Lois de Mendel Mono et dihybridisme
|
|
- Rémi Beaudry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lois de Mendel Mono et dihybridisme Gènes indépendants Caractéres Dominants et Récessif 1ère loi de Mendel : les membres d une même paire de gènes ségrègent de manière égale lors de la formation des gamètes a Proportion F2 : ¾ ¼ 2ème loi de Mendel : deux caractères présents sur des paires de gènes ségrégent indépendamment a Proportions F2 : 9 : 3 : 3 : 1
2 Nombre de couple d allèle Poly Hybridisme nombre de classe phénotypiques nombre de classes génotypique n 2 n 3 n s
3 Analyse Mendélienne: modifications des proportions pour des gènes indépendants (1) Série allélique et alléles multiples * groupes sanguins Les groupes sanguins il existe plus de 2 allèles du même gène il y en a 3 : I A, I B et i I A et I B sont codominants Génotypes I A I A I A I B I A i I B I B I B i phénotypes A AB A B B ii 0
4 Analyse Mendélienne: modifications des proportions pour des gènes indépendants (2) Caractères contrôlés par plusieurs gènes: La couleur du pelage chez les mammifères: 5 gènes: A/a : couleur normale bande jaune sur le poil (couleur agouti) ou non(couleur unie) B/b : noir ou brun C/c : gène épistasique (albinisme) D/d : contrôle de l intensité de la couleur S/s: robe pie
5 La théorie chromosomique Théorie de Sutton et Boveri Types de chromosomes : Autosomes Hétérosomes (déterminisme du sexe) Bactéries : 1 chromosome Drosophile : 4 paires Souris : 20 paires Chien : 39 paires Maïs : 10 paires Chimpanzé : 24 paires Homme :23 paires
6 Les chromosomes
7 Les chromosomes C p = bras court proximal q = bras long
8 Topographie des chromosomes Télocentrique Acrocentrique Métacentrique
9 Chromosome banding
10 Cyto-génétique 2 SOD1 Ch 21 Amyotrophic lateral sclerosis Ch 7 Mucoviscidose
11 Hérédité liée au sexe Région différentielle du X Région différentielle du Y Région homologue X - Y X Y Région homologue X - Y
12 (Pr Lafleur, Université Paris 6)
13 Diagramme généalogique Signes conventionnels = = malade = porteuse = = malade
14 L inversion des sexes Le système WZ Système observé principalement chez les oiseaux mais aussi chez certains invertébrés : a : WW a : WZ
15 Hérédité liée au sexe: Inactivation de X syndromes mosaïques Chat Calicot Femelle hétérozygote Oo pour une paire d allèle : O = orange o = noir Inactivation de O secteur noir Inactivation de o secteur orange
16 La recombinaison méiotique La recombinaison méiotique est tout processus qui génère un produit haploïde présentant un génotype différent des deux génotypes haploïdes du diploïde. Le produit nouveau ainsi obtenu est appelé un recombinant. n AB x ab 2n AaBb AB Parentaux ab Parentaux Ab Recombinants ab Recombinants
17 La liaisons génétiques A A A A Parentaux a a a a Crossing over A a A a Recombinants a A a A
18 Les cartes de liaisons génétiques (Théorie de Sturvenant) Hypothèse de Sturvenant : la probabilité de formation d un crossing over est d autant plus grande que les gènes sont éloignés, ce qui implique que plus les gènes sont éloignés plus la fréquence de recombinaison (FR) est élevée. La distance séparent 2 gènes est exprimée en Unité Cartographique ou Centimorgan FR de 1% = 1UC ou 1 centimorgan
19 Le changement génétique Les mutations Mutation : événement aléatoire et souvent ponctuel: A a (mutation) A a (réversion) Mutations somatique : non transmissibles Mutations germinales : transmissibles Mutations naturelles Mutations induites (artificielles)
20 Mutations somatiques Clone Clone mutant
21 Phénotypes Mutants Mutations Morphologiques Mutations létales Mutations conditionnelles ala mutation ne s exprime que dans des conditions dites «restrictives», ne s exprime pas dans des conditions dites «permissives» Mutations biochimiques amutants auxotrophes Mutations de résistances
22 Délétion Mutations chromosomiques Boucle de délétion
23 Inversion
24 Duplication
25 Mutations chromosomiques Translocation
26 Mutations chromosomiques Translocation N1 N2 T1 T2 N1 T1 T2 N2 Produits de la ségrégation a- Ségrégation adjacente de type 1----> N1 + T2 ou N2 + T1 Individus non viables b- Ségrégation alternée N1+N2 ou T1+T2 ----> individus viables car information complète Semi stérilité des plantes, syndrome de Down...
27 Translocation Robertsonienne Fusion ou scission centromérique Chromosome 2 humain = fusion de 2 chromosomes du Chimpanzé
28 Mutations chromosomiques Modification du nombre de chromosomes anombre de base de chromosome d un individu = n monoploïde atout multiple paire de n (2n, 4n, 6n ) est «normal» = EUPLOÏDIE atoute modification du type 2n+1 ou 2n-1 etc est anormale = ANEUPLOÏDIE
29 Nullisomie : 2n-2 alétale chez les diploïdes Aneuploïdies atoléré chez les polyploïdes Monosomies : 2n-1 alié souvent à une mauvaise disjonction à la méiose asyndrome de Turner : XO stérile ν=1/5000 Trisomies : 2n+1 asyndrome de Klinefelter : XXY stérile débile
30 Syndrome de Down
31 Fragilités chromosomiques Hypoxie induit des sites de fragilités qui conduisent à des réarrangements Induction répétées de sites de fragilités fait apparaître des marqueurs contenant des gène amplifiés en tandems. Coquelle et al 1998
32 Syndrome de l X fragile Touche Touche 11 garçon garçon sur sur XX f Y f Y Mère Mère porteuse porteuse ax ax f X f X x x XY XY af1 af1 : : XX XX ou ou XX f XY ou X f Y f X XY ou X f Y Symptômes : : aretard aretard mental mental atroubles de de l apprentissage ahyperactivité ou ou autisme autisme astrabisme ahypertrophie testiculaire apieds apieds plats, plats, grandes grandes oreilles oreilles atonus atonus musculaire faible faible acardiopathies diverses diverses
33 Le syndrome de Huntington (chorée de Huntington) Maladie neurodégénérative héréditaire dominante (Huntington 1872) Symptômes : amouvements involontaires aévolution vers la démence amort par malnutrition et faiblesse cardiaque Géne muté sur le chromosome 4 : géne «huntingtin» répétition anormale du triplet CAG, plus le nombre de répétition est élevé plus les symptômes sont précoces Rôle de la protéine «huntingtin» reste inconnue
34 La maladie d Alzheimer Déterminants génétiques Syndrome multi factorielles amutations autosomiques dominantes Chromosomes 1, 14 et 21 afacteurs génétiques de risques gène apolipoprotéine E sur chromosome 19 Maladie neurodégénérative évolutive Apparition : à partir de 25 ans jusqu à en fonction de la forme et des mutations responsables de la pathologie.
35 Chromosome 21 : Maladie d Alzheimer agène codant pour la protéine précurseur de la protéine βamyloïde la protéine APP a5 mutations identifiées aprésence en 3 exemplaires du gène APP serait lié au syndrome de down p q
36 La Maladie d Alzheimer Chromosome 14 : agène codant pour la présiniline 1 PS1 ales présinilines (1et 2) est une famille de protéines de structure voisine à 7 domaines transmembranaires a54 mutations décrites dans une centaine de famille amutation associée à l apparition du syndrome dans 70% des cas aâge d apparition en général entre 40 et 50 ans (parfois plus jeune) q p PS 1
37 La Maladie d Alzheimer Ch 1 Le chromosome 1 : agène de la présiniline 2 a3 mutations décrites aâge d apparition 45 à 85 ans acause de moins de 6 % des cas d Alzheimer p q PS 2
38 Maladie d Alzheimer Chromosome 19 : a gène e (e2, e3,e4) codant pour 3 isoformes de l Apolipoprotéine E (ApoE2, Apo3, Apo4) aallèle e3 augmente le risque d Alzheimer + augmentation du LDL cholestérol athérogène Méta analyses : 6262 témoins et 5107 malades Témoins Malades Ch 19 p q ApoE e3/e3 36 % 61 % e3/e4 41 % 21 % e4/e4 15 % 1 % e2/e3 8 % 17 %
39 2. De l'adn aux protéines
40 Purine et Pyrimidine Pyrimidine Purine
41 Les bases de l'information Adénine Thymine Uracil Guanine Cytosine
42 ADN
43 Réplication de l'adn La réplication est semi conservative aexpérience de Meselson et Stahl (1958) al'adn est dans la plupart des cas toujours copié dans les deux sens 2 origines et 2 bouts de croissance 1 origine, 1 fourche (élongation mono directionnelle) 1 origine, 2 fourches (élongation bidirectionnelle) La réplication commence au niveau de sites précis sur le chromosome
44 Hélicase, topoisomérases Primase ADN polymérases : Les Enzymes apolymérase I : réparation et comblement des brèches de l'adn, activité exonucléasique (bi sens) apolymérase II : lésion de l'adn liées à la progression de la fourche de réplication apolymérase III : enzyme clé de la réplication Ligase ADN gyrase, topoisomèrase IV
45 La protèine DnaB une hélicase
46 ADN Polymérase III Protéine hétérogène de plus de 600 kda 10 polypeptides différents (protomères) Structure globalement dimérique (2x chaque protomère) : acoeur dimérique adimère ß formant une pince autour du double brin
47 ADN polymérase III
48 Replication : brin avancé et brin retardé 5' 3' Brin retardé Fragments d'okasaki 5' 3' Brin avancé ADN polymérase III 3' Amorce ARN 5'
49 Synthèse du brin retardé 3' 5' Primase 5' 3' 3' 5' 5' 3' Amorce ARN ADN poly III 5' ADN ADN ADN Fragments d'okazaki 3' ADN poly I ADN poly III Ligase Ligation
50 5' 3' Hélicase Protéines Ssb Primase Brin avancé 3' 5' Amorce ARN ADN poly I + ligases Brin retardé 3' 5'
51 La réplication chez les eucaryotes Chromosomes linéaires Origines de réplication multiples (plusieurs milliers chez l'homme) SV 40 comme modèle de la réplication chez les eucaryotes Les enzymes : ahélicases, topoisomérases aadn Polymérases aligases
52 Les ADN Polymérases ADN Polymérase α : ainitiation, activité primase asynthèse de courtes séquences sur le brin retardé ADN Polymérase δ : asynthèse de séquences longues principalement sur le brin avancé aactivité exonucléasique 3' 5'
53 Ouverture du double brin : ahélicase (T antigène) areplication protein A (RFA) Action DNA Poly α Mécanisme a Fortement associée à la primase. Initiation: primer ARN, asynthèse ± 20 b, Protein replication factor C (RFC) Polymerase switching adna poly α se détache a Liaison Proliferation Nuclear Cell Antigen (PNCA) apnca + DNA Poly δ WEHI-TV DNA Anim ations6.mov (Ligne de comm ande)
54 Réparation de l'adn Système Uvr chez E. coli
55 La transcription ADN ARNs Les ARN : aarnr (ribosomaux) aarnm (messagers) aarnt (transfert) asiarn, iarn, miarn,etc...
56 Organisation des gènes Procaryotes
57 Organisation des gènes Eucaryotes Région régulatrice transcription Intron Région non codante Exon Région codante Signaux fin de transcription
58 RNA Polymerase E. coli «Core enzyme : ααββ' Holoenzyme : ααββ'σ70
59 Initiation Transcription E. coli
60 ARN Polymérases eucaryotes ARN pol I insensible à l'α amanitine ARN pol II sensible à l'α amanitine ARN pol III sensible à de forte concentration en α amanitine
61 Régulation de la transcription
62
63 L ADN Code génétique : Triplet (3 lettres) AA
64
65 α,anti-codon (3 nucleotides) ; β,site de fixation de l'acide aminé ; γ, boucle variable ; δ, branche D ; τ, Branche T ; A, Boucle de l'anticodon ; D, Boucle D ; T, Boucle T
66
CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailLA TRANSMISSION DES CARACTÈRES
LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES BIO-5065-2 GUIDE D APPRENTISSAGE BIOLOGIE Janvier 2005 Version révisée (avril 2005) 2 Ce document, produit par la Commission scolaire Marie-Victorin, reprend
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailModule 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes
Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Où trouver l'information complémentaire? MCB -11, GVII-5, 22, 23. La maturation des ARNm chez les eucaryotes Les
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailExercices de génétique classique partie II
Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailQue faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps?
Chapitre 3 Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps? On va la plupart du temps se limiter à l étude de couple de variables aléatoires, on peut bien sûr étendre les notions introduites
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailCoordinateur Roland Calderon
SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris
Plus en détailCoefficients binomiaux
Probabilités L2 Exercices Chapitre 2 Coefficients binomiaux 1 ( ) On appelle chemin une suite de segments de longueur 1, dirigés soit vers le haut, soit vers la droite 1 Dénombrer tous les chemins allant
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLa dystrophie myotonique de Steinert
La dystrophie myotonique de Steinert La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailDétection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailRapport Scientifique Seine-Aval 3
Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 3 : TABLEAU DE BORD ET INDICATEURS OPERATIONNELS PUCES A ADN CHEZ MYTILUS EDULIS - 2005 - Danger
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPlateforme. DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet
Plateforme DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet Lundi 8 avril 203 Pourquoi des DArT? Développement rapide et peu onéreux de marqueurs : Pas d information de séquence nécessaire. Pas de pré-requis
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailStabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée
Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée 1 1 Reproduction sexuée et stabilitéde l espèce 2 2 L évolution du nombre de chromosones au cours de la reproduction sexuelle Le cycle
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailUE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou
UE : GENE 2208 Responsable : Enseignant : ECUE 1 Enseignant : ECUE 2 Dr COULIBALY Foungotin Hamidou Spécialités : Génétique Humaine Biologie de la Procréation Cytogénétique Spermiologie Essais Cliniques
Plus en détailL universalité et la variabilité de l ADN
L universalité et la variabilité de l DN Unité 4 3 μm hromosomes observés en microscopie électronique à balayage. Les chromosomes, présents dans le noyau, sont constitués d acide désoxyribonucléique (DN).
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLe Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.
MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailMaster IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP
Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailCATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA
1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...
Plus en détailTP Protocoles SMTP et POP3 avec Pratiquer l algorithmique
TP Protocoles SMTP et POP3 avec Pratiquer l algorithmique Introduction : Les protocoles SMTP et POP3 sont deux protocoles utilisés par la messagerie électronique (mail). Leur mise en œuvre étant simple,
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailHervé de BOHAN QUE SONT DEVENUES LES LOIS DE MENDEL? Directeur de Thèse : Professeur F. PICARD
1 Hervé de BOHAN QUE SONT DEVENUES LES LOIS DE MENDEL? Thèse Médecine - RENNES - 1999 Directeur de Thèse : Professeur F. PICARD 2 3 "Méfions-nous de ces mythes qui nous abusent" attribué à François RABELAIS
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailBulletin officiel n 29 du 19 juillet 2012 Sommaire
Bulletin officiel n 29 du 9 juillet 22 Sommaire Organisation générale Administration centrale du MN et du MSR Attributions de fonctions : modification arrêté du 5-6-22 (NOR : MNA2252A) Administration centrale
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailSERIE 1 Statistique descriptive - Graphiques
Exercices de math ECG J.P. 2 ème A & B SERIE Statistique descriptive - Graphiques Collecte de l'information, dépouillement de l'information et vocabulaire La collecte de l information peut être : directe:
Plus en détailALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE
ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE P. Baudet, C. Azzaro-Pantel, S. Domenech et L. Pibouleau Laboratoire de Génie Chimique - URA 192 du
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détail1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5
Section COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5 Les matières premières Pour vous donner un produit de qualité, nous choisissons celles qui offrent les meilleures garanties. Série DATATEL
Plus en détailContrôle de l'expression génétique :
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et
Plus en détailGénomique Comparative et intégrative
Génomique Comparative et intégrative Introduction : Le big data : on peut traiter des données massives à présent, l'objectif à présent est d'éviter les transferts de données trop longs. On a tout à portée
Plus en détailLe très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche
Le très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche Un choix déterminant d aménagement et de développement du territoire MONTS D ARDÈCHE Pour quels usages? Un développement des usages dans
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailService des Systèmes d Informations
Service des Systèmes d Informations Les systèmes d informations représentent les moyens logiciels, matériels, et humains pour permettre aux utilisateurs d'utiliser les ressources informatiques dans le
Plus en détailChapitre 3 : INFERENCE
Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage
Plus en détailUniversité d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes. Thèse
Université d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes Thèse Présentée pour obtenir le grade de Docteur en sciences de l université d Evry-Val d Essonne Spécialité Bioinformatique par
Plus en détailUniversité de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription
Université de Montréal Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription par Eloi Mercier Département de bioinformatique Faculté de médecine
Plus en détail201-105-RE SOLUTIONS CHAPITRE 1
Chapitre1 Matrices 1 201-105-RE SOLUTIONS CHAPITRE 1 EXERCICES 1.2 1. a) 1 3 Ë3 7 3 2 Ë 1 16 pas défini d) 16 30 17 3 e) Ë 7 68 22 16 13 Ë 5 18 6 2. a) 0 4 4 4 0 4 Ë4 4 0 Ë 0 4 32 4 4 0 4 32 32 4 0 4 4
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailUnité 4 : En forme? Comment est ton visage?
Unité 4 : En forme? Leçon 1 Comment est ton visage? 53 Écoute, relie et colorie. 1. un œil vert 2. un nez rouge 3. des cheveux noirs 4. des yeux bleus 5. des oreilles roses 6. une bouche violette Lis et
Plus en détailIntroduction à la Génomique Fonctionnelle
Introduction à la Génomique Fonctionnelle Cours aux étudiants de BSc Biologie 3ème année Philippe Reymond, MER PLAN DU COURS - Séquençage des génomes - Fabrication de DNA microarrays - Autres méthodes
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailProbabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...
1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................
Plus en détailMaintenabilité d un parc applicatif
1 Maintenabilité d un parc applicatif Une méthode pour évaluer les charges de maintenance 13/06/01 Jean-François Bailliot 2 Maintenabilité d un parc applicatif Maintenance / Développement importance relative
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailLes bases de données transcriptionnelles en ligne
Les bases de données transcriptionnelles en ligne Différents concepts en régulation transcriptionnelle sites de fixation - in vitro/vivo? - quelle technique? - degré de confiance? facteur de transcription
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailFax Server. Blue Line IP ISDN ISDN PRI
Blue Line IP PRI Blue Line Solution de télécopie complète pour l entreprise Persistance de la télécopie La télécopie conserve un rôle clé dans la communication des entreprises. Le fax présente en effet
Plus en détailCalicivirus et caliciviroses chez le Chat
Calicivirus et caliciviroses chez le Chat Dr Pascal Pasquini Di Barbieri 1. Généralités. Bulletin CCOc octobre 2011 Le Calicivirus Félin est un virus à ARN mono brin, appartenant à la famille des Caliciviridae,
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailPROBABILITÉS CONDITIONNELLES
PROBABILITÉS CONDITIONNELLES A.FORMONS DES COUPLES Pour la fête de l école, les élèves de CE 2 ont préparé une danse qui s exécute par couples : un garçon, une fille. La maîtresse doit faire des essais
Plus en détail