Application des Directives PAP/CAR pour le contrôle de l érosion et de la désertification dans le Bassin Versant de l Oued Ermel (Tunisie)

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1 Application des Directives PAP/CAR pour le contrôle de l érosion et de la désertification dans le Bassin Versant de l Oued Ermel (Tunisie) Travail réalisé par : Attia Rafla, Agrébaoui Sadok, Hamrouni Hédi

2 Introduction Ce travail est la continuité du projet de cartographie et de mesure de l érosion entrepris par le PAP/CAR en 1990, en Tunisie. La première phase du projet : - la cartographie et mesures de l érosion grâce à une méthode consolidée PAP/CAR-FAO basée sur les facteurs naturels uniquement (pente, couvert végétal et lithologie ) La deuxième phase L introduction de nouveaux indices par la procédure integrée de contrôle d érosion et de désertification «Procédure PAP/CAR», comme l utilisation des sols par la population, les enquêtes socio-économiques. Cette phase aboutira à: - la définition de zones prioritaires d intervention - l élaboration de propositions relatives au contrôle d érosion et de la désertification dans les sites pilotes choisis à savoir le sous bassin Sbaihia du grand bassin de l O. Rmel et la plaine de Bouficha située dans la partie aval.

3 Le B.V de l Oued Rmel situé sur la côte orientale de la Tunisie, à 80 km au sud de Tunis. Il est limité à l W par le Dj.Zaghouan (1293m d'altitude) à l'est par la mer Méditerranée. Il couvre ha, draine 8 affluents et assure une transition entre différentes régions: le nord de la dorsale tunisienne, le Sahel et le Cap-Bon. Carte de localisation de la zone pilote

4 Situation géographique, principales caractéristiques physiques Carte du réseau hydrographique Carte des états érosifs B.V Rmel Une application de la 1ère phase du projet a été réalisée sur le bassin de l Oued Rmel.

5 Conditions spécifiques qui ont influé sur la réalisation de l'étude La diversification, la complexité et le nombre d affluents du B.V Rmel nous amène à choisir 2 sites pilotes représentatifs La caractérisation et l analyse par la procédure PAP CAR permettra de comprendre la problématique du grand bassin sur le plan risque érosif, usage des terres et interaction des facteurs biophysiques et humains. Le choix a porté : Le bassin versant de Sbaihia en amont (6500ha) La plaine de Bouficha 3000ha en aval Les deux sites présentent des systèmes de productions différents représentatifs des parties amont et aval du grand bassin sur le plan topographie, taille de l exploitation, types de cultures, cheptel, écoulement de la marchandise et population.

6 Le B.V de l'o. Sbaihia Le B.V de l'o. Sbaihia :délégation de Zaghouan Sous unité hydrologique du grand B.V de l'o. Rmel l'étage bioclimatique semi-aride Précipitations variables irrégulières 400 à 450mm quatre grandes unités géomorphologiques : - les crêtes structurales (flancs de montagnes) -les versants - les piedmonts - les plaines (vallées). Sur collines : sols minéraux bruts d'érosion peu profonds formés sur roche calcaire dure (lithosols). Sur les versants les marnes dominent. Vers l'aval, les sols sont pour la plupart des sols peu évolués d'apport alluvial.

7 Résultats de la cartographie prédictive- Risque d'érosion Les cartes de la phase prédictive fournissent des informations sur l état actuel de la dégradation des sols. La carte fait ressortir quatre états, l'état très avancé de l'érosion résulte: de la prédominance des formations meubles marno-argileuse sur pentes fortes. des pratiques culturales à l origine du couvert végétal varié. Classe Faible Moyen Grave Très grave surface en ha 228, , , ,258 Pourcentage carte des états érosifs

8 La carte descriptive Différentes formes d érosion: Les pentes commandent les processus érosifs du B.V. Les matériaux meubles marneux à pente raide entraîne l'incision de ravins par les eaux de ruissellement. L érosion ravinaire domine atteint le ravinement hiérarchisé. L érosion en nappe sous forme de décapage superficiel. L éboulement en masse est rare. Les marnes grises épaisses à intercalation calcaire sur les pentes montrent des bad-lands,à l origine de la majeure partie des dépôts.

9 L érosion ravinaire

10 Les Badlands

11 Données socioéconomiques la population du B.V Sbaïhia est de 1500 hab, 279 familles *Habitat dispersé; les ménages regroupés en 9douars. *Les activités économiques :agriculture traditionnelle d'autosubsistance (cultures annuelles de céréales et de légumineuses) un élevage extensif (caprins et d'ovins). *30% de terres aux familles de la zone *40% de terres agricoles à des grands exploitants ou à des propriétaires nonrésidents souvent absents, ne pratiquant que la céréaliculture. *Forte pression humaine sur plaines piedmonts. * Population masculine est à la recherche d'un emploi extra agricole occasionnel ou de possibilité d'émigration vers la capitale. Carte de la répartition de la population (0.Alya, Ben Jebril, Ben Rezg, Agilia, Ben Rejeb, BenAmeur,Douaya, Lachheb,Tebaynia).

12 Carte des priorités Résultats de la procédure de priorisation La priorisation selon la procédure PAPCAR basée sur la cartographie descriptive alliée aux facteurs socioéconomiques. Superficies Zones stables - priorité1: 114 ha - priorité2 : 2805 ha Zones instables : 986ha Zones prioritaires : 2600ha Carte des priorités

13 Cartes des aires prioritaires choisies dans le B.V. Sbaihia Les tableaux de priorisation des milieux stables et instables et la carte des classes de priorités, montrent que le BV est hétérogène :vue caractéristiques, stabilité physique et socio-économiques. Certains sites instables et prioritaires sont retenus pour identification des problèmes et besoins posés par la population et cibler les actions à entreprendre.

14 Analyse diagnostique L identification des problèmes de dégradation des unités en question montre: Contraintes d ordre anthropiques L'extension de la céréaliculture / aux cultures fourragères et pastorales sur les versants et en zone forestière, réduit l'espace pastoral. Un déséquilibre entre l'effectif du cheptel et des zones de pâturage, réduction de 50%. Le cheptel :caprins > ovins et Bovins. Pâturage sur bordure des montagnes et dans les clairières forestières.

15 Garrigue très dégradée, Pâturage Garrigue dégradée, culture en pente et sol nu

16 Des contraintes l'ordre social Efforts de diversifications des sources de production agricole et non agricole limités. Les agriculteurs pour la plupart vieux, se limitent au profit immédiat et facile. Le manque d équipement des agriculteurs en tracteurs, moissonneuses et autres. Recours à la location. L'indivision des terres et l'absence du foncier ne permettent pas l'accès au crédit et défavorisent tout investissement à moyen ou long terme. le surpâturage, l'utilisation et l'exploitation des ressources forestières (bois, pierre, pâturage) par la population. L extension des culture sur des versants en pente, le labour suivant le sens de la pente, l assolement inadapté laissent de grande surfaces labourées exposées aux fortes pluies d'automne et du début de l'hiver.

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19 Les contraintes physiques L'érosion :la présence de marne et d'argile en grande quantité complique les choses. Les terres agricoles menacées par l'érosion en nappe et par le ravinement. Apport en sédiment très important au niveau des ouvrages de retenue d'eau la confection des banquettes accentue dangereusement l'érosion: - concentration et accumulation d'eau sur le sol peu perméable derrière les ouvrages, et le barrage finit par céder. -Création de petites ravines qui se transforment rapidement en galeries.

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22 Mesures recommandées pour les différentes situations prioritaires La synthèse des facteurs physiques et anthropiques, permet la formulation Les mesures préventives Imposer le labour en courbes de niveau. Respecter le calendrier de préparation des terres destinées aux grandes cultures. L incorporation d engrais verts. une bonne gestion des parcours, en évitant le surpâturage. Les mesures curatives adaptées aux conditions locales Le reboisement des forêts dégradées avec des espèces convenables. L amélioration des parcours par l introduction d espèces protectrices et productrices. L établissement d un équilibre entre les superficies de parcours et le cheptel existant. L installation de structure anti-érosives (banquettes et correction des ravins). La bonne gestion de l espace forestier pour garder son efficacité. Les mesures protectives assurer la protection des infrastructures en évitant la sédimentation en aval. Appliquer le système de rotation des parcours. Amélioration des revenus des familles concernées. Intensification des séances de formations et de vulgarisation en vue d améliorer leurs connaissances en matière de conservation / production.

23 Paquets technologiques recommandés Pour la céréaliculture se limiter aux plaines et glacis à faible pente Améliorer la structure, la stabilité du sol par amendements organique périodiques, (fumures, organique, engrais verts). Introduire la sole fourragère améliorant les propriétés physiques et chimiques du sol (Sulla, luzerne, avoine). Développer l'agroforesterie dans la zone en introduisant les plantations mellifères, les arbres à usage multiples. Correction des ravins, végétalisation avec des espèces résistantes :l'acacia, l'atriplex, la luzerne arborescente. Entretien et réparation des banquettes partiellement endommagées Améliorer le cheptel (race locale) pour augmenter la production. Introduire les activités artisanales pour la femme rurale. Promotion de nouvelles activités productives et conservatrices du milieu favorisant l amélioration des revenus de la population Aménagement progressif et intégré avec et par la population concernée des aires prioritaires, sélectionnées du bassin versant de l Oued Sbaihia, en vue d une utilisation et conservation durable des ressources naturelles.

24 Ébauche d'un plan de gestion de la zone d'étude La mise en place d un projet d aménagement progressif et intégré avec la population des unités prioritaires sélectionnées, s impose. Le dit projet aura pour objectif l évaluation, la consolidation et ajustement des activités des projets précédents particulièrement les actions de production et de conservation des ressources naturelles. Projet GCP/INT/542/ITA: Projet Inter-Régional pour la Conservation et le Développement à caractère Participatif des hautes Terres. Projet de développement rural intégré du Sud Est du gouvernorat de Zaghouan Cofinancé par la Tunisie et le fond international de Développement Agricole. Le plan d action proposé comprenant les actions prioritaires suivantes : Le traitement des formes d érosion les plus marquantes en nappe et ravinement. Les mesures d'amélioration de la situation d'élevage et d'évolution de la structure du Cheptel : alimentation et utilisation de ressources pastorales et fourragères. La préservation des ressources forestières: bois de ramassage, espèces de production, plantation d'arbres et arbustes forestiers. La répartition des terres de terroir : occupation et mode d'exploitation et de gestion de l'espace et les mesures de protection et de production à entreprendre avec la population. Production végétale: spéculation, rendement, façon culturale. Dans ce cadre, la mise en place d un système de suivi et l utilisation d un certain nombre d'indicateurs d'impact sur l'environnement, simples, pourraient être employés facilement par la population cible pour suivre les effets du plan proposé.

25 Cas de la plaine de Bouficha Le deuxième site pilote se trouve à l aval du grand bassin versant. Plaine aménagée récemment en PPI après construction du barrage, elle longe le Golfe de Hammamet sur environ 20 km. Elle couvre environ 3030 ha. gouvernorats de Nabeul, Sousse et Zaghouan. L étage bioclimatique semi-aride inférieur à hiver doux. Sols caractérisés par la présence d'argile (jusqu'à 50%d'argile). Il s'agit de dépôts alluvionnaires récents déposés dans la partie centrale par l'o.rmel dans la basse plaine de Bouficha. Perméabilité faible. Sur glacis, les limons et sables à texture moyenne à grossière ont une bonne perméabilité.

26 Résultats de la phase prédictive La carte de sensibilité à l érosion ne met pas en valeur les problèmes dues aux processus érosifs. La topographie et la lithologie confèrent à ce site un équilibre vis à vis de la sensibilité à l érosion. La carte des états érosifs montre un état élevé sur 70% de la zone,particulièrement la partie centrale de la plaine, Les vocations culturales et le type d occupation des sols - utilisation non appropriée ( travail, assolement, gestion des parcours) qui nécessite des aménagements. Classe Faible Faible à moyen Moyen à élevé Superficie 81,428 2, ,726 Poucentage Élevé à trés élevé 2004, Trés élevé 50, ,039

27 Résultats de la phase descriptive L axe central de la plaine est affecté par une érosion élevée à très élevée. Il s agit de décapage de la couche de sol la plus fertile : diminution de la productivité. Les deux rives du cours principal de l oued Rmel nord et sud sont stabilisées par l arboriculture. Carte consolidée de l érosion

28 Problématique de la zone La situation agro-économique montre la zone est soumise à certaines contraintes: Faiblesse des revenus des plus jeunes. La main d œuvre agricole âgées. Le travail saisonnier estival dans la zone hôtelière voisine réduit la main d œuvre. La production agricole et la mise en valeur des terres nécessitent un complément d'irrigation suite à la mobilisation des eaux de l' O. Rmel. Les contraintes majeures à la production ovine sont la sous-alimentation. Limitation des ressources financières des agriculteurs. L écoulement des différentes productions et la commercialisation du lait :manque de circuit de collecte. quantités non vendues et la vocation viande de l élevage bovin. La composante hydraulique: les paramètres d irrigation, le mode de distribution, le fonctionnement du réseau d irrigation dans les parcelles et l infrastructure de transfert. Les techniques d'irrigation pour obtenir une distribution homogène de l'eau, fréquence et contrôle des pentes non maîtrisées. De même pour les doses calculées pour les apports d'engrais chimiques et les traitements phytosanitaires. Manque d équipement d irriguation, groupe moto-pompe, sauf en cas de subvention consentie par l'etat.

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31 Identification des aires prioritaires L approche de priorisation a été également appliquée dans le cas de la plaine de Bouficha, selon la procédure PAPCAR Trois unités sont classées prioritaires( Priorité 3), situées dans la partie centrale de la plaine sols d apport alluviaux à texture argilolimoneuse en surface. phénomènesde vertisolisation ou d hydomorphie temporaire du à l exposition permanente au cous d eau de l oued. une surexploitation et une mauvaise gestion (surpâturage, travail du sol inadéquat). La pression humaine ne semble pas intervenir. perte de la couche superficielle fertile qui affectée par le phénomène de décapage intense accompagné parfois par l érosion ravinaire. Carte des aires prioritaires Superficies Zones stables - priorité1: 1105 ha - priorité2 : 811 ha Zones instables : 1161 ha Zones prioritaires : 251 ha

32 Paquet technologique L aménagement hydraulique du nouveau PPI accompagné de programme d encadrement contribuera à l emploi et l amélioration des revenus de la famille. La réhabilitation des plantations, la création de nouvelles plantations L extension des cultures fourragères L intensification des légumineuses à graines et du maraîchage (cultures en intercalation avec les oliviers). Le renforcement des structures de vulgarisation et l amélioration des moyens de travail (transport, matériels audio-visuels). Développement de l'élevage en améliorant des ressources fourragères et avec l acquisition de génisses. La construction d abris. Le renforcement des infrastructures de base et des structures d appui. L aménagement et la réhabilitation des pistes agricoles. La mise en œuvre d ATC pour la gestion du réseau d irrigation au niveau de l agriculteur. Le renforcement du réseau de collecte du lait et de la distribution de produits prophylactique

33 Mise en œuvre du programme de contrôle de l érosion et de désertification La proposition d un plan d action intégré dans la zone pilote de la plaine de Bouficha sera basé sur deux types d intervention : Valider les actions déjà entamées dans le cadre de projets de mise en valeur en cours d exécution dans la région, ceci en présentant une évaluation sur le plan technique et économique des différentes actions de développement. La collecte des données à l échelle de la plaine et la mise au point d une méthodologie d étude qui consiste à proposer de multiplier les fermes pilotes. Ces sites permettront l analyse des facteurs contribuant à l amélioration de la production végétale et du bilan hydrique. à l intensification de la céréaliculture et l extension des emblavures fourragères et des légumineuses. à l introduction de nouvelles plantations au renforcement des structures de vulgarisation. Le projet de développement proposé sera du type suiviévaluation.

34 Conclusions Cette étude réalisée dans le cadre d une deuxième phase du projet PAP/CAR s est intéressée à l évaluation de l érosion sur deux sites pilotes, grâce à une méthode de cartographie consolidée de l érosion PAP/CAR-FAO appuyée par la procédure integrée «Procédure PAP/CAR», basée sur l utilisation des ressources en sols par la population, les enquêtes socio-économiques. La procédure de priorisation adoptée a permis de faire Un inventaire des ressources en terre. Une identification des problèmes de dégradation des unités en question liés à l érosion, aux activités humaines à travers l utilisation inadaptées des sols, les problèmes fonciers. Une évaluation des besoins posés par la population. enfin de proposer un plan de développement et de gestion pour chaque site à savoir le sous bassin Sbaihia du grand bassin de l O. Rmel et la plaine de Bouficha située dans la partie aval. L avantage apporté par ce travail, est celui d avoir pu analyser deux sites présentant des systèmes de productions représentatifs des parties amont et aval du grand bassin, différents sur le plan hydrologique, topographique, taille de l exploitation, types de cultures, cheptel, écoulement de la marchandise et population. Ce qui contribue à la compréhension de la problématique à l échelle du grand bassin sur le plan risque érosif, usage des terres et interaction des facteurs biophysiques et humains.

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