CLONAGE D UN GÈNE DE MEDUSE BIOCHIMIE DE L ADN
|
|
- Ségolène Lamarche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CLONAGE D UN GÈNE DE MEDUSE BIOCHIMIE DE L ADN But de la manipulation Le but de cette manipulation est l introduction d un gène de méduse codant pour une protéine fluorescente dans des bactéries par l intermédiaire d un vecteur (=plasmide dans notre cas précis), ce qui nous permettra de cloner ce gène en prélude à une éventuelle purification de la protéine d intérêt. Introduction La GFD (green fluorescent protein) est une protéine naturellement fluorescente trouvée dans des méduses (Aequorea victoria) vivant au fond de la mer et leur servant à la communication par bioluminescence. Elle a été isolée en 1962 par Shimomura et coll., et son gène a été cloné à partir de 1992 par Prasher et coll. C est une protéine unique de 20kDa pouvant servir de marqueur fluorescent, un puissant moyen d études des protéines dans leur contexte biologique. En couplant une protéine d intérêt par couplage avec une GFP, on peut par exemple suivre sa localisation au sein de la cellule par microscopie de fluorescence. La fluorescence est produite par un réarrangement et l oxydation de la séquence Ser-Tyr-Gly, ce qui provoque la formation d une double liaison et une augmentation de la délocalisation électronique, provoquant l émission de lumière d une longueur d onde différente de celle absorbée (elle absorbe la lumière UV pour émettre une lumière verte). Un intérêt particulier de cette protéine est qu elle peut être modifiée par mutagenèse pour étendre ou réduire la délocalisation électronique, et donc de modifier la couleur de fluorescence. On peut ainsi citer comme analogues à la GFP : BFP (bleu) CFP (azur) YFP (jaune) 1
2 Image 1: Structure de la protéine GFP. Le réarrangement et l oxydation de la séquence Ser-Tyr-Gly est à l origine de la fluorescence. Pour une animation de la structure 3D de la GFP : Partie théorique Dans le domaine de la biologie moléculaire, les chercheurs peuvent être confrontés à un problème de taille : les protéines sur lesquelles ils travaillent sont des molécules très petites à notre échelle et exercent le plus souvent leur fonction dans le contexte de la cellule. Autant dire qu il est illusoire d espérer pouvoir les voir avec un simple microscope. Heureusement pour eux (et malheureusement pour nous, pauvres petits étudiants, qui devons écrire un rapport sur le sujet) il existe une science merveilleuse qu est le génie génétique, permettant de produire une protéine 2
3 en très grande quantité afin de mieux pouvoir l étudier et la détecter, et pouvant même permettre la localisation de la petite protéine dans l immensité de la cellule (et il ne reste plus qu au chercheur à être capable de différencier la membrane du réticulum endoplasmique de celle d un lysosome qui passait par là, mais c est un autre problème). Redevenons sérieux. Aujourd hui les chercheurs disposent d outils puissants pour cloner un gène en particulier et induire sa transcription en ARNm puis sa traduction en protéine, incluant des moyen de localisation spatiale de la dite protéine et de quantification. Les premiers de ces outils sont les enzymes de restriction (aussi appelées endonucléases de restriction), qui reconnaissent des séquences de bases spécifiques dans l ADN en double hélice et clivent les deux brins du duplex en des points particuliers, tels des scalpels extraordinairement précis. Ces enzymes sont utilisées dans de nombreux domaines, tels l analyse de la structure des chromosomes, le séquençage de très longues molécules d ADN ou l isolement de gènes particuliers. Le chercheur suisse Arber a reçu un prix Nobel en 1978 pour ces découvertes. Les enzymes de restriction existent naturellement chez de nombreux procaryotes où leur rôle est de cliver des molécules d ADN étrangères, l ADN de la cellule n étant pas dégradé car ne possédant pas la séquence particulière reconnue par l enzyme. Cette séquence, spécifique à chaque enzyme de restriction, est dite palindromique : elle peut se lire de façon identique de droite à gauche ou de gauche à droite, et la coupure de la séquence peut se faire de deux manières : à bout franc (l enzyme coupe exactement au même endroit sur les deux brins) ou cohésive (l enzyme coupe en zigzag, ce qui laisse des extrémités monocaténaires). Les enzymes de restrictions sont utilisées pour couper les molécules d ADN en fragments spécifiques au niveau de leur site de restriction, la séquence qu elles reconnaissent. De tels sites de restriction peuvent être introduits de part et d autre d un gène d intérêt afin de mieux pouvoir manipuler celui-ci. Isoler un gène, c est bien beau, mais encore faut-il ensuite trouver un moyen de l introduire dans une cellule pour que celle-ci puisse le transcrire. On utilise pour ce faire un vecteur de clonage, qui doit être capable d une réplication autonome dans une cellule hôte donnée (qui doit donc posséder son propre origine de réplication) et qui doit supporter l insertion d un fragment d ADN plus ou moins grand. Il existe plusieurs sortes de vecteurs de clonages qui se différencient par leur conditions d utilisation et la taille du fragment d ADN qu ils permettent de cloner : les plasmides, les phages lambda, les cosmides, les phages P1, les BAC (bacterial artificial chromosom) et les YAC (yeast artificial chromosom). Les plasmides permettent de cloner un fragment d ADN jusqu à 20kb. Il s agit de molécules d ADN de petites tailles et circulaires, d origine bactérienne, pouvant être considérée comme un mini chromosome capable de réplication autonome. 3
4 Ainsi, un plasmide contient un ou plusieurs gènes de résistances à des antibiotiques (permettant la sélection des cellules l ayant intégré), une origine de réplication et des sites de restriction permettant le clivage de son ADN circulaire suivit de l insertion d un nouveau gène d intérêt. Avec un plasmide, on peut donc transformer une bactérie (typiquement Escherichia coli) pour qu elle exprime le gène d intérêt. Il suffit pour cela d intégrer le gène en question dans un plasmide par ouverture avec des enzymes de restriction puis fermeture avec des enzymes de ligation, tel un puzzle à l échelle moléculaire, puis d intégrer le plasmide dans la bactérie, qui ainsi exprimera les gènes présents dans le plasmide, à commencer par la résistances aux antibiotiques. Arrivé à un tel stade, il convient de vérifier que le gène d intérêt est bien présent dans la bactérie. Sélectionner les bactéries ayant intégré le plasmide n est pas difficile, il suffit de les faire pousser sur un milieu contenant le ou les antibiotiques contre lesquels les plasmides sont censés les protéger. Par contre, vérifier la présence du gène d intérêt ne peut se faire que par migration sur gel d électrophorèse à la suite d une PCR. La PCR (polymerase chain reaction) est une technique de réplication élective in vitro d ADN double brin, par extension itérative de deux amorces appropriées, sous l effet de l alternance de températures variables : 94 C pour la séparation (dénaturation) des brins matrices, C pour l appariement des amorces, et 72 C pour l action de la Taq polymérase (polymérase thermostable provenant d une bactérie thermophile, Thermus aquaticus). La répétition des cycles assure une duplication exponentielle de chaque brin (le cycle dénaturation/appariement/synthèse étant répété de 20 à 40 fois, ce qui correspond à une amplification de 2 20 à 2 40 ). Par un choix approprié des amorces, on peut n amplifier qu une portion bien définie de l ADN. Les produits d une PCR peuvent être analysés sur gel d agarose, clonés ou séquencés. La PCR est une technique puissante pour le diagnostic médical, la médecine légale et l évolution moléculaire, puisqu elle permet de détecter, par exemple, le virus du HIV-1 chez des sujets qui n ont pas encore eu de réponse immune à ce pathogène et chez lesquels le diagnostic par dosage d anticorps n aurait donc pas pu être réalisé. La bactérie a donc intégré le plasmide contenant notre gène d intérêt, dont la présence a été vérifiée par PCR et analyse sur gel d agarose, et il ne reste plus qu à inciter la colonie ainsi sélectionnée (contenant des clones identiques à la bactérie d origine) à produire en masse la protéine correspondante. Pour cela, on utilise un promoteur particulier en amont du gène d intérêt qui s active lorsqu il reçoit un signal particulier, IPTG dans notre cas. La bactérie se voit donc contrainte de transcrire et traduire encore et encore le même gène, se remplissant de la protéine de méduse fluorescente, dont la présence peut être aisément détectée, justement, par la fluorescence verte qu elle émet sous une lumière UV. 4
5 Et pour récupérer la protéine en question, il suffit de détruire les bactéries par ajout de produit la détruisant (TRIS, NaCl, lysosomes ) et d ajouter des billes de verres dans le lysat ainsi obtenu. Le gène de la protéine d intérêt ayant été associé à un court gène GST dont la protéine correspondante a la particularité de se fixer sur les billes de verres, il ne nous reste plus qu à décoller GST-venus des billes de verres pour obtenir notre protéine purifiée, fluorescente. Merci les méduses. Partie pratique I) Digestion du vecteur et de l insert L insert (le gène GST-venus avec son promoteur IPTG et deux sites de restriction spécifiques aux enzymes utilisées) et le plasmide (PGex4T-3 contenant le gène de résistance à l ampicilline en plus des deux sites de restrictions spécifiques aux enzymes utilisées) sont digérés séparément par les enzymes de restriction BamHI et XhoI, en présence d un tampon spécifique, de BSA (rendant la viscosité optimale pour le bon fonctionnement des enzymes) et H 2 O. On fait migrer les deux solutions sur un gel d agarose 1% afin de vérifier si l ADN est présent, c'est-à-dire qu il n y ait pas d erreur de manipulation. Puis les deux réactions sont incubées à 37 C toute la nuit. Image 2 : dessins de l insert et du plasmide avec les SR II) Purification de l ADN Les deux réactions sont purifiées par différents lavages avec du tampon PB, qui fixe l ADN, puis de la solution de lavage pour éliminer les enzymes restantes et enfin H 2 O. Ces trois manipulations sont séparées par des centrifugations. Cette étape de purification de l ADN est indispensable afin d éliminer les enzymes de restriction qui seraient capables, sinon, d attaquer encore d autres séquences. Après la purification, on procède à la ligation afin de réunir le plasmide et l insert. Deux tubes sont remplis avec le plasmide, le tampon de ligation et la ligase (enzyme de ligation). Un des deux tubes contient également l insert (ligation n 2) tandis que l autre tube sert de contrôle et l insert est remplacé par de l eau (ligation n 1). Les ligations sont incubées à 16 C toute la nuit. Image 3 : dessins du plasmide plus l insert III) Transformation de la bactérie Les bactéries sont tout d abord traitées avec du CaCl 2 ainsi qu avec diverses centrifugations, sous conservation dans la glace afin de les rendre 5
6 compétentes, c est-à-dire aptes à recevoir l insert par la formation de pores dans leurs membranes. Après ce traitement, trois tubes sont préparés : 1. contenant la ligation n 1 (c est-à-dire le plasmide seul, sans l insert) et les bactéries compétentes 2. contenant la ligation n 2 (c est-à-dire le plasmide et l insert) et les bactéries compétentes 3. ne contenant que des bactéries compétentes. Ces trois tubes sont conservés 30 min dans la glace ce qui incite le rapprochement des plasmides sur les membranes des bactéries, puis on provoque un choc thermique à 42 C (pendant 30s à 1min) ce qui, par effet de succion, fait rentrer les plasmides à l intérieur des bactéries par les pores (la hausse soudaine de température les fait gonfler). Les solutions sont ensuite incubées pendant 30min à 37 C en milieu LB, ce qui leur laisse le temps de commencer à exprimer les gènes contenus sur les plasmides, entre autre la résistance à l ampicilline. Puis on étale chaque solution dans une boîte de pétri en milieu de croissance LB et ampicilline. Image 4 : transfo de la bactérie IV) PCR Six tubes sont préparés pour la PCR afin d amplifier l ADN récolté dans nos bactéries. Les tubes contiennent deux primers (= amorces d environ 20 bases s appariant à l extrémité 3 d un brin d ADN simple brin), du tampon, les bases nucléiques dntp (= les bases ATGC) en quantité suffisante, la Taq polymerase (enzyme spécifique à la PCR car résistant à la chaleur de la réaction) et H 2 O. Cinq de ces tubes contiennent également une colonie choisie parmi nos 28 colonies de la ligation n 2 et le dernier tube contient une colonie choisie parmi nos 106 colonies de la ligation n 1 (les colonies choisies étant notées sur les boîte, afin de pouvoir retrouver celles qui nous intéresserons). Les 6 tubes subissent la PCR puis, après l amplification de l ADN, on teste la présence de l insert par migration sur un gel d électrophorèse. 2 clones positifs (c'est-à-dire, possédant l insert) et le clone négatif (dans le 6 ième tube) sont étalés sur des boîtes de pétri neuves et on les laisse se développer pendant le week-end à 37 C. V) Induction Nos deux clones positifs et le clone négatifs sont récoltés dans des tubes différents et mis en présence d IPTG, ce qui provoque l induction de l insert et aboutit à une surproduction de la protéine correspondante. La protéine fluorescente est détectée par UV après une incubation à 37 C pendant 2h. 6
7 Résultats I) Digestion du vecteur et de l insert, puis migration sur gel d agarose : Image 5 : Scan du gel Nous sommes bien en présence d ADN. II) Purification de l ADN Après étalement des bactéries sur les boîtes de pétri et propagation de cellesci en colonies les résultats sont : Boîte n 1 : x colonies Boîte n 2 : y colonies Boîte n 3 : pas de colonies Le résultat pour la boîte n 3 est conforme à celui attendu puisque nous n avons pas étalé de bactérie, aucune colonie ne s est formée. La boîte n 2 contient plus de colonies que la boîte n 1 et ceci peut avoir plusieurs explications : Tout d abord les colonies traduisent le fait que les plasmides fonctionnent et qu ils sont donc refermés. Mais les plasmides peuvent fonctionner même en l absence d insert, pour autant que les sites de restrictions aient été digérés par le même enzyme : (dessins) Après introduction de la ligase, le plasmide se referme sans insert et est donc le même qu au départ. Le nombre assez élevé de colonies sur la boîte n 2 est peut-être du au fait que les sites de restriction de nos plasmides ont été digérés par le même enzyme. Ceci est la conséquence d une mauvaise manipulation dans l étape n 1. Un enzyme n a pas été introduit correctement (avec le bon volume, du à un problème de pipette), et était donc sous exprimé. Le rapport des enzymes n étaient plus de 1 et les sites de restriction des plasmides n ont pas été digérés (ou très peu) par l enzyme sous exprimé. IV) PCR Les six tubes sont étalés sur un gel d agarose 1% pour une migration afin de vérifier si nos colonies de bactéries choisies contiennent les inserts. Les résultats sont négatifs il n y a pas de bactérie contenant l insert. Les plasmides n ont pas d insert et n expriment pas le gène. Ceci est la conséquence du fait qu un enzyme était sous exprimé par rapport à l autre. Les plasmides n ont pas pu intégrer d insert. Image 6 : scan du deuxième gel V) Induction Les résultats de la PCR étant négatifs, les assistants nous fournissent euxmêmes un clone positif afin que nous puissions finir l expérience. 7
8 Induction du gène puis tubes passés sous UV. On ne voit pas la fluorescence (ou alors si faiblement qu on a l impression de l imaginer Ceci est du au fait que bactéries ne sont pas lysées et leur membrane fait barrière, ou parce que l inducteur n a pas très bien fonctionné, ou encore parce qu il y a une mutation dans l insert de départ Conclusion En conclusion on peut dire que l expérience n a pas abouti au résultat prévu puisque l étape de la PCR nous a donné des résultats négatifs. Plusieurs explications sont à retenir, notamment un problème de pipettes qui aurait pu fausser les volumes de solutions et donc altérer les rapports prévu dans les tubes pour les réactions. Le mauvais choix des colonies est peut-être aussi une explication. Ayant un grand nombre de colonies sur la boîte n 2 nous avons pu choisir celles contenant des plasmides sans insert au détriment de celles en possédant (c.f résultat PCR) pour autant qu il y en ait eu.. Cependant cette expérience nous a permis de bien comprendre les manipulations biochimiques de l ADN c est-à-dire les étapes de modification et clonage de gènes pour une insertion dans une bactérie et une expression du gène inséré. Et même si ça n a pas marché, on s est bien marré, merci XD Bibliographie Stryer Mes cours de bioch2 Aide-mémoire de biochimie et de biologie moléculaire, 2 ième édition, Wildmer et Beffa, Editions TEC & DOC Source de l image 1 : (+ ChemDraw) 8
3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailRapport Scientifique Seine-Aval 3
Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 3 : TABLEAU DE BORD ET INDICATEURS OPERATIONNELS PUCES A ADN CHEZ MYTILUS EDULIS - 2005 - Danger
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailgénomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation
génomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation Génomique, protéomique - Acides nucléiques Extraction d acides nucléiques ADN... Kit de filtration par colonnes... ADN
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailUE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou
UE : GENE 2208 Responsable : Enseignant : ECUE 1 Enseignant : ECUE 2 Dr COULIBALY Foungotin Hamidou Spécialités : Génétique Humaine Biologie de la Procréation Cytogénétique Spermiologie Essais Cliniques
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailSEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200
SEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200 Le gel de séquence contient 64 puits au maximum soit 16 clones traités en parallèle. Les oligos utilisés (modifiés en 5 ) fluorescent à 700/800 nm. Une amorce permet de séquencer
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailPlateforme. DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet
Plateforme DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet Lundi 8 avril 203 Pourquoi des DArT? Développement rapide et peu onéreux de marqueurs : Pas d information de séquence nécessaire. Pas de pré-requis
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTable des matières. Renseignements importants sur la sécurité 2. Nettoyage et élimination 4. Spécifications 4
Système FlashGel TM Lonza Rockland, Inc. www.lonza.com scientific.support@lonza.com Assistance scientifique : 800-521-0390 Service à la clientèle : 800-638-8174 Rockland, ME 04841 Table des matières Renseignements
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailIsolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation
PROTOCOLE AUTOMATISÉ Isolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation Mode d emploi des produits A1751 et A2751 Réservé
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailMaxwell 16 Blood DNA Purification System
Manuel Technique Maxwell 16 Blood DNA Purification System Attention, cartouches à manipuler avec précaution, les bords scellés peuvent être tranchants. 2800 Woods Hollow Rd. Madison, WI USA Dispositif
Plus en détailProcédure d utilisation du Beckman CEQ 2000 XL pour la réalisation de programmes de séquençage ou de génotypage.
MODE OPERATOIRE Code : SSG / 003 UMR 1229 MGS Microbiologie et Géochimie des Sols 17 rue Sully BP86510 21065 Dijon Cedex Rédigé par : D. Bru / S. Hallet. Procédure d utilisation du Beckman CEQ 2000 XL
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailPour ou contre le gluten? Qu est-ce que le gluten?
Pour ou contre le gluten? C est un peu la grande mode du moment : «ouaih moi, une semaine avant la course, je supprime tous les aliments contenant du gluten parce que c est mauvais» hum hum. Savez-vous
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailInfolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010
Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailSystème immunitaire artificiel
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieure Université des Sciences et de la Technologie D Oran Mohammed Boudiaf (USTO) Faculté des Sciences Département d Informatique
Plus en détailVOITURE A REACTION. Kart à réaction réalisé par un bricoleur «fou» (Bruce Simpson)
VOITURE A REACTION Kart à réaction réalisé par un bricoleur «fou» (Bruce Simpson) 1 Introduction BUT DE L ACTIVITE Fabriquer une voiture à réaction originale et sans danger Jouer avec et essayer plein
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailIndications pour une progression au CM1 et au CM2
Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailLes Protéines Fluorescentes. Tounsia Aït-Slimane, UMRS 938, CDR Saint-Antoine CHU Saint-Antoine
Les Protéines Fluorescentes Tounsia Aït-Slimane, UMRS 938, CDR Saint-Antoine CHU Saint-Antoine Sondes fluorescentes et méthodes d imagerie en biologie : GFP, EGFP, BFP, CFP, YFP, dsred, mrfp1, Hc Red,
Plus en détailLeica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.
Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions
Plus en détailEnseignement Informatique. Classe de Bac Pro SAPAT -----------------------------------------------------------------------
Enseignement Informatique Classe de Bac Pro SAPAT ----------------------------------------------------------------------- MG4: Culture Scientifique et Technologique. -----------------------------------------------------------------------
Plus en détailCATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA
1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailMÉDICLICK! STUDIO 3 DOCUMENT CENTER : MAILCLICK! SOMMAIRE
MÉDICLICK! STUDIO 3 DOCUMENT CENTER : MAILCLICK! SOMMAIRE Préalable important ACCES A LA FENETRE MAILCLICK! Le PARAMETRAGE DE BASE DESCRIPTION DE LA FENETRE MailClick! La Barre GENERALE de Boutons Les
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailManuel d utilisation Alarme Auto na-2018 Attention :
Manuel d utilisation Alarme Auto na-2018 Attention : 1) Le contenu de ce manuel comprend les informations nécessaires à une utilisation correcte de cet appareil. Nous vous suggérons dès lors de le lire
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailDémonstra*on du concept de détec*on
Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène (ABTS) Peroxyde d'hydrogène (H 2 O 2 ) Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène
Plus en détailMaster en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC)
Master en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC) BIOLOGIE MOLÉCULAIRE EN CONDITIONS PHYSIOLOGIQUES ET PATHOLOGIQUES Département de Biologie Faculté de Médecine Université de Namur Master
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailL universalité et la variabilité de l ADN
L universalité et la variabilité de l DN Unité 4 3 μm hromosomes observés en microscopie électronique à balayage. Les chromosomes, présents dans le noyau, sont constitués d acide désoxyribonucléique (DN).
Plus en détailQuel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.
Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailLeica Application Suite
Leica Application Suite Macro Editor et Macro Runner (Éditeur de macros et Exécuteur de macros) Personnalisées et automatisées 2 Les instructions peuvent être momentanément suspendues» de manière optionnelle
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailGoogle Documents permet d élaborer un questionnaire, de le diffuser sur le net pour ensuite le dépouiller.
Google Documents Google Documents permet d élaborer un questionnaire, de le diffuser sur le net pour ensuite le dépouiller. Phase préliminaire: Pensez à identifier le public que vous souhaitez cibler Pensez
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailMISE AU POINT D UNE TECHNIQUE DE QUANTIFICATION DES POPULATIONS BACTERIENNES ET ARCHAEA DE L ECOSYSTEME CAECAL DU LAPIN PAR PCR EN TEMPS REEL
E C O L E N A T I O N A L E VETERINAIRE T O U L O U S E Master 2 Recherche «Elaboration de la Qualité et Sécurité Alimentaire» Directrice de stage : Mme Sylvie COMBES Mémoire bibliographique MISE AU POINT
Plus en détailPropulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT
1. Le moteur vulcain C. Expliquer le principe d action réaction aussi appelé le principe des actions réciproques qui s applique dans le moteur Vulcain. Vous pouvez-vous aider du schéma ci-dessous. A. Quels
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION
NOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION Plafond filtrant Lumispace Il est important de lire attentivement cette notice avant la maintenance du plafond Lumispace Ce document doit être remis au client
Plus en détailLecteur éditeur de chèques. i2200. Manuel utilisateur. Solutions de transactions et de paiement sécurisées
Manuel utilisateur Lecteur éditeur de chèques i2200 Solutions de transactions et de paiement sécurisées Ingenico 2200 Avant Propos Merci d avoir choisi le Lecteur Editeur de chèque nouvelle génération
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailTraitement de texte : Quelques rappels de quelques notions de base
Traitement de texte : Quelques rappels de quelques notions de base 1 Quelques rappels sur le fonctionnement du clavier Voici quelques rappels, ou quelques appels (selon un de mes profs, quelque chose qui
Plus en détailLa PCR en temps réel: principes et applications
Reviews in Biology and Biotechnology By The Moroccan Society of Biology in Canada Vol.2, No 2, December 2002. pp.2-11 Printed in Canada La PCR en temps réel: principes et applications Elyse Poitras et
Plus en détail