GUIDE DE BONNES PRATIQUES DE RÉHABILITATION DES DÉCHARGES
|
|
- Lionel Beaudin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GUIDE DE BONNES PRATIQUES DE RÉHABILITATION DES DÉCHARGES
2 Sommaire I. Un inventaire exhaustif 3 II. Qu est-ce qu une décharge brute? 4 III. Qu est-ce qu un dépôt sauvage? 5 IV. Quels sont les principaux types de décharges? 6 V. Qu est-ce qu une ISDND? 7 VI. Pourquoi réhabiliter les décharges brutes? 8 VII. Quels résultats d inventaire et de diagnostic? 9 VIII. Quelles suites donner aux sites à réhabiliter? 11 IX. Les études préalables aux travaux 13 X. Les travaux de réhabilitation 15 XI. Pour aller plus loin 18 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
3 I. UN INVENTAIRE EXHAUSTIF En 2014, la direction régionale de l ADEME (Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie), a réalisé un inventaire et diagnostic des décharges brutes et dépôts sauvages présents sur le territoire corse. Cette mission, confiée au bureau d études EODD Ingénieurs Conseils, avait pour objectifs de : disposer d une base de recensement complète et évolutive en fonction de l avancement des opérations de réhabilitation ; permettre la programmation à l échelle régionale des opérations de réhabilitation des décharges brutes ; déterminer les niveaux de priorité d intervention en fonction des risques environnementaux ; disposer des enveloppes estimatives chiffrées requises pour mener à bien les opérations de réhabilitation. Page 3 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
4 II. QU EST-CE QU UNE DECHARGE BRUTE? Il s agit d une ancienne décharge d ordures ménagères gérée le plus souvent au niveau communal. Au sens de la circulaire du 20 février 1989 : «Les décharges brutes communales sont des décharges de déchets ménagers et assimilés, faisant ou ayant fait l objet d apports réguliers, exploitées directement par une collectivité ou laissées par elle à la disposition de ses administrés alors qu elles ne bénéficient d aucune autorisation préfectorale au titre de la législation des installations classées pour la protection de l environnement» Une décharge dont l autorisation est caduque est considérée comme une décharge brute au sens de cette même circulaire. La France compte, en moyenne, 1 décharge brute par commune. Page 4 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
5 III. QU EST-CE QU UN DÉPÔT SAUVAGE? Ce sont des sites pour lesquels les dépôts de déchets ne sont pas contrôlés. Au sens de la circulaire du 23 février 2004 : «Les dépôts sauvages résultent le plus souvent d apports clandestins réalisés par les particuliers pour se débarrasser des déchets qui ne sont pas pris en compte par les services traditionnels de la collecte des ordures ménagères. Il s agit en général de dépôts de faibles quantités de déchets». Page 5 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
6 IV. QUELS SONT LES PRINCIPAUX TYPES DE DÉCHARGES? Déversement en talweg ou ravin Délaissé de route Comblement de dépression Tumulus Page 6 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
7 V. QU EST-CE QU UNE ISDND? Une Installation de Stockage de Déchets non Dangereux est une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE), dûment autorisée par le Préfet pour traiter les déchets résiduels des ménages. Régies par l arrêté ministériel du 09 septembre 1997 modifié, ces ISDND sont spécifiquement conçues pour éviter tout risque de pollution dans l environnement. Elles constituent aujourd hui de véritables centres de traitement permettant le plus souvent une valorisation énergétique du biogaz capté dans les casiers de stockage. Credit ADEME Page 7 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
8 VI. POURQUOI RÉHABILITER LES DÉCHARGES BRUTES? Parce qu elles sont illégales Parce qu elles peuvent polluer les eaux souterraines et de surface Parce qu elles dégradent les paysages Parce qu elles peuvent être sources de nuisances ou de risques pour l Homme (odeurs, gaz, fumées, ) Parce qu il existe des solutions de substitution : ISDND pour les déchets ménagers résiduels ISDI (Installation de Stockage de Déchets Inertes) pour les matériaux inertes en particulier issus des chantiers de démolition Réseau de déchèteries Plateformes de compostage des déchets verts Page 8 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
9 VII. QUELS RÉSULTATS D INVENTAIRE ET DE DIAGNOSTIC? Grâce à une large consultation des élus et des acteurs publics du secteur des déchets, ce ne sont pas moins de 334 sites qui ont été répertoriés. Parmi ces 330 sites : 159 sites ont fait l objet d un diagnostic terrain afin d en caractériser le niveau d impact ou de risque qu ils font peser sur leur environnement ; en grande majorité ces sites sont de faible surface (moins de 500 m²) ; les 171 autres sites n ont pas été diagnostiqués pour les raisons suivantes : il peut s agir de petits dépôts sauvages ; les sites sont fermés et déjà réhabilités ; Note : Seuls sont reportés les sites recensés sur la base des réponses des collectivités lors de l inventaire (d autres sites peuvent donc exister sur des territoires pour lesquels les collectivités n ont pas repondu). Page 9 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
10 Le diagnostic terrain a permis de classer les 159 sites visités en classes de risque selon la méthodologie nationale de l ADEME : La méthodologie ADEME de notation et de classement des sites diagnostiqués repose sur la notion de risque : celui-ci est le résultat de la concomitance des 3 termes suivants : la source de pollution potentielle (la décharge) ; les voies de transfert de la pollution (eaux, air, sols) vers les cibles identifiées (captages, habitations, milieux naturels, ). En l absence d un de ces trois termes, le risque est limité. Page 10 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
11 VIII. QUELLES SUITES DONNER AUX SITES À RÉHABILITER? Les sites à risque environnemental fort doivent faire l objet d une étude complémentaire en vue de préciser les risques réels qu ils font peser sur les milieux. Cette étude doit permettre à son issue de chiffrer un programme de travaux. Parmi les 37 sites à risque fort, 4 sont ainsi classés en raison des milieux paysagers et naturels et ne nécessitent pas d étude préalable. Les sites à risque environnemental moindre doivent faire l objet de travaux sans études complémentaires (quelques sites peuvent toutefois faire l objet d une étude sommaire). Dans les cas complexes, la collectivité s attachera les services d un maître d œuvre de l opération de travaux. Enfin, pour les sites à risques faibles à nuls, quelques travaux sommaires sont parfois requis et dans la plupart des cas aucune intervention n est à prévoir. Suite à l inventaire, 127 des 159 sites diagnostiqués nécessitent une intervention (étude complémentaire et/ou travaux de réhabilitation). Chacun des sites 159 diagnostiqués fait l objet d un rendu synthétique qui permet à la collectivité de disposer des éléments du diagnostic. En outre, pour les 127 sites nécessitant une prise en charge (études et/ou travaux), une fiche descriptive des interventions à prévoir est fournie. Dans un objectif de rationalisation de la dépense publique et conformément aux préconisations de l ADEME, il est fortement recommandé de programmer des opérations groupées par structures intercommunales. Le tableau ci-après présente les chiffres clés de l inventaire-diagnostic et les enveloppes estimées pour résorber les sites concernés. Page 11 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
12 Page 12 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
13 IX. LES ÉTUDES PRÉALABLES AUX TRAVAUX Les sites à risque environnemental fort doivent faire l objet d une étude complémentaire visant à définir les travaux à réaliser. Ceux-ci doivent en effet être proportionnés aux enjeux environnementaux mis en évidence par l étude. Cette étude se déroule classiquement en 4 étapes : 1ère étape : étude historique et documentaire visant à collecter et analyser les éléments descriptifs du site (historique d exploitation, incidents, aménagements ) et de son environnement (sensibilité et vulnérabilité des milieux). 2ème étape : investigations de terrain ; il s agit ici de procéder à des reconnaissances sur site, plus ou moins importantes (forages, mesures de gaz, analyses d eaux, ), afin de lever les doutes et incertitudes éventuellement identifiés lors de la 1ère étape. 3ème étape : analyse des risques et des impacts ; cette étape vise à interpréter l ensemble des éléments issus des deux premières étapes pour en dégager une analyse conclusive quant aux niveaux de risques et d impacts que fait porter le site sur son environnement ; à l issue de cette étape, des objectifs de réhabilitation doivent être fixés afin de remédier aux problématiques environnementales et/ou sanitaires soulevées. 4ème étape : cette ultime étape a pour objet de bâtir au moins deux scénarios de réhabilitation, de niveau avant-projet ; le bureau d études y présente le descriptif technique, l enveloppe prévisionnelle des travaux et le délai attendu de réalisation. Selon les conclusions de l étude, la collectivité en charge de l opération pourra être amené à : n avoir aucune suite à donner, en cas d absence confirmée de risque et sous réserve que le site soit dans un état visuel satisfaisant ; ou à lancer les opérations de travaux directement en cas d interventions simples requises ; ou à faire appel à un maître d œuvre en cas de travaux plus complexes et/ou coûteux. Page 13 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
14 Source ADEME Page 14 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
15 X. LES TRAVAUX DE RÉHABILITATION Les travaux de réhabilitation des sites doivent répondre aux problématiques environnementales et/ou sanitaires identifiées ; ils doivent donc être proportionnés à ces enjeux. Les étapes les plus courantes d une opération de réhabilitation peuvent être synthétisées comme suit : Validation préalable par la collectivité de la maîtrise foncière (à défaut, autorisation des propriétaires à obtenir) Lancement par la collectivité des demandes de renseignements (DR) afin de pré-identifier d éventuels réseaux enterrés ou aériens Dégagement et sécurisation des emprises ; pistes d accès, déboisement, fléchage et panneautage, Remodelage des déchets dans un double objectif de création de pentes minimales en partie sommitale et d adoucissement des pentes en talus (stabilisation géotechnique) Couverture des déchets remodelés : le type de couverture et son épaisseur varient selon l enjeu environnemental ; dans tous les cas, un minimum de 50 cm sera toujours requis Gestion des eaux pluviales par création de fossés et cunettes Végétalisation de la couche de surface de la couverture par ensemencement ; on évitera la plantation d arbres ou d arbustes dont les racines peuvent détériorer à terme la couverture Le cas échéant outils de surveillance environnementale et/ou géotechnique : piézomètres, inclinomètres, Sécurisation des lieux : on évitera autant que possible la pose de clôtures et on cherchera à limiter les possibilités d accès en créant des fossés ou merlons, ou en disposant des blocs d enrochements Page 15 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
16 Page 16 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
17 Page 17 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
18 XI. POUR ALLER PLUS LOIN L ADEME et OEC accompagnent les collectivités dans leur projet de réhabilitation en : Leur mettant à disposition les résultats de l inventaire, Leur fournissant un cahier des charges type pour lancer les études préalables aux travaux, Assurant un rôle de conseil technique et règlementaire, Apportant un soutien financier aux collectivités : à la réalisation d études préalables aux travaux à hauteur de 70 % maximum; aux opérations de réhabilitation des décharges brutes et des décharges dont l arrêté d autorisation d exploitation est caduque (hors site avec obligation de mise en place de retenues de garanties pour remise en état du site). Soutien maximum à hauteur de 50% sur assiette éligible (financement ADEME). Publications : Guide national ADEME 2005 : «Remise en état des décharges : méthodes et techniques» Brochure ADEME LR 2006 : «Guide pratique de travaux» OEC 14 Avenue Jean Nicoli Corte Tél. : 33 (0) Fax : 33 (0) Courriel : info@oec.fr Site internet : ADEME DR CORSE Direction Régionale Corse Lot 3F - Le Ricanto Route du Vazzio CS Ajaccio Cedex 9 Courriel : philippe.sampieri@ademe.fr Site internet : Plaquette réalisée avec le concours de : Tous crédits EODD sauf mention Page 18 Guide de bonnes pratiques de réhabilitation des décharges - ADEME DR CORSE / OEC (2015)
Décrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailElaboration d une base de données des décharges non autorisées
Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR mars 2005 Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailLES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE
Direction départementale des territoires PRÉFET DES HAUTES-ALPES Service d'appui territorial Application du droit des sols LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE D'une manière générale, les zones naturelles
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailEntreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux
Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux obligation depuis le 1 er juillet 2012 Un nouveau téléservice pour construire sans détruire www.reseaux-et-canalisations.gouv.fr
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détail4.6 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 6 : NETTOYAGE
MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailImpôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment
Impôts 2015 TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans particuliers professionnels du bâtiment travaux relevant des taux réduits attestation Les principaux taux de TVA depuis le 1er
Plus en détailLa Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements
Lundi 24 juin 2013 La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Service de Presse 04 67 22 81 31 /// 04 67 22 80 47 presse-region@cr-languedocroussillon.fr Convaincue
Plus en détailFiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS
Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailLES REPONSES DES CANDIDATS
Lyon - 22 mars 2007 DECHETS ET ENERGIE LES REPONSES DES CANDIDATS AUX COLLECTIVITES TERRITORIALES AMORCE, association nationale des collectivités et des professionnels pour la gestion des déchets et de
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailTITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU )
TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU ) La zone AU couvre les espaces non équipés par les réseaux de viabilisation, que la commune souhaite réserver au développement de l urbanisation
Plus en détailDépartement de l Hérault
Du diagnostic à l opérationnel, quelles priorités? Le cas des collèges de l Hérault Jean-Pierre Quentin, directeur d exploitation du pôle éducation Patrimoine Conseil général de l Hérault mai 2009 AUDIT
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détailFinancez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro
Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailAtlansèvre Entreprises Le club des usagers
Compte-rendu Réunion du 12 février 2008 Sur le thème «Les aides économiques» Les domaines abordés : Emploi, formation, gestion des compétences Innovation et R&D Qualité et sécurité Environnement, énergie
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L ENSEMBLE DU DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER D UNE LA COURNEUVE (93) 93-002
93-002 15 décembre 2014 RESUME NON TECHNIQUE DE L ENSEMBLE DU DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER D UNE PLATE-FORME DE TRAITEMENT BIOLOGIQUE DE TERRES POLLUEES ET DE TRANSIT DE DECHETS VERTS
Plus en détailArticle 173 de la Loi ALUR du 24 mars 2014 sur la réforme des sites et sols pollués
Article 173 de la Loi ALUR du 24 mars 2014 sur la réforme des sites et sols pollués Le socle attendu d un droit des sites et sols pollués cohérent et autonome tourné vers le redéveloppement des friches
Plus en détailDéchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels
Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailLa collecte des papiers de bureau
Développement durable La collecte des papiers de bureau 1 LE SIVOM DU BAS-BUGEY Compétences La collecte des ordures ménagères La collecte sélective 3 déchetteries : Belley, Culoz et Virieu le Grand Quai
Plus en détailDéfi 7/7 Mission Ecogestes
Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailEXEMPLES D AMENAGEMENTS PAYSAGERS REALISES PAR ECT
EXEMPLES D AMENAGEMENTS PAYSAGERS REALISES PAR ECT Ligne de chemin de fer Merlon paysager Merlon antibruit paysager le long du TGV (1/2) Moussy-Le-Neuf (77230) Ligne de chemin de fer Merlon paysager intégré
Plus en détailPlan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire
Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire 2014-2020 Projet présenté par Madame Ségolène Royal lors de la réunion du conseil national des déchets le 7 novembre 2014
Plus en détailCHAPITRE NCa POS APPROUVE LE 27/09/01 ET MODIFIE LE 29/09/05
POS APPROUVE LE 27/09/01 ET MODIFIE LE 29/09/05 CHAPITRE NCa ZONE DE RICHESSES NATURELLES, OU LA POSSIBILITE D'EXPLOITER DES CARRIERES DOIT ETRE PRESERVEE. SECTION 1 - NATURE DE L'OCCUPATION DU SOL ARTICLE
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailLigne ferroviaire LGV Sud Europe Atlantique Surfaces supplémentaires à acquérir pour travaux déclarés d utilité publique
Commissaire enquêteur titulaire : Christian CHEVALIER Suppléant : Vincent-Emmanuel VALOIS Ligne ferroviaire LGV Sud Europe Atlantique Surfaces supplémentaires à acquérir pour travaux déclarés d utilité
Plus en détailLe biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry
Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère
Plus en détailCarnet photos. Visite commentée des travaux
Carnet photos Visite commentée des travaux Marais du Vigueirat Life PROMESSE 2003-2007 Sommaire Chaufferie bois et plateforme de stockage... 3 Cuves de récupération des eaux pluviales... 7 Lit planté de
Plus en détailcommerciaux : comment s y
J o u r n é e d e s b a u x c o m m e r c i a u x 1 4 n o v e m b r e 2012 o r g a n i s é e p a r l e b u r e a u d e s d i p l ô m é s d u M a s t e r d e M a n a g e m e n t I m m o b i l i e r d e
Plus en détailDélibération n 09-2-5 POINT N 5 DE L'ORDRE DU JOUR -=-=-=-=-= AGENCE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE LA MAITRISE DE L'ENERGIE CONSEIL D'ADMINISTRATION
Délibération n 09-2-5 POINT N 5 DE L'ORDRE DU JOUR -=-=-=-=-= AGENCE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE LA MAITRISE DE L'ENERGIE CONSEIL D'ADMINISTRATION SEANCE DU 11 FÉVRIER 2009 -=-=-=-=-= SYSTEME D AIDES POUR
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailCOMMUNE DE SASSENAGE
COMMUNE DE SASSENAGE PLAN LOCAL D URBANISME 3. RÈGLEMENT ------------------------- ------------------------- Direction de l aménagement urbain. Modification n 2 SOMMAIRE TITRE I DISPOSITIONS GENERALES
Plus en détailF.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique
F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de
Plus en détailALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ
ALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ ALFABLOC Notre société est la seule à proposer ce type de mur autoporteur révolutionnaire.
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailDemande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI)
Demande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI) Commune d Alixan - 26 Lieu-dit «Les Garennes» Rapport n R1307502 bis Décembre 2013 Demande d Autorisation
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailAVANT-PROJET DE PLAN. Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013
AVANT-PROJET DE PLAN Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013 Avis Favorable de la commission consultative pour mise en consultation - 25 octobre
Plus en détailCOMPTE RENDU DES DELIBERATIONS PRISES PAR LE CONSEIL MUNICIPAL DANS SA SEANCE DU 17 SEPTEMBRE 2009
Dingy-Saint-Clair, le 18 septembre 2009 COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS PRISES PAR LE CONSEIL MUNICIPAL DANS SA SEANCE DU 17 SEPTEMBRE 2009 L an deux mille neuf, le dix sept septembre, le Conseil Municipal
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailRéforme des autorisations d Urbanisme
Réforme des autorisations d Urbanisme Entrée en vigueur le 1er octobre 2007 L essentiel de la réforme réside dans : - le regroupement des procédures fusionnées en 3 permis et une déclaration préalable
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailPRÉFET DE LA HAUTE-CORSE LE PRÉFET DE LA HAUTE-CORSE, Vu le code de l environnement, et notamment ses articles L. 515-12 et R. 515-24 à R.
DIRECTION RÉGIONALE DE L'ENVIRONNEMENT, DE L'AMENAGEMENT ET DU LOGEMENT PRÉFET DE LA HAUTE-CORSE Arrêté instituant les servitudes d'utilité publique dans le périmètre des deux cents mètres autour de l'installation
Plus en détailMarché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08
ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailDES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE
12 13 I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P ROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) 1.RÉGLEMENTATION 2.OBJECTIFS 3.LES PRINCIPES 3.1. LES ACTEURS 3.2. DÉCLARATION 3.2.1.PROCÉDURE 3.2.2.CONTENU DU DOSSIER 3.3.
Plus en détail22/06/2015 IMP50PO5-2
22/06/2015 REGLEMENT DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SPANC-SATESE 37) SATESE 37 Z.A du Papillon 3 Rue de l Aviation 37210 PARÇAY-MESLAY Tél : 02 47 29 47 37 / Fax : 02 47 29 47 38 Internet
Plus en détailLa cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE
La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les
Plus en détailDEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE
DEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE Projet de Plan Départemental de Prévention et de Gestion des Déchets non Dangereux de la Martinique Résumé non technique du rapport d évaluation environnementale Juin 2015
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détailMise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane
Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001 SARRAMAGNAN Viviane Master II Économie et Gestion de l Environnement Année universitaire 2008/2009 Sommaire Présentation
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailMAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du Puits 27950 SAINT PIERRE D AUTILS
DÉPARTEMENT DE L'EURE - ARRONDISSEMENT D ÉVREUX - CANTON DE VERNON-NORD Tel : 02 32 52 22 17 Fax : 02 32 52 94 97 Email : mairie.saint-pierre.autils wanadoo.fr MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du
Plus en détailBONNET Matthieu, élève ingénieur de 5 ème année
INSA de Strasbourg Spécialité GENIE CIVIL BONNET Matthieu, élève ingénieur de 5 ème année Projet de Fin d Etudes Recherche et implantation de C.E.T. de classe 3 et de plates-formes de recyclage. Juin 2006
Plus en détailMESURES de BRUIT. Chantier A63 Rechargement
1/21 MESURES de BRUIT Installations d enrobage Plate-forme LABENNE (40) RAPPORT DE MESURAGE Bruit ambiant et émergences RAPPORT DE MESURAGE Mesures réalisées le 17/10/2013 2/21 SOMMAIRE Page Conclusions
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant
Plus en détailCrédit d impôt et Livret de Développement Durable. Deux outils pour financer les projets d amélioration de la performance énergétique des logements
Crédit d impôt et Livret de Développement Durable Deux outils pour financer les projets d amélioration de la performance énergétique des logements Logique des dispositifs Résultats du crédit d impôt Mise
Plus en détailComment aménager un stockage de fioul ou gas-oil
Sept. 2004 EXPLOITATIONS AGRICOLES Comment aménager un stockage de fioul ou gas-oil? Guide pratique à destination des techniciens et des agriculteurs lorrains Que dit la réglementation : En fonction du
Plus en détailComment rénover efficacement son parc immobilier?
Comment rénover efficacement son parc immobilier? Quel est l état énergétique de mon parc immobilier? Quels indicateurs actuels et futurs à prendre en compte? Quels objectifs de performance viser et à
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailAppel à projets Economie Circulaire en Bretagne Année 2015
Appel à projets Economie Circulaire en Bretagne Année 2015 La Direction Régionale de l ADEME lance en 2015 un nouvel appel à projets concernant l économie circulaire portant sur différents volets thématiques
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailCOMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012
COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel
Plus en détailCOLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles
COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC
Plus en détail