315 bénévoles désormais, et on s'arrête là pour l'instant.
N 20 - Déc 08 v l'af d s o f ls in Touts jour sur miss A Rnns www.-volontairs.org/rnns Bénévol pour quoi? 315 bénévols désormais, t on s'arrêt là pour l'instant. On s'arrêt car vous êts un bonn soixantain
Plus en détailJuin 2013. www.groupcorner.fr
r p d r i Do Juin 2013 www.groupcornr.fr Contact Pr : Carolin Mlin & Jan-Claud Gorgt Carolin Mlin TIKA Mdia 06 61 14 63 64 01 40 30 95 50 carolin@tikamdia.com Jan-Claud Gorgt J COM G 06 10 49 18 34 09
Plus en détailMatériau pour greffe MIS Corporation. Al Rights Reserved.
Matériau pour grff MIS Corporation. All Rights Rsrvd. : nal édicaux, ISO 9001 : 2008 atio itifs m rn pos méd int i dis c a u x 9 positifs 3/42 té ls s dis /CE ur r l E. po ou u x U SA t s t appr o p a
Plus en détailFocus. Les placements éthiques : entre défis et opportunités. Patrick Barisan. Sintesi a cura di Luisa Crisigiovanni
Ls placmnts éthiqus : ntr défis t opportunités Patrick Barisan Sintsi a cura di Luisa Crisigiovanni L invstimnto socialmnt rsponsabil è un invstimnto ch tin conto sia di imprativi finanziari sia tici,
Plus en détailSubventions Diverses 2009
Dirction Tchniqu Nom du portur Titr du Objctifs du Rattachmnt au programm d financmnts 09-036 SOS Hépatits Projt 1: Forum National (19 t 20 nov 09) Projt 2 : Sit Intrnt Projt 1: Obj. Généraux: Rdonnr confianc
Plus en détailProduits à base de cellules souches de pomme
Soins Visag Produits à bas d clluls souchs d pomm NEW! Profssionnal & Rtail Shakr Mask pl-off Shakr Mask cristally (wash-off) Srum Crèm A Full Srvic : Formulation R&D Manufacturing Packaging Soin Visag
Plus en détailGuide de correction TD 6
Guid d corrction TD 6 JL Monin nov 2004 Choix du point d polarisation 1- On décrit un montag mttur commun à résistanc d mttur découplé, c st à dir avc un condnsatur n parallèl sur R. La condition d un
Plus en détailS a i n t - M a l o G R O U P E
S a i n t - a l o G R O U E onnaissz-vous l antiqu cité d Alt? lac fort stratégiqu, tour à tour puplé d lts t d Gallo-Romains, ll fut l brcau d Saint-alo, dont ll constitu un promontoir naturl, ntr mr
Plus en détailRassemblement National des Interlocuteurs Academiques TICE Éducation Physique et Sportive - Evry - 20/21 Janvier 2014 TABLETTES TACTILES
Rassmblmnt National ds Intrlocuturs Acadmiqus TICE Éducation Physiqu t Sportiv - Evry - 20/21 Janvir 2014 TABLETTES TACTILES t ENSEIGNEMENT DE L EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE «L EPS sans fil à la patt»
Plus en détailLa lettre du Bureau Asie-Pacifique
La lttr du Burau Asi-Pacifiqu AGENCE UNIVERSITAIRE DE LA FRANCOPHONIE ISSN 1606-0318 Dans c numéro : o N 13 - davril µ Juin 2002 L'Agnc univrsitair d la Francophoni fêt son 40 annivrsair à Phnom-Pnh, Cambodg
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITÉ. Maison de l Emploi Sarthe Nord
11060232_rapport_annul_2010_projt 06/07/11 15:32 Pag1 RAPPORT D ACTIVITÉ 2010 Maison l Emploi Sarth Nord sommair La Maison l Emploi Sarth Nord n 2010 p. 2 La Maison l Emploi Sarth Nord : un résau partnairs
Plus en détailLes odeurs. é ens M. d e. sur. / janvier-février 2010. Informations sur la Qualité de l Air en Picardie
n 73 / janvir-févrir 21 Informations sur la Qualité d l Air n Picardi Ls odurs n u ' d c la p n Mis sur v i t c a f l o l l vil o p o r t é ns M Ami Pags 4 à 9 : rtrouvz ls chiffrs d la qualité d l air
Plus en détailÉvaluation de performance et optimisation de réseaux IP/MPLS/DiffServ
AlgoTl 2003 (dpt-info.labri.fr/algotl03) Banyuls-sur-mr, 12-14 mai 2003 Exposé invité, mardi 13 mai, 9h-10h Évaluation d prformanc t optimisation d résaux IP/MPLS/DiffSrv par Fabric CHAUVET Jan-Mari GARCIA
Plus en détailGarantie des Accidents de la Vie - Protection Juridique des Risques liés à Internet
Résrvé à votr intrlocutur AXA Portfuill : CR012764 N Clint : 1 r réalisatur : Matricul : 2 réalisatur : Matricul : Intégr@l Garanti ds Accidnts d la Vi - Protction ds Risqus liés à Intrnt J complèt ms
Plus en détailCommune de Villars-sur-Glâne Plan directeur du stationnement Bases
Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass [04 011 3.5 octobr 04] Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass Sommair Bass légals 3 Objctifs t prcips généraux 4 Invntair
Plus en détailAgricoles LES BONNES RÉSOLUTIONS DU MODEF DES LANDES. le 15 janvier. sommaire. édito. Aides aux fourrages (CG 40) et aide MSA : Dossiers à déposer
sommair Actualités agricols...p. 2 Ls Informations Agricols Vndrdi 10 2014 - HEBDO - 66 Anné - N 2779 - Prix : 1,54 Commission paritair n 0414 T 82968 - ISSN : 1149-3321 Aids aux fourrags (CG 40) t aid
Plus en détailCENTRE FRANCO-ONTARIEN DE RESSOURCES PÉDAGOGIQUES
Éditions Éditions Bon d command 015-0 un pu, baucoup, à la foli! Format numériqu n vnt au www. 006-009, Éditions CFORP, activités AVEC DROITS DE REPRODUCTION. 08:8 Pag 1-1 r un pu, baucoup, a la foli!
Plus en détailBase de données bibliographique. p. 30 - p. 33. valorisation économique de l'eau potable. energétique et municipales. p.13 - fédérale de.
Bas d donnés bibliographiqu alpau.org Typ d Autur Titr d Titr du Editur Anné Vol. N Dat d Paginatio résumé mots clfs mots documnt l'ouvrag/titr d périodiqu n clfs fix l'articl Jnni Robrt Qul puplmnt pour
Plus en détailLe Songe d une nuit d été
La Compagni «Fracas d Art» présnt L Song d un nuit d été d après William Shakspar Mis n scèn Carlo Boso Masqus S. Procco di Mduna www.fracasdart.com r «t ils savn nt a h c, r s r, dan u o j, r tout fai
Plus en détailVu la loi n 17-99 portant code des assurances prom ulguée par le dahir n 1-02-238 du 25 rejeb 1423 (3 octobre 2002), telle qu'elle a été complétée ;
Arrêté du ministr s financs t la privatisation n 2241-04 du 14 kaada 1425 rlatif à la présntation s opérations d'assurancs (B.O. n 5292 du 17 févrir 2005). Vu la loi n 17-99 portant co s assurancs prom
Plus en détailf n (x) = x n e x. T k
EXERCICE 3 (7 points) Commun à tous ls candidats Pour tout ntir naturl n supériur ou égal à, on désign par f n la fonction défini sur R par : f n (x) = x n x. On not C n sa courb rprésntativ dans un rpèr
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 23 NOVEMBRE 2007 DELIBERATION N CR-0705.290 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL Contrat d filièr agroalimntair régional LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON, VU l Cod général ds collctivités
Plus en détailBord ailes Hélène Pilotte
Association ds Dirctions d Établissmnt scolair Rtraités d Montréal Volum 22, numéro 4 Janvir, Févrir, Mars 2015 Bord ails Hélèn Pilott 5565, ru Shrbrook, Est Montréal, QC H1N 1A2 Téléphon (514) 596-5156
Plus en détailDéveloppement de site web dynaùique Dot.NET
Dévloppmnt d sit wb dynaùiqu DotNET Voici qulqus xmpls d sits wb administrabl Cs sits Wb sont dévloppé n ASPNET sur un Bas d donné SQL 2005 C typ d dévloppmnt wb convint parfaitmnt a un boutiqu n lign,
Plus en détailImpôts 2012. PLUS ou moins-values
Impôt 2012 PLUS ou moin-values SUR VALEURS MOBILIÈRES ET DROITS SOCIAUX V v ti t à d f co o OP m à l Et L no di (o 20 o C c tit po Po c c or o o ou c l ou d 2 < Vou avz réalié d cion d valur mobilièr t
Plus en détailSEPTEMBRE 2014 C EST AUSSI LA RENTRÉE DES PETITS ALBIGEOIS ALBI PENDANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE QUATRE SPORTIFS SOUS LES FEUX DE LA RAMPE
175 SEPTEMBRE 2014 DOSSIER C EST AUSSI LA RENTRÉE DES PETITS ALBIGEOIS ALBI VILLE SPORTIVE QUATRE SPORTIFS SOUS LES FEUX DE LA RAMPE HISTOIRE & PATRIMOINE ALBI PENDANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE édito
Plus en détailprogramme 27 28 29 mars 2015 VENEZ DÉCOUVRIR LES SAVOIR-FAIRE DES ARTISANS D ART À GENÈVE Genève, ville d art www.ville-geneve.
27 28 29 mars 2015 VENEZ DÉCOUVRIR LES SAVOIR-FAIRE DES ARTISANS D ART À GENÈVE Partnair média Partnair principal Gnèv, vill d art programm www.vill-gnv.ch/jma 1 AVANT-PROPOS LES JOURNÉES DES MÉTIERS D
Plus en détailDevenez ingénieur en Génie Informatique et Statistique par la voie de l apprentissage
Dvnz ingéniur n Géni Informatiqu t Statistiqu par la voi d l apprntissag > Formation d ingéniur d 3 ans par altrnanc habilité par la Commission ds Titrs d Ingéniur (CTI) Rntré 2015 www.polytch-lill.fr
Plus en détailnous votre service clients orange.fr > espace client 3970*
nous votr srvi lints orang.fr > spa lint 3970* vous souhaitz édr votr abonnmnt Orang Mobil Bonjour, Vous trouvrz i-joint l formulair d ssion d abonnmnt Orang Mobil à rtournr omplété t par vous-mêm t par
Plus en détailBOULOGNE (92) TRIANGLE ENTRE VERDURE ET BOUCLE DE SEINE INVESTISSEMENT EN NUE-PROPRIÉTÉ IMMOBILIER NEUF
INVESTISSEMENT EN NUE-PROPRIÉTÉ IMMOBILIER NEUF BOULOGNE (92) ENTRE VERDURE ET BOUCLE DE SEINE TRIANGLE APPARTEMENTS DU STUDIO AU 5 PIÈCES DANS UN QUARTIER EN PLEIN RENOUVEAU PERL INVESTISSEZ AUTREMENT!
Plus en détaildobutô-et fes PORMS œiasetvsîme Cl N É - M AG AZ I N E du"'?
Nouvll Séri. N 24. 27 Sptmbr'1934 dobutô-t fs PORMS œiasetvsîme BUSINESS IS BUSINESS On a baucoup admiré, il y a qulqus tmps, ls évolutions, au-dssus d la capital, d'un énorm dirigabl orguillux t fir...
Plus en détailAssurer les proposants donneurs de rein
Nwsttr SCOR Goba Lif Nwsttr SCOR Goba Lif Févrir Profssur Eric Thrvt, Srvic d Néphroogi, Hôpita Europén Gorgs Pompidou, Paris, Franc Pourquoi s Pays-Bas sont-is champion du mond pour nombr d donnurs vivants
Plus en détail- Organisé par - L AUDAX CLUB PARISIEN avec le concours DES VILLES CONTRÔLE et. de l agglomération de SAINT-QUENTIN -EN-YVELINES
- Organisé par - L AUDAX CLUB PARISIEN avc l concours DES VILLES CONTRÔLE t d l agglomération d SAINT-QUENTIN -EN-YVELINES dito S O M M A I R E PARIS-BREST-PARIS RANDONNEUR VU PAR////////////////4-7 UN
Plus en détailDate de publication : Juillet 2014
: n o i s s Prof n è c s n r u t t m u d c r u o s r t s â r é h T r u i d ss l o a d n Un natio tr n C 4 1 0 2 t l l i u J 2 Profssion : mttur n scèn Mttr n scèn, st-c un métir? On rconnaît l mttur n
Plus en détailTHÈSE. présentée à. par Nicolas Palix. DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE. Langages dédiés au développement de services de communications
N o d'ordr: 3623 THÈSE présnté à L'UNIVERSITÉ BORDEAUX 1 Écol Doctoral d Mathématiqus t Informatiqu par Nicolas Palix pour obtnir l grad d DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE Langags dédiés au dévloppmnt
Plus en détailLe mandat de Chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS
L mandat d Chrchur qualifié du F.R.S.-FNRS 18 Févrir 2014 L règlmnt rlatif à c mandat st disponibl dans son intégralité sur notr sit wb www.frs-fnrs.b Tabl ds matièrs 1. Dispositions réglmntairs, financièrs
Plus en détailRéseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique
Réau d bibliothèqu du Pay d Pamir Guid du Numériqu Sit Intrnt du réau d lctur http://www.pamir.raubibli.fr C qu vou pouvz fair dpui notr it Intrnt : EXPLORER LE CATALOGUE : Plu d 80 000 documnt ont à votr
Plus en détailLe conseil municipal vous présente ses meilleurs vœux pour 2014
LE MAGAZINE DES HABITANTS D AULNAY-SOUS-BOIS WWW.AULNAY-SOUS-BOIS.FR L consil municipal vous présnt ss millurs vœux pour 2014 BIMENSUEL N 19 LUNDI 6 janvir 2014 nos VIES PAGE 12 Grand succès pour la soiré
Plus en détailmagazine N 61 décembre 2011 Joyeuses fêtes Dossier : Fiscalité locale Vie économique : Animations commerciales Travaux : Plan neige
N 61 décmbr 2011 Joyuss fêts d Dossir : Fiscalité local Vi économiqu : Animations commrcials Travaux : Plan nig EDITORIAL SOMMAIRE VIE MUNICIPALE Ls tmps sont durs L an passé, l titr d c mêm éditorial
Plus en détailHector Guimard et le fer : inventivité et économie
L'Art nouvau t la frronnri Hctor Guimard t l fr : invntivité t économi Comm tous ls grands créaturs du mouvmnt Art nouvau, Hctor Guimard a été confronté à la disciplin d la frronnri. Aucun architct d qualité
Plus en détailPleyel : le collège en 2014 Le futur établissement intercommunal (Saint-Denis/SaintOuen) sera en pointe en matière de technologies numériques
Plyl : l collèg n 2014 L futur établissmnt intrcommunal (Saint-Dnis/SaintOun) sra n point n matièr d tchnologis numériqus t d nvironnmnt. Il a été présnté aux habitants. p.4 N 937 1,00 Du 5 au 11 décmbr
Plus en détailEnquête sur le naufrage de Serono, coulé par une gestion aberrante > Biotech Toute l histoire du fleuron déchu de l économie genevoise
J.A. 1211 Gnèv 2 www.ltmps.ch Air du Tmps Economi & Financ L absnc d managmnt déprim ls mployés. Nos offrs d mploi Qul cadau pour la Fêt ds mèrs? Trois générations répondnt Pag 28 Applid Matrials délocalis
Plus en détailLe nouveau projet Israélo-Palestinien : Terreau pour une culture de paix
L Congrès d Caux Prmir Congrès d l Allianc pour un Cultur d Paix L nouvau projt Israélo-Palstinin : Trrau pour un cultur d paix Du 23 au 26 Juin 2003 Châtau d Caux Cntr d rncontrs intrnationals L Congrès
Plus en détailJ adopte le geste naturel
J adopt l t naturl Franchi Crédit Conil d Franc Mod opératoir naturl t l J adopt Préambul Rjoindr Crédit Conil d Franc, c t rjoindr un cntain d homm t d fmm qui partant lur xpérinc dpui plu d 10 an ; un
Plus en détailLE PROGRAMME DU CASINO Septembre - octobre 2014
LE PROGRAMME DU CASINO Sptmbr - octobr 2014 Pascal Passarlli Dirctur Général LE CASINO, C EST AUSSI EUX! LES COULEURS DE L AUTOMNE! Ls baux jours sont maintnant comptés t dvraint bintôt cédr lur plac à
Plus en détailJOURNAL DE 'JURISPRUDENCE ET DES DEBATS JUDICIAIRES.
JOURNAL DE JURISPRUDENCE ET DES DEBATS JUDICIAIRES prix dafobiimctit st d 5 fr pour trois mois ; 5o fr pour six mois t f3o fr pour lanné ; On sabonn à Paris au BUREAU DU JOURNAL quai aux riurs N ; chz
Plus en détailSommaire. qui sommes-nous. Nos grandes realisations. 4 Madagascar 5 Nous vivons nos valeurs 6 Telma en bref 8 La Gouvernance
Chr Clint, Chr Partnair, Ctt anné, un fois d plus, grâc à votr confianc t à l implication d nos équips, l Group Tlma a réalisé un anné 2011 avc ds prformancs opérationnlls solids t un activité commrcial
Plus en détailSAINT-GALMIER. Rentrée... SEPTEMBRE 2013 N 15 VOTRE MAGAZINE MUNICIPAL
SAINT-GALMIR Rntré... SPTMBR 2013 N 15 VOTR MAGAZIN MUNICIPAL VI MUNICIPAL ÉDITO INFO + Inscriptions sur ls lists élctorals Tous ls Français t Françaiss majurs jouissant d lurs droits civils t politiqus
Plus en détailATTRACTIVITÉ COMMERCIALE DU CENTRE DE L AGGLOMÉRATION Le poids des réseaux et leur stratégie d implantation
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 0142712814 FAX : 0142762405 http://www.apur.org ATTRACTIVITÉ COMMERCIALE DU CENTRE DE L AGGLOMÉRATION L poids s résaux t lur stratégi d implantation
Plus en détailLundi 7 mars 2011. Trier et réduire ses déchets
Lundi 7 mars 2011 Trir t réduir ss déchts Nouvaux Ecopoints pour trir ss déchts Quatr Ecopoints sont installés aujourd hui à l UniNE t un harmonisation ds poublls pour tous ls bâtimnts a été réalisé (voir
Plus en détailpage 2 page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 8 page 9 page 10 page 11 page 12 page 13 page 12 page 14 page 15 page 18 page 19 page 20 page 21
1035, boul. Haml Québc (Vanir) 418 683-4775 SERVICE DE LIVRAISON 418 619-0667 www.journ-al.ca LE JOURNAL DES RIVIÈRES LES SAULES / DUBERGER / VANIER FÉVRIER 2013 VOLUME 3 NUMÉRO 5 Ls Gladiaturs d Québc
Plus en détailBEC-BENCHMARKING (Benchmarks inclus dans le club des Brand Managers) Exemple Veille Stratégique n 1
Sptmbr 2006 BEC-BENCHMARKING (Bnchmarks inclus dans l club ds Brand Managrs) Exmpl Stratégiqu n 1 www.bc-institut.com BEC-institut Branding Exprts Cntr BEC-institut Concurrntill Spt. 2006 Présntation d
Plus en détailFORMATIONS 2014 CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS
Concvoir, réalisr, financr ds contnus pour ls nouvaux médias FORMATIONS 2014 CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS SOMMAIRE GÉNÉRAL action DE FORMATION 2014-2015 L CEFPF n qulqus mots pags
Plus en détailL humble François Ier
Psychiatri Astronomi Dans ls tourmnts d la schizophréni Pags 10, 14 Un prodigiux télscop pour décryptr ls scrts du cosmos Pags 26, 27 OLIVIER DESSIBOURG J.A. 1211 Gnèv 2 www.ltmps.ch Economi & Financ L
Plus en détailLE DEFI L HOMME ET LES TECHNOSCIENCES. 21, 22, 23 novembre 2014. 89 e Semaine sociale de France. à l Université catholique de Lille
L HOMME ET LES TECHNOSCIENCES LE DEFI 89 Smain social d Franc 21, 22, 23 novmbr 2014 à l Univrsité catholiqu d Lill www.tchnoscincsldfi.org 1 ÉDITORIAL Jérôm Vignon, Présidnt ds Smains socials d Franc
Plus en détailLE VILLAGEOIS RODÉO DE BICYCLETTES
Vol.11 No.6 VILLAGE DE NEGUAC LE VILLAGEOIS 1175, ru Principal, Suit 1, Nguac N.B. E9G 1T1 Téléphon: 776-3950 Télécopiur: 776-3975 Courril: villag@nb.aibn.com Sit Wb: www.nguac.com RODÉO DE BICYCLETTES
Plus en détailUNIVERSITÉ SAVOIE MONT BLANC FRANCE KIT DE SURVIE DE L ÉTUDIANT ETRANGER. www.univ-smb.fr/international
UNIVERSITÉ SAVOIE FRANCE KIT DE SURVIE DE L ÉTUDIANT ETRANGER www.univ-smb.fr/intrnational SE REPÉRER À LANC B T N O M IE O V A L UNIVERSITÉ S 1 U N IV E R S IT É 4 S IT E S : 3 CAMPUS 1 P R É S ID E N
Plus en détailL Espagne et la peur contagieuse font chuter les bourses en Europe
J.A. 1211 Gnèv 2 www.ltmps.ch Jux olympiqus Economi & Financ Coghu, l âm pictural ds Franchs-Montagns Pag 19 Séri: cs athlèts suisss qui vont tntr d brillr à Londrs Pag 7 Malgré un contxt diicil, Julius
Plus en détail!!!! "#$$%&'(%)!*+!,-+..+! /0-'.1!2+!34!+$6-+!3788!! 9+!8+-!:#-%$!*+.!;)<'+-.!*+!2='&*%.<-'+!'$$#6'2'>-+!.+!<'+&*-0!?+%*'!
!!!! "#$$%&'(%)!*+!,-+..+! /0-'.1!2+!34!+$6-+!3788!! 9+!8+-!:#-%$!*+.!;)
Plus en détaile x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin
................................................... Chapitr 7. La cnduit du diagntic CORRIGÉ 07-01 1. Bilan fnctinnl par grand ma Bilan fnctinnl d la ciété Batin Empli tabl 3 900 Rurc prpr 3 870 Actif
Plus en détailSeptembre/octobre 2014 n 66 : Le magazine de votre Communauté d agglomération «NOUS RESTONS VIGILANTS»
Sptmbr/octobr 2014 n 66 : L magazin votr Communauté d agglomération mtzmtropol.fr Mtz mag Métropol l LE MET Ls nouvautés la rntré Événmnts FIM & CO Rtrouvz Mtz Métropol au cours s grands rnz-vous l automn
Plus en détailGuide. Activ été. programme des activités 2011. www.amiens.fr. Pour toute information (1)
Guid Activ été programm ds activités 2011 Pour tout information 03 22 97 40 40 (1) www.amins.fr Edito Voici maintnant l tmps d l été, ds vacancs t ds momnts privilégiés, c st l occasion d changr ss habituds,
Plus en détailEnviron 60 % c'est, selon les études, le poids du coût
12 RUE RUGET DE LISLE 92442 ISSY LES ULINEAUX CEDE - 01 41 33 37 37 JD : 128546 LEGUIDE ENUÊTE CÛT D'USAGE ag 1/5 LES DELES LES INS CHERS À VIVRE Au-dlà du prix d'achat, la consommation st souvnt un critèr
Plus en détailSystèmes à événements discrets : de la simulation à l'analyse temporelle de la décision en agriculture
1 Systèms à événmnts discrts : d la simulation à l'analys tmporll d la décision n agricultur livir Naud 1, Tu Tuitt 1, Brtrand Légr 1,2, Arnaud Hélias 3 t Rodolph Giroudau 4 1 UMR ITAP, Cmagrf-Supagro,
Plus en détailTitrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?
Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions
Plus en détailMurs coupe-feu dans maisons mitoyennes à une famille
Maison A Maison B FERMACELL Murs coup-fu ans maisons mitoynns à un famill Eition suiss Murs coup-fu qui assurnt un résistanc 90 minuts ans ls maisons mitoynns à un famill construits n ois (1HG100) Murs
Plus en détailL ESSOR mutualiste. de solidarité mutualiste. Le magazine de la mutuelle du personnel du groupe Société Générale. Mars 2014 n spécial
L ESSOR mutualit L magazin d la mutull du pronnl du group Société Général Mar 2014 n pécial NUMÉRO SPÉCIAL 85 ANS d olidarité mutualit D nou à vou Paul Dvrodt 1975-1992 1992-2008 Rogr Lroy Gaton Riffault
Plus en détailEn Syrie, un attentat suicide frappe le cœur du régime Assad > Conflit Le pays, à feu et à sang, devient incontrôlable et le vote de l ONU est reporté
Astronomi Montagn L systèm solair raconté au stival d Saint-Luc Pag 10 Cs passionnés qui donnnt un smain d lur été pour ls orêts Pag 6 OLIVIER MAIRE/PHOTOGENIC.CH J.A. 1211 Gnèv 2 www.ltmps.ch Economi
Plus en détailpapcardone@papcardone.com CASIO D 20 Mémoire du grand total CASIO ECO Affichage 8, 10 ou 12 chiffres Tous les calculs de bases Calcul de taxes
iv r a is o n assu L Li cardon Calculatrics d burau v ra i s o n a ss u CASIO D 20 M02690 M02672 M02667 CASIO DM 1200 (12 chiffrs) CASIO DM 1400 (14 chiffrs) CASIO DM 1600 (16 chiffrs) M02689 CASIO D 20
Plus en détailces révolutions qui nous attendent Jeudi 23 octobre 2014 Bien assuré, on peut tout oser. programme
Judi 23 octobr 2014 Bin assuré, on put tout osr. Kdg Businss school - campus Bordaux cs révolutions qui nous attndnt programm N ORIAS : 07 003 073 - WWW.ORIAS.FR RISQUES D ENTREPRISE - ASSURANCES DE PERSONNES
Plus en détailLE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL,
LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL, L EURO ET L AFRIQUE L ÉVOLUTION DU SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL, L AVENEMENT DE L EURO ET IMLICATIONS OUR L AFRIQUE Josph NDEFFO FONGUE Communication présnté au Collou
Plus en détail