Inflammation. UE Bases moléculaires des pathologies 05 novembre 2013
|
|
- Damien St-Louis
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Inflammation UE Bases moléculaires des pathologies 05 novembre 2013 Dr Caroline Guignant AHU Immunologie CHU Sud Amiens EA4666 LNPC
2 OBJECTIFS Expliquer les principaux mécanismes et les manifestations cliniques et biologiques de la réaction inflammatoire Exploration biologique d un syndrome inflammatoire 2
3 Définition (1/2) La réaction inflammatoire est la réponse à une agression tissulaire d'origine exogène ou endogène Réponse non spécifique = processus de l immunité innée Buts : Limiter la lésion au niveau local Éliminer la cause Réparer le tissu lésé 3
4 Définition (2/2) Processus inflammatoire avec des conséquences : - locales rougeur, chaleur, œdème et douleur - générales : * clinique : fièvre, altération de l état général * biologie : syndrome inflammatoire Inflammation aiguë (qq min à qq jours) ou chronique Réponse contrôlée par de multiples systèmes régulateurs 4
5 Principales causes de l inflammation (1/2) Agression d origine exogène : causes physiques : traumatisme, chaleur, froid, radiations ionisantes causes chimiques : produits caustiques... corps étrangers agents infectieux, pouvant agir localement ou à distance par l'intermédiaire de toxines : bactéries, virus, parasites, champignons 5
6 Principales causes de l inflammation (2/2) Agression d origine endogène : causes trophiques : troubles de la vascularisation, de l'innervation perturbations métaboliques (urée, goutte...) «conflit» immunitaire (auto-immunité, déficit immunitaire) toutes lésions «non-inflammatoires» (tumeurs, athérome ) 6
7 Symptômes de l inflammation (1/3) LOCAUX Médiateurs Effets vasculaires Parois des cellules endothéliales Vasodilatation débit sanguin local perméabilité vasculaire exsudation plasmatique infiltrat cellulaire Rougeur + chaleur Œdème 7
8 Symptômes de l inflammation (2/3) LOCAUX Médiateurs algogènes Bradykinine, PGE2 Transmission nerveuse Sensation de douleur 8
9 Symptômes de l inflammation (3/3) GENERAUX Cytokines : IL-1 / IL-6 / TNF-α + PGE2 Foie Protéines de la phase aiguë (CRP, MBL) Hypothalamus température corporelle Muscle Mobilisation de protéines marqueurs biologiques Fièvre Asthénie Amaigrissement 9
10 Les phases de l inflammation aigüe INITIATION AMPLIFICATION RESOLUTION Phase vasculaire Phase cellulaire Détersion Résolution et cicatrisation Immédiate Signes cardinaux Médiateurs et cellules locaux Granulome inflammatoire + médiateurs solubles Elimination de l agent responsable 10
11 1. Initiation de la réponse inflammatoire Brèche vasculaire Coagulation Kinines Complément Endothélium Plaquettes Mastocytes Acteurs solubles Acteurs cellulaires 11
12 1. Initiation de la réponse inflammatoire Système des kinines : - activé dès qu un tissu est altéré - protéases plasmatiques sous forme de pro-enzymes inactives - cascade d activation : 1 protéase active clive la protéase suivante formation de bradykinine (sang), kallidine (tissu) 12
13 Gabra 2003 Med sc 13
14 1. Initiation de la réponse inflammatoire Système des kinines : - activé dès qu un tissu est altéré - protéases plasmatiques sous forme de pro-enzymes inactives - cascade d activation : 1 protéase active clive la protéase suivante formation de bradykinine (sang), kallidine (tissu) Bradykinine = puissant vasodilatateur - la perméabilité vasculaire afflux de protéines plasmatiques dans le site altéré (= œdème) - déclenche la douleur 14
15 1. Initiation de la réponse inflammatoire Système de coagulation : - activé dès que la paroi des vaisseaux sanguins est altérée Moerloose
16 16
17 1. Initiation de la réponse inflammatoire Système de coagulation : - activé dès que la paroi des vaisseaux sanguins est altérée formation d un caillot de fibrine prévient la perte sanguine prévient l entrée des microorganismes dans le courant sanguin 17
18 1. Initiation de la réponse inflammatoire Système du complément : - perméabilité vasculaire - dégranulation des mastocytes locaux activés (histamine) - chimiotactisme - molécules d adhérence 18
19 1. Initiation de la réponse inflammatoire Acteurs cellulaires locaux : PAF + Plaquettes C5a, TNF-a, PAF, LPS + Cellules endothéliales dégranulation - Sérotonine - Production d éicosanoïdes = pro-inflammatoires - Vasodilatation - Expression de molécules d adhérence 19
20 Rôle important de l endothélium dans l inflammation Facteurs inflammatoires locaux NO Vasodilatation ++ 20
21 Synthèse du NO et mécanisme d action vasculaire vasodilatation Guanylate cyclase NOS endothéliale (enos) 21
22 Rôle important de l endothélium C3a, C5a perméabilité vasculaire OEDEME Facteurs inflammatoires locaux NO Vasodilatation ++ IL-8 Chimiotactisme Induction de sélectines et d intégrines P- et E-sélectines. ICAM-1, VCAM-1 enos + inos ROUGEUR, CHALEUR 22
23 Modification de l endothélium et recrutement des leucocytes circulants 1. Roulement 2.Adhérence ferme 3. Diapédèse 4. Migration Récepteur à IL-8 CD31 Rôle des chimiokines 23 Afflux maximum des PNN dans les 6h
24 1. Initiation de la réponse inflammatoire Acteurs cellulaires locaux : C5a + Mastocytes Motifs microbiens / Alarmines + via TLR (cours L2) Macrophages résidents Cellules dendritiques dégranulation - Histamine = vasodilatateur - Production d éicosanoïdes + PAF + TNF-alpha - Phagocytose - Production de médiateurs pro-inflammatoires 24
25 Conséquences de la réaction vasculaire eicosanoïdes kinines complément coagulation endothélium mastocytes plaquettes phagocytes résidents C3a, C5a PG Histamine PAF-acether C3a, C5a Histamine PG Leucotriènes C3a, C5a PAF-acether Vasodilatation Perméabilité vasculaire Chimiotactisme flux sanguin Chaleur et rougeur Œdème : entrée molécules dans les tissus Recrutement cellulaire 25
26 2. Amplification de la réponse inflammatoire Recrutement de cellules immunitaires : Polynucléaires neutrophiles Monocytes Lymphocytes Polynucléaires basophiles Polynucléaires éosinophiles 26
27 2. Amplification de la réponse inflammatoire Rôles des cellules immunitaires recrutées et activées : phagocytose sécrétion de médiateurs de l inflammation pré-formés néo-formés formés plus tardivement 27
28 Médiateurs de l inflammation 1. Médiateurs pré-formés - libérés par exocytose (granules) - effet immédiat 1.1 Amines vasoactives : - surtout impliquées dans la phase d initiation - effets vasomoteurs : histamine (mastocytes), sérotonine (plaquettes) - effet chimiotactique : histamine (mastocytes) 28
29 Médiateurs de l inflammation 1. Médiateurs pré-formés 1.2 Les protéases - système de coagulation, système des kinines, complément (phase d initiation) - métalloprotéases :ex.: gélatinase, collagénase, élastase des M - protéolyse matricielle + favorise migration des cellules au sein de la matrice extracellulaire - activité protéolytique sous effet des cytokines (ex.: l'il1-b, TNF-α) - cathepsine G, protéinase-3, élastase des PNN (granules des PNN) 29
30 Médiateurs de l inflammation 1. Médiateurs pré-formés 1.3 Les protéines cationiques - surtout présentes dans les granules des polynucléaires éosinophiles (ex.: major basic protein MBP, protéine cationique de l éosinophile ECP) - molécules cytotoxiques (activité perforine-like) 30
31 Médiateurs de l inflammation 1. Médiateurs pré-formés 1.3 Les protéines cationiques - surtout présentes dans les granules des polynucléaires éosinophiles (ex.: major basic protein MBP, protéine cationique de l éosinophile ECP) - molécules cytotoxiques (activité perforine-like) - molécules activatrices = stimulent les cellules de voisinage libèrent des médiateurs lipidiques, cytokines, chimiokines amplification de la réaction inflammatoire 31
32 Médiateurs de l inflammation 2. Médiateurs néo-formés 2.1 Les médiateurs lipidiques PAF = facteur activateur des plaquettes + les eicosanoïdes (prostaglandines, leucotriènes et thromboxanes) - synthétisés par de nombreuses cellules de la réaction inflammatoire (PNN, PNB, PNE, plaquettes, mastocytes, endothelium), à partir de phospholipides membranaires sous action d enzymes 32
33 Phospholipides membranaires Lysophospholipide Phospholipase A2 Corticoïdes Acide arachidonique Cyclo oxygènase 1 et 2 AINS 5-Lipo oxygènase Acyl -transférase Prostaglandines PAF Leucotriènes Thromboxanes 33
34 Médiateurs de l inflammation 2. Médiateurs néo-formés 2.1 Les médiateurs lipidiques Agrégant plaquettaire Perméabilité vasculaire Vasodilatation, vasoconstriction autres Prostaglandines + + VD ++ douleur et fièvre (PGE2) Leucotriènes + VC+ (bronchoconstricteur) chimiotactisme PNN Thromboxane A2 ++ VC+ PAF + + VD+ 34
35 Médiateurs de l inflammation 2. Médiateurs néo-formés 2.2 Les radicaux libres oxygénés et nitrés Systèmes enzymatiques : NADPH-oxydase peroxydase (MPO des PNN) (ECP des PNE) Dérivés actifs de l oxygène Toxiques +++ bactéricides Danger pour les cellules de l hôte 35
36 Médiateurs de l inflammation 2. Médiateurs néo-formés 2.2 Les radicaux libres oxygénés et nitrés Systèmes enzymatiques : NO-synthase L-arginine NO-synthase citrulline NO + H2O OH., NO2-, NO3- NO est diffusible et induit une vasodilatation rapide + toxique pour les micro-organismes Danger pour les cellules de l hôte 36
37 Médiateurs de l inflammation 2. Médiateurs néo-formés 2.3 Les chimiokines et cytokines - rôle important à chaque étape de la réponse inflammatoire - protéines qui sont sécrétées par diverses cellules de l organisme suite à un signal d activation - se fixent à des récepteurs spécifiques avec une forte affinité (pm) transduction du signal qui aboutit à modification de l expression génique des cellules cibles 37
38 - Action autocrine, paracrine voire endocrine Action autocrine Action paracrine Action endocrine 38
39 différentes familles de cytokines : hématopoïétines (facteur de stimulation des colonies, ex.: GM- CSF) famille du facteur de nécrose tissulaire (Tumor-Necrosis-Factor =TNF) interleukines chimiokines interférons effets multiples des cytokines 39
40 Cytokines hématopoïétiques GM-CSF, G-CSF, M-CSF ASSIM 40
41 Mécanisme de la fièvre Eccles 2005 Lancet inf dis 41
42 Tableau récapitulatif des médiateurs pro-inflammatoires Vasodilatation Augmentation de la perméabilité vasculaire Chimiotactisme Fièvre Douleur Destruction (cellules, matrice) Histamine, kinine, prostaglandine, PAF, NO Histamine, bradykinine, C3a C5a, PAF Leucotriène B4, C5a, chimiokines TNF-α, IL-1, IL-6, Prostaglandine E2 Bradykinie, prostaglandine E2 Dérivés actifs de l oxygène, NO, enzymes des lysosomes 42 Adapté de Rousselet 2005
43 3. Détersion Élimination de l agent responsable de l inflammation : phagocytose ++ Elimination des cellules de l hôte lésées phagocytose ++ 43
44 4. Résolution et réparation La réponse inflammatoire est limitée dans le temps : - systèmes de contrôle de la phase d amplification (cytokines antiinflammatoires, anti-protéases, anti-radicaux libres) Réponse proinflammatoire Réponse antiinflammatoire 44
45 Réponse anti-inflammatoire IL-10, IL-1 ra, sr-tnf, TGF-β - cytokines antagonistes des cytokines pro-inflammatoires : IL-10, TGF-β - cytokines «compétitrices» = bloquent le récepteur de cytokines : IL-1ra - récepteur soluble qui fixe la cytokine avant qu elle se lie à son récepteur membranaire : sr-tnf rôle anti-inflammatoire important car une réponse proinflammatoire excessive est délétère pour l organisme 45
46 Production de cortisol Cortisol : activation cellules immunitaires molécules d adhérence chimiokines cytokines et médiateurs pro-inflammatoires cytokines anti-inflammatoires 46
47 4. Résolution et réparation La réponse inflammatoire est limitée dans le temps : - systèmes de contrôle de la phase d amplification (cytokines antiinflammatoires, anti-protéases, anti-radicaux libres) - action complémentaire de cellules (macrophages, fibroblastes) + des médiateurs (cytokines, facteurs de croissance) remodelage du tissu (équilibre synthèse/dégradation) néovascularisation 47
48 Apoptose des PNN sur le site de l inflammation Efferocytose par les monocytes-macrophages - Profil M2 + - NO synthase inductible - Libération de médiateurs proinflammatoires - arginase-1 ornithine croissance des fibroblastes + synthèse collagène - médiateurs anti-inflammatoires : IL-10, TGF-β, IL-1ra - médiateurs lipidiques : lipoxine, résolvine, protectine - facteurs de croissance fibroblaste (collagène + mol matrice extracell) - facteur angiogénique (VEGF) 48
49 Sehran 2008 Nat rev imm 49
50 Exemple de la restauration du tissu cutané Werner 2003 Physio rev 50
51 4. Résolution et réparation 2 scénarios : A. Résolution totale : - élimination du facteur déclenchant - phagocytose des débris cellulaires Détersion efficace - efficacité des systèmes de contrôle et des systèmes de réparation Réparation complète du tissu lésé 51
52 4. Résolution et réparation 2 scénarios : B. Résolution partielle : - défaut d élimination du facteur déclenchant Inflammation chronique - défaillance des systèmes de contrôle (cytokines pro/anti inflammatoires, protéases/antiprotéases etc.) - inefficacité des systèmes de réparation des tissus Fibrose Ex.: cirrhose hépatique, fibrose pulmonaire 52
53 Bénéfique Inflammation aiguë Homéostasie Délétère Sd de réponse inflammatoire systémique Hypersensibilités Inflammation chronique Ex.: choc septique Ex.: silicose 53
54 Inflammation aiguë et syndromes septiques sepsis Infection + SIRS + Systemic Inflammatory Response Syndrome : ( 2 critères) - température > 38 C ou < 36 C - fréquence cardiaque > 90 batt/min - fréquence respiratoire > 20/min ou PaCO 2 < 32mmHg - leucocytes > 12000/mm 3 ou < 4000/mm 3 sepsis sévère choc septique Hypotension (PA systolique < 90 mmhg) ou dysfonction d 1 organe : ex. : défaillance cardiaque, rénale, hépatique ; hypoperfusion avec acidose lactique, anomalies de la coagulation, altération de l état mental + Hypotension réfractaire : persistante malgré administration de solution de remplissage (cristalloïde 20 à 40 ml/kg) 54 Bone RC. JAMA 1992.
55 De l infection aux dysfonctions d organes Infection locale Pulmonaire, abdominale, urinaire Réponse pro-inflammatoire massive et systémique Activation de la coagulation lipoprotéines ADN peptidoglycane production importante : - cytokines pro-inflammatoires - chimiokines - amines vasoactives - radicaux libres - enzymes protéolytiques Altération de la microcirculation lésion de l endothélium et des organes de l hôte Défaillances multi-organes 55
56 Exemple de réponse inflammatoire chronique : silicose Pneumoconiose = maladies pulmonaires induites par l inhalation de poussières inorganiques qui stimulent la fibrose Silicose et poussière de silice = la + ancienne pneumopathie professionnelle décrite (XVIe siècle) 56
57 Insuffisance respiratoire Fibrose collagène +++ Facteurs proinflammatoires et pro-fibrosants Recrutement de cellules inflammatoires eicosanoïdes + TNF-α Leung 2012 Lancet Macrophage alvéoléaire 57
58 Leung 2012 Lancet 58
59 «In progressive massive fibrosis, lung nodules become confluent, resulting in lesions of 1 cm or more in diameter.» Leung 2012 Lancet 59
60 Autres étiologies de l inflammation chronique 60
61 Exploration biologique de la réponse inflammatoire - hémogramme - protéines de la phase aiguë de l inflammation - électrophorèse des protéines - vitesse de sédimentation
62 Modification de l hémogramme Anémie : séquestration du fer Hyperleucocytose : cytokines hématopoïétiques Hyperplaquettose = thrombocytose 62
63 Hyperleucocytose liée à l'action de cytokines hématopoïétiques (GM-CSF, G-CSF, M-CSF) ou de chimiokines effet ciblé de certaines chimiokines sur certains leucocytes : IL-8 et polynucléaires neutrophiles éotaxine et éosinophiles MCP-1 et monocytes 63
64 Hyperplaquettose Peut apparaître au cours du syndrome inflammatoire IL-6 + IL-1β foie thrombopoïétine Stimule formation des plaquettes sanguines et prolifération de leurs précurseurs (mégacaryocytes) 64
65 Protéines de la phase aiguë de l inflammation Pr Bach
66 Protéines de la phase aiguë de l inflammation Pr Bach
67 Protéines de la phase aiguë de l inflammation Protéines dont la concentration est modifiée d au moins 25% en cas de réaction inflammatoire Produites par le foie principalement sous l effet de l IL IL-1 et TNF-α Leur concentration plasmatique sauf pour albumine, (pré-albumine) et transferrine qui Syndrome inflammatoire = d au moins 2 protéines de l inflammation 67
68 Protéines de la phase aiguë de l inflammation Rôles de ces protéines dans la défense de l organisme Facilite l opsonisation : CRP, fractions du complément Activation du complément : CRP Attire leucocytes sur le site inflammatoire : fractions du complément, protéine sérique amyloïde (SAA) Transport de protéines : orosomucoïde, céruloplasmine 68
69 Protéines de la phase aiguë de l inflammation Amplitude de variation des protéines : Augmentation = PRI CRP, SAA 2-4 orosomucoïde, haptoglobine, fibrinogène 1,5 fraction C3, céruloplasmine Diminution Albumine, transferrine 69
70 % de variation des concentrations plasmatiques CRP Cinétique rapide Haptoglobine Orosomucoïde Transferrine Albumine Cinétique moyenne C3 Cinétique lente Nombre de jours après un stimulus inflammatoire 70
71 Quelle(s) protéine(s) choisir? En pratique : 1 protéine à cinétique rapide = CRP + protéines à cinétique lente = haptoglobine orosomucoïde 71
72 CRP Hapto Oroso Albumine Tranfserrine Débutante ou ou Aiguë Chronique Régressive ou ou Pr Bach
73 CRP Hapto Oroso Albumine Tranfserrine Débutante ou ou Aiguë Chronique Régressive ou ou Pr Bach
74 CRP Hapto Oroso Albumine Tranfserrine Débutante ou ou Aiguë Chronique Régressive ou ou Pr Bach
75 CRP Hapto Oroso Albumine Tranfserrine Débutante ou ou Aiguë Chronique Régressive Pr Bach
76 Electrophorèse des protéines Séparation des protéines sériques en 5 zones Pr Bach
77 Tracé observé lors d une inflammation : Tracé normal Inflammation Albumine Oroso Hapto Transferrine C3 CRP 77
78 Vitesse de sédimentation Prélèvement : sang dans un tube avec anti-coagulant = sédimentation de la 1 ère heure t 0 t 1h Homme Femme VS 1heure 2-5 mm 3-7 mm 78
79 De très nombreux facteurs modifient la VS : Augmentation Diminution Sexe féminin Contraceptifs Grossesse Obésité Anémie Syndromes inflammatoires Hypergammaglobulinémies etc Polyglobulie Hyperleucocytoses importantes Hyperviscosité Hémoglobinopathies etc Paramètre non spécifique! 79
80 Points importants : inflammation Mise en jeu rapide, mécanisme de l immunité innée Acteurs solubles + cellulaires Inflammation = processus physiologique bénéfique Mais doit être contrôlé Inflammation aiguë excessive Inflammation chronique, fibrose 80
Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCAHIER DE N 35 2005. L'inflammation
CAHIER DE N 35 2005 Biologie médicale L'inflammation Chère Consœur, Cher Confrère, Il est important aujourd hui pour moi de rendre un hommage particulier aux auteurs de ces Cahiers de formation que nous
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailLES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE
1 ECOLE NATIONALE DE MEDECINE VETERINAIRE SIDI THABET Année 2014-2015 LES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE PHARMACIE & TOXICOLOGIE Pr Agrégé Samir BEN YOUSSEF Dr Jamel BELGUITH Dr Rim HADIJI 2 LES CORTICOIDES
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailPhysiopathologie des vascularites nécrosantes
Physiopathologie des vascularites nécrosantes Luc Mouthon Pôle de Médecine Interne, Centre de référence pour les vascularites nécrosantes et la sclérodermie systémique, hôpital Cochin, Assistance Publique-
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailinterféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques
Le mécanisme m d action d et les effets de l interfl interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques Présentation du domaine de terminologie Fanny Jarnet Le 13 avril
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailM. Fabrice SCHNEIDER
THÈSE DE DOCTORAT ECOLE DOCTORALE SCIENCES DE LA VIE ET DE LA SANTE Spécialité PHARMACOLOGIE ET BIOTHÉRAPIES Présentée par M. Fabrice SCHNEIDER NÉ LE 24 JUIN 1971 à La Ferté-Bernard Soutenue le Novembre
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLes voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité?
L E S V O I E S A É R I E N N E S Les voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité? par Jacques Bouchard Vous êtes en train de pousser votre panier d épicerie. Eh oui,
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détail