Groupe bovins viande Technico-économique SYNTHESE CAMPAGNE 2015

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1 SYNTHESE CAMPAGNE 2015 Le présent document rassemble les résultats de 18 élevages participant au groupe technicoéconomique d sur 3 départements : l Aube, l Yonne et le Loiret. Parmi eux, 16 sont adhérents au contrôle de performance allaitant. Sommaire 1) Structure des exploitations du groupe 2 2) Bilan des vêlages 3 3) Performances animales 4 4) Caractéristiques du pâturage 4 5) Production de viande 5 6) Résultats économiques hors primes 6 7) Résultats économiques avec primes 7 Avant-propos : les moyennes 2014 et 2015 correspondent toutes les deux aux résultats de 18 élevages, dont 16 élevages communs.

2 1. Structure des exploitations du groupe Moy 15 Moy 14 Minimum Maximum S.A.U. ( ha) 209,6 195,3 104,7 423,4 S.F.P. ( ha) 113,7 107,5 34,4 325,5 S.F.P./S.A.U. (%) 56,0 55,1 11,3 100,0 S.T.H. (ha) 79,6 83,6 20,3 200,0 Autres surfaces (ha) 95,9 82,3 0,0 375,4 Nb de Vaches Vêlées 76,0 71, U.G.B. totaux 128,0 122,2 38,4 367,7 UGB/vêlage 1,64 1,72 1,42 1,94 U.M.O. 2,1 1,9 1,0 4,7 S.A.U./U.M.O. 108,2 110,3 52,4 213,0 U.G.B./U.M.O. 68,9 67,2 15,6 119,1 Chargement (UGB/ha SFP) 1,21 1,17 0,79 2,06 2 L échantillon est très hétérogène en termes de taille d exploitation, d importance de la surface fourragère, de nombre de vêlages, de chargement. Il comprend 10 naisseurs, numérotés de 1 à 10, et 8 naisseurs-engraisseurs, numérotés de 11 à 18. Tous sont en race Charolaises, sauf 2 élevages qui produisent en race Limousine et 1 élevage qui possède à la fois des charolaises et des blondes d Aquitaine S.F.P. ( ha) Nb de Vaches Vêlées Figure 1 - SFP et hombre de vaches vêlées par élevage

3 2. Bilan des vêlages Moy 15 Moy 14 Minimum Maximum Référence Nombre de vêlages 76,0 71, Taux de prolificité 105,7 105, à 105 % Taux de vêlages difficiles 5,3 4, < 15% Age au premier vêlage 34,9 / 30,1 35,9 Date moyenne de vêlage 30/11/14 30/11/13 12/10/14 27/01/15 Date moyenne génisses 11/11/14 16/11/13 21/09/14 28/12/14 Durée des vêlages < 120 jours % de vêlages tardifs 3,0 5, < 5% Intervalle Vêlage Vêlage < 380 jours I.V.V. 1er - 2ème veau < 390 jours % I.V.V.>400 Jours 22,7 21, < 16% Taux de renouvellement 28,2 29, à 25 % Taux de mortalité 7,6 8, < 8% Dont avant 48 heures 3,6 4,5 0 7 < 5% Veaux sevrés/100 vêlages 97,7 96, > 95 % % de veaux nés d'ia 65,8 63, En moyenne, l échantillon présente de très bons résultats de reproduction. Le taux de vêlage difficile est faible, ce qui est caractéristique de la zone géographique. Les vêlages sont précoces, ils ont lieu à l automne et en hiver. Enfin, le nombre de veaux sevrés pour 100 vêlages est très bon. 12 éleveurs sur 18 atteignent l objectif des 95%, pour certains malgré un taux de mortalité important compensé par un nombre élevé de jumeaux (Figure 2) Taux de mortalité Veaux sevrés/100 vêlages Moy Figure 2 - Lien entre mortalité des veaux et productivité (nombre de veaux sevrés/vache) Agrément Ministériel N1391 RCS Joigny

4 3. Performances animales Moy 15 Moy 14 Min Max Moy Moy PAT 210 jours mâles PAT 210 jours femelles PAT 210 jours corrigé GMQ Hiver Mâles GMQ Hiver Femelles GMQ Printemps été mâles GMQ Printemps été femelles GMQ été automne femelles PAT 1 an PAT 2 ans Caractéristiques du pâturage Moy 15 Moy 14 Mini Maxi Réf Chargement global (UGB/ha) 1,21 1,17 0,79 2,06 Chargement global (ares/u.g.b) 86,1 88,1 48,5 126,6 Surface récoltée (a/ugb) ensilage 5,3 3,7 0,0 22,7 enrubannage 6,8 11,2 0,0 30,8 foin 26,2 28,5 7,1 58,0 Total 38,3 43,4 15,0 63,0 % fauche 1ère Coupe 47,3 49,6 22,0 87, Chargement de printemps (are/ugb) 44,5 46,1 8,6 68,8 Rendement (T.M.S/ha) ensilage 6,3 6,2 4,0 8,8 enrubannage 3,6 4,0 2,67 5,6 foin 4,3 3,9 2,7 6,0 Tonnage récolté 1 ère Coupe Tonnage récolté 2 et 3 Coupe 11,0 104,7 0 95,75 T.M.S. récolté/u.g.b. élevage 2,4 2,7 1,3 3,4 TMS 1 ère Coupe/UGB élevage 2,3 2,0 1,1 3,3 L année de pâturage et de fauche 2015 a été contrastée avec de bonnes premières coupes, faites dans des conditions météorologiques favorables, suivies d une sécheresse estivale qui a très fortement impacté la repousse de l herbe. Les regains n ont pas été toujours possible ou alors avec un rendement faible et une qualité médiocre. Enfin, pour faire face au déficit en herbe, les éleveurs ont été obligé d affourager au pré durant l été. Par ailleurs, la sécheresse a très durement impacté la production de maïs avec des rendements beaucoup plus faibles que les années précédentes (au sein du groupe, 8,6 TMS/ha en moyenne contre environ 13 TMS/ha les années précédentes). Pour assurer l autonomie fourragère, le conseil est de faucher au moins 50% de surface en herbe en 1 ère coupe. Une partie des éleveurs de l échantillon fauchent moins, mais sécurisent le stock fourrager avec de l ensilage de maïs et/ou des dérobées. L objectif est de stocker au moins 2 TMS/UGB hiverné. La majorité des éleveurs de l échantillon (13/18) atteint cet objectif de manière autonome. Les autres complètent leur récolte par l achat de fourrages (pulpe surpressée ou foin) ou l achat de concentrés. 4

5 5. Production de viande Moy 15 Moy 14 Mini Maxi Réf N Réf NE Production brute de viande vive Dont vendue Dont variation d'inventaire Production brute/ha SFP Production brute/ugb >310 >355 Prix moyen du kg vif vendu 2,25 2,36 2,16 2,51 2,30 2,20 Pertes après sevrage 2,3 1,7 0 7,2 <2% <3% Production autonome totale Prod autonome/ ha SFP Production autonome/ugb >250 >270 Coût de concentré /100kgv <50 <65 Prod autonome/prod brute >78 >75 5 Pour faciliter les comparaisons en termes de production de viande, un critère synthétique est calculé : la production brute de viande vive (PBVV). Il prend en compte les ventes en maigre, et les ventes en boucherie, dont le poids de carcasse a été converti en kg vif selon le rendement carcasse, les achats ainsi que la variation d inventaire, calculée selon le format des cheptels (petit, moyen, grand, très grand ou limousin). Production brute de viande vive (PBVV) = Ventes maigre + gras (en kg vif) Ramené à l hectare de SFP, ce critère permet à l éleveur de comparer ses marges d une année sur l autre sur sa surface, et de comparer sa marge/ha à celle d une grande culture. Lorsque le critère est ramené à l UGB, il permet de comparer les éleveurs entre eux, indépendamment de l effet structure d exploitation. La production brute de kg vif/ugb est bonne et a augmenté de 5% par rapport à Cela s explique par de bons résultats de reproduction, avec un nombre de veaux sevrés par vache proche de 98%, et des performances de croissances suivies et plutôt élevées. La production de viande autonome est une valeur théorique qui correspond à la production de viande brute permise par l exploitation de la surface fourragère. - Achats (en kg vif) +/- Variation d inventaire (en kg vif) En 2015, la production autonome est supérieure par rapport à 2014, ce qui s explique par une augmentation de la production de viande vive ainsi qu une diminution du coût des concentrés.

6 6. Résultats économiques hors primes Moy 15 Moy 14 Mini Maxi Réf N Réf NE Produit brut de la SFP/ha SFP Dont ventes Dont variation d'inventaire Produit brut de la SFP/UGB Dont ventes Charges opé de la SFP/ha SFP Frais vétérinaires/ugb Charges alimentaires/ugb Autres charges animales/ugb Dont frais repro/ugb Charges opé anim et SFP/ha SFP Marge brute/ha SFP Charges opé anim et SFP/UGB Marge brute/ugb L étude des produits et des charges permet de calculer la marge brute dégagée par l atelier viande, rapportée à l hectare de SFP ou à l UGB. Le produit brut (qui prend en compte les ventes, les achats et la variation d inventaire) est en hausse par rapport à 2014 mais est très variable d une exploitation à l autre. Les écarts s expliquent essentiellement par une différence de productivité, notamment dépendante du gabarit des animaux, des performances de reproduction, du taux de mortalité, Les charges de surfaces fourragères sont assez élevés en moyenne mais on observe une très grande hétérogèneneité entre les exploitations qui s explique en grande partie par les différences de structures (des prairies ne pouvant recevoir aucun engrais, aux systèmes dérobées RG/Trèfles devant Maïs ensilage, plus gourmand en engrais et avec une poste semences très important). Les charges vétérinaires sont bien maitrisées et inférieures à la référence. Par contre, le poste le plus important reste les charges alimentaires (57 % des charges opérationnelles pour les naisseurs-engraisseurs et 46% pour les naisseurs), même si elles sont diminuées par rapport à NE Charges opé de la SFP/UGB Frais vétérinaires/ugb N Charges alimentaires/ugb Autres charges animales/ugb Figure 3 - Répartition des charges opérationnelles

7 Quand on différencie les éleveurs en fonction de leur système de production (naisseurs ou naisseurs-engraisseurs), on observe que les naisseurs-engraisseurs dégagent une marge supérieure d environ 60 /UGB, grâce à un produit supérieur de plus de 150 /UGB (Figure 4).Cependant, certains naisseurs ont une marge supérieure à des naisseurs engraisseurs, indiquant bien que la maitrise du système est prépondérante (Figure 5, naisseurs en bleu, naisseurs-engraisseurs en rouge) moy NE moy N Produit brut de la SFP/UGB Charges opé anim et SFP/UGB Marge brute/ugb Figure 4 - Résultats économiques hors primes Figure 5 - Produit brut et marge brute par UGB, hors prime, évolution Naisseurs en bleu, naisseurs-engraisseurs en rouge = résultats 2015 = résultats 2014

8 7. Résultats économiques avec primes Moy 15 Moy 14 Mini Maxi Produit brut de la SFP/ha SFP Dont primes et aides Dont ABA Produit brut de la SFP/UGB Dont primes et aides Dont ABA Marge brute/ha SFP Marge brute/ugb Le tableau présente les résultats économiques à l hectare de SFP et à l UGB, en tenant compte des primes (ABA, compléments de prix des coopératives, sur les animaux en démarche qualité et les futurs reproducteurs). Les lignes «ABA» montrent le montant moyen de prime bovine touché par hectare de SFP, puis par UGB. Avec la nouvelle PAC, la prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes (PMTVA) a été remplacée par l aide aux bovins allaitants (ABA). Cela se traduit notamment par la suppression de la référence historique qui avait été mise en place en Au sein de l échantillon, 9 éleveurs possédaient plus de références que de vêlages et primaient donc une partie des génisses, ce qui n est plus possible avec la réforme : le nombre de primes correspond au nombre réel de vaches (sous certaines conditions de production). Pour ces éleveurs, le montant de l aide bovine 2015 est donc inférieur à celui des années précédentes. A l inverse, les autres éleveurs avaient peu de références par rapport à la taille de leur cheptel. Ils ont donc eu plus d animaux primés en 2015 que les années précédentes. 8 Contacts : Camille LEMOINE clm@alyse-elevage.fr Jérôme LAVIRON jla@alyse-elevage.fr MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET avec la contribution financière du compte d affectation spéciale «Développement agricole et rural»

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