Mouvements sur les coteaux de Mauves-sur-Loire (44) Examen du 26 avril 2004
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- Denis Chrétien
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1 Mouvements sur les coteaux de Mauves-sur-Loire (44) Examen du 26 avril 2004 Rapport Final BRGM/RP FR avril 2004
2 Mouvement sur les coteaux de Mauves-sur-Loire (44) Examen du 26 avril 2004 Rapport Final BRGM/RP FR avril 2004 Étude réalisée dans le cadre des opérations de Service public du BRGM 04PIRA23 P. Thierry.
3 Centre scientifique et technique 3, avenue Claude-Guillemin BP Orléans Cedex 2 France Tél. : Service géologique régional Pays de la Loire 1, rue des Saumonières BP Nantes Cedex 3 - France Tél. :
4 Mots clés : Risques naturels, écroulement, Mauves sur Loire, Loire Atlantique En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante : Thierry P., (2004) Eboulement sur la commune de Mauves sur Loire (44) Examen du 15 avril Rapport BRGM RP FR, 17 p. 7 Fig. BRGM, 2004, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l autorisation expresse du BRGM.
5 Synthèse Un éboulement s étant produit sur les coteaux de Loire de la commune de Mauves sur Loire (44), une mission visant à obtenir un avis sur la situation a été confiée au BRGM par M. le Directeur du Service Interministériel de Défense et de Protection Civile de Loire Atlantique. La visite des désordres a donc été faite le 15 avril 2004 de 14 h. à 17 h. 30, en compagnie de Monsieur MALETETE (Directeur SIDPC 44), de Madame DENIS et Monsieur GRIMAUD, Adjoints au Maire de Mauves sur Loire. Elle a porté principalement sur la propriété de Monsieur DUPOND, où s est produit l événement. L éboulement a mis en mouvement un volume de roche de l ordre de 5 à 10 m 3 à proximité immédiate de la maison d habitation. Une masse au moins équivalente est restée en place, bien que manifestement désolidarisée du massif. Cette masse, ainsi que d autres blocs instables, représentent une menace réelle, susceptible d être libérée à tous moments. Dans l immédiat, il conviendra donc principalement de : - Etablir un arrêté municipal interdisant l accès à la cour arrière de la maison de M. DUPOND, ainsi qu aux garages, avec mise en place d une barrière. - Procéder à des travaux de mise en sécurité du site (maîtrise des eaux d infiltration, débroussaillage des pentes, confortement des blocs instables,..). Tous ces travaux devront être réalisés sous le contrôle d un bureau d études spécialisé en géotechnique. L ensemble du secteur des coteaux de Loire à Mauves sur Loire présentant des signes d instabilité, il sera indispensable à moyen terme de lancer une étude systématique pour rechercher les solutions de mise en sécurité de la zone. BRGM/RP FR 3
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7 Sommaire 1. Introduction Observations Contexte Description du phénomène Mécanismes proposés Risques résiduels Conclusions et Recommandations Actions immédiates Actions à moyens termes...16 Liste des figures Fig. 1: Localisation du secteur extrait de la carte IGN à 1 / Fig. 2: Localisation du secteur extrait du cadastre de Mauves sur Loire (44)...8 Fig. 3: Localisation schématique de l éboulement par rapport aux différents bâtiments...9 Fig. 4: Vue générale du secteur et de la falaise au dessus de la maison DUPOND...10 Fig. 5: Vue des éboulis...11 Fig. 6: Vue de l arrachement...12 Fig. 7: Schéma des principaux éléments de l arrachement...12 BRGM/RP FR 5
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9 1. Introduction Un éboulement s étant produit sur les coteaux de la Loire (Fig. 1) sur la commune de Mauves sur Loire (44), M. RETIERE, Maire de cette commune a sollicité un appui auprès de Monsieur le Directeur du Service Interministériel de Défense et de Protection Civile de Loire-Atlantique, qui a confié au BRGM une mission visant à établir un diagnostic sur ces mouvements de terrain. Cette étude a été réalisée dans le cadre de la mission de service public du BRGM : Opération 04PIRA23 "Appui aux l administrations de la région Pays-de-la-Loire". La visite des désordres a donc été faite le 15 avril 2004 de 14 h. à 17 h. 30, en compagnie de Monsieur MALETETE (Directeur SIDPC 44), de Madame DENIS et Monsieur GRIMAUD, Adjoints au Maire de Mauves sur Loire. Elle a porté principalement sur la propriété de Monsieur DUPOND (Fig. 2), où s est produit l événement. M. DUPOND était également présent lors de notre visite. Fig.1 : Localisation du secteur extrait de la carte IGN à 1 / BRGM/RP FR 7
10 Fig. 2 : Localisation du secteur extrait du cadastre de Mauves sur Loire (44) 8 BRGM/RP FR
11 2. Observations 2.1. CONTEXTE L éboulement s est produit sur la propriété de M. DUPOND (parcelles cadastrales 684 et 683). Les bâtiments sont constitués de l habitation de M. DUPOND, ainsi que de deux garages (cf. Fig. 3). Ces différents bâtiments se situent immédiatement en contrebas d une paroi rocheuse très redressée haute d une vingtaine de mètres environ (estimation visuelle). Les deux garages sont adossés à une deuxième maison, propriété de M. GIBOIN (parcelle 1514). Une troisième maison appartenant à M. ROUSSEAU (parcelle 686) se situe en bordure de falaise, au dessus de l arrachement. Maison Rousseau Tête de falaise (position approximative) Garages de M. DUPOND Arrachement Maison GIBOIN Maison DUPOND Chemin du Bout du Monde Voie ferrée mètres (échelle approximative) Fig. 3: Localisation schématique de l éboulement par rapport aux différents bâtiments BRGM/RP FR 9
12 La falaise concernée (Fig. 4) constitue l extrémité ouest d une ancienne carrière. Cette carrière est taillée dans des schistes massifs (schistes des Mauves) largement fracturés. En tête de talus, on note la présence d un niveau métrique de terrains meubles (altérites argileuses et colluvions). Maison ROUSSEAU Maison DUPOND Maison GIBOIN Fig. 4: Vue générale du secteur et de la falaise au dessus de la maison DUPOND Différents désordres (chutes de blocs, éboulements de têtes de talus,..) s y sont produits dans un passé récent. Ces désordres avaient conduit la Préfecture de la Loire-Atlantique à demander l intervention du BRGM (rapport brgm BRGM RP FR). A noter, que lors de la visite du 26 avril 2001, la propriété de M. DUPOND n avait pu être visitée DESCRIPTION DU PHÉNOMÈNE L écroulement s est produit dans la nuit du 18 au 19 mars, vers 3 h. du matin. Il a mobilisé un volume de l ordre de 5 à 10 m 3 (Fig. 5), depuis une hauteur d environ 4 à 5 m sur une pente de 45 à 50 (estimations visuelles). La zone de réception s est étendue sur environ 7 m en pieds de talus, dans la cour arrière de la maison d habitation de M. DUPOND. Les éléments les plus proches se sont arrêtés à deux ou trois mètres de la maison. Une table de jardin a été endommagée. 10 BRGM/RP FR
13 Fig. 5 : Vue des éboulis Les traces de l arrachement sont clairement visibles sur la falaise (Fig. 6 et 7). La largeur est d environ 5 m pour une hauteur de 2 m environ (estimations visuelles). Le bloc éboulé correspond à la partie inférieur d un dièdre délimité par deux failles (notées F1 et F2 sur la fig. 7). Sur la partie encore en place, on peut noter l ouverture centimétrique des interfaces entre les plans de faille et la base du bloc. Ces fissures sont associées à un développement important de systèmes racinaires, en particulier au contact du plan F1. BRGM/RP FR 11
14 Fig. 6 : Vue de l arrachement BLOC INSTABLE PRINCIPAL BLOC INSTABLE F2 F1 TRACE DU BLOC EFFONDRE INITIAL Fig. 7 : Schéma des principaux éléments de l arrachement 12 BRGM/RP FR
15 2.3. MÉCANISMES PROPOSÉS Au vu de nos observations et compte tenu des informations qui nous ont été communiquées, il semble que l écroulement résulte de la conjonction de différents phénomènes dont l importance respective reste difficile à évaluer dans l état actuel de nos connaissances : - délimitation d un dièdre par la conjonction d un système de fractures affectant le massif rocheux ; - apparition de surpressions hydrauliques dans ces fractures, liées aux infiltrations provoquées par la pluviosité ; - ouvertures des fractures dues aux cycles gel/dégel de la semaine précédant l évènement ; - l action des racines, clairement visibles sur l arrachement, a certainement favorisé en grande part le déclenchement du phénomène RISQUES RÉSIDUELS Le bloc rocheux initial s est découpé suivant une fracture perpendiculaire à l axe de plus grande pente, la partie supérieure restant en place. Cet élément est visiblement désolidarisé du massif (ouverture centimétrique des fissures au contact du massif) et sa chute peut se produire à tout moment (mais principalement à l issue d évènements pluvieux importants). Le volume mis en cause, difficile à estimer mais certainement supérieur à la dizaine de mètres cubes, ainsi que la position à quelques mètres de hauteur, font que cet élément constitue un danger réel. On note également, à proximité immédiate, en surplomb des garages de M. DUPOND, plusieurs blocs instables, et plus particulièrement, à proximité immédiate du dièdre principal, un bloc de quelques mètres cubes désolidarisé et susceptible de libération (Fig. 7). Par ailleurs, le plan de fracture qui forme un surplomb au dessus des garages présente un certain nombre de fissures, potentiellement en évolution. Enfin, la tête de talus, constituée de terrains meubles, directement sous la maison de M. Rousseau, paraît présenter des risques d éboulements (ils avaient été signalés lors de la visite du 16 avril 2001). La maison de M. Giboin (parcelle 1514) située immédiatement en arrière des garages de M. Dupond, est adossée, du coté falaise, à un mur à base de béton vibrée (reliquat d un bunker de la dernière guerre). Ce mur devrait constituer une protection efficace contre un éventuel écroulement. BRGM/RP FR 13
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17 3. Conclusions et Recommandations 3.1. ACTIONS IMMÉDIATES Ces travaux sont à réaliser ou initier le plus rapidement possible. - Rédaction d un arrêté municipal interdisant l accès à la cour arrière de la maison de M. DUPOND, ainsi qu aux garages, avec mise en place d une barrière. Cette disposition sera susceptible d être revue à tous moments en fonction d une évolution défavorable de la situation ; - A titre provisoire, déplacement des éboulis actuels vers le mur/pignon de la maison d habitation de M. DUPOND pour former une protection de type merlon. Un espace sera laissé libre entre le mur et les éboulis, ne serait-ce que pour ne pas risquer d endommager le mur lors de la manutention des blocs ; - Lancement de travaux de débroussaillage de la pente par une entreprise spécialisée, d une part pour minimiser les effets d ouverture des fractures par les racines, d autre part pour permettre une analyse détaillée du site par un bureau d étude technique spécialisé (BET géotechnique) ; - Vérification de la bonne maîtrise des eaux de ruissellements à partir de la propriété Rousseau, située en tête de falaise (cette recommandation avait été faite lors de la visite du 16 avril 2001). Eventuellement réalisation de travaux (drainages) pour limiter les infiltrations dans le versant - A partir du diagnostic établi par la société géotechnique, une réalisation d une mise en sécurité de l ensemble du site par une société compétente. On s orientera vraisemblablement vers des travaux de confortement de type "clous" ou, éventuellement, autres types de soutènement pour les principaux blocs instables. Il faudra plus particulièrement veiller à ce que les travaux entrepris ne compromettent pas à terme la stabilité de la maison ROUSSEAU ; BRGM/RP FR 15
18 - Durant la phase actuelle de travaux, M. DUPOND sera invité à procéder à une surveillance attentive de toute évolution de la situation (libérations de petits blocs, apparition ou ouverture de fissurations dans le massif). De telles manifestations devront être signalées immédiatement à la Mairie pour réexamen de la situation ACTIONS À MOYENS TERMES Les coteaux de Mauves (rue des Ponts de la Loire, Chemin du Bout du Monde, rue de la Coulée pour ce que nous avons vu) présentent des instabilités chroniques. Une telle situation pose un problème de sécurité publique, l événement de mars 2004 démontrant que des vies humaines sont susceptibles d être mises en danger. Nous ne pouvons que reprendre ici les conclusions de notre rapport de 2001 "Réaliser un analyse systématique de l ensemble du versant pour identifier les secteurs susceptibles de présenter des dangers et proposer des solutions. Cette analyse doit prendre en compte la végétation, en coupant les arbres trop importants mais en veillant à laisser les plantes qui se développent et retiennent le talus. Une telle analyse pourrait être à la base d une cartographie des zones sensibles, utile pour aider aux décisions d urbanisme et contribuer à la sécurité de la population. Toutes ces tâches devront être réalisées par un organisme spécialisé en géotechnique." Cette étude pourra être utilement doublée d une action de sensibilisation et d information des habitants concernés. En effet, une vigilance accrue des habitants doit permettre de favoriser l identification d évolutions défavorables en termes de stabilité et donc d aider à anticiper d éventuels accidents. 16 BRGM/RP FR
19 Bibliographie Thierry P., (2001) Mouvements sur les coteaux de Mauves sur Loire (44) Examen du 26 avril 2001 Rapport BRGM RP FR, 17 p BRGM/RP FR 17
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