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1 S ommaire 1 La demande sur le Grand Clermont > éléments de cadrage.... p2 1.1 Un marché de 2,5 milliards d euros porté par ménages 1.2 Un marché qui se répartit sur le territoire selon le nombre et la composition des ménages 1.3 Un budget de plus en plus tourné vers les loisirs La grande distribution capte les 2/3 du marché du Grand Clermont 1.5 Le centre-ville de Clermont-Ferrand : un pôle commercial leader qui s effrite 2...p6 2.1 La force de frappe commerciale des centres-villes clermontois et riomois d le Grand Clermont 2.2 Le centre-ville de Clermont-Ferrand 2.3 Le centre-ville de Riom 3 La mutation commerciale...p La vacance, des situations contrastées 3.2 Un repreneur sur deux change d activité S ynthèse Le Grand Clermont est un marché de 2,5 milliards d euros en augmentation de 5% en euros constants depuis Le centre-ville clermontois en reste le 1er pôle commercial malgré un recul de 2 points de part de marché. Le recours des consommateurs grand clermontois au «hard discount» (+2 points en alimentaire) et la vente à distance a augmenté, s pour autant modifier la part globale de la grande distribution (2/3 du marché grand clermontois). Le centre-ville clermontois attire ménages grâce à ses pas de portes en activité en 2007, structurés en linéaires commerciaux assez polarisés selon leur niveau d attractivité. Le centre-ville riomois, avec 292 pas de porte en 2007, dispose d un commerce et d un artisanat traditionnel diversifié, mais sous influence avec un potentiel d attraction sur ménages. L identité commerciale des centres-villes reste marquée par le dynamisme de l «équipement de la personne». Perte de vi- tesse de l «alimentaire», du «culture-loisirs-sports» et surtout de l «équipement de la maison». La vacance globale stagne (centre-ville riomois : 13,5%), voire augmente (centre-ville clermontois : 11,5%). Elle est très contrastée selon les secteurs et montre des poches très localisées de vacance structurelle (> 2 ). Une création-reprise sur deux est l occasion d installation d une nouvelle activité. La reprise du fonds de commerce est une pratique qui diminue chez les nouveaux exploitants au profit de la création pure ou de l achat du bail. La séparation entre la propriété des fonds de commerce et la propriété des murs commerciaux est quasi généralisée. Le principal enjeu des centres-villes clermontois et riomois est de conforter les activités de fort rayonnement, tout en ménageant des poches de proximité où l offre commerciale et artisanale (alimentaire notamment) est suffisament diversifiée et fonctionnelle pour répondre aux besoins résidentiels.

2 A ccompagner le développement commercial du Grand Clermont L a finalité de ce dossier est de porter à la connaissance des acteurs du territoire les grands enjeux commerciaux et leurs conséquences majeures sur l attractivité des centres-villes et sur le tissu urbain. Ce dossier poursuit une démarche collaborative entre les Chambres de Commerce et d Industrie de Clermont-Ferrand / Issoire et de Riom, la Chambre de Métiers et de l Artisanat du Puy-de-Dôme, la Chambre Régionale de Commerce et d Industrie Auvergne et l Agence Clermont Métropole, et a pour objectif de maintenir une connaissance de l état et de l évolution du commerce et de l artisanat des deux centres-villes de Clermont-Ferrand et de Riom. Il s agit d une analyse fine à l échelle du pas de porte et de chaque famille de produits, mise en perspective avec des données complémentaires issues d études de flux de consommation ou de données commerciales des chambres consulaires. Néanmoins, ces centres-villes ne constituent qu une partie du maillage commercial du Grand Clermont au sein duquel les 1 pôles périphériques et les pôles de proximité jouent un rôle fondamental. Il semble donc indispensable d élargir, d un deuxième temps, cette connaissance de l offre à l ensemble du Grand Clermont afin que les élus des collectivités, en totale concertation avec les partenaires des chambres consulaires notamment, puissent élaborer et accompagner le développement d un tissu commercial cohérent d ce bassin de vie. La pérennisation et l actualisation de ces analyses constituent un enjeu d aide à la décision des acteurs et justifient la mise en place structurée d un observatoire du commerce et de l artisanat, tel que le préconise la charte de développement commercial et ce d un contexte d élaboration du SCOT et de son évaluation future. Après un rappel du contexte commercial du marché grand clermontois, ce dossier explore ainsi plus spécifiquement l identité, la vocation et l attractivité des deux centres-villes clermontois et riomois. La demande sur le Grand Clermont > éléments de cadrage Ce qu il faut retenir... Un marché de 2,5 milliards d euros en 2007, soit une dépense annuelle moyenne par ménage de Depuis 2004, ce marché est porté essentiellement par l augmentation du nombre de ménages. La grande distribution capte les 2/3 des dépenses des ménages, poids stable depuis Au sein de la grande distribution, les grandes surfaces spécialisées et le hard discount améliorent leur part de marché, respectivement de +2,7 points et +1,1 points. Encore faiblement représentée en 2007, la vente à distance progresse de +32% depuis Le centre-ville de Clermont-Ferrand est le premier pôle commercial fréquenté, captant 13% de la dépense courante. Cependant, ce «leadership» s effrite face à la concurrence des pôles périphériques. Le centre-ville riomois est le dixième pôle du Grand Clermont avec 1,4% de la dépense captée. 1.1 Un marché de 2,5 milliards d euros porté par ménages Définition Dépenses commercialisables : il s agit des dépenses de consommation des ménages susceptibles de triter par un commerce. Note méthodologique Les données sont issues de l observatoire régional des flux de consommation réalisé à partir d enquêtes téléphoniques auprès de ménages sur les lieux d achats fréquentés pour 51 familles de produits de consommation courante. Les deux dernières enquêtes datent de 2004 et 2007 (cf. note méthodologique p20). En 2007, le marché du Grand Clermont s élève à 2,48 milliards d euros, soit un potentiel d environ ménages dépensant chacun en moyenne par an. Ce marché représente à lui seul le 1/3 du potentiel de consommation auvergnat et reste en progression de + 9,7% en valeur par rapport à Traduite en valeur constante (inflation estimée à 4,5% sur la période), cette progression correspond à +5,2%. La dépense moyenne par ménage ayant stagné en volume, la progression du marché est donc essentiellement due à l augmentation du nombre de ménages : +4,4% sur la même période. 2

3 1 La demande sur le Grand Clermont > éléments de cadrage 1.2 Un marché qui se répartit sur le territoire selon le nombre et la composition des ménages Dépense commercialisable par ménage et par secteur Périphérie Riom nord-ouest Périphérie Riom sud-ouest Cébazat-Blanzat Rural Limagne Gerzat Clermont- Ferrand Riom Périphérie Riom sud-est Côtes-de- Clermont Périphérie Lempdes- Pont-du-Château Pont-du-Château Focus Clermont-Ferrand : Hypercentre Neuf- Soleils Salins Croix-de- Neyrat Montferrand Le Brézet- La Pardieu Dépense commercialisable par ménage, en euros : Hors étude flux Dépense commercialisable totale, en euros : 860 millions Royat Chamalières Beaumont Ceyrat Romagnat Lempdes Le Cendre Aubière Cournond'Auvergne Billom 100 millions 10 millions Saint-Amant- Tallende Pays du Grand Clermont Les Martresde-Veyre Vic-le-Comte Fond : IGN - Geofla, IGN - BD Carto Source : CRCI-CCI, Observatoire Régional des Flux de Consommation 2007 La ville de Clermont-Ferrand reste le premier marché avec 860 millions d euros. En analysant plus finement les territoires, les secteurs de Cournon, Chamalières et Riom sont les sources prépondérantes de marché. Cournon se caractérise par une dépense commercialisable par ménage de , plus forte que la moyenne du territoire, due en partie à une taille de ménage plus importante (familles). Chamalières, en revanche, figure comme le deuxième marché, non pas en raison du niveau de dépenses des ménages résidents (inférieur à la moyenne), mais grâce au nombre important de ménages. C est pourquoi, il est prudent de ne pas trop rapidement corréler le niveau de revenus à la présence d un marché potentiel important : le revenu n est qu une partie de la source d un marché, la taille et le nombre de ménages étant des éléments essentiels d analyse pour appréhender les potentialités commerciales d un territoire. Pays du Grand Clermont : revenu médian par unité de consommation VOLVIC SAINT-GENES- CHAMPANELLE RIOM CLERMONT- FERRAND SAINT-AMANT- TALLENDE Fond : IGN - GeoFla Sources : INSEE - DGI - Revenus fiscaux des ménages en 2003 ENNEZAT COURNON PONT-DU- CHÂTEAU VIC-LE-COMTE BILLOM Revenu médian 2003 ( ) par unité de consommation : ISSERTEAUX Non déterminé Pays du Grand Clermont ESTANDEUIL 3

4 1 La demande sur le Grand Clermont > éléments de cadrage ZOOM La principale source de croissance pour le marché reste l augmentation du nombre de ménages ménages supplémentaires d ici 2015 sur le Grand Clermont Source INSEE projections Omphale (2006) En 2015, si les mouvements migratoires observés sur la période se poursuivent, le Grand Clermont abritera ménages, soit près de de plus qu en Cette progression de 6,7% est inférieure de moitié à celle constatée entre 1990 et Elle reste aussi nettement inférieure à la moyenne nationale. Cette augmentation du nombre de ménages se ferait avec : une baisse de 12% du nombre de ménages de moins de 30 (-3 100), une augmentation de 22% du nombre de ménages de plus de 55 ( ). En 2015, ces ménages représenteraient 46% de l ensemble des ménages, contre 40% en 2005, une diminution de la taille des ménages, tendance corroborée au niveau national : 2,10 personnes par ménage en 2015 contre 2,20 en 2005 sur le Grand Clermont. Cette baisse reste plus prononcée d le territoire du Grand Clermont que d les aires urbaines équivalentes (2,22 en 2015). Cette évolution future du profil des ménages grand clermontois influencera de façon sensible les modes de consommation ce qui aura un impact certain sur la physionomie de l offre commerciale. Evolution des ménages suivant l âge de la personne de référence scénario central Indice base 100 en ou plus Moins Source : INSEE, projections modèle Omphale - scénario central Grand Clermont Clermont Communauté Grand Clermont Clermont Communauté Projections des dépenses commercialisables +22% +17% -12% -15% L appréciation de l évolution en volume de la dépense commercialisable par ménage est un exercice délicat tant cette donnée est la résultante de multiples indicateurs. Toutefois l augmentation du prix de l énergie, l inflation des prix alimentaires, les phénomènes de dé-consommation laissent à penser que cette dépense pour les produits courants devrait continuer à stagner. 1.3 Un budget de plus en plus tourné vers les loisirs... Par rapport à 2004, la structuration du budget évolue au profit des dépenses de Culture-Loisirs. Cette progression s explique par de nouvelles dépenses en équipement hifi/vidéo et principalement par la vente d écr plats boostée par les événements sportifs majeurs qui se sont déroulés en Europe. Elle s explique également par la progression de la consommation d équipements sportifs. 4 15,8% 18,1% 11,3% 13,9% 40,8% Alimentaire Equipement de la personne Equipement de la maison Culture Loisirs Hygiène Santé 1.4 La grande distribution capte les 2/3 du marché du Grand Clermont Le rapport de force est nettement en faveur de la grande distribution qui capte les deux tiers des dépenses des ménages grand clermontois. Ce rapport de force évolue peu entre les deux enquêtes. En revanche, à l intérieur de la grande distribution, les parts de marché ont bougé depuis 2004 en faveur des grandes surfaces spécialisées (+2,7 points) et du hard discount (+1,1 points), au détriment des hypermarchés (-3,7 points). Part en % % 22% Commerce de moins de 300 m² 10% Supermarché 21% 23% Hypermarché 38% 25% GSS 3% Source : CRCI Observatoire Régional du Commerce 4% 8% Hard Discount 6% 3% 3% 3% 1% 1% Autres Tous produits (%) Alimentaire (%) CNS VAD Source : CRCI Observatoire Régional du Commerce

5 1 La demande sur le Grand Clermont > éléments de cadrage La progression du hard discount alimentaire est nettement plus franche : sa part de marché passe à 8% et gagne +2,2 points. Cette évolution constitue un facteur important d l évolution de l offre des territoires et est de nature à modifier profondément les modes de consommation de proximité. Autre phénomène : la vente à distance qui reste marginale avec 3% de part de marché, mais affiche un taux de progression remarquable : +32% entre 2004 et Définition 1.5 Le centre-ville de Clermont-Ferrand, un pôle commercial leader qui s effrite Evasion commerciale : dépenses des ménages du Grand Clermont réalisées en dehors de ce territoire. Les ménages grand clermontois réalisent près des 2/3 de leurs dépenses d les 10 pôles commerciaux principaux du Grand Clermont. Le gros tiers restant est dépensé pour 8% à l extérieur du territoire (dont 3% en vente à distance) et pour 30% d les différents pôles de proximité (Beaumont, Chamalières par exemple). Le centre-ville de Clermont-Ferrand est le premier pôle commercial fréquenté : il capte 13% de la dépense des ménages grand clermontois. A contrario, le centre-ville de Riom est le dixième pôle en terme de part de marché sur l ensemble des ménages du Grand Clermont, avec un taux d emprise de 1,4% des dépenses. Depuis 2004, le poids de ces pôles a évolué au profit des pôles de Lempdes (enrichissement de l offre commerciale), de Riom Sud, mais surtout au profit des pôles de proximité (+3,8). En revanche, les pôles du Brézet (en restructuration au moment de l enquête) et du centre-ville de Clermont- Ferrand (perturbé par les travaux d installation de la première ligne de tramway) ont perdu respectivement 1,5 et 1,2 points de parts de marché. On note également une régression de l évasion commerciale de 2,3 points. Ce sont essentiellement les villes en bordure du territoire comme Vichy, Thiers ou Issoire qui ont perdu de leur attractivité sur les ménages grand clermontois. Seule l évasion commerciale à destination de la vente à distance a progressé de 0,2 point de parts de marché. Où consomment les ménages grand clermontois? 2,5 milliards d euros de dépenses commercialisables -2,3 part de marché Evasion 7,8 %* Dépenses diffuses à l intérieur du Grand Clermont +3,8 29,8 % Espace Mozac +0,1 Clermont-Ferrand centre-ville -1,2 3,1 % Clermont nord -0,4 13 % La Pardieu -0,8 Cap Sud ,4 3,7 % 4,7 % 9,2 % Riom centre-ville -0,1 10,8 % Riom sud +0,8 6,6 % Le Brézet -1,5 3,9 % Source : CRCI-CCI - Observatoire Régional des Flux de Consommation % Lempdes +1 Cournon +0,4 Destination des dépenses : 10% Pôle commercial +0,5 5% 1% Evolution en parts de marché Pays du Grand Clermont *Dont vente à distance : 2.7% 5

6 2 2.1 La force de frappe commerciale des centres-villes clermontois et riomois d le Grand Clermont Note méthodologique Les statistiques qui suivent sur les surfaces de vente (plancher commercial), issues de l Observatoire Régional du Commerce, sont celles du commerce de détail de produits «matériels» et ne couvrent pas l ensemble des services marchands (réparateurs, organismes financiers, prestataires de services marchands,..) pour lesquels la notion de m² de surface de vente est plus floue et de moindre signification. Les deux centres-villes réunis pèsent 15% de la surface de vente, mais agglomèrent 1/3 des établissements et 20% des emplois du Grand Clermont. Cette proportion est encore plus marquée pour le commerce non alimentaire pour lequel les centres-villes pèsent 15% des surfaces de vente, mais 39% des établissements. La surface de vente moyenne d un magasin riomois (52 m²) est deux fois inférieure à la surface de vente moyenne d un magasin du centre-ville clermontois (105 m²), ellemême sensiblement deux fois inférieure à la surface de vente d un magasin grand clermontois (207 m²). 6 Le poids des centres-villes d le Grand Clermont Nombre d établissements Grand Clermont Clermont- Ferrand 28,4% Le plancher commercial des centres-villes de Clermont-Ferrand et de Riom diminue d environ 1% par an depuis Sur la même période, le plancher commercial grand clermontois s est accru chaque année de 1,5%. Il en résulte indubitablement une dilution de la part des centres-villes au sein du Grand Clermont. Cette dernière réalité est encore plus marquée pour le plancher commercial non alimentaire qui baisse de m² en 5 d les deux centres-villes, alors qu il s accroît de m² d le Grand Clermont, soit plus de 5 fois les surfaces commerciales «perdues» d les centres-villes. Au niveau de la structure de la surface de vente par activité d les centres-villes, il se dégage les grandes tendances suivantes : Clermont-Ferrand et Riom ont globalement les mêmes profils avec notamment une offre en équipement de la personne prépondérante, activité qui reste ainsi l apanage des 2 centres-villes en se confortant depuis Le centreville clermontois affiche une activité culture-loisirs plus prépondérante, ce que le centre-ville riomois compense par une plus forte présence des métiers de proximité comme l hygiène-santé. La surface de vente culture-loisirs s accroit d le Grand Clermont alors qu elle se réduit d les centres-villes. Les caractéristiques des locaux en centre-ville (surface de vente réduite, accessibilité plus difficile) sont un frein pour certaines activités, notamment l alimentaire et l équipement de la maison, expliquant les différences constatées de la structure commerciale entre les deux centres-villes et le Grand Clermont sur ces activités. Riom 5,5% Grand Clermont Clermont- Ferrand 14,4% m² Riom 1,4% m² Grand Clermont Evolution : hausse ( ), baisse ( ), en quantitatif. Mode de représentation proportionnel Clermont- Ferrand 18,9% Riom 2,4% Répartition du plancher commercial par activités et tendance évolutive % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 3.3 % 2.6 % 27.7 % 20.3 % 32.4 % 16.4 % 16.8 % 19.9 % 21.5 % 10.9 % 17.5 % 14.5 % 17.5 % 39.3 % 39.6 % Le Grand Clermont Centre-ville de Clermont Centre-ville de Riom Tabac, hygiène, santé Equipement de la maison Culture, loisirs, divers Alimentaire Surface de vente Nombre d emplois m Source : CRCI Observatoire Régional du Commerce Equipement de la personne Source : CRCI Observatoire Régional du Commerce Evolution : Hausse marquée Hausse Stable Baisse Baisse marquée

7 2 Le saviez-vous? Des profils de clientèle différenciés La composition de la clientèle en terme de catégorie socio-professionnelle reste assez comparable avec une part non négligeable des retraités sur l économie commerciale des centres-villes : un peu plus d «agriculteurs et ouvriers» et de «retraités et inactifs» pour le centre-ville de Riom qui rayonne en partie sur un territoire rural (Limagne, Combrailles). Un peu plus de «professions intermédiaires» et «d artis-commerçants-cadres supérieurs» pour la préfecture régionale. Si 12% des clients du centre-ville de Clermont font partie de la catégorie «artis-commerçants cadres-supérieurs», ils contribuent à 23% du chiffre d affaires des commerces du centre-ville. D où une attention commerciale toute particulière et un positionnement des boutiques orienté vers cette clientèle (type de produits vendus, niveau de gamme et de services ). A noter que les retraités de Clermont-Ferrand ont un impact plus important sur le chiffre d affaires qu à Riom où pourtant ils sont relativement plus nombreux. Profil de la clientèle du centre-ville de Clermont-Ferrand par Catégorie Socio-Professionnelle (CSP) 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 1 8 % 1 3 % 3 2 % 2 7 % Agriculteur, ouvrier Profession intermédiaire, employé Part des CSP d la clientèle 1 2 % 2 3 % Artisan, commerçant, cadre supérieur 3 8 % 3 8 % Retraité, inactif Part des CSP d le chiffre d'affaires Profil de la clientèle du centre-ville de Riom par CSP 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 2 0 % 2 2 % Agriculteur, ouvrier Part des CSP d la clientèle 2 9 % 2 6 % Profession intermédiaire, employé 1 6 % 1 0 % Artisan, commerçant, cadre supérieur 4 1 % 3 6 % Retraité, inactif Part des CSP d le chiffre d'affaires L écart est nettement plus affirmé en ce qui concerne la structure de clientèle en terme d âge du chef de ménage. D Clermont-Ferrand, les moins de 34 constituent le 1/4 de la clientèle alors qu ils ne pèsent que 17% de la clientèle du centre-ville de Riom, avec une nette déficience des moins de 25. Les plus de 45 sont majoritaires d les deux centres-villes (56% à Clermont-Ferrand et 66% à Riom) ; leur part d le chiffre d affaires est encore plus élevée (62% et 68% respectivement). Néanmoins, la nature des clients ne doit pas forcément déterminer la qualité de l offre. En effet, le profil de clientèle dépend tout autant de l offre commerciale que l offre commerciale dépend de la clientèle «naturellement» présente d les centres-villes. Aussi le commerce est tour à tour : dépendant de la fréquentation d un lieu et contraint de s adapter, vecteur de fréquentation de nouvelles clientèles grâce au rayonnement et au positionnement de l offre. Profil de la clientèle du centre-ville de Clermont-Ferrand par tranche d âge 25% 20% 15% 10% 5% 0% 6 % 5 % Moins de % 1 8 % 1 6 % 1 7 % De 25 à 34 De 35 à 44 Part des tranches d'âge d la clientèle 2 3 % 2 1 % De 45 à % 1 7 % De 55 à % 1 8 % Plus de 65 Part des tranches d'âge d le chiffre d'affaires Profil de la clientèle du centre-ville de Riom par tranche d âge 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 2% 2% Moins de 25 15% 16% De 25 à 34 18% 14% De 35 à 44 Part des tranches d'âge d la clientèle 25% 25% 24% 21% 21% 18% De 45 à 54 De 55 à 64 Plus de 65 Part des tranches d'âge d le chiffre d'affaires Source : CRCI-CCI - Observatoire Régional des Flux de Consommation

8 2 2.2 Le centre-ville de Clermont-Ferrand Ce qu il faut retenir... Service à Equipement de la personne Santé - Beauté - Hygiène Hôtel - - Café - Restaurant Culture - Loisirs - Sports Service à caractère commercial Equipement de la maison Service tertiaire ayant vitrine sur rue Santé - Beauté - Hygiène Autres Commerce alimentaire Une baisse de 4% du nombre de pas de porte est constatée par rapport à Une relative spécialisation, encore plus marquée qu en 2002, sur «Equipement de la personne» (21%), «Service tertiaire» (17%) et «Hôtel-CaféRestaurant» (19%). Service t Autres Culture - Loisirs - Sports 350 Une baisse marquée depuis 2002 du «Commerce alimentaire» (-10%), de l «Equipement de la maison» (-24%) et de la «Culture-Loisirs-Sports» (-17%). Saint-Eloyles-Mines 3% 300 Nombre de pas de porte 8% Un pôle attractif qui couvre près de 2,5 fois la demande des ménages résidents % 17% Manzat 2% Saint-Eloyles-Mines 21% Pontgibaud 19% 0 9% Giat ClermontSource : Agence Clermont Ferrand Métropole 10% 11% 2005 Aigueperse Saint-Gervais2002 d'auvergne Année Combronde 2007 RochefortMontagne Manzat Définitions Billom Puy-Guillaume Aydat Vic-le-Comte Riom Zone de chalandise : détermine l espace géographique qui Thiers entourepontgibaud un pôle commercialla Touret d où provient l essentiel de Issoire d'auvergne sa clientèle. Il est habituel de délimiter des zones primaire, ClermontBesse-et-Saintsecondaire et tertiaire d lesquelles «l emprise» du pôle sera Anastaise Ferrand atténuée selon l éloignement des clientèles et l implantation des espaces commerciaux concurrents. Billom Rochefort- En 2007, l «Equipement de la personne» (21%), les «HôtelsCafés-Restaurants» (19%) et les «Services tertiaires» (17%) sont les principales activités commerciales du centre-ville clermontois. L évolution depuis 2002 montre une accentuation de la présence de ces activités par rapport aux autres qui régressent globalement. Saint-Gervaisd'Auvergne 3% 50 En 2007, pas de porte en activité ont été recensés d le centre-ville de Clermont-Ferrand. A périmètre constant, une baisse depuis 2002 est constatée : 68 pas de porte en activité en moins (-4,3%) avec corrélativement une baisse globale de 5,4% du plancher commercial. Trois faits viennent concourir à cette baisse : la destruction temporaire de l îlot 2, la disparition des commerces de l ancienne Giat gare routière (perte de 23 pas de porte) et surtout une augmentation relative de la vacance entre ces deux dates (cf. p17). 17% alimentaire Commerce Aigueperse de la personne 2% Equipement 21% Equipement de la maison Combronde Santé - Beauté - Hygiène Puy-Guillaume Culture 19% - Loisirs - Sports 9% Hôtel - Café - Restaurant Service à caractère Riom 10% 11% commercial Service tertiaire ayant Thi vitrine sur rue Un pôle commercial majeur qui se spécialise... Hôtel - -C Equipement de la personne Equipement de ( ) la maison Répartition et évolution des familles de pas de porte pas de porte en activité recensés en Auzelles 20 Kilomètres Fond : IGN - Géofla, Navtech 2008 Zones de chalandise de Clermont-Ferrand et de Riom Ambert Source : CRCI-CCI - Observatoire Régiona La Tourd'Auvergne Issoire Clermont-Ferrand : Besse-et-SaintAnastaise ( ménages) Riom : ( ménages) Saint-Germain -l'herm 50 % du chiffre d affaires Ardes / Couze Kilomètres Arlanc % du chiffre d affaires Fond : IGN - Géofla, Navtech 2008 Source : CRCI-CCI - Observatoire Régional des Flux de Consommation 2007 Aigueperse Saint-Gervaisd'Auvergne La zone de chalandise du centre-ville clermontois représente un potentiel d environ ménages, couvrant quasiment l ensemble du département. Elle se structure autour des principaux axes routiers et montre une emprise plus importante à l ouest, en raison notamment de l absence d autres pôles commerciaux majeurs. Elle est en revanche plus écrasée sur l est, maillé par les grands pôles périphériques de l agglomération clermontoise. Clermont-Ferrand : ( ménages) Riom : Puy-Guillaume ( ménages) Combronde Manzat Pays du Grand Clermont 50 % du chiffre d affaires Riom 30 % du chiffre d affaires Pontgibaud Autoroutes Thiers Axes principaux 10 % du chiffre d affaires Giat ClermontFerrand Billom RochefortMontagne Olliergues Aydat Vic-le-Comte Auzelles Ambert La Tourd'Auvergne Issoire Besse-et-SaintAnastaise Saint-Germain -l'herm Arlanc Ardes / Couze Saint-G -l'he Olliergues 10 % du chiffre d affaires 0 Auzel Ardes / Couze Montagne Linéaire commercial : ensemble de vitrines formant un Aydat Vic-le-Comte alignement continu. Saint-Eloyles-Mines doté d un rayonnement très large, grâce à des linéaires attractifs Commerce alimentaire 20 Kilomètres 8 Clermont-Ferrand : ( ménages) Fond : IGN - Géofla, Navtech 2008 Source : CRCI-CCI - Observatoire Régional des Flux de Consommation 2007 Riom : ( ménages) 50 % du chiffre d affaires 30 % du chiffre d affaires Pays du Grand Clermont Autoroutes

9 2 L attractivité ne se répartit pas de façon homogène sur l ensemble du centre-ville clermontois. Elle est plus particulièrement portée par certains axes structurants ou linéaires commerciaux. En effet, la topographie, le bâti et les aménagements conditionnent directement la fluidité des déplacements dont dépendent les implantations commerciales. A contrario, les espaces commerciaux de moindre fluidité urbaine (rues difficiles d accès, hachées par des immeubles ou activités «borgnes»), sont amenés soit à tenter une hyper-spécialisation commerciale, comme le quartier des antiquaires rues Pascal-Savaron, soit à disparaître et laisser place éventuellement à des activités tertiaires moins dépendantes des flux, qui plébiscitent des implantations différenciantes d le bâti ancien. Les alignements commerciaux du centre-ville de Clermont-Ferrand en 2007 Les alignements commerciaux sont des éléments de morphologie urbaine essentiels d les capacités de résistance et de lisibilité commerciale des centres-villes face au développement de l offre périphérique. Plateau Central Gaillard Blatin-Foch Ainsi, l épicentre commercial clermontois a progressivement «glissé», depuis ces 20 dernières années, de la butte vers l ouest où la configuration topographique plate Lagarlaye au pied de cette butte est plus favorable. Aujourd hui, le centre-ville commercial de Fond : Cadastre - DGI Analyse : Agence Clermont Métropole, CCI Clermont-Ferrand s étale d un rayon Chambre de Métiers et de l Artisanat de 800 m autour de la place de et s alimente de l ensemble Schéma fonctionnel du centre-ville des sources de flux piétonniers (parkings, arrêts des trports en commun, etc). Niveau d'influence de l'alignement : Agglomération Locale Mixte Les axes les plus stratégiques, qui réunissent toutes les qualités en terme de centralité (centre historique, fréquentation, accessibilité...), concentrent ainsi les commerces à fort rayonnement (rues du 11 Novembre, Foch, Blatin) : il y a là un phénomène de contraction spatiale de l armature commerciale. 9

10 2 Ce phénomène fragilise en contrepartie des espaces plus vulnérables en frange du noyau central (Fontgiève, Ballainvilliers, etc). L implantation du Carré 2 (cf. Flash cidessous) à proximité du Centre va accentuer cette contraction et fragiliser des zones menacées de devenir périphériques. Flash : Carré 2 Au cœur du centre-ville de Clermont, en face des actuels Centre et Carré, un vaste projet immobilier est actuellement à l œuvre. Le Carré 2 est un ensemble immobilier de m² qui accueillera : une galerie marchande de m², un hôtel 4 étoiles de 123 chambres, un complexe cinématographique de 7 salles comprenant sièges, une résidence de tourisme d environ 116 lits, 130 logements (dont 47 logements sociaux), des bureaux, un parking souterrain de 427 places. En ce qui concerne la galerie marchande, l ouverture au public est prévue pour Ce projet devrait contribuer à amplifier le rayonnement du centre-ville de Clermont en renforçant considérablement l offre commerciale. Ce centre commercial devrait également impacter de façon sensible la circulation des flux piétons et les niveaux d attractivité des différents secteurs du centre-ville Une offre commerciale performante et attractive Au global, le centre-ville de Clermont-Ferrand couvre près de 2,5 fois la demande des ménages résidents sur place, traduisant une forte performance commerciale (ou attractivité) et confirmant l étendue de la zone de chalandise. Toutefois, ce taux de couverture varie d une famille de produits à l autre : de 1 pour l alimentaire à près de 7,5 pour l équipement de la personne. Définition Performance commerciale : sur un territoire, c est la capacité théorique de l offre commerciale à couvrir la demande des ménages résidents pour un ou plusieurs produits. Elle met en rapport la valeur du chiffre d affaires dégagé par les commerces d un secteur géographique et la valeur de la dépense commercialisable des ménages de ce secteur. Lorsqu il est supérieur à 1, l offre couvre mathématiquement plus que la demande et révèle ainsi une attractivité. Synthèse de l évolution des principales familles d activité du centre-ville clermontois Pas de porte Evolution surface Performance commerciale Activité Nb 2007 Evolution Equipement de la personne 334 ì ì 7,5 Hôtel-Café-Restaurant Services tertiaires 256 ì Non applicable Non applicable Santé-Beauté-Hygiène 161 2,5 Culture-Loisirs-Sports 148 3,5 Equipement de la maison 130 1,5 Commerce alimentaire Centre-ville clermontois (toutes activités) Sources : Agence Clermont Métropole, CRCI ,5 10

11 2 L alimentaire, en voie de disparition? De façon générale, en France, le commerce alimentaire du centre-ville subit une concurrence telle que cette activité a du mal à se maintenir. D une part, ces activités s implantent d des sites très accessibles et à proximité des lieux d habitation ou sur les axes de passage quotidien. D autre part, la marge commerciale de la plupart des activités alimentaires de proximité ne permet plus des implantations d des locaux commerciaux de centres-villes, sauf à choisir des positionnements commerciaux plus sélectifs (épiceries thématiques, chocolatiers, boulangeries qualitatives ) et donc à sortir de la logique de simple proximité. Occupant 8% des pas de porte du centre-ville en 2007, le commerce alimentaire montre une perte de 14 points de vente (-10%) et une baisse de 3% du plancher commercial, généralisée à l ensemble des quartiers de Clermont- Ferrand. Mathématiquement, l offre semble satisfaire la demande puisque le ratio de performance commerciale est proche de 1. Toutefois, il est la résultante contrastée : - d une offre très attractive sur des produits d exception d une part, - et d une offre insuffisante sur des produits quotidiens comme les surgelés, les vins-alcools et l épicerie. Equipement de la personne, cœur de métier du centre-ville L équipement de la personne est la première activité commerciale du centre-ville clermontois avec 21% des vitrines et 38% du plancher commercial. Le secteur Blatin-Foch est fortement spécialisé d cette activité (44% des pas de porte). Clermont-Ferrand hyper-centre : proportion des types de pas de porte par secteur en 2007 Fond : cadastre - DGI Source : Agence Clermont Métropole 2007 Commerce alimentaire Equipement de la personne Equipement de la maison Santé - Beauté - Hygiène Blatin-Foch Lagarlaye Gaillard Culture - Loisirs - Sports Hôtel - Café - Restaurant Plateau Central Service à caractère commercial Service tertiaire ayant vitrine sur rue Opinion : les artis et les commerçants indépendants dynamisent le centre-ville clermontois Une offre commerciale diversifiée Par leurs prestations personnalisées, leur attention toute particulière au choix de leurs produits par la diversité et la qualité de leur production et par l originalité des concepts de leurs magasins, les artis et les commerçants indépendants participent au quotidien à la vitalité et à l enrichissement de l offre commerciale auprès d une clientèle réfractaire à l uniformisation du marché. Pour autant, leur place est aujourd hui menacée d le centre-ville clermontois notamment par la montée en puissance du succursalisme en ce qui concerne le commerce. La diversité commerciale menacée : l exemple de l artisanat et du commerce alimentaire spécialisé Bien qu ils offrent aux consommateurs exigeants une garantie en termes de goût et de sécurité des produits qu ils fabriquent grâce à une sélection rigoureuse de leurs matières premières, les artis commerçants alimentaires sont de moins en moins nombreux d le centre-ville clermontois. Sur les 5 dernières années, Clermont- Ferrand centre a perdu 15% de son commerce de bouche. Parmi eux, les bouchers ont enregistré la plus forte baisse (1 établissement sur 4 a disparu). Certains quartiers (avenue Julien, rue Maréchal Foch) ne bénéficient plus d aucune activité artisanale alimentaire alors qu ils détiennent une forte densité de population. Le marché Saint-Pierre a également vu certaines professions disparaître entre 2002 et Il faut une action volontariste des élus Pour remédier à ces situations et encourager à la diversité commerciale des solutions existent. Maintenir une offre diversifiée passe par une accession facilitée de l artisanat de bouche et du commerce indépendant à des emplacements commerciaux stratégiques. Les locaux mis à disposition des professionnels de l alimentation doivent également permettre d installer des laboratoires conformes aux normes en vigueur indispensables pour l exercice de leur activité. D le centre-ville de Clermont-Ferrand plus particulièrement, ceci passe par une lutte contre la contraction commerciale du centre-ville autour de la place de. Il devient alors indispensable d engager une réflexion sur l aménagement du centre-ville pour libérer et moderniser des espaces commerciaux de taille favorisant l implantation de locomotives près de la place Gaillard et du marché Saint-Pierre, mais également sur les espaces touchés par la vacance structurelle (Plateau Central). Ces locomotives permettraient de reconquérir commercialement de nouveaux espaces et ainsi de créer des opportunités d installation de l artisanat de bouche et du commerce indépendant. D une logique de développement durable, le rôle des artis et commerçants d la politique urbaine n est plus à démontrer mais il doit trouver écho d les documents d urbanisme et bénéficier de programmes d actions concrètes en faveur de la modernisation de l artisanat et du commerce. Michel CEAUX, président de la Chambre de Métiers et de l Artisanat du Puy-de-Dôme et Isidore FARTARIA, président de la Chambre de Commerce et d Industrie de Clermont-Ferrand/IssoIre. 11

12 2 L évolution depuis 2002 montre une confirmation de la relative spécialisation du centre-ville d cette activité : +9% de pas de porte et +13 % des surfaces de vente correspondantes. Le commerce de centre-ville cherche en général à se démarquer du commerce «standardisé» des zones périurbaines. La recherche de spécificité par le consommateur pour l «Equipement de la personne» peut ainsi expliquer cette tendance. L ensemble des quartiers du centre-ville de Clermont-Ferrand est concerné par la hausse de cette activité : de +4 à +5% d augmentation sur les secteurs - «Blatin-Foch», jusqu à +28% d le quartier «Gaillard». L activité «Equipement de la personne» montre la plus forte performance commerciale : l offre couvre 7,5 fois la demande du centre-ville clermontois et porte ainsi la forte attractivité de ce pôle. Le prêt-à-porter féminin ainsi que les vêtements pour enfants en sont les produits phares. Les services tertiaires, à la recherche d opportunités Ils comptabilisent 256 pas de porte en Le tiers des pas de porte du secteur «Lagarlaye» est consacré à cette activité ; d les autres secteurs, ils se répartissent de façon relativement homogène. L évolution depuis 2002 montre une augmentation du nombre de vitrines : +4% (soit un gain de 10 pas de porte). Les «Services tertiaires», particulièrement les bureaux d architectes, de communication, etc, profitent très localement de certaines opportunités, liées à un contexte de vacance structurelle, pour s implanter (secteurs «Plateau central» et «Gaillard» exclusivement). L ambiance de bâtiments anciens réhabilités semble être un atout pour ce type d activité. La forte présence de ces activités peut également enrayer la dynamique commerciale d une rue : l avenue des Etats-Unis en est l exemple même. Elle aurait tous les atouts pour avoir une attractivité commerciale très large (passage du tramway, locaux de surfaces importantes, large zone piétonne, proximité de la place de et des parkings), et pourtant 1 pas de porte sur 3 est occupé par des services tertiaires. Ce «mitage» atténue considérablement l impact commercial des enseignes présentes d la rue, au contraire de la rue du 11 Novembre qui bénéficie d une continuité commerciale très lisible et renforce ainsi son attractivité. Les activités Culture-Loisirs-Sports en perte de vitesse En 2007, le centre-ville clermontois comptabilise 148 pas de porte en activité «Culture-Loisirs-Sports» (10%) pour un plancher commercial d environ m². Cette activité affiche une perte de 17% des vitrines avec une disparition de m² de surfaces de vente : seul le secteur est épargné par cette tendance. Le «Plateau central» représente, à lui seul, les 2/3 de cette perte d activité. La baisse des activités «Culture-Loisirs-Sports» est principalement le fait de la perte de librairies et de magasins de disques. L impact grandissant des ventes à distance (Internet) n est pas à négliger sur ce secteur, marqué par une relative standardisation. Les magasins de sports et de jouets montrent également une érosion. Ces activités sont, en effet, très fortement concurrencées par les grandes enseignes qui plébiscitent une implantation en zone commerciale périurbaine sur des surfaces commerciales importantes. Néanmoins, la performance commerciale reste bonne puisque l offre en activité «Culture-Loisirs-Sports» couvre 3,5 fois la demande du centre-ville clermontois. Les produits portant cette attractivité sont les disques, DVD, livres, matériel photo, traduisant la prépondérance de l enseigne FNAC. Evolution du nombre de pas de porte entre 2002 et 2007 Commerce alimentaire 12 Blatin-Foch Lagarlaye Culture - Loisirs - Sports Blatin-Foch Lagarlaye Gaillard Gaillard Fond : Cadastre DGI Source : Agence Clermont Métropole Plateau Central Plateau Central Equipement de la personne Blatin-Foch Lagarlaye Hôtels - Cafés - Restaurants Blatin-Foch Lagarlaye Gaillard Gaillard Plateau Central Plateau Central Equipement de la maison Blatin-Foch Lagarlaye Gaillard Evolution du nombre de pas-de-porte ent 25% et plus 10% à 25% 0% à 10% -10% à 0% -25% à -10% Inférieur à -25% Services tertiaires ayant Evolution vitrine du sur nombre rue de pas-de-porte entre 2002 et 2007 : Fond : Cadastre - DGI Source : Agence Clermon Gaillard 1 pas de porte Blatin-Foch Lagarlaye 25% et plus 10% à 25% 0% à 10% -10% à 0% -25% à -10% Plateau Central Inférieur à -25% Fond : Cadastre - DGI Plateau Central Source : Agence Clermont Métropole 5 pas de porte 10 pas de porte 20 pas de porte

13 2 L équipement de la maison : le centre-ville se désengage 9% des vitrines du centre-ville clermontois proposent cette activité en Elle se distingue par la plus grande perte de pas de porte en activité (-24%). L ensemble des quartiers est concerné par cette décroissance de plus de 20%. Corrélativement, le plancher commercial a baissé de 25% depuis La disparition d une grande surface spécialisée d le centre-ville pour des raisons d aménagement de Carré 2 (magasin Fly) ne suffit pas à expliquer cette déprime qui s est soldée par une baisse de m² du plancher commercial, tendance confirmée au niveau du Grand Clermont (perte globale de m²). La modestie des surfaces de vente pour l équipement de la maison d le centre-ville s explique par le besoin de surfaces commerciales importantes pour permettre une meilleure mise en scène des produits. Ces surfaces sont plus aisées à trouver et moins coûteuses hors des centres-villes. L offre en «Equipement de la maison» ne couvre que 1,5 fois la demande du centre-ville clermontois. Les produits autour de l électroménager et du bricolage, fortement présents en périphérie, ne sont guère positionnés d le centre-ville. Les Hôtels-Cafés-Restaurants : une offre bien localisée En 2007, 295 pas de porte en activité «Hôtels-Cafés-Restaurants» sont recensés, soit 19% des pas de porte en activité du centre-ville. Ils caractérisent principalement les secteurs «Gaillard» et «Plateau central» (26% et 20% respectivement des pas de porte de ces secteurs). Depuis 2002, cette activité est en relative stagnation, avec un trfert du secteur Gaillard au profit des secteurs «Plateau central» et. En ce qui concerne la restauration, 90% du nombre de couverts du centre-ville clermontois se concentrent sur les trois secteurs «Gaillard», «Plateau central» et, riches en places et zones piétonnes. L arrivée proche de l hôtel 4 étoiles (cf. Carré 2 p10) avec son offre de 123 chambres (1/4 de l offre existante du centre-ville) aura forcément un impact. ZOOM : organisation commerciale des centres-villes La montée du succursalisme ou la financiarisation du commerce de détail Alors que les succursales ne représentaient que 8% des établissements commerciaux du Grand Clermont en 2002, la part de cette forme d exploitation des magasins s est fortement développée (+37% en 5 ) pour atteindre 11% du nombre de magasins. D le centre-ville de Clermont- Ferrand, la montée du succursalisme se fait d les mêmes proportions et atteint le même niveau de 11% des magasins. A Riom, par contre, le succursalisme reste très marginal. Il est vraisemblable que la montée du besoin financier pour exploiter un magasin soit l explication essentielle de ce phénomène : coût de l immobilier, sélectivité de la loca- Part en % % 6% 12% 9% 70% 83% Clermont-Ferrand Riom 12% Franchise Indépendant affilié Indépendant non affilié Succursale 2% lisation, agrandissement de la surface moyenne des magasins. Le centre-ville de Riom n apparaît pas comme un emplacement privilégié pour le développement d enseignes nationales. En effet, pour conquérir les consommateurs riomois, les grandes enseignes font le choix d une bonne implantation clermontoise ayant un rayonnement départemental ; quelques une choisissent de s implanter à Riom par un partenariat local (formule de la franchise). Inéluctable diminution de l indépendance commerciale des commerces L indépendance (ni succursaliste, ni affilié, ni franchisé) reste une caractéristique dominante pour le plus grand nombre de commerces : 72% des établissements commerciaux du Grand Clermont sont totalement indépendants. Ce phénomène est encore plus marqué d le centre-ville de Riom avec 84% d indépendance. Toutefois, l indépendance commerciale des commerces diminue de façon inéluctable : -9% pour le Grand Clermont entre 2002 et 2007 et -10% d le centre-ville clermontois. Cela correspond à la montée des réseaux (enseigne et/ou approvisionnement) et à l extrême difficulté d exploiter un commerce de façon isolée. Cette réalité modifie l implication des commerces d la vie de la cité : le pouvoir de décision n est plus seulement local et certains dirigeants de magasins sont soumis à l acceptation, voire à la décision, de leurs directions centralisées. Source : CRCI - Observatoire Régional du Commerce 13

14 2 2.3 Le centre-ville de Riom Un centre-ville traditionnel... En 2007, 292 pas de porte en activité ont été recensés d le centre-ville de Riom, contre 309 en 2002, soit une baisse de 5% avec corrélativement une disparition de 4,6% de la surface de vente. Les types d activités les plus représentés en 2007 sont : «Service tertiaire» : 23% des commerces, soit 65 pas de porte), «Equipement de la personne» : 18% des commerces, soit 52 pas de porte, «Santé-Beauté-Hygiène» : 16% des commerces, soit 48 pas de porte. Depuis 2002 : seule l activité «Equipement de la personne» montre une augmentation significative à l échelle de Riom : +13%, «Santé-Beauté-Hygiène» et «Hôtel-Café-Restaurant» stagnent, les autres activités enregistrent une baisse : «Service à caractère commercial» (-50%), «Culture-Loisirs- Sports» (-25%), «Commerce alimentaire» (-14%) mais un centre-ville sous influence Nombre de pas de porte Répartition des familles de pas de porte en % 10 0 Commerce alimentaire Equipement de la personne Equipement de la maison Santé - Beauté - Hygiène Culture - Loisirs - Sports 23% 12% 8% 2% 10% 16% 18% 9% Année Commerce alimentaire Equipement de la personne Equipement de la maison Hôtel - - Café - Restaurant Santé - Beauté - Hygiène Service à caractère commercial Culture - Loisirs - Sports Service tertiaire ayant vitrine sur rue Autres 2% 10% Commerce alimentaire 23% Equipement de la personne 18% Equipement de la maison 2% Santé - Beauté - Hygiène Culture - Loisirs - Sports Hôtel 12% - Café - Restaurant9% Service à caractère commercial 8% 16% Service tertiaire ayant vitrine sur rue Source : Agence Clermont Métropole Hôte- Serv Serv Autre Le centre-ville de Riom a une capacité attractive sur environ ménages. Mais l attractivité riomoise est largement atténuée par celle de la capitale régionale, ce qui se visualise par des zones de chalandise imbriquées (cf. p.8). L offre commerciale riomoise permet, à son tour, de contenir l étalement au nord des zones primaire et secondaire de Clermont-Ferrand, voire d exercer une attractivité grâce à quelques vitrines spécifiques du centre-ville, notamment à certaines activités artisanales. Le centre-ville de Riom a une délimitation circonscrite par un boulevard circulaire très fréquenté. Traditionnellement, les activités économiques et administratives ne pouvaient se concevoir qu à l intérieur de ce cercle d un diamètre d environ 700 mètres. Mais le bâti, s il bénéficie d une forte valorisation (ville d art et d histoire), est assez inadapté à l expression du commerce moderne (surfaces de vente de 50 m² en moyenne, accessibilité et configuration de l immobilier difficiles, contraintes architecturales fortes). Sous-préfecture du Puy-de-Dôme, il en découle une «vraie» ville avec ses concentrés de problématiques (mixité des fonctions : habitat, emplois, clientèles ) et un concentré commercial qui ne grossit pas au même rythme que son Une forte polarisation, un un centre-ville circonscrit (2007) (Vers Châtel- Guyon) (Vers Mozac) P Bd Rue Hippolyte Etienne ibe L rt Bd de la é Clémen l Rue St. -Amable te P P Gomot (Vers Clermont- Ferrand) (Vers St-Bonnetprès-Riom) Rue du Commerce P orl g o Rue de l H e Pôle d attractivité { Pôle de proximité Marché couvert Marché ambulant (temporaire) P Rue de Rue du Marthuret l Hôtel Bd Chancelier de Ville Bd Desaix de l Hospital P P (Vers Ennezat) (Vers la gare SNCF) Moyenne de piétons/heure en semaine (2007) Moyenne de piétons/heure le samedi matin (jour de marché, 2007) Flux de circulation automobile Possibilité de retournement Fond : Cadastre - DGI Source : CCI Riom Analyse : CCI Riom P Parkings 14

15 2 agglomération d influence : le centreville pèse m² de surface de vente, c est-à-dire l équivalent du seul hypermarché Carrefour de Riom. Les implantations se localisent principalement sur les trois axes les plus accessibles du centre-ville : l axe rue de l Hôtel-de-Ville - rue Saint-Amable, l axe rue du Commerce - rue de l Horloge, rue Gomot justifiant d une offre inférieure à la demande Synthèse de l évolution des principales familles d activité du centre-ville riomois Pas de porte Evolution surface Performance commerciale Nb 2007 Evolution Equipement de la personne 52 ì ì 0,8 Hôtel-Café-Restaurant 35 ì - Services tertiaires 65 Non applicable Non applicable Santé-Beauté-Hygiène 48 0,8 Culture-Loisirs-Sports 23 0,4 Activité Au global, la performance Equipement de la maison 26 0,4 commerciale du centre-ville de Riom est de 0,7. MathématiqueCommerce alimentaire 30 0,6 ì ment, l offre ne couvre pas la decentre-ville riomois 0,7 292 mande, ce qui est logique compte(toutes activités) tenu de la proximité clermontoise. En masse globale, l attrait du cen- Sources : Agence Clermont Métropole, CRCI - Observatoire Régional du Commerce du pôle commercial, de part et d autre du «Coin des tre-ville de Riom est s commune mesure avec celui du Taules» et vient contredire le phénomène de dispersion centre-ville clermontois. Les performances commerciales spatiale constatée pour d autres activités. Les produits des différentes activités sont toutes inférieures à 1 mais préphares sont l optique médicale et la bijouterie de valeur, sentent des disparités importantes : de 0,3 pour l «Equialors que l offre en vêtements pour enfants, vêtements et pement de la maison» à 0,8 pour l «Equipement de la chaussures de sports reste modeste. personne». Ce sont les activités les plus représentées en 2007, avec 65 pas de porte, malgré une baisse de 8% enregistrée depuis Cette baisse reflète un changement de perception de l espace central riomois avec de nouvelles opportunités d implantations d les périphéries et les quartiers en mutations (Varenne - Gare SNCF - Virlogeux ; extérieur des boulevards Pré-Monsieur, République). Une partie des activités marchandes suit cette évolution : les services marchands (services bancaires et financiers) sont à l affût de ces nouvelles opportunités immobilières qui offrent des locaux plus vastes, plus modernes, plus accessibles d des quartiers en cours de peuplement L équipement de la personne, une activité dynamique Avec 6 pas de porte supplémentaires depuis 2002 (+13%) et une augmentation de la surface de vente (+2%) l «Equipement de la personne» est l activité dynamique par excellence. S bénéficier de la notoriété d enseignes nationales (à part quelques unités en franchise), l «Equipement de la personne» parvient à séduire des clientèles du Grand Clermont très sensibles à l identité des boutiques, à la tranquillité de la petite ville et à la qualité de la relation qui en découle. Les boutiques d équipement de la personne se concentrent de plus en plus d la partie centrale Le commerce alimentaire : une lente érosion Le centre-ville riomois a perdu 5 vitrines alimentaires depuis 2002 (baisse de 14%), portant cette activité à 35 pas de porte en Parallèlement, la surface de vente a augmenté de 11%. L offre reste malgré tout assez diversifiée et favorablement localisée au niveau des 3 principales entrées du centre-ville. L artisanat et le commerce alimentaire de proximité n ont pas été soumis à de brutales évolutions mais leur déclin, lié au dépeuplement du centre-ville et aux habitudes de consommation, est une réalité. L offre en produits banaux Les activités de services tertiaires : tendance à la dispersion spatiale

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