Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages
|
|
- Aurélie Marois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages Colloque Flores microbiennes d intérêt dans les Procédés Alimentaires et la Santé Christine Achilleos Dijon - 07 / 10 / 2014
2 Le fromage, un écosystème complexe levures ph nutriments sel disponibilité de l eau température moisissures bactéries substances antimicrobiennes potentiel redox Microbiote dans son environnement Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.02 Dijon - 07 / 10 / 2014
3 Une diversité en constante évolution Depuis le lait de cuve jusqu au fromage affiné Potentiel métabolique des micro-organismes Composition biochimique lait / fromage Processus technologique Conditions de fabrication d affinage Qualité des fromages sensorielle, santé, sanitaire Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.03 Dijon - 07 / 10 / 2014
4 Analyse du microbiote écosystème échantillon extraction des cellules Méthodes cultures-dépendantes Méthodes cultures-indépendantes milieux de culture extraction des acides nucléiques dénombrement isolats ADN ARN Qui fait quoi? Analyse phénotypique Analyse génotypique Qui est là? Identification / Diversité / Dynamique Amplification Hybridation Empreintes moléculaires Expression des gènes Activité métabolique Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.04 Dijon - 07 / 10 / 2014
5 Suivi dynamique de Lb.delbrueckii Les analyses Quantification avec 2 méthodes : Culture-dépendante : culture sur milieu sélectif, MRS 45 C 72h anaérobiose Culture-indépendante : PCR quantitative en temps réel (qpcr) 14 points d analyse différents répartis pendant toute la fabrication et l affinage 0, h jours fabrication affinage.05
6 Suivi dynamique de Lb.delbrueckii Les fromages 24 fromages au lait cru de type pâte pressée cuite fabriqués à la fromagerie expérimentale de l unité à partir du même lait, sur 6 semaines consécutives 3 levains acidifiants : Lb.delbrueckii Lb.helveticus St.thermophilus 2 souches différentes : D0 / D1 / D2 H0 / H1 / H2 activités acidifiantes et protéolytiques 2 taux d inoculation : haut / bas 18 combinaisons.06
7 Lb.delbrueckii ensemencé Quantification avec 2 méthodes : culture sur milieu et qpcr 0, h fabrication affinage 214 jours.07
8 Des cellules cultivables et non cultivables en phase de déclin mais aussi en phases exponentielle / ralentissement / stationnaire Pour 90 % des échantillons, les résultats culture sur milieu < qpcr 3 hypothèses non exclusives 1 Les cellules forment des chaînes 2 Les cellules contiennent plus d un génome 3 Les cellules sont actives mais non cultivables ou mortes mais non lysées.08
9 Pendant la fabrication en phases exponentielle / ralentissement / stationnaire La capacité à se diviser de certaines cellules de Lb.delbrueckii est limitée 1 Les cellules forment des chaînes 1 chaine (= plusieurs cellules) est comptée comme 1 cellule en culture sur milieu 2 Les cellules contiennent plus d un génome réplication d ADN indépendamment du clivage du corps cellulaire le septum ne se forme pas, 2 cellules filles ne se séparent pas À 2 h et 24 h on a observé de longs bacilles et pas de chaîne. La présence de longs bacilles Lb.delbrueckii, sans septum et plusieurs génomes, a été observée dans le lait lorsque la synthèse des purines est réprimée (Suzuki et al., 1986)..09
10 Pendant l affinage en phase de déclin 3 Les cellules sont actives mais non cultivables ou mortes mais non lysées culture qpcr d après.010
11 Dans la littérature La présence de cellules actives mais non cultivables en phase de déclin a été observée dans les fromages à pâte pressée cuite pour les lactobacilles thermophiles pour St.thermophilus.011
12 Lb.delbrueckii natif du lait Quantification avec 2 méthodes : culture sur milieu et qpcr Lb.delbrueckii ensemencé Lb.delbrueckii natif culture qpcr 0, h fabrication affinage 214 jours.012
13 Exemple d interaction Effet du taux de St.thermophilus ensemencé et de la nature de la souche Lb.helveticus sur la croissance de D2 SbH2 ShH2 Interaction ShH2 (, ) sur D2 SbH2 ShH2 Effet négatif de la combinaison Sh (St.thermophilus ensemencés haut) et H2 (Lb.helveticus) sur la croissance de D2 dénombré sur milieu de culture. culture qpcr 0, h fabrication affinage 214 jours.013
14 Un ADN parfois difficile à extraire Pour 10 % des échantillons, les résultats culture sur milieu > qpcr Nature de la souche : D1 (, ) et D2 (, ) D2 D1 D1 D2 D1 D2 culture qpcr D1 D2 0, h fabrication affinage 214 jours Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.014 Dijon - 07 / 10 / 2014
15 selon la souche D1 (, ) et D2 (, ) D1 D2 D1 D2 D après la culture, à partir de 4h, D1 > D2 D après la qpcr, à partir de 2h, D2 > D1 Les écarts observés entre les résultats de qpcr et de culture sont supérieurs pour D2 culture qpcr Hypothèse : Pendant la fabrication, les cellules Lb. delbrueckii D1 sont plus difficiles à lyser au cours de l étape d extraction de l ADN 0, h fabrication Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.015 Dijon - 07 / 10 / 2014
16 et selon l état physiologique des cellules D après la culture, à partir de 1j, D1 > D2 D après la qpcr, à partir de 7j, D1 > D2 D1 (, ) et D2 (, ) culture qpcr D1 Hypothèses : 1) Au cours de l affinage, l état physiologique des cellules Lb. delbrueckii est modifié D1 est plus facile à lyser ou D2 est plus difficile à lyser par rapport à la fabrication D2 D1 D2 2) Au cours de l affinage, les cellules Lb. delbrueckii D2 se lysent dans la matrice fromagère (cellules non quantifiées) affinage 214 jours Christine Achilleos / Dynamique d évolution de la flore microbienne dans les fromages.016 Dijon - 07 / 10 / 2014
17 CONCLUSIONS Les 2 méthodes utilisées pour quantifier Lb.delbrueckii, qpcr et culture sur milieu, donnent une image différente de la dynamique bactérienne pendant la fabrication et l affinage des fromages. Lorsque les 2 méthodes sont utilisées, la dynamique de Lb.delbrueckii peut être interprétée au plus juste. Depuis l étape de pressage jusqu en fin d affinage, Lb.delbrueckii, ensemencé ou natif du lait, est cultivable en partie. Lb.delbrueckii est présent sous forme cultivable et non-cultivable non seulement en phase de déclin mais également en phases exponentielle, ralentissement et stationnaire. L efficacité de la méthode d extraction de l ADN de Lb. delbrueckii à partir des échantillons de fromage varie selon l étape de fabrication (état physiologique) et selon la nature de la souche..017
18 Une méthode = une image Les biais propres à chaque méthode entrainent souvent la nécessité d en utiliser plusieurs afin d obtenir une vision globale et plus complète de la (ou des) population(s) étudiée(s). Culture sur milieu Impossibilité de dénombrer une population sous-dominante si une population dominante se développe sur le milieu Manque de spécificité du milieu : dénombrement de taxons différents sur un même milieu Milieu trop sélectif : sous-estimation du nombre de cellules potentiellement cultivables Sous-estimation du nombre de cellules actives (uniquement les cellules cultivables) qpcr Trouver une méthode d extraction de l ADN «universelle» (extraire l ADN de chaque espèce sans favoriser une population plus sensible à la technique employée) L ADN n est pas toujours extrait de toutes les cellules. Risque de sous-estimation du nombre de cellules actives. L efficacité d extraction dépend de - la méthode d extraction - la population cible - du stade physiologique des cellules L ADN des cellules mortes mais intactes est extrait : surestimation du nombre de cellules actives.018
19 M.Rousseau Photothèque INRA INRA UR342 Technologie et Analyses Laitières F Poligny France Dijon - 07 / 10 / 2014
RÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailDominante d approfondissement 3A AgroSup Dijon. Resp.: Jean-François Cavin, jf.cavin@agrosupdijon.fr 03 80 77 40 72
Dominante d approfondissement 3A AgroSup Dijon «Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)» Resp.: Jean-François Cavin, jf.cavin@agrosupdijon.fr 03 80 77 40 72 Accessible : 3A AA et 3A AG, Autres
Plus en détailPartie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire
Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détail22/12/11. Plan de la présentation
http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation
Plus en détailSKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband
SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE. Outils pour la formation
LES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE Outils pour la formation Les appellations employées dans ce produit d information et la présentation des données
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailFormation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie
Formation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie Chapitre 9: Système HACCP et Systèmes de gestion de la sécurité alimentaire Formation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie Formation
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 3 Échantillons utilisés durant le cours M. Querci, N. Foti WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE FOR
Plus en détailLISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits
LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailDoulchard. cedex 3. Correspondance : cecile.laithier@idele.fr
Innovations Agronomiques 25 (2012), 269-282 Contribuer à la performance technico-économique des exploitations fromagères fermières en améliorant la maîtrise technologique et la qualité des fromages Laithier
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailHACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012
Hygiène et salubrité alimentaires pour manipulateurs d aliments 6 heures Cette formation mène à l obtention du certificat délivré par le MAPAQ. 22 octobre 2011 5 mars 2012 212024 212052 La Pocatière Hygiène
Plus en détailMesure de la teneur en alcool
37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailQuel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire?
Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Sophie Reboud (Ceren, Groupe ESC Dijon Bourgogne) Corinne Tanguy (Cesaer, UMR INRA-Agrosup
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailMISE AU POINT D UNE TECHNIQUE DE QUANTIFICATION DES POPULATIONS BACTERIENNES ET ARCHAEA DE L ECOSYSTEME CAECAL DU LAPIN PAR PCR EN TEMPS REEL
E C O L E N A T I O N A L E VETERINAIRE T O U L O U S E Master 2 Recherche «Elaboration de la Qualité et Sécurité Alimentaire» Directrice de stage : Mme Sylvie COMBES Mémoire bibliographique MISE AU POINT
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailMéthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique
Méthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique MÉTHODE ANALYTIQUE 360 Applicabilité Cette méthode est utilisée pour l évaluation semi-quantitative des structures
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailUne gamme de services dédiés à la qualité cellulaire
Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire Autres services Clean Cells met également en œuvre son expertise dans des programmes : d'ingénierie pour la conception de laboratoires, d'accompagnement
Plus en détailCODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999
CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailLe Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE
Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Logo CERVIA Parce que l enjeu alimentaire est plus que jamais un défi pour demain, le CERVIA PARIS Ilede-France,
Plus en détailAspartame ou stévia: le duel
Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailLe potentiel phénolique du Cabernet franc
Le potentiel phénolique du Cabernet franc Synthèse de 8 années dʼexpérimentations Yves Cadot INRA, UE 1117 Vigne et Vin, F-49070 Beaucouzé, France Avec la collaboration de : Michel Chevalier INRA, UMR
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailHistoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009
Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailMEMOIRE DE MAGISTER. Présenté par : Mme BOUBCHIR-LADJ KAHINA
xe REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI DE TIZI OUZOU FACULTE DES SCIENCES BIOLOGIQUES ET DES
Plus en détailFiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph
FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailOPTIMISATION DU NETTOYAGE. Une action collective prioritaire. Question de méthode. Ce programme s est organisé en plusieurs étapes :
ASSOCIATION REGIONALE DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIES n 48 LETTRE d info Septembre 2012 OPTIMISATION DU NETTOYAGE Une action collective dans les industries agroalimentaires
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailFORMULAIRE DE CREATION DES PAGES DU SITE INTERNET
FORMULAIRE DE CREATION DES S DU SITE INTERNET Document créé par Bertrand SIES 1 1. Réalisation du plan du portail internet : 10 pages sont disponibles a. Conseils de réalisation : Réalisez dans un premier
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détail& guide des formations. Présentation. Transformations agroalimentaires. Transformation laitière
Présentation & guide des formations Transformation laitière Transformations agroalimentaires Analyses biotechnologiques Gestion et maîtrise de l eau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE
Plus en détailESPRICO Complément alimentaire. pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant
ESPRICO Complément alimentaire pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant ESPRICO Composition Capsules à mâcher 60 pce Capsules à mâcher 120 pce seulement 2 x 2 capsules par
Plus en détailENSMIC ALIMENTATION HUMAINE Condensé de cours Annick Le Blanc 2007-2008 LA FERMENTATION PANAIRE
LA FERMENTATION PANAIRE 1 La levure La levure est un champignon microscopique unicellulaire de la famille des ascomycètes. La levure utilisée en boulangerie appartient au genre Saccharomyces, espèce cerevisiae.
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailn 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES
n 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES n 18 Maîtrise des fermentations spontanées et dirigées FRANCE Institut Français de la Vigne et du Vin Sommaire Les levures : des champignons naturels et sélectionnés... page
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailMise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs?
Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs? Dr Xavier Manival, Laboratoire IMoPA, CR, CNRS Françoise Tisserand-Bedri, Documentaliste, Inist-CNRS
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailSéquence 2. Nourrir l humanité. Sommaire
Séquence 2 Nourrir l humanité Sommaire 1. La place de l Homme dans les écosystèmes : vers une perspective durable 2. Nourrir neuf milliards d Hommes : un défi technique et scientifique 3. Une alimentation
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailOUTILS DE FINANCEMENT DE L INNOVATION TECHNOLOGIQUE ET DE LA VALORISATION DE LA RECHERCHE
OUTILS DE FINANCEMENT DE L INNOVATION TECHNOLOGIQUE ET DE LA VALORISATION DE LA RECHERCHE Un exemple de Projet PNRI Pr. Ahmed Noureddine HELAL 11 Mars 2015, Hôtel Monastir Center, Monastir Notre Projet
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailAllocations de recherche doctorale (ARED) Fiche projet 2015
- Date de la demande (15/03/2015) : 1- Identification du projet (en langue française) - Acronyme du projet (8 caractères maximum) : IMEP - Intitulé du projet (en langue française) : Interaction entre microorganismes
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailMaïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015
Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détail