Introduction 1ère cause de décès chez l adulte jeune. 85% des TTF sont secondaires à des AVP. 75% des TFT sont des polytraumatisés. 15% des décès des
|
|
- Daniel Labonté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traumatisme Fermé du Thorax en Imagerie N CHERNI, N HAMIDA, L LAHMAR, A LABIB, S JOUINI EVREUX - FRANCE 1
2 Introduction 1ère cause de décès chez l adulte jeune. 85% des TTF sont secondaires à des AVP. 75% des TFT sont des polytraumatisés. 15% des décès des accidentés de circulation sont des TFT. 2
3 Introduction La prise en charge des TTF représente un défi pour le radiologue qui a la responsabilité de l'interprétation immédiate du bilan radiologique d'entrée de ces patients. Le cliché standard du thorax en incidence AP, reste au premier plan dans l'évaluation initiale des lésions thoraciques nécessitant un traitement urgent. 3
4 Introduction L échographie, Réalisée en urgence pour la recherche de lésions traumatiques des organes intra abdominaux Permet grâce à la voie sous-xiphoïdienne, la recherche de collection liquidienne pleurale ou péricardique et grâce à la voie intercostale le bilan des lésions cardiaques et de certaines lésions aortiques. 4
5 Introduction La TDM Permet un bilan complet, à condition que le patient soit hémodynamiquement stable. Détecte plus que 80% des lésions qui passent inaperçues sur les radiographies et qui nécessitent un traitement. 5
6 Introduction Reconstructions MPR en TDM Ces reconstructions jouent un rôle de premier plan dans l'évaluation de certaines structures anatomiques, telles que le rachis. Sont très utiles dans la transmission des résultats aux urgentistes et chirurgiens, Permettent information concise, simple et complète. 6
7 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 7
8 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 8
9 1. Traumatisme de la paroi thoracique a) Emphysème sous-cutané b) Fractures costales c) Fractures sternales d) Volets costaux 9
10 A) Emphysème sous-cutané Pé Présent td dans 15%d des cas Peut être le résultat: Fractures costales Extension d'un pneumomédiastin. Lésion traumatique trachéo-bronchique. Se traduit par des hyperclartés adjacentes au tissu adipeux sous-cutané et aux plans musculaires. 10
11 A) Emphysème sous-cutané La tomodensitométrie i permet d'identifier: Un emphysème sous-cutané minime un pneumothorax ou une lésion pulmonaire sous- jacente, masqués sur les radiographies par un emphysème sous-cutané massif. 11
12 Emphysème sous cutané minime associé à un discret décollement pleural apical gauche non visible sur les Radiographies 12
13 Discret emphysème sous cutané en regard d une fracture costale. 13
14 Emphysème sous cutané massif masquant sur les Radiographies un pneumothorax droit avec pneumomédiastin. 14
15 Reconstructions ti 2D: Emphysème sous cutané remontant jusqu au cou avec pneumothorax droit et pneumomédiastin 15
16 B) Fractures costales Les plus fréquemment rencontrées: 80%. Multiples dans 85 %, Les Radiographies permettent de les détecter seulement dans 40 % des cas +++ Leur individualisation est facilitée par le scanner multicoupe avec reconstructions volumiques. 16
17 B) Fractures costales L échographie : peut être utile en dehors de toute urgence. Il est possible de visualiser la solution de continuité ité corticale qui apparaît sous forme d une ligne hyperéchogène interrompue. L échographie est aussi sensible que la radiographie dans cette indication. permet de plus de détecter un éventuel décollement pleural associé minime non détecté é par les radiographies Cependant, cette technique reste de pratique moins courante dans les circonstances d urgences 17
18 B) Fractures costales L utilité de la recherche des fractures costales réside uniquement dans la détection de leurs complications potentielles et la prévention des complications : lésions pleurales: pneumothorax, hémothorax lésions parenchymateuses pulmonaires lésions hémorragiques des vaisseaux intercostaux ou mammaires internes pouvant nécessiter une embolisation endovasculaire percutanée en urgence
19 B) Fractures costales Par ailleurs, la recherche de fracture des dernières côtes est indispensable du fait de l association fréquente à des lésions traumatiques diaphragmatiques, rénales, hépatiques ou spléniques. Les fractures des premières côtes surviennent souvent dans des accidents violents, source de traumatisme sévère, leur gravité réside dans leur proximité des vaisseaux cervicaux et des voies aérodigestives qui peuvent être lésés soit directement, soit secondairement par l hématome posttraumatique. 19
20 Fracture costale avec emphysème sous cutané modéré 20
21 Fracture costale avec fracture luxation sterno-claviculaire 21
22 Fracture costales bien visible sur les reconstructions 3D 22
23 Fracture costales bien visible sur les reconstructions 3D 23
24 C) Fractures sternales Représentent 5 % des TTF La visualisation directe de la fracture est rarement possible sur les radiographies de face. Si l état du patient le permet, les radiographies du sternum de profil sont souvent plus sensibles. Peuvent se traduire sur ces radiographies par un élargissement du médiastin, en rapport avec un hématome rétrosternal (atteinte des vaisseaux mammaires internes) 24
25 C) Fractures sternales Diagnostic différentiel: hémo-médiastin médiastin secondaire à un traumatisme tism myocardique ou aortique, lésion rare et de très mauvais pronostic +++ La TDM permet de distinguer ces deux situations l'une de l'autre, ainsi que de mettre en évidence le trait de fracture au niveau du sternum grâce aux reconstructions 2D et 3D. 25
26 Fracture sternale repérée sur les coupes axiales 26
27 Fracture sternale facilement mise en évidence sur les Reconstructions 3D 27
28 Fracture sternale facilement mise en évidence sur les Reconstructions 3D 28
29 Fracture sternale facilement mise en évidence sur les Reconstructions 3D 29
30 Fracture sternale facilement mise en évidence sur les Reconstructions 3D avec soustraction. 30
31 Fracture sternale: hématome retro sternal responsable d un élargissement du médiastin sur les Rx standard 31
32 Fracture sternale facilement mise en évidence sur les Reconstructions 3D avec soustraction. 32
33 D) Volets costaux Environ 1% des TTF. Un volet costal nécessite au moins trois fractures costales adjacentes, chacune des côtes concernée étant fracturée en au moins 2 points. Il correspond à une portion isolée du reste de la paroi thoracique, animée d'un mouvement respiratoire paradoxal qui conduit à une défaillance respiratoire d aggravation rapide et dans 40 % des cas à la mort. Leurs mise en évidence est facilitée par les reconstructions volumiques au scanner. 33
34 D) Volets costaux Un volet thoracique antérieur peut être présent lorsque les fractures costales sont associées à une fracture sternale. 34
35 Volets costaux avec emphysème sous cutanée Abondant suite a un TTF 35
36 Volets costaux avec emphysème sous cutanée Abondant suite a un TTF 36
37 Large contusion pulmonaire droite suite à un TTF avec multiples fractures costales : Fractures des costales multiples réalisant des volets, bien visualisées avec les reconstructions 3D volumiques. 37
38 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 38
39 2. Traumatisme du diaphragme Présentes dans 8 % des TTF Les lésions traumatiques du diaphragme sont de diagnostic difficile et passent souvent inaperçues à l admission. Témoignant souvent d un traumatisme très sévère et les signes radiographiques sont non spécifiques. 39
40 2. Traumatisme du diaphragme Ils résultent : soit d'un mécanisme de décélération soit d'une élévation soudaine de la pression intra abdominale consécutive au traumatisme. La région postéro-latérale de la coupole diaphragmatique représente le point faible où se produit le plus souvent la rupture. 40
41 2. Traumatisme du diaphragme Radiographies du thorax en incidence AP : Coupole diaphragmatique ascensionnée, Déformée ou floue (signe du pseudo diaphragme) Clartés digestives intra-thoracique Fractures dernières côtes fréquentes 41
42 2. Traumatisme du diaphragme TDM: épaississement ou interruption localisée du diaphragme, dont les berges sont parfois soulignées par des franges graisseuses d'origine abdominale. En cas de rupture diaphragmatique, la TDM démontrent les viscères abdominaux herniés à travers la rupture plutôt que la rupture elle-même. 42
43 2. Traumatisme du diaphragme Lesviscèresabdominauxherniéssont: sont l'estomac, la sonde naso-gastrique décrit un trajet intra thoracique anormal en J inversé l'intestin grêle ou le côlon, avec, occasionnellement, un signe du «collet» le foie, qui peut adopter un configuration en «champignon» ou en «bouchon de champagne». 43
44 2. Traumatisme du diaphragme La Radiographie du thorax à une sensibilité de 65 %, mais une spécificité limitée de 35 %. La TDM, avec des reconstructions multiplanaires à une sensibilité de 78 % et de 50 %, pour les ruptures diaphragmatiques gauche et droite respectivement, tandis que sa spécificité est de 100 %. 44
45 Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche évoquant sa rupture dans un contexte d AVP 45
46 Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche évoquant sa rupture dans un contexte d AVP, confirmation au scanner avec issue d anses digestives et de la graisse mésentérique. 46
47 Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche évoquant sa rupture dans un contexte d AVP, confirmation au scanner avec issue d anses digestives et de la graisse mésentérique. 47
48 Surélévation de la coupole diaphragmatique droite suite à un traumatisme thoracique violent Suite à un AVP. 48
49 TDM avec reformations coronales: Rupture diaphragmatique G; ascension de la coupole G et de l estomac opacifié 49
50 Rupture diaphragmatique G: ascension de l estomac opacifié entre l oreillette G et l aorte thoracique descendante 50
51 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 51
52 3. Traumatisme de la plèvre A) Pneumothorax B) Hémothorax 52
53 A) Pneumothorax Présent dans 50 % des cas 2ème lésion la rencontrée après les fx costales. Résulte: le plus souvent d'une rupture traumatique d'une bulle d'emphysème. Parfois,conséquence d'une lacération pulmonaire ou d un effet Macklin Plus rarement, d'une lésion trachéobronchique. 53
54 A) Pneumothorax L'air Lair une fois introduit dans l'espace pleural se répartit dans les régions les moins déclives. Rx standard en décubitus dorsal: montre des signes radiologiques discrets mais spécifiques peut détecter plus de 95 % des pneumothorax dépassant 200 millilitres. 54
55 A) Pneumothorax Selon le siège: 1. Les pneumothorax antéromédiaux (70 %) : créent une hyperclarté linéaire à l'interface poumon-médiastin, médiastin, si bien que le bord médiastinal apparaît anormalement bien délimité. 2. Les pneumothorax sous-pulmonaires (25 %): se traduisent par la présence d'un croissant aérique séparent le poumon et la coupole diaphragmatique. 55
56 A) Pneumothorax 3. Les pneumothorax apicaux : classiquement observés sur les Rx standard du thorax obtenus en position debout. 4. Les pneumothorax postéromédiaux clarté linéaire longeant le bord gauche de l'aorte laorte thoracique descendante ou le bord droit des tissus paraspinaux, descendant jusque dans le récessus costo- phrénique. 56
57 A) Pneumothorax L échographie réalisée au lit du patient avec une sonde de haute fréquence, peut montrer le décollement pleural de faible abondance sous forme d échos de réverbérations sous pariétales,, avec une sensibilité meilleure que les radiographies. Pour les pneumothorax de faible abondance le scanner reste toujours le meilleur examen devant sa haute sensibilité. 57
58 A) Pneumothorax Selon la gravité: Pneumothorax sous tension: 10% des pneumothorax mécanisme de valve à clapet au niveau de la fuite d'air associés à une mortalité de 40 %. Refoulement du médiastin +++ collapsus +/-complet du poumon ipsilatéral parfois en association avec un signe du : «profond récessus costophrénique latéral» 58
59 A) Pneumothorax La TDM, sa grande sensibilité lui permet par ailleurs de détecter des pneumothorax occultes, non détectés sur les Radiographies. Les pneumothorax occultes, dont le volume peut atteindre 500 millilitres, nécessitent un drainage pleural percutané ou si une ventilation mécanique à pression positive est envisagée. 59
60 Collapsus complet du poumon droit en rapport avec un pneumothorax complet et déviation du médiastin 60
61 Pneumothorax gauche bien mis en évidence sur les coupes TDM. A noter l association a un contusion parenchymateuse étendue lobaire inférieure 61
62 Pneumothorax droit bien mis en évidence sur les reconstruction TDM. A noter l association a un pneumo-médiastin médiastin et un emphysème sous cutané 62
63 Foyer alvéolaire lobaire inférieure gauche, hétérogène et mal limité ité en rapport avec un foyer de contusion récent a noter le petit décollement pleural associé ( ). 63
64 Pneumothorax droit au scanner. A noter l association a un pneumo- médiastin et un emphysème sous cutané 64
65 Décollement pleural minime apical gauche passé inaperçu sur les radiographies standard, à noter l intérêt des reconstructions coronales et sagittales. 65
66 Décollement pleural associé à des foyers de contusions pulmonaires 66
67 Décollement pleural associé à des foyers de contusions pulmonaires et un emphysème sous cutanée 67
68 B) Hémothorax Présents chez 40 % des TFT La mortalité associée est de 30 % si hémothorax massif. Résultent le plus souvent: de lacérations traumatiques pulmonaires des vaisseaux intercostaux ou mammaires internes hémothorax de petite abondance lésion traumatique des gros vaisseaux médiastinaux ou du coeur hémothorax massif 68
69 B) Hémothorax Du sang frais dans la cavité pleurale s'accumule dans les régions les plus déclives. Chez les patients traumatisés, en décubitus dorsal, on observe donc, par ordre chronologique, la séquence suivante. 69
70 B) Hémothorax de 175 à 250 ml: augmentation diffuse de l'opacité de la plage pulmonaire de 250 à 500 ml: comblement du récessus costo- phrénique et effacement de la coupole diaphragmatique. de 500 à 800 ml: le sang s'accumule dans le sillon latéral entre le poumon et le gril costal > ml: présence d une «coiffe apicale» 70
71 Fractures multiples des arcs postérieurs des côtes droites avec petit hémothorax comblant le cul de sac pleural 71
72 Hémothorax droit de moyenne abondance : -ligne bordante pleurale droite -foyer de contusion pulmonaire associé 72
73 TDM: Hémothorax modéré et déclive 73
74 Hémothorax bilatéral plus important à droite avec foyer de contusion pulmonaire adjacent à droite 74
75 Hémothorax bilatéral plus important à droite avec foyers de contusion pulmonaire à droite bien visible sur les fenêtres parenchymateuses 75
76 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 76
77 4. Traumatismes pulmonaires 14 % des TFT Associées à une mortalité de 34 %, elles signent un traumatisme sévère, ce qui justifie leurs recherche dans le cadre du bilan d'imagerie initial. Pas de corrélation directe entre l aspect radiologique et l'état clinique du patient. 77
78 4. Traumatisme pulmonaire A. Contusions pulmonaires B. Lacérations pulmonaires 78
79 A) Contusions pulmonaires Ce sont des altérations de : - l'épithélium alvéolaire - l'endothélium capillaire - septa du parenchyme pulmonaire, avec œdème, hémorragie interstitielle et intra- alvéolaire subséquentes. Elles sont généralement multiples et localisées en position sous-pleurale dans les régions intérieurs. 79
80 A) Contusions pulmonaires En Radiographies comme en TDM, les contusions pulmonaires apparaissent comme: des opacités en verre dépoli, mal limitées, confluentes, sans répartition anatomique particulière et généralement sans bronchogramme aérique. 80
81 A) Contusions pulmonaires Une de leurs principales caractéristiques a trait à leur caractère migrant. Elles apparaissent dans les 5 heures qui suivent le traumatisme, atteignent leur sévérité maximale vers 48 à 72 H puis régressent le plus souvent, mais peuvent évoluer ver un SDRA en cas de lésions importantes
82 Large foyer de contusion pulmonaire gauche suite à un TTF 82
83 Plages de contusions pulmonaires gauches sur la Rx de face 83
84 Grande opacité pulmonaire droite hétérogène et mal limitée en rapport avec un foyer de contusion pulmonaire. 84
85 Hyperdensité en verre dépoli mal limitée multifocale:ttf récent 85
86 Hyperdensité en verre dépoli mal limitée multifocale:ttf récent 86
87 Foyers de contusions pulmonaires récents avec petit décollement pleural suite à un TTF 87
88 Micro-foyers de contusions pulmonaires à un stade précoce: -micronodules alvéolaires du lobe supérieur gauche -opacités linéaires du lobe inférieur droit. 88
89 TDM: Foyers de contusion pulmonaire droits au stade précoce 89
90 Images alvéolaires de contusions post TTF 90
91 TDM: Condensation pulmonaire lobaire inférieure gauche 48h après un TTF grave 91
92 Condensation pulmonaire lobaire inférieure droite partiellement aérée 5 jours après un TTF grave 92
93 TDM reformation sagittale: Opacité alvéolaire postérieure: foyer de contusion pulmonaire post TTF 93
94 B) Lacérations pulmonaires Les lacérations pulmonaires représentent des altérations majeures de l'architecture normale du parenchyme pulmonaire impliquant des ruptures alvéolaires. Les hématomes intrapulmonaires sont des cavités remplies de sang, se traduisant par des opacités arrondies sur les examens d'imagerie et qui peuvent se surinfecter. 94
95 Homme de 45 ans: Antécédents de contusion pulmonaire suite à un traumatisme fermé du thorax 4 mois auparavant. Scanner de contrôle : présence d une formation kystique, lobaire inférieure droite, à paroi fine et régulière, Diagnostic : pneumatocèle post-traumatique. traumatique. 95
96 Homme de 48 ans: traumatisme thoracioque fermé depuis deux semaines. Scanner de contrôle : présence d une formation kystique, lobaire supérieure droite, à paroi fine et régulière, Diagnostic : pneumatocèle post-traumatique. traumatique. 96
97 Homme de 32 ans: traumatisme thoracique fermé avec contusion pulmonaire Scanner : présence d une formation kystique, lobaire moyenne à paroi fine et régulière, siège d un niveau Diagnostic : pneumatocèle post- traumatique. 97
98 Homme de 67 ans, fumeur, antécedents de traumatisme thoracique fermé avec contusion pulmonaire. Radiographie de contrôle : présence d une masse de 4 cm, basale gauche, bien limitée, homogène. 98
99 Suite: Radiographie de contrôle : présence d une masse de 4 cm, basale gauche, bien limitée, homogène. Le scanner : la lésion est spontanement dense, ne se rehausse pas après injection. 99
100 Suite: Radiographie de contrôle : présence d une masse de 4 cm, basale a gauche, bien limitée, homogène. Le scanner : la lésion est spontanement dense, ne se rehausse pas après injection. En IRM la lésion est en hypersignal T1 et T2 compatible avec un hématome intra-pulmonaire. 100
101 -Antécédents de TTF, il y a 3 mois avec foyer de contusion pulmonaire du lobe inférieur droit. - Le scanner de contrôle montre une formation kystique de 5 cm, à paroi fine et régulière siége d un niveau hydro-aérique. 101
102 B) Lacérations pulmonaires Les pneumatocèles ou pseudo-kystes sont des cavités remplies d'air et se traduisent donc par des clartés radiologiques. Sur les clichés standard du thorax, cette forme typique est souvent masquée par des contusions pulmonaires étendues qui entourent les lacérations. 102
103 Traumatisme Fermé du Thorax 1. La paroi thoracique 2. Diaphragme 3. Plèvre 4. Poumon 5. Médiastin 103
104 5. Traumatisme du médiastin A. Pneumomédiastin B. Lésions trachéo-bronchique C. Lésions aortique 104
105 A) Pneumomédiastin Observé dans 10 % des TTF. Défini par la présence d air au sein du médiastin. 39 % résultent d'un effet Macklin. 105
106 A) Pneumomédiastin L effet Macklin désigne un processus pathophysiologique évoluant en trois étapes: 1.rupture alvéolaire 2.dissection de l'interstitium pulmonaire par l'air ainsi libéré 3.diffusion de l air lair le long des gaines conjonctives péribronchovasculaires jusque dans le médiastin 106
107 A) Pneumomédiastin Les pneumo-médiastins médiastins sont associés à un: emphysème sous-cutané dans 59 % pneumothorax dans 51 % des cas 107
108 A) Pneumomédiastin Peuvent revêtir différents aspects radiologiques. Parmi ces aspects radiologiques, la présence d'air dans le ligament pulmonaire se manifeste comme: une bande claire verticale, localisée d'un côté ou de l'autre de la ligne médiane et s'étendant du hile pulmonaire à la convexité diaphragmatique. 108
109 A) Pneumomédiastin Un emphysème médiastinal peut s'étendre au- delà du médiastin, et créer un: emphysème sous-cutané et musculaire, rétro pneumopéritoine, pneumopéritoine pneumorachis 109
110 Pneumomédiastin associé à un pneumothorax et à un emphysème sous cutanée suite à un TTF 110
111 TDM Reformat coronal: Pneumomédiastin associé à un pneumothorax et à un emphysème sous cutané 111
112 Pneumomédiastin associé à un pneumothorax et à un emphysème sous cutané bien visible sur les reconstructions coronales en TDM 112
113 B) Lésions trachéo-bronchiques Présentes chez moins de 3 % des patients généralement localisées à la jonction de la portion membraneuse avec les anneaux cartilagineux. Dans 80 % des cas, elles sont situées à moins de 2,5 centimètres de la carène, le site de rupture le plus fréquent étant la portion proximale des bronches souches. 113
114 B) Lésions trachéo-bronchiques Sont souvent concomitantes à des lésions fatales, mortalité: 80 %. Les radio montre plusieurs signes aspécifiques : élargissement médiastinal, pneumomédiastin, pneumothorax (qui persiste malgré un drainage pleural percutané adéquat), emphysème sous-cutané, hémothorax, air trapping ou, au contraire, atélectasie pulmonaire. 114
115 B) Lésions trachéo-bronchiques La TDM montre les mêmes signes radiologiques la lésion trachéo-bronchique elle-même est rarement mise en évidence. La bronchoscopie reste l'examen de référence pour le diagnostic des traumatismes trachéo- bronchiques, notamment afin d'en préciser la localisation li et l'étendue. 115
116 C) Lésions aortiques présentes chez seulement 1 %d des patients t victimes d'un TTF, admis aux urgences vivants. représentent la lésion traumatique la plus létale dans les TTF 116
117 C) Lésions aortiques Mécanisme de décélération à haute vitesse «pincement osseux»: compression traumatique de l'aorte entre le sternum et le rachis «presse hydraulique», en référence au principe de Pascal de conservation de la pression et qui désigne l'augmentation brusque de la pression aortique intraluminale observée en cas de compression thoracique inférieure ou abdominale supérieure. 117
118 C) Lésions aortiques Les lésions traumatiques de l'aorte thoracique peuvent être: Transmurales immédiatement fatales+++ Se limiter à l'intima et à la média, et ainsi créer un pseudo-anévrisme: expansion sacculaire pulsatile de la lumière aortique, remplie de sang, limitée par l'adventitia et les tissus avoisinants et circonscrite par un hématome médiastinal. 118
119 C) Lésions aortiques Un tel pseudo-anévrisme est susceptible de se rompre à chaque instant, conduisant à une hémorragie rapidement mortelle +++. Il nécessite par conséquent un diagnostic précoce et une prise en charge rapide et adéquate. 119
120 C) Lésions aortiques Lésions aortiques: Siège: Dans 90 % des cas, les lésions aortiques survenant à l'occasion de TTF sont localisées sur la face antéromédiale de l'isthme de l'aorte. Dans 7 % des cas, c'est l'aorte ascendante qui est le siège du traumatisme. Dans les 3 % restants, la lésion se situe sur la portion diaphragmatique de l'aorte et survient alors souvent de façon concomitante à une rupture diaphragmatique. 120
121 C) Lésions aortiques Radiographies : Les signes les plus fréquents : un contour irrégulier ou flou du bouton aortique (Se 72%, Sp 47%) un élargissement médiastinal: largeur du médiastin dépassant 25 % de celle du thorax à hauteur du bouton aortique (Se 90%, Sp 19 %) 121
122 C) Lésions aortiques Radiographies : La faible spécificité d'un élargissement médiastinal tient à sa fréquence chez les patients victimes d un TTF, du fait: d'un hémomédiastin par lésions vasculaires mineures sur fracture sternale ou vertébrale, d une distension de la VCS 122
123 C) Lésions aortiques Signes plus spécifiques mais moins fréquents, sont: déplacement vers la droite de la SNOG déplacement vers la droite de la trachée ou d'un tube endotrachéal, déplacement vers le bas de la bronche souche gauche, une coiffe apicale gauche un élargissement de la ligne para- vertébrale gauche (hémothorax). 123
124 Homme de 48 ans, scanner thoracique suite à un AVP avec TTF violent: Pseudo-anevrysme de la face inferieur de l isthme visible au temps artériel 124
125 Suite : reconstructions 3D, avec une bonne visualisation de l anevrysme post traumatique. 125
126 Radiographie de face suite à un TTF montre un élargissement du médiastin, une coiffe apicale gauche et un déplacement de la ligne para-vertébrale gauche en rapport avec un hémothorax évoquant un traumatisme aortique. B : Angioscanner aortique réalisé à la suite, confirme la présence d un hémomédiastin et l extravasation du produit de contraste par l intermédiaire d une fissure au niveau de l isthme aortique. 126
127 Une artériographie a était réalisée confirme la lésion traumatique de l isthme aortique sous forme d un faux anévrisme sans extravasation active de produit de contraste. Une angio-irm de contrôle réalisée trouve les même constatations : un faux anévrisme au niveau de l isthme aortique. 127
128 CONCLUSION Les TTF est la première cause de décès chez l adulte jeune, la plupart sont secondaires à des accidents de circulation. La prise en charge de ces traumatismes nécessite une collaboration multidisciplinaire dans laquelle le radiologue à la charge de l interprétation immédiate du bilan radiologique urgent. Le cliché standard du thorax est toujours le premier examen d imagerie demandé, permettant d éliminer immédiatement un pneumothorax sous tension nécessitant un drainage urgent en salle de déchoquage. 128
129 CONCLUSION Grâce à sa rapidité d exécution exécution, et à son excellente résolution spatiale, la TDM, est devenue la pierre angulaire de l exploration des TTF, une fois le patient stabilisé, sur le plan respiratoire et hémodynamique. Cet examen permet aujourd hui, un bilan exhaustif de l ensemble des lésions du polytraumatisé, avec une excellente sensibilité et spécificité. 129
Le cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailPneumothorax (276) P. Thomas et P. Astoul Novembre 2005
Pneumothorax (276) P. Thomas et P. Astoul Novembre 2005 1. Généralites 1.1. Définition Un pneumothorax est défini par la présence d air dans l espace pleural, avec en conséquence un collapsus partiel ou
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailL'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel
L'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel Pr. Chadly Ali Service de Médecine Légale Hôpital Universitaire-Faculté de Médecine de Monastir Chadly.ali@rns.tn Introduction : L'imputabilité
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détail5. TARIFS INTERPROVINCIAUX
Services internes 5.1 TARIFS DES SERVICES Les tarifs interprovinciaux des services internes sont déterminés par le Comité de coordination des ententes interprovinciales en assurance santé (CCEIAS). Le
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailMaladie thrombo-embolique veineuse (135) Docteur Jean-Luc BOSSON Juillet 2002 (Mise à jour Janvier 2005)
Maladie thrombo-embolique veineuse (135) Docteur Jean-Luc BOSSON Juillet 2002 (Mise à jour Janvier 2005) Pré-Requis : Anatomie du réseau veineux Physiologie de l hémostase et de la respiration Résumé :
Plus en détailRésonance magnétique (IRM)
(IRM) Le médecin a prescrit une résonance magnétique (IRM) et vous vous demandez en quoi consiste cet examen. Afin de répondre à vos questions, voici quelques informations. But de l examen Les examens
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailSpécialiste en chirurgie
SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailRèglement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités
Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées
Plus en détailMaladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral
Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détail