Biologie comparée des grandes fonctions
|
|
- Camille Aubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Biologie comparée des grandes fonctions Chapitre 7 Excrétion Base de cours préparée par René Lafont
2 Pourquoi excréter? A la fois, le maintien des concentrations en solutés au niveau correct, Maintien dans l organisme l d un d volume d eaud adéquat, Élimination des produits terminaux du métabolisme, Élimination des substances étrangères ou de leurs produits du métabolisme
3 Eckert et al., 1999 p 628 Les niveaux trophiques
4 Guillaume, 1992
5 Les déchets du métabolisme CO 2 H 2 O CO 2 H 2 O GLUCIDES LIPIDES PROTEINES AC NUCLEIQUES ACIDES AMINES 1 PURINES PYRIMIDINES NH 3 XANTHINE NH 3 ACIDE URIQUE 2 ALLANTOINE 3 ACIDE ALLANTOIQUE UREE
6 O Les principaux déchets azotés HN NH O H 2 N O NH O H 2 N O OH NH 2 O NH NH O NH NH O NH NH O ACIDE URIQUE ALLANTOINE ACIDE ALLANTOIQUE H 2 N HN O N N NH H H2N H 3 C N N O HN H3 C N NH 2OH O GUANINE CREATININE CREATINE NH 3 AMMONIAC NH 4 + O NH 2 NH 2 CH 3 N CH 3 CH 3 O CH 3 N CH 3 CH 3 ION AMMONIUM UREE TRIMETHYLAMINE TMAO
7 L interconversion des déchets azotés
8 Les principaux types d excrétion azotée
9 Produits terminaux ammoniaque azotés Cyclostomes, téléostéens, têtards d amphibiens dipneustes Amphibiens, mammifères, élasmobranches urée qques tortues qques amphibiens, reptiles crocodiles Acide urique Oiseaux, reptiles
10 Les différentes catégories d excrétion d azotée TYPE EXEMPLES AZOTE AMINE (95%) AMMONIAC UREE ACIDE ALLANTOIQUE ALLANTOINE ACIDE URIQUE GUANINE AZOTE PURIQUE (5%) AMMONIOTELISME Isopodes terrestres Invertébrés aquatiques Urocordés (Ascidies) Poissons osseux AMMONIO/UREO-T Dipneustes, Lombrics UREOTELISME Sélaciens Amphibiens terrestres Mammifères (sauf P) Primates URICOTELISME Insectes terrestres Oiseaux Reptiles squamates GUANOTELISME Arachnides AMMONIO/URICO-T Reptiles crocodiliens UREO/URICO-T Reptiles chéloniens
11 Disponibilité de l eau l et excrétion azotée Eckert et al., 1999 p 621
12 L uricotélisme des grenouilles désertiques L excrétion azotée de Phyllomedusa s accompagne d une perte d eau comparable à celle des rongeurs désertiques Dossier, pour la Science, 1994
13 Excrétion ou stockage? Gilles, site Web
14 Les chloragocytes dans le tissu excrétophore d annélides Excrétion par accumulation A chloragocytes A Section transversale de la partie supérieure de l intestin et du vaisseau dorsal chez l oligochète d ED Tubifex montrant le tissu chloragogène B vaisseau dorsal de l olichochète Lumbriculus Florey, 1968 vaisseau dorsal B vaisseau dorsal chloragocytes intestin corps cardiaque sinus intestinal
15 L excrétion par accumulation Représentation schématique de l accumulation des déchets dans les chloragocytes suivie de leur éventuel transfert ou de leur excrétion hors de l organisme C Chl Cc Les fragments (F) issus de la désintégration des chloragocytes sont repris par les coelamocytes (Cc) circulants qui vont ensuite (1) soit migrer par diapédèse à travers l épiderme (E) et ensuite se désintégrer (dcc), (2) soit transférer leur contenu dans la paroi des néphridies (N) ou dans les cellules épidermiques. Alternativement, les fragments peuvent être directement entraînés vers l extérieur en passant par la lumière de la néphridie et en étant entraîné par le courant créé par les mouvements ciliaires. Vs Cc F N F E Cc dcc Florey, 1968 E
16 N-NH3 excretion in the turbot Burel,, C., J. Person-Le Ruyet, F. Gaumet,, A. Le Roux, A. Sévère and G. Boeuf, J. Fish Biol., 1996
17 farming effluents Y. Harache, IFREMER
18 Les impacts aquacoles Dans une cage d éd élevage de salmonidé en intensif, 17 à 26 g de sédiments / m 2 /jour (Enell( & Loelf,, 1983) 1 kg de matière organique produite pour 3,6 kg de biomasse produite de saumon atlantique (Seymour & Bergheim,, 1991) ; 13 mg/l d eau d de rejet chez le loup (Blancheton( & Canaguier,, 1995) Azote ingéré par un poisson = X concentration en protéines X nombre de poissons X (poids initial 0,61 + 0,085 X nombre de jours) 0,97 (Pagand Pagand,, 1999) Excrétion azotée chez Dicentrarchus labrax de 150 à 450 mg N/kg poids vif/jour
19 L excrétion hydrominérale
20 A - APPAREILS FONCTIONNANT AVEC UNE PRESSION DE FILTRATION R S métanéphridies néphrons ouverts des embryons de Vertébrés Différents types d appareils excréteurs pavillon cilié R glomérule S néphrons glomérulés reins céphaliques des crustacés B - APPAREILS FONCTIONNANT PAR DEPRESSION R S protonéphridies des Invertébrés flamme vibratile Lafont, 1985 C - APPAREILS FONCTIONNANT PAR TRANSPORT ACTIF D'IONS ions R S néphrons aglomérulés eau tubes de Malpighi des Insectes
21 Systèmes excréteurs Très grande variété selon les groupes : Ultrafiltration : la pression entraîne le passage du liquide à travers une membrane partiellement perméable ; l eau l et les petites molécules solubles comme les sels, les sucres et les aa peuvent passer, pas les grosses (protéines), Transport actif : mouvement d un d soluté contre le gradient chimique ou électrochimique grâce à un mécanisme nécessitant une dépense énergétique ; sécrétion ou réabsorption actives.
22 Anatomie comparée des reins Type de rein Pronéphros Mésonéphros Métanéphros Caractéristiques principales Type de néphron Ouvert à glomérule intracoelomique -Ouvert, à glomérule intranéphronique - fermés glomérulés -Fermés aglomérulés Fermés glomérulés Occurence Uniquement embryons et larves d anamniotes (sauf Chondrichthyens) Subsiste chez les cyclostomes et les téléostétens adultes Chondrichthyens (néphrons primaires) Amphibiens Cylostomes, Ostéichthyens,, amniotes, Chondrichthyens (néphrons secondaires) Env 30 sp de téléostéens marins Amniotes uniquement
23 Schéma du néphron
24 Différents types de néphrons chez les Vertébrés A Néphron ouvert à glomérule intracoelomique (éq. des métanéphridies). B Néphron ouvert à glomérule intranéphronique. C Néphron fermé glomérulé. D Néphron fermé aglomérulé (d après Beaumont et Cassier, 1987) AA artère rénale afférente, Ao Aorte dorsale, CN canal néphrostomial, Coe coelome, D segment distal du tubule, G glomérule, I segment intermédiaire du tubule, M mésentère, N néphrostome, P segment proximal du tubule, U uretère.
25 La néphrogenèse A C B D A Les néphrotomes (N) métamérisés relient les somites (S) métamérisés aux lames latérales (LL) non métamérisées. B Les néphrotomes antérieurs se séparent des somites et se creusent en tubules, formant ainsi des néphrons (Nn). C, D Les tubules forment un uretère primaire ou Canal de Wolff (Cw) qui s accroît en s étendant aux néphrotomes postérieurs (d après Beaumont et Cassier, 1987)
26 La néphrogenèse des Vertébrés A B C D A Néphrogenèse des Anamniotes (pronéphros transitoire et mésonéphros définitif. B néphrogenèse en 3 étapes avec formation d un uretère secondaire US remplaçant le Canal de Wolff. C,D développement de l appareil urinaire des Amniotes C : stade jeune montrant le bourgeonnement du métanéphros et de la gonade G ; D stade adulte mâle et femelle, chez le mâle, le Canal de Wolff est utilisé pour évacuer les produits du testicule, T, tandis que chez la femelle, il dégénère et est remplacé par le Canal de Müller CM. Cl cloaque. D après Beaumont et Cassier, 1987 Pro-, Méso- et Méta-néphros des Vertébrés PRO- MESO- META- PRO- MESO- META- META- PRO- MESO- META-
27 Formes et tailles des néphrons des Vertébrés Willmer et al., 2000, p 109
28 Les modifications post-rénales de l urinel rein rein uretère uretère vessie intestin Relations des uretères avec l extérieur urètre
29 Organes de stockage de l urinel Groupe Oiseaux Reptiles Amphibiens Téléostéens d Edd Téléostéens d EMd Organe de stockage Intestin Intestin (lézards, serpents, crocodiles) Vessie (chéloniens) Vessie Vessie Vessie Effets du stockage si déshydaté, réabsoption de de 70 % du NaCl et 15 % d eau, d rien si normal Réabsoprtion de 80 à 99 % du NaCl Réabsoprtion du NaCl et d eau Pendant la déshydratation, récupération d eau 50 % du poids du total du corps et réabsorption du NaCl Réabsorption du NaCl et d eau Réabsorption du NaCl
30 Diverses structures accumulatrices : les néphrocytes des branchies de crabe
31 Diverses structures accumulatrices : les sphérocristaux de l intestin l d insected
32 L acide urique de l urine l des oiseaux précipite en cristaux sphériques 1 µm (Braun, 2003)
33 Le rein des mammifères De quelques dizaines de milliers à une dizaine de millions de néphrons, ces derniers constitués de deux parties : Le corpuscule rénal, avec son glomérule artériel, lieu de la filtration passive, Le tubule urinaire, conduit l urine l primaire vers l uretère collecteur : anse de Henlé, vasa recta, macula densa et canal collecteur.
34 Le rein des mammifères Eckert et al., 1999 p 597 et 603
35 Le rein chez les poissons Grandes différences entre eau douce et eau de mer Niveaux de filtration très variés Certaines espèces marines aglomérulaires Isosmoticité ou anisosmoticité Elasmobranches avec urée Production du TMAO
36 Le rein des poissons 0,3 Fish Physiology, Hickman and Trump, 1969
37 Les vacuoles pulsatiles des paramécies et des amibes pore spongiome canal de jonction microtubules ampoule vacuole canal collecteur Vacuole pulsatile de paramécie (Rankin et Davenport, 1981) : chaque individu possède deux vacuoles fonctionnant en opposition de phase
38 Protonéphridies (A) et Métanéphridies (B) A B filtration (urine primaire) filtration (urine primaire) modification (urine secondaire) modification (urine secondaire) coelome Organisation fonctionnelle des proto (A) et métanéphridies (B) Ruppert & Smith, 1988
39 Protonéphridies à cyrtocytes Schmidt-Nielsen, 1998
40 Protonéphridies à cyrtocytes eau flamme vibratile coupe transversale basale piliers cils
41 Protonéphridies à solénocytes flagelle épithélium coelomique
42 Métanéphridies paroi dorsale Métanéphridie d Annélide (d après Hartenstein, 1972) paroi du corps septum néphro- paroi néphridiopore stome ventrale vessie vaisseaux sanguins
43 Métanéphridies modifiées des Mollusques A aorte antérieure veine cave pore excréteur veine latérale organes fongiformes rein droit coeur branchial oreillette branchie poche néphridienne B veine pulmonaire cavité péricardique oreillette orifice réno-péricardique ventricule néphrostome cavité péricardique aorte postérieure pavillon génital uretère rein aorte gonade coelome génital Anatomie du rein (métanéphridie) d un céphalopode (A) et d un gasropode pulmoné (B), organe de Bojanus chez l escargot Helix, Lafont 1985
44 Les métanéphridies des sangsues Vue dorsale d une néphridie et de sa vessie chez la sangsue Hirudo medicinalis. Le schema montre les flux d urine. Les zones bleutées représentent la masse des cellules canaliculaires qui entourent le canal central (en vert). L urine primaire est sécrétée par les cellules canaliculaires dans leur lumière interconnectée formant des canalicules (en bleu foncé), présents dans l ensemble de la néphridie (montrés en détail seulement dans le lobe apical). Les canalicules du lobe principal et du lobe interne se jettent dans les canalicules du lobe apical et forment le canal central (la transition est marquée par la flèche épaisse). L urine est ensuite modifée le long du canal central (en vert) par réabsorption des ions. L urine définitive entre ensuite dans la vessie. Les flèches indiquent le sens des flux d urine. Les zones des microponctions ayant permis d analyser les mécanismes sont indiquées en orange (A, B, C). Pour simplifier, l irrigation sanguine et l innervation n ont pas été représentées. (Zerbst-Boroffka et al., 1997)
45 Les métanéphridies des sangsues La formation de l urine primaire est liée à un processus de transport actif d ions chlorure, donc pas à une ultrafiltration (Zerbst-Boroffka et al., 1997)
46 La glande verte des Crustacés (1) moulin gastrique artère antennaire vessie glande verte pore excréteur Glande verte de l écrevisse, Astacus (d après Florey, 1968)
47 La glande verte des Crustacés (2) vessie artère antennaire artère irrigant le cœlomosac artère irrigant le labyrinthe cœlomosac pore excréteur tubule néphridien labyrinthe (d après Withers, 1992)
48 La glande verte des Crustacés (3) Withers, 1992, p 852 tubule (réabsorption des sels) Ecrevisse (eau douce) pore excréteur vessie cortex vert (= labyrinthe) cœlomosac Crabe (eau de mer)
49 Withers, 1992, p 852 Chez l él écrevisse, le tubule sert à la réabsorption des sels
50 Les glandes coxales et les tubes de Malpighi des Arachnides poche stercorale (=cloaque) anus tube de Malpighi Intestin moyen glandes coxales Glandes coxales des araignées : système original de formation de l urine primaire. La glande présente un saccule distal dont la paroi fine est attachée à des muscles, qui par leur contraction vont le dilater et créer ainsi une dépression favorisant l ultrafiltration. Le relâchement des muscles fait ensuite passer l urine primaire dans la portion tubulaire (d après Withers, 1992)
51 Une glande coxale canal glande accessoire muscles membrane filtrante dilatation dorsale dilatation ventrale (d après Withers, 1992)
52 Les tubes de Malpighi des Insectes Les extrémités fermées se trouvent dans l hémocoele, cavité remplie d hémolymphe. Les tubules se vident dans le tube digestif, à la jonction entre intestins moyen et postérieur. L excrétat est déshydraté puis descend dans le rectum et l urine est concentrée et rejetée par l anus. Les tubules de Malpighi ne sont donc pas alimentés par du sang artériel sous pression, comme pour le rein des mammifères. Sans pression, il n y a pas de filtration et l urine est constituée à partir de mécanismes de sécrétion puis d une réabsorption de certains composés. On peut comparer à la formation de l urine par les reins aglomérulaires de certains téléostéens marins.
53 Les tubes de Malpighi des Insectes tube de Malpighi formation de l'urine primaire sécrétion réabsorption intestin moyen intestin postérieur rectum
54 La formation de l urine l primaire dans les tubes de Malpighi K + (transport actif) eau (voie transcellulaire) solutés (voie paracellulaire) membrane basale invaginations mitochondrie noyau microvillosités lumière Bases ultrastructurales des transports actifs dans les extrémités distales des Tubes de Malpighi
55 Comparaison néphrons - tubes de Malpighi Substance P.M. Rayon Néphron Tubule de Malpighi (nm) filtrat/plasma filtrat/hémolymphe Eau Urée Glucose Sucrose Inuline
56 sécrétion Le système cryptonéphridien de certains Insectes et l économie de l eau intestin moyen intestin postérieur rectum passage dans l'hémolymphe : eau surtout recyclage eau + sels rectum fècès dés- hydratées
57 Le fonctionnement des cryptonéphridies [low] [low] [low] [high K] [high K] [high NH4,H,uric] Disposition en contre courant du système d extraction de l eau dans le rectum du ver de farine pour fortement concentrer l urine : l essentiel de l eau et de KCl qui entre dans le rectum est recyclé par les tubules de Malpighi active
58 memb apica Ré-ab de K Eckert et al., 1999 p 619 et 620
59 Les mécanismes de sécrétion ionique (KCl( KCl)
60 Excrétion extrarénale Eckert et al., 1999 p 609
61 Relations urine/milieu intérieur Environnement Eau douce Eau de mer Terrestre tempéré Terrestre aride Espèce castor baleine phoque homme cheval chat souris dromadaire Rat du désert Osmolarité de l urinel 410 mosm.l
La filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLes Annélides. 1. Présentation du groupe. UCLOUVAIN FDP Zoologie
Les Annélides Fiche récapitulative Métazoaires, triploblastiques, coelomates Symétrie bilatérale Protostomiens Métamérisés Corps en 3 parties: tête, soma, telson Tube digestif complet formé de régions
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailAntony Subaquatique Commission Bio Vidéo. Les Vers
Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo Les Vers C est quoi un vers? La notion de vers est dénuée de sens pour les puristes de la classification des espèces. Mais pour nous, plongeurs, on range dans ce
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLes vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés
Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailCORRIGES Plan de la séance
CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailFiche d information aux parents L HEMODIALYSE
Fiche d information aux parents L HEMODIALYSE L hémodialyse est ce qu on appelle une méthode de suppléance rénale, c est à dire une technique permettant de survivre avec des reins qui ne fonctionnent plus
Plus en détailFonctionnement de l organisme et besoin en énergie
Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement
Plus en détailJOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S
JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence
Plus en détailLes Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.
40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailSéquence : La circulation sanguine
Séquence : La circulation sanguine Objectifs généraux : Amener l élève à Comprendre le rôle du cœur dans la circulation sanguine. Connaître le rôle du sang et ses composants. Connaître l anatomie du cœur.
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détail(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:
Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments
Plus en détailQui mange quoi? Filtrer avec des fanons
Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailSéquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire
Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailClé de détermination des invertébrés d eau douce
Clé de détermination des invertébrés d eau douce Cette clé permet d identifier les invertébrés d eau douce les plus répandus, en particulier ceux vivant dans les eaux stagnantes (mares et étangs). Les
Plus en détailMesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada
Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailORL 88 8.0 06/2015-FR CLEARVISION II. Pour le nettoyage peropératoire de la lentille distale
ORL 88 8.0 06/2015-FR CLEARVISION II Pour le nettoyage peropératoire de la lentille distale Système CLEARVISION II : Pour le nettoyage peropératoire de la lentille distale Le problème posé par les gouttes
Plus en détailSOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE
SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailTextes de référence. Infection urinaire
Textes de référence Infection urinaire Description médicale L infection urinaire est causée par la prolifération anormale d agents infectieux dans le système urinaire qui comprend les reins, les uretères,
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailBienvenue sur la planète des insectes!
Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailPROFIL PSYCHOSOMATIQUE PAR LES ONGLES
PROFIL PSYCHOSOMATIQUE PAR LES ONGLES Les ongles, comme toutes les extrémités du corps, sont une forme d élimination de l excédent nutritionnel, plus particulièrement des minéraux, protéines et graisses.
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailFONC N T C IONN N E N L E S
BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailDemande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages
Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailSOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions
CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailINFO-SANTE / 32 ESPERANCE DE VIE NOS SYSTEMES "ELIMINATIONS ET EXCRETIONS" CORPORELLES :
INFO-SANTE / 32 NOS SYSTEMES "ELIMINATIONS ET EXCRETIONS" CORPORELLES : NOUS AVONS BIEN C01\1PRIS DANS LE CHAPITRE PRECEDENT, RELATIF A NOTRE DIGESTION, QU'IL EST CAPITAL DE BIEN NOURRIR NOTRE ORGANISME
Plus en détail«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN
«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE Laurence Hamou Interne CHU ROUEN INTRODUCTION 3 échographies obstétricales recommandées au cours d une grossesse normale. Idéalement réalisée entre 11
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLA MARE : APPORTS THEORIQUES
LA MARE : APPORTS THEORIQUES LES ETRES VIVANTS DE LA MARE 1 - LES ANIMAUX Vertébrés et des invertébrés peuplent les mares de la Guadeloupe. Les plus faciles à rencontrer et à reconnaître sont les suivants.
Plus en détailDans quelles situations a-t-on recou à une stomie?
Qu est-ce Guide pour qu une stomisés stomie? Une stomie (du grec bouche) est l abouchement volonta de l intestin à la peau de la paroi abdominale permetta l évacuation des selles ou de l urine. Une stomie
Plus en détailDemande d autorisation de faire du commerce d animaux
Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailRéserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC
Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Les petits tortillons éparpillés sur la plage signalent la présence d'un ver : l'arénicole (Arenicola marina). Bien connu des pêcheurs comme très bon appât, des biochimistes
Plus en détailTITRE DE L ACTIVITÉ : Vivre en groupe chez les animaux. DISCIPLINES ET DOMAINES D ACTIVITÉ de la discipline
TITRE DE L ACTIVITÉ : Vivre en groupe chez les animaux DISCIPLINES ET DOMAINES D ACTIVITÉ de la discipline - Lecture de textes documentaires. - Les êtres vivants dans leur environnement. SÉANCE OU SÉQUENCE
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détail