Œil et inflamma+on TECHNIQUES D INVESTIGATION DES PATHOLOGIES INFLAMMATOIRES DE L ŒIL
|
|
- Julie Dufour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Œil et inflamma+on TECHNIQUES D INVESTIGATION DES PATHOLOGIES INFLAMMATOIRES DE L ŒIL Nadia Bouchenaki Centre de Recherche Clinique,Fondation Rothschild Clinique Générale Beaulieu, Genève Centre d Ophtalmologie Spécialisée, Lausanne Forma;on con;nue du service d'immunologie et allergie du
2 Œil et inflamma+on Toutes les structures oculaires peuvent être a6eintes: Sclérite Conjonc+vite Kéra+te Névrite op+que Orbite: Pseudotumeur inflammatoire Inflamma+on intra- oculaire: uvéite 2
3 Œil et inflamma+on Toutes les structures oculaires peuvent être a6eintes: Uvéites: inflamma+on intra- oculaire Classifica+on des uvéites selon localisa+on anatomique 3
4 Œil et inflamma+on: Uvéites Type Antérieure Site primi;f inflamma;on Structures aqeintes Chambre antérieure Iri+s, iridocyclite Intermédiaire Vitré Hyalite, pars planite Postérieure Ré+ne ou choroïde Ré+nite, chorioré+nite, ré+nochoroïdite, neuroré+nite Panuvéite Chambre antérieure, vitré, ré+ne ou choroïde 4
5 Uvéite: manifesta+ons cliniques Précipités rétro- cornéens: dépôts cellules inflammatoires sur endothélium cornéen 5
6 Uvéite: manifesta+ons cliniques Nodules iriens: agréga+on de lymphocytes et cellules épithélioïdes (a6einte granulomateuse: TBC, BBS, syphilis ) 6
7 Uvéite: manifesta+ons cliniques Atrophie irienne: Synéchies iriennes: post. Adhérence inflammatoire iris- face antérieure cristallin 7
8 Uvéite: manifesta+ons cliniques Hypopion: sédimenta+on de cellules inflammatoires (HLA B27, Behçet) 8
9 Uvéite: manifesta+ons cliniques Examen du vitré: présence de cellules inflammatoires à flou vitréen 9
10 Uvéite: manifesta+ons cliniques Examen du fond d oeil: Foyer ré+nochoroïdien infec+eux 10
11 Uvéite: manifesta+ons cliniques Examen du fond d oeil: Vasculite ré+nienne Granulomes choroïdiens 11
12 Uvéite: techniques d inves+ga+on Laser flare photometry (LFP) ou photométrie automa+sée du Tyndall Angiographies: fluorescéine et vert d indocyanine Op+cal coherence tomography (OCT) 12
13 Uvéite: évalua+on de l inflamma+on Inflamma+on en chambre antérieure: cellules inflammatoires et protéines en suspension dans l humeur aqueuse, visibles comme «des grains de poussière dans un rayon de soleil» (effet tyndall) Quan+fica+on cellules et Tyndall à la lampe à fente: 0+, 1+, 2+, 3+, 4+ Mais peu sensible et subjec+f Même évalua+on pour l inflamma+on du vitré 13
14 Laser flare photometry (LFP) Photométrie automa+sée du Tyndall Principe: Laser diode dirigé vers la chambre antérieure avec balayage ver+cal mesurant les photons difractés à par+r des protéines libérées par l inflamma+on. Comptabilisa+on quan+fiée en ph/ms 14
15 Laser flare photometry (LFP) Photométrie automa+sée du Tyndall LFP permet évalua+on non invasive ainsi que le suivi d uvéite antérieure sous traitement (ainsi que de l inflamma+on postérieure lorsque le spill- over inflammatoire antérieur est important), la détec+on précoce de récidive. Mesure objec+ve, reproduc+ble, non- invasive perme6ant l évalua+on de la sévérité de l uvéite 15
16 2 types d angiographie du fond d œil 1. Angiographie à la fluorescéine (AF) à analyse structures superficielles (nerf op+que, ré+ne, vaisseaux ré+niens) 2. Angiographie au vert d indocyanine (ICGA) à analyse structures choroïdiennes Examens invasifs, injec+on de produit de contraste dans la circula+on veineuse et analyse temporelle et dynamique du fond d œil par photographie. 16
17 2 types d angiographie du fond d œil Ré+ne Choroïde 17
18 2 types d angiographie du fond d oeil Fluorescéine: - Pe+te molécule 375D - - Fluorescence dans lux - visible - Détecte lésions structures superficielles - - Extravasa+on facile avec - imprégna+on +ssu Vert d indocyanine : Grosse molécule 775D Fluorescence dans infrarouge à accès à la choroïde Forte liaison protéine Exsuda+on de la choriocapillaire et imprégna+on choroïde 18
19 Angiographie à la fluorescéine Remplissage Précoce Intermédiaire Séquence normale: fluorescéine demeure intravasculaire Tardif 19
20 Angiographie à la fluorescéine Interpréta+on: Hypofluorescences: absence ou diminu+on d une fluorescence normalement présente par masquage (blocage fluorescence) ou par hypoperfusion Hyperfluorescences: fluorescence anormale - anomalies vaisseaux - transmission de la fluorescence choroïdienne: effet fenêtre par perte de masquage de l épithélium pigmentaire - fuite de colorant: par imprégna+on +ssulaire, par diffusion 20
21 Angiographie à la fluorescéine: vasculite ré+nienne Hyperperméabilité vasculaire liée à l inflamma+on avec diffusion du produit de contraste + territoire ischémique Maladie de Behçet 21
22 Angiographie à la fluorescéine: vasculite ré+nienne Examen de choix pour déceler la vasculite ré+nienne, souvent difficile à déceler à l examen du FO 22
23 Angiographie à la fluorescéine: papillite Dilata+on des capillaires épipapillaires, accumula+on du colorant dans la tête du nerf op+que avec diffusion tardive 23
24 Angiographie à la fluorescéine: foyer ré+nien 24
25 Angiographie à la fluorescéine: œdème maculaire 25
26 2 types d angiographie du fond d oeil Angiographie au vert d indocyanine: méthode la plus sensible actuellement pour l analyse de l espace choroïdien et la choriocapillaire Perme6ant visualisa+on: Vaisseaux choroïdiens et choriocapillaire à la phase ini+ale de l angiographie (3-4 ) Stroma et vaisseaux choroïdiens à la phase intermédiaire (8-12 ) Imprégna+on de l épithélium pigmentaire à la phase tardive(30-40 ) Interpréta+on toujours en complément de l AF 26
27 Angiographie au vert d indocyanine Remplissage Précoce Intermédiaire Séquence angiographique ICG normale Tardif 27
28 Angiographie au vert d indocyanine: inflamma+on choroïdienne Hyperfluorescence Diffusion excessive de la molécule ICG depuis les gros vaisseaux choroïdiens Courtesy Dr CP Herbort 28
29 Angiographie au vert d indocyanine: vasculite choroïdienne 29
30 Angiographie au vert d indocyanine: inflamma+on choroïdienne Courtesy Dr CP Herbort Hypofluorescence 1. Non perfusion choriocapillaire 2. Effet masse causé par lésion choroïdiennel stromale (granulome) 30
31 Angiographie au vert d indocyanine: non- perfusion choriocapillaire 31
32 Angiographie à la fluorescéine: papillite Foyer ré+nien, hypofluorescence par effet de masse 32
33 Angiographie au vert d indocyanine: granulomes choroidiens: lésions hypofluorescentes (non visuables sur l AF) AF ICGA 33
34 Angiographie au vert d indocyanine: u+lité dans le suivi et l adapta+on thérapeu+que Aigu Après 1 mois TTT Récidive après 6 mois 34
35 Op+cal coherence tomography (OCT) Principe similaire à l ultrason de type B Non invasif, visualisation transpupillaire, sans contact Visualisation des structures rétiniennes in vivo Etude macula et nerf optique 35
36 Op+cal coherence tomography (OCT) Détec+on épaisseur ré+nienne: pouvoir de discrimina+on - Oeil humain: 100µ - OCT: 10µ OCT permet la détec+on précoce de l oedème maculaire Résolution (longitudinale) de microns Les couches anatomiques de la rétine peuvent être différenciées et l épaisseur de la rétine mesurée. Difficultés si milieux non transparents (cataracte, œdème cornéen, kératite en bandelette ) 36
37 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 1. Exclusion d une atteinte maculaire 2. Confirmation de lésions identifiées 3. Apport d information essentielle 4. Suivi thérapeutique Lésions décelables par l OCT lors d uvéite: Œdème maculaire Membrane éprétinienne inflammatoire Lésions rétiniennes infectieuses et foyers 37
38 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 1. Exclusion d une atteinte maculaire OCT normal 38
39 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 2. Confirmation de lésions identifiées AF Œdème maculaire AF 39
40 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 2. Confirmation de lésions identifiées Par+culièrement indiqué pour quan+fica+on du degré d œdème maculaire Sous TTT 40
41 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 2. Confirmation de lésions identifiées Foyer ré+nien infec+eux AF ICGA 41
42 Rôle de l OCT dans l évaluation de l atteinte inflammatoire lors d uvéite 3. Apport d information essentielle Sarcoïdose: OMC résistant avec membrane épiré+nienne, non décelée sur l angio. fluo. AF 42
43 Conclusion Les progrès technologiques récents perme6ent une meilleure visualisa+on et donc un meilleur accès aux structures oculaires et sont une aide précieuse au diagnos+c des pathologies oculaires 43
44 Conclusion Pas de manifesta+on uniforme ou spécifique de l inflamma+on oculaire Pas de méthode d examen spécifique non plus Il faut donc cibler ± combiner les différentes méthodes d inves+ga+on afin de préciser au mieux l a6einte et la localisa+on inflammatoire afin d orienter le bilan é+ologique et conduire le suivi thérapeu+que de façon op+male Inflamma+on évolu+ve, répéter, diversifier les examens selon l évolu+on clinique 44
La maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailLeica DM4000 B LED. Une imagerie facilitée par un éclairage brillant!
Leica DM4000 B LED Une imagerie facilitée par un éclairage brillant! Microscope numérique Leica avec éclairage à LED pour les applications biomédicales LEICA DM4000 B LED UN ÉCLAIRAGE BRILLANT POUR L'IMAGERIE!
Plus en détailItem 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF)
Item 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF) 2013 1 Table des matières Introduction... 3 1. Examen... 3 2. Etiologie... 6 2.1. Œil rouge,
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailRemodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée?
p13cdo92 24/04/06 16:18 Page 13 Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée? Brigitte Lutcher*, Michel Puech**, Bernard Barthélémy***, Adil El Maftouhi**, Christophe Baudouin*
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 35 DECEMBRE 2011
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Les uvéites
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détail187 - ANOMALIES DE LA VISION D APPARITION BRUTALE. Ce qu il faut savoir
anomalies de la vision d apparition brutale 187 - ANOMALIES DE LA VISION D APPARITION BRUTALE Ce qu il faut savoir 1. Savoir énumérer les étiologies des baisses brutales de la vision : - en cas d œil blanc
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailFigure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre
Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailBULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida. Décembre 2011
BULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida. Décembre 2011 CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LE VIH ET LA MALADIE CARDIOVASCULAIRE Fonda7on des personnes
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLaser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1
Laser CO2 fractionné Les lasers à dioxyde de carbone (CO2) sont des appareils à gaz, émis en infrarouge, ayant pour principe de détruire les lésions dermatologiques. Les lasers CO2 sont ulisés depuis plus
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLeica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.
Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailConseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine
Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant
Plus en détailOCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes
OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailRISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR
RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise
Plus en détailSéquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision
Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailLIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES
Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,
Plus en détailMise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA
Mise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA Fiche de présentation Intitulé du projet Nord-DMLA (Réseau de soins Ophtalmologique de
Plus en détailUNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure
UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement
Plus en détailSéquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire
Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailEn février 2013, l Institut a été félicité par Agrément Canada pour avoir atteint les normes d excellence nationales en soins de santé.
INSTITUT DE L ŒIL DE MONTRÉAL MONTREAL EYE INSTITUTE L INSTITUT Fondée en 1984, La Clinique de l œil de Montréal est devenue, à la suite d'une importante expansion, l Institut de l œil de Montréal, un
Plus en détail«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées
INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure
Plus en détailFaites l expérience d une meilleure vision
Faites l expérience d une meilleure vision IRIS est le plus grand réseau d optométristes, d opticiens et d ophtalmologistes au Canada répartis dans 160 boutiques et cliniques. Chaque professionnel IRIS
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailIntegrated Ceramics. Une flexibilité. fascinante.
Integrated Ceramics Une flexibilité fascinante. Integrated Ceramics Les céramiques cosmétiques utilisées au laboratoire dentaire? Les matériaux d infrastructure utilisés au laboratoire Vitrocéramique alliages
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005
Maladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005 1. Définitions et rappels : Le glaucome chronique est une neuropathie optique. Ainsi
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailUTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY
04_goulle_C2-Bastien 08/12/11 15:36 Page217 UTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY Par Frédéric GOULLE (Communication présentée
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailIris. Cornée. Pupille. Cristallin
FORMATION EN SÉCURITÉ DES LASERS Macula Rétine Iris Cornée Nerf optique Corps vitré Cristallin Pupille Formation Sécurité laser Section 1: Concepts de base 1 Système international (SI) d unitd unités Unité
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailmedical vision group
medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLES LASERS EN DERMATOLOGIE
1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailSMARTXIDE 2 SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE
SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE SMARTXIDE 2 Traitement DOT Lifting périoculaire Chirurgie dermatologique Chirurgie plastique et esthétique CO 2 et RF : Synergies indispensables pour le rajeunissement
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailLES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE
LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailwww.drfadisleilati.com
www.drfadisleilati.com Plan Les produits de comblements Les accidents Inflammatoires/Infectieux Granulomes/Suppurations Hypothèses pathogéniques Traitement Prévention Conclusions Les Produits de Comblement
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailTYNDALL. 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. 13 rue Dubrunfaut d échanges. Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012
et 13 rue Dubrunfaut d échanges 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 TYNDALL Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012 Site Internet : www.inflamoeil.org Courriel : inflamoeil@yahoo.fr
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détail