Contraintes en agriculture : que font les agriculteurs?

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1 Contraintes en agriculture : que font les agriculteurs? 1 Introduction Marie Mormont, psychologue Agricall Preventagri est un projet financé par le Fond Social Européen et SPF Emploi, Travail et Concertation Sociale jusque juin Suite au Congrès interprovincial sur la santé et la sécurité du 13 décembre 2000 (Santé et Agriculture, Morlanwelz), la centrale de l Université de Liège a reçu plusieurs appels d agriculteurs en détresse. Mais, il n existait aucune structure capable de répondre à leur demande d aide. Le service de Psychologie du Travail s est activé pour mettre sur pied le projet Preventagri dans lequel se trouve la cellule d aide aux agriculteurs en difficultés : Agricall. Afin de prendre le relai en juin 2006 l asbl «Agricall Wallonie» a déjà été constituée avec le soutien du Ministère de l Agriculture. On ne peut pas arrêter de travailler avec les agriculteurs quand on reçoit 700 appels par an! Pour rappel, Agricall est une cellule d aide aux agriculteurs en difficulté qui peut mettre à disposition gratuitement un psychologue pour 5 séances. La permanence peut aussi faire des recherches de renseignements comme un comptable, un avocat Aujourd hui, je vais vous présenter les résultats de l étude sur le stress en agriculture réalisée en 2001 par l Université de Liège au sein du projet Preventagri et ensuite, je me pencherai avec vous sur les conditions de travail en agriculture : le type de tâches, la charge de travail et les nouvelles compétences. L étude stress D abord, nous nous sommes interrogés sur le niveau de stress des agriculteurs. Sont-ils stressés ou pas? Qu y a-t-il derrière l image bucolique de l homme (ou la femme) travaillant en contact étroit avec la nature, au grand air? Pour connaître ce niveau de stress, nous avons envoyé 3000 questionnaires en Wallonie et en Flandres. Nous avons reçu 1000 réponses que nous avons comparées à celles des agents de la fonction publique, des enseignants, des policiers et des employés de banque professions considérées comme stressantes au sein de secteurs en restructuration). Il se trouve que 31% des agriculteurs et des agricultrices wallons ont un niveau de stress élevé, c est-à-dire supérieur

2 à la moyenne des professions dont je viens de parler. En Wallonie, 29,9 % des agriculteurs(trices) ont un niveau d épuisement professionnel élevé. En ce qui concerne les sources de stress, on trouve par ordre d importance : l administratif, le financier et en dernier, le relationnel. En ce qui concerne le travail proprement dit, plusieurs choses peuvent être source de stress. Je dis bien «peuvent» car chacun a sa propre perception de ce qu il vit et ce qui en stress un ne stressera pas l autre. Nous avons décortiqué le travail en agriculture et voici ce qui en est sorti : c est impressionnant! 2 Conditions de travail 2.1 Tâches saisonnières, tâches journalières Dans une exploitation agricole, les tâches de production, de surveillance et les tâches annexes comme les papiers et l entretien des installations se cumulent. Les tâches de production varient en fonction du cycle végétal et animal. Certaines tâches agricoles peuvent s étaler tout au long de l année comme les vêlages dans le secteur laitier, d autres reviennent à certaines périodes de l année (épandage, semis, moissons,...). D autres tâches, principalement liées au cycle animal, sont quotidiennes et la répétitivité peut être ressentie comme contraignante. Certains peuvent aussi trouver le train-train rassurant, parce qu on sait le prévoir. 2.2 Charge administrative Avec les nouvelles réglementations, bien gérer ses papiers est devenu indispensable pour que l exploitation tourne bien. Pour gérer ses papiers, l agriculteur doit régulièrement s informer dans la presse agricole et non-agricole, se former (souvent par l intermédiaire des sections syndicales locales) et faire appel à différents experts (Banque, VT, administrations, bureau comptable, avocats,...) Normes et contrôles Les contrôles sont constants, nombreux et à divers niveaux : on peut contrôler la production (lait) mais aussi contrôler l autocontrôle : remplissage des cahiers de charge. Il est important,

3 d une part, qu en amont des contrôles, la personne ait pu avoir accès à toutes les informations nécessaires. Et d autre part, les exigences doivent rester réalistes par rapport au terrain. Une des difficultés pour le secteur agricole est sans conteste d absorber les nombreux changements de normes, un exercice d autant plus difficile que l agriculteur se retrouve bien souvent seul dans son entreprise et qu il ne peut compter sur un «responsable qualité» comme peuvent de le permettre les entreprises privées. L accroissement des contrôles et de la charge administrative n est pas un phénomène propre à la Belgique, il est largement répandu dans les pays européens mais peu de recherches ont été menées spécifiquement sur ce thème, même s il semble avoir un impact sur le bien-être des agriculteurs. En Angleterre, 3 des 7 choses ressenties comme les plus stressantes concernent les réglementations gouvernementales et ses aspects bureaucratiques. En Belgique, la recherche d Evereat (1999) montre que les agricultrices flamandes citent la surcharge administrative comme cause de stress élevé (3ème place) plus volontiers que leurs collègues wallonnes (8ème place). Benoît Wyzen vous parlera tout à l heure de la gestion des papiers. 2.3 La surcharge de travail : La surcharge de travail comprend plusieurs aspects : le nombre d heures de travail, le manque de possibilité de congés, trop de tâches diverses à faire en trop peu de temps. Elle peut se composer d une surcharge physique et/ou mentale. Les agriculteurs ont de longues journées : près de la moitié des agriculteurs wallons (46,7 %) déclarent travailler plus de 10 heures par jour, près d un tiers (30,6 %) de huit à dix heures par jour17. Ainsi, Walker and Walker (1987b) faisant une comparaison entre les directeurs niveau senior et les agriculteurs montrent que 89 % des agriculteurs rapportent la charge de travail comme source significative de stress contre seulement 51 % pour les directeurs. Au niveau belge, la surcharge de travail est identifiée comme cause de stress par 25 % des agricultrices flamandes et 20 % des agricultrices wallonnes. Mme Halleux nous parlera tout à l heure des services de remplacement qui peuvent être bien utiles dans certaines situations et notamment lorsque la surcharge de travail est importante. 2.4 Le métier d agriculteur exige constamment de nouvelles compétences Depuis près d un demi-siècle, le métier d agriculteur a profondément évolué. A la mécanisation et l utilisation d engrais chimiques des débuts, s est ajouté, plus récemment, l introduction des nouvelles technologies (logiciels de gestion, de vêlages,...) et du génie génétique (insémination

4 artificielle, transfert d embryons,...). Au niveau de la gestion, de nouveaux paramètres ont fait leur apparition : contexte de concurrence accrue, mondialisation des marchés, réglementations diverses. Le travail agricole réclame des compétences intellectuelles diverses et multiples. Il faut être capable de réfléchir en prenant en compte tous les éléments de la situation nécessaires pour trouver la meilleure manière d agir. Constamment, l agriculteur (l agricultrice) doit prendre des décisions à court, moyen et long terme. Les activités journalières et/ou liées à un travail précis demandent une prise de décision à court terme : opérations de la traite, conduite d un engin, production de produits dérivés, remplissage de documents administratifs, etc. L activité cognitive à moyen terme concerne la gestion du vivant : observer l évolution des veaux, des cultures, choisir le meilleur moment pour faucher etc. La réflexion à long terme est nécessaire pour maîtriser l évolution constante et souvent brutale du marché et des réglementations : s informer sur les fluctuations du marché, choisir ou non d investir dans certains type de productions, décider d acheter du matériel, anticiper les nouvelles réglementations et nouvelles normes de qualité, etc. Les prises de décision sont parfois difficiles quand les exigences sont contradictoires. Par exemple, un agriculteur qui décide d arracher des pommes de terre : arracher tout de suite pour avoir une chance de vendre car le marché s effondre, ou attendre pour avoir une meilleure qualité de produit et prendre ainsi un risque financier, ou ne pas attendre car les conditions météo sont mauvaises et ce malgré la chute des prix,... L incertitude liée aussi bien aux conditions climatiques, qu au marché mondial ou aux réglementations, rend la prise de décisions à long terme complexe. Lors du congrès de Morlanwez (2000), les agriculteurs et agricultrices avaient identifié comme facteur de stress : la nécessité de prise de risques financiers et l obligation de contracter des investissements à long terme dans un marché qui ne permet que des perspectives à court terme Diversification Pour diversifier ses activités, l acquisition de nouvelles compétences techniques est nécessaire. Là, guère de problèmes pour l agriculteur, il connaît toujours bien quelqu un qui peut lui montrer comment faire du fromage, du beurre à la baratte, de la glace ou il ira visiter un élevage de porcs ou de poulets ou encore il ira suivre des formations spécifiques.

5 Ce qui n est pas forcément pris en compte dans la création d une diversification, ce sont les compétences nécessaires pour gérer toutes les activités, anciennes et nouvelles. Les psychologues du travail parlent de compétences transversales, c est-à-dire, qui peuvent être appliquées dans toutes sortes d activités. Par exemple, la capacité de planifier ses activités est utile aussi bien pour préparer un dîner que pour organiser sa journée de travail. Dans les cas de diversification, nous observons que ces compétences en planification se développent au fur et à mesure des erreurs commises, des difficultés rencontrées. C est une manière d apprendre qui prend beaucoup de temps et qui peut coûter de l argent si les erreurs sont importantes. Cela peut poser rapidement problème en terme de surcharge de travail, surcharge de rôle (trop de choses différentes à faire en trop peu de temps), gestion temporelle ou simplement gestion financière, répartition des tâches, risque d erreur, et tous ces éléments vont favoriser le stress et la perte financière. C est pourquoi il est important de s entourer d experts et de parler avec eux de ses projets de diversification pour bien mesurer tous les paramètres et les changements que cela va impliquer. Surtout, continuer de dialoguer avec votre ingénieur agronome, votre comptable M. Jean-Christophe Moreau, de Toulouse vous fera parlera des réflexions qui sont menées par le groupe de travail de l Institut de l élevage à Toulouse. Pour conclure, je voudrais souligner la complexité et par là-même la richesse du travail d agriculteur. S il fallait retenir trois mots de cet exposé, je dirais que l agriculteur d aujourd hui doit en permanence : s INFORMER, se FORMER et s ENTOURER! Contact : Melle Marie Mormont Tél : 04/ Mail : Marie.Mormont@ulg.ac.be AGRICALL

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