Normes belges et européennes Spécifications Techniques Unifiées (STS) Notes d Information Technique (NIT)
|
|
- Anne Larrivée
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Normes belges et européennes Spécifications Techniques Unifiées (STS) Notes d Information Technique (NIT) Pour une plus grande Qualité des produits de construction et des ouvrages 1 SECTEUR DE LA CONSTRUCTION Secteur fragmenté - Multiplicité des acteurs Fabrications des produits et systèmes (Fabricant) Auteur de Projet Conception et dimensionnement des ouvrages (Architecte, Bureaux d étude) Bureau de contrôle Fabricant Maître d ouvrage Bureau d étude Entrepreneurs Assemblage (Entrepreneurs) Contrôleur sécurité 2
2 Sécurité Durabilité Performances énergétiques Accessibilité Impact environnemental PERFORMANCES DES OUVRAGES Exigences de plus en plus strictes Q U A L I T E 3 PERFORMANCES DES OUVRAGES Exigences de plus en plus strictes Partout en Europe et donc également en Belgique, les professionnels de la construction sont confrontés à la même difficulté : comprendre et maîtriser l usage de l ensemble des spécifications techniques réglementaires ou volontaires, afin de fabriquer, prescrire, acheter ou mettre en œuvre des produits en toute connaissance de cause et de justifier de ces choix auprès des différents partenaires de l acte de construire voire, le cas échéant, des autorités compétentes CSTB (France) TACHE ARDUE NOMBREUX DOCUMENTS 4
3 Etat Fédéral Régions AR Règlements LES DOCUMENTS EXISTANTS Ouvrages - Produits CSTC Service Public Fédéral NBN Normes européennes (EN) Normes belges (NBN) Spécifications techniques unifiées (STS) Notes d Information Technique (NIT) Produits Performances des ouvrages Principe général (exceptions!) Directives de conception et de mise en oeuvre 5 NORMES BELGES ET EUROPEENNES 6
4 NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Mise au point Editeur responsable Editées par l NBN - Depuis fin 2006: IBN remplacé par NBN Décentralisation des travaux de normalisation Opérateur Sectoriel (ex: CSTC) Organisme(s) agréé(s) chargé(s) de la coordination d une ou plusieurs commission(s) de normalisation (qui intervient comme «commission-miroir» belge de son homologue CEN ou ISO) NBN Opérateur sectoriel Opérateur sectoriel Opérateur sectoriel Commission de normalisation Commission de normalisation Commission de normalisation Commission de normalisation 7 8 Pouvoirs publics Architectes Fabricants Entrepreneurs Utilisateurs Organismes de recherche Fonction Membre de Commission de normalisation Profil Avoir un intérêt et la compétence nécessaire dans le domaine concerné Etre apte à fournir une contribution active et constructive aux travaux de normalisation Avoir du temps pour participer aux réunions Offre Faire valoir son expérience et exercer son influence sur le contenu des normes Se positionner stratégiquement sur le marché Prendre connaissance des nouvelles technologies de façon précoce Acquérir une reconnaissance et véhiculer son image de marque Contact normes@bbri.be
5 P R O D U I T NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Objectifs Une norme reflète les règles de bonne pratique en rapport avec un produit, un service ou un processus de production ( ) Dans le cadre du marché unique de l'ue et de la libre circulation des biens et des services, les normes constituent une référence dans le domaine technique ( ) Plus de 3000 normes concernent la construction Exemple NBN EN : Colles à carrelage - Exigences, évaluation de la conformité, classification et désignation. 9 NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Exemple NBN EN NBN EN Colles à carrelage - Exigences, évaluation de la conformité, classification et désignation C2TE 10
6 NBN S Critères acoustiques pour les immeubles d habitation NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Exceptions Notes d Information Technique (CSTC) Directives de conception et d exécution pour atteindre les performances requises (NIT 233) 11 NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Exceptions NBN B Performances thermiques des bâtiments Calcul des coefficients de transmission thermique (U) Réglementations régionales Exigences en terme de performance énergétique des bâtiments Publications de CSTC, ATG, Composition des parois, choix des matériaux, épaisseurs requises pour répondre aux exigences réglementaires 12
7 O B L I G A T O I R E NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Obligatoire ou volontaire? Lorsque l application de la norme est rendue obligatoire par une loi ou un AR Lorsque la norme est renseignée dans le Cahier Spécial des Charges ou dans les documents contractuels VOLONTAIRE En cas de litige, les normes sont considérées comme des règles de bonne pratique 13 Industrie NORMES EUROPEENNES ET NORMES BELGE Public Cible Caractérisation et propriétés des produits de construction Méthodes d évaluation (ex: essais) Documents de référence pour le marquage CE Auteur de projet Caractérisation et propriétés des produits de construction Règles de calcul et de dimensionnement (ex: Eurocode) Entrepreneur Caractérisation et propriétés des produits de construction 14
8 SPECIFICATIONS TECHNIQUES UNIFIEES (STS) 15 SPECIFICATIONS TECHNIQUES UNIFIEES (STS) Mise au point Editeur responsable Editées par les SPF Economie, P.M.E., Classes Moyennes et Energie Décentralisation des travaux de rédaction SPF Economie Sous-traitant (Ex: CSTC) Sous-traitant Sous-traitant Groupe de travail Professionnels de la construction: Entrepreneurs, Bureaux d étude, Fabricants, Architectes, Autorités publiques 16
9 SPECIFICATIONS TECHNIQUES UNIFIEES (STS) Objectifs Prescription des produits en fonction de leur application Critères et performances des ouvrages en référence aux normes produits STS 52: Menuiseries STS 23: Structures en bois. Quelques directives de conception et mise en oeuvre OBLIGATOIRE VOLONTAIRE En cas de litige, les STS sont considérées comme des règles de bonne pratique Obligatoire ou volontaire? Lorsque les STS sont renseignées dans le Cahier Spécial des Charges ou dans les documents contractuels (souvent le cas dans des marchés publics) 17 Industrie Auteur de projet SPECIFICATIONS TECHNIQUES UNIFIEES (STS) Public Cible Critères de conception des produits en fonction des applications spécifiques (performances à atteindre) Relation entre les différentes normes produits compte tenu des spécificités de l ouvrage Outils d aide dans le cadre de l établissement d un Cahier Spécial des Charges (Cahier des Charges Type) Choix des performances des produits en fonction des conditions du projet et des spécificités de l ouvrage Entrepreneur Information concernant les performances à atteindre, voire les directives de mise en oeuvre 18
10 NOTES D INFORMATION TECHNIQUE (NIT) 19 Editées par le CSTC NOTES D INFORMATION TECHNIQUE (NIT) Mise au point Editeur responsable Etablies par des Groupes de travail à l initiative d un ou de plusieurs Comité(s) Technique(s) du CSTC CSTC Comité Technique (ex: Gros œuvre) Comité Technique (ex: Couvertures) Comité Technique (ex: Pierre et marbre) Entrepreneurs Groupe de travail Professionnels de la construction: Entrepreneurs, Bureaux d étude, Fabricants, Architectes, Autorités publiques + Expertise ATA 20
11 NOTES D INFORMATION TECHNIQUE (NIT) Objectifs Thèmes traités: Les Notes d Information Technique se rapportent généralement à thème spécifique et pratique de la construction Objectifs: Recommandations en terme de choix des matériaux et systèmes en fonction des conditions d utilisation Directives de mise en œuvre permettant de répondre aux exigences définies par les réglementations ou documents contractuels + Critères de réception Détails d exécution intégrant l ensemble des exigences (ex: Stabilité, durabilité, étanchéité à l eau, à l air, isolation thermique et acoustique ) Travaux d entretien nécessaires au maintien en bon état de l ouvrage 21 NIT 227 Carrelages muraux NOTES D INFORMATION TECHNIQUE Exemples NIT 227 NIT 188 NBN 188 La pose des menuiseries extérieures 22
12 Industrie NOTES D INFORMATION TECHNIQUE (NIT) Public Cible Relation entre les différentes normes produits compte tenu des spécificités de l ouvrage Auteur de projet Outils d aide dans le cadre de l établissement d un Cahier Spécial des Charges Recommandations en terme de choix des produits et matériaux en fonction de l usage envisagé Directives de mise en œuvre, détails de conception, critères de réception, pathologies courantes Entrepreneur Information concernant les performances à atteindre et les directives de mise en oeuvre 23 OBLIGATOIRE VOLONTAIRE NOTES D INFORMATION TECHNIQUE Obligatoire ou volontaire Lorsque les NIT sont renseignées dans le Cahier Spécial des Charges ou dans les documents contractuels En cas de litige, les NIT sont considérées comme des règles de bonne pratique 24
13 DISPONIBILITE DES DOCUMENTS Normes Bureau de normalisation Site Portail Opérateurs sectoriels pour la construction Site Antennes Normes STS Wallonie qc.met.wallonie.be/fr/index.jsp Vlaanderen: /normes/index.html NIT Nombre de sessions par jour (moyenne) 2008: : : : PROCHAINEMENT 1200 normes de construction accessibles en ligne sur le site Internet du CSTC 25
Qu'est-ce que la normalisation?
NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,
Plus en détailIllustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments
Illustration des activités du Centre Scientifique et Technique de la Construction dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Journée Smart Cities 07 juin 2012 Centre collectif de recherche
Plus en détailDéroulement de la certification PEB de votre bâtiment
Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailASSURANCE DÉCENNALE: MODE D EMPLOI : GUIDE À USAGE DES CONSTRUCTEURS EUROPÉENS
ASSURANCE DÉCENNALE: MODE D EMPLOI : GUIDE À USAGE DES CONSTRUCTEURS EUROPÉENS Ce guide est destiné à vous aider à préparer votre entretien, en vue de souscrire un contrat d assurance de responsabilité
Plus en détailLa réglementation Incendie en Belgique
La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 1 La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 2 Cpt ing. F. HENRY 1 Les differents niveaux de pouvoir - Fédéral
Plus en détailEN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs
EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel
Plus en détailENV 1993 1 1 ANB. EC1 Eurocode EN 1994 1 2
Implémentation des EUROCODES 3 et 4 en Belgique r.debruyckere@seco.be 18 novembre 2010 ENV 1993 1 1 ANB EC1 Eurocode NAD, DAN EC4 EN 1994 1 2 EC3 1. Un petit peu d histoire 2. Les Eurocodes en Europe 21ENV
Plus en détailMarquage CE. pour structures en acier
Marquage CE pour structures en acier guide pratique - édition 2013 Marquage CE pour structures en acier Guide pratique Avant-propos La première édition de cette publication a été rédigée en 2010 et éditée
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailPOITIERS le 28 Mars 2013. Règlement Produit Construction Le rôle des différents acteurs. Pascal BAR
POITIERS le 28 Mars 2013 Règlement Produit Construction Le rôle des différents acteurs Pascal BAR 1 Obligations pour les fabricants 1. Détermination du «produit-type» Déclarer l usage attendu du produit
Plus en détailpour des structures en toute sécurité
Boulonnerie de construction métallique apte à la précontrainte et pour des structures en toute sécurité Marque : une chaîne de qualité ininterrompue La Marque NF Boulonnerie de Construction Métallique
Plus en détailLa législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations.
La législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations. Portes automatiques de garage Les normes relatives à la sécurité des portes
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailL'AMIANTE : RÉGLEMENTATION
L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance
Plus en détailProtégez et valorisez vos inventions. Un soutien sectoriel gratuit en matière de propriété intellectuelle à la mesure de votre entreprise
Les CeLLuLes Brevets Protégez et valorisez vos inventions Un soutien sectoriel gratuit en matière de propriété intellectuelle à la mesure de votre entreprise Les Cellules Brevets Protégez et valorisez
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailCOMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS
COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS Lot n 03 Menuiseries Aluminium - Serrurerie Sté d ARCHITECTURE BOITTE Agence de
Plus en détailLOT N 7: ESCALIER EXTERIEUR
MISE EN CONFORMITE ACCESSIBILITE DU PARKING, DU BATIMENT D ACCUEIL & AMENAGEMENT DES SANITAIRES BATIMENT D ACCUEIL DES PUNTAS 65 110 CAUTERETS MAÎTRE D'OUVRAGE SEM DU PONT D Espagne MAIRIE DE CAUTERETS
Plus en détailL amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé
CCW_DD02 L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé De nombreuses entreprises sont confrontées à des matériaux amiantés lors de rénovations ou de démolition de bâtiments. Ces matériaux,
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailDevenez Expert Tertiaire Somfy. Et engagez vous sur la voie du succès!
Devenez Expert Tertiaire Somfy Et engagez vous sur la voie du succès! Valorisez votre savoir-faire et vos compétences avec l appui des chargés d affaires tertiaire Somfy qui s engagent à vos côtés. Votre
Plus en détailSOMMAIRE. Bernard Longhi
BTP 2015 Prouver les bénéfices de la dématérialisation des facturations de marchés publics de travaux Charleville-Mézières Signature pilote BTP 2015 4/12/2014 SOMMAIRE Qui sommes-nous? Rappel du projet
Plus en détailSOMMAIRE. Recommandation N T1-99
SOMMAIRE Recommandation N T1-99 INTRODUCTION 4 Guide opérationnel sur l équivalence de normes et de certifications 5 Fiches explicatives Fiche A - la responsabilité du maître d ouvrage public : définir
Plus en détailA apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive
Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!
Plus en détailLa planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes
La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes ETAT DE LA SITUATION 2007 V1.1 Direction générale Soins de Santé primaires et Gestion de Crise Bruxelles, octobre 2008 1. Les Kinésithérapeutes
Plus en détailPROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT
PROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT Rôle de certificateur Jean SAPHORES C.S.O.E.C. 1 Handicaps des PME La chaîne de l information financière des PME est moins sécurisée que pour les entreprises
Plus en détailSTS 71-1 «Post-isolation des murs creux par remplissage in situ de la coulisse ayant une largeur nominale d au moins 50 mm»
Spécifications techniques unifiées STS 71-1 «Post-isolation des murs creux par remplissage in situ de la coulisse ayant une largeur nominale d au moins 50 mm» Version mars 2012 STS 71-1 Post-isolation
Plus en détailConditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE
DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailServices en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie
Choisir l avenir Distribution de produits financiers : Conseil et optimisation du patrimoine privé et professionnel Ingénierie Financière pour PME : Introduction en Bourse, levées de fonds, LBO Private
Plus en détailAVERTISSEMENT AU LECTEUR
AVERTISSEMENT AU LECTEUR Le contexte juridique actuel qui encadre toute opération de construction de maison individuelle s impose à tous les acteurs. La loi ne fait pas de différences entre les systèmes
Plus en détailCahier des Charges Site Internet
Agence Tristanah 2 boulevard Faidherbe 76260 EU Tél : 02.35.86.83.11 www.agence-tristanah.com contact@tristanah.com SOMMAIRE INTRODUCTION. p. 3 INFORMATIONS CONCERNANT VOTRE PROJET.. p. 3 LES OBJECTIFS
Plus en détailPERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES
PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES Le permis de conduire G Le permis de conduire G Depuis le 15 septembre 2006, un permis de conduire spécifique est exigé pour la conduite des tracteurs agricoles
Plus en détailVentilation : Mesure et réglage des débits
Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détailMINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET. BORDEAUX SCIENCES AGRO. 1, cours du général de Gaulle CS 40201.
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET. BORDEAUX SCIENCES AGRO 1, cours du général de Gaulle CS 40201 33175 Gradignan CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Marché à procédure
Plus en détailR E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES
R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES A PROPOS DE NOUS Conscio Technologies développe des solutions complètes de formation et de communication afin de
Plus en détailARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics
ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics DEFINITION D UNE NORME UNE NORME EST UN DOCUMENT : *ETABLI PAR CONSENSUS ET APPROUVE
Plus en détailSurveillance dosimétrique Note législative
VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la
Plus en détailL Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale
L Institut national d assurance maladie-invalidité Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale 6 Juillet 2015 1. INTRODUCTION Les principales caractéristiques du système de soins
Plus en détailLes difficultés rencontrées dans les projets de construction «verts» et comment les surmonter? Réunion #3 du 14 mai 2004
Les difficultés rencontrées dans les projets de construction «verts» et comment les surmonter? Réunion #3 du 14 mai 2004 Ordre du jour 13h45-15h : Vincent Mertens (Ecover, Facility Manager et coordinateur
Plus en détailFIN DE CHANTIER DEFINITION DE LA RECEPTION
FIN DE CHANTIER Article 1792-6 du Code civil DEFINITION DE LA RECEPTION «La réception est l'acte par lequel le maître de l'ouvrage déclare accepter l'ouvrage avec ou sans réserves. Elle intervient à la
Plus en détailBELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées
BELGIQUE Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées Ouverture de la Conférence DECLARATION DE S.E. Mme BENEDICTE FRANKINET AMBASSADEUR
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailREGIE PROVINCIALE AUTONOME DE SECURITE
REGIE PROVINCIALE AUTONOME DE SECURITE Cahier spécial des charges Appel d offre général pour la fourniture de défibrillateurs externes automatiques (DEA) Exercice 2013 Marché référencé «DEA 2013» L attention
Plus en détailSOMMAIRE. Bernard Longhi
BTP 2015 Prouver les bénéfices de la dématérialisation des facturations de marchés publics de travaux La Rochelle Signature officielle pilote BTP 2015 20/11/2014 BTP 2015 Mots de bienvenue et introduction
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailAMMA ASSURANCES DIX BONNES RAISONS DE SOUSCRIRE VOTRE CONTRAT D'ASSURANCE RESPONSABILITE MEDICALE AUPRES DE AMMA ASSURANCES!
AMMA ASSURANCES DIX BONNES RAISONS DE SOUSCRIRE VOTRE CONTRAT D'ASSURANCE RESPONSABILITE MEDICALE AUPRES DE AMMA ASSURANCES! AMMA ASSURANCES a.m. Association Mutuelle Médicale d Assurances entreprise d
Plus en détailPrincipales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013
Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 LE SYSTEME DES SOINS DE SANTE EN BELGIQUE 1. LA PROTECTION SOCIALE BELGE 2. LE FONCTIONNEMENT QUOTIDIEN
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailAudits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments
Audits énergétiques L efficacité énergétique dans les bâtiments Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer les performances énergétiques de votre bâtiment.
Plus en détailGrands Magasins et Magasins Multi-Commerces
Technicien de maintenance Autres appellations du métier Technicien polyvalent, agent d entretien polyvalent, agent de maintenance Le technicien de maintenance maintient les installations techniques en
Plus en détailURSA, l isolation optimisée pour les ERP et les bâtiments HQE
URSA, l isolation optimisée pour les ERP et les bâtiments HQE Siège social Agence commerciale Usine de laine de verre Usine de polystyrène extrudé URSA et URSA PUREONE 1 2 URSA, industriel international
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» SCSZ/09/042 DELIBERATION N 09/030 DU 5 MAI 2009 RELATIVE A LA COMMUNICATION DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL PAR LA BANQUE
Plus en détailService HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP
Service HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP Des services complets pour matériel et logiciels vous permettent d améliorer la disponibilité de votre infrastructure informatique.
Plus en détail1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois.
1. REGLEMENT DU STAGE OFFICINAL 1.1. Du stage et des stagiaires 1.1.1. Le stage est accompli dans une officine ouverte au public ou dans une officine hospitalière, dirigée par un pharmacien comptant au
Plus en détailLE MICX, NOUVEAU CENTRE DE CONGRÈS À MONS
Regard sur le béton LE MICX, NOUVEAU CENTRE DE CONGRÈS À MONS Depuis février 2015, Mons jouit de la présence d un nouvel édifice imposant, situé à deux pas de la future gare de Santiago Calatrava. Dans
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/09/142 DÉLIBÉRATION N 09/079 DU 1 ER DECEMBRE 2009 RELATIVE A LA COMMUNICATION DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL PAR
Plus en détailLE CHAMP D APPLICATION
LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés
Plus en détailLa réglementation incendie et ses évolutions
La réglementation incendie et ses évolutions L évacuation des personnes à mobilité réduite en cas d incendiedi S. Danschutter, Chef de projet, CSTC Y. Martin, Chef de division, CSTC www.cstc.be J. Rahier,
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailCompétences Bois. inclinées en rénovation
4 Compétences Isolation des toitures inclinées en rénovation Bois Sommaire 1. Les risques d humidité 2. Notions générales pour isoler une toiture 3. Cas de figures proposés dans le cadre de Compétences
Plus en détailSECURITE CERTIFIEE! a ces 3 criteres : Stabilite Etancheite aux flammes Isolation thermique
SECURITE CERTIFIEE! J Le feu et surtout Ia fumee se propagent de maniere verticale et horizontals le long de toutes les ouvertures disponibles. Afin de contrer ce phenomena, les batiments sont divises
Plus en détailLa Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois
Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature
Plus en détaille 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier
Étanchéitéàl air le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Les rencontres du Groupe PROTEC - CONFERENCE Qui sommes nous? Bureau de mesure et contrôle de la perméabilité à l air Formations en Infiltrométrie
Plus en détailThème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise?
S O M M A I R E Thème. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise? CHAPITRE Qu est-ce que l «entreprise» pour le droit aujourd hui? 9 Le principe d unité des règles de droit... 0 Le statut
Plus en détailfire-line DE COENE Securité anti-incendie certifiée! De Coene Products Europalaan 135 BE-8560 Gullegem www.decoeneproducts.be
DE COENE PRODUCTS Securité anti-incendie certifiée! fire-line L incendie de l Innovation à Bruxelles (1967) a entraîné une législation incendie innovante et extrêmement rigoureuse pour les bâtiments publiques
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL Economie, P.M.E., Classes moyennes & Energie. Guide de Sécurité. Mini-motos (pocket-bikes)
SERVICE PUBLIC FEDERAL Economie, P.M.E., Classes moyennes & Energie Guide de Sécurité Mini-motos (pocket-bikes) 22.06.2006 Ce guide de sécurité a été élaboré par le Service Sécurité des Produits du Service
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailContrôle et Monitoring
Contrôle et Monitoring De la conception jusqu au suivi de l ouvrage Philippe WELTER, SPW Direction de la Géotechnique (philippe.welter@spw.wallonie.be) Journée d étude SBGIMR 10/03/2015 Les techniques
Plus en détailEXPERTS ICT HELPDESK (M/F)
EXPERTS ICT HELPDESK (M/F) POUR TOUS LES SERVICES PUBLICS FÉDÉRAUX, LES ORGANISMES D INTÉRET PUBLIC, LES SERVICES PUBLICS DE SÉCURITÉ SOCIALE, LES ÉTABLISSEMENTS SCIENTIFIQUES FÉDÉRAUX ET LE MINISTÈRE
Plus en détailSouscription des assurances construction par un maître d ouvrage public
Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Octobre 2013 1 / 24 SOMMAIRE 1) LE PROCESSUS DE SOUSCRIPTION 1.1) Quand souscrire les assurances construction? 1.2) Quels sont les
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailMise à jour : 02/07/2015
Mise à jour : 02/07/2015 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B-1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Indemnités pour frais de séjour
Plus en détail3 minutes. pour tout savoir sur. Orange Consulting le conseil par Orange Business Services
3 minutes pour tout savoir sur Orange Consulting le conseil par Orange Business Services la technologie digitale est partout et n a jamais été aussi riche en promesses Notre ambition dans notre plan stratégique
Plus en détailCENTRALE D'ACHAT AERONAUTIQUE NCAGE : FAWV7
NCAGE : FAWV7 NCAGE : FAWV7 Table des matières : NHE AERO TRADING... 3 PIECES DETACHEES... 4 Vente / Echange Standard...4 Réparation...5 Outillage / GSE... 6 Vente/Location...6 AVIONS / MOTEURS... 7 Vente
Plus en détailFedict Règlement général de sécurité de l'information
Fedict Règlement général de sécurité de l'information V 1.0 Table des matières 1 Politique de sécurité de l information 2 2 Gestion des actifs 4 3 Organisation de la sécurité de l information 5 4 Ressources
Plus en détailSéance d information Appel ERA-NET Cofund ENSCC Smart Cities and Communities
Séance d information Appel ERA-NET Cofund ENSCC Smart Cities and Communities Fabrice Quertain, Attaché fabrice.quertain@spw.wallonie.be Direction des Programmes fédéraux et internationaux Mont-Saint-Guibert
Plus en détail8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578. 31, rue de la Plaine 75020 PARIS
8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578 31, rue de la Plaine 75020 PARIS QUESTIONNAIRE TOUS RISQUES CHANTIER MONTAGE ESSAIS Pour étude tarifaire CLIENT/PROSPECT : Secteur
Plus en détailFormation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables
Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables Bruxelles Environnement INTRODUCTION : FACTEURS DETERMINANTS POUR LA GESTION DES BATIMENTS DURABLES Thomas DEVILLE Cenergie cvba
Plus en détailCOMPRENDRE. Le métier de courtier en travaux
COMPRENDRE Le métier de courtier en travaux À PROPOS DE L AUTEUR Clico Travaux Clico Travaux est une enseigne de courtage en travaux basée à Achèresdans les Yvelines. Il n est pas simple de trouver des
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé CSSS/09/010 DÉLIBÉRATION N 09/008 DU 20 JANVIER 2009 RELATIVE À L APPLICATION DE LA GESTION INTÉGRÉE DES UTILISATEURS ET DES ACCÈS PAR LA PLATE-FORME
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailLes badges de chantier*
Fabienne Muller Université de Strasbourg - Octobre 2013 Les badges de chantier* * Travail réalisé à partir de l'exploitation des questionnaires envoyés aux partenaires concernés par les dispositifs, éventuellement
Plus en détailDECLARATION ATTESTANT L'ACHEVEMENT ET LA CONFORMITE DES TRAVAUX (DAACT) et RECOLEMENT
DECLARATION ATTESTANT L'ACHEVEMENT ET LA CONFORMITE DES TRAVAUX (DAACT) et RECOLEMENT GENERALITES La DAACT est obligatoire (R 462-1 du CU) pour : Les permis de construire Les permis d'aménager Les déclarations
Plus en détailInterdiction des GSM spécialement conçus pour les enfants et autres mesures: frequently asked questions
Interdiction des GSM spécialement conçus pour les enfants et autres mesures: frequently asked questions I. Les mesures... 2 Quelles sont les obligations imposées?... 2 Pourquoi ces mesures?... 2 Quel est
Plus en détailRESPONSABILITÉ DES ENTREPRISES DANS LA CONSTRUCTION
100 route de Bern - 40410 PISSOS www.ophi-systeme.com RESPONSABILITÉ DES ENTREPRISES DANS LA CONSTRUCTION Assssuurraanncceess LLooi iiss - Noorrmeess rrèèggl leess CCoommeenntt ss yy rreettrroouuvveerr
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détailANNEXE 2 L ACOUSTIQUE
ANNEXE 2 L ACOUSTIQUE LE BRUIT DÉFINITION Niveaux de l ambiance sonore résultant des activités Bruit admissible et confort à l intérieur L ISOLATION ACOUSTIQUE L INDICE D AFFAIBLISSEMENT ACOUSTIQUE PONDÉRÉ
Plus en détailRW-SpW-DGT2-DM-Direction de la Maintenance. Localité/Ville: Namur Code postal: 5000
1/ 13 BE001 10/08/2012 - Numéro BDA: 2012-518063 Formulaire standard 2 - FR Bulletin des Adjudications Publication du Service Fédéral e-procurement SPF P&O - 51, rue de la Loi B-1040 Bruxelles +32 27905200
Plus en détailQuels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie?
Quels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie? André Delacharlerie Responsable de l Observatoire des TIC ad@awt.be e-business, fini de jouer? 26.04.2007-1 Au cœur c de l
Plus en détailAPPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective
APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date
Plus en détailVade-mecum Règles Pratiques
Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées
Plus en détail>I Maçonnerie I Escaliers
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailL isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale
L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale Editeurs responsables: E. Schamp et J.-P. Hannequart Institut bruxellois
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détail