2. Caractérisation expérimentale : la radiocristallographie
|
|
- Eric Ghislain Bourgeois
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 . aractérisation expérimentale : la radiocristallographie Un composé cristallisé peut être caractérisé à l'aide de la diffraction des rayons X. Lorsqu'un faisceau monochromatique de rayons X, de longueur d'onde λ tombe, sous une incidence θ variable, sur une famille de plans atomiques, parallèles et équidistants, d'un cristal, il subit une diffraction dans tout l'espace. Lorsqu'il y a diffraction, la loi de ragg est satisfaite : θ O θ d hkl H θ θ O K d hkl Les cristaux diffractent les rayons X de longueurs d ondes autour de 1Å car c est l ordre de grandeur des distances entre atomes dans les solides.. Ribaud, L 133EN001 himie de l état solide - hapitre -hapitre 3 (partie 1) Exemples de diffractomètres 1
2 Dans la relation de ragg, d hkl réticulaire. caractérise la distance La distance réticulaire se relie aux paramètres de maille et on peut démontrer dans le système cubique la relation suivante : Spectre de diffraction RX d un composé cristallisé Spectre de diffraction RX d un composé amorphe (verre) La radiocristallographie des rayons X permet de déterminer les structures cristallines cad obtenir très précisément les positions des atomes dans le cristal par interprétation du diagramme de diffraction. On pourra ainsi montrer que les propriétés d un solide dépend de sa structure.
3 3. ristallochimie : Les solides sont classés en 4 types suivant les liaisons onsidérons quelques propriétés physiques de trois corps simples (Na, Si, l ) de la troisième ligne du tableau périodique ainsi que celles de Nal. Na Si l Nal T fusion ( ) T ébullition ( ) Masse volumique (g/cm 3 ) Propriété électrique de conduction conducteur Semi - conducteur isolant isolant métal non-métal es propriétés physiques traduisent des arrangements différents des entités élémentaires dans les solides correspondants Les cristaux peuvent être classé d'après la nature de la liaison chimique assurant la cohésion des atomes, ions ou molécules des cristaux en 4 types: cristaux métalliques (liaison métallique) : cristaux ioniques (liaison ionique) : cristaux covalents (liaison covalente) : cristaux moléculaires (liaisons hydrogène et de van der Waals) : es quatre catégories correspondent à des propriétés spécifiques. ependant, il existe des solides mixtes comme le graphite (liaisons covalentes et de van der Waals). ette différence dans les liaisons se reflète dans la forte anisotropie de ses propriétés. 3
4 3.1 Structure des cristaux métalliques ou des métaux L étude des structures des métaux est divisée en deux parties en fonction de leur compacité (La compacité d'une structure est un nombre sans dimension qui mesure le taux d'occupation réel de l'espace par les atomes ou ions assimilés à des sphères). Les métaux compacts : les empilements compacts Les métaux non-compacts 3.1.a. Les empilements compacts : empilement de sphères dures de rayon R auxquelles sont assimilés les atomes métalliques 3.1.a.1. association de couches compactes On va chercher à placer des sphères (chacune représentant un atome métallique) de façon à ce que le volume perdu soit le plus faible possible (il s'agit du volume situé entre les sphères). De cette façon, on obtiendra des structures compactes. construction d un plan compact couche 4
5 5 Plan compact et interstices types d interstices et en quantités égales ddition d une seconde couche compacte pour édifier une structure compacte tridimensionnelle couches +
6 Deux assemblages compacts Trois couches Empilement hexagonal compact (h.c.) Empilement ubique Faces entrées (c.f.c.) ompacité : coordinence et compacité La coordinence est le nombre de plus proches voisins d'une sphère quelconque, ces voisins étant tangents à la sphère envisagée. Dans une structure compacte, chaque sphère est en contact avec six sphères du plan, trois appartenant au plan situé dessous et les trois autres appartenant au plan situé dessus. La coordinence est égale à 1 dans une structure compacte. Toutes ces sphères sont, entre elles, à la distance d=r. La compacité d'une structure est un nombre sans dimension qui mesure le taux d'occupation réel de l'espace par les atomes ou ions assimilés à des sphères. 'est un nombre inférieur à 1. La compacité est d'autant plus grande que la place perdue est faible et pour une structure compacte =
7 3.1.3 Les sites ou lacunes cristallographiques Tout réseau cristallin, constitué de sphères identiques de rayon R, comporte nécessairement, puisque sa compacité est inférieure à 1, des portions d'espace non occupées qui portent le nom de sites cristallographiques ; leur occupation par des espèces de nature différente permet d'évoluer vers d'autres compositions chimiques. Dans les structures compactes ou semi-compactes, on peut définir : des sites : cavités situées au centre d'un tétraèdre régulier défini par 4 atomes en contact des sites : cavités situées au centre d'un octaèdre régulier défini par 6 atomes. des sites : le polyèdre de coordination est un cube On rencontrera seulement les deux premiers types de sites dans les empilements compacts Sites cristallographiques Site tétraédrique Tétraèdre : polyèdre régulier 4 sommets 4 faces (triangles équilatéraux) Dimension d un site tétraédrique z d d T y D x a Recherche du rayon maximal r de la sphère à insérer dans le site formé par 4 atomes de rayon R : calcul de d et on devra avoir R + r d (distance entre le centre du polyèdre et l un des sommets les plus proches d d = a = R et a = d d' = a = d = R = R 3 R + r d' donc R + r R T d a D 7
8 Sites cristallographiques Site octaédrique Octaèdre : polyèdre régulier 6 sommets 8 faces (triangles équilatéraux) Dimension d un site octaédrique z E d=a d O x a D y F Recherche du rayon maximal r de la sphère à insérer dans le site formé par 4 atomes de rayon R d O a =d y D x d' + d' = d d' = d = a = R R + r d' R + r R Sites cristallographiques ertains métaux adoptent une structure légèrement moins compacte de type cubique simple P où l on trouvera des sites cubiques. Site cubique Dimension d un site cubique z d z d F E R F x a=d d y E D x a=d d G y D d d r G d Les sphères de rayons R et r peuvent au moins être tangentes selon la grande diagonale du cube d' = a = d = R = R 3 et R + r R 3 Les sites les plus volumineux sont les sites cubiques puis les sites octaédriques et tétraédriques. 8
9 Sites cristallographiques - ilan Domaine d existence des sites interstitiels dans les corps simples oordinence Site r / R ubique Pref. 6 Octaédrique Pref. 4 Tétraédrique Pref. * zone grisée = valeurs interdites du rapport r/r la diminution du rayon r (et donc du rapport r/r à partir de 1) rend la condition d'occupation du site interstitiel plus restrictive : le site est le premier à pouvoir être occupé, l'occupation d'un site O et, enfin T, n'intervenant que pour des rapports r/ R plus faibles. Si, pour un rapport r/r donné, plusieurs types de sites sont possibles, l'atome introduit en position interstitielle occupera préférentiellement celui qui a la coordinence la plus faible Description de l assemblage hexagonal compact 1/ vue en perspective vue en projection selon c empilement Maille hexagonale : prisme droit à base losange de côté a =R a = b c α = β = 90 γ = Mode de réseau : oordonnées motifs par maille ompacité Paramètres : a=r ( ) 3 3 Volume : V = a b c = a b sin10 c = a = a 3 8 c 8 c = R = 3 a 3 9
10 L empilement hexagonal compact a D + D = D + = a 4 3 D = a or G = D 4 3 donc G = a 3 c = a c H = a et HG = or G + GH = H 8 3 a c c 8 + = a = a 3 + G D H G : barycentre d un triangle équilatéral G HG : hauteur d un tétraèdre = =.= H = a : coté de tétraèdre Le polyèdre de l empilement hexagonal compact (h.c.) 10
11 maille h.c. : les sites Sites octaédriques 1/4, 3/4 oordonnées des sites r =0.414 R maille h.c. : les sites 4 Sites tétraédriques 3/8, 5/8 1/8, 7/8 coordonnées des sites r =0.5 R 11
12 3.1.5 Description de l assemblage cubique faces centrées (c.f.c.) Vue en projection Vue selon [111] Vue en perspective d une maille L empilement cubique faces centrées (c.f.c.) 1/ 1/ 1/ Empilement : Maille : Mode de réseau : oordonnées : motifs par maille oordinence : ompacité : Paramètres : 1/ 1
13 La maille cubique faces centrées (c.f.c.) Vue en perspective Projection perpendiculaire aux plans d empilement maille c.f.c. : les sites 4 Sites octaédriques u milieu de chaque arête + au centre 1/ 1/ oordonnées des sites: 1/ 1/ 1/ r R 1 13
14 maille c.f.c. : les sites 8 Sites tétraédriques 1/4, 3/4 1/4, 3/4 1/4, 3/4 1/4, 3/4 oordonnées des sites 1/4 1/4 1/4 3/4 3/4 3/4 3/4 3/4 1/4 1/4 3/4 3/4 3/4 1/4 3/4 3/4 1/4 1/4 r 3 1 R 1/4 3/4 1/4 1/4 1/4 3/4 aractéristiques communes aux empilements ompacité: τ = 0, 74 coordinence=[1] N atomes par maille N lacunes tétraédriques par maille N lacunes octaédriques par maille 14
15 3.1.b. Les solides métalliques non compacts Les structures de ces solides sont décrites à partir de la maille. La disposition des atomes dans ces mailles génère des interstices de symétrie différente de ceux rencontrés dans les structures solides compacts. On se limitera à la description de deux structures cubiques respectivement simple et centrée. 3.1.b.1 Description de la maille cubique simple non compacte Maille Mode de réseau 1 motif par maille oordinence ompacité : Sites ou interstice cubique en 1/ 1/ 1/ 3.1.b. Description de la maille cubique centrée non compacte 1/ oordonnées: Maille Mode de réseau motifs par maille Les atomes sont tangents selon la grande diagonale oordinence ompacité : Sites ½ ½ ½ 4R = a 3 15
16 La maille cubique centrée 6 Sites octaédriques soit au centre d une face soit au milieu d une arête oordonnées des sites 1/ 1/ 0 1/ 0 1/ 0 1/ 1/ 1/ / / La maille cubique centrée Sites octaédriques Octaèdre déformé : distances courtes 4 distances longues 16
17 La maille cubique centrée 1 Sites tétraédriques oordonnées des sites 1/ 0 1/4 1/4 1/ 0 0 1/4 1/ 1/4 0 1/ 1/ 1/ / 1/4 1/ 0 3/4 3/4 1/ 0 0 3/4 1/ 3/4 0 1/ 1/ 3/ / 3/4 4 tétraèdres non réguliers par face 3.1.c. Structures adoptées par les métaux (atomes électropositifs) et type de liaison Presque tous les métaux solides cristallisent dans l une des 3 structures h.c., c.f.c. ou c.c. ertains peuvent adoptés plusieurs structures cristallines différentes (on parle de formes allotropiques). ubique I: métaux alcalins métaux de transition: r b, Fe a, Mo... autres: a, Eu ubique F: alcalino-terreux intermédiaires: a a, Sr métaux de fin de série de transition: Ni, Rh, Pd, g autres: l, Pb, e b Hexagonal compact: premiers alcalino-terreux: e, Mg, a b éléments de transition des colonnes 3: Y, 4: Ti a et Zr a,, 7: Tc et Re, 8: Ru et Os et 1: Zn et d 17
18 - Le type de liaison dans les cristaux métalliques Dans les métaux solides, les électrons de valence assurent les liaisons entre atomes. Ils sont délocalisés et assez faiblement liés aux noyaux. Ils ne sont pas confinés dans des régions entre atomes adjacents. On peut considérer le métal comme un empilement d ions positifs entourés par un nuage d électrons. es électrons libres expliquent par exemple les propriétés de conductivité thermique et électrique des métaux. 3.1.d. Solutions solides métalliques et composés définis Les métaux sont rarement utilisés à l état pur mais sous forme d alliages qui sont des matériaux obtenus à partir d un métal et d additions métalliques ou non. Ils peuvent être mono ou polyphasés. Une phase est une partie d un matériau qui possède une composition et une structure propres. On distingue à l état solide deux types de phases : les solutions solides et les composés définis. Exemple d alliages : laiton (u/zn) ; bronze (u/sn) 3.1.d.1 Notion de solution solide Les assemblages compacts existent également pour des composés constitués d'éléments voisins comme certains alliages métalliques. Dans un métal pur on peut ajouter des atomes étrangers sans modifier la structure cristalline du métal de base : l'élément entre en solution dans, il forme la solution solide. Il existe deux types de solution solide :
19 - solution solide de substitution Phase homogène métallique dans laquelle les positions atomiques sont occupées par les atomes des éléments métalliques présents. Les atomes étrangers occupent une fraction des sites atomiques à la place des atomes de base ; la structure cristalline n'est pas modifiée. l état pur, les métaux possèdent la même structure cristalline. La solution solide de substitution est constituée uniquement d éléments métalliques de taille et de propriétés voisines. exemple : u et u sont complètement miscibles, de même pour g et u. On peut rencontrer pour des proportions particulières des phases ordonnées (cas de uu, uu 3 ). u ou u Solution solide désordonnée uu à haute T u u Solution solide ordonnée type uu à basse T u u Solution solide ordonnée type uu 3 - solution solide d'insertion Phase homogène à caractère métallique dans laquelle les atomes d un élément non métallique de petite taille occupent des sites interstitiels des structures compactes. La solution solide d insertion sera constituée d un élément métallique et d un des éléments non métalliques les plus petits : H,0.37Å,, 0.77Å,, 0.81Å, O,0.74Å, N, 0.74Å. Il faut remarquer que ces atomes ont toujours une taille supérieure à celle des sites possibles; ils entreront dans les sites où ils produiront la plus faible déformation élastique du réseau-hôte. exemple : - carbure de tungstène, W (alliage très résistant utilisé pour les outils de coupe en mécanique). Les atomes de carbone se disposent dans les sites octaédriques du réseau-hôte de type c.f.c. 19
20 utre exemple de solution solide d insertion - Pd, réseau F (4R =a ) a=3.54å R=1.5Å avec insertion d'hydrogène : r =0.37Å dimension du site octaédrique : r/r<0.414 soit r<0.414x1.5 r<0.5å dimension du site tétraédrique : r/r <0.5 soit r<0.5x1.5 r<0.8å donc l'hydrogène va dans les sites octaédriques préférentiellement 3.1.d. Notion de composé défini Les composés définis ne sont stables que dans un étroit domaine de composition correspondant à une stoéchiométrie m n. Ils ont en général une structure cristalline différente de et. exemple : u 3 l, ul, Ti, Nb, Fe 3 ul 0
21 1
Molécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailLA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE
LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailIntroduction au maillage pour le calcul scientifique
Introduction au maillage pour le calcul scientifique CEA DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel franck.ledoux@cea.fr Présentation adaptée du tutorial de Steve Owen, Sandia National Laboratories, Albuquerque,
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailCOMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?
Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailMETHODES D ANALYSE DES COMPOSES AMORPHES
Elisabeth Adam Pascal Bouffandeau Alexandre Darraspen Romuald Fix Sébastien Jouve Olivier Welker METHO D ANALYSE COMPOSES AMORPHES Sommaire 1. DÉFINITION DE L ÉTAT AMORPHE... 3 1.1. CLASSIFICATION MATÉRIAUX...
Plus en détailSi deux droites sont parallèles à une même troisième. alors les deux droites sont parallèles entre elles. alors
N I) Pour démontrer que deux droites (ou segments) sont parallèles (d) // (d ) (d) // (d ) deux droites sont parallèles à une même troisième les deux droites sont parallèles entre elles (d) // (d) deux
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailMEMOIRE Présenté pour l obtention du diplôme de MAGISTER EN : PHYSIQUE Spécialité : Matériaux & Composants
N d ordre : 41/2010-M/PH République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENE
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLes droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites
I Droites perpendiculaires Lorsque deux droites se coupent, on dit qu elles sont sécantes Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites Lorsque deux
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailDeux disques dans un carré
Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailSTÉRÉOISOMÉRIE CONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE COMPOSÉS OPTIQUEMENT ACTIFS À UN SEUL CARBONE ASYMÉTRIQUE
Pr atem BEN ROMDANE Structures des Molécules Organiques Stéréoisomérie optique Faculté des Sciences de Tunis et Stéréochimie composés à * STÉRÉOISOMÉRIE ONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE OMPOSÉS
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détailNotes de cours Sciences des matériaux MSM14
ECOLE NORMALE SUPÉRIEURE DE CACHAN UNIVERSITÉ PIERRE ET MARIE CURIE MASTER SCIENCES DE L INGÉNIEUR Notes de cours Sciences des matériaux MSM14 Olivier HUBERT Professeur des Universités Ecole Normale supérieure
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailLa géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques
La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailGroupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie
Groupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie Conférence du 19 mai 2006 rue Jean Goujon, 19h certitudes et incertitudes sur la fusion nucléaire - rôle d ITER
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailParis et New-York sont-ils les sommets d'un carré?
page 95 Paris et New-York sont-ils les sommets d'un carré? par othi Mok (3 ), Michel Vongsavanh (3 ), Eric hin (3 ), iek-hor Lim ( ), Eric kbaraly ( ), élèves et anciens élèves du ollège Victor Hugo (2
Plus en détailLes liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans l infrarouge à 3µ G. Bosschieter, J. Errera To cite this version: G. Bosschieter, J. Errera. Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailUne plongée vers l invisible
Charlie Leprince Yohann Roiron Damien Toussaint Lycée Pothier Orléans Une plongée vers l invisible Comment voir la structure de la matière SOMMAIRE REMERCIEMENTS....... LA PROBLÉMATIQUE LA DÉMARCHE SCIENTIFIQUE
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détail