SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE

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1 Département de la Savoie COMMUNE DE BOURDEAU SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE RAPPORT DE PHASE 1 DIAGNOSTIC DU SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE Mémoire explicatif E72-08 Août , rue du Lieutenant G. Eysseric BP Albertville Cedex Tél. : Fax : contact@edacere.com

2 SOMMAIRE AVANT PROPOS...4 PREAMBULE...5 PRESENTATION GENERALE DE LA COLLECTIVITE ET DE SON RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE...6 I. CONTEXTE GENERAL...6 II. POPULATION URBANISME...8 III. ACTIVITES ECONOMIQUES...9 IV. SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE...9 DESCRIPTIF DE LA STRUCTURE D ALIMENTATION EN EAU POTABLE...11 I. LA RESSOURCE...11 I.1. Généralités...11 I.2. Descriptif des ouvrages de captages...11 I.2.1. Captage du Gerle...11 I.2.2. Captages de la Carrière...12 I.3. Contexte hydrogéologique...13 I.4. Vulnérabilité de l aquifère...14 I.5. Protection de la ressource...14 I.6. Débit de la ressource...14 I.7. Qualité des eaux brutes...15 I.8. Réseau d adduction...15 I.9. Traitement...15 I.10. Qualité des eaux distribuées...17 II. LES OUVRAGES DE DISTRIBUTION...18 II.1. Réservoirs de stockage...18 II.1.1. Réservoir du Gerle...18 II.1.2. Réservoir de la Carrière...20 II.2. Réseau de distribution...21 II.3. Ouvrages annexes...24 II.3.1. Réducteur de pression...24 II.3.2. Surpresseur...24 II.4. Branchements en plomb...28 II.4.1. Contexte réglementaire...28 II.4.2. Etat des lieux...28 III. LA DEFENSE INCENDIE...29 III.1. Généralités...29 III.2. Conformité hydraulique des poteaux incendie...29 ANALYSE DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION...30 I. ANALYSE DE LA PRODUCTION...30 I.1. Aspect quantitatif...30 I.2. Aspect qualitatif des eaux produites...31 I.3. Aspect qualitatif des eaux distribuées

3 II. ANALYSE DE LA CONSOMMATION...31 II.1. Analyse des volumes d eau consommés...31 II.2. Estimation des volumes d eau non comptabilisés...33 II.2.1. Défaut de comptage...33 II.2.2. Ecoulements permanents Fontaines...33 II.2.3. Consommations municipales...33 II.2.4. Volumes techniques...33 II.2.5. Volume de fuites connues non réparées...35 II.2.6. Synthèse des volumes non comptabilisés...35 III. GESTION DU SERVICE...35 III.1. Gestion du service de distribution d eau...35 III.2. Prix du service de l eau...36 IV. RATIOS CARACTERISTIQUES DU RESEAU...37 IV.1. Définition...37 IV.2. Détermination des principaux indicateurs de performance...38 BILAN HYDRAULIQUE GENERALITES...41 I. PRINCIPE GENERAL METHODOLOGIE...41 II. DEFINITION DES SECTEURS DE MESURES...41 CAMPAGNE DE MESURES GLOBALES...43 I. OBJECTIF DE LA CAMPAGNE DE MESURES...43 II. DEROULEMENT DE LA CAMPAGNE DE MESURES...43 III. RESULTATS DES MESURES GLOBALES...43 III.1. Campagne hors période de pointe de consommation Mai III.1.1. Analyse des volumes distribués...43 III.1.2. Analyse des volumes de fuite et des volumes consommés...45 III.1.3. Appréciation des principaux indicateurs de performance...46 III.2. Campagne de mesures en période de pointe de consommation Juillet/août III.2.1. Analyse des volumes distribués...47 III.2.2. Analyse des volumes de fuite et des volumes consommés...48 III.2.3. Appréciation des principaux indicateurs de performance...49 III.3. Synthèse des mesures globales...49 CAMPAGNE DE MESURES PAR SECTORISATION NOCTURNE...51 I. PROGRAMME D INTERVENTION...51 II. RESULTATS DES MESURES...53 CAMPAGNE DE RECHERCHE DE FUITE PAR CORRELATION ACOUSTIQUE...56 I. METHODOLOGIE EMPLOYEE...56 II. PRESENTATION DES RESULTATS...57 II.1. Définition des secteurs contrôlés...57 II.2. Résultat de la campagne de recherche de fuites...57 CONTRE BILAN HYDRALUIQUE ET SYNTHESE DES MESURES...58 I. PRINCIPE...58 II. RESULTATS DU CONTRE-BILAN...58 III. SYNTHESE DES MESURES...58 BILAN DE FONCTIONNEMENT DU SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE...61 I. RESSOURCE EN EAU...61 II. RESEAU DE DISTRIBUTION...61 III. DEFENSE INCENDIE

4 IV. INDICATEURS DE PERFORMANCE...62 AVANT PROPOS L essor démographique, l attrait touristique et le développement économique que connaît le secteur du Lac du Bourget, conjugués à une diminution des ressources en eau, en période estivale, peuvent parfois entraîner des situations tendues en matière d alimentation en eau potable. Dans le but d optimiser l exploitation des ressources en eau disponibles, la commune de BOURDEAU a engagé une étude globale sur la gestion et la distribution de l eau potable sur son territoire. Cette réflexion porte sur l ensemble des ouvrages et des réseaux du système d alimentation en eau potable et devrait permettre en particulier : de supprimer les dysfonctionnements constatés, de proposer des aménagements pour faire face à l augmentation des besoins en eau consécutifs au développement de la collectivité, d assurer une défense incendie optimale et en adéquation avec la réglementation actuelle. 4

5 PREAMBULE La Municipalité de BOURDEAU a souhaité engager la réalisation d une étude globale du système d alimentation en eau potable en vue, d une part d optimiser l exploitation du réseau de distribution et, d autre part, de disposer d un programme de travaux, nécessaire pour faire face au développement de la collectivité attendu ces prochaines années. Cette étude comprend deux étapes essentielles : Le diagnostic du réseau (objet du présent rapport) : Il consiste à dresser un bilan de fonctionnement du réseau existant et notamment : analyser la production et la consommation en eau, identifier les anomalies et les dysfonctionnements, quantifier et localiser les pertes, améliorer le rendement du réseau. Le schéma directeur : A la suite des observations de la première phase, le schéma directeur propose un politique d intervention visant à : améliorer le fonctionnement du système d alimentation en eau potable en tenant compte des besoins futurs de la collectivité, pallier les insuffisances en matière de défense incendie, optimiser la gestion de la ressource et la distribution en eau de l ensemble des abonnés. 5

6 PRESENTATION GENERALE DE LA COLLECTIVITE ET DE SON RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE I. CONTEXTE GENERAL La commune de BOURDEAU est située dans le Nord du département de la Savoie, en rive Ouest du Lac de Bourget, sur le versant oriental du Mont du Chat. Le territoire communal s étend sur 483 ha, bordé à l Ouest par la ligne de crête du Mont du Chat et à l Est par les m de rivage. Les altitudes extrêmes rencontrées sur la commune sont 231 m (sur les rives du lac) et m (Le Mollard Noir), le chef-lieu étant situé à une altitude moyenne de 305 m. La commune est traversée du Sud au Nord par la RD 1504, qui permet de relier l agglomération Chambérienne à l Avant Pays Savoyard par le tunnel du Chat. D autres voies de circulation (RD 14 et RD 14a) permettent de desservir les différents hameaux de la commune. La pluviométrie moyenne annuelle enregistrée sur la période d observation , au Centre Météo France de Voglans (235 m NGF) est de mm. Les quatre dernières années (2003, 2004, 2005 et 2006) ont été sensiblement moins arrosées, comme l illustre le tableau et le graphique suivants. Remarque : Le déficit de la pluviométrie observé en 2003 et 2004 a entraîné une diminution significative des débits des différentes ressources du département, nécessitant la prise d arrêtés préfectoraux limitant les usages de l eau. 6

7 Tableau 1 Suivi pluviométrique Centre Météo France de Voglans (235 m NGF) Mois Voglans Voglans 2003 Voglans 2004 Voglans 2005 Voglans 2006 Voglans 2007 Janvier 110, ,2 86, ,9 Février 109,1 55,6 20,4 47,4 72,8 176,8 Mars 104,7 32, ,8 189,4 147,4 Avril 91, ,3 103,6 70,44 5,7 Mai 112, ,7 80,2 101,4 149,8 Juin 105,5 9,5 62, ,2 104,6 Juillet 93,5 62,8 19,1 65, ,4 Août 86 76,6 207,6 90,8 163,4 129,4 Septembre 126,9 55,6 44,6 69,6 53,8 84 Octobre 131,2 212, ,2 21 Novembre 112, ,5 36,8 69,2 Décembre 120,6 56,6 101,8 97,2 61,4 TOTAL , ,5 899, , (*) Comparaison moyenne (en mm/an) (*) Mesures en cours / -414,5-276,5-404,9-299,76 Graphique 1 Suivi pluviométrique Station Météo France de VOGLANS (235 m NGF) Précipitations moyennes mensuelles (en mm) Voglans Voglans 2003 Voglans 2004 Voglans 2005 Voglans janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre 7

8 II. POPULATION URBANISME Le dernier recensement de la population (2004) fait état de 484 habitants permanents avec une tendance à une légère stagnation depuis la fin des années Aujourd hui (2007), la commune compte environ 530 habitants permanents. Le tableau et le graphique suivants illustrent l évolution de la population communale au cours des quarante dernières années. Tableau 2 Evolution de la population communale Années Population communale Graphique 2 Evolution de la population communale Nombre d'habitants Années Concernant l urbanisation, nous observons une majorité de résidences principales avec pour l essentiel des villas individuelles, regroupant en moyenne 2,25 habitants par logement. Sur la période , le rythme moyen des constructions était de 2 logements par an, aujourd hui (2007), le rythme semble s accélérer avec 3 à 4 permis délivrés chaque année. La révision du Plan Local d Urbanisme approuvé le 30 juin 2006 vise une progression démographique assez limitée en favorisant la réalisation de nouvelles constructions tout en permettant la réhabilitation du bâti ancien. Le potentiel de construction en zone urbanisée (zones U) et en zone à urbaniser (zonage AU) permet la construction d une trentaine de logements rapidement (2010) et une cinquantaine de logements à moyen terme (2020). En terme d évolution de population, cette capacité de construction devrait permettre d atteindre l objectif de 650 habitants en 2010 et près de 750 à l horizon La commune possède avec son église, mais plus encore avec le Château du XI siècle, un patrimoine architectural assez remarquable. 8

9 III. ACTIVITES ECONOMIQUES L activité liée au tourisme demeure le secteur d activité principal de la commune de BOURDEAU, avec une capacité d hébergement de 380 personnes réparties entre les hôtels, les locations de meublés et un camping, la fréquentation touristique étant plus importante lors de la saison estivale (mai à septembre). Nous avons recensé également 5 restaurants et un port de plaisance (20 places). Toutefois, d autres secteurs d activités sont également bien représentés, comme l artisanat (maçons, garages, etc.), des sociétés de services ou commerciales (courtier en assurance, tabac-presse, bar, supérette, etc.). Malgré un Plan Local de Gestion des Espaces (remise en état des terrains délaissés), l agriculture n occupe qu une place marginale sur la commune, qui ne compte d ailleurs plus aucun agriculteur à titre principal. IV. SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE Le système d alimentation en eau s organise autour du captage du Gerle qui alimente la totalité des abonnés au réseau de distribution d eau. Le réservoir du Gerle dessert l unité de distribution du chef-lieu, regroupant l essentiel des abonnés, ainsi qu une petite unité de distribution (La Frasse). Remarques : Le réservoir du Gerle alimente également une petite unité de distribution desservant des habitations situées sur la commune du Bourget du Lac. Historiquement, une source captée en voûte dans le tunnel du Chat assurait l alimentation des quelques habitations situées à proximité du tunnel. Depuis octobre 2007, ces habitations sont alimentées par le réseau du chef-lieu, via un surpresseur. L alimentation en eau des réservoirs du Gerle peut être renforcée par les captages de la Carrière (via le réservoir du même nom et un petit refoulement), mais également par les installations du Bourget du Lac (réservoir de la Combe). Un traitement de désinfection (chloration au chlore gazeux) est réalisé au niveau du réservoir du Gerle afin de garantir à l eau, une qualité satisfaisante. Lors de l exercice 2006, la consommation en eau des 233 abonnés atteint m 3, soit une moyenne de 80,6 m 3 /an/abonné ou encore 98 l/j/personne. 9

10 Un descriptif des différents réseaux de distribution est présenté dans le tableau suivant : Réservoir Capacité (m 3 ) Altitude radier (mngf) Le Gerle Tableau 3 Description des différents réseaux de distribution Mode d alimentation Captage du Gerle Captages de la Carrière Réservoir de la Combe Réseau de distribution Chef-lieu La Frasse Le Gerle (Bourget du Lac) Longueur (km) 6,5 0,5 3,9 Nombre d abonnés Particularités 1 réducteur de pression 1 surpresseur - 2 réducteurs de pression (commune du Bourget du Lac) La Carrière Captages de la Carrière Réservoir du Gerle Chef-lieu 6, réducteur de pression 1 surpresseur L exploitation du réseau de distribution d eau est réalisée par VEOLIA EAU (prestations de service) selon les termes d une convention signée le 14 juin

11 DESCRIPTIF DE LA STRUCTURE D ALIMENTATION EN EAU POTABLE I. LA RESSOURCE I.1. Généralités Le captage du Gerle constitue la principale ressource pour l alimentation en eau potable de la commune de BOURDEAU. Il dessert le réservoir du Gerle, situé quelques dizaines de mètres en contrebas, qui alimente l ensemble des abonnés de la commune ainsi que plusieurs habitations situées sur la commune du Bourget du Lac. Une convention finalisée entre les deux collectivités permet de définir les modalités techniques et financières de fourniture de l eau. Deux autres captages (captages de la Carrière) permettent de renforcer l alimentation en eau de la commune par l intermédiaire du réservoir du même nom et d une conduite de refoulement. I.2. Descriptif des ouvrages de captages I.2.1. Captage du Gerle Situé à 380 m d altitude, le captage est constitué d une galerie bétonnée qui s enfonce sur une quinzaine de mètres sous les éboulis, pour atteindre le griffon. L ouvrage de captage, réalisé en 1954, comprend en aval de la galerie une première chambre de réception d environ 1,5 m 3 permettant en premier lieu de restituer au milieu naturel, les eaux excédentaires par l intermédiaire d une fenêtre d une soixantaine de centimètres (équipée d une grille de protection), cette chambre assurant également une première décantation des eaux captées. La chambre de réception alimente un second bac de tranquillisation d environ 2 m 3, situé immédiatement en aval et permettant, d une part, une décantation des particules en suspension et, d autre part, une mise en pression de la conduite d adduction. 11

12 Les photographies suivantes présentent différentes vues de l ouvrage de captage. Photo 1 Aperçu de l ouvrage de captage I.2.2. Captages de la Carrière Le site de captage est constitué d un groupe de sources situées entre 365 et 370 m d altitude en bordure de la route du Col du Chat (RD 914a). Le captage aval (situé à 365 m d altitude) se compose d une petite galerie visitable (hauteur 1,5 m, longueur 4,5 m), aménagée là encore dans les éboulis, qui laisse entrevoir le griffon. Un petit bac d environ 0,5 m 3 aménagé en aval de la galerie assure une légère décantation des eaux captées, avant qu elles ne soient dirigées vers le réservoir de la Carrière situé quelques mètres en contrebas. Outre les eaux issues du griffon, cette galerie recueille les eaux captées au niveau du captage amont (arrivée en chute). Les photographies suivantes présentent différentes vues de l ouvrage (captage aval). Photo 2 Aperçu du captage aval 12

13 Le captage amont (situé à 370 m d altitude) se compose, pour sa part, d un petit ouvrage bétonné (1 m x 1 m) qui recueille les eaux captées au niveau de 2 drains en pierres. Un départ sans crépine ( 200 mm) permet d acheminer l eau captée vers l ouvrage inférieur (captage aval). La photographie suivante présente une vue du captage amont. Photo 3 aperçu du captage amont I.3. Contexte hydrogéologique Le contexte hydrogéologique de la source du Gerle est le même que celui des sources de la Carrière, distantes d une centaines de mètres. Il s agit d exsurgences d un vaste système karstique, qui draine les calcaires massifs récifaux du Kimméridien et les calcaires en bancs du Portlandien, Berriasien et du Valanginien, formant l ossature de la Montagne de l Epine. Celle-ci correspond à une structure anticlinale dissymétrique à flanc occidental vertical, très étroit, chevauchant vers l Ouest les molasses tertiaires de Yenne-Novalaise. Le flanc oriental, à plongement régulier et à forte pente, laisse affleurer largement les calcaires. La série statigraphique concernée est puissante de 300 à 500 m. L intense fracturation rend les calcaires perméables en grand, avec des directions générales d écoulement N et N Le système karstique actuel est fonctionnel mais peu évolué. Les cavités spéléologiquement pénétrables y sont rares ; toutefois les investigations n ont pas encore été très poussées sur ce versant raide fortement boisé et broussailleux. On notera seulement le Golet des Lépreux, profond de 273 m, à tendance très verticale, qui s ouvre sous la ligne de crête côté oriental légèrement au Sud du relais TDF (à m d altitude). Il existe plusieurs exsurgences à l aquifère considéré (a priori sept dont trois sur le versant Ouest de l Epine : la Balme, Champrovent, les Ménards et quatre sur le versant Est : la Roche, le Gerle, le Carrière, les Grandes Eaux. Les limites des bassins versants respectifs ne sont pas connues précisément. Il existe d ailleurs manifestement des zones de diffluence karstique, dont les limites spatiales évoluent vraisemblablement en fonction des conditions hydrologiques souterraines. 13

14 I.4. Vulnérabilité de l aquifère En amont des captages, la montagne est entièrement recouverte de forêt, seuls quelques sentiers pédestres sont recensés. Seule l activité liée à l exploitation forestière dans l extension de l aquifère pourrait entraîner des conséquences préjudiciables pour les différentes ressources. Toutefois, la nature de l aquifère (système karstique) ne permet pas de s affranchir des pointes de turbidité ou des pollutions bactériologiques liées à la présence de la faune sauvage. Remarque : En janvier 2006, un avion s est écrasé sur le versant oriental du Mont du Chat entraînant un risque de pollution potentielle et nécessitant un suivi analytique régulier de la qualité des eaux captées. I.5. Protection de la ressource La source du Gerle et les sources de la Carrière sont captées à des fins d alimentation en eau humaine. Mis en service dans les années 50, ces points d eau n ont pas fait, à l origine, l objet d une procédure administrative d instauration des périmètres de protection. Actuellement, la Municipalité a engagé la démarche administrative, un rapport hydrogéologique proposant la définition des périmètres de protection a été rédigé le 10 juillet 2006 par Monsieur JOSNIN. Ce même document préconise également les servitudes inhérentes aux différents périmètres. I.6. Débit de la ressource En raison de la nature karstique de l aquifère, le débit des sources du Gerle et de la Carrière est extrêmement variable. Toutefois, différentes mesures effectuées permettent d appréhender les débits d étiage de ces ressources. S agissant de sources de débordement, la source du Gerle, située le plus haut en altitude, est susceptible de tarir lors de périodes de sécheresse très prononcée. En revanche, les sources de la Carrière, située à une vingtaine de mètres de dénivelé en contrebas présente un débit d étiage de l ordre de 3 l/s. 14

15 I.7. Qualité des eaux brutes La qualité des eaux brutes est assez satisfaisante, tant pour le captage du Gerle que pour les sources de la Carrière. En effet, les différentes analyses réalisées par la DDASS (13 analyses pour le captage du Gerle et 5 pour la Carrière) entre 1998 et 2003 montrent : une conductivité comprise entre 270 et 320 µs/cm pour les eaux du Gerle (313 µs/cm et 8,2 C le jour de notre visite), une conductivité comprise entre 280 et 320 µs/cm pour les eaux de la Carrière (313 µs/cm et 8,3 C le jour de notre visite), une contamination bactérienne très limitée malgré le contexte hydrogéologique : 4 analyses mettent en évidence la présence de 1 à 2 Escherichia Coli ou Entérocoques par 100 ml sur le captage du Gerle, toutes les analyses pratiquées sur les eaux de la Carrière sont exemptes de ces indicateurs de contamination fécale, une turbidité globalement assez satisfaisante (inférieure à 2 NTU) sur les eaux de la Carrière. I.8. Réseau d adduction Le réseau d adduction affiche un linéaire total de 260 ml, comprenant notamment une station de refoulement. Il se décompose de la manière suivante : Départ adduction Tableau 4 Description du réseau d adduction Alimentation ouvrage Nature (diamètre en mm) Linéaire (m) Captage du Gerle Réservoir du Gerle Fonte 150 mm 70 Captage de la Carrière amont Captage de la Carrière aval Fonte 200 mm 20 Captage de la Carrière aval Réservoir de la Carrière Fonte 100 mm 30 Réservoir de la Carrière Réservoir du Gerle Refoulement par 2 pompes immergées Canalisation acier 80 mm 140 Total réseau d adduction 260 I.9. Traitement Face aux contaminations bactériennes observées sur les eaux brutes captées, la Municipalité de BOURDEAU a installé un traitement afin de garantir à l eau distribuée une qualité satisfaisante. 15

16 Il s agit d un traitement de désinfection par chloration (chlore gazeux) réalisé au niveau du réservoir du Gerle. 16

17 Un local technique indépendant du réservoir permet de stocker la bouteille de chlore et le chloromètre (CIFEC). L injection de chlore est réalisée au niveau de la cuve du réservoir ; l eau motrice est produite par deux pompes immergées dans la cuve et fonctionnant en alternance. L utilisation de la chloration garantit un effet désinfectant rémanant dans l ensemble du réseau de distribution. Les caractéristiques du système de désinfection par chloration sont présentées ci-après : Chloromètre (chlore gazeux) Marque : CIFEC Type : Chloro + Débit maximum : 30 g/h Eau motrice pour hydroéjecteur fournie par deux pompes immergées dans la cuve du réservoir Photo 4 Equipement de chloration I.10. Qualité des eaux distribuées Le traitement de désinfection effectué au réservoir du Gerle permet de garantir une qualité de l eau distribuée très satisfaisante. En effet, entre 1998 et 2005, les 33 analyses réglementaires réalisées par la DDASS ont révélé une seule non conformité bactériologique (4 Escherichia Coli et 3 Entérocoques / 100 ml 06/11/2000 et une non conformité des paramètres physico-chimiques (turbidité à 3,7 NTU 10/06/2002). Ces résultats traduisent un taux de conformité de 97 %, tant du point de vue bactériologique que physico-chimique, sur une période de 8 ans. Dans ses synthèses «Bilan Qualité» éditées en 2004, 2005 et 2006, la DDASS conclut à «une eau distribuée de bonne qualité bactériologique, elle est restée conforme aux limites de qualité fixées par la réglementation en vigueur pour les paramètres chimiques recherchés». 17

18 II. LES OUVRAGES DE DISTRIBUTION II.1. Réservoirs de stockage La commune de BOURDEAU compte deux réservoirs de stockage en service actuellement, dont les caractéristiques sont présentées ci-après. II.1.1. Réservoir du Gerle Ce réservoir est alimenté par le captage du Gerle, il dessert le réseau du chef-lieu (225 abonnés), l unité de distribution de la Frasse (8 abonnés), ainsi qu une unité de distribution située sur la commune du Bourget du Lac, le long de la route des Tournelles et à proximité de l aire de Charpignat. Remarque : Altitude : 375 m NGF Année de construction : 1966 Cuve circulaire (diamètre 13 m) semi-enterrée Hauteur d eau : 4,2 m Capacité totale : 560 m 3 Réserve incendie (lyre) : 140 m 3 Stockage consommation : 395 m 3 Volume mort : 25 m 3 Remplissage piloté par un robinet altimétrique Télésurveillance : un système de télésurveillance permet de suivre l ensemble des paramètres d exploitation : Volumes d adduction Volumes distribués Marnage du réservoir Système anti-intrusion Etat général : médiocre Sécurité : Conduites oxydées Chambre exiguë Génie civil vieillissant (ferraillage apparent, oxydé, fissures) Echelle non sécurisée (absence de crinoline) Absence de garde corps En cas de besoin, ce réservoir peut être alimenté par pompage, par le réservoir et les captages de la Carrière. 18

19 En secours, ce réservoir peut être alimenté par les installations du Bourget du Lac (réservoir de la Combe). 19

20 Photo 5 Aperçu du réservoir du Gerle II.1.2. Réservoir de la Carrière Ce réservoir est alimenté par les captages de la Carrière. Cet ouvrage est utilisé uniquement lors des opérations de lavage ou d entretien du réservoir du Gerle. Altitude : 350 m NGF Année de construction : Cuve rectangulaire : semi-enterrée Hauteur d eau : 2,5 m 20

21 Capacité totale : 86 m 3 réserve incendie (lyre) : 70 m 3 stockage consommation : 20 m 3 volume mort : 6 m 3 Remplissage : gravitaire par les sources de la Carrière piloté par robinet flotteur pour l adduction depuis le réservoir du Gerle Télésurveillance : - Etat général : moyen Sécurité : échelle non sécurisée Photo 6 Aperçu du réservoir de la Carrière II.2. Réseau de distribution L alimentation en eau potable de la commune de BOURDEAU s organise en 2 unités de distribution, (Chef-lieu et la Frasse) permettant d alimenter les 233 abonnés (exercice 2006). La longueur totale du réseau de distribution atteint m (hors branchement), avec des canalisations en fonte ductile, fonte grise, acier, PVC et PEHD, présentant des diamètres compris entre 40 et 125 mm. 21

22 La répartition des tronçons par nature et par diamètre est présentée ci-après : Tableau 5 Répartition par nature de matériau Nature Linéaire Répartition Fonte grise / ductile m 88,4 % Acier 90 m 1,2 % PVC 90 m 1,2 % PEHD 670 m 9,2 % Total m 100 % Graphique 3 Répartition du linéaire du réseau par nature de matériau 100,00% 88,40% 80,00% 60,00% 40,00% 20,00% 1,20% 1,20% 9,20% 0,00% Fonte grise / ductile Acier PVC PEHD Tableau 6 Répartition par diamètre de canalisation Diamètre Linéaire Répartition m 7,3 % m 45,1 % m 8,5 % m 24,5 % m 7,5 % m 7,1 % Total m 100 % 22

23 Graphique 4 Répartition par diamètre de canalisation 50,00% 45,10% 40,00% 30,00% 24,50% 20,00% 10,00% 7,30% 8,50% 7,50% 7,10% 0,00% L unité de distribution principale (chef-lieu) et celle du Gerle sont équipées d un compteur général, de même que l adduction depuis le captage du Gerle et le refoulement depuis le réservoir de la Carrière. Les caractéristiques des différents compteurs sont présentées dans le tableau suivant : Tableau 7 Caractéristiques des compteurs généraux (distribution et adduction) Réseau de distribution Distribution UD chef-lieu Adduction captage du Gerle Refoulement réservoir de la Carrière Distribution UD la Frasse Distribution UD le Gerle Localisation Réservoir du Gerle Réservoir du Gerle Réservoir du Gerle Marque Modèle Année Actaris Woltmag WSM Compteur de distribution DN (mm) Tête émettrice (impulsion) Oui (1 m 3 ) Socam CD 100 Oui (1 m 3 ) Actaris Flostar M Oui (1 m 3 ) Télésurveillance (prestataire) Oui (Véolia Eau) Oui (Véolia Eau) Oui (Véolia Eau) Réservoir du Gerle Actaris Woltmag WSRG Oui (100 l) Oui (Véolia Eau) 23

24 II.3. Ouvrages annexes II.3.1. Réducteur de pression Le réseau de distribution d eau potable de BOURDEAU compte un organe de régulation (réducteur de pression), permettant de garantir une pression de service adéquate. Les caractéristiques de cet organe de régulation sont présentées ci-après et sont reprises plus en détail sur les fiches du rapport de visite des ouvrages. Tableau 8 Caractéristiques des ouvrages de pression Réducteur R1 Réseau de distribution Chef-lieu Localisation Bois des Amours Altitude (m NGF) Marque DN (mm) Année de pose Pression amont Pression aval 256 Bayard ,5 bars 11 bars Observation Absence de ventouse Remarque : Ce réducteur de pression, largement dimensionné au regard des consommations aval, ne semble plus fonctionner correctement. II.3.2. Surpresseur Courant 2002, le Conseil Général de la Savoie gestionnaire du Tunnel du Chat, a refusé de reconduire l autorisation d exploiter l eau captée en voûte du Tunnel à des fins d alimentation en eau potable (desserte des habitations situées en sortie Est du Tunnel). Face à cette situation, la Municipalité a décidé d installer un surpresseur afin de pouvoir alimenter convenablement ces nouveaux abonnés. Les caractéristiques du groupe de pompage sont présentées ci-après : Localisation : lieu-dit : Les Béguets altitude : 350 m Groupe de pompage : 2 pompes GRUNDFOS CR débit : 5,8 m 3 /h HMT : 66,1 m puissance : 2,2 kw asservies au pressiostat année de mise en service :

25 Réservoir sous pression modèle Charlatte : volume utile : 500 l année de construction : 2006 Equipements annexes compteur Actaris DN 60 modèle Flostar M année de mise en service : 2007 télésurveillance (VEOLIA EAU) débit état de fonctionnement des pompes (marche / arrêt) anti-intrusion réducteur de pression en sortie de refoulement marque : Bayard DN 60 année : 2007 Photo 7 Aperçu du surpresseur 25

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28 II.4. Branchements en plomb II.4.1. Contexte réglementaire Du fait de ses bonnes caractéristiques mécaniques et chimiques, le plomb massif a été utilisé jusqu à une période récente pour la réalisation des branchements ainsi que pour la réalisation des réseaux intérieurs. Pourtant, comme la plupart des matériaux métalliques, le plomb est susceptible de se corroder au contact de l eau et d engendrer ainsi sa diffusion dans l eau, cette dernière étant d autant plus importante que le ph de l eau est faible. Des études menées sur l homme indiquent que l ingestion ou l inhalation de plomb est toxique. Elles provoquent des troubles réversibles (anémie, troubles digestifs) ou irréversibles (atteinte du système nerveux). Une fois dans l organisme, le plomb est absorbé dans le courant sanguin et déposé dans les os et les autres tissus où il est entreposé. Au-delà d un seuil d accumulation dans le corps, il devient toxique. Ainsi, la corrosion du plomb peut entraîner sur le long terme un risque toxicologique dû à l absorption d eau contenant des concentrations excessives en plomb. Pour cette raison et suite aux recommandations de l OMS, la directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 abaisse la valeur paramétrique du plomb dans l eau de 50 µg/l à 10 µg/l pour la fin 2013 en passant par une étape transitoire à 25µg/l dès la fin Un commentaire indique qu il faut agir en priorité sur les zones où les concentrations en plomb dans les eaux destinées à la consommation humaine sont les plus élevées, c est à dire les eaux à ph acide. Il est également précisé que la concentration en plomb devra être mesurée sur un échantillon représentatif prélevé à un robinet. Cette directive a pour conséquence : le remplacement de toutes les canalisations en plomb massif (branchements et réseaux intérieurs y compris), afin d atteindre les objectifs en terme de valeurs paramétriques, le partage des responsabilités entre les autorités sanitaires, les organismes de standardisation des matériaux, les plombiers, les propriétaires des installations, les distributeurs d eau et les consommateurs. II.4.2. Etat des lieux Depuis quelques années, la Municipalité a renouvelé plusieurs branchements en plomb, soit à l occasion de travaux à proximité, soit de manière spécifique. Aujourd hui (2007), la Municipalité estime que tous les branchements en plomb ont été renouvelés (partie publique). 28

29 III. LA DEFENSE INCENDIE III.1. Généralités La circulaire interministérielle n 465 du 10 décembre 1951 précise les directives générales concernant la défense incendie des collectivités. Ainsi, la défense incendie d un secteur est considérée comme satisfaisante lorsque : chaque borne incendie fournit un débit d au moins 60 m3/h sous 1 bar de pression, le (ou les) réservoir(s) dispose(nt) d une réserve incendie d au moins 120 m3, compte tenu d un éventuel apport complémentaire garanti pendant la durée d un sinistre, le rayon d action d un hydrant n excède pas 200 m. Il y a lieu de tenir compte d un quatrième critère de conformité qui concerne la disponibilité des poteaux incendie. C est notamment le cas de : l accès au poteau, son emplacement, sa disposition, sa manœuvrabilité. La norme NFS précise à ce titre les conditions d implantation des hydrants ainsi que les volumes de dégagement à respecter. III.2. Conformité hydraulique des poteaux incendie Dans le cadre de l élaboration du schéma directeur, nous avons contrôlé l ensemble des poteaux incendie de la commune. Sur les 15 poteaux testés, 4 se sont révélés non conformes (en raison d un débit insuffisant), soit 25 % du parc d hydrant. Dès lors, certaines habitations ne sont pas défendues de manière efficace (Château) et d autres zones se trouvent difficilement protégées (secteur Port à Varin). Un plan incendie, ainsi qu un recueil de fiches d inspection, reprennent l ensemble des informations relevées pendant ces contrôles Des propositions d aménagement seront présentées dans le but de retrouver une situation satisfaisante sur l ensemble du territoire communal. 29

30 ANALYSE DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION Cette analyse est basée sur l interprétation des différents rapports annuels réalisés par la Municipalité, soit par l exploitant du réseau d eau potable (VEOLIA EAU). I. ANALYSE DE LA PRODUCTION I.1. Aspect quantitatif L eau potable distribuée sur la commune de BOURDEAU provient de 2 origines différentes : 1. le captage du Gerle, 2. les captages de la Carrière. La source du Tunnel qui alimentait historiquement les habitations en sortie du Tunnel (source privée) est aujourd hui abandonnée. Ces habitations sont désormais alimentées par le réseau du chef-lieu, via un surpresseur. Le captage du Gerle assure la quasi totalité de la ressource en eau, les captages de la Carrière n étant utilisés qu en appoint, comme l illustrent le tableau et le graphique suivants : Tableau 9 Origine des volumes produits Exercice 2006 Production totale Captage du Gerle Captages de la Carrière m3/an m3/an % m3/an % , ,4 Le graphique suivant présente l origine des volumes produits lors de l exercice Graphique 5 Origine des volumes produits Exercice 2006 Captages de la Carrière 5,40% Captage du Gerle 94,60% 30

31 I.2. Aspect qualitatif des eaux produites Nous l avons évoqué précédemment (cf. paragraphe I.4.), la nature et les caractéristiques de l aquifère du captage du Gerle ne permettent pas de garantir une eau brute exempte de toutes contaminations bactériennes et/ou pointe de turbidité. I.3. Aspect qualitatif des eaux distribuées Le traitement de désinfection par chloration (chlore gazeux), réalisé au réservoir du Gerle, permet de garantir une qualité satisfaisante à l eau distribuée. Les différentes analyses en distribution effectuées dans le cadre du contrôle réglementaire mené par la DDASS concluent toutes à une eau de bonne qualité bactériologique (100 % d analyses conformes en 2002, 2003, 2004, 2005 et 2006). En revanche, en ce qui concerne le paramètre turbidité, ces analyses ont révélé quelques dépassements de la limite de qualité, notamment en II. ANALYSE DE LA CONSOMMATION II.1. Analyse des volumes d eau consommés Le tableau suivant présente l évolution du nombre d abonnés au réseau de distribution d eau potable et de la consommation en eau correspondante lors des 4 derniers exercices de facturation. Tableau 10 Evolution du nombre d abonnés et des volumes vendus Exercice de facturation Nombre d abonnés Nombre d habitants Volumes consommés (m3/an) Volume consommé par abonné (m3/an/abonné) Volume consommé par habitant (l/j/hab) , Lors du dernier exercice (2006), le service de distribution d eau potable comptait 233 abonnés pour une consommation domestique annuelle de m3, soit une moyenne de 141 m3/an/abonné, ou encore 188 l/j/personne (sur la base de 2,1 habitants par foyer). Les abonnés sont très majoritairement situés sur le réseau du chef-lieu (225 abonnés, 96,5 % du nombre d abonnés), les 8 derniers abonnés appartiennent à l unité de distribution de la Frasse. 31

32 La Frasse Au Villard Les Cotes Tunnel Bois des Amours Route du Col Château Champ sous les Routes Vignes des Routes Les Séris Port à Varin L'Etraz Les Steppes Pré Pissé Champ de Lachat Les Prés Pré Perrier Le Grand Chemin Le Biollet les Champs Cachés Sur l'epine Les Béguets Chef Lieu Champ la Verre Consommation en m3/an La Frasse Au Villard Les Cotes Tunnel Bois des Amours Route du Col Château Champ sous les Routes Vignes des Routes Les Séris Port à Varin L'Etraz Les Steppes Pré Pissé Champ de Lachat Les Prés Pré Perrier Le Grand Chemin Le Biollet les Champs Cachés Sur l'epine Les Béguets Chef Lieu Champ la Verre Nombre d'abonnés La répartition géographique des abonnés et des consommations est présentée dans les graphiques suivants : Graphique 6 Ventilation des abonnés Ventilation des abonnés Graphique 7 Ventilation des consommations Ventilation des consommations

33 Avec 45 abonnés, le chef-lieu représente près de 20 % des abonnés et 17 % des consommations (4 637 m3/an). Le secteur des Steppes représente 4 % des abonnés (9 branchements) mais 12 % des consommations (3 210 m3/an). II.2. Estimation des volumes d eau non comptabilisés Il existe plusieurs types de consommation d eau non comptabilisée. II.2.1. Défaut de comptage En raison de leur vieillissement, les compteurs des particuliers peuvent être à l origine d une erreur de comptage (sous comptage des volumes réellement consommés). Cette erreur peut être estimée à 5 % de l ensemble des volumes consommés, soit pour l exercice 2006, m3/an. II.2.2. Ecoulements permanents Fontaines La commune de BOURDEAU compte 2 fontaines publiques alimentées par le réseau de distribution d eau potable. L une de ces 2 fontaines dispose d une seconde alimentation «vieille eau» évitant ainsi de prélever l eau du réseau public tout au long de l année (aucune communication retour d eau n est cependant possible entre les 2 réseaux). En avril 2006, un compteur a été installé sur le branchement de la fontaine, place de la Mairie, afin de suivre plus précisément les volumes d eau liés aux écoulements permanents. Pour l exercice 2006, nous pouvons estimé à m3, le volume d eau non comptabilisé lié aux fontaines. II.2.3. Consommations municipales Une partie des consommations des services municipaux (arrosage notamment) n est pas comptabilisée. Toutefois, l estimation de ces dernières reste très délicate. II.2.4. Volumes techniques L exploitation du réseau de distribution d eau génère des consommations non comptabilisées comme le lavage des réservoirs, les purges de canalisation, les essais de poteaux incendie, le nettoyage des 33

34 systèmes de traitement, etc. L ensemble de ces consommations techniques peut être estimé à près de 600 m3/an. 34

35 II.2.5. Volume de fuites connues non réparées Certaines fuites peuvent être localisées mais non réparées immédiatement pour diverses raisons (fuite située en domaine privé, coordination de travaux de voirie, etc.). Cette situation peut entraîner des volumes perdus relativement importants mais là encore assez difficilement quantifiables. II.2.6. Synthèse des volumes non comptabilisés En définitive, nous pouvons approcher l ensemble des volumes d eau non comptabilisés sur la durée d un exercice. Tableau 11 Estimation des volumes non comptabilisés Désignation Estimation volumes non comptabilisés (m3/an) 1. Défaut de comptage Ecoulement permanent Consommation municipale 4. Volumes techniques 5. Volumes de fuites identifiés Total volumes non comptabilisés Nous pouvons estimer à plus de m3/an, le volume d eau potable non comptabilisé (non facturé) sur la commune de BOURDEAU. III. GESTION DU SERVICE III.1. Gestion du service de distribution d eau VEOLIA EAU assure pour le compte de la commune de BOURDEAU, la gestion du service de distribution d eau potable selon les termes d une convention en date du 14 juin Cette convention pour l assistance technique à la production et la distribution de l eau, se traduit pour VEOLIA EAU par l entretien des ouvrages de captages et des réservoirs (lavage), un suivi régulier des volumes distribués et de la qualité de l eau ainsi que la réalisation de divers travaux (réparation des fuites, branchements neufs) et assure également un service d astreinte. Une redevance annuelle d exploitation rémunère les travaux et les prestations effectuées par VEOLIA EAU. Les opérations de renouvellement ou les différents investissements réalisés (extension de réseau, poste de surpression, traitement, etc.) sont financés par la Municipalité de BOURDEAU. 35

36 III.2. Prix du service de l eau La rémunération du service public de distribution d eau est basée sur une tarification de type binôme comprenant une part fixe annuelle et un prix au m3 s appliquant sur les volumes réellement consommés. Le tableau suivant présente les éléments du prix du service de l eau, ainsi que son évolution. Tableau 12 Elément du prix du service de l eau Organism es publics Collectivité Désignation Exercice 2006 Exercice 2005 Evolution (%) 6,36 30,48 6,36 30, ,70 0, ,0527 0, Part fixe ( /an) - Location compteur - Abonnement Part variable ( /m3) - Consommation Agence de l Eau - Eau potable et solidarité avec les communes rurales ( /m3) TVA 5,5 % Ainsi, nous pouvons présenter le montant d une facture d eau pour une consommation de référence de 120 m3. Tableau 13 Montant d une facture d eau (consommation de référence 120 m 3) Désignation Part fixe ( HT) - Location compteur - Abonnement Part variable ( HT) - Consommation Sous total hors taxes et redevances ( HT) Organismes publics ( HT) - Eau potable et solidarité avec les communes rurales - TVA Total TTC 3 3 Prix ramené au m ( /m ) Exercice 2006 Exercice 2005 Evolution (%) 6,36 30,48 6,36 30,48 84,00 84,00 120,84 120, ,32 6, ,16 127, ,06 1, En définitive, pour l exercice 2006, la facture d eau payée par l usager s élève à 127,16 TTC, pour une consommation de référence de 120 m3, soit un prix de 1,06 TTC/m3. Hors taxes et redevances, la facture d eau atteint 120,84, soit un prix du service de l eau de 1,00 /m3. 36

37 Remarques : La commune réalise une facturation semestrielle. Ce prix de 1,00 /m3 permet de satisfaire à un des critères d éligibilité pour l attribution de subventions par les partenaires publics (Conseil Général notamment). En 2005, le prix moyen de la fourniture de l eau sur le territoire de l Agence de l Eau Rhône Méditerranée Corse s établit à 1,32 /m3. Nous constatons que le prix pratiqué sur la commune du Bourget du Lac est sensiblement inférieur à ce prix moyen. La gestion du service assainissement est une compétence de la Communauté d Agglomération du Lac du Bourget, l exploitation du réseau est confiée à la SAUR, la facturation, quant à elle, est réalisée par la commune pour le compte de la CALB. IV. RATIOS CARACTERISTIQUES DU RESEAU IV.1. Définition Différents paramètres permettent de caractériser un réseau de distribution d eau potable et d apporter ainsi une meilleure lisibilité quant à la performance du service. C est notamment le cas des indicateurs suivants : ILB Indice Linéaire de Branchement Cet indice, exprimé en nombre de branchements / km, permet de cerner le type de réseau (rural ou urbain). ILB = Nombre d'abonnés sur l'ensemble du l'unité de distribution Linéaire de réseau (en km) La détermination de cet indice permettra de fixer un indice linéaire de fuite et un rendement acceptable. ILC Indice Linéaire de Consommation Cet indice, exprimé en m3/j/km, permet également de classer le type de réseau en fonction du mode de consommation. ILC = Volumes consommés + volumes non comptabilisés (en m3/j) Linéaire du réseau de distribution (en km) L indice linéaire de consommation (ILC) permet également de fixer des valeurs-guides concernant l indice linéaire de fuite et le rendement. ILF Indice Linéaire de Fuite Le nouvel indice permet de comparer l état physique des réseaux quelles que soient leur longueur et leur ossature et en fonction du mode de consommation. Exprimé en m3/j/km, il donne une idée de l efficacité du rendement du réseau. ILF = Volumes de fuites (en m3/j) Linéaire du réseau (en km) 37

38 Rendement primaire Il s agit du rendement de facturation qui permet de dresser rapidement l état d étanchéité du réseau. Rendement primaire = 100 x Volumes facturés Volumes distribués Rendement brut Le rendement brut est utilisé pour apprécier la qualité des réseaux de distribution en considérant que les écoulements permanents sont les pertes. Rendement brut = 100 x Volumes consommés (hors écoulements permanents) Volumes distribués Rendement net Le rendement net traduit pour sa part, l efficacité du réseau quant à l utilisation de la ressource en eau et tient compte de la part des volumes non comptabilisés. Rendement net = Volumes consommés + Volumes non comptabilisés Volumes distribués Rendement réel Il s agit du rendement net auquel on retranche les volumes liés aux écoulements permanents (réputés compressibles). Rendement net = 100 x IV.2. Volumes consommés hors écoulements permanents compressibles Volumes distribués hors écoulements permanents Détermination des principaux indicateurs de performance Les différents indicateurs ont été calculés à partir des valeurs de l exercice 2006 : ILB = 233 = 31 branchements / km 7,5 ILC = / 365 = 9,8 m3/j/km 7,5 En comparant ces deux paramètres avec les tableaux des valeurs-guides, nous pouvons fixer un intervalle correspondant à un ILF acceptable. Tableau 14 Valeurs-guides Classement selon l indice linéaire de consommation (ILC) ILF (m3/j/km) ILC (m3/j/km) Type de réseau Acceptable Médiocre Mauvais ILC < 10 Rural < 2,5 2,5 < ILF < 4 ILP > 4 10 < ILC < 30 Intermédiaire <5 5 < ILF < 8 ILP > 8 38

39 ILC > 30 Urbain < ILF < 15 ILP > 15 Classement par indice linéaire de branchement (ILB) ILF (m3/j/km) ILB (branch. / km) Type de réseau Bon Acceptable Médiocre < 50 Rural < 2,5 2,5 < ILF < 7 >7 50 < ILB < 125 Intermédiaire <5 5 < ILF < 12 > 12 ILB > 125 Urbain <7 12 < ILF < 24 > 24 Avec un ILB inférieur à 50 branchements/km et un ILC inférieur à 10 m3/j/km, la commune de BOURDEAU présente un mode de consommation d une zone rurale ; l Indice Linéaire de Fuite acceptable doit être compris entre 2,5 et 7 m3/j/km. Le rendement net, pour sa part, doit être supérieur à 60 %. Exercice 2006 : Rendement brut = 100 x Rendement net = 100 x Indice linéaire de fuites = = 48,5 % = 60,2 % / 365 = 9,8 m3/j/km 7,5 L ensemble des indicateurs calculés sur la durée d un exercice apparaît relativement médiocre. Ces chiffres seront réactualisés à la suite du diagnostic de réseau réalisé lors du bilan hydraulique. Nous pouvons toutefois présenter l évolution du rendement primaire (rendement de facturation) au cours des cinq derniers exercices. Tableau 15 Evolution du rendement primaire Exercices Volumes distribués (m3/an) Volumes facturés (m3/an) Rendement primaire % ,9 % 15,4 % 23,9 % 46,3 % 48,5 % Graphique 8 Evolution du rendement primaire 39

40 60,00% 46,30% 48,50% 50,00% 40,00% 26,90% 23,90% 30,00% 15,40% 20,00% 10,00% 0,00% Rendement primaire % 40

41 BILAN HYDRAULIQUE GENERALITES I. PRINCIPE GÉNÉRAL MÉTHODOLOGIE Le bilan hydraulique a pour but de connaître, lors d une période déterminée, l état du réseau au moyen de plusieurs indicateurs techniques, d en déterminer, les points sensibles et les anomalies. Il permet également de définir et d orienter les solutions d amélioration du fonctionnement du réseau (campagne de recherche de fuites, renouvellement des canalisations, interconnexions, etc.). Ce bilan nécessite une parfaite connaissance du réseau (tracé des canalisations, organe de régulation, ), permettant de définir les secteurs et le type d appareils à installer. Le bilan hydraulique comprend une campagne de mesures globales (hors période de pointe de consommation et en période de pointe), puis des investigations plus précises (sectorisation nocturne). Remarque : Une analyse des volumes distribués en période de pointe a été effectuée à partir des valeurs issues de la télésurveillance. II. DEFINITION DES SECTEURS DE MESURES Le réseau d alimentation en eau potable de BOURDEAU est organisé en 2 unités de distribution. Seule l unité de distribution principale (chef-lieu) a été équipée. L objectif des campagnes de mesures est de recueillir le maximum d informations concernant le fonctionnement actuel du réseau. La typologie des points de mesures est présentée dans le tableau suivant : Tableau 16 Caractéristiques des points de mesures Secteur Objectif Organe de mesures Mesures Données enregistrées Réservoir du Gerle Analyse secteur I Compteur Débit TE + enregistreur 2 Réservoir du Gerle Modélisation Réservoir Hauteur d eau Capteur pression + enregistreur 3 PIN n 6 Modélisation PI 100 Pression Capteur pression + enregistreur 4 PIN n 13 Modélisation PI 100 Pression Capteur pression + enregistreur Point de mesures Localisation 1 Equipement Chef-lieu 41

42 42

43 CAMPAGNE DE MESURES GLOBALES I. OBJECTIF DE LA CAMPAGNE DE MESURES La campagne de mesures globales a pour objectif : de déterminer l importance et la répartition géographique des volumes distribués, d analyser le fonctionnement du réseau, de déterminer le volume de fuites, l indice linéaire de fuites et le rendement de chaque secteur hydraulique. II. DEROULEMENT DE LA CAMPAGNE DE MESURES La campagne de mesures s est déroulée sur deux périodes distinctes en terme de mode de consommation. La première campagne, située en dehors d une période de forte consommation, s est déroulée du 02 au 15 mai 2007, soit 13 jours d enregistrement. L analyse du fonctionnement en période de pointe de consommation s est appuyée sur l interprétation des volumes distribués du 22 juillet au 19 août La seconde campagne de mesures s est déroulée en pleine période de pointe de consommation, du 24 juillet au 06 août 2007, soit 13 jours d enregistrement. Parallèlement, pour une meilleure compréhension du fonctionnement, des mesures complémentaires ont été effectuées lors des différentes campagnes : III. mesures du marnage des différents réservoirs, mesures de pression en des points particuliers du réseau. RESULTATS DES MESURES GLOBALES III.1. Campagne hors période de pointe de consommation Mai 2007 III.1.1. Analyse des volumes distribués Les résultas qui figurent dans le tableau ci-après sont basés sur les enregistrements des débits distribués et permettent de dresser un bilan de fonctionnement au cours d une période déterminée (mai 2007). 43

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