Les lipides peuvent s associer en rafts lipidiques et les protéines sont ancrées ou transmembranaires.
|
|
- Josephine Grondin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BIOLOGIE CELLULAIRE PARTIE I : FONCTIONNEMENT CELLULAIRE CHAPITRE I : RAPPELS SUR L'ORGANISATION DE LA CELLULE EUCARYOTE ANIMALE I LA MEMBRANE PLASMIQUE La cellule est constituée d une membrane plasmique qui la délimite. Celle-ci contient : Lipides Phospholipides de structure «groupement de tête phosphate glycérol Acides Gras» Glycolipides de structure «sucre sphingosine glycérol Acides Gras» Stérols de structure «OH Noyau stéroïde» Protéines Canaux Récepteurs Enzymes Les lipides peuvent s associer en rafts lipidiques et les protéines sont ancrées ou transmembranaires. II LE CYTOSQUELETTE Il est composé de : Filaments d actines, polymères d actine G, impliqués dans le mouvement cellulaire et la déformation locale. Microtubules, polymères de tubuline impliqués dans le trafic vésiculaire Filaments intermédiaires, polymères de kératine, de vimentine, ou neurofilaments, qui participent à la cohésion cellulaire Le cytosquelette s emploie à soutenir les organelles : c est le rôle qui nous intéresse le plus. III LES COMPARTIMENTS CELLULAIRES Baignent dans le cytoplasme. On distingue : Le Noyau qui renferme presque tout l ADN et possède une double membrane donc les bicouches fusionnent en pores. C est à travers ces pores que se fera le passage des protéines et de l ADN. La mitochondrie qui assure la conversion énergétique et le transport d ATP. Les peroxysomes, très présents dans les cellules hépatiques et rénales, qui détoxifient à l aide d enzymes les substances actives produites pas l oxydation des substances organiques tel le H 2 O 2, l O - 2 et l O 2 Le réticulum endoplasmique qui partage sa membrane avec le noyau, et se ramifie dans toute la cellule, occupant 10 % de celle-ci. C est le site d entrée dans la voie de sécrétion, le siège de la réalisation des protéines et des lipides, et le site de la glycosylation. Il existe le lisse et le rugueux, rendu comme ça par la présence de ribosomes à sa surface. L ERGIC, compartiment intermédiaire RE-Golgi L appareil de Golgi et le TGN son extension, qui possède une face Cis et une Trans. Le Golgi assure les modifications des chaines, sulfatation, glycosylation, endoprotéolyses. Plus on avance dans le golgi plus le ph diminue. Les lysosomes, compartiments de digestion qui comprend des hydrolases acides Les vésicules, une des voies de sécrétion à la sortie du TGN. IV LA SÉCRÉTION Par Krys3000 (Groupe «The Trust» - Page 1
2 Il existe, en plus de la voie lysosomiale, l endocytose par voie de sécrétion constitutive via des vésicules qui quittent le TGN pour aller alimenter la membrane. Les protéines peuvent aussi rester dans le RE ou le Golgi. La sécrétion peut-être : Endocrine : d un organe à l autre via voie sanguine. Paracrine : cellule cible se trouvant directement au voisinage de la cellule sécrétrice. Autocrine : la cellule s auto-excite. CHAPITRE II : SYNTHÈSE ET MISE EN CONFORMATION 3D DES PROTÉINES I LA SYNTHÈSE PROTÉIQUE PROCARYOTE Elle suit le code de l ARN via les ribosomes créant une séquence d acide aminés, sortant du ribosome en faisant des interactions. Interviennent alors les NAC (Nascent-polypeptid Associated Complex), qui se lient d une part au ribosome, de l autre à la protéine, empêchant les liaisons entre le ribosome et le RE. Agissent aussi les protéines chaperonnes, qui «isolent» le peptide et aident, ou replient en formation 3D. Des séquences signal sont parfois impliquées pour des interactions et redirections : MSF, qui oriente vers la mitochondrie, ou encore SRP, qui se lie au peptide, en stoppe l élongation et redirige vers le RE. II LES PROTÉINES CHAPERONNES Ou Hsp pour Heat Shock Protein. Large famille de protéines dont le rôle est de prévenir l agrégation/déstabilisation des protéines lors des chocs thermiques, d où leur nom. Servent aussi au folding (mise en structure 3D) et au contrôle qualité des protéines. Les chaperonnes Hsp40 et Hsp70 sont celles qu on utilise ; elles demandent de l ATP (échange ADP/ATP via GRP) et en échange, elles stabilisent les motifs hydrophobes sur les chaines naissantes (en les masquant par exemple). On trouve aussi des chaperonnines (Hsp60) véritable molécules tonneaux, contribuant à gérer de manière ATP-dépendante l entrée et la mise en 3D correcte d une protéine, dans un environnement isolé. Plusieurs chaperonnes, parfois, coopèrent, tout comme chaperonnes avec chaperonnines. Elles assurent de temps en temps le contrôle qualité des protéines glycosylées dans le RE (calnexine et calréticuline lectines). CHAPITRE III : ADRESSAGE INTRACELLULAIRE DES PROTÉINES L adressage peut se faire en cours de synthèse. Trois types : Interactions Lipide/Lipide, Lipide/Protéine, ou Protéine/Protéine. Adressage cytosolique Différentes interactions : Phosphorylation : interférence stérique, changement de conformations, ou création de sites de liaisons. Peut être favorisée par une interaction Protéine/Protéine. Modifications lipidiques : myristylation de la glycine N-Term ou farnesylation de la Cystéine C-Term Queue lipidique libérée, attraction avec la membrane. Motifs présents sur les protéines : domaine PH, SH 2 ou SH 3. Adressage nucléaire Cela concerne : Transport de l ARN in out Import de protéines à usage génétique (ADN Polymérase, Histones) Export de protéines (sous-unités des ribosomes) Navettes (protéines signal) Diffusions d ions et de nucléotides Par Krys3000 (Groupe «The Trust» - Page 2
3 Tout cela circule par le pore nucléaire, complexe protéique (400 Protéines 125 MDa) d une trentaine de nucléoporines (protéines caractérisées par la très forte répétition des motifs FxFG avec forte concentration au centre). Il se trouve à l endroit ou les deux bicouches fusionnent. Ce pore laisse passer les solutés de faible taille, 5 à 20 kda. Au dessus, on a besoin de transports actifs, facilités par interactions spécifiques, consommant de l énergie. Ce phénomène de taille minimum s appelle le cut of. Les signaux servant de reconnaissance sont le NLS (pour l import) et le NES (pour l export). Les NLS sont basiques et très chargés (nucléoplasmine, antigène T du SV40) mais pas prédéterminés. Les molécules qui possèdent ce signal sont prises en charge par des récepteurs/transporteurs, tels les importines β ou karyophérines qui : Se lient au cargo par le domaine C-Term via le NLS. Régulent l association avec une interaction avec une protéine G (RAN) par le domaine N-Term. Interagissent avec les nucléoporines (croissance de concentration attirant la protéine). Les protéines G suivent un cycle : elle se lie avec le GTP pour s activer et le GDP l inactive. G passe en forme GDP-liée par l action de Ran-GAP, a l extérieur du noyau, y rentre avant de passer en forme active GTP-liée par l action de Ran-GEF et ainsi de suite. Le transport nucléaire est donc régulé par des mécanismes, aboutissant à la libération de points d ancrages ou à la mise en évidence d un signal masqué. o Cascade de Phosphorylation (kinase phosphoryle le cargo puis interaction avec la molécule qui contient le NLS) o Ancrage (protéines retenues provisoirement dans le cytoplasme) I LA VOIE DE SÉCRÉTION Les machineries de translocations sont soumises à diverses contraintes. - Elles doivent sélectionner les polypeptides portant les signaux adéquats. - Assurer le transport à travers la membrane, sans nuire à l intégrité du compartiment. - Assurer leur folding/maturation dans le lumen A TRANSPORT VERS LA MITOCHONDRIE Les polypetides doivent être d accord maintenus dans un état compatible avec la translocation (à l aide des protéines chaperonnes). Elles passent ensuite à travers deux complexes, un de chaque membrane : TOM et TIM. Il existe deux types de protéines signal : Signal MSF qui reconnait Tom70, ou signal direct N-Term avec accrochage en Tom20. On passe ensuite le pore avec de l ATP, sachant qu une toute petite entrée suffit pour que le peptide, attiré par les charges négatives, avance, et, par agitation moléculaire, se retrouve assez loin pour que les Hsp, qui le reconnaissent à la sortie, bloquent les motifs hydrophobes, et empêchent le recul. Le peptide peut également stopper à TIM et rester entre les deux membranes, ou dans la membrane interne. B VERS LE RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE Cette fois il va nous falloir diriger les ribosomes en cours de synthèse vers la membrane du RE, assurer le transport à travers cette membrane, et couper la séquence signal qui a servi à diriger. Comme pour la mitochondrie, cette séquence fait 20 à 30 résidus. Ce signal se présente ainsi : La translocation est parfois post-traductionnelle (via des chaperonnes) mais dans la plupart des cas elle est co-traductionnelle. Le complexe de cette translocation est nommé le translocon, composé de Sec61p, qui contrôle le transfert de la chaîne vers le translocon et est composé de 3 unités (a, b et g) et de TRAM. Par Krys3000 (Groupe «The Trust» - Page 3
4 Est associé à ce complexe des oligosaccharyltransférase (OST) qui vont servir à la glycosylation protéique. Au niveau du ribosome il existe une protéine, la SRP, qui va venir reconnaitre le peptide signal, se coller à celui-ci et au ribosome, stoppant la traduction. Il y a ensuite entrée en action du récepteur de la SRP, la SR, composée de deux sous-unités : β ancrée dans la membrane, et α attaché à β. Tant que le ribosome n arrive pas, la protéine BiP bloque le pore du translocon. Le ribosome arrive, SRP se lie à SR provoquant par hydrolyse de GTP la libération du ribosome. La chaine se place alors dans le pore, qui s ouvre alors que BiP se déplace. Le peptide signal est clivé. BiP jouera aussi parfois le rôle de chaperon. II L EXOCYTOSE Lorsqu une protéine est destinée à l exocytose, il faut qu elle emprunte un chemin prédéterminé. Dans le RE, une protéine nommée PDI va catalyser la formation de ponts disulfures dans la protéine en oxydant les SH des cystéines. Les arrangements tridimensionnels et des sous-unités peuvent alors se faire. La glycosylation peut démarrer dans le RE (addition, maturation des oligosaccharides) mais aura essentiellement lieu dans le golgi. Le N-Glycosylation se fait à l aide d un Dolicholphosphate qui va faire subir à notre protéine un flip-flop qui l envoie de l autre côté de la membrane. C est ensuite OST qui agira, avant que les protéines de la classe des lectines comme la calnexine membranaire et la calréticuline, résidentes du RE, ne se chargent de contrôler si les protéines ont été correctement glycosylées ou pas (grâce à leur forte affinité avec le sucre). Après ces multiples actions, d abord de le PDI, puis du Dolicholphosphate, puis de l OST et des lectines, notre protéine part pour la suite du voyage dans le Golgi. Avant même de sortir du RE, il faut vérifier que la protéine est fonctionnelle. Si elle ne l est pas, elle est polyubiquitinylée (un peptide de 9 kda est greffé sur une de ses lysines) et sera reconnue par un protéasome qui la détruira. Si en revanche elle est bonne elle pourra partir pour le trafic vésiculaire. La formation de vésicule est induite par le recrutement de petites protéines G RAB, déclencheur, elles-mêmes conduisant au recrutement de protéines du manteau : COP I ou COP II entre RE et le Golgi. En prenant place, ces protéines provoquent un bourgeonnement de vésicules, qui ainsi, auront à peu près la même taille et un contenu spécifiquement choisi. C est la spécificité du packaging. La vésicule est tirée et détachée par ces protéines, aidée par un moteur de dynamine. Le manteau s en va, et notre vésicule, parfois un peu tubulaire, est complète. Reste à l orienter correctement : pour cela, on aura action de la spécificité d adressage contrôlée par les SNAREs, des protéines membranaires. Sur la vésicule on retrouve les v-snare et sur la cible, les t-snare. Le branchement des deux déclenche la fusion de la vésicule, avec, dans ce cas, le Golgi, et donc libération du fret protéique contenu. En résumé on a : Les protéines devant rester dans le RE partent quand même dans le Golgi, car elles doivent finir leur maturation, mais sont rappelées ensuite. Ce signal est orchestré par des séquences présentes sur les protéines. C est le cas du motif KDEL qu on retrouve par exemple sur la calréticuline, qui interagit de façon ph-dépendante avec un récepteur au KDEL provoquant un retour de la protéine vers le RE. Un autre motif est le motif KKXXX. On arrive enfin dans le Golgi. On a vu que certaines protéines repartaient vers le RE, mais les autres elles, restent soit dans la membrane du Golgi, si c'est leur place, soit continuera leur chemin. Quoi qu il en soit, Golgi est une étape essentielle. Plus on avance dans la voie de sécrétion, plus le ph diminue, et le taux en Calcium et sphingolipides augmente, rendant les membranes plus épaisses : c est ce qui empêche les protéines destinées au Golgi, qui possèdent des petites zones transmembranaires, de progresser plus loin. Par Krys3000 (Groupe «The Trust» - Page 4
5 Golgi est le siège de la glycosylation : maturation des N-glycosylations (sur les Asn des Asn-X-Ser avec X différent de Proline suivi d un passage par glycosydase et glycosyltransférase qui vont régler la taille et tout) et formation des O-glycosylation, sur les sérines et les thréonines. Mais Golgi est également un lieu de maturation des hormones par PROTEOLYSE permettant d activer les précurseurs inactifs. Cette opération se fait par action de pro-hormones convertases comme la furine endoprotéase. Par Krys3000 (Groupe «The Trust» - Page 5
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies
NOM FONCTION EFFET DE L ABSENCE OU DE REFERENCES LA SUREXPRESSION SUR LES P- BODIES XRN1 exonucléase 5 3 Absence : augmente la taille et le Bashkirov et al. 1997 Shet et Parker 2003 Cougot nombre des P-bodies
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailUniversité Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de
Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailBulletin officiel n 29 du 19 juillet 2012 Sommaire
Bulletin officiel n 29 du 9 juillet 22 Sommaire Organisation générale Administration centrale du MN et du MSR Attributions de fonctions : modification arrêté du 5-6-22 (NOR : MNA2252A) Administration centrale
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailLuca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier
MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailtout-en-un BCPST 1 re année TOUT-EN-UN Sous la direction de P. Peycru, D. Grandperrin
TOUT-EN-UN BPST 1 re année Sous la direction de P. Peycru, D. Grandperrin et. Perrier : B. Augère, T. Darribère, J.-M. Dupin,. Escuyer, J.-F. Fogelgesang,. van der Rest Biologie tout-en-un Dunod, Paris,
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Sciences de la Vie et de la Terre
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Sciences de la Vie et de la Terre MEMOIRE Présenté par LE PAVEC GWENAELLE Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes
Plus en détailLe stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?
Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne
Plus en détailContrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus
AIX-MARSEILLE UNIVERSITE Faculté des sciences de Luminy Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE DE DOCTORAT Biologie - Spécialité : Immunologie En vue d'obtenir le titre de DOCTEUR
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détail(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:
Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments
Plus en détailRôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana
Rapport de stage 1 ère année de Master Environnement Spécialité Ecologie, Biodiversité, Evolution (EBE) Valérie GUITTET Soutenance : 7-8 juin 2010 Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détailLe grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale
Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking
Plus en détailFLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007
FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailNORHUIL. Un circuit court pour un produit de qualité. Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION
NORHUIL Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION Un circuit court pour un produit de qualité Tél : 09 61 05 21 96 / 06 83 40 95 38 Fax : 02 33 64 33 95 Email : sarl.norhuil@orange.fr 0 PRESENTATION Triturateur
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailLa Présentation Antigénique
La Présentation Antigénique Dr Frédérique FORQUET Centre d Immunologie de Marseille-Luminy Connaître les mécanismes de la présentation antigénique permet : - de mieux appréhender les épitopes antigéniques
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailDOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES
DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES Tome 1 : Le métabolisme et les besoins protéiques chez l homme Février 1997 AVANT PROPOS LOUISOT P. L Institut Français pour la Nutrition a pris depuis cinq
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailvoies de signalisation
Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailSéquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire
Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailPrévention du stress oxydant dans le diabète et ses complications par des antioxydants d origine naturelle
Ecole Doctorales des Sciences de la Vie et de la Santé THÈSE Présentée en vue de l obtention du grade de Docteur en Sciences de l Université de Strasbourg Discipline : Physiologie et biologie des organismes-populations-interactions
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détail2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE
Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 SudMédical Montpellier-Nîmes Établissement d Enseignement Supérieur Privé Espace Saint-Charles - 300, rue Auguste Broussonnet - 34090
Plus en détailLES CYTOKININES. 1962: la molécule active du lait de coco a les caractéristiques d une base nucléique, l adénosine (base purique)
LES CYTOKININES Les cytokinines (kutos, cellule; kinein, mouvoir, au sens de séparer) sont nécessaires à la division de cellules 1941: Blakeslee, essaie de créer des hybrides entre différentes espèces
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailContrôle de l'expression génétique :
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailSIDA, limites et perspectives de la trithérapie.
PSIR SEPA (2014) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) SIDA, limites et perspectives de la trithérapie. E. Bouissière, A. Lesebos, A. Rouillé, M. Sanson, M. Collette* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailIdentification des protéines de pois indigestibles au niveau iléal chez le porc en croissance, effet variétal et technologique
2003. Journées Recherche Porcine, 35, 121-126. Identification des protéines de pois indigestibles au niveau iléal chez le porc en croissance, effet variétal et technologique Maud LE GALL (1, 2), Paulo
Plus en détailIdentification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I
Identification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I Julie Claudinon To cite this version: Julie Claudinon. Identification
Plus en détailELECTROPHYSIOLOGIE: PRINCIPES ET TECHNIQUES. Fabrice DUPRAT, Chargé de Recherche
ELECTROPHYSIOLOGIE: PRINCIPES ET TECHNIQUES Fabrice DUPRAT, Chargé de Recherche SOMMAIRE I-A-1 Compartiments liquidiens... 3 I-A-2 Protéines de transport... 3 I-A-3 Modèle électrique des membranes biologiques...
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailLes plantes et la lumière
Les plantes et la lumière Première partie : la lumière comme source d énergie Pierre.carol@upmc.fr http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/photosynthese-cours/index.htm 1. Introduction La lumière est la source
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailGuide PACES - 23/06/2010
1 Guide PACES - 23/06/2010 Historiquement, la réforme de la PCEM 1 (pour 1 ère année du Premier Cycle des Etudes Médicales) a toujours fait débat, à savoir trouver la meilleure formule pour juguler l afflux
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailLe point sur les compléments alimentaires
Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent
Plus en détail