RAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE"

Transcription

1 RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE

2 RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des durées de rémissions. Les patients traités doivent donc pouvoir se réinsérer dans la vie active et reprendre progressivement une vie sociale et professionnelle normale.

3 Renseignements pratiques Pour participer à Raviva, vous devez : être atteint ou avoir été atteint par un cancer ; être en cours de traitement OU être dans l année qui suit l arrêt des traitements pour les patients traités par chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et traitements ciblés (Glivec,Avastin, Herceptine...) être dans la première année de traitement pour les patients traités par hormonothérapie ; être majeur. Le programme d activités physiques Raviva est accessible pendant un an sans prolongation possible (sauf en cas de rechute).

4 Y-a-t-il une place pour l activité physique dans l armada des armes contre le cancer? 4

5 QU EN EST-IL DE L ACTIVITE PHYSIQUE? «Tout mouvement de l organisme produit par la contraction musculaire, qui augmente la dépense énergétique» L activité physique au sens large inclut donc tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne et ne se réduit pas à la seule pratique sportive, qu elle soit de loisir ou de compétition. Elle intègre également l activité physique pratiquée dans le cadre de la vie professionnelle et de la vie courante (activités ménagères, jardinage, transports ). La distinction entre sport et activité physique est importante car l on sait aujourd hui qu une activité sportive intensive (surtout professionnalisée) peut avoir un impact négatif sur la santé physique et psychique (Cas du surentraînement pathologique). 5

6 % d'amlioration potentielle 100 Relation entre activité physique et réduction de la mortalité prématurée toutes causes confondues Effet quantité bénéfice de l activité physique sur la santé et la condition physique Santé Condition physique Dépense énergétique hebdomadaire (kcal) 6

7 Les effets indésirables du cancer et de ses traitements 7

8 La fréquence de cette fatigue est très importante puisqu elle est mentionnée par 60 à 95 % des patients recevant une chimiothérapie ou une radiothérapie LA FATIGUE ET LE CANCER Pour 30 % d entre eux ces symptômes seront toujours présents après une ou plusieurs années post-traitement 8

9 La fatigue relative au cancer sept facteurs contributifs au déconditionnement général du patient cancéreux ont été identifiés : la douleur, la détresse émotionnelle, les troubles du sommeil, l anémie, la déficience nutritionnelle, les comorbidités le déconditionnement physique Il est communément admis aujourd hui que la fatigue liée au cancer est majoritairement liée à ce déconditionnement physique, ou désadaptation à l effort. Cette désadaptation résulte d une perte d AP dès la prise en charge du cancer (congé maladie,alitement, chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie,etc 9

10 Schéma physiopathologique du déconditionnement Traitement Maladie Altération physique Fatigue/Déconditionnement Sédentarité Alitement prolongé cachexie Ré-entraînement Cercle vicieux du déconditionnement Ré-entraînement asthénie anorexie Diminution de la fatigue et reconditionnement 10

11 recommandations pour le traitement de la fatigue liée au cancer de l Association francophone pour les soins oncologiques de support (AFSOS) Programme réalisé soit au sein d un groupe de patients Soit individualisé prenant en compte Le stade de la maladie Les traitements prévus Les capacités physiques du sujet Ses préférences sur le type d exercice Son état psychologique Rechercher et éliminer les contre-indications =>> Nécessité d un certificat médical d aptitude Attention À la population métastatique À l anémie À la thrombopénie À la fièvre Altération psychique importante Cachexie sévère Troubles cardiopulmonaires Métastases osseuses à risque ou cérébrales 11

12 Cramp F, Daniel J. Exercise for the management of cancer-related fatigue in adults. Cochrane Database of Systematic Reviews 2008, Issue 2. Art. No.: CD

13 Pour participer à Raviva, vous devez : être atteint ou avoir été atteint par un cancer ; être en cours de traitement OU être dans l année qui suit l arrêt des traitements

14 PREVENTION SECONDAIRE Si un cancer apparaît, peut-on espérer une action positive du maintien d une activité physique pendant le traitement? De multiples essais prospectifs ont été réalisés, évaluant l impact de l activité physique, pendant ou surtout après les traitements. Ces essais de durée et de fréquence variables, en aérobie ou contre résistance, comparent un bras sans exercice physique et un bras expérimental avec un programme d exercice, à domicile ou dans le centre de traitement. 14

15 L EXERCICE PENDANT LE TRAITEMENT Dans une étude parue en 2000, Schwartz trouvait que des patients atteintes d un cancer du sein qui suivaient un programme de huit semaines basé sur 15 à 30 minutes d exercices aérobies, 4 fois par semaine, présentaient: très peu de jours de fatigue sévère et des niveaux de fatigue beaucoup moins intenses à chaque cycle de chimiothérapie comparés à un groupe de patientes non actives. Les patientes actives signalaient aussi une amélioration de leur qualité de vie. Schwartz A.L., Mori M., Gao R., Nail L.M., King M.E. Exercise reduces daily fatigue in women with breast cancer receiving chemotherapy Med Sci Sports Exerc 2001 ; 33 :

16 Effet de l'exercice sur la capacité fonctionnelle et la qualité de vie de patients souffrant d un cancer tête et cou et recevant une chimioradiothérapie. Il y a peu d'informations disponibles sur les effets de l'exercice chez les patients tête et cou,d où l intérêt de tels études. Le groupe exercice, mis à part les soins standard, a reçu un programme basé sur les lignes directrices de l'american College of Sports Medicine qui consistait en un programme de marche rapide et un programme d'exercice actif de type résistance L'intensité de ces deux composantes a été guidée la perception de l'effort (RPE). La première partie se composait d'un programme de randonnées personnalisé pendant 15 à 20 min à un RPE entre 3-5/10 pour cinq jours par semaine pendant six semaines. La deuxième partie consistait en un programme d'exercices actifs sur mesure (RPE 3-5/10) pour les principaux groupes musculaires des membres supérieurs et membres inférieurs (les biceps, les triceps, les muscles ischio-jambiers et les quadriceps.), cinq jours par semaine pendant les six semaines. Les patients effectué 2-3 séries de 8-10 fois les exercices en fonction de leurs niveaux RPE. Les patients dans ces deux groupes ont reçu 66 gay en 33 fractions plus d une chimiothérapie se composait de 100 mg/m 2] de surface corporelle (BSA) cisplatine le jour 1, jour 22et 43 Samuel SR, Maiya G A, Babu AS, Vidyasagar M S. Effect of exercise training on functional capacity & quality of life in head & neck cancer patients receiving chemoradiotherapy. Indian J Med Res 2013;137:515-20

17 Effet de l'exercice sur la capacité fonctionnelle et la qualité de vie de patients souffrant d un cancer tête et cou et recevant une chimioradiothérapie. Cette étude fournit des preuves préliminaires qu'un programme d'exercices est sûr et bien toléré chez ces patients. L'entraînement sous la forme d'un programme de marche dynamique et de renforcement musculaire améliore les capacités fonctionnelles et la qualité de vie chez les patients recevant une CRT. Samuel SR, Maiya G A, Babu AS, Vidyasagar M S. Effect of exercise training on functional capacity & quality of life in head & neck cancer patients receiving chemoradiotherapy. Indian J Med Res 2013;137:515-20

18 La Chimioradiothérapie affecte négativement la cascade de transport de l'oxygène et perturbe le transport de l'oxygène dans le corps. L'augmentation des capacités fonctionnelles observées dans cette étude peut DONC être attribuée : au rôle des exercices de marche ce qui augmente l'endurance cardio-respiratoire. au rôle des exercices de renforcement des muscles périphériques, ce qui augmente l'absorption d'oxygène par les tissus, notamment l'absorption d'oxygène musculaire périphérique.

19 Pour participer à Raviva, vous devez : être atteint ou avoir été atteint par un cancer ; être en cours de traitement OU être dans l année qui suit l arrêt des traitements

20 PREVENTION TERTIAIRE Si un cancer apparaît, peut-on espérer une action positive du maintien d une activité physique pendant et après le traitement? De multiples essais prospectifs ont été réalisés, évaluant l impact de l activité physique, pendant ou surtout après les traitements. Ces essais de durée et de fréquence variables, en aérobie ou contre résistance, comparent un bras sans exercice physique et un bras expérimental avec un programme d exercice, à domicile ou dans le centre de traitement. 20

21 Bénéfice sur la survie de l activité physique après un traitement Série Nbre MET h/sem RR/ Inactif IC NHS sein Whel sein > CALGB colon 832 > NHS colon 573 > Ces 4 séries prospectives retrouvent un bénéfice en terme de survie 21

22 Activité physique et survie après un cancer du sein Le maintien d une AP au-delà de 8 a 9 MET/h (Metabolic equivalent/heure) est associé à une réduction de près de 50 % du risque de décès par cancer, Le bénéfice en terme de survie à 5 ans et à 10 ans est de 4 et de 6%. La réduction du taux de rechute augmente avec le niveau d exercice jusque vers 20 MET/h. Ce qui est important, c est que ce gain de survie en cas d AP se retrouve aussi en intégrant les facteurs pronostiques classiques tels que l'âge, le stade tumoral TNM, la présence de récepteurs hormonaux, le lieu de résidence, l alcoolisme ou le tabagisme, l indice de masse corporelle (IMC) et le statut hormonal de la patiente. 22

23 Les autres cancers : le cas du poumon par exemple Les preuves résumées dans cette métaanalyse suggèrent que l'entraînement physique peut potentiellement augmenter la capacité d'exercice des personnes après une résection pulmonaire NSCLC. Les auteurs concluent cependant que les résultats doivent être interprétés avec prudence en raison de l'écart entre les études, les limites méthodologiques, certains risques importants de distorsion et de petites tailles d'échantillon. Cette revue systématique souligne la nécessité pour les grands essais cliniques randomisés Exercise training undertaken by people within 12 months of lung resection for non-small cell lung cancer. Cavalheri V, Tahirah F, Nonoyama M, Jenkins S, Hill K. Cochrane Database Syst Rev Jul 1;7:CD Activité physique et cancer 23

24 Les autres cancers : le cas du poumon par exemple IN-PATIENT REHABILITATION OF LUNG CANCER PATIENTS A PROSPECTIVE STUDY» 44 patients avec un cancer du poumon de grade I-III étaient inclus dans un programme de réhabilitation après chirurgie et /ou radiothérapie et /ou chimiothérapie Ce programme comprenait un entraînement aérobie Conclusion : les auteurs concluaient en une amélioration à la fois psychologique et physiologique après ce programme. Mais aussi une nette diminution des paramètres liés à la fatigue H. Riesenberg & A.Lübbe Support Care Cancer (2010) 18:

25 COMMENT EXPLIQUER L ACTION POSITIVE DE L ACTIVITE PHYSIQUE VIS-A-VIS DU CANCER? 25

26 Action sur les oestrogènes Contrôler leur activité permet de réduire les risques. L activité physique modifie le taux d œstrogène dans le sang. En pré-ménopause, le taux d œstrogène varie peu. En revanche, en post-ménopause, le taux sanguin d œstrogène peut diminuer rapidement grâce à un peu de sport. De plus, en contribuant à la diminution de la masse graisseuse, l activité physique participe à la fixation des œstrogènes libres Action sur l insuline Atténuation de la sécrétion de l Insuline-like Growth Factor (IGF) Action sur les hormones lipidiques et les adipokines Réduction de l inflammation Action positive sur l immunité Augmentation de la motilité intestinale 26

27 Action sur les oestrogènes Action sur l insuline Dans les 24 à 36 heures après l activité physique, le taux d insuline, facteur favorable à la prolifération cellulaire baisse dans le corps. De plus cette activité améliore le taux d insulinorésistance de l'organisme et augmente la captation du sucre. La régularité de l exercice accroit la durée et l importance de la captation du sucre. Atténuation de la sécrétion de l Insuline-like Growth Factor (IGF) L IGF est une hormone sécrétée en même temps que l insuline lors de la digestion d un repas. Elle est également en partie responsable de la croissance des cellules tumorales. L'activité physique permet de la même façon de la diminuer. Action sur les hormones lipidiques et les adipokines Réduction de l inflammation Action positive sur l immunité Augmentation de la motilité intestinale 27

28 Action sur les oestrogènes Action sur l insuline Atténuation de la sécrétion de l Insuline-like Growth Factor (IGF) Réduction de l inflammation Pratiquer une activité physique régulière modère la sécrétion de certaines protéines comme les cytokines qui ont un rôle majeur dans le processus inflammatoire. Diminution du stress oxydatif Action positive sur l immunité Action sur les hormones lipidiques et les adipokines Augmentation de la motilité intestinale 28

29 Action sur les oestrogènes Action sur l insuline Atténuation de la sécrétion de l Insuline-like Growth Factor (IGF) Réduction de l inflammation Action positive sur l immunité Action sur les hormones lipidiques et les adipokines Augmentation de la motilité intestinale 29

30 Action positive sur l immunité 30

31 Action sur les œstrogènes Action sur l insuline Atténuation de la sécrétion de l Insuline-like Growth Factor (IGF) Réduction de l inflammation Action positive sur l immunité Action sur les hormones lipidiques et les adipokines Augmentation de la motilité intestinale 31

32 Que faire en pratique??? 32

33 Réhabilitation du patient cancéreux Utiliser tout processus permettant de restaurer les capacités mentales et/ou physiques perdues suite à la maladie, en vue d un fonctionnement normal ou quasi normal. (Definition from National Cancer Institute) 33

34 Pour un patient donné, il est important de prendre en compte trois questions essentielles Qu'est-ce qu'il est physiquement capable de faire? Qu'est-ce qu'il est psychologiquement prêt à faire? Quel est son objectif? 34

35 ALORS QUE FAIRE EN PRATIQUE? AVANT TOUT BOUGER!!!!! Des efforts SELON SES POSSIBILITES mais des bénéfices 35

36 MAIS QUE FAIRE? PRIVILEGIER L ENDURANCE CARDIO-RESPIRATOIRE. MAIS EN FONCTION DES POSSIBILITES Type d exercice Intensité Fréquence Volume dosage Endurance 55-90% FC max Ou 40-85% FC max de réserve 3 à 5 fois par semaine minutes Continu ou intermittent Résistance (ou anabolique) 50-80% 1RM ou 6-12 RM 1 à 3 fois par semaine 1 à 4 répétitions par groupe musculaire Flexibilité? 2 à 3 fois par semaine secondes 36

37 MAIS QUE FAIRE? Type d exercice Intensité Fréquence Volume dosage Endurance 55-90% FC max Ou 40-85% FC max de réserve 3 à 5 fois par semaine minutes Continu ou intermittent Résistance (ou anabolique) 50-80% 1RM ou 6-12 RM 1 à 3 fois par semaine 1 à 4 répétitions par groupe musculaire Flexibilité? 2 à 3 fois par semaine secondes Intérêt dans certains cancers comme la PROSTATE 37

38 38

39 CE QUE NOUS PROPOSONS Avec la collaboration de Marc Strobbe Charleroi Charleroi Sport Santé Santé

40 L exercice est un traitement Il doit être prescrit de façon : précise adaptée PRIVILEGIER L ENDURANCE CARDIO-RESPIRATOIRE. Activité physique et cancer 40

41 VOILA LE BUT FONDAMENTAL DU PROJET 41

42 Le programme RAVIVA a pour objectif : Une amélioration de la forme physique après un traitement d un cancer. Une amélioration de la qualité de vie. Et comme corollaire, une facilitation de la réinsertion dans la vie active. 42

43 Ne pas oublier PREVENTION PRIMAIRE Une activité modérée suffit si elle est régulière Des chercheurs français se sont servis de questionnaires concernant l activité physique soumis, à deux ans d intervalle, à femmes ménopausées (dont ont été atteintes d un cancer du sein invasif) entre 1993 et Le risque de cancer du sein invasif semble être réduit de 10 % chez celles ayant eu une activité physique correspondant à 4 heures de marche modérée ou 2 heures de vélo par semaine au cours des 4 dernières années. Par contre, cette baisse de risque ne semble pas être présente chez les femmes qui ont eu un niveau similaire d activité physique dans les 5 à 9 ans ayant précédé la récolte des données finales, mais n ont plus pratiqué d activités physiques dans le courant des 4 dernières années. Il est donc important de poursuivre après la ménopause une activité physique débutée avant celle-ci, même si le risque de cancer du sein diminue aussi chez les femmes qui débutent une activité physique après la ménopause. L effet bénéfique d une activité physique n est pas lié à l indice de masse corporelle (mesure de la corpulence : poids divisé par la taille au carré) ou à la circonférence de l abdomen Recent Recreational Physical Activity and Breast Cancer Risk in Postmenopausal Women in the E3N Cohort.Fournier A, and al. Published OnlineFirst August 11, 201

44 Les personnes qui pratiquent des exercices physiques de manière intensive meurent moins souvent d un cancer Les chercheurs se sont intéressés à hommes finlandais entre 42 et 61 ans suivis pendant 16 ans et qui ne présentaient pas d antécédents de cancer. Ils ont suivi de près leur activité physique : fréquence, durée moyenne et intensité. Une augmentation de 1,2 unités métaboliques était liée à une moindre mortalité, principalement par cancer pulmonaire et gastro-intestinal, et ce après correction pour l âge, la consommation d alcool et de tabac, le BMI et l ingestion de fibres et de graisses. «Bouger même de façon modérée est conseillé pour réduire la mortalité par cancer» Jari A Laukkanen, Rainer Rauramaa, Timo H Makikallio, Adetunji T Toriola, and Sudhir Kurl Intensity of leisure-time physical activity and Cancer mortality in men Br. J. Sports Med., Jul 2009; 44

45 Merci pour votre attention Dr. Jacques LECOMTE

46 SAMEDI 8 NOVEMBRE 2014 Auditoire De Cooman- Institut André Vésale- Montigny-le Tilleul. L ACTIVITE PHYSIQUE : UNE ARME NOUVELLE CONTRE LE CANCER Présidences de séance : Pr Marc Francaux (UCL) et Dr. Didier Vander Steichel (Fondation contre le cancer) 09h00 Accueil des participants. 09h 30 Le programme d activités physiques RAVIVA : une aide précieuse pour nos patients. Dr. Didier Vander Steichel (Directeur médical de la Fondation contre le cancer) 10h00 Que savons-nous du rôle de l activité physique dans la prévention du cancer? Le cas particulier du poumon. Dr. Jacques Lecomte ( Médecine du sport et pneumooncologie CHU Charleroi). 10h30 Pause 10h50 Fatigue et cancer : comprendre pour mieux traiter. Pr. Marc Francaux (Université Catholique de Louvain). 11h20 Les bases théoriques de l utilisation de l activité chez le cancéreux. Pr. Laurent Bosquet ( Université de Poitiers). 11h50 Notre expérience de terrain du programme RAVIVA. Mr. Marc Strobbe (Préparateur physique ; Centre Charleroi Sport Santé ). 12h15 Conclusion de la journée et clôture du Congrès. Dr. Jacques Lecomte (Chef de service du Service de Médecine du Sport du CHU Charleroi).

QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI

QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI La recherche contre le cancer a toujours suivi de nombreuses directions,

Plus en détail

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète)

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont

Plus en détail

Bouger, c est bon pour la santé!

Bouger, c est bon pour la santé! Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

Ce livret a été élaboré par le département d ergothérapie de L Hôpital d Ottawa, Campus Général.

Ce livret a été élaboré par le département d ergothérapie de L Hôpital d Ottawa, Campus Général. GÉRER VOTRE FATIGUE Gérer votre fatigue Guide pratique destiné aux personnes atteintes de cancer et à leur famille Cette brochure contient des renseignements généraux qui ne sont pas spécifiques à vous.

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre

Plus en détail

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March

Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique

Plus en détail

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Un diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :

Un diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par : Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

APS résumé partie III

APS résumé partie III 1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)

Plus en détail

Femmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION

Femmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

Enquête sur le don de moelle osseuse

Enquête sur le don de moelle osseuse Enquête sur le don de moelle osseuse Réalisée auprès des étudiants de première année à l Université de Poitiers en septembre 2012 En France, pour que leur vie continue, 2 400 malades ont besoin d un don

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence) OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille

Plus en détail

L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1

L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.

Plus en détail

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre

Plus en détail

Activité physique et diabète de type 2

Activité physique et diabète de type 2 Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

En quoi consistera ce jeu?

En quoi consistera ce jeu? 1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Tests d exploration à l effort

Tests d exploration à l effort Tests d exploration à l effort chez le sportif handicapé P. Edouard, F. Degache, F. Roche, J. Castells, P. Calmels, X. Devillard Service de Médecine Physique et de Réadaptation Laboratoire de Physiologie

Plus en détail

Les patients traités pour un cancer sont susceptibles

Les patients traités pour un cancer sont susceptibles Bénéfices de l activité physique en cancérologie Effects of physical activity among cancer patients T. Bouillet*, M. Pavic**, L. Zelek* * Service d oncologie médicale, hôpital Avicenne, Bobigny. ** Service

Plus en détail

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1 Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée

Plus en détail

L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE

L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du sein?

Qu est-ce que le cancer du sein? Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

da Vinci Pontage gastrique

da Vinci Pontage gastrique da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer

Plus en détail

DIPLÔME UNIVERSITAIRE

DIPLÔME UNIVERSITAIRE CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle

Plus en détail

CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES

CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté

Plus en détail

Maladies chroniques et APS

Maladies chroniques et APS Maladies chroniques et APS Master de recherche Physiologie et Biomécanique des APS Dr. BETTAIEB Ramzi : M.A. ISSEP KEF Définition de la maladie chronique Selon l'organisation Mondiale de la Santé, la maladie

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Année de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015

Année de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015 Appel à candidatures : Année de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015 Etablissement : UNIVERSITE DE PAU Lieu d'exercice des fonctions : Tarbes Section1

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

à découvrir sur www.navoti.com Boutique - Espace info et vidéo - Ateliers et conférences

à découvrir sur www.navoti.com Boutique - Espace info et vidéo - Ateliers et conférences - EARTHING - Connexion à la Terre Mise à la terre et décharge électro-statique Prévention et protection de l électrosmog Se pourrait-il que la civilisation «hors-sol» dans laquelle nous vivons aujourd

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Ac#vité Physique et Diabète

Ac#vité Physique et Diabète Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)

Plus en détail

Le cœur et les artères des femmes sont en danger

Le cœur et les artères des femmes sont en danger Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail