ÉTUDE HYDROGÉOLOGIQUE DE VALLÉES ALLUVIALES ET DES COMMUNES DU CAP CORSE

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1 MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET SCIENTIFIQUE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P Orléans (0) Tél.: (38) ÉTUDE HYDROGÉOLOGIQUE DE VALLÉES ALLUVIALES ET DES COMMUNES DU CAP CORSE (Corse) Service Géologique Régional Provence - Corse Direction Départementale de l'agriculture de la Corse 7 SGN 33 PRC Marseille, avril 97

2 - - Le présent ouvrage a été réalisé par le Service géologique régional Provence Corse du B.R.G.M. à Marseille. L'étude et la rédaction ont été assurées par : R. ARFOIS ) M. GRAVOST ) pour le B.R.G.M. J. PUTALLAZ M. MICHEL pour la D.D.A. La coordination et la direction de l'étude ont été assurées par : J. GERARD, Directeur du Service géologique régional Provence-Corse (B.R.G.M.) D. VALENTINI, Ingénieur en Chef, Adjoint au Directeur départemental de l'agriculture de la Corse.

3 . O _ R E S U M E Ce travail a été exécuté par le B.R.G.M. agissant pour le compte de son ministère de.tutelle (Ministère du Développement industriel et scientifique) et par la Direction départementale de l'agriculture de la Corse. L'étude porte sur sept vallées alluviales de la Corse et sur l'ensemble des communes du Cap Corse. Trois fiches (Oso, Stabiacco, JFigari) ont été rédigées par la D.D.A. Corse, le reste par le B.R.G.M. Chaque bassin versant étudié par le B.R.G.M. a fait l'objet d'une estimation des ressources disponibles en période d'êtiage et pour chaque cas des propositions d'études simples et de travaux peu onéreux ont été faites.

4 -4 - TABLE. DES. MATIERES Resume INTRODUCTION But de l'étude Besoins en eau Développement et alimentation en eau Particularisme de la Corse Collaboration B.R.G.M. - D.D.A. Corse et conception du rapport Première partie VALLEES ALLUVIALES CORSES - Vallée de 'Alizo - Vallée de l'ostriconi 3 - Vallée du'fiume Secco 4 - Vallée du Liamone 5 - Plaine de Figari 6 - Plaine de Stabiaccio 7 - Plaine de l'oso

5 - 5 - Deuxième partie - LES COMMUNES DU CAP CORSE 50 - Ville di Piëtrabugno 53 - San Martino di Lota Santa Maria di Lota Brando Siseo Pietracorbara Cagnano Luri Meria Tomino 80 - Rogliano ' 8 - Ersa Centuri Morsigïia Pino Barrétali ' Canari Ogliastro ' Olcani Nonza 0 - D'Olmetta du Cap Corse 3 - Farinole Patrimonio 9

6 - 6 - TABLE. DES...FIGURES - Cours inférieur et moyen de 'Alizo 7 - Cours inférieur et moyen de l'ostriconi 3 - Schéma géologique du cours inférieur du Fiume Secco Géologie du cours inférieur du Liamone Cap Corse - Plan de situation - Echelle / ". " 5

7 - 7 - TABLE DES.ANNEXES I - Estimation des ressources II - Sources du Cap Corse III - Résultats d'une campagne de sondages électriques dans les vallées de l'aliso, de l'ostriconi et du Fiume Secco IV - -Plan des plaines du Stabiaccio et de l'oso dressé par la D.D.A. Corse

8 - 8 - INTRODUCTION BUT DE L'ETUDE Certaines regions de la Corse accusent un grave déficit en eau durant la saison estivale. L'alimentation, dans ces cas, doit être sérieusement réglementée, ce qui gène le développement du pays, à moins qu'il ne soit fait appel ä des sources lointaines, donc onéreuses. Le hut de cette étude a été d'essayer d'analyser" les ressources disponibles dans certains secteurs par une approche rapide et de proposer par des études simples et des travaux peu coûteux des solutions d'exploitation maximale des ressources existantes, en particulier des ressources qui se perdent par écoulement à la mer. BESOINS EN EAU Si la saison hivernale des pluies ne pose pas de problème d'alimentation du pays, la période sèche de l'été, par contre, est loin de permettre de satisfaire partout les besoins accrus par un afflux considérable de touristes attirés par le climat et les merveilleux décors de l'île de Beauté. Alors que les ressources diminuent considérablement au cours d'un étiage prolongé, la demande augmente de façon.spectaculaire. Il n'est pas rare de voir celle-ci multipliée par deux, quatre ou cinq voire même plus de dix. A titre d'exemple, nous pouvons citer la commune de Nonza qui voit sa population passer de 80 habitants durant l'hiver à plus de.000 durant l'été.

9 - 9 - DEVELOPPEMENT ET ALIMENTATION EN EAU - PARTICULARISME DE LA CORSE Le développement de l'île passe par son alimentation en eau, or celui-ci est considérablement freiné par les difficultés d'approvisionnement. Bien que les distances ne soient jamais très considérables, la pose de conduites d'amenée soulève toujours des problèmes de rentabilité en raison du découpage des côtes et des reliefs prononcés. Dans la phase de démarrage économique actuelle de ce département, il est indispensable d'utiliser les ressources existantes les plus proches, car leurs récupérations n'exigent pas de gros investissements. Au préalable il suffit de savoir où "ces ressources gîsent et quelle est leur importance. Celles-ci sont facilement récupérables dans les vallées qui constituent des drains naturels, l'eau s'écoulant soit à l'air libre, soit dans les alluvions qui en tapissent les fonds. Leur utilisation exige toutefois quelques précautions. Ainsi l'exploitation est à déconseiller dans les zones où le bed-rock est à une altitude négative par rapport au niveau de la mer. Là,on ne pourra exploiter qu'une partie des ressources si l'on veut éviter une intrusion intempestive d'eau salée dans le puits, causant ainsi sa ruine. Une exploitation en amont du seuil 0 NGF du bed-rock permettra par contre de capter, dans un bassin légèrement réduit certes, la totalité des ressources existantes sans risque de pollution par le sel, En Corse, la tranche alluviale étant peu épaisse et la pente forte, on suggérera dans la plupart des cas la pose de drain transversaux aux vallées et la récupération des eaux par gravité dans un puits-citerne placé à l'aval.

10 - 0 - COLLABORATION B.R.G.M.-D.D.A. CORSE ET CONCEPTION DU RAPPORT a.vec la D.D.A.» Corse. Pour cette étude, le B.R.G.M. a collaboré étroitement La D.D.A. a fourni tous les éléments en sa possession - ils sont nombreux - et a rédigé des rapports, un peu différents dans leur conception, sur les vallées du Stabiacco, de l'oso et de Figari. Le B.R.G.M. a procédé aux enquêtes de terrains sur 'ensemble des communes du Cap Corse (3) et des vallées de 'Alizo, de l'ostriconi, du Fiume Secco et du Liamone. Il a exécuté une étude géophysique (cf. annexe IV) sur les vallées de l'alizo, de l'ostriconi et du Fiume Secco. Enfin, il a rédigé sous forme de fiches-résumés les résultats des enquêtes et a procédé a une estimation des ressources pour chaque vallée et chaque commune du Cap Corse. Pour l'estimation des ressources, nous avons tenté une approche de bilan des écoulements à l'étiage par- diverses méthodes, à savoir par les infiltrations, par les débits entrants estimés (drainage latéral), par les écoulements superficiels observés et les caractéris- tiques des alluvions, enfin par les débits unitaires au km en fonction de la nature des roches. Chaque méthode mettait en oeuvre des données mesurées, mais il fallait également introduire des hypothèses. Celles-ci ont été calées sur des bassins versants où il y avait des mesures de jaugeages. Il faut toutefois tenir compte du particularisme de la Corse avec sa géologie variée et son climat qui subit non seulement l'influence de l'altitude mais encore des vents dominants. C'est pourquoi, les méthodes valables pour certains bassins versants, le sont beaucoup moins pour d'autres. Aussi nous avons pris soin de donner pour chaque bassin versant les écarts extrêmes, mais avec une fourchette moyenne probable.

11 - - L'approche ainsi conçue n'a pas la prétention de la rigueur en raison même de la méconnaissance de trop nombreux paramètres entrants en jeu pour l'établissement d'un bilan serré. Il était toutefois utile d'obtenir rapidement une valeur raisonnable des ressources que l'on est en droit d'attendre dans les secteurs étudiés.

12 - - PREMIERE..PARTIE VALLEES ALLUVIALES C O R S E S A - ETUDES B.R.G.M. - Vallée de 'Alizo - Vallée de VOstriconi 3 - Vallée du Fiume Secco 4 - Vallée du Liamone B - ETUDES D.D.A. CORSE 5 - Plaine de Fi gari 6 - Plaine de Stabiacco 7 - Plaine de 'Oso

13 - 3 - VA LLEE DE L'ALIZO JJ 7- DONNEES GENERALES J - Agglomérations Saint Florent, San Piétro di Tenda, San Garino di Terida, Sorio, Pieve, Rápale, Olmetta di Tenda, Oletta, Vallecale. J - Population. Besoin en eaux - Hiver : 3.800^ 7 /s - Eté :40.000? 46 /s Saint Florent est alimenté par des sources situées en dehors du bassin versant, en particulier par une source de 6_~ 7 /s située au-dessus de Patrimonio. 3~ Morphologie - Superficie du bassin versant : 35 km - Source de l'alizo : flanc est du Mont Asto entre 700 et.00 - Altitude maximale du bassin versant : 509 m (Cime di Grimaseta) - Pente moyenne des versants :. bassin supérieur : 5-50 %. bassin inférieur : 0-5 % () - Cf. dictionnaire des communes 964

14 Profil en long du cours d'eau. longueur : 93 km. pente amont : 6 % aval :,5 % - Végétation : maquis arbustif, en partie détruit par les incendies, quelques forêts constituées,en particulier dans la partie supérieure du bassin versant. 4- Géologie (voir annexe III,rapport géophysique). - Substratum. Tiers ouest : série magmatique et métamorphique. Deux tiers est : schistes lustrés - Altération :. Faible à négligeable dans les fortes pentes des massifs granitiques, augmente avec l'adoucissement du relief,. Peu développée sur les schistes lustrés, a produit des éboulis et des colluvions que l'on retrouve au bas des pentes. - Alluvions : Constituait deux plaines dans la partie inférieure du cours, l'une littorale, l'autre à 7,5 km de l'embouchure (cuvette sud).. Plaine littorale : Large de 5 à 600 m dans sa partie amont. A,5 km de l'embouchure, elle se divise en deux branches larges de 00 à 300 m. La branche ouest (Alizo) a une longueur de 3 km environ, la branche est (affluent rive droite) n'excède pas J,5 km de longueur. D'après les données de la géophysique et les résultats des.forages du domaine "de Torra", l'épaisseur des alluvions varie entre 0 et 50 m.. La cuvette sud : Extension : 500 ha$ comblée par des alluvions sur lesquelles s'avancent des langues de colluvionsjproduits de désagrégation des pentes. L'épaisseur des dépots meubles,d'après les résultats de la géophysique, varie entre 5 et 50 m. - Lithologie :. Alluvions récentes : A l'aval, limons et yaaes : noirs,, puis viennent des limons sableux de zones d'inondation, et, ä partir du premier tiers de la vallée, galets et sablesgrossiers.

15 Alluvions anciennes : Alluvions à blocs, à matrice sablo-argileuse, de couleur jaune. ]5- Pluviométrie Module pluviométrique annuel moyen observé à la station de Saint Florent (90J - 930): 770 mm. D'après P. SIMI ^ on peut admettre pour l'ensemble du bassin versant une moyenne de 000 mm. - RESSOURCES EN EAU Sources nombreuses dans la partie moyenne et supérieure du bassin versant. Bon nombre d'entre elles sont captées pour l'alimentation des agglomérations. ]- Régime de la rivière De type torrentiel, perenne avec un débit d'étiage estimé de l'ordre de 300 ä 500 /s.. ' '- Alluvions Les alluvions sont exploitées par quelques puits, peu utilisés. Le forage SR possède une eau légèrement artésienne, mais saumâtre, qui la rend impropre à la consommation. Le biseau salé pénètre, d'après les résultats de la géophysique, d'environ 400 m dans l'estuaire et sur une épaisseur voisine de 0 m. La résistivité moyenne des alluvions, de l'ordre de 60-^ m implique une proportion non négligeable d'argile. () - P. SIMI. Le climat de la Corse. Bull. Sect, géogr. LXXVI.p. -. JJ:.. Paria 9.63.

16 - 6 - L'Alizo est une rivière perenne; son débit d'étiage a été évalué ä /s. De plus il faut ajouter les écoulements de la nappe alluviale, lesquels doivent être de l'ordre de 0 à 600 /s suivant les coefficients de perméabilité utilisés. La résistivité des alluvions étant généralement basse, on peut admettre une perméabilité générale assez faible et un débit de la nappe plus proche, de J0 /s que de 600 /s. Les estimations des ressources (voir annexe I) différent suivant les méthodes d'approche de bilan utilisées entre 00 et 580 /s. L'estimation des réserves d'eau contenues dans les alluvions à l'amont du profil géophysique PI (voir annexe II) est de l'ordre de J m pour un coefficient d'emmagasinement de 5 %. Elle est du même ordre dans la cuvette sud. 3 - ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE 3- Etudes a/ Etudes prévisionnelles de la répartition des besoins b/ Inventaire et jaugeage des sources c/ Hydrogrammes de la rivière en points au moins d/ Caractéristiques hydrauliques des alluvions et relation rivière-nappe..3-.travaux Exécution de forages et de 4 piézomètres entre P3 et P4 (voir annexe d'un forage et de piézomètres vers le SE 0, d'un forage et de piézomètres vers le SE 03, cuvette sud. Sur chaque forage, pompage d'essai de 48 h.

17 - 7 - Golfe dé Saint -Florent St Florent COURS INFERIEUR ET MOYEN DE L'ALI SO / a / Alluvions + Eluvions Echelle / A Sondage SR Figuré '

18 - 8 - VALLEE DE L'OSTRICONI - DONNEES GENERALES - Agglomérations Palasca, Novella, Urtaca, Lama, Pietralba, Ogliastro. - Population - Besoins en eau - Hiver :.800 () 8,3 /s - Eté : 3.500? 6 /s Î3- Morphologie - Superficie du bassin versant : 55 km. - Source de l'ostriconi : Monte Reghia di Pozzo - Altitude maximale du bassin versant :.535 m - Pente moyenne des versants :. Bassin supérieur : 0-45 %. Bassin inférieur : 5-5 % - Profil en long du cours d'eau :. Longueur : 9 km. Pente moyenne : 4 - % à l'amont, 0,35 - % à i'aval () - cf. dictionnaire des communes 964

19 Vegetation : Maquis arbustif, en partie détruit par les incendies de ces dernières années, quelques forêts constituées dans la zone d'urtaca, de Lama et de Piétralba. 4- Géologie (voir annexe III, rapport géophysque) - Substratum :. rive droite : granite, schiste métamorphique et flysch gréseux,. rive gauche : flysch schisto-calcaire à gréseux et roche verte. - Altération :.. faible à négligeable dans les fortes pente.s des massifs granitiques, augmente avec l'adoucissement du relief-. plus importante dans les zones de flysch où elle provoque des accumulations importantes d'éluvions sur les pentes douces à moyennes. Les colluvions (éluvions légèrement remaniées) ont recouvert les alluvions dans la'partie moyenne et haute du cours d'eau. - Alluvions. basse vallée': - Géométrie : longueur : 8 km largeur : m dans la partie aval ( premiers km) m en amont du confluent Ostriconi - ruisseau de Coptile, sur 6 km épaisseur : au niveau de l'étang de Canuta,5-7 m d'alluvions récentes limoneuses, 0-5 m d'alluvions Anciennes?) à matrice plus ou moins argileuse au droit du profil géophysique P : 3-5 m d'alluvions sèches,,- 30 m d'alluvions perméables. - Lithologie alluvions récentes : basse vallée : limon sableux fin reposant sur des galets hétérogènes et du sable grossier haute vallée : alluvions grossières de type torrentiel alluvions anciennes : assez étendues dans la basse vallée, généralement recouvertes par les colluvions dans la haute vallée. Alluvions à blocs contenus dans un sable grossier, pulvérulent, ä proportion variable d'argile, couleur jaune rougeâtre.

20 Pluviométrie Module pluviométrique annuel moyen mesuré à la station de Belgodère (ait : 30 m) : 7J6 mm pour la période , et 755 mm pour la période D'après P. SIMI^, on peut admettre pour l'ensemble du bassin versant un module pluviométrique voisin de 750 mm/an. - -RESSOURCES EN EAU - Sources Pas de source dans la partie aval de la 'vallée. Elles sont. limitées à la haute vallée et sur les flancs supérieurs du bassin -versant, La plupart sont captées et utilisées pour l'alimentation des localités. - Régime de la rivière De type torrentiel, non perenne sur l'ensemble de son parcours. Là oü l'épaisseur des alluvions diminue en raison d'une remontée du substratum, on note un débit estimé à /s. 3- Alluvions Les alluvions sont exploitées par quelques puits. Elles sont alimentées en été par les écoulements hypodermiques des -versants. 4- Estimation des ressources en eau L'estimation des ressources a été approchée par quatre méthodes différentes (voir annexe I). Le débit transitant à travers la nappe doit être compris entre 36 et 70 /s (valeurs extrêmes), la valeur moyenne se situant aux alentours de 80 /s. (J) - P. SIMI. Le climat de la Corse. Bull. Sect, Géogr, t. LXXVI, p. -, Paris

21 - - Reserve d'eau partiellement mobilisable. dans la zone 5 3 où le substratum est au-dessous du 0 NGF =,5 x 0 m. Réserve d'eau mobilisable dans la zone où le substratum 5 ^ est au dessus du niveau de la mer :,3 0 m pour une porosité efficace admise de 5 %. 3 - ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE 3- Etudes a / Etude prévisionnelle de la répartition des besoins, b / Inventaire et jaugeage des sources, c / Hydrogramme de la rivière en points au moins, d / Caractéristiques hydrauliques des alluvions. 3- Travaux Exécution d'un forage et de deux piézomëtres au droit du SE 0 (voir annexe II), pompage d'essai de 48 h.

22 - - Figure Anse de Pérasolcc:, / \ ni \ COURS INFERIEUR DE L'OSTRICONI a / Alluvions e / EluvionSj éboulisj alluvions anciennes. Echelle /SO. 000

23 - 3 - V A L L E E DU F I U M E S E C C O 3 - DONNEES GENERALES 3 - Agglomérat ions Zi3,ia, L,ianghignano, Cassano, Lumio, Montemaggiore 3 - Population. Besoins en eau - Hiver s 00^ 7 /s +,3 /s base militaire - Eté : : 5000.? 70 /s 33 - Horphologie - Superficie du bassin versant : 59, km - Source du FiumeSecco : pointe occidentale de la Punta Radiche, vers 00 m d'altitude. - Altitude maximale du bassin versant : 03 m - Pente moyenne des versants. Bassin supérieur : 5-65 %. Bassin inférieur : 5-0 % - Profil en long du cours d'eau :. Longueur J5 km. Pente : amont '0 % (4 premiers km) aval 3 % ( dernierskm). Q) ~ Cf. dictionnaire des communes J964

24 Vegetation : Couverture végétale assez dense (maquis). Présence de forêts constituées en tête de bassin versant et sur la rive droite Géologie (voir annexe III, rapport géophysique) - Substratum : série métamorphique, magmatique (granite) " Altération. Faible à négligeable dans les fortes pentes, en tête du bassin. versant. Forte en bas des pentes et dans la partie aval du bassin versant. - Alluvions Tapissent les flancs et lefond de la vallée jusqu'à plus de km de l'embouchure, elles sont constituées par:. les alluvions anciennes Réparties en terrasses êtagées entre J5 et 60 m au dessus du lit actuel formées d'éléments de granite et de quartz hétërométriques emballés dans une matrice argilo-sableusef doivent être considérées comme peu perméables.. les alluvions récentes Ne dépassent pas le lit majeur actuel :.. - * largeur : 'm-en aval,'s'amenuise petit à petit en amont, - longueur : 8,5 km - épaisseur : reconnue par sondages; ne dépasse pas une huitaine de mètres. - constitution : alluvions à blocs à matrice sableuse, de couleur grise 35 * * Pluviométrie Le module moyen pluviométrique. enregistré; à Calvi (altitude 57) pour la période est de 70 mm; ä Bonifato (altitude 545 m), il est de 000 mm pour la période En s'appuyant sur l'étude de P. SIMI, on peut admettre que le haut bassin versant reçoit 000 mm/an et le bassin inférieur 700 mm. (J) - Le climat de la Corse. Bull. Sect.. Géogr. t. LXXVI, p. -, Paris 4963.

25 RESSOURCES EN EAU 3 - Sources Elles sont situées dans la partie supérieure et sur les flancs du bassin versant. Elles sont utilisées pour l'alimentation des localités. 3 " Régime de la rivière De type torrentiel, elle est sèche en étiage en raison de la forte perméabilité des alluvions récentes. Là où il y a diminution d'épaisseur des alluvions par remontée du substratum, on observe un écoulement de surface estimé ä 50 w J00 /s Alluvions Les alluvions récentes sont de perméabilité excellente avec une transmissivité de l'ordre de J0 m/s pour une tranche mouillée de 5 m. En raison même de cette excellente perméabilitéjla nappe est sujette a-de fortes fluctuations. Elle est exploitée par une dizaine de puits ou forages dont deux d'entre eux ont une débit cumulé de 0,5 /s. A ce jour, aucune influence de la mer ne s'est manifestée dans les puits et piézomètres proches de la mer, mais aucun pompage important n'a encore eu lieu dans cette zone Estimation des ressources Les estimations des ressources (voir annexe I) varient entre 0 et 90 /s, la moyenne étant de l'ordre de 00 /s. L'estimation des réserves contenues dans les alluvions récentes à l'amont du goulet situé à J500 m du rivage se monte à

26 m pour une surface de,5 km, une hauteur mouillée de m et un coefficient d'emmagasinement de ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE Etude prévisionnelle de la répartition des besoins. En raison de la vidange rapide de la nappe du fait de sa pente et de sa perméabilité, cette nappe est difficilement exploitable a- grande échelle, ä moins d'entreprendre des travaux d'étanchement (Barrage souterrain) au droit du goulet, solution envisageable en cas de pénurie extrême d'eau dans la région.

27 - 7 - Figure 3 SCHEMA GEOLOGIQUE DU COURS INFERIEUR DU FIUME SECCO (Echelle /'SO. 000) d'après la carte géologique de Calvi (échelle /80.000) Golfe de Calvi Dépôts êoliens 'lib ai / Alluvions récentes a /- Alluvions anciennes ~ï 7 Série eruptive, granites CALEM

28 - 8 - VALLEE DU LIAMONE 4 - DONNEES GENERALES 4 - Agglomerations Soccia, Orto, Guagno, Poggiolo, Murzo, Renno, Letia, Vico, Arbori, Coggia, Ambiegna, Arro, Rosazia, Salia, Azzana, Pastricciola, Lopigna. 4 - Population. Besoin en eau - Hiver : 8400 (J) 44 /s - Eté : 5000? 78 /s Morphologie - Surface du bassin versant : 37,5 km - Source du Liamone : flanc sud du Monte Tozzo vers 400 m - Principaux affluents : Fiume Grosso (b.v. : 97 km ), et le Cruzini (30km - Altitude maximale du bassin versant : 45 m - Pente moyenne des versants :. Bassin supérieur et moyen : 0-45 %. Bassin inférieur. : 5-0 % - Profii en long du cours d'eau :. Longueur : Liamone 33 km. Principaux affluents : Grazini (3 km) et Fiume Grosso (5 km) () - 'Cf. dictionnaire des communes 964.

29 Pente moyenne Liamone : cours supérieur : 9 % cours moyen : 3 % cours inférieur : 0,4 % Çruzini : cours supérieur : 0 % cours inférieur : % Fiume Grosso : 7 % - Végétation : La forêt constituée recouvre la majeure partie du bassin versant.. 44 <- Géologie - Substratum : série magmatique et métamorphique sur l'ensemble du bassin versant. - Altération :..... Faible à négligeable sur les fortes pentes en tête du bassin versant,. Moyenne à forte dans les zones recouvertes de forets et de cultures. - Alluvions : Peu étendues, limitées à la zone d'embouchure du fleuve; la plaine alluviale, large de J,5 km sur une longueur de' lcm, se referme brutalement et passe rapidement de 500 m de large à la largeur du lit de la rivière sur une distance de 3 km. Sableset galets reposent vers 5 m de profondeur au centre du secteur prospecté par la D.D.A. sur des sables argileux (voir figure 4). Pas d'alluvions anciennes. 45 Pluviométrie Les modules pluviométriques moyens enregistrés entre 90J et 930 aux stations suivantes sont : - Cargëse (60 m) 557 mm - Bastelica (800 m) J465 mm - Calcatoggio (39. m) 804 mm - Vico (40 m) 83 mm - Pastricciola (68 m) 470 mm - Guagno (750 m) 505 mm - Ajaccio (6m) 7 6 mm

30 On peut ado.pter un module moyen voisin de 700 mm entre 0-00 m (3 Ion ), de 800 mm entre 00 et 400 m (43 km ), de.000 mm entre 400 et 600 m (58 Ion ) et de 400 mm au dessus (39,5 km ) 4 - RESSOURCES EN EAU 4 - Sources Fréquentes sur l'ensemble du bassin versant, sont en partie utilisées pour l'alimentation des localités. 4 " 'Régime de la riviere De type torrentiel, son cours est perenne Nappe alluviale Exploitable entre Tilorza et Belona. A Tilorza la géophysique a décelé en profondeur la limite de l'invasion marine. 44 ~ Estimation des ressources en eau L'estimation des ressources a été approchée par trois méthodes (voir annexe I). Les ressources calculées sont comprises entre 870 et J800 /s, valeurs prises à l'étiage. Ces valeurs concordent avec les o débits d'ëtiage mesurés au pont de Truggia (Oct. 970 =,07 m /s, Août 97 =,55 m 3 /s).

31 ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE 43 - Etudes a/ Etude prévisionnelle de la répartition des besoins, tr^ Inventaire et jaugeages des sources. c/ Hydrogramme de la rivière et des affluents en 3 points au moins d/ Exploitations des pompages d'essais exécutés par la DDA e/* Surveillance de l'influence sur la nappe de l'exploitation des puits f/* Etude des relations rivière-nappe, exploitation des résultats par -modèles Travaux a/ Implantation d'un réseau de piézomètre de surveillance, b/' Exécution de forages complémentaires d'exploitation.

32 - 3 - Figure 4 GEOLOGIE DU COURS INFERIEUR "DU LIAMONE (Echelle /50.000) d'après la carte géologique d'ajaceio (échelle /80.000) a' 7 Alluvions récentes Ae / Formations eluviales Granite à biotite / M /. Biorite / / Migmatite / / Zone prospectées par géophysique D.D.A.

33 P L.A.I.H.E DE F.I.G A R I Les premières études réalisées sur la plaine de Figari remontent à Octobre J96. Il s'agissait tout d'abord d'une prospection géophysique sur la basse vallée du ruisseau de Carcerone. Cette prospection géophysique avait aboutit à l'implantation de deux sondages de reconnaissance, le.0 et le 3.0. Le sondage J.O. a une profondeur de 7,50 m et a montré une série alluvionnaire a.ssez intéressante. Toutefois, la proximité du biseau d'eau salée nous a contraint de reporter vers l'amont l'implantation d'un ouvrage de pompage. Le sondage 3.0 a trouvé le granite sain à 3,0 m donnant ainsi la limite amont de notre nappe alluviale. Un troisième sondage.0 réalisé dans une zone moyenne en J967 avait permis de trouver le granite sain à une profondeur de ]4,30 m. Nous étions donc dans une zone de cuvette avec un remplissage alluvionnaire intéressant à éléments relativement fins (sable et gravier) Un ouvrage de captage a donc été implanté à 3,80 m (d'axe en axe) à l'aval du piézomètre. Cet ouvrage initialement prévu pour une profondeur de 4 m a'dû être interrompu à 0,60m du fait de la présence sous le sabot, d'un bloc de granite qui facilitait,lors des pompages,

34 l'aspiration de fines. Pour parer à cet inconvénient, nous avons dû faire couler un bouchon de béton en fond de puits. Les résultats des essais de pompage réalisés en septembre 969 et en août 970*sont identiques et permettent de fixer 35 m 3 /h. un débit d'exploitation d'ouvrage de l'ordre de Devant le développement touristique de la région, il s'est avéré indispensable de définir de nouvelles zones d'exploitation. C'est dans cette optique que de nouveaux- sondages ont été réalisés. Ces sondages (le 5.0 et le 6.0) ont permis de montrer la présence du substratum dans la vallée du ruisseau de Canella à 4 m de profondeur. Coupe du a,00,50,50 3,0 3,0 4,0 4,0 5,50 : Terre végétale sableuse, : Sable, limon noir, : Sable argileux, : Sable, limon argileux,.: Granite* Légère venue d'eau à partir de 3 m. Coupe du a 4 4 m : Sable argileux : Granite Pas d'eau. Au vu de ces derniers sondages et de l'ensemble des prospections antérieures, il semble que seule la plaine du ruisseau de Carcerone puisse offrir un potentiel suffisant.

35 ii est à remarquer que la présence en surface de marais indique des niveaux argileux sous-jacents. Ces argiles provenant de la décomposition chimique des feldspaths (composants essentiels des granites) est un bon indice pour prévoir la présence de la roche mère saine à faible profondeur. D'autre part, l'expérience réalisée dans la plaine du Ta.ra.vo avec la mise en place d'un puits à drain rayonnant montre tout l'intérêt de tels types d'ouvrages dans des terrains à granulomëtrie faible et à perméabilité moyenne. En conclusion, la basse vallée de Figari peut offrir deux ou trois sites de puits identiques à celui réalise. On ne peut raisonnablement pas espérer pouvoir exploiter l'ensemble de la plaine à plus de 00 m /h. Dans le cadre plus général de la région de Pianottoli, il est possible d'implanter.une série de petits ouvrages en fonction de la tectonique générale de cette partie du Sud de l'ile, c'est-à-dire, un fossé d'effondrement limité par des grandes fractures de direction Nord-Est, Sud-Ouest, accompagnées d'une série de répliques parallèles. Il semble d'ailleurs que l'ensemble des sources observées en octobre 970, donnant encore des débits appréciables pour la région ne doivent leur existence qu'à ces fractures qui drainent des bassins versants hydrogéologiques sans commune mesure avec les bassins versants apparents. Aussi, il conviendrait que ces ouvrages sans prétention pouvant donner 3 des débits maximum de 5 m /h soient implantés après une étude géologique du site.

36 P L A I N E D E S T.A.B.I A C C I 0 Le réseau hydrographique de Stabiaccio draine un bassin versant très important puisqu'il dépasse légèrement 50 km et reçoit des précipitations non négligeables comprises entre 600 et 800 mm (756 mm a la Chioppa, ä l'exutoire du bassin). Le géologie du bassin est relativement simple puisque entièrement constituée de granites dans lesquels sont individualisés quelques filons de roches basiques (lamprophyres). comportement particulier. Au point de 'vue hydrogéologique ces granites ont un En effet, dans notre région la décomposition des granites est très fréquente et entraîne parfois la destruction totale de la roche. Dans la majorité des cas,des feldspaths, constituants essentiels avec le quartz, des granites, sont altérés par hydrolyse et donnent une argile : le kaolin. Cette argile est entraînée par l'eau météorique et il se forme sur place un sable micacé qui constitue l'arène granitique bien connue. L'altération peut atteindre de grandes profondeurs aidée en cela par la circulation des eaux dans les diaclases qui débitent la roche en prismes

37 Dans la phase finale formation de boules empilées sur place. cette altération aboutit à la Cette altération et les éléments qu'elle produit expliquent de façon significative la présence dans la plaine alluviale du Stàbiccio d'éléments fins, micacés, plus ou moins argileux et donc des caractéristiques hydrodynamiques médiocres". Les études entreprises sur la basse vallée du Stabiaccio sont nombreuses. On peut en faire un rapide historique. Compagnie En J9-6J, deux campagnes de géophysique réalisées par la 'de Prospection Géophysique Française (G.P.G.F.) : - une campagne sur le delta du Stabiaccio - une campagne sur la vallée de Pantanaja sur le cours moyen du Stabiaccio. Les résultats de ces campagnes permirent de conclure que le secteur du delta du Stabiaccio serait une très intéressante zone à exploiter. Un profil du substratum-faisait apparaître un couloir d'écoulement relativement profond sous le lit actuel du fleuve et l'on préconisa à cette époque l'implantation du puits d'exploitation dans cette partie du cours. joint, annexe IV). En J963, on implanta le puits Q (cf. plan /0.000 En 964, les puits Q et 3 Q. Les analyses chimiques faites à ce moment révèlent des teneurs en Cl tout à fait acceptables de l'ordre de 40 ing/. Les débits d'exploitation étaient de 50 m /h.

38 Mais dès septembre 966, de nouvelles analyses chimiques montrent une progression des teneurs en Cl et signifient ainsi l'envahissement certain de la nappe par l'eau salée. Nous donnons un tableau récapitulatif des analyses faites à cette époque (en mg/ de chlorure). : Date Puits Q Q 3 Q J966 J J.04.J J ' J : 30 Dès la première alerte du mois d'avril 967, il a été décidé la mise en place de 6 piëzomètres afin de déterminer d'une part, l'évolution et la limite du biseau d'eau salée, et d'autre part, de reconnaître des zones d'exploitation favorable. Avril 967 Mai 967 piézomètre * 90 mg/ de chlorure ii Juin J H Octobre M H M H II

39 Les résultats des essais de perméabilité sur les sondages sont les suivants : - Sondage 6-0 K = 0 m/s 4-0 K = 0~ 3 m/s 5-0 pas d'essais 7-0 K = 6 0~ 4 m/s 8-0. K = J0~ 3 m/s K = 4 0~ m/s En février J968 on réalisa donc un nouveau puits d'exploitation ä 3 m du piêzomètre 8-0 = puits 0 - Q. Les essais de pompage réalisés sur ce puits donnent o un débit d'exploitation de l'ordre de 8 m /h. Depuis juillet 968, il est fait une analyse chimique systématique toutes les semaines sur les deux puits exploités ( Q.etlO Q) Or en novembre 968, on a relevé une teneur de 30 mg/ de chlorure sur le puits 0 Q et en août 50 mg/. Nous sommes donc arrivés ä un nouveau stade de l'évolution du biseau d'eau salée, évolution résumée sur la carte au /0.000 de la plaine de Stabiaccio (cf. annexe IV). Il est donc urgent de définir de nouvelles zones d'exploitation mais il ne faut pas que, sous prétexte de cette urgence, l'implantation se fasse sans clairvoyance. Pour répondre à une telle exigence nous avons défini une zone de prospection géophysique qui devait confirmer les études de surface. En effet, légèrement à l'amont de la confluence du Stabiaccio et du ruisseau de Bala, il existe en rive droite un éperon de granite

40 limité par deux venues verticales de microgranite; ces derniers ayant une structure et une dureté supérieures à celle du granite à biolite de la région La direction de cet ensemble est sensiblement N 30 E, et se poursuit en rive gauche. Il était donc permis de penser que cet éperon pouvait se poursuivre sous la nappe alluviale due ä l'effondrement général de la plaine actuelle. L'étude géophysique, par sondages électriques, a montré d'une part, un plongement général, du bed-rock de l'amont vers l'aval avec toutefois une légère remontée du socle au niveau de l'éperon reconnu en surface, et d'autre part, l'existence d'un sillon parallèle au lit du Stabiaccio actuel. Il est donc possible de considérer cette légère remontée du seuil comme constituant un écran-contre les remontées éventuelles du Biseau d'eau salée. Nous avons donc implanté un sondage de reconnaissance en amont de cette zone ( - 0). 0 0,90,70 3,60. 5,00 6,80 0,0,00,60 0,90,70 3,60 5,00 6,80 0,0,00,60 3,70 La coupe géologique rencontrée est la suivante : m m m m m m m m m Terre végétale, Limon et sable, Sable argileux noir, Sable fin argileux, Sable grossier rose - galets Sable argileux noir, Sable grossier - arène granitique, Arène fine, Granite rose sain.

41 - 4 - Au cours de l'avancement,des essais de perméabilité type LEFRANC ont été réalisés et ont donné les résultats suivants : - Entre 5,00 m et 5,50 m K =,7 0 m/s - Entre 5,50 m et 0,00 m K =,4 0 m/s L'essai de pompage final d'une durée de 3 heures, permet d'obtenir un coefficient de perméabilité K moyen de 0, 0 m/s. Une telle valeur moyenne n'est guère favorable. Toutefois il faut remarquer que la perméabilité des couches moyennes, (5,50tn à J0,00 m) constituées de sable gravier rose et galets, est relativement _3 bonne (,4 0 m/s). Il faudra veiller à ce que la construction du puits permette un isolement du filtre des premières couches (0-5 m) et prévoir des barbacanes extérieures-, ce qui diminuera les risques de venues de fines. La vallée moyenne du ruisseau de Bala a fait l'objet d'un sondage de reconnaissance en 967 (sondage 9-0 ). La coupe géologique et les coefficients de perméabilité sont les suivants : - 0,00 -,80 m : Terre végétale et gros galets, -,80-6,50 m : Gros galets et sable moyen à gravier,.- 6,50-8,70 m : Gros galets et sable roux fins, - 8,70-4,00 m : Galets moyens à gros sable g?is, - 4,00-7,00 m : Granite altéré.

42 - 4 - Perméabilité -,50-3,50 m : K= 3, 0~ 3 m/s - 7,00-8,00 m : 4 0~ 4 m/s - 9,00 - ]0,00 m :,3 0~ 4 m/s - 4,00-7,00 m : 3,3 lu" 6 m/s L'essai de pompage réalisé avait donné,pour un débit de 4,8 m /h,un rabattement. 0,50 et une perméabilité de 5,6 0 m/s (octobre J 967). Afin de mieux connaître cette plaine nous avons implanté un sondage (3-0) entre le sondage 9-0 et le sondage ,90 ~,0-3,05-6,95-3,00 - J4,30 Cet ouvrage a donné les résultats suivants: - 0,90 Terre végétale,,0 Limon et sable,.. 3,05 6,95 J3,0 J4,30 J4,65 Sable ocre et noir - argileux, Sable grossier - gravier et galets, Arène sableuse sans galets, Granite altéré, Granite sain.. Entre 4,80 et 5,30 m Entre 0 et m K = 0,45 0 m/s. K = 0,7 0~ m/s et l'essai de pompage à m /h pendant 3 heures donne un rabattement de 3,5 m de perméabilité de K = 0,7 0" 4 m/s.

43 Pour parfaire les connaissances sur le delta du.stabiaccio un sondage ( - 0) a été réalise au Sud du marais de Padula et a révélé la présence du granite sous 4 m d' alluvions. En conclusion (cf. planche au 3/ annexe V). relativement bien connue. Nous pouvons dire que la nappe du Stabiaccio est La partie aval, c'est-à-dire du puits 0 Q à la mer doit être abandonnée du point de vue recherche et l'exploitation de cet ouvrage doit être conduite avec une extrfme prudence--pour éviter les venues de sel. de zones : Dans la partie amont, nous avons défini un certain nombre - Zone. non favorable : correspondant au bed-rock affleurant ou sub-affleurant. - Zone peu favorable : parce que les perméabilités sont médiocres et ne permettant pas d'espérer des débits supérieurs ä 5 m /h. - Zone favorable : perméabilité sensiblement supérieure a celle du groupe précédent, permettant des débits d'exploitation compris entre 30 et 50 m 3 /h. - Zone très favorable : avec des perméabilités moyennes donnant des débits exploitables supérieurs à 70 m^/h. Remarque II existe en amont de la zone très favorable une graviere qui a extrait une quantité importante de matériaux ce qui entraine une. mise de la nappe à l'air libre. Ceci est contraire à toutes règles de sécurité en matière d'exploitation d'eau potable. Il semble que l'on puisse apporter un complément de 3 l'ordre de 00 m /h à la production actuelle en mettant en place -3 nouvelles stations.

44 P L A I N E DE L'OSO le delta du Fium'Oso. Sur la rive Nord du golfe de Porto Vecchio se trouve Le bassin versant drainé est ici aussi important, de l'ordre de 80 km. La géologie du bassin est relativement homogène puisque entièrement composée de granite (avec quelques variations de faciès). géophysique en J96J La basse vallée de l'oso a fait l'objet d'une campagne (CP.G.F.). Cette étude avait montré l'existence d'un remplissage alluvionnaire non négligeable pour la région. Une particularité intéressante pour l'exploitation future réside dans le fait que la géophysique indique deux lits anciens du fleuve vers le golfe de Saint Cyprien et le lit actuel qui débouche dans le "Golfo Di Sogno". Cette distribution divergente des lits est probablement due ä l'existence d'une remontée du socle entre ces deux golfes. On connait d'ailleurs des affleurements de granite dans la basse vallée, et ils constituent, le promontoir de Cala Rossa.

45 En décembre 963 quatre sondages (--3-4/0 - voir ann. IV) ont été réalisés dans la vallée d'un affluent de l'oso : le ruisseau de Caniggione. L'implantation de ces sondages s été faite en dehors de la zone prospectée par géophysique; ceux-ci ont montré la présence du bed-rock sous une épaisseur d T alluvions de 7 m (cf. carte schématique au / annexe IV). En octobre J963 également a été testé un puits rudimentaire (5 Q) profond de 4,36 et de m de diamètre. Ce puits malgré ses dimensions modestes a révélé les capacités étonnantes de la nappe. En effet un pompage de longue durée 3 aú débit de 46 m /h a permis de calculer la perméabilité moyenne dés - terrains. On obtient K = 0,8 0 m/s. Ceci est excellent. Ainsi pour un ouvrage de 4,36 niveau statique (octobre 63) ä,3 pour un rabattement 3 maximum de,50 m il est possible d'exploiter à 75 m /h (il faut remarquer 3 que ce puits est actuellement équipé de pompes de 5 m /h chacune). En mars 967 un forage de 450 mm était réalisé à 00 m ' à l'amont du puits précédent. Ce forage a rencontré les séries suivantes:. - 0,00 -,0 : Limon terreux,,0 4,30 : Alluvions grossières, - 4,30 7,00 : Gravier, galets, sable grossier, 7,00 3,50 : Sable moyen et argileux. Ce forage a été testé en septembre de la même année. Les coefficients de perméabilité obtenus sont plus faibles que sur le puits précédent puisqu'ils oscillent entre 4,4 et 9,3 0 m/s. Mais la courbe rabattement-débit montre un point d'inflexion très net pour les débits supérieurs à 90 m /h.

46 II est donc possible d'exploiter cet ouvrage à 75 m /h. L'exploitation actjuelle se fait au débit de 50 m /h. Devant l'accroissement des besoins nous avons élaboré une campagne de sondages (--3-4/0). Ces implantations ont été basées sur la campagne de géophysique de 96. Les résultats obtenus sont les suivants : _^_Q_ íi_eíye_de gui_exp_loite_les_alluyions - Coupe géologique -0,00 0,95-3,00 r 4,60 5,80 -,00 0,95 : 3,00 : 4,60 : 5,80 :,00 :,60 : Une terre végétale argilo-sableuse, Galets dans matrice argileuse,. Sable argileux, Arène argileuse compacte, Arène, Granite à biotite. Les essais LEFRANC réalisés -,80 5,80m K =, 0~ 5 m/s 8,00 Jl,70m K =,4 0~ 5 m/s L'essai de pompage final donne un coefficient de perméabilité moyenne : K = 0 m/s. Ce sont là des coefficients de perméabilité homogène sur l'ensemble de la coupe ce qui traduit la quasi imperméabilité des alluvions dans cette zone.

47 Sondage /_0_en_rive_gauçhe_de_^0so_à_450_m_à_l^Est_de_la_graviëre Coupe géologique - 0,00,0 ~ 3,50. ** 6,00-7,J0-8,50-8,50,0 3,50 6,00 7,0 8,50 J8,50 9,00 m : m : m : m : m : m : m : Terre végétale limoneuse, Terre limoneuse et galets, Galets, gravier et sable grossier, peu d'argile, Sable argileux, Gravier et sable sans argile, Sable roux argileux, Granite sain. Remarque Venues d'eau importantes entre 3,50 et 8,50. Essais LEFRANC Entre 6,50 et 7,00 m. J0,00 et ]J K = 4,3 0 5 m/s K = Í,6 J0~ 5 m/s L'essai de pompage final donne une perméabilité moyenne -3 de l'ordre de K = 0, 0 m/s. Il semble donc que l'on ait une zone favorable qui s'étend vers l'est à partir de la graviere. Sondage i3^_0_en_rive_gauçhe_a_environ_500_m_à_l^amont_du_sondage / 0 Coupe géologique 0,00-0,40 : Terre végétale, 0,40 5,50 : Alluvions grossières argileuses

48 ,,50-6,,50-9:,00 6,50 9,00 0,00 : Sable roux argileux, : Arène plus ou moins compacte argileuse : Granite altéré. Essais LEFRANC Entre 3,00 et 5,0 m. K = 3,J 0~ 5 m/s Entre,00 et J6,00 K =,8 0~ 5 m/s L'essai de pompage global donne un coefficient de perméabilité K = 0,7 0 m/s. rer que des Ce sont là des résultats peu favorables ne laissant espé- 3 débits d'exploitation inférieurs à 0 m /h. Sondage_j_4_7_0_en_rive_droite_de^l^Oso_à_500_m_à_llamont_de_la_gravière Coupe géologique 0,00-0,70-3,00 4,70-7,0 9,30-0,70 3,00 4,70 7,0 9,30 9,50 Terre végétale, Alluvions grossières Galets sans matrice argileuse, Arène granitique altérée, Granite altéré, Granite sain. Les essais LEFRANC ainsi que les essais de pompage n'ont pu être réalisés.en effet l'ensemble de ces formations est absolument imperméable i Conclusions La dernière campagne de sondages a quelque peu modifié l'optique que l'on pouvait se faire sur la nappe de l'oso. En effet du point de vue morphologie, cette plaine présente un aspect très favorable,

49 relativement large. Mais dans le détail, il est possible de mettre en évidence des niveaux de terrasses anciennes qui sont toujours colmatés. Seul le niveau actuel du fleuve, c'est-à-dire la surface de son lit majeur peut constituer une zone d'exploitation possible. Cette zone affecte sensiblement la forme d'un "Y" renversé. La branche Nord très étroite longe le cours actuel du fleuve à l'amont de la graviere. La branche Est, avec le sondage -0 doit se poursuivre vers le golfe de Saint Cyprien, alors que la branche Ouest avec les puits 0-0 et 5 Q s'engage vers le "Golfo di Sogno". Il est à remarquer que la graviere occupe la partie centrale de cette zone à priori très favorable. Il est de ce fait.dommage que l'on soit contraint dé limiter l'exploitation de cette zone. Nous avons mentionné sur la carte au /0.000 (annexe IV), la situation de différentes zones et les débits susceptibles d'être fournis Actuellement l'exploitation de cette zone se fait sur les seuls ouvrages 0-0 et 5 Q. Leur potei potentiel l'élève ä 50 m /h et il semble qu'il ne soit exploité qu'a 50 %.

50 DEUXIEME PARTIE LES COMMUNES D U CAP CORSE

51 - 5 - Cap Corse Echelle l/loo.ooo Afi.íí»»'-' Ci "'W#r/.... -%^l^ê$ *$7>3&rr) "... :- g^mâ. BASTÍA LEGENDE 3 Numéro de commune O Numéro de source ( par commune)

52 - 5 - Cap Corse Echelle j/too.000 < -;, ñ ^ V ' ^ ' ' i- '. ^ ^ w / -.*>- \--.-PeMcoiIiara )f *i,'.cape LEGENDE Numero de commune Numéro de source (par commune)

53 COMMUNE VILLE DI PIETRABUGNO - DONNEES GENERALES - Agglomérations Graitella (mairie), Alzetto, Case Vecchia, Astima, Quartie de l'annonciade, Toga. ~ Population ~ Besoins en eau (0 - Hiver :.0 w / 5,8 l/s / (O - Eté :.00 v ' /,5 /s / 3 - Morphologie () - Superficie de la commune # 7,4 km - Principaux cours d'eau : Fango, Toga, Figarcmpula, Guaorobaggio, - Principales sources : (voir annexe II) Casavecchia (0,3 /s), Luro (0,5 /s) BudLermocola (0,3 /s), Burselli (0,05 /s), Pinacioletta (0,5 /s). - Altitude maximale= 87 m - Pente moyenne des versants : 0-40 % - Pente moyenne des cours d'eau : 5-0 % - Végétation : maquis arbustif dense, clairsemé en altitude et dans.. les zones ravagées par les incendies. () - Cf. déclarations de la mairie.

54 J4 - Geologie - Substratum : schistes amphibolitiques (85 %), calcaires (5 %), - Altération : masquée en pied de colline et sur les flancs boisés, - Alluvions : d'étendue et d'importance négligeable. 5 - Pluviométrie De 750 à 500 mm/an selon P. - RESSOURCES EN EAU ~ Sources (voir annexe II) Toutes les s'ources'sont captées, elles fournissent un débit global d'environ /s. - Pinacioletta, Burselli, Bucliermocola et Luro alimentent Astima, Guaitella et Alzetto, - Casayecchia alimente Case Vecchia --^ ~ Cours d'eau De type torrentiels, sont temporaires 3 - Alluvions Insignifiantes 4 - Autres ressources de Bastia (5-6 /s). L'Annonciade et Toja sont alimentés par le réseau urbain () - Cf P. SIMI : Le climat de la Corse, Bull. Sect. Géogr. tome LXXVI, Paris 963.

55 ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE - Etudes : néant - Travaux : Projet : refoulement à partir de réseau de Bastia dans un château d'eau situé ä la cote 390, et alimentation gravitaire.

56 COMMUNE DE SAN MARTINO DI LOTA - DONNEES GENERALES - Agglomérations Pietranera (mairie), Griscione, Lecciola, Castagneto, Mucchiete, Oratoggio, Acqualto, Canalo, Mola, Aneto. - Population - Besoins en eau,0) -Hiver :.80CT J / 8,5 /s / - Eté :? 3 - Morphologie - Superficie de la commune # 9, km - Principaux cours d'eau : Guaorobaggio, Griscione, Miomo (limite) - Principales sources (voir annexe II) : Canastana (0,7 /s), Finochiaja (0,35 /s), source de Catarelle ( /s). - Altitude maximale: 38 m - Pente moyenne des versants : % - Pente moyenne des cours d'eau : 5-5 % - Végétation : maquis arbustif et forêt jusqu'à m, clairsemé au delà et dans les zones ravagées par les incendies. () - Déclaration, de la mairie.

57 Géologie - Substratum : schistes amphibolitiques et serpentines (73 %), calcaires 7 % - Altération : masquée au pied de colline et sur les flancs boisés, - Alluvions :. localisation : vallée du Miomo principalement,. géométrie : environ km de longueur, m de largeur et de 7 m d'épaisseur au puits de Miomo,. nature : sables et graviers ä blocs, plus ou moins argileux..j5 - Pluviométrie De 750 ä J.500' mm/an selon P - RESSOURCES EN EAU - Sources (voir annexe II) global de 3 /s environ. - Finochiaja alimente Mola, Toutes les sources sont captées et fournissent un débit - Les sources de Catarelle alimentent tous les autres hameaux sauf ceux du littoral. - Canastana : source, alimentant anciennement Piétranera. - Cours d'eau De type torrentiel : - le Fornelli, affluent du Griscione, capté vers la cote 800 m en amont des sources de Catarelle fournit -3 /s, - le Cricione, capté vers la cote 300 fournit,5 /s, - le Miomo (voir fi- c he San ta Maria di Lota) () - Cf. P. SIMI : Le climat de la Corse. Bull. Sect. Géogr. tome LXXVI, Paris 963.

58 Alluvions Les alluvions du Miomo sont exploites par un puits (voir fiche Santa Maria di Lota). 4 - Autres ressources Piétranera et Griscione (.000 habitants environ) sont alimentés par le réseau de Bastía. 3 - ETUDES ET TRAVAUX A ENTREPRENDRE - Etudes :. Hydrograirane du Griscione en points au moins,. Reconnaissance de la vallée du Griscione et levé géologique des alluvions. - Travaux : Selon les résultats des études, pose de drains en travers de la vallée en différents points et collecte des eaux.

59 COMMUNE DE.SANTA MARIA.. DI. LOTA 3 - DONNEES GENERALES 3 - Agglomerations Miomo (Mairie), Mandriale, Partine, Piane, Figarella. 3 - Population - Besoins en eau - Hiver : 640 () / 3,5 /s / (J) -Eté :.00 (J) 7 6 /s / Morphologie - Superficie de la commune #,6 km - Principaux cours d'eau : le Poggiolo (Miomo) et ses affluents : le Cavaligna et le Mandriale. - Principales sources :(voir annexe II) Figarella (0,5 /s), Baledo. ( /s), Partine (?), Mandriale (0,5 /s), Fresca (,5 /s), Alzeto ( /s), les Trois Fontaines (4 /s). - Altitude maximale:.38 m -.Pente moyenne des versants : 0-50 % - Pente moyenne des cours d'eau : 5-5 % - Végétation : maquis -arbustif et forêt, clairsemé en altitude () - Cf. déclaration de la mairie.

60 - 60-3J4 - Géologie - Substrattim : schistes amphibolitiques et serpentines (00 %) - Altération : marquée en pied de colline et sur les flancs boisé - Alluvions :. localisation : cours inférieur du Poggiolo (Miomo). géométrie : environ km de longueur, m de largeur et 7 m d'épaisseur au puits de Miomo.. nature : sable^et graviers à blocs,plus ou moins argileux Pluviométrie De 750 à.500 mm/an selon P 3 - RESSOURCES EN EAU. ' 3 - Sources (voir annexe II). Les sources captées fournissent un débit voisin de 4 /s Les sources non captées (les 3 Fontaines et Balédo), un débit de 6 /s 3 - Cours d'eau Captage de 3 /s en amont de Fresca 33 - Alluvions de Poggiolo (Miomo) Exploitées par le puits de Miomo (6-7 /s). Perméabi- _ lité mesurée (- 0 m/s) Ressources du bassin versant de Poggiolo (Miomo) (voir annexe I) - Superficie du bassin versant ^ 4,6 km Les ressources estimées varient entre 37 et 60 /s avec une moyenne probable de 70 ä 80 /s () - P. SIMI : Le climat de la Corse, Bull. Sect. Géogr. tome LXXVI.963

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