Diamagnétisme et paramagnétisme. µ!" dia

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Diamagnétisme et paramagnétisme. µ!" dia"

Transcription

1 Diamagnétisme et paramagnétisme H = H 0 + µ B B!".L!" + e 8m (B!"!r " ) terme diamagnétique H dia!" " si B = Bu z H dia = e 8m B!"! " " u z!(xu x + yu " # y) $ % e = H dia toujours positif µ!" dia =! "H dia "B!" =! e 4m B 0 (x + y )u " z!" µ!" dia anti // à B nul si B=0 8m B (&yu " x + xu " y) = e 8m B (x + y )!" B µ!" dia! a 0 diamagnétisme de Larmor H dia! 10 "6 B(T ) en général: (exceptions!) H dia <<

2 spin Spin = moment magnétique intrinsèque de l électron µ!" spin =!gµ B.S " g! (cf. équation de Dirac) S s, m s = s(s +1) s, m s s = 1 électron: m s = ± S z s, m s = m s s, m s 1 µ!" spin S! contribution additionnelle au terme Zeeman (L!" + gs " ).B!" µ!" composantes au moment magnétique atomique: para =!µ B.(L!" + gs " ) couplage spin-orbite orbitale spin

3 Couplage spin orbite (I) B eff v! +Ze -e changement de référentiel!v! +Ze -e S! l électron sent un champ magnétique effectif B eff du au mouvement relatif de la charge du noyau dans le référentiel de l électron on a: B!" eff =! v" " E!" couplage spin B eff Hamiltonien spin-orbite H SO S!.B "! 1 d! eff rc c v si c <<1 avec E!" =!"!!! "! =! r! r dr S!.(v!!r! # ) = "µ B rcm!!l"# m = v# "r # d! dr S!.L "! d! dr sym. sphérique H SO =!S!.L "! traitement exact: équation de Dirac (même résultat à un facteur près) λ positif et croît avec nombre atomique Z conséquence importante: L et S ne sont plus de bons nombres quantiques!

4 Couplage spin orbite (II) Relations de commutations!" L i, L j # $ = i!! ijk L k H = H 0 +!S!.L "! [ H! " H SO, L SO, L z ]! 0!" S i, S j # $ = i!! ijk S k [ ]! 0 sym. sphérique (L )!L ", L i # $ = 0!S ", S i # $ = 0 H SO, S z # $ = 0 [ ] = 0 H 0, H SO!H " SO, S # $ = 0 m s et m l ne sont plus des bons nombres quantiques Il existe une base d états propres commune Moment cinétique total!"!" " J = L + S! Jz,!" L.S " # " $ =! L, L!" z.s " # " $ +! S, L!" z.s " # " $ = 0 J = L + S + L!".S "! J,!" L.S " # " $ = 0 j, m j, l et s bons nombres quantiques Spectre de structure fine!e j = H SO =! (J " S " L ) =! levée de dégénérescence (l+1)(s+1) à B=0 ( " l(l +1)" s(s +1) ) J = L+S J = L+S-1 J = L-S +1 J = L-S

5 Couplage spin orbite vs effet Zeeman Hamiltonien total perturbations régimes H = H H SO + H dia H SO =!!S!.L "! (L!" + gs " ).B!" j n est plus en bon nombre quantique en champ champs faibles << H SO E j = E0 +! j, m j, l et s bons nombres quantiques est traité en perturbation sur les états [ ]! 0, H SO! ", J # $ % 0 [, J z ] = 0 classique: J précesse autour de B (! l(l +1)! s(s +1) ) champs forts >> H SO classique: L et S précessent autour de B l, s, m l et m s bons nombres quantiques H SO est traité en perturbation sur les états m l m s

6 Limite bas champ: facteur de Landé (I) Dans la plupart des cas H Z <<H SO spectre non-perturbé E j = E 0 +! (! l(l +1)! s(s +1) ) J = L+S J = L+S-1 limite très bas champ: développement en perturbation de au premier ordre!e z = µ B (L!" + S " ).B!" µ B (L!" + S " ).B!" j'm j + # E j " E +... j' $ µ B (L!" + S " ).B!" B (J z + S z ) j' J = L-S +1 J = L-S J z = m j S z =? théorème de Wigner-Eckart T i = T!".J!" J i «les valeurs moyennes d opérateurs tensorie sphériques sont proportionne» ici S z et J z

7 Limite bas champ: facteur de Landé (II) application à S z = S z = S!.J "! J! S! L + S ) m j = J z = S!.L "! + S ) + s(s +1)! l(l +1) m j m j #!E z B (J z + S z ) = m j % 1+ $ + s(s +1)" l(l +1) & ( ' effet Zeeman effectif moment magnétique effectif g!" J J.B!"!" facteur de Landé: g J =1+ µ para =!µ B g!" J J + s(s +1)! l(l +1)

8 Limite bas champ: facteur de Landé (III) soit: orbitale l et s=1/ j = l ± 1 B=0 E j = E 0 +! niveaux: (! l(l +1)! s(s +1) )!E = E l+1/ " E l"1/ =!(l + 1 ) l+1/ l-1/ ΔΕ B 0 levée de dégénérescence des m j E jmj m j g J B j+1 niveaux m j = m l + m s m j! [" j, j] l+1/ l-1/ Exemple l=3 et s=1/ donc j=7/, 5/ B ΔE=7/ λ g J =1+ + s(s +1)! l(l +1) g 7/ =81/63=1.9 8 niveaux g 5/ =5/35= niveaux

9 Magnétisme atomique à N électrons H = H 0 + H SO + H ee N électrons: interaction coulombienne électron-électron le problème devient à N corps: pas de solution générale (1) H ee écrante l interaction électron-noyau: symétrie sphérique préservée () interaction électrostatique forte: ev H SO << H ee!"!" L = L S " =! i! i S " i i bons nombres quantiques en absence de spin-orbite H SO =!!!" i L i.s " i "!(l, s)l!".s "!" J =!" J i note: i " L! L i i! bon nombre quantique si spin-orbite faible: i on néglige la structure fine des J i «super électron» L, S et J: approximation de Russel-Saunders (valide pour Z<50, déviation au delà)

10 Règles de Hund Règles de Hund: remplissage des orbitales pour état fondamental (L, S, J) Ex : 4f m l s z m s? Règles semi-empiriques: minimiser l interaction coulombienne puis spin-orbite + principe de Pauli H SO << H ee 1 ère règle: s est maximum ème règle: l est maximum minimise interaction coulombienne direct / échange intra-atomique j = l + s 3 ème règle: si orbitale plus qu à moitié remplie j = l! s si orbitale moins qu à moitié remplie ex: Pr 3+ (4f ) l=5, s=1 et j=4 m j! ["4,+4] spin-orbite: signe de λ(l,s) g J J!".B!" 9 valeurs du moment magnétique

11 Atomic magnetic moment Magnetism is a property of unfilled electronic shel : Most atoms (bold) are concerned but only magnetic in condensed matter Table périodique magnétique!"#$"%#& atomes magnétique en gras (atome isolé!!!) Peu d éléments purs magnétiques à l état condensé (3d et 4f) liaison chimique: électrons délocalisés (bandes)

12 Table périodique magnétique 3d 4f Éléments purs: magnétisme des couches internes 4f: magnétisme localisé 3d: magnétisme itinérant (délocalisé) importance de l environnement: ions 3d magnétiques dans les oxydes Co : 3d 7 4s Co + : 3d 7 Gd : 4f 7 5d 1 6s Gd 3+ : 4f 7 LaMnO 3, LaCuO 4

Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!

Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel

Plus en détail

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires

Plus en détail

De l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique. Pascal SIMON

De l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique. Pascal SIMON De l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique Pascal SIMON Activités de recherche Etude de systèmes d électons fortement corrélés à l'échelle méso-nano Transport dans les

Plus en détail

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Autoroute A16. Système de Repérage de Base (SRB) - Localisation des Points de repère (PR) A16- A16+

Autoroute A16. Système de Repérage de Base (SRB) - Localisation des Points de repère (PR) A16- A16+ 01 / 24 0 0!( 10 10 20 20 02 / 24 20 20 30 30 40 40 Système de Repérage de Base (SRB) - Localisation des Points de repère (PR) 03 / 24 40 40 50 50 60 60 60 60 04 / 24 70 70 80 80 80 80 Système de Repérage

Plus en détail

Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon

Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon Rapport sur le stage effectué du 1 er juin 2010 au 31 juillet 2010 au Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon Génération de pseudo-potentiel atomique pour des matériaux

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

Pour une visibilité optimale de vos investissements, PRO-MEGA vous présentent la solution Serverscheck dédiée aux installations BTS!

Pour une visibilité optimale de vos investissements, PRO-MEGA vous présentent la solution Serverscheck dédiée aux installations BTS! Pour une visibilité optimale de vos investissements, PRO-MEGA vous présentent la solution Serverscheck dédiée aux installations BTS! La solution de monitoring BTS tout-en-un par Serverscheck! Imaginez

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Université de Montréal. Calculs ab initio de structures électroniques et de leur dépendance en température avec la méthode GW. par Gabriel Antonius

Université de Montréal. Calculs ab initio de structures électroniques et de leur dépendance en température avec la méthode GW. par Gabriel Antonius Université de Montréal Calculs ab initio de structures électroniques et de leur dépendance en température avec la méthode GW par Gabriel Antonius Département de physique Faculté des arts et des sciences

Plus en détail

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants

Plus en détail

LES COMPLEXES. Description orbitalaire, Structure, Réactivité, Spectroscopie. Martin VÉROT

LES COMPLEXES. Description orbitalaire, Structure, Réactivité, Spectroscopie. Martin VÉROT LES COMPLEXES Description orbitalaire, Structure, Réactivité, Spectroscopie. Martin VÉROT Prérequis Théorie des groupes (groupe irréductible, décomposition etc..) Chimie quantique /atomistique (Hamiltonien,

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

Différents types de matériaux magnétiques

Différents types de matériaux magnétiques Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille

Plus en détail

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2

LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2 Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile

Plus en détail

Généralités. Chapitre 1

Généralités. Chapitre 1 Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité

Plus en détail

Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html

Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Axe principal: EDS Axes secondaires : Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Institut des NanoSciences deparis http://www.insp.jussieu.fr/

Plus en détail

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

SYSTEME D EXPLOITATION : MS-DOS

SYSTEME D EXPLOITATION : MS-DOS !"# SYSTEME D EXPLOITATION : MS-DOS INTRODUCTION :!"# DEFINITION : # % & ' ( ) # # ) * + # #, #, -",.*",.*"/01- SYSTEME D EXPLOITATION MS-DOS : "%&'(!&"(%) +# -",.*" 2(# "%"&""&"(%) -",.*" 2 #-",.*" 3

Plus en détail

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On

Plus en détail

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite

Plus en détail

Etrangeté et paradoxe du monde quantique

Etrangeté et paradoxe du monde quantique Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Ecole d été des spectroscopies d électrons.

Ecole d été des spectroscopies d électrons. Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

LES ELEMENTS CHIMIQUES

LES ELEMENTS CHIMIQUES LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Magnétisme - Electromagnétisme

Magnétisme - Electromagnétisme Magnétisme - Electromagnétisme D re Colette Boëx, PhD, Ingénieur biomédical Neurologie, HUG et Faculté de médecine Figures principalement issues de : - "Physics for scientists and engineers, with modern

Plus en détail

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015 BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour

Plus en détail

T H È S E COUPLAGE CALPHAD AB-INITIO POUR LE CALCUL DES DIAGRAMMES DE PHASES

T H È S E COUPLAGE CALPHAD AB-INITIO POUR LE CALCUL DES DIAGRAMMES DE PHASES REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique Université El-Hadj Lakhder - BATNA - T H È S E Présentée au Département des Sciences

Plus en détail

Joints de grains : couplage entre modélisation et microscopie électronique haute résolution

Joints de grains : couplage entre modélisation et microscopie électronique haute résolution Joints de grains : couplage entre modélisation et microscopie électronique haute résolution Frédéric Lançon, Damien Caliste, Jean Luc Rouvière Lab. de simulation atomistique (L_Sim), Inac/SP2M, CEA, Grenoble,

Plus en détail

COURS COLLÉGIAUX PRÉALABLES À L ADMISSION

COURS COLLÉGIAUX PRÉALABLES À L ADMISSION Le candidat est tenu d avoir complété tous les cours préalables à la date limite prévue, soit le 15 septembre pour le trimestre d automne et le 1 er février pour le trimestre d hiver. L Université peut

Plus en détail

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

Barème pour la facturation des raccordements au réseau public de distribution d électricité concédé à ERDF

Barème pour la facturation des raccordements au réseau public de distribution d électricité concédé à ERDF Direction technique Barème pour la facturation des raccordements au réseau public de distribution d électricité concédé à ERDF Identification : ERDF-PRO-RAC_03E Version : V.3 Nombre de pages : 65 Version

Plus en détail

VOYAGE DANS LE NON COMMUTATIF THIERRY PAUL

VOYAGE DANS LE NON COMMUTATIF THIERRY PAUL VOYAGE DANS LE NON COMMUTATIF THIERRY PAUL Résumé. Nous proposons un court voyage au pays de la non commutativité. Nous présentons différents aspects des mathématiques et de la physique où cette notion

Plus en détail

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014 Université de Caen LMNO Relativité générale C. LONGUEMARE Applications version.0 4 mars 014 Plan 1. Rappels de dynamique classique La force de Coulomb Le principe de moindre action : lagrangien, hamiltonien

Plus en détail

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον

Plus en détail

Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)

Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du

Plus en détail

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001 Enregistrement et transformation du son S. Natkin Novembre 2001 1 Éléments d acoustique 2 Dynamique de la puissance sonore 3 Acoustique géométrique: effets de diffusion et de diffraction des ondes sonores

Plus en détail

Liste de prix PC Portables SAMSUNG Mars 2011 v1.1

Liste de prix PC Portables SAMSUNG Mars 2011 v1.1 Liste de prix PC Portables SAMSUNG Mars 2011 v1.1 SAMSUNG ELECTRONICS France 270, avenue du Président Wilson 93458 La Plaine Saint Denis Cedex Téléphone : 01 49 21 70 00 Télécopie : 01 49 21 70 90 http://www.samsung.com/fr

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

Sigle UE Sigle module Intitulé module Coef. Coef UE ECTS UE

Sigle UE Sigle module Intitulé module Coef. Coef UE ECTS UE Sigle UE Sigle module Intitulé module Coef. Coef UE ECTS UE U1-S7-MAT MAT 1-S7 Matériaux 1: métaux et alliages 5 7 7 MAT 2-S7 Matériaux 2: polymères et matériaux appliqués 5 U2-S7-MAT MC-1-S7 Matière Condensée

Plus en détail

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N 1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états

Plus en détail

Formation L.M.D. en instrumentation biomédicale. Mise en œuvre dans une université scientifique et médicale : Claude Bernard Lyon I

Formation L.M.D. en instrumentation biomédicale. Mise en œuvre dans une université scientifique et médicale : Claude Bernard Lyon I J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 3, Hors-Série 1, 11 (2004) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bib-j3ea:2004611 EDP Sciences, 2004 Formation

Plus en détail

Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques

Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques Yannis Zouganelis 1 & M. Maksimovic 1, N. Meyer-Vernet 1, S. Landi 2, F. Pantellini 1, K. Issautier 1, H. Lamy 3 (1) LESIA - Observatoire de

Plus en détail

Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen

Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures

Plus en détail

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections

Plus en détail

PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.

PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I. PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.. Donner les erreurs en position, en vitesse et en accélération d un système de transfert F BO = N(p) D(p) (transfert en boucle ouverte) bouclé par retour

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200

PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu

Plus en détail

Les effets de température

Les effets de température Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Technologies quantiques & information quantique

Technologies quantiques & information quantique Technologies quantiques & information quantique Edouard Brainis (Dr.) Service OPERA, Faculté des sciences appliquées, Université libre de Bruxelles Email: ebrainis@ulb.ac.be Séminaire V : Ordinateurs quantiques

Plus en détail

Le transistor bipolaire

Le transistor bipolaire IUT Louis Pasteur Mesures Physiques Electronique Analogique 2ème semestre 3ème partie Damien JACOB 08-09 Le transistor bipolaire I. Description et symboles Effet transistor : effet physique découvert en

Plus en détail

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture? Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité

Plus en détail

100 % gratuit. inédit. www.bimedia.com.fr

100 % gratuit. inédit. www.bimedia.com.fr é z s r séc abac 100 % gra b é a r f sps a grâc à www.bma.cm.fr l p m c f s l c x f! U sps p r c r a s VwM, l acr a sr l marché la ésrllac, a éé sélcé par Bma pr pmsr mps rél la sécré r p. Grâc à la chlg

Plus en détail

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

SFEN. Groupe Régional des Hauts de Seine. Réunion du 27 avril 1993. Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM

SFEN. Groupe Régional des Hauts de Seine. Réunion du 27 avril 1993. Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM SFEN Groupe Régional des Hauts de Seine Réunion du 27 avril 1993 Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM Brève présentation de ses propriétés nucléaires et physico - chimiques

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par

Plus en détail

Intégrales doubles et triples - M

Intégrales doubles et triples - M Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5

Plus en détail