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1 QCM IMMUNOLOGIE Frédéric Boudard, MCU, UFR Sciences Biologiques et Pharmaceutiques

2 1 - Parmi ces propositions concernant l immunité innée, lesquelles sont exactes: A: elle préexiste à la rencontre de l Ag B: elle est spécifique d un Ag C: elle passe par la reconnaissance de PAMPS D: elle utilise des récepteurs PRR E: elle conduit à la génération d une mémoire immunitaire

3 2 - Parmi ces propositions concernant l immunité adaptative, lesquelles sont exactes: A: elle intervient plus rapidement que l immunité innée B: elle fait intervenir les Ly B et T C: elle fait intervenir la reconnaissance d épitopes antigéniques D: elle n entraine pas de mémoire immunitaire E: elle est stimulée par les vaccinations

4 3 Les organes lymphoïdes primaires comportent: A: le thymus B: les ganglions C: la rate D: la moelle osseuse E: le MALT

5 4 Dans les organes lymphoïdes secondaires: A: se déroule la maturation des Ly T B: s effectue le réarrangement des BCR C: les cellules se développent surtout après la naissance D: s effectue la rencontre entre les cellules immunitaires et les Ag E: il existe une recirculation permanente des Ly

6 5 Les macrophages: A: sont présents uniquement dans les tissus B: sont capables de présenter des Ag C: sont les cellules majeures de l immunité adaptative D: possèdent un récepteur spécifique de l Ag E: sont des cellules phagocytaires

7 6 - Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes: A: un haptène est capable d initier une réponse immunitaire B: les Ag sont tous de nature protéique C: les Ag peuvent être de nature linéaires ou conformationnels D: les Ag comportent des épitopes qui sont reconnus par le système immunitaire E: si les Ag sont trop petits, ils nécessitent une protéine porteuse pour induire une réponse immunitaire

8 7 - Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes: Ag A: les TLR permettent la reconnaissance spécifique d un B: les cellules NK possèdent des FcR C: le TCR n a pas d équivalent soluble D: le BCR ne reconnaît les Ag que présentés dans le contexte du CMH E: les complexes récepteur/ag peuvent être internalisés

9 8 Le Complexe Majeur d Histocompatibilité: A: est entièrement codé sur le chromosome 6 B: est important pour les transplantations C: sert à la présentation des Ag aux Ly T D: suit un mode d expression codominant E: a une chance sur deux d être le même entre un frère et une soeur

10 9 Les molécules CMH de classe II: A: possèdent un sillon ouvert accommodant des peptides pouvant comporter une vingtaine d acides aminés B: sont protégés par une chaîne invariante dans le réticulum endoplasmique C: présentent l Ag aux Ly T CD8 D: sont reconnus par les KIR des cellules NK E: sont impliqués par les superag dans des pontages non spécifiques

11 10 Les immunoglobulines (Ig): A: sont constituées de 4 chaines peptidiques B: comportent une partie variable spécifique d un épitope C: possèdent des sites de fixation à l Ag constitués de domaines VH et VL D: ont des chaînes légères composées de 3 domaines E: il existe 6 isotypes de chaînes lourdes

12 11 Concernant les Ac: A: les séquences des régions variables des Ig dérivent des réarrangements VJ et VDJ B: les interactions entre les Ag et les Ac sont régies par des forces covalentes C: les IgD ont une structure pentamérique D: le paratope est le site de liaison à l Ag E: l affinité des Ac est synonyme d avidité

13 12 - Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes: A: la pièce sécrétoire se fixe aux IgE B: les IgM sont le premier isotype produit lors d une réponse Ac C: les IgD sont les Ig les plus abondantes dans le sérum D: tous les Ac sont capables d activer la cascade du C E: seules les IgG passent le placenta

14 13 La lymphopoïèse B: A: est dépendante de la présence d un Ag B: se déroule dans la moelle osseuse C: débute par l expression cytoplasmique du CD79 D: comporte l expression transitoire d un pré-bcr E: s accompagne d un réarrangement sur tous les loci des chaînes d Ig

15 14 La différenciation terminale des Ly B: A: s effectue après rencontre avec l Ag B: est indépendante des Ly T C: s accompagne d une amélioration de l affinité D: se déroule dans les organes lymphoïdes secondaires E: est précédée d une commutation isotypique dans la moelle osseuse

16 15 Les Ly B: A: sont contrôlés s ils développent un BCR auto-réactif B: deviennent des plasmocytes lors de leur différenciation terminale C: n existent pas sous forme de cellules mémoires D: peuvent avoir des fonctions régulatrices E: reconnaissent les Ag dans le contexte du CMH

17 16 Le TCR: A: est composé de 4 domaines variables B: peut être de type ab ou gd C: est identique sur tous les Ly T D: est associé à un complexe CD3 E: est présent exclusivement dans le cytoplasme des Ly T

18 17 Le thymus: A: est un organe médiastinal B: garde la même taille tout au long de la vie C: est composé de lobules comportant une corticale et une médullaire D: contient des cellules épithéliales et dendritiques présentant des Ag du soi E: dépend de la moelle osseuse pour sa colonisation

19 18 La sélection thymique: A: éliminent les thymocytes ayant une forte affinité pour les Ag du soi B: permet de vérifier que le TCR a une affinité suffisante pour les molécules CMH C: est uniquement une sélection négative D: ne concerne que les thymocytes double positifs (DP) E: ne concerne que les Ly CD8

20 19 Les cellules NK: A: sont des cellules mononucléées B: sont absentes des organes lymphoïdes secondaires C: ont un rôle dans l élimination des cellules tumorales D: exercent une cytotoxicité dépendante de la perforine E: font partie de l immunité innée

21 20 Le système du C : A: est activé dans la voie alterne par le LPS B: fait partie de l immunité innée C: est activé par une fixation de C1q sur le domaine CH2 des IgD D: forme une C3 convertase par clivage du C4 E: libère des anaphylatoxines au cours de son activation

22 21 Le C : A: intervient dans l élimination des complexes immuns Ag/Ac B: n est pas capable de perforer les membranes cellulaires C: participe au contrôle des réponses inflammatoires D: est codé en partie sur le chromosome 6 E: est impliqué dans la susceptibilité au méningocoque en cas de déficit en C5

23 22 A propos des phagocytes mononucléés: A: les macrophages représentent la majorité des globules blancs circulants B: les monocytes contiennent de la myélopéroxydase C: les monocytes dérivent des macrophages D: les monocytes ont les mêmes progéniteurs que les polynucléaires E: sont capables de passer les barrières endothéliales

24 23 A propos de la reconnaissance des Ag par les Ly T: A: les interactions entre Ly T naïfs et CPA ont principalement lieu dans les organes lymphoïdes secondaires B: une interaction forte entre le TCR et le complexe peptide/cmh est suffisante pour déclencher la prolifération lymphocytaire C: la synapse immunologique désigne la zone de contact entre le Ly T et la CPA D: la liaison CD40/CD40L est un signal de costimulation E: mtor est une cible privilégiée de certains immunosuppresseurs

25 24 - Quelles sont, parmi les propositions suivantes, celles qui permettent d'expliquer le rôle des IgE dans l'allergie? A: leur présence à la surface des épithéliums sous la forme sécrétoire B: la présence de récepteurs de haute affinité sur les mastocytes C: leur synthèse par des plasmocytes muqueux D: des propriétés activatrices du complément E: des propriétés opsonisantes

26 25 - A propos des réactions allergiques dépendantes des IgE (HSI), on peut affirmer que : A: elles entrainent des manifestations cliniques lors d un premier contact avec l Ag B: elles impliquent l activation des mastocytes et des basophiles C: elles peuvent être provoquées par la tuberculine D: leur diagnostic fait appel à des tests cutanés (pricktests) E: l hérédité joue un rôle important dans leur survenue

27 26 - Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? Les formes cliniques de l allergie à l IgE peuvent être : A: le choc septique B: le choc anaphylactique C: l œdème angioneurotique D: l asthme extrinsèque E: la dermatite atopique

28 27 - Parmi les propositions suivantes sur les méthodes d analyse utilisant la réaction Ag-Ac, quelle(s) est (sont) celle (s) qui est (sont) exactes(s)? A: la réaction entre un Ag et un Ac est totale B: la réaction Ag-Ac assure la spécificité de la méthode C: la relation entre le signal mesuré et la concentration du composé à doser est linéaire en immunocompétition D: le marqueur permettant de suivre la réaction peut être un fluorophore E: les méthodes dites sandwich sont mises en œuvre avec un excès d Ac

29 28 - Parmi les propositions suivantes sur les méthodes utilisant la réaction Ag-Ac, quelle(s) est (sont) celle (s) qui est (sont) exactes(s)? A: une réaction Ag-Ac est irréversible B: dans la méthode ELISA, la formation du complexe Ag-Ac modifie l activité enzymatique du marqueur C: elle met en jeu de multiples liaisons non covalentes D: les méthodes immunoenzymatiques de type sandwich permettent de quantifier les hormones dans les milieux biologiques E: elle permet la détection de molécules non immunogènes dénommées haptènes

30 29 - L activation des Ly B est secondaire à la reconnaissance d un Ag: A présenté par un Ly T B sous forme native C associé à des Ac sous forme de complexes immuns à la surface d une cellules dendritique folliculaire D par l intermédiaire d une Ig de surface E par un complexe incluant un dimère CD3

31 30 La réponse humorale de type secondaire diffère de la réponse primaire par : A une réponse de latence plus longue B une production plus importante d IgM C une augmentation de l affinité plus importante des Ac D la mise en jeu de Ly mémoires E une diversification des Ac produits

32 31 L idiotypie est une caractéristique moléculaire : A définie par un ensemble d épitopes portés par la partie Fc d une molécule d Ig B identique chez tous les individus d une même espèce C résultant d une combinaison de gènes variables D partagée par les individus d une même famille E partagée par les molécules de la superfamille des Ig

33 32 Les Ly T de type TH1 : A sont des cellules immatures B sont spécialisés dans l induction de la production d Ac C sécrètent de l IL-2 et de l IFNg D sont sensibles à l IL-12 E sont capables de stimuler la prolifération des Ly T de type TH2

34 33 Concernant l IL-2 : A elle est produite par les macrophages B elle est utilisée en immunothérapie de certains cancers C la molécule CD25 est l un des composants de son récepteur D elle stimule les phénomènes de cytotoxicité E elle stimule la prolifération des Ly T de type TH2

35 34 Le CD3 est un complexe moléculaire que l on trouve à la surface des Ly où il joue un rôle dans : A la reconnaissance de l Ag B la transduction d un signal intracellulaire C l expression d un récepteur d Ag D l interaction avec les molécules du CMH E l induction de la synthèse d eicosanoïdes

36 35 La voie alterne du complément : A est stimulée par la reconnaissance spécifique d un Ag B requiert pour son initiation la présence de petites quantités de C3b C présente une boucle d amplification D fait intervenir une C1 estérase E est stabilisée par le facteur P (properdine)

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