"Les PME, face au développement des applications numérisables : de l'engouement à la déception." 1
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- Ghislain Prudhomme
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1 "Les PME, face au développement des applications numérisables : de l'engouement à la déception." 1 MC Monnoyer Professeur en sciences de gestion IAE Toulouse CRG L enquête annuelle BNP Paribas de mars 2006 fait état d une croissance de 50% des investissements des entreprises dans le domaine des technologies de l information et de la communication (T.I.C) en France au cours des 12 mois précédents. Ces chiffres témoignent de la dynamique du mouvement vers la numérisation de l économie. Pourtant Les dirigeants de PME sont souvent perplexes dans la réflexion sur les apports de ces outils à leurs questions de gestion. Les discours officiels, la verve des offreurs laisse supposer que la question de l Internet, et celle connexe des Technologies de l Information, ne se pose pas : «L Internet est le nouveau vaisseau sanguin qui irrigue toute l économie française, européenne et mondiale. L Internet Haut Débit est un passage incontournable pour tous les entrepreneurs désireux de mieux travailler avec leurs fournisseurs et avec leurs clients, mieux piloter leur entreprise, ou encore accéder plus facilement à de nouveaux marchés 2» Comment ne pas être conquis par la fluidité d une telle promesse Les usages potentiels apparaissent multiples : «l Internet est devenu un moyen exceptionnel de promouvoir le savoir-faire, les produits et les services des entreprises. De nouvelles approches ont vu le jour ( ) : sous-traitance et logiques sectorielles, sites portail et développement d une fonction achat électronique. Audelà, l Internet est bien souvent utilisé par les entreprises pour identifier de nouvelles opportunités, effectuer une veille continue sur leur marché, leurs concurrents, les dernières innovations ( ) 3». 1 Cette communication s appuie sur un travail de recherche réalisé en collaboration avec M.Boutary, professeur à l ESC Toulouse, et ayant bénéficié d un appui financier de l Observatoire des PME au sein du groupe OSEO 2 Site 18 avril Site 18 avril 2005 MC Monnoyer 1
2 Les prestataires de service, de leur côté, donnent à penser que les TIC améliorent toujours l efficacité de la gestion, et permettent d atteindre de nouveaux objectifs : «Internet vous permet d'être visible sur toute la France, dans toute l'europe et dans le monde entier, «vous élargissez votre portefeuille client», «cette technologie du futur pérennise le système, réduit les coûts de maintenance et de mise à jour, facilite la communication» 4. Mourlon et Never (2002) relèvent combien la référence à un futur meilleur caractérise le discours des offreurs sur les TIC, alors même que les déceptions au moins à court terme sont fréquentes. L observation des faits, à laquelle nous nous livrons régulièrement depuis plusieurs années dans les PME 5, nous montre qu il y a un décalage entre les chiffres globaux et les conclusions que certains en tirent, les discours officiels ou commerciaux et la réalité des usages des TIC dans ces entreprises. Je chercherai ici à montrer la diversité de ces usages(1), les raisons sous-jacentes des choix effectués (2) pour en tirer des conclusions «actionnables». 1.L introduction des TIC: -des outils visibles, mais non généralisés C est désormais un fait. Les PME sont équipées des outils principaux qui permettent de mettre en place des applications informatisées. Près de la totalité de ces entreprises sont reliées à l Internet, utilisent le courrier électronique, disposent d appareils photo numérique et 75% d entre elles se manifestent via un site sur le Web. Toutefois la conception d une information numérique circulante et à la disposition de tous dans l entreprise n est pas généralisée. Réseau et ordinateurs portables ne sont présents que dans la moitié des entreprises interrogées. Enfin l ouverture du système d information de la PME vers l extérieur grâce aux TIC n est pratiquée que par 10 à 15% de ces entreprises. Contrairement à certaines affirmations, il semble exister des poches de sous-équipement importantes dans les PME françaises. Cette première observation est importante, parce que les équipements sont significatifs de pré-requis techniques diffusés dans l entreprise et témoignent de certaines orientations stratégiques. Elle permet aussi de constater certains décalages nationaux qui conduisent à relativiser l influence de la taille de l entreprise sur la faiblesse des équipements (ONU, 2006). 4 Ces citations ont été empruntées à des discours commerciaux apparaissant dans la presse professionnelle dans le courant du premier semestre Les résultats présentés sont issus d un corpus de données constitué de travaux qualitatifs et quantitatifs -un ensemble d interviews menées auprès de dirigeants de PME (moins de 250 s) et de leurs collaborateurs sur une période de 5 ans -une base de données constituée à partir d une enquête postale qui compte actuellement une centaine d entreprises indépendantes. Les pourcentages ne concernent que ces entreprises. Ils n ont pas de visée de représentativité de l ensemble des PME. Ils permettent cependant de compléter et de soutenir nos analyses qualitatives. MC Monnoyer 2
3 TIC UTILISEES WEB CAM VIDEOCONFERENCE FORUMDE DE DISCUSSION COLLECTICIELS PLACE D'AFFAIRE ELECTRONIQUE EXTRANET INTRANET INFORMATIQUE MOBILE SITE WEB APPAREIL PHOTO NUMERIQUE COURRIER ELECTRONIQUE INTERNET 0,00% 20,00% 40,00% 60,00% 80,00% 100,00% Tab. 1 : Fréquence en % de la présence des TIC dans les PME de notre échantillon Nous pouvons aussi constater que toutes les fonctions de l entreprise (marketing, comptabilité et finances, production et logistique) sont concernées par des applications informatisées (vocable qui nous paraît plus précis que TIC), mais seules, quelques-unes, sont implantées de façon très générale (entre 80 et 98% des entreprises). Il s agit du traitement des commandes, de la gestion des produits et des ventes en marketing, des comptes clients, facturation, grand livre et paie en comptabilité, de la gestion des stocks en production-logistique. On notera qu elles correspondent à la réalisation de tâches régulières et obligatoires de saisie et d enregistrement, quelles que soient les caractéristiques des PME. Le cadre juridique en vigueur exerce donc une pression non négligeable sur les usages ou la dynamique de l appropriation (Lisein 200X). D autres applications sont fréquemment présentes (au moins 50% des PME interrogées) : DAO 6 pour la fonction production, calcul des prix de revient pour la fonction marketing. Enfin, plusieurs applications sont en émergence forte (entre 35 et 50% d entreprises équipées) : assurance qualité, code à barres, CAO 7 et automates programmables en production, gestion de la force de vente en marketing, planification financière en comptabilité. Quoique très différentes, ces applications ont en commun de supposer ou de favoriser une démarche anticipative. Le coût, ou la formation nécessaire à leur utilisation témoignent d une décision d investir et d une planification de ces investissements dans le cadre d une réflexion stratégique. A contrario, la mise en place des applications les plus fréquentes ne nécessite pas forcément une telle démarche. Nous rapprocherons ces résultats des niveaux d équipement en outils de communication s appuyant sur l Internet. Ces outils font en effet l objet de sélections par fonction qui nous semblent similaires. Les connexions internet, courrier électronique et photographie numérique dont la présence est largement généralisée, ne supposent pas d investissement important ni de maintenance lourde. Ce n est pas le cas, au contraire, des outils dont la présence se révèle moins fréquente à travers notre échantillon d entreprises. La mise en réseau interne, l acquisition d ordinateurs portables qui facilitent la circulation d informations (par exemple, lors de déplacements du dirigeant, de l activité sur le terrain des commerciaux), les extranet ou le recours aux places de marchés qui ouvrent le système d information sur l extérieur, 6 DAO : dessin assisté par ordinateur 7 CAO : conception assistée par ordinateur MC Monnoyer 3
4 supposent quant à eux, la présence de personnels consacrant un temps important à l implantation et au suivi de ces équipements.. Et orientés vers des usages limités Si 75% des PME interrogées se sont dotées d un site web, 40% de ces mêmes entreprises effectuent au mieux une mise à jour annuelle de leur site. Seules 34% des PME de notre échantillon pratiquent au moins une mise à jour mensuelle et font ainsi de leur site un véritable outil de communication avec leurs clients et fournisseurs. Mise à jour du site Web Hebdomadaire 17,4% Jamais 8,7% Mensuelle 17,4% Annuelle 32,6% 3 à 6 mois 23,9% Tab 2 : Fréquence de la mise à jour des sites web dans les PME interrogées 53% des PME interrogées annoncent disposer d un ERP (progiciel de gestion intégrée). Sur l ensemble de notre échantillon, la médiane (qui représente 50% des effectifs) relative à cet équipement est de 1 module installé (on ne peut donc pas parler véritablement d ERP dans ce cas). Si nous nous limitons aux seules PME disposant d un ERP, la médiane atteint alors entre 3 et 4 modules installés. Seules 34% des PME disposant d un ERP, (soit 18% des PME interrogées), ont mis en place 4 modules ou plus et sont donc en phase d achèvement du processus d intégration de leur système d information. L implantation des ERP peut être très progressive dans les PME et s étendre même sur des périodes longues. Les sites web et les ERP ou PGI (progiciels de gestion intégrée), qui sont des applications informatisées touchant plusieurs fonctions, sont très représentatifs de la politique d intégration des systèmes d information. Ces applications requièrent, en effet, du personnel spécifique. Elles supposent la création de postes de travail et mettent en évidence l existence d anticipations entrepreneuriales (celles du dirigeant) ou stratégiques (concernant l ensemble de l équipe de direction). Les niveaux d équipement sont donc très différents, leur degré d exploitation aussi. La diversité des applications informatisées en usage témoigne d un degré d intégration des TIC très variable selon les PME ne traduisant pas régulièrement l existence d une démarche stratégique parallèle à la décision d investissement en TIC. Si la dimension stratégique de l utilisation des TIC a, de fait, été relevée, il y a plus de 20 ans, par les praticiens et les chercheurs (Mc Farlan, 1983 ; Porter et Millar, 1986), Henderson et Venkatraman (1999) ont souligné le caractère non automatique de l usage des TIC sur l évolution des orientations stratégiques et l impact sur la performance du non alignement des choix techniques et stratégiques. MC Monnoyer 4
5 Des décisions affichées qui cachent certaines zones d ombre. L intérêt du recours aux équipements ou applications informatisées est désormais admis dans les PME, et ce à tous les niveaux de responsabilité. Les freins émanant de la direction ou le manque d adhésion des salariés ne sont pas souvent évoqués. L accent est mis sur les difficultés financières que fait naître le développement de ces outils pour les applications en production et logistique, mais beaucoup plus légèrement en marketing. Les besoins de formation ne sont pas non plus signalés comme une difficulté majeure. Cette présentation cache, sans doute, certaines réticences moins avouables, telles que la lourdeur de la gestion du changement ou les difficultés de l engagement de la direction (largement auteur des réponses à notre enquête). Freins jugés importants en % AI marketing AI Comptabilité AI.Production Logistique Financiers Gestion changement Engagement direction Niveau de connaissances Tab 3 : Fréquence en% des freins jugés importants vis à vis de l installation d applications informatisées dans les PME de notre enquête Pourtant la maîtrise des outils numériques et des applications informatisées n apparaît pas très profonde. Elle se manifeste par la mise en place des modes de sécurité qui font l objet de nombreuses indications de la part de tous les constructeurs (antivirus, coupe feu, sauvegarde..), mais elle ne va pas jusqu à conduire les PME ou les responsables des systèmes d information à s interroger sur la réalité des performances des applications mises en œuvre. Seules 44% des entreprises vérifient souvent l amélioration des tâches liées aux outils informatiques utilisés et 25% leurs performances techniques. La confiance vis-à-vis des TIC ou des applications informatisées naît des seules pratiques sécuritaires de base. Cette situation nous semble devoir être rapprochée de ce que Giddens (1994) désigne comme la différence entre conscience pratique et conscience discursive. Disposer de compétences pertinentes n implique pas, chez les offreurs de TIC, la capacité à décrire explicitement les actions à mener ou les potentialités à explorer (Mayère, 2003). Hors de la présence en interne, d acteurs ou de salariés très formés ou très curieux en ce domaine, les outils mis en place ne seront exploités qu a minima. Le caractère superficiel de la connaissance des outils numériques a sans doute de nombreuses incidences. Un réel décalage se manifeste entre la satisfaction qu apportent ces outils pour réaliser les tâches pour lesquelles ils sont conçus, et les espoirs que leur introduction avait suscités chez les responsables, pour résoudre leurs problèmes de management. Ainsi, si les données paraissent d un accès aisé et fiable, les documents fournis ne semblent pas toujours faciles à utiliser, à comprendre, ou à exploiter pour prendre des décisions. Quelles que soient les fonctions concernées, les outils informatiques et des applications informatisées ne paraissent pas suffisants pour répondre aux besoins d analyse des gestionnaires et des décideurs des PME. Leur satisfaction est loin d être complète. MC Monnoyer 5
6 Efficacité forte en % AI.marketing AI.comptabilitéfinances AI.production -logistique Accès des données Fiabilité des données Compréhension des rapports fournis Cohérence des infos Aide à la décision Tab 4 : Fréquence en % de l évaluation d une efficacité forte des applications informatisées dans les PME interrogées Les PME se sont donc «saisies» des TIC, des outils comme des applications informatisées, dans les fonctions de production comme dans les fonctions tertiaires, et à des niveaux très divers de responsabilité. L expérience acquise par tous a permis de dédramatiser leur usage quotidien et les process routiniers mis en place. L implantation d applications informatisées dans les PME permet la routinisation de certaines tâches et l allègement des coûts correspondants. La généralisation de ces applications montre que toutes les PME ont désormais intégré ce que le cadre d analyse de Venkatraman nomme, «exploitation en local» (étape 1). Les éléments quantitatifs dont nous disposons sur les PME ayant adopté des outils d intégration (intranet, réseau, ERP), permettent d évaluer entre 1 quart et un tiers environ le pourcentage de PME industrielles qui se sont orientées dans la voie d une numérisation profonde de leur process productif et organisationnel, dépassant ainsi l étape 2 du cadre d analyse utilisé. Niveau Thèmes Impacts potentiels Objectifs principaux Implications pour le management 1 Exploitation en Gains potentiels élevés Diminution des coûts Identifier les domaines local dans des secteurs étroits et/améliorations du correspondants service spécifiques de la firme 2 Intégration interne L intégration offre à la Elever les TI au niveau Articuler la logique de fois efficience et des ressources l intégration efficacité stratégiques 3 Reconception des Puissance de création de Réétudier les métiers à Alignement sur une processus de gestion capacités de l aide des technologies stratégie de différenciation sur le de l information technologies de marché l information 4 Reconception du Des occasions Créer une entreprise Articuler la logique de réseau de gestion d exploiter ses virtuelle et occuper dans la réétude du réseau possibilités de façon le réseau une position autour de la firme créative centrale centrale 5 Redéfinition des Modifier les objectifs de Identifier de nouveaux Identification des objectifs de l entreprise de façon à la métiers ainsi que les nouveaux objectifs de l entreprise fois proactive et réactive menaces potentielles l entreprise Tableau 5: Cinq niveaux de transformation : résumé (Source : 1991, Venkatraman, «Reconfigurations d entreprises provoquées par les technologies de l information», in L entreprise compétitive au futur, Les Editions d organisation, p. 122 à 186) Mais de nombreux responsables ne trouvent pas dans les applications installées, l aide et le progrès qu ils avaient imaginés. MC Monnoyer 6
7 2. Quelques pistes pour comprendre ces déceptions En installant des applications informatisées, les dirigeants de PME ont des attentes concrètes et très immédiates, liées aux discours médiatiques et commerciaux. Les potentialités apportées par les outils TIC pour développer l organisation productive ou modifier le positionnement de l entreprise ne constituent pas une motivation première et ne conduisent pas fréquemment à restructurer la ressource humaine ou à concevoir un nouveau plan d actions stratégique.. un capital humain insuffisant Deux PME sur trois se sont dotées d un responsable de la fonction informatique (qui n est pas toujours un informaticien de formation). Le temps consacré à cette fonction varie profondément et un tiers seulement de ces postes atteint au moins le mi-temps. Le niveau de formation ne dépasse celui de technicien que dans 40% des cas. Les PME semblent donc peu équipées en ressources humaines pour implanter mais surtout pour intégrer les potentialités des applications informatisées dans des processus de restructuration de gestion. Ceci explique sans doute la faiblesse relative de la concertation préparatoire à la mise en place de nouvelles applications informatisées. L analyse des besoins, et des spécifications des applications informatisées est pourtant désormais considérée comme relevant de l évidence (Mayère, 2003). Pratiquée avec les salariés de l entreprise dans 50% des PME de notre enquête, elle est toutefois variable selon les fonctions concernées. Pour la fonction marketing, qu il s agisse de l analyse des besoins, de la décision à prendre ou de la mise en place des applications, seules 33% des entreprises interrogées la pratiquent. Cette centralisation des décisions reflète bien souvent une standardisation des outils et applications qui s impose aux dirigeants de PME et aux échelons même élevés de la hiérarchie dans les entreprises de taille plus importante (Mayère 2003). Elle n est pas liée à la faiblesse des connaissances des intéressés puisque les compétences, ainsi que le degré d adhésion du personnel sont rarement cités comme un frein réel à l implantation des applications informatisées. En revanche, le faible temps dont dispose l encadrement pour gérer le SI, le manque de structuration des décisions à prendre en la matière, ne favorise pas, la concertation entre les acteurs, quel que soit leur niveau de compétence. Avec un cadre (et non un technicien) dédié à la gestion de ce système, il semble plus facile d envisager une évolution profonde de l organisation, une reconfiguration des processus de gestion (étape 3 de l analyse de Venkatraman) ou des réseaux (étape 4). Participation forte des utilisateurs en % AI.Marketing AI.Comptables AI.Production et logistique Adoption nouvelles AI Analyse des besoins Mise en application Tab 6 : La participation des utilisateurs à l introduction des applications informatisées dans les PME interrogées MC Monnoyer 7
8 Des choix stratégies peu formalisés En choisissant l une des quatre orientations stratégiques que nous proposions dans l enquête, les PME montrent qu elles ont des conceptions très différentes du rôle stratégique des applications informatisées. 42% d entre elles limitent le rôle des applications informatisées à un suivi de la production et un contrôle administratif, mais 27% envisagent de s appuyer sur ces applications pour reconsidérer les processus de gestion, de production et d échanges. Ainsi en production-logistique, le principal bénéfice attendu est-il l amélioration de la fiabilité des processus. La volonté d accroître la flexibilité ou d accélérer le développement de nouveaux produits n est pas aussi manifeste ni générale. De même en comptabilité, ce sont essentiellement des attentes de facilitation et de contrôle qui sont énoncées et non d intensification des échanges avec les partenaires. Enfin en marketing, les attentes portent sur l amélioration de la qualité de services mais beaucoup moins fréquemment sur l ouverture du marché export ou le développement de nouveaux produits. On relèvera aussi un décalage entre le niveau d équipement en outils de communication et les attentes formulées. Alors que 70% des PME disposent d un site web, seules 50% d entre elles en espèrent une amélioration de leur visibilité. Si 98% des PME utilisent le courrier électronique, elles ne sont pas plus de 50% à envisager une intensification de leurs échanges avec leurs partenaires. Les choix stratégiques et la volonté d intégration se manifestent aussi à travers l existence de procédures d évaluation et de contrôle des matériels, des tâches et des niveaux de satisfaction des utilisateurs et la fréquence de leur utilisation. Les PME qui ont adopté une stratégie d intégration sont ainsi beaucoup plus attentives que celles qui ont choisi une stratégie de contrôle, à la performance technique des AI utilisées et à leurs effets sur les tâches à réaliser. Ces écarts entre niveau d équipements et usages, types d applications mises en place et bénéfices attendus, investissements humains et niveau de réalisation, sont sensibles dans près de 50% des PME.. La diffusion importante de certaines applications informatisées annonce la généralisation de la numérisation des tâches qui nécessitent des échanges d information. Mais le rôle ou le temps limité accordé au responsable informatique ou à celui des systèmes d information constitue un frein sensible au passage des PME vers la société de l information. 30% des PME interrogées, sont déjà structurées pour se développer dans la société de l information. Pour les autres, c est un appui à la diffusion des stratégies d intégration qui doit être entrepris auprès du responsable de la PME et de celui du système d information pour que l usage des TIC ne se limite pas aux activités «de faire». On se rappellera que seul le dépassement de ce cap a permis, dans les entreprises de grande taille, l apparition de véritables retours sur investissement. Conclusion générale La réflexion sur les TIC et les entreprises, soutenue par de nombreux rapports et recherches, n est plus assise sur l hypothèse d une transformation évidente des entreprises par les TIC. Ces technologies, dont se saisissent, bon gré mal gré, les PME, peuvent leur apporter des MC Monnoyer 8
9 modifications mineures (2/3 des entreprises que nous avons interrogées), ou des bouleversements majeurs. On va ainsi d une simple adresse électronique à la mise en réseau complète de l entreprise avec son environnement. D aucuns en ont conclu qu il fallait adapter les caractéristiques de ces technologiques aux spécificités de la PME. Notre travail nous conduit, a contrario, à considérer que la PME doit être au centre du raisonnement et qu il est nécessaire de partir de ses choix et stratégies pour déterminer les TIC à adopter et leur mode d installation. Sur le plan humain en effet, comme sur le plan matériel et notamment financier, l introduction des TIC est exigeante. Il s agit de propulser l entreprise dans une modernité attachée à la dématérialisation des temps et des lieux, tout en conservant les sources des avantages concurrentiels qu elle maîtrisait auparavant. Ceux-ci étaient très souvent liés à la qualité des produits fabriqués et des services d accompagnement, grâce à une relation de service individualisée. Historiquement, les TIC ont été introduites dans les entreprises pour améliorer la productivité. Les nouvelles technologies ont ajouté à cet objectif celui d une communication démultipliée, en interne comme en externe. Les messageries, sites Web, CRM,ERP et maintenant réponse aux marchés publics sont des exemples de ces interconnexions possibles entre les différents services de l entreprise et l environnement extérieur. Pour les dirigeants de PME, souvent habitués à une gestion dans la proximité, il faut envisager de nouveaux partenariats, de nouveaux éloignements. Mais le caractère très transversal des TIC, par rapport aux technologies plus directement liées à la production, rend la décision d investir, ou de changer de méthode, angoissante. Rares sont les dirigeants qui doutent de l importance des enjeux. Mais nous avons cependant constaté des usages contrastés, difficiles à organiser et à déployer. Selon les fonctions concernées, ils touchent encore majoritairement les tâches élémentaires, ou celles qui sont rendues obligatoires par des règlementations et des pressions de certains acteurs du marché (pour certains, il s agit par exemple de la grande distribution ou de donneurs d ordre). Ces différentes analyses nous amènent à oublier l idée d un comportement type face à l introduction et l appropriation des TIC. Il ne suffit pas de s équiper, de se connecter, pour améliorer la performance. Il faut donc intégrer toute nouvelle application dans le contexte de l entreprise. Cette notion de contexte est importante, pour sortir d une réflexion centrée sur la pertinence de l outil. Nos travaux précédents (Boutary et Monnoyer 2006) nous ont montré le rôle de l environnement de l entreprise, de son histoire, du profil du dirigeant, de sa formation, de ses objectifs. Par exemple, le comportement plus ou moins pro-actif du dirigeant ou le degré de participation des salariés dans la décision, peuvent avoir une influence sur le mode d appropriation des TIC et sur leur efficacité globale. Un regard sur les statistiques internationales (ONU,2006) montre aussi qu une fois levés certains blocages administratifs ou règlementaires, certains «retards» se rattrapent aisément 8 ou encore l influence que peuvent exercer certains donneurs d ordre installés dans des pays ayant plus largement recours au commerce électronique. Le caractère trop superficiel des connaissances des potentialités, mais aussi des exigences de l usage des applications informatisées dans de nombreuses PME qui pourtant les utilisent de façon régulière nous paraît génératrice de sous performance et dès lors de déceptions qui 8 Ainsi en-est il de l accès au large bande en France, à partir de MC Monnoyer 9
10 retardent, voire découragent, le développement des usages. Si le discours sur la sécurité des pratiques émis par les prestataires a été bien entendu, il nous paraît manquer un avertissement quant aux formes de mise en application et d accompagnement de l introduction des applications informatisées. Enfin, si le nombre relatif de PME qui ont pris le chemin de «l entreprise numérique» encourageant car preuve d une dynamique enclenchée. Mais ce chemin est celui de révolutions, de reconfigurations internes, difficiles et parfois dangereuses pour des structures sous-capitalisées. Il est donc nécessaire de mettre les PME au centre de la réflexion sur les TIC. Lier les hommes et les techniques, faire des allers-retours entre décideurs et utilisateurs correspond au cheminement vers «l entreprise étendue» considérée dans les travaux sur les PME comme une voie vers une meilleure performance BIBLIOGRAPHIE Algoe, L utilisation et la promotion des NTIC auprès des PMI PMI, Rapport pour le Ministère de l Industrie, 2003 Bergeron F, L.Raymond, A.M. Croteau, 2001, «Comportements stratégiques, choix et gestion des systèmes d information : contribution à la performance», SIM n 4, Vol 6, p 5-26, Boutary et al, 2003, «TIC et PMI : des usages aux stratégies», Ed. L Harmattan. Boutary M et MC Monnoyer, 2006, TIC, ce qu en font les PME, les conditions d une intégration réussie, ed OSEO. Giddens A., 1994, Les conséquences de la modernité, L'harmattan, Paris, Lisein O, 200 «Interaction du cadre juridique et des stratégies e-commerce : étude exploratoire dans le secteur de l assurance», congrès de l AIM, CDRom McFarlan E.W., J.L. Mckenney, P. Pyburn, «The information archipelago, plotting a course» Harvard Business Review, vol 61, n 1 p ,1983 Mayère A, 2003, «Rationalisation de la communication et organisations contemporaines : le cas de projets d implantation de PGI/ERP», Communication &Organisation, juin ONU, 2006, Conférence sur le développement, Information economic report, Venkatraman, 1991, Reconfigurations d entreprises provoquées par les technologies de l information», in L entreprise compétitive au futur, Les Editions d organisation, p. 122 à 186) MC Monnoyer 10
La publication, au second
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