Olivier GALLAND CNRS-GEMAS

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1 Olivir GALLAND CNRS-GEMAS INDIVIDUALISATION DES MŒURS ET CHOIX CULTURELS Dans l accès à c qu on appll parfois la «cultur légitim», la démocratisation smbl marqur l pas. Olivir Donnat l rmarquait ncor récmmnt dans la drnièr livraison d Donnés Socials 1. Ls équipmnts culturls sont plus fréquntés, mais ls écarts ntr groups sociaux smblnt rstr à pu près constants. Pour comprndr ls rssorts d ctt stabilité ds écarts, il st évidmmnt tntant d braqur l projctur sur ls comportmnts ds juns générations : l élitism dans l accès à la cultur s maintint-il chz ls juns c qui xpliqurait la prpétuation ds différncs socials? Or, lorsqu on y rgard d près l constat n st pas clui-là. Ma contribution n portra pas sur la stratification social d la cultur, mais j prnds c point d départ pour dévloppr mon argumnt ssntil : l rapport d l nsmbl ds juns générations à la cultur a changé t n prmt plus d s contntr d un lctur, qui a été la plus courant jusqu à présnt, n trms d handicaps ou d atouts culturls liés à la position dans l échll d stratification social. Pour étayr l argumnt, il faut rgardr qulqus chiffrs. J prndrai comm indicatur résumant l rapport à la cultur, la pratiqu d la lctur. Comm l rmarquait François d Singly, il y a qulqus annés dans un articl sur la lctur ds juns, ctt pratiqu rst très corrélé à la sphèr d la cultur «classiqu» 2. Ell put donc bin résumr l rapport global aux pratiqus cultivés. La figur 1 nous montr l évolution slon l âg du % d non lcturs. L évolution générationnll divrgnt apparaît clairmnt : malgré lur nivau d étuds, n moynn plus élvé, ls juns s détachnt nttmnt d la lctur. L font-ils dans ds proportions équivalnts, quls qu soint lurs atouts scolairs? La répons st positiv, c st c qu montr l duxièm graphiqu (figur 2). On constat mêm qu la divrgnc générationnll st d autant plus fort qu l nivau d étuds st élvé. Chz ls Français qui ont au moins l bac, ls juns lisnt d moins n moins, alors qu ls plus âgés, au moins dpuis l nquêt d 1981 lisnt plus (ou du moins sont moins nombrux à n lir aucun livr) (figur 3). 1 Olivir Donnat L évolution ds pratiqus culturlls, Donnés Socials , INSEE, 2002, p F. d Singly, La lctur d livrs pndant la junss : statut t fonction, in Lir aujourd hui n Franc, sous la dirction d Martin Poulain, Editions du Crcl d la Librairi, 1993

2 Figur 1. L'éloignmnt ds juns à l'égard d la lctur (Sourc : nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français) % n'ayant lu aucun livr n un an ans ans 40 ans t plus Ensmbl Figur 2. L'éloignmnt ds juns à l'égard d la lctur slon l nivau d'étuds 40,0 % d ans n'ayant lu aucun livr 30,0 20,0 10,0 <= CEP BEC CAP >= Bac 0, Figur 3. L'éloignmnt à l'égard d la lctur parmi ls Français ayant au moins l bac 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 % n'ayant lu aucun livr, Français ayant au moins l bac t plus Ensmbl Il st inutil d multiplir ls donnés, mais on pourrait présntr ds graphiqus tout à fait comparabls à propos d la fréquntation ds xpositions d pintur ou ds musés. Qu conclur d c prmir nsmbl d donnés? Un chos qu constatait déjà Ann-Mari Chartir dans un articl sur la lctur scolair 3 ou qu constatait égalmnt Emmanul Fraiss dans un 3 Ann-Mari Chartir, La lctur scolair ntr pédagogi t sociologi, in Lir aujourd hui n Franc, sous la dirction d Martin Poulain, Editions du Crcl d la Librairi, 1993

3 livr sur ls étudiants t la lctur 4 il y a déjà qulqus annés : qu, dans ls juns générations au moins, la rlation ntr un haut nivau d éducation t ls pratiqus cultivés tndait à s distndr. Si c résultat st confirmé, t j rst évidmmnt prudnt, il m smbl qu cla dvrait conduir ls sociologus à un révision assz considérabl d lur approch ds pratiqus culturlls, cll sur laqull rposait, par xmpl, l argumnt ssntil d la Distinction. Faut-il raisonnr toujours n trms d hiérarchi d accès aux bins culturls fondé sur l inégal répartition ds atouts sociaux d départ, si un fft générationnl fait qu un génération dans son nsmbl n montr plus, quls qu soint ls atouts initiaux dont disposnt ss mmbrs, aucun «bonn volonté culturll»? Il rst évidmmnt à comprndr c qui xpliqurait c détachmnt générationnl. C st sur c point maintnant qu j voudrais proposr qulqus pists d réflxion, tout à fait provisoirs. J propos d xplorr trois pists. L un a trait à l évolution ds valurs qui, slon moi, transform l rapport aux bins culturls. La scond s rapport à l affaiblissmnt d la socialisation familial. La drnièr concrn la sociabilité t ls loisirs. 1 L individualisation ds mœurs Dans l analys récnt d l évolution ds valurs ds Français t ds Européns qu nous avons mné avc qulqus collègus 5, un tndanc commun s dégagait qu nous avons applé l individualisation ds mœurs, c st-à-dir l comportmnt qui consist pour ls individus à vouloir choisir par ux-mêms t uniqumnt par ux-mêms c qui st bon ou mauvais pour ux. Ctt rvndication d librté dans ls choix moraux n st évidmmnt pas nouvll. C st un tndanc séculair lié à l affaiblissmnt d l ncadrmnt ds individus par ds institutions, t notammnt par ls Egliss. Mais l accélération qu a connu c mouvmnt au cours ds 10 drnièrs annés st spctaculair. L un d ss illustrations ls plus frappants concrn l évolution ds attituds à l égard d l homosxualité. Comm l montr la figur 4, la toléranc à son égard s st fortmnt accru dpuis dix ans, d aillurs dans touts ls générations, mêm si ls juns rstnt ls plus prmissifs (prsqu la moitié d ntr ux la considèrnt aujourd hui avc un crtain binvillanc). Sans bin sûr forcémnt partagr ux-mêms ctt orintation sxull, un part grandissant ds Français considèrnt donc, qu chacun doit êtr libr, s il l désir, d y adhérr, mêm si ll st condamné par l Eglis. Mais c n st qu un xmpl ; ls Français admttnt aussi baucoup plus facilmnt qu il y a vingt ans l idé du divorc, d l uthanasi t dans un moindr msur du suicid. C qu il y a d commun drrièr tout cla, c st l idé d la libr disposition d soi-mêm. 4 Emmanul Fraiss (dir.), Ls étudiants t la lctur, PUF, Politiqu d aujourd hui, Voir à c sujt ls travaux réalisés par ls chrchurs rgroupés dans l association ARVAL : Pirr Bréchon (dir.), Ls valurs ds Français, A. Colin, t l numéro spécial d la rvu Futuribls (n 277, juillt-août 2002)

4 Figur 4. Un xmpl : un toléranc croissant à l égard d l homosxualité (nquêts «valurs») 50,0 45,0 40,0 35,0 30,0 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 % d Français considérant l'homosxualité comm plutôt justifié ans ans ans 60 ans t plus Bin sûr, comm l rapplait récmmnt Raymond Boudon 6, c comportmnt n équivaut pas au triomph d un prmissivité généralisé t sans limits, ni au rjt ou à l abandon d touts ls valurs qui ont, jusqu à présnt, composé l univrs mntal ds Français. Mais ls limits qu ls individus fixnt à lurs choix n s trouvnt plus aujourd hui dans ds princips abstraits, dans ds règls imprsonnlls t intangibls, lls résidnt simplmnt dans l rapport à autrui : st licit c qui n nuit pas aux autrs, st condamné c qui put avoir ds conséquncs négativs sur autrui. On constat, par xmpl, un maintin d l attachmnt à la fidélité dans l coupl t un dmand accru d autorité dans ls rlations socials. Mais il n y a pas là d contradiction avc la prmissivité croissant dans l domain privé : l individualisation ds mœurs s accompagn d un souhait réaffirmé t put-êtr mêm rnforcé d régulation ds rlations ntr prsonns. Ls Français, t ls juns parmi ux, adhèrnt à un moral rlationnll qui fond ls norms non plus sur ds princips abstraits, mais sur lur fft social dirct dans ls rlations intrprsonnlls. L attachmnt à la fidélité, par xmpl, rlèv d c princip : chacun st libr d choisir son orintation sxull, mais un coupl st fondé sur un contrat moral ntr dux prsonns t c contrat n put êtr rompu d manièr subrptic. Il n put l êtr qu au trm d un constat commun d désaccord : c st pourquoi tout n étant favorabls à la fidélité, ls Français jugnt qu, dans c cas, l divorc st un solution raisonnabl. Ctt tndanc à l individualisation ds mœurs n xrcnt pas sulmnt ss ffts sur ls norms d comportmnt ; ll l fait aussi probablmnt n c qui concrn ls choix culturls. Dans c domain égalmnt, m smbl-t-il, ls individus, t plus ncor ls juns, vulnt choisir c qui lur smbl bon ou mauvais pour ux t c nouvau princip attaqu d plin fout l idé d la transmission intrgénérationnll, sur laqull st fondé la concption traditionnll d la cultur. Baucoup d parnts ont probablmnt fait comm moi l xpérinc prsonnll ds réticncs d lurs nfants à accptr d rcvoir n dépôt un fonds culturl, supposé commun t imprscriptibl, 6 Raymond Boudon, Déclin d la moral? Déclin ds valurs?, PUF, 2002

5 qui, jusqu alors s transmttait d génération n génération, par xmpl à travrs la littératur classiqu. La concurrnc d la télévision ou d autrs mdias m smbl un xplication baucoup trop court, mêm si bin sûr ll contribu aussi à ctt désaffction. Car si on ls écout, qu disnt cs nfants ou cs adolscnts? Un chos simpl, mais nouvll par rapport à c qu était la norm dans ma génération : ils n vulnt pas rcvoir sans pouvoir choisir. Dans ls générations précédnts, la transmission ds œuvrs culturlls avait qulqu chos d sacré, ll xprimait plus qu l accès à la cultur, ll xprimait l introduction à la société tout ntièr. J n ignor pas, bin ntndu, c qu avait d élitist ctt form d transmission culturll. Mais ss ffts dépassaint sans dout largmnt, l univrs social auqul ll était résrvé. Comm l disait Bourdiu, crtains classs qui n étaint xclus, faisaint pruv d «bonn volonté culturll». Forc st d constatr qu c rspct d princip a disparu. Chaqu œuvr st évalué à l aun d critèrs d immédiatté, c st-à-dir qu ll doit ntrr n concordanc avc ds goûts t ds attnts qui s xprimnt aujourd hui. Bin sûr, ls mods culturlls ont toujours xisté, mais au dlà ds mods un fonds commun s sédimntait t s transmttait. C fonds commun n a pas disparu, il st aujourd hui transmis, n parti au moins, par l écol à un nombr d aillurs grandissant d juns. Mais, c faisant, il sort d l univrs ds librs choix. Or pouvoir choisir st c qui paraît aujourd hui ssntil aux juns générations. On a d aillurs un illustration tout à fait frappant d cs nouvaux rapports à la cultur n constatant qu c qu ls nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français appllnt «ls pratiqus amaturs», c st-à-dir ds activités réalisés par ls prsonns lls-mêms dans un champ très voisin d clui qui donn liu à la production d œuvrs culturlls rconnus - clui d l écritur, du théâtr, d la dans, par xmpl - connaissnt un succès grandissant. Cs pratiqus progrssnt fortmnt dans touts ls générations, y compris chz ls juns (figur 5). C n st donc pas l idé mêm d pratiqus culturlls qu on associ tout à fait habitullmnt à l idé classiqu d cultur, qui srait délaissé ou rjté, c st plutôt probablmnt un mod d transmission. Figur 5. L succès croissant ds pratiqus amaturs (nquêts sur ls pratiqus culturlls ds Français) 50,0 40,0 30,0 20,0 10,0 0,0 % d Français ayant pratiqué au moins un activité amatur dans l'anné t plus Ensmbl

6 2 L affaiblissmnt d la socialisation familial La duxièm pist qu j voulais xplorr concrn l affaiblissmnt d la socialisation familial. Ctt idé n st évidmmnt pas sans lin avc la précédnt, puisqu dans ls miliux qui s stimaint dépositairs d la cultur classiqu, l introduction aux œuvrs s faisait n grand parti par l biais d la socialisation familial. L idé du libr choix contribu donc d facto à affaiblir c mod d transmission. Mais il y a plus. Plusiurs indics smblnt montrr qu l autonomi culturll ds juns, c st-à-dir l fait d affirmr ds goûts t ds fréquntations n parti indépndants ds norms t ds choix familiaux, s manifst d plus n plus précocmnt. J n ai, pour ma part, trouvé un illustration assz ntt dans l xploitation ds nquêts «mplois du tmps» d l INSEE. En xploitant cs nquêts n , j avais constaté d ntts différncs dans la structur ds mplois du tmps ds lycéns t ds étudiants. Dans l palmarès ds activités ls plus pratiqués par ls lycéns apparaissaint pu d activités complètmnt étrangèrs aux dux grands instancs d socialisation qu sont la famill t l écol. Cs activités, notammnt tout c qui concrn ls sortis t la fréquntation ds amis, apparaissaint par contr fortmnt chz ls étudiants. J concluais donc qu ls lycéns, pour un grand part, rstaint ds adolscnts largmnt ncor sous l contrôl d la famill t d l écol. En 1998, dat d la drnièr nquêt mplois du tmps, l tablau st assz largmnt boulvrsé : ls lycéns sortnt ainsi baucoup plus au spctacl qu ils n l faisaint n 1986 (+17 mn/jour n moynn), ils passnt plus d tmps à rndr visit à ds amis (+14 mn), à prndr ds rpas à l xtériur d lur domicil (+ 8mn), à s promnr (+ 6mn). Il passnt aussi plus d tmps à xrcr un activité d travail qui lur procur probablmnt ls rssourcs supplémntairs qui lur prmttnt d sortir plus souvnt. La structur d l mploi du tmps ds lycéns s st donc fortmnt rapproché d cll ds étudiants Par aillurs, si on prnd n compt l nsmbl ds activités d un journé, la baiss du tmps passé par ls juns scolarisés, qu ils soint lycéns ou étudiants, avc ds mmbrs du ménag pour pratiqur cs activités, st snsibl (figur 6).

7 Figur 6. La baiss du tmps passé avc ds mmbrs du ménag (nquêts «mploi du tmps», INSEE) % d tmps passé avc ds mmbrs du ménag Lycéns Etudiants L profil «adolscnt» ds lycéns s st donc fortmnt atténué t, d un manièr plus général, ls juns smblnt s détachr plus vit t plus complètmnt d l influnc familial. Bin sûr l indicatur sur lqul j m appui rst trop grossir ; il faudrait fair un travail baucoup plus approfondi sur la transmission ds goûts ntr ls générations, mais sous résrv d c travail qu j n ai pas fait t qui, à ma connaissanc n xist pas, j frais volontirs l hypothès d un autonomi croissant d la sphèr ds goûts t ds pratiqus d loisirs juvénils. Un drnièr rmarqu à c sujt : cs lins intrgénérationnls distndus n signifint pas qu cs goûts s xprimnt au travrs d pratiqus étrangèrs à la sphèr marchand ; cla put arrivr bin sûr, mais l plus souvnt ds homms d markting tout à fait avisés savnt détctr t répondr à cs bsoins. 3 L primat ds rlations sur ls activités L drnir point qu j voudrais abordr concrn l orintation, ll aussi très spécifiqu aux juns, qui s fait jour dans ls comportmnts sociaux t accompagn l individualisation ds mœurs t la baiss d influnc d la socialisation familial : ls rlations ntrtnus avc l crcl l plus étroit ds amis prnnnt un importanc grandissant dans la vi social 8. On sait dpuis longtmps qu la junss st la périod d la vi durant laqull on fréqunt l plus ss amis 9. Mais c qui st nouvau, m smbl-t-il c st qu la sociabilité dvint un valur n ll-mêm : ls juns sont ls adpts d un «moral rlationnll», c st-à-dir qu ls conséquncs ds actions sont moins nvisagés n fonction d lur résultat intrinsèqu ou n fonction d princips abstraits (il faut fair cci, n pas fair cla) qu n fonction d l fft concrt t dirct qu lls puvnt avoir sur ls autrs t 7 Olivir Galland t Pascal Garrigus, La vi quotidinn ds juns du lycé au mariag, Economi t statistiqu n 223, cf O. Galland, Ls Français ntr : ds rlations élctivs t sélctivs, Pirr Bréchon (dir.), Ls valurs ds Français, Evolutions d 1980 à 2000, Armand Colin, Cf Galland t Garrigus op. cit., Clair Bidart, L amitié un lin social, La Découvrt, 1997, Nathali Blanpain t Jan-Louis Pan Ké Shon, A chaqu étap d la vi ss rlations, Donnés Socials 1999, Brnard Roudt, Jan-François Tchrnia, L amitié, un valur toujours cntral, in Ls valurs ds juns, Galland, Roudt (dir.), L Harmattan, 2001

8 notammnt cux qu l on fréqunt l plus intimmnt. C princip a évidmmnt ds conséquncs importants dans l domain moral : dans un tll concption, on l a dit, ls norms imprsonnlls n ont plus cours. Mais il a aussi ds conséquncs sur la hiérarchi qui s établit ntr ls prsonns qu on fréqunt t ls choss qu l on fait avc lls. Cla signifi concrètmnt qu, pour ls juns l «êtrnsmbl» dvint plus important qu l «fair-nsmbl» ou du moins qu l scond n st justifié qu par l prmir. Un ptit étud qualitativ réalisé avc ds étudiants nous a bin montré ls caractéristiqus spécifiqus d ctt sociabilité juvénil. Au trm d ctt étud sur ls pratiqus culturlls, quatr typs d juns ont été dégagés 10, t l un ds plus importants st clui qu nous avons simplmnt applé ls «sociabls». Ls juns d c group ont un sociabilité amical intns. Pour ux, ls amis, souvnt rncontrés dès l écol primair ou au collèg, sont ls prsonns auxqulls on put s confir totalmnt, tout dir, avour «ss moindrs problèms» (c n st pas l cas ds parnts) t sur lsquls on put comptr n cas d coup dur. Ls sortis ntr amis rprésntnt pour ux la bas d la vi d jun. L nquêt Emploi du tmps d l INSEE montr ffctivmnt qu ls sortis occupnt un part d plus n plus important d la vi ds juns, surtout avant qu ils n vivnt n coupl. L tmps moyn passé à cs sortis par ls lycéns t ls étudiants, par xmpl, a doublé d 1986 à 1998 (tablau 1) : l pourcntag d juns qui sortnt augmnt fortmnt t, lorsqu ils l font, c st pour un plus longu duré. Tablau 1 Moynn du tmps passé par ls juns t taux d pratiquants par jour n «sortis» (mn/jour t %). Lycéns t étudiants En mploi, pas n coupl En coupl Ensmbl nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu pratiquan ts nsmbl Taux d pratiqu ,1 12, ,3 17, , ,3 8, ,1 19, ,3 17, , ,9 161 Lctur : chaqu individu a été intrrogé sur un journé donné, y compris ls samdi t dimanch. Pour chacun ds groups d juns, corrspondant à un stad donné d l insrtion, l tablau livr trois informations : l tmps moyn passé dans un journé qu l activité ait été pratiqué ou non, l taux d pratiquants (% d prsonns ayant passé au moins un minut à l activité considéré l jour d l nquêt) t l tmps moyn passé par ls suls pratiquants. Ls «sortis» comprnnnt l cinéma, la fréquntation ds spctacls sportifs, ds musés t xpositions, ls autrs sortis donnant liu à un rncontr. Sourc : INSEE, nquêts mploi du tmps 1986 t 1998, donnés traités par nos soins. pratiquan ts 10 Ls trois autrs typs sont ls «passionnés» pour qui, à l invrs du group ds sociabls, la communauté d goûts st c qui guid l choix ds amis. Cs passionnés pratiqunt d façon intns un activité (souvnt la musiqu ou l sport) t partagnt ctt passion avc un ou qulqus amis ; ls «accros d l écran» sont ds fanatiqus t ds gros consommaturs d jux vidéos ; nfin, ls «désouvrés» sont ds juns, souvnt plus âgés, plus avancés dans la vi familial t profssionnll, vivant souvnt n zons rurals nclavés, qui s sntnt isolés, ont pu d activités t pu d amis. Enquêt sur ls pratiqus culturlls t ls pratiqus d communication ds juns, Obsrvatoir sociologiqu du changmnt, Rapport ronéo pour Franc-Tlcom, 2002

9 D plus, lorsqu ils sortnt, ls juns l font prsqu xclusivmnt avc lurs amis t ctt prépondéranc d la sociabilité amical s st ncor rnforcé (figur 7). Figur 7. Ls sortis ds lycéns t étudiants, principalmnt t d plus n plus avc ds amis (nquêts «mploi du tmps» INSEE) % du tmps d sorti ds lycéns t étudiants slon la compagni 77,7 85, ,21,2 20,3 9,4 0,72,6 sul famill amis autrs Ctt sociabilité n a pas bsoin d occasions ou d prétxts particulirs pour s déployr. La rncontr ll-mêm compt autant, sinon plus qu ls choss qu l on put fair nsmbl. Un ds juns fills intrrogés, par xmpl, xpliqu bin qu ll s adapt, pour ss sortis, aux choix d activités d ss différnts amis, t, dit-ll, aux «affinités qu ll a avc chacun». C qu il faut, comm l disnt plusiurs juns intrrogés, c st «avoir ls mêms délirs», c st-à-dir partagr ls mêms snsations t ls mêms nvis au mêm momnt. Cux qui «sont pas prêts à nous suivr dans ls délirs» dit un autr jun, «on ls voit à d autrs momnts». C st souvnt par la dans, ls sortis n «boit» ou par la participation aux activités ds salls d sport (stp, fitnss, cours d dans, tc..) qu s xprim ctt sociabilité qui, dans l nquêt rassmbl souvnt ds groups d fills, mêm clls qui sont n coupl t qui n sacrifint pas pour autant ls momnts passés avc ls «copins». Baucoup d cs juns fills insistnt sur ctt séparation, ntrtnu délibérémnt, ntr la vi d coupl t la sociabilité ds «copins». S ils sortnt baucoup, cs juns aimnt aussi tout simplmnt s rtrouvr chz ls uns ou chz ls autrs dans ds soirés improvisés qui dépndnt ds opportunités d rncontrs t d la taill ds appartmnts. C primat ds rlations sur ls activités put avoir ds conséquncs importants sur la fréquntation ds équipmnts culturls ou ds équipmnts d loisirs. Ainsi, plusiurs juns d l nquêt, amaturs d films, font état d lur préférnc pour la solution qui consist à lour ds vidéos pour ls rgardr à plusiurs chz l un ou l autr d lurs amis. Au dlà d l aspct financir, il y a aussi l xprssion d un préférnc pour «êtr n group», «voir ls amis», plutôt qu d s nfrmr dans ls salls obscurs dans un rapport plus individualisé au film qui st projté. La baiss

10 d la fréquntation du cinéma smbl d aillurs confirmé par ls nquêts Emplois du tmps 11. D un manièr général, c st tout un rapport «individualisé» à la cultur t aux œuvrs qui st mis n caus par la préférnc xprimé pour ds activités pratiqués n group. Pour conclur, on put soulignr un form d paradox qui ntour ls rapports d la junss avc la société adult t avc la cultur qui, dans l sprit d la plupart ds juns, st associé au mond ds adults. D un crtain point d vu, la junss actull st miux intégré à la société qu n l étaint ds générations d juns précédnts. Parsons montrait autrfois, dans un articl sur la junss américain 12, qu cll-ci s définissait ssntillmnt comm un sous-cultur opposé aux valurs adults. Si on mt à part la parti révolté d la junss qui xist, mais qui st très minoritair t qui présnt ds caractéristiqus socials très particulièrs, il n y a plus rin d tl aujourd hui. Ls juns n contstnt plus ls fondmnts d la société ; ils dmandnt mêm plus d autorité dans ls rlations socials, comm l montraint ls résultats ds nquêts valurs ; l idntité générationnll anti-institutionnll t anti-autoritair st bin drrièr nous. Mais, n mêm tmps, tout n rnonçant à contstr la société, ls juns smblnt s détachr d un parti d ss valurs t d son histoir culturll, au nom d un autonomi générationnll rvndiqué ds goûts t ds choix culturls t au nom d valurs qui mttnt n avant, l authnticité, l xprssion d soi t la communication intrprsonnll. Cs juns n rfusnt pas d dvnir c qu la société attnd d ux mais ils rvndiqunt l droit d pouvoir librmnt choisir parmi l stock xtrêmmnt divrsifié d produits, d bins t d sollicitations qu ll lur propos. Ils n vulnt plus êtr ls récptacls passifs d un offr culturll décidé t construit n dhors d ux. Ils vulnt êtr ls acturs d lur vi tout court t égalmnt, pour crtains, d lur vi culturll. Il rst à réfléchir pour savoir si cs nouvaux comportmnts n constitunt qu un limit à la diffusion ds bins culturls ou si ils puvnt êtr un occasion à saisir pour invntr un nouvau rapport à la cultur. 11 L taux d pratiquants d un journé moynn rst stabl à 2,5%, mais ctt stabilité masqu ds disparités. Ls élèvs t étudiants comm ls juns n mploi mais pas ncor n coupl sortnt moins au cinéma : l taux d pratiqu journalièr st passé d 5% à 3,5% pour ls prmirs, d 6% à 2% pour ls sconds. Suls ls juns plus avancés dans la vi adult ont vu lur pratiqu légèrmnt augmntr. 12 Talcott Parsons, Ag and sx in th social structur of th Unitd Stats, Amrican Sociological Rviw, 7, 5, 1942.

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