LES RÉFÉRENCES BOVINS VIANDE D AQUITAINE AU SERVICE DE LA FILIÈRE

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1 RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LES RÉFÉRENCES BOVINS VIANDE D AQUITAINE AU SERVICE DE LA FILIÈRE Note de conjoncture 2013 L'ÉLEVAGE BOVINS VIANDE D AQUITAINE : CETTE DÉCROISSANCE QUI SE POURSUIT Au début 2013, l Aquitaine compte 7440 élevages bovins viande (1). Ils représentent 75 % des détenteurs de plus de 10 têtes de bovins (cheptels laitiers et allaitants). Depuis 2002, la région a perdu un quart de ses élevages bovins viande, une perte compensée jusqu en 2010 par un phénomène d agrandissement des troupeaux qui avait permis de maintenir globalement le potentiel de production animal (effectif de reproductrices). L année 2011 montre un coup d arrêt à cette dynamique de restructuration régionale de l élevage. Une trésorerie asséchée par la hausse des prix des intrants a contribué à détourner les éleveurs de leur atelier viande vers des productions végétales plus spéculatives. 7 % des reproductrices allaitantes (soit vaches) ont disparu des étables aquitaines en 2 ans. L année 2013 n inverse pas la tendance: les statistiques jusqu au 3 ème trimestre (perte de reproductrices) confirment la poursuite de la décapitalisation dont l ampleur annuelle sera reliée aux stocks de fourrages disponibles à la rentrée en étable (perte conséquente des volumes d ensilage de maïs dans le Sud Aquitain). BOVINS VIANDE Cette note de conjoncture est une synthèse annuelle des travaux de références de l équipe régionale bovins viande qui s appuient sur un dispositif à plusieurs niveaux d observation permettant une approche descriptive et microéconomique de la situation de l élevage bovin régional. Au sommaire de cette édition 2013 : la décapitalisation engagée depuis 2011 dans les étables engendre la réduction de l offre de viande régionale. Grâce à des cours de la viande stimulés par la pénurie de marchandises dans un contexte de hausse modérée des indices de prix des intrants, la conjoncture des prix de l année permet aux ateliers bovins viande de la région un regain d efficacité économique dont ils avaient bien besoin : celui-ci suffira-t-il pour inverser la tendance à la décapitalisation qui s est installée? > Figure 1 : Évolution des effectifs de vaches et animaux détenus au 1 er janvier - Élevages bovins viande (1) Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine données IPG (1) élevages de plus de 10 vaches allaitantes ou avec plus de 10 bovins vendus sur l année, à orientation naisseur, naisseur-engraisseur ou engraisseur. > Figure 2 : Effectifs de vaches allaitantes (races pures) par département au 1 er septembre 2013 et évolutions campagnes 2012 et 2013 Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine Aquitaine 1

2 > Tableau 1 : Effectifs et taille moyenne des structures en 2012 par type de systèmes d élevage bovin viande Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine - données IPG Effectifs au 01/01/2013 Évolution sur 10 ans (2002 à 2012) Systèmes Bovins viande d Aquitaine (1) Exploitations Répartition Nb de vaches Nb d'autres Nb d'animaux animaux vendus Naisseurs Blonds % -4 % -3 % +2 % Naisseurs Limousins (et autres) % -12 % -12 % -10 % NE VSLM Blonds 541 7% -23 % -24 % -13 % NE VSLM Limousins (et autres) 495 7% -1 % -4 % -1 % NE (2) Blonds % +2 % +3 % +13 % NE (2) Limousins (et autres) 567 8% +3 % 0% +5 % Engraisseurs 504 7% % -23 % Total Éleveurs Bovins viande % -6 % -6 % -4 % (2) Systèmes naisseurs-engraisseurs avec stratégie de finition des femelles et complément +/- important d engraissement sur la voie mâle LES STRUCTURES DE PRODUCTION : DES DIMENSIONS DE TROUPEAU QUI SE SONT STABILISÉES AU SUD L Aquitaine est une région dominée par le naissage avec 56 % des élevages en systèmes naisseurs. Ils tendent néanmoins depuis le début des années 2000 à perdre du terrain au profit de systèmes naisseurs-engraisseurs. L augmentation continue de la taille moyenne du troupeau reproducteur observée durant 10 ans (+25 % de vaches allaitantes par élevage) a cessé depuis Cette stagnation est imputable aux troupeaux Blonds, souvent associés sur les exploitations à d autres productions aux conjonctures plus favorables durant ces 2 années. Les troupeaux Limousins plutôt spécialisés et de taille plus importante, continuent pour leur part leur progression. 2 % DES PRODUCTEURS BOVINS VIANDE SONT ENGAGÉS EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE vaches allaitantes sont conduites en bio en Aquitaine, ce qui représente 2 % de l effectif régional. L implantation est plus marquée dans les départements du Nord (Dordogne, Gironde) où les systèmes offrent plus de facilité à la conduite en agriculture biologique, notamment sous l angle de l autonomie alimentaire. Les élevages en bio sont de dimension analogue au conventionnel (34 vaches en moyenne par élevage) mais l orientation finition de l atelier est logiquement plus marquée. Les ventes d animaux destinés à l élevage qui n ont pas de valorisation spécifique sont minoritaires contrairement à l élevage conventionnel de la région. La majorité des ventes (65 %) est donc constituée d animaux finis et la production de veaux de boucherie (légers ou lourds) domine avec 38 % des sorties d élevage. Les éleveurs bio participent d ailleurs à hauteur de 11 % à la production régionale de veaux lourds, produit commercial particulièrement adapté à la vente directe. > Tableau 2 : Répartition départementale des élevages bio au 1 er janvier 2013 et des ventes en 2012 Éleveurs bovins viande Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine IPG (Identification Pérenne Généralisée), ARBIO Aquitaine [ et annuaire des producteurs de l'agence Bio [annuaire.agencebio.org] Exploitations Vaches allaitantes Ventes Départements Effectifs Part Effectifs Part Effectifs Part Dordogne 63 3,3 % ,1 % ,5 % Gironde 16 3,4 % 604 4,0 % 418 2,8 % Landes 4 0,6 % 120 0,6 % 52 0,3 % Lot-et-Garonne 16 2,1 % 334 1,5 % 410 1,5 % Pyrénées-Atlantiques 38 1,1 % 982 1,0 % 793 0,8 % Aquitaine 137 1,9 % ,9 % ,6 % 2

3 LA PRODUCTION BOVINE RÉGIONALE : ZOOM SUR LES EFFECTIFS DE VENTES > Figure 3 : Évolution des effectifs de ventes issues des élevages bovins de la région Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine En 2012, bovins sont sortis des élevages bovins de la région : une baisse annuelle de 3 % des effectifs commercialisés, et de 23 % pour la dernière décennie. La baisse des effectifs issus des ateliers veaux de boucherie et des élevages laitiers a largement contribué à cette évolution (-35 % d animaux commercialisés), fragilisant par voie de conséquence les outils aval de la filière. Les éleveurs et engraisseurs bovins viande produisent 53 % des mises en marché régionales ( têtes commercialisées en 2012). Leur production totale a perdu 1 % en 2012, une baisse imputable au recul des commercialisations des catégories finies, et en particulier la vache de boucherie (-4 %). Les effectifs de ventes des catégories d élevage sont restés identiques à l année précédente, résultante d une progression globale de la productivité des troupeaux qui a compensé en partie, pour cette année, la baisse des effectifs de reproductrices. Les ventes élevage ont également profité de la décapitalisation allaitante et d une conjoncture céréales défavorable à la finition. Pour 2013, la conséquence de la décapitalisation sur le troupeau reproducteur et un niveau de productivité en veaux de la campagne de reproduction en retrait de 1 point (soit veaux en moins) provoquent une pénurie sur le marché et on s attend à une déperdition annuelle des effectifs mis en vente pouvant atteindre 5 % à l échelle régionale. Les statistiques d abattage (source Normabev- Aquibev) font apparaître des abattages de vaches de boucherie en retrait de 13 % pour les 3 premiers trimestres 2013 mais une embellie historique sur la production de jeunes bovins en hausse de plus de 2000 têtes. > Figure 4 : Évolution des effectifs de vente des éleveurs bovins viande par catégorie Source : Observatoire de l élevage bovin viande en Aquitaine Ventes à destination élevage Ventes à destination boucherie 3

4 CONJONCTURE VIANDE 2013 : LES COURS DES CATÉGORIES FINIES HISTORIQUEMENT ÉLEVÉS FACE À UNE PRODUCTION QUI DÉCROCHE Malgré une légère reprise de la production mondiale de viande bovine amorcée en 2012 après 4 années de baisse consécutive (érosion du cheptel reproducteur dans les principaux pays producteurs du Mercosur et de l Union Européenne), les abattages restent insuffisants pour répondre à l évolution de la demande qui poursuit sa progression sous l impulsion de l Asie. L effet ciseau offre/demande oriente toujours les cours mondiaux à la hausse. Dans le contexte français, après 2 campagnes de décapitalisation, le cheptel allaitant tend à se maintenir en La diminution conjuguée des 2 cheptels bovins engendre un manque structurel de disponibilités en vaches de réforme. Les cours de la vache de boucherie explosent au premier trimestre 2013 avant un inversement de tendance en milieu d année. Pour le jeune bovin, les prix attractifs des 2 dernières campagnes ont suscité un regain de production nationale (+5 %) : la baisse de la demande des pays du Sud de l Europe réoriente en partie cette viande sur le marché intérieur en manque de vaches, ce qui permet de maintenir une certaine pression sur le prix. Malgré un recul de 4 % des exportations de broutards, les cours du maigre restent en 2013 relativement stables, le recul de l offre nationale en veaux venant compenser la baisse de la demande d export. La région Aquitaine ne dénote pas dans le tableau français : le repli des disponibilités en femelles de boucherie a provoqué une pénurie de viande rouge avec pour conséquence une progression des cours singulière (jusqu à 0,6 /kgc), une hausse qui a concerné toutes les gammes. > Figure 5 : Évolution des prix régionaux des principales catégories de vente et IPAMPA Viande Bovine - indices base 2005 Source : Réseaux d élevage BV Aquitaine et Observatoire régional des conjonctures des Chambres d Agriculture d Aquitaine, INSEE-AGRESTE Race Blonde d Aquitaine Race Limousine L année 2013 est également marquée par une progression de la production de jeunes bovins en Aquitaine, avec sur les 9 premiers mois de l année, une hausse de 14 % des abattages. Les débouchés restant principalement orientés sur le marché national, les prix ont poursuivi leur progression (+3 %) sans montrer de signe de faiblesse. Le marché du veau de lait sous la mère est resté actif et les cours du Blond, en se rapprochant de ceux du Limousin (7,3 /kgc), traduisent également une situation de manque d offre. Les cours du broutard, principale production du bassin Blond (et 1/3 des ventes en Aquitaine) progressent beaucoup moins fortement que ceux des animaux de boucherie. Complètement dépendant des conjonctures italiennes (et espagnoles) et positionné sur un marché «haut de gamme» qui le rend moins compétitif face aux coûts de production des engraisseurs, le maigre a profité cette année du fort recul de l offre régionale qui a permis le relatif maintien de la demande à l exportation et soutenu la hausse des prix d environ 3 % pour les broutards mâles (935 /tête) et 6 % pour les femelles (750 /tête). Il n a toutefois pas récupéré son niveau de prix de l avant crise FCO. 4

5 L INDICE DES PRIX À LA PRODUCTION BOVINS VIANDE : UN DÉBUT D ACCALMIE APRÈS 3 ANNÉES HAUSSIÈRES? > Figure 6 : Évolution des principaux indices constituant l IPAMPA Viande bovine Source : Institut de l Élevage d après INSEE-AGRESTE L indice général Viande Bovine (IPAMPA) des prix à la production a atteint son sommet en février 2013 avant d amorcer une timide inflexion qu on attendait plus prononcée au regard de la baisse des cours céréaliers, du prix des engrais et celle plus sporadique du prix de l énergie. La dernière flambée des prix, moins accentuée que celle de 2007, a toutefois montré plus de persistance dans le temps et les éleveurs ont eu à faire face à 3 campagnes de prix de matières premières relativement élevés. L inflexion des tendances est une bonne nouvelle mais à relativiser : les indices de prix des aliments achetés par exemple montrent à la fin du premier semestre un niveau encore largement supérieur aux pics de 2007 et > Tableau 3 : Variations annuelles des principaux indices constituant l IPAMPA Viande bovine Source : Institut de l Élevage d après INSEE-AGRESTE Évolution 2012/2011 Évolution 2013/2012 Estimation IPAMPA Viande Bovine + 4% + 1,5% dont Aliments achetés + 6% + 6% dont Engrais + 4% -5 % dont Énergie + 15% -3 % Au final, l évolution estimée de l IPAMPA Viande Bovine moyen pour l année 2013 reste en hausse de 1,5 % par rapport à son niveau pourtant record de l année L IMPACT DE LA CONJONCTURE 2013 SUR LES RÉSULTATS ÉCONOMIQUES DES ATELIERS BOVINS VIANDE D AQUITAINE : UNE EMBELLIE POUR LES ÉLEVEURS En appliquant les augmentations moyennes de prix des intrants (aliments, engrais, énergie ) sur les postes de charges des principaux types d atelier présents en Aquitaine, on peut estimer l effet de la conjoncture des prix 2013 sur le coût de production, toutes choses égales par ailleurs (c'està-dire sans simuler les diverses adaptations mises en place par les éleveurs en réponse aux aléas). De la même façon, l évolution des prix de la viande appliquée aux ventes permet d estimer l impact sur les produits de l atelier. > Figure 7 : Impact de la conjoncture 2013 sur le coût de production (par grands postes concernés) et le produit de l atelier viande Sources : Simulation sur cas-types Aquitaine 5

6 Selon le niveau de productivité de l atelier et la part relative des postes aliments, engrais et énergie dans le coût de production, la conjoncture de prix des intrants 2013 induirait une augmentation du coût de production allant de 5 à 10 /100 kg vifs, soit une hausse de 1 à 2 % (figure 7). L évolution du coût de production et l application de la discipline financière sur les aides PAC du 1 er pilier (-2,4 %) vont entraîner une augmentation mécanique du prix de revient de la viande produite dans la région entre 2 et 3 % selon les types d atelier. Les augmentations des cours de la viande doivent permettre de faire évoluer le produit de l atelier de 2 % (systèmes veaux sous la mère) à 6 % (naisseurs et naisseurs-engraisseurs) malgré l application de la discipline financière qui réduit le montant des aides. La hausse sur le produit va largement compenser celle sur les coûts et amener pour cette année une reprise salutaire des niveaux de rentabilité économique des ateliers bovins viande, rentabilité fortement dégradée par 3 années difficiles. La conjoncture 2013, par le levier d une meilleure valorisation de la viande, devrait permettre une augmentation de la rémunération permise par exploitant équivalent à plus d 1/4 de SMIC chez les naisseurs et naisseurs-engraisseurs de Jeunes Bovins qui en avaient grand besoin. Cette embellie ne doit pas faire oublier que la productivité du troupeau reste, par un effet de dilution des charges, le levier majeur de réduction des coûts de production que les prix des intrants agricoles font progresser chaque année. > Figure 8 : Évolution du taux de vêlage des élevages bovins allaitants aquitains de plus de 10 vêlages Sources : Tableaux de Bord Vaches Allaitantes En premier lieu, c est la maîtrise de la productivité en veaux qui est déterminante mais qui s est dégradée sur la dernière campagne de reproduction, surtout dans les troupeaux Blonds où l on observe une baisse de 1,2 point du taux de vêlages : un manque de veaux et de production de viande qui va venir amputer la reprise escomptée du résultat des ateliers bovins viande. Production de viande vive : kg vifs vendus kg vifs achetés ± variation d inventaire. Coût de production : (charges courantes + amortissement + charges supplétives) / production de viande vive. Charges supplétives : rémunération forfaitaire du capital, du foncier en propriété et du travail de l exploitant à hauteur de 1,5 SMIC/UMO. Prix de revient : coût de production aides et autres produits de l atelier. Rémunération du travail permise par le produit : produit coût de production hors travail. Contacts L. AYMARD (CA 24) M. AIMÉ (CA 33) D. LAHITTE (CA 40) V. JOLIET(CA 47) T. DELTOR (CA 64) B. GONZALEZ (CA 64) M. KENTZEL (Institut de l Élevage) Crédit photos : Institut de l Élevage - Création : Bêta Pictoris - Réalisation : Florence Benoit - Impression : Imprimerie de Lens LES RÉSEAUX D ÉLEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS L'équipe en charge des Réseaux d'élevage bovins viande d'aquitaine existe grâce au soutien financier de FranceAgriMer et du Ministère de l'agriculture (CasDAR). Le temps consacré à l'élaboration de cette synthèse régionale fait l'objet d'un financement de l'union européenne (FEADER). Les frais d'édition sont pris en charge à 100 % par le Conseil Régional d'aquitaine dans le cadre des actions de diffusion pilotées par le GIE Herbivores Aquitaine. 6 Décembre 2013 Document édité par l Institut de l Élevage rue de Bercy, Paris cedex ISBN : PUB IE :

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