Chapitre VI. Introduction. Lois de conservation
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- Micheline Carignan
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1 Chapitre VI COLLISIONS VIA Introduction Nous étudierons au chapitre VII le mouvement de deux points matériels tout au long de leur interaction Dans le cas de deux corps M et M quelconques (p ex deux solides ou deux particules dont l énergie interne peut changer), ce qui se passe pendant l interaction est généralement très complexe Nous nous contenterons d étudier leur mouvement avant et après l interaction Pendant les phases «avant» et «après», l interaction entre M et M est négligeable ( ) Notons v et v (resp v et v ) les vitesses des centres d inertie de M et M pendant la phase «avant» (resp «après») Plus généralement, toutes les quantités relatives à la phase «après» porteront un prime Nous considérerons deux types de phénomènes : Collision M et M sont initialement loin l un de l autre Après une brève interaction, ils s éloignent à nouveau ( v v ) ou restent attachés ( v = v ) On parle aussi de choc Explosion M et M sont initialement attachés ( v = v ) Après l explosion, ils s éloignent l un de l autre On parle aussi de désintégration VIB Lois de conservation Considérons un système isolé (pas de forces extérieures) ( ) et plaçons-nous dans un référentiel galiléen, R Le système étant isolé, il obéit aux trois lois de conservation suivantes : conservation de la quantité de mouvement ; conservation du moment cinétique ; conservation de l énergie interne du système Notons m et m les masses des corps M et M, supposées inchangées lors de la collision Nous ferons l hypothèse que les corps sont ponctuels ou que la collision ne modifie pas le mouvement de rotation des corps sur eux-mêmes Nous ne nous intéresserons donc qu au mouvement des centres d inertie de M et M et n utiliserons pas la conservation du moment cinétique (cette loi serait en revanche utile pour étudier le mouvement de rotation des corps ; l énergie cinétique de rotation devrait par ailleurs être prise en compte dans l énergie interne de chacun des corps) D après la loi de conservation de la quantité de mouvement, p = p, soit m v + m v = m v + m v Notons G le centre d inertie du système {M, M } On a p = (m + m ) v G, donc v G = v G D après la loi de conservation de l énergie interne, U = U L énergie interne de ce système vaut U = m v + m v + U + U + E p, (m + m ) v G, ou d intensité constante si M et M sont attachés Les résultats donnés ici sont également valables dans les deux cas suivants : si le système est pseudo-isolé, c-à-d si les forces extérieures se compensent ; si la durée de la collision est très brève, même en présence de forces extérieures, à condition d appliquer les lois de conservation entre juste avant et juste après la phase d interaction 67
2 Michel FIOC Dynamique des systèmes où U et U sont les énergies internes des corps M et M, et E p, est l énergie potentielle d interaction ( 3) entre M et M De U = U et v G = v G, on déduit que m v + m v + U + U + E p, = m v + m v + U + U + E p, L énergie potentielle d interaction E p, entre M et M ne dépend que de la distance r entre les corps Elle tend rapidement vers une constante (généralement nulle par convention) quand r tend vers, donc m v + m v + U + U = m v + m v + U + U, si les corps sont loin l un de l autre avant et après l interaction (c-à-d v v et v v ) Si les corps restent liés après l interaction (c-à-d v = v v, ), on a m v + m v + U + U = (m + m ) v, + U + U + E p, Si, au lieu d une collision, on a une explosion (c-à-d v = v v, ), alors (m + m ) v, + U + U + E p, = m v + m v + U + U La quantité E p, ou E p, porte dans ces deux derniers cas le nom d énergie de liaison VIC VIC Chocs élastiques Conservation de l énergie cinétique Si l état de chacun des corps M et M ne change pas (masses conservées, pas de déformation ni d échauffement), le choc est dit élastique : l énergie cinétique ( 4) est alors conservée La conservation de l énergie cinétique, exacte par exemple dans le cas de deux particules ne subissant pas de transition énergétique, est généralement une bonne approximation dans le cas de deux solides élastiques La loi de conservation de la quantité de mouvement, m v + m v = m v + m v, donne trois équations scalaires (une selon chaque axe : m v x + m v x = m v x + m v x, etc ) et la loi de conservation de l énergie (cinétique, ici), m v + m v = m v + m v, une équation, soit un total de quatre équations Pour déterminer v et v (trois composantes chacunes), il faudrait six équations Seule l étude du système pendant l interaction pourrait fournir les deux équations manquantes À défaut, il faut donner deux paramètres supplémentaires pour résoudre le problème Nous allons montrer dans ce qui suit que, si l on connaît la direction de v (soit deux angles), on peut trouver sa norme puis v Pour cette étude, il est plus commode de se placer dans le référentiel barycentrique du système VIC Étude dans le référentiel barycentrique du système La vitesse de G dans le référentiel galiléen R est v, v et v G sont donc dans un plan, P v G = m v + m v m + m 3 L énergie potentielle d interaction et l énergie interne ne dépendent pas du référentiel 4 Pour être précis, il s agit de la somme des énergies cinétiques macroscopiques de translation et de rotation 68
3 Chapitre VI Collisions De même, v G = m v + m v m + m v, v et v G sont donc aussi dans un plan, P, en général différent de P Or v G = v G : les plans P et P ont donc en commun la droite D passant par le point de rencontre entre M et M et dirigée selon v G Le référentiel barycentrique du système, R, est le référentiel en translation rectiligne à la vitesse v G par rapport à R Il est donc ici galiléen Indiquons par un astérisque les quantités dans le référentiel R On a v = v v G ; de même pour v, v et v Dans le référentiel barycentrique, la conservation de la quantité de mouvement donne et la conservation de l énergie cinétique m v + m v = 0 = m v + m v () m v + m v = m v + m v () En exprimant v (resp v ) en fonction de v (resp v ) à partir de l équation () et en remplaçant dans l équation (), on obtient v = v et v = v Notons w v v la vitesse de M par rapport à M On a w v v = w D après l équation (), ( w = v v = + m ) ( v m = + m ) v m = m µ v = m µ v, où µ = m m /(m + m ) est la masse réduite On obtient de même w = m µ v = m µ v Comme v = v, on a w = w Supposons connu le vecteur unitaire dirigé selon v, c-à-d la direction de v Ceci revient à donner deux angles : l angle φ («longitude») entre les plans P et P ; l angle θ entre v G et v On a v v = µ w m et v = µ w m 69
4 Michel FIOC Dynamique des systèmes VIC3 Étude dans le référentiel R Dans le référentiel R, on a v = v + v G et v = v + v G On peut en déduire les angles θ = ( v G, v ) et θ = ( v G, v ) Notons u x le vecteur unitaire dirigé selon v G et u y un vecteur unitaire du plan P perpendiculaire à u x On a On obtient donc = cos θ u x + u y et v = v (cos θ u x + sin θ u y ) v cos θ = µ w m cos θ + v G et v sin θ = µ w m On en déduit que De même, de tan θ = cos θ + m v G /(µ w ) v cos θ = µ w m cos θ + v G et v sin θ = µ w m, on déduit que tan θ = cos θ m v G /(µ w ) VIC4 VIC4a Cas particuliers Cible M immobile avant la collision On a alors v = 0, w = w = v v = v et v G = m v /(m + m ) tan θ = cos θ + m /m d où θ = θ / π/ tan θ = sin θ cos θ = sin(θ /) cos(θ /) sin = (θ /) tan(θ /), Corps de même masse tan θ = sin θ cos θ + = sin(θ /) cos(θ /) cos (θ = tan(θ /), /) d où θ = θ / : v et v sont donc perpendiculaires si v = 0 et m = m On retrouve ce cas simplement à partir des lois de conservation v = v + v et v = v + v En mettant la première équation au carré et en soustrayant la deuxième, on obtient v v = 0 VIC4b Choc frontal On parle également de choc direct Dans ce cas, les vitesses sont toutes colinéaires On peut trouver v et v sans passer par le référentiel barycentrique Notons v, v, v et v les vitesses algébriques selon l axe commun La conservation de la quantité de mouvement donne m (v v ) = m (v v ) 70
5 Chapitre VI Collisions et celle de l énergie cinétique, soit m (v v ) = m (v v ), m (v v ) (v + v ) = m (v v ) (v + v ) S il y a eu une collision, (v, v ) (v, v ) obtient En divisant la dernière équation par la première, on v + v = v + v puis v = (m m ) v + m v m + m Par symétrie, en échangeant les indices et, on obtient v = m v + (m m ) v m + m On constate que si m = m, alors v = v et v = v : les vitesses de M et M ont été échangées En particulier, si M est au repos avant le choc, M est au repos après le choc et M a la vitesse de M d avant le choc (phénomène de «carreau») Si v = 0 et m m, v v et v 0 : M rebondit sur M avec la même vitesse, mais de sens contraire, et M reste immobile Si m m, v v et v v VID VID Chocs inélastiques Dissipation de l énergie cinétique Lors d un choc inélastique, une partie de l énergie cinétique (au sens de la note n o 4) est dissipée L énergie interne du système devant être conservée, la somme des énergies internes de chacun des corps et de leur énergie potentielle d interaction doit augmenter Cette augmentation de l énergie non cinétique peut prendre plusieurs formes : chaleur (augmentation de la température des corps, vaporisation), déformation, énergie de liaison La quantité de mouvement reste en revanche toujours conservée On a les équations suivantes : m v + m v = m v + m v ; m v + m v = m v + m v + U + U + E p, U U } {{ } 0 Dans le référentiel barycentrique, la deuxième équation prend cette forme : µ w = µ w + U + U + E p, U U Cette équation ne présente d intérêt que si la quantité U + U + E p, U U est connue Toute autre quantité équivalente, p ex le coefficient de restitution ( 5), η = w w fait également l affaire On peut alors traiter le problème dans le référentiel barycentrique, puis dans R Toutes les équations données aux VIC et VIC3 sont encore valables, à l exception de la conservation de l énergie cinétique et des relations qui en découlent : w = w, v = v et v = v, 5 Le cas η = correspond au choc élastique 7
6 Michel FIOC Dynamique des systèmes VID Choc parfaitement mou Le cas η = 0 porte le nom de choc parfaitement mou : on a alors w = 0, c-à-d que M et M restent liés après la collision D après la conservation de la quantité de mouvement, On obtient bien que est négatif VIE v = v = m v + m v m + m E c E c = (m v + m v m v m v ) = m m ( v v v v ) (m + m ) Explosions = m m ( v v ) (m + m ) Le cas des explosions s apparente à celui des chocs parfaitement mous, la différence étant qu une partie de l énergie non cinétique est transformée en énergie cinétique On a d où est positif v = v = m v + m v m + m, E c E c = (m v + m v m v m v ) = m m (v + v v v ) (m + m ) = m m ( v v ) (m + m ) VIF Section efficace VIF Angle solide Considérons une sphère de rayon R L élément de surface d S de la sphère compris entre les longitudes φ et φ + dφ et les colatitudes θ et θ + dθ vaut d S = (R sin θ dφ) (R dθ) L angle solide élémentaire correspondant à d S, d ω d S/R, est indépendant du rayon de la sphère et vaut d ω(φ, θ) = sin θ dθ dφ L angle solide dω compris entre les colatitudes θ et θ + dθ vaut Z π dω(θ) = d ω(φ, θ) = π sin θ dθ L angle solide ω cône (θ) du cône compris entre les colatitudes 0 et θ vaut Z θ ω cône (θ) = dω(θ ) = π ( cos θ) θ =0 L angle solide couvert par la sphère toute entière correspond à θ = π, soit ω sphère = 4 π VIF Sections efficaces différentielle et totale Considérons un faisceau de particules M envoyées à la vitesse v contre une cible de faible épaisseur, constituée de particules M immobiles ( v = 0) Un certain nombre de projectiles vont être déviés par les particules de la cible dans la direction caractérisée par les angles φ et θ Notons I l intensité du faisceau incident, c-à-d le nombre de particules rencontrant la cible par unité de temps ; n le nombre de particules cibles par unité de surface de la cible ; et d N ω (φ, θ ) le nombre de particules M déviées par unité de temps dans l angle solide d ω(φ, θ ) A priori, d N ω I n d ω 7
7 Chapitre VI Collisions On appelle section efficace différentielle σ diff (φ, θ ) la quantité σ diff (φ, θ ) = d N ω I n d ω Cette quantité a la dimension d une surface Le nombre dn θ de particules déviées par unité de temps entre θ et θ + dθ vaut Z π Z π dn θ = d N ω = I n σ diff (φ, θ ) sin θ dθ dφ Si σ diff (φ, θ ) ne dépend pas de φ, c-à-d s il y a symétrie de révolution autour de l axe D, notons σ diff (θ ) σ diff (φ, θ ) On a alors Z π dn θ = I n σ diff (θ ) sin θ dθ dφ = π I n σ diff (θ ) sin θ dθ, d où σ diff (θ ) = On définit également la section efficace totale π I n sin θ dn θ dθ σ tot = N I n, où N est le nombre de particules déviées par unité de temps dans toutes les directions VIF3 Application à la diffusion entre noyaux Considérons des noyaux d atomes M envoyés contre des noyaux M au repos La plupart des projectiles passent loin des noyaux cibles Certains passent cependant près d une cible Notons D le paramètre d impact correspondant et θ l angle de déviation dans le référentiel barycentrique On rappelle (cf VIIEciii) que «θ K tan = µ v 0 D La probabilité p(d) dd qu un noyau M ait un paramètre d impact compris entre D et D + dd est proportionnelle à π D dd La probabilité p(θ ) dθ qu il soit dévié entre θ et θ + dθ (dans le référentiel barycentrique) vaut p(θ ) dθ = p(d) dd dθ dθ dθ tan(θ /) sin (θ /) On a d où σ diff (θ ) dn θ dθ p(θ ), dn θ dθ sin 4 (θ /) On peut à partir de cette expression obtenir la section efficace différentielle dans le référentiel R plutôt que dans R 73
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