INFECTION URINAIRE CHEZ L ENFANT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INFECTION URINAIRE CHEZ L ENFANT"

Transcription

1 INFECTION URINAIRE CHEZ L ENFANT INTRODUCTION L infection urinaire est l agression microbienne de l arbre urinaire par une colonie monomorphe de germe et qui se traduit à l ECBU par l existence d une bactériurie 10 5 / ml et une leucocyturie 10 4 /ml. On distingue 2 types: Infection urinaire haute ou pyélonéphrite aigue (PNA) avec atteinte parenchymateuse rénale Infection urinaire basse ou cystite: qui est une infection de la vessie Les germes les plus fréquents sont: E coli, Protéus mirabilis Infection urinaire récidivante : 3épisodes en 6mois ou 4 épisodes en 1 an Intérêt - Fréquence: infection relativement fréquente chez les enfants ; prédominance masculine durant les premiers mois de vie et féminine ensuite. atteint plus les filles (3-5% des cas) que les garçons (1-2%) - Mode de révélation des malformations des voies urinaires - Grave surtout la pyélonéphrite aigue (PNA) avec risque de passage à l état septicémique, d IRA et HTA et décès - Traitement repose sur les ATB et dépend de l âge ; en plus la résistance de plus en plus observée Page 1

2 Plan I- Signes II- Diagnostic III- Traitement Conclusion I- SIGNES 1-1 TDD : Pyélonéphrite aigue de l enfant de plus de 3 ans a) Circonstance de découverte L infection urinaire est suspectée devant des signes cliniques : - fièvre au long cours - douleur abdominale fébrile - Troubles digestifs - Retard de croissance - Anorexie - Signes urinaires : dysurie, brûlure mictionnelle, énurésie, polyurie, rétention d urine, pyurie - HTA, IRA b) Interrogatoire Il recherche : Page 2

3 - Les troubles de la miction en précisant le caractère du jet qui doit être régulier, rapide, sans effort, sans fuite post mictionnelle - Le comportement mictionnel habituel de l enfant : acquisition de la propreté, la régularité et l espacement des mictions, leur déroulement, le volume, dysurie, énurésie - La notion de miction goutte à goutte, d incontinence urinaire - L aspect des urines : clair, trouble, hématique - La notion de miction en 2 temps - La date du dernier déparasitage (oxyure) - Les ATCD d infection urinaire, d uropathie personnelle ou familiale - Notion de constipation chronique c) L examen physique Il doit être complet - Rechercher une fièvre, un état général altéré - Prendre la TA, FR, FC, poids - Rechercher un globe vésical - Palper les loges rénales pour rechercher une douleur lombaire et apprécier le volume rénal - Examen soigneux des organes génitaux externes, a la recherche de : chez le garçon : un méat hypospade, éventuellement rétréci un phimosis des adhérences prépuciales une cryptorchidie chez la fille un écoulement urinaire vaginal, témoin d un abouchement ectopique de l urètre dans le vagin ou la vulve Page 3

4 une coalescence des petites lèvres qui peut entretenir une inflammation - rechercher une hypoplasie de la paroi musculaire abdominale souvent associée à une dilatation des voies urinaires supérieures (syndrome de PRUNE BELLY) - si possible faire uriner l enfant - Dans les 2 sexes, palper les points urétéraux à la recherche de douleur - Epreuve des 3 verres en cas d hématurie chez le grand enfant - Bandelette urinaire: recherche les nitrites, des protéines, hématies et leucocytes. Si la bandelette urinaire est négative, le diagnostic d infection urinaire est peu probable (faux négatif < 10 %). si La bandelette urinaire est positive (un seul paramètre) doit faire pratiquer un ECBU : Nitrite+ : Infection urinaire presque certaine (spécificité 98 % ; faux positif 2 % seulement). Leucocytes + : moins performant (spécificité 90 % ; faux positif 10 %) d) Bilan paraclinique ECBU C est l examen clé du diagnostic dont les résultats dépendent de la fiabilité du prélèvement Méthodes de prélèvement Page 4

5 La ponction sus-pubienne (sous échographie) est la technique la plus fiable. - Mise en place par voie percutanée d une dérivation urinaire temporaire ou définitive au moyen d un cathéter introduit dans la vessie par voie suspubienne. La condition nécessaire à la réalisation est le globe vésical. - Il est contre indiqué en cas d infection au niveau cutané sus-pubien, de troubles de la coagulation, faible capacité vésicale, parois vésicales minces et en cas d absence de globe vésical - Technique : Après repérage du globe vésical, désinfecter et anesthésier localement si nécessaire. La pénétration du cathéter se fait perpendiculairement à la paroi cutanée au-dessus du bord supérieur du pubis en position debout ou assise et l entrée dans la vessie est marquée par un jet. - C est un acte médical qui expose à peu de risques, mais il est invasif, douloureux, exige du temps et des ressources Le prélèvement par cathétérisme en utilisant une sonde souple, pré lubrifiée est fiable mais les risques d infection urinaire iatrogène et de lésions urétrales chez le garçon existent. - Matériel : Kit de cathétérisme sus-pubien, nécessaire pour anesthésie locale ( Xylocaïne à 1%, aiguille de transfert (jaune), aiguille intramusculaire (verte), seringue de 10 ml), poche collectrice d'urines, seringue de 10 ml, eau stérile pour préparation injectable (EPPI) 10 ml, Champ troué stérile, compresses stériles, antiseptique, gants stériles, pansement sec Page 5

6 - Technique de pose: 1- Préparation et hygiène selon les règles en vigueur dans l'établissement (lavage des mains, antisepsie de la peau, champ stérile etc...) 2- Repérage : Le repère de ponction se situe à 2 travers de doigts au dessus de la symphyse pubienne, en pleine matité sus-pubienne correspondant à la vessie, contrôlé si disponible par l'échographie au lit du malade Le prélèvement d urines en milieu de jet : plus souvent utilisé. C est une technique non invasive et le risque de contamination par la flore péri-urétrale est réduit par une désinfection soigneuse de la vulve, du prépuce ou du gland au dakin avec lavage soigneux à l eau. C est la technique à utiliser chez les enfants ayant des mictions volontaires. Le prélèvement utilisant une poche à urine = technique la plus utilisée chez les enfants qui ne peuvent uriner à la demande. Il expose à une contamination par la flore commensale du tube digestif. La poche adhésive doit être enlevée dès l émission des urines et, de toute façon, ne doit pas rester en place plus de 30 minutes. Une technique rigoureuse de désinfection et un temps de pose bref réduisent le risque de contamination mais ne l excluent pas. Résultat de l ECBU - Infection urinaire certaine : Bactériurie 10 5 / ml et une leucocyturie 10 4 /ml, - La culture permet d isoler le germe et de faire l antibiogramme Page 6

7 - Une leucocyturie significative sans bactériurie fait évoquer : TBC Infection à Chlamydiae ECBU au début d une antibiothérapie On parle de : - Souillure en cas de présence de plusieurs germes - Résultats douteux si la bactériurie est comprise entre 10 3 et 10 5 / ml : il faut reprendre le prélèvement NFS : hyperleucocytose à PN CRP +, VS accélérée e) Evolution Eléments de surveillance : Clinique : T, TA, FR, FC, diurèse, l aspect des urines, œdèmes Paraclinique : BU, ECBU, NFS L urée et la créatinine plasmatique (normale ou élevée) permet d apprécier la fonction rénale Evolution proprement dite : - En cas de diagnostic précoce et de prise en charge adéquate l évolution est favorable - L évolution peut se faire vers des séquelles définitives sous formes de réparation qui peuvent exposer l enfant à : o Insuffisance rénale chronique o Une HTA Page 7

8 o Abcès rénal L évolution est aussi fonction de l existence de malformation avec risque de récidive 1-2 Les formes cliniques a) Formes selon la topographie Les infections urinaires hautes ou pyélonéphrite aigue C est le type de description Les infections urinaires basses Elles ne constituent pas une menace pour le parenchyme rénal. C est une pathologie touchant principalement la fille : c est la cystite aigue. Elle se traduit par : - des signes vésicaux : dysurie, cystalgie, pollakiurie, brulure mictionnelle, hématurie macroscopique, odeur nauséabonde des urines, - la fièvre est absente ou < 38 5C - les signes biologiques sont absents b) Formes selon l âge Formes du nné et du NRS avant 3 mois Elle touche 2 à 3 fois plus souvent les garçons et révèle souvent une uropathie malformative. La contamination se fait par voie hématogène et elle réalise toujours une infection urinaire haute dans un tableau de septicémie parfois - La fièvre est élevée - AEG - Ictère à bilirubinémie mixte prolongé avec hépatomégalie - Rechercher d autres foyers infectieux (méningite) Page 8

9 Formes du NRS La fièvre s associe à des troubles digestifs : anorexie, vomissement, diarrhée On note une stagnation pondérale c) Formes évolutives Cystite aigue bénigne occasionnelle de la fille C est la plus fréquente et la plus banale. La symptomatologie est évocatrice Il n ya souvent pas de récidive Infection urinaire récidivante idiopathique de la fillette - Fréquence particulière chez la fille au delà de 4 ans - Type clinique de cystite ou de bactériurie asymptomatique, l un ou l autre pouvant e succéder indifféremment chez le même enfant - Parfois il s agit d une découverte fortuite - Existence de troubles mictionnels - Evolution prolongée souvent jusqu à la puberté sans atteinte de l arbre urinaire et de la fonction rénale II- Diagnostic 2-1 Diagnostic positif L infection urinaire est suspectée devant des signes cliniques (signes d appel) : - fièvre Page 9

10 - douleur abdominale - Symptômes vésicaux - Troubles digestifs Examen physique Il est confirmé par l ECBU et antibiogramme qui montre : - Bactériurie 10 5 /ml - leucocyturie 10 4 /ml, - isolement ou non du germe 2-2 Diagnostic différentiel Devant les douleurs abdominales associées à une fièvre - Infection respiratoire aigue - Infections digestives - Affections chirurgicales Devant la fièvre - paludisme, - otite - pneumonie - Toutes infections 2-3 Diagnostic topographique Il se fait grâce aux techniques suivantes : Echographie rénale et des voies urinaires Page 10

11 o Elle doit être systématique à la recherche d uropathie, apprécie l aspect des reins o Recherche un calcul ureteral UCR : urétro-cystographie rétrograde ou cystographie mictionnel (nom actuel) o Permet de rechercher un reflux vésico- urétéral. UIV : urographie intra veineuse o Permet de voir les malformations, les lithiases, apprécie les cavités pyélo-calicielles La scintigraphie au DMSA 2-4 Diagnostic étiologique a) Etiopathogénie Modes de contamination La contamination peut se faire par voie ascendante, à partir de la flore fécale et urétrale. La contamination de l'arbre urinaire nécessite l'adhésivité de la bactérie sur la muqueuse urétrale et la virulence des germes. La contamination par voie hématogène est très fréquente chez le nouveau-né et le jeune nourrisson Facteurs favorisants : essentiellement les uropathies malformatives reflux vésico-urétérale (R.V.U.) c est le reflux d urine vésicale dans l urètère entrainant une PNA récidivante par contamination du haut appareil à partir de la vessie. On distingue 5 grades : - grade I : reflux uniquement urétéral Page 11

12 - grade II : reflux vésico-urétéro-pyélocalicielle sans dilatation des cavités - grade III : dilatation modérée sans disparition du relief papillaire - grade IV : dilatation des cavités pyélocalicielles avec émoussement du relief des papilles - grade V : dilatation importante avec perte du relief papillaire faible débit urinaire, résidu post mictionnel, obstruction et dilatation congénitale de l'appareil urinaire par : - valves de l'urètre postérieur, - maladie du col : c est un hypertrophie du col vésical caractérisée par la multiplication du tissu fibreux autour de l urètre postérieur - méga-uretère obstructif - hydronéphrose secondaire - syndrome de la jonction pyélo- urétérale : caractérisé par le rétrécissement de la jonction pyélo-calicielles. Il entraine une dilatation progressive du bassinet et des calices, une hydronéphrose. Il se traduit par : o un gros rein o des douleurs lobaires o des poussées fébriles o traitement : résection et anastomose - urétérocèle : c est une distension du segment sous muqueux de l urètre terminal due à l atrésie de l orifice méatique. Il se traduit par une pyurie Page 12

13 uretère rétro cave : l urètre s enroule autour de la veine cave et peut être comprimé abouchement ectopique de l urètre urètre court, proche de la région péri-anale chez la fille ----> cystite à répétition. vessie immature, instable -----> cystites à répétition facteurs physico chimique de l urine : l osmolarité urinaire < 6 osmol/l et le ph acide < 6 influencent la croissance d E. Coli vessie neurologique primitive ou secondaire à un spina bifida, une lithiase constipation : le rectum plein de matières en permanence favorise l apparition d une instabilité vésicale responsable d infection urinaire et parfois de reflux Les germes en cause Bacille Gram Négatif - E. Coli (70 à 80%) - Protéus mirabilis (10%) - Klebsiella pneumoniae, - Pseudomonas et autres (5 à 10%) Page 13

14 Cocci gram+ - Staphylocoque aureus - streptocoque III- Traitement 3-1 Traitement curatif BUT - stériliser le milieu - éviter les complications - éviter les récidives - lever les obstacles METHODES Médicaux - Antibiotiques : Amoxicilline + acide clavulanique 80 à 100mg/kg/j C3G : CEFTRIAXONE 50 à 100 mg/kg/j Aminoside : NETHILMICINE 6mg/kg/j ou AMIKACINE 15mg/kg/j - Antiseptiques urinaires Nitrofurantoïne : (Furadoïne - Furadantine ) : 1 mg/kg/j chez le grand enfant en une prise vespérale. Nitroxoline (Nibiol) = 10 mg/kg/j ; Acide nalidixique (Négram) = 20 mg/kg/j. - Mesure d hygiène Page 14

15 Instrumentale : sonde vésicale à demeure Chirurgie INDICATIONS a) En cas de Pyélonéphrite aigue L antibiothérapie est probabiliste en attendant l antibiogramme NRS de moins de 3 mois: HOSPITALISATION C3G: ceftriaxone (rocéphine) 50mg/kg/j ou céfotaxime (claforan) 100mg/kg/J pendant 10 jours + Nétromicine 6mg/kg/j ou genta 3 mg/kg/j pendant 3 jours Critère hospitalisation des enfants de plus de 3 mois - Fièvre mal tolérée - troubles digestifs importants avec déshydratation, - insuffisance rénale, - existence de signes de bactériémie quelque soit l âge, - mauvaise surveillance parentale, - uropathie connue ou dépistée sur l échographie aux urgences, - impossibilité de réaliser le traitement antibiotique initial en ambulatoire Page 15

16 Enfants de plus de 3 mois : - Ceftriaxone (Rocéphine ) : 50 mg/kg, une fois par jour (sans dépasser 1 g), IV en 5 minutes - + Nétromicine (Nethilmicine ) : 6 mg/kg, une fois par jour, en perfusion de 30 minutes, pendant 3 à 4 jours Relais per os par céfixime (Oroken) 8 mg/kg/j pour un total de 10 jours de t3 b) En cas de Cystite - CTM à 40 mg/kg/j en 2 prises (rarement utilisé à cause des résistances) - céfixime 8 mg/kg/j en 2 prises pendant 05 jours+++ - Boisson abondante Prévention Prévention primaire - Circoncision des garçons - Traitement précoce des vulvites et des vaginites - Traitement des constipations - Dépistage précoce des malformations rénales et des voies urinaires pendant la grossesse et a la naissance en vue de leur prise en charge adéquate - Déparasitage systématique (oxyurose) Prévention secondaire - Prise en charge adéquate de l infection urinaire Page 16

17 - En cas d uropathie : traitement prophylactique par du CTM jusqu à correction de l uropathie Prévention tertiaire Prise en charge des complications : insuffisance rénale Conclusion L infection urinaire est fréquente chez les enfants. Les signes cliniques sont polymorphes et non spécifiques. L ECBU doit être facile en cas de doute et la recherche d une uropathie malformative doit être systématique Page 17

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Brochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?

Brochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

PROTOCOLE SONDAGE VESICAL

PROTOCOLE SONDAGE VESICAL DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement

Plus en détail

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François

Plus en détail

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr

Plus en détail

Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?

Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE INGUINALE EN AMBULATOIRE

Plus en détail

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Textes de référence. Infection urinaire

Textes de référence. Infection urinaire Textes de référence Infection urinaire Description médicale L infection urinaire est causée par la prolifération anormale d agents infectieux dans le système urinaire qui comprend les reins, les uretères,

Plus en détail

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

d une Dr Ei Eric Peterman

d une Dr Ei Eric Peterman d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010

Plus en détail

«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»

«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

La vessie neurogène (VN)

La vessie neurogène (VN) La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.

Plus en détail

Faq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile

Faq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque

Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires

Plus en détail

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

RÉSUMÉ DES RECOMMANDATIONS

RÉSUMÉ DES RECOMMANDATIONS NOUVELLE PROPOSITION DE RECOMMANDATIONS POUR L INCONTINENCE URINAIRE Le comité des recommandations de l AUC a travaillé à l établissement de nouvelles recommandations et à la mise à jour des précédentes.

Plus en détail

Cas clinique infection ORL

Cas clinique infection ORL Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?

Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME

CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME Table des matières ÉVALUATION DE LA FONCTION URINAIRE ET DE L APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME... 6 1 Anamnèse et examen physique... 6 1

Plus en détail

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie 4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente

Plus en détail

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite. Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Infections nosocomiales

Infections nosocomiales Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Maladies transmises sexuellement (MTS)

Maladies transmises sexuellement (MTS) Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections

Plus en détail

Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger

Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance

Plus en détail

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer

Plus en détail

Incontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste

Incontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition

Plus en détail

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail