COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DES ONCOLOGUES MEDICAUX DU RESEAU ONCOLOR 14 SEPTEMBRE 2004
|
|
- Justin St-Georges
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 T. CONROY CR réunion OM Oncolor COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DES ONCOLOGUES MEDICAUX DU RESEAU ONCOLOR 14 SEPTEMBRE 2004 La réunion est organisée par Stéphane RUCK, qui en est remercié, et avec le soutien des laboratoires BRISTOL et MERCK. Etaient présents : Etaient excusés : B. WEBER N. AL AUKLA MC. KAMINSKY I. KESSLER E. LUPORSI D. SPAETH M. RIOS C. ROEMER-BECUWE T. CONROY R. DIAB JM. DOURTHE L. GEOFFROIS I. KRAKOWSKI C. PLATINI S. RUCK L. UWER I Informations générales Une réunion d oncogériatrie sera organisée à Nancy, sous l égide de la société de gérontologie de l Est, le 7 avril 2005 au Palais des Congrès. L organisation est confiée au Centre Alexis Vautrin et la Fédération de Cancérologie du CHU de Nancy sous l égide du réseau d Oncolor. Merci de noter la date dans vos agendas. Le Centre d Epidémiologie Clinique relance l étude sur le TEP-Scan : sont éligibles entre autres les récidives de cancers colorectaux, les lymphomes, les cancers bronchiques non à petites cellules. Ivan Krakowski va se renseigner auprès des pharmaciens pour savoir où en est le projet d harmonisation des protocoles de chimiothérapie pour les cancers du poumon. L essentiel de la réunion est consacré à deux sujets : - La place des antiaromatases dans le traitement adjuvant du cancer du sein. - Les carcinomes de site primitif inconnu. Les deux fichiers sont joints en annexe de ce compte-rendu. 1
2 II Place des antiaromatases dans le traitement adjuvant du cancer du sein Béatrice Weber rappelle les grandes lignes des études internationales dont les résultats intermédiaires sont connus, et des études en cours. Le design des études publiées était différent, ce qui explique pour une part la différence des résultats : - Le létrozole était comparé à un placebo. - L exémestane était comparé au tamoxifène après deux ou trois ans. - L anastrozole était comparé au tamoxifène pendant cinq ans. Apparemment, les meilleurs résultats en survie sans maladie sont pour le létrozole, puis l exémestane et l anastrozole, mais peut-être sont-ils équivalents? En reprenant les résultats en sous-groupe de l étude ATAC, l anastrozole paraît surtout efficace dans la population RE+ RP-, et s il n y a pas eu de chimio adjuvante, et fait mieux que le TAM lorsque le c-erb2 est surexprimé (notion également retrouvée en hormono néoadjuvante). Cette notion d efficacité différente selon les sous-groupes n est pas retrouvée avec l exémestane. Globalement, l anastrozole est plus efficace que le tamoxifène, augmente le risque d ostéoporose et de fractures et diminue le risque de cancer de l endomètre. Le risque thromboembolique est réduit, mais ceci est moins net dans les études les plus récentes. Au total, une hormonothérapie par anastrozole peut être envisagée chez les femmes relevant d une hormonothérapie adjuvante après un premier traitement pour cancer du sein. Le tamoxifène reste toutefois le médicament de référence aux USA. Au terme de l étude MA-17, la prescription de létrozole à l issue de cinq ans de tamoxifène augmente la survie sans événement à 4 ans, sans amélioration significative de la survie globale. Il est toutefois observé une augmentation modérée des arthralgies, des myalgies et des troubles vasomoteurs. La prescription de létrozole, qui n a pour l instant pas l AMM, peut être envisagée après cinq ans de tamoxifène. L étude menée avec l exémestane montre un bénéfice au switch après 2 ou 3 ans de tamoxifène, en particulier en termes de réduction du risque de récidive métastatique et de celui de cancer du sein controlatéral. Béatrice Weber a proposé au CAV les indications suivantes (fichier ci-joint en annexe 1) : - Plutôt tamoxifène en cas de risque d ostéoporose et peut-être en cas de ménopause récente. - Plutôt antiaromatase si c-erb2+++, antécédent thromboembolique, risque de cancer de l endomètre ou sous-groupe RE+ RP-. 2
3 III Carcinomes métastatiques de site primitif inconnu Marie-Christine Kaminsky rappelle la définition «tumeurs épithéliales malignes métastatiques sans site primitif identifié en terme de bilan pré-thérapeutique». Elle rappelle les présentations anatomocliniques particulières justifiant un traitement adapté et l intérêt d une collaboration avec l anatomopathologiste. La valeur du morpho-tep dans le bilan d extension reste controversée en raison du petit nombre d études. Il n'est d'aucun secours en cas de maladie multimétastatique : pas de modification en terme de prise en charge et de pronostic. Par contre, devant des adénopathies cervicales, il est d'un grand intérêt pour la détection d'une éventuelle tumeur primitive ORL et le bilan d'extension. Le rendement dans ce cas est bon et la prise en charge thérapeutique est modiifée. Le modèle pronostique du GEFCAPI (selon l état général et les LDH) est un outil simple et utile pour aider à la décision thérapeutique (S. Culine et al., J Clin Oncol 2002;20: ). Ce groupe propose actuellement deux essais thérapeutiques : - Pour les patients en bon état général : cisplatine avec ou sans gemcitabine (GEFCAPI 02). - Pour les patients OMS2 : randomisation entre capécitabine, gemcitabine ou acétate de mégestrol (GEFCAPI 03) IV Mise en place des essais thérapeutiques sur le site Oncolor La situation n a pas changé depuis la dernière réunion. Techniquement, il est probablement possible de réaliser un lien automatique entre les essais thérapeutiques activés au Centre Alexis Vautrin (liste disponible sur un Intranet) et Oncolor. Toutefois, Oncolor ne peut pas assurer l actualisation et cela serait à charge de l unité de recherche clinique du Centre Alexis Vautrin. Ce n est pas dans la logique d Oncolor d envisager que seuls les essais du CAV soient sur le site et il faudrait que les essais thérapeutiques disponibles dans les autres villes soient également signalés. Si cela est possible, les essais thérapeutiques devraient être placés sur la partie restreinte du site et accessibles uniquement aux oncologues médicaux, aux chirurgiens et aux oncologues radiothérapeutes, mais pas aux patients. Il faudrait ajouter pour chaque essai la ville où cela est réalisable. Ivan Krakowski se charge d organiser une réunion avec Isabelle Klein, Elisabeth Luporsi et Thierry Conroy pour voir ce qui est possible de réaliser au niveau d Oncolor. V Essai thérapeutique CAPEDOC/EPIDOC Vingt-trois patientes sont actuellement incluses pour un objectif de 50. Le même essai thérapeutique aurait été proposé par l industrie à Lyon et dans l Ouest (essai ERASMUS), ce qui devrait permettre de faire une analyse groupée. Elisabeth Luporsi se charge de contacter les coordinateurs. Il est convenu de poursuivre l étude six mois, mais de la fermer dans 6 mois si les inclusions ne sont pas plus rapides. 3
4 V I Prochaine réunion La prochaine réunion est prévue à Nancy le mardi 22 mars 2005 à 19 heures. Elle sera co-organisée par Maria Rios et Thierry Conroy. Le programme provisoire est le suivant : - Sarcomes des tissus mous (Maria Rios). - Méthodes de formation continue, chacun partageant avec les autres les méthodes qu il utilise et préparant les références des sites professionnels qu il utilise (revues on line, industrie etc). Fait à Vandoeuvre lès Nancy, le 1 er octobre
5 UTILISATION DES ANTI-AROMATASES EN SITUATION ADJUVANTE (MP+, RH+) AU CENTRE ALEXIS VAUTRIN Annexe 1 POLE SEIN DOM 1 AVRIL 2004 actualisé le 14 septembre 2004 Les résultats de trois essais sur le traitement adjuvant des cancers du sein par anti-aromatase ont été publiés : anastrozole (ATAC)(Baum et al. 2002; Baum et al. 2003), letrozole (NCIC MA-17)(Goss et al. 2003) et exemestane (EIS)(Coombes et al. 2004). L analyse montre une diminution significative des événements liés au cancer (diminution des rechutes locales et à distance et de l incidence des cancers du sein controlatéral). Il y a peu d événements et la médiane de recul des études avec létrozole et exemestane est de 2 1/2 ans. La toxicité veineuse thrombo-embolique et vasculaire cérébrale, les pertes vaginales les bouffées de chaleur, le cancers de l endomètre sont moindres sous anti-aromatase que sous tamoxifène. En revanche ostéoporose, fractures, douleurs musculaires et articulaires sont plus fréquentes sous antiaromatases que sous tamoxifène. La seule anti-aromatase commercialisée en France pour cette indication est actuellement l ARIMIDEX mais le dossier de remboursement par la sécurité sociale est en cours. Les résultats à 4 ans n emportent pas totalement la conviction au point d éliminer le Tamoxifène, mais l Arimidex paraît être une option thérapeutique. Ce sont les résultats au long cours (survie globale seulement pour EIS, densité osseuse, fonctions cognitives) des deux autres essais qui orienteront vers la séquence la plus favorable, vraisemblablement deux ou trois ans de tamoxifène suivis de trois ou deux ans d anti-aromatase. Les institutions telles que le NCI n ont pas modifié au 13 mars 2004 les indications d hormonothérapie adjuvante et ils s en tiennent aux recommandations du groupe d évaluation technologique de l ASCO(Winer et al. 2003) : le tamoxifène reste le traitement standard. La FDA a approuvé l utilisation en situation adjuvante pour les patientes ne supportant pas le Tamoxifène, à risque thrombo-embolique ou de cancer de l endomètre. L avis de la commission de transparence est paru le 19 mai 2004 sur le site de l AFSSAPS (agence du médicament) la supériorité de l anastrozole y est reconnue sauf en cas de chimiothérapie adjuvante. En ce qui concerne les guidelines du NCCN en 2004 l utilisation des AA en adjuvant est une option. Le PDQ du NCI n a pas pris position. Pour essayer de clarifier les indications de traitement par ARIMIDEX que nous avons retenues au CAV il faut rappeler quelques paramètres de décision : - antécédents thrombose veineuse voire embolie, accident vasculaire cérébral,,dyslipidémie (triglycéridémie), choix de la patiente qui font pencher vers la prescription d ARIMIDEX - maigreur, ménopause très récente, ostéoporose (personnelle ou familiale), LDL cholesterol élevé, choix de la patiente qui incitent à prescrire du TAM - antécédent de chimiothérapie adjuvante (dans le sous groupe avec chimiothérapie adjuvante il n a pas été mis en évidence de différence d efficacité entre TAM et Anastrozole) qui laissent le libre choix sous réserve des autres facteurs - surexpression ou amplification de c erb B2 (HER2 3+) : par précaution il vaut mieux éviter le Tamoxifène chez ce type de patientes en raison de publications d effet in vitro de réduction de l effet antagoniste du TAM et de moindre efficacité in vivo en situation 5
6 adjuvante(carlomagno et al. 1996) et d une plus grande efficacité du letrozole par rapport au tamoxifene en situation néo-adjuvante(ellis et al. 2001; Ellis et al. 2003) - les tumeurs RE + RP- bénéficieraient plus de l anastrozole que du tamoxifène(dowsett 2003) Baum, M., A. U. Budzar, et al. (2002). "Anastrozole alone or in combination with tamoxifen versus tamoxifen alone for adjuvant treatment of postmenopausal women with early breast cancer: first results of the ATAC randomised trial." Lancet 359(9324): Baum, M., A. Buzdar, et al. (2003). "Anastrozole alone or in combination with tamoxifen versus tamoxifen alone for adjuvant treatment of postmenopausal women with earlystage breast cancer: results of the ATAC (Arimidex, Tamoxifen Alone or in Combination) trial efficacy and safety update analyses." Cancer 98(9): Carlomagno, C., F. Perrone, et al. (1996). "c-erb B2 overexpression decreases the benefit of adjuvant tamoxifen in early-stage breast cancer without axillary lymph node metastases." J Clin Oncol 14(10): Coombes, R. C., E. Hall, et al. (2004). "A randomized trial of exemestane after two to three years of tamoxifen therapy in postmenopausal women with primary breast cancer." N Engl J Med 350(11): Dowsett, M. (2003). "Analysis of time to recurrence in the ATAC (arimidex, tamoxifen, alone or in combination) trial according to estrogen receptor and progesterone receptor status." Breast Cancer Treat Res 83(suppl 1)(S7): abs 4. Ellis, M. J., A. Coop, et al. (2001). "Letrozole is more effective neoadjuvant endocrine therapy than tamoxifen for ErbB-1- and/or ErbB-2-positive, estrogen receptor-positive primary breast cancer: evidence from a phase III randomized trial." J Clin Oncol 19(18): Ellis, M. J., E. Rosen, et al. (2003). "Neoadjuvant comparisons of aromatase inhibitors and tamoxifen: pretreatment determinants of response and on-treatment effect." J Steroid Biochem Mol Biol 86(3-5): Goss, P. E., J. N. Ingle, et al. (2003). "A randomized trial of letrozole in postmenopausal women after five years of tamoxifen therapy for early-stage breast cancer." N Engl J Med 349(19): Winer, E. P., C. Hudis, et al. (2003). "American Society of Clinical Oncology technology assessment working group update: use of aromatase inhibitors in the adjuvant setting." J Clin Oncol 21(13): ) après chimiothérapie adjuvante Indications AA adj CAV (01/04/04) TAM ou AA (arimidex) pas de TAM - si HER si atc thromboembolique - si risque K endomètre - si RE+ RPpas d AA - si risque ostéoporose - ménopause récente? 2) hormonothérapie adjuvante exclusive AA (sauf risque ostéoporose?) 6
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailActualisation de référentiels. Boussen Hamouda Saber Boutayeb Axe Sud-Méditerranéen Tunis-Rabat
Actualisation de référentiels Boussen Hamouda Saber Boutayeb Axe Sud-Méditerranéen Tunis-Rabat Pourquoi actualiser? Introduction Référentiel prise de décision Mais nouveautés thérapeutiques régulières
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailIndication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailHormonothérapie par tamoxifène seul chez la femme non ménopausée en situation adjuvante
Hormonothérapie par tamoxifène seul chez la femme non ménopausée en situation adjuvante Ta m oxifen as adjuvant treatment of premenopausal breast cancer women Mots clés : Traitement adjuvant, Non-ménopausée,
Plus en détailXVème Journées de Sénologie Interactive
XVème Journées de Sénologie Interactive Jeudi 20 et vendredi 21 septembre 2012 PARIS Symposium GSK Cancer du sein métastatique HER2+ Nouveaux challenges Hormonothérapie mécanisme de résistance Gérard MILANO
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailPROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris
2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailUne version du présent guide destinée aux patientes figure à l annexe 1.
Guide de pratique clinique pour la prise en charge et le traitement du cancer du sein : 14. Le rôle de l hormonothérapie de remplacement pour les femmes chez lesquelles on a déjà diagnostiqué un cancer
Plus en détailupa/pai-1, Oncotype DX, MammaPrint Valeurs pronostique et prédictive pour une utilité clinique dans la prise en charge du cancer du sein
SOINS DÉCEMBRE 2013 upa/pai-1, Oncotype DX, MammaPrint Valeurs pronostique et prédictive pour une utilité clinique dans la prise en charge du cancer du sein SYNTHÈSE C O L L E C T I O N État des lieux
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailAvoir un cancer après 70 ans
Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les malades et leurs proches Avoir un cancer G R A N D P U B L I C Edition actualisée juin 2009 Nous remercions chaleureusement le groupe des
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailPOUR DIFFUSION IMMÉDIATE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE UN NOUVEAU TRAITEMENT À ADMINISTRATION MENSUELLE CONTRE LA SCHIZOPHRÉNIE, ABILIFY MAINTENA MC (aripiprazole à libération prolongée pour suspension injectable), EST MAINTENANT OFFERT
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailGUSTAVE ROUSSY À L ASCO
GUSTAVE ROUSSY À L COMMUNIQUÉ DE PRESSE 29 MAI 02 JUIN THÉRAPIES CIBLÉES www.gustaveroussy.fr/asco Communiqué de presse Gustave Roussy au 51 e congrès de l American Society of Clinical Oncology THÉRAPIES
Plus en détailPrise en charge de la ménopause
N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailQUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI
QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI La recherche contre le cancer a toujours suivi de nombreuses directions,
Plus en détailGrossesse après cancer du sein
Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailT. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION****
J Gynecol Obstet Biol Reprod 2005 ; 34 (cahier 1) : 658-665. Travail original Méthodologie de l enquête MISSION (Ménopause, risque de cancer du SeIn, morbidité et prévalence) T. Chevallier*, J.-P. Daurès*,
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailCANCERS BRONCHO-PULMONAIRES
OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détail28 octobre. Session institutionnelle (10h00-10h30) Epidémiologie et Santé Publique (10h30-12h40)
28 octobre Session institutionnelle (10h00-10h30) L Institut National du Cancer (en attente de réponse) Le Cancéropôle du Grand-Est - Pierre OUDET, Directeur Scientifique Epidémiologie et Santé Publique
Plus en détailUtilisation péri-opératoire des filtres caves
Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailEXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?
EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailEssais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes
Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes Clinical trials in elderly patients: the lymphoma experience D. Garbay*, P. Soubeyran* RÉSUMÉ Longtemps, les sujets âgés ont été exclus
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailIMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT
IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PROMETRIUM Progestérone en capsules Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la «monographie
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détail