Panorama du commerce de détail en Bretagne Edition 2014

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1 Panorama du commerce de détail en Bretagne Edition 2014 Évolutions récentes du commerce de détail en Bretagne Bretagne

2 Editorial Le commerce de détail représente en Bretagne plus de établissements et près de actifs. Ce secteur, au-delà de son impact positif sur l emploi, est une composante essentielle du dynamisme économique et de l équilibre territorial de notre région. Depuis 2001, l Observatoire Régional du Commerce, piloté par la CCI Bretagne en lien avec les observatoires locaux des Chambres de Commerce et d Industrie territoriales, collecte et analyse les principales données de ce secteur, tant en termes d offre et de demande que de contribution à l économie et à l équilibre territorial régional et local. À travers le Panorama du Commerce de détail en Bretagne, la CCI Bretagne propose, dans le cadre de son Observatoire Régional du Commerce, un ouvrage centré sur l analyse des évolutions conjoncturelles, regroupant dans un même document la plupart des indicateurs économiques et sociaux permettant d appréhender les principales tendances récentes qu a connues le commerce de détail breton. Cette nouvelle édition met en exergue bien évidemment que le climat économique peu favorable dans lequel les ménages sont moins enclins à consommer rend l activité du commerce de détail breton de plus en plus délicate (près d un détaillant sur deux a connu une baisse de son chiffre d affaires sur le premier semestre 2014). Dans ce contexte, le maintien des effectifs devient difficile, avec peu de perspectives d embauches. Malgré un retour timide à la croissance du nombre de commerces, le nombre de fermetures demeure à un niveau élevé. Bien que la couverture territoriale reste satisfaisante grâce au maillage serré des pôles de proximité, le nombre de communes sans commerce s est accru sur les années récentes, principalement en zone rurale. La CCI Bretagne, par ces travaux, souhaite mettre son expertise au service des acteurs locaux et régionaux, élus, acteurs économiques et professionnels du commerce et renforcer ainsi la concertation et la réflexion partagée de tous en matière d équipement et d urbanisme commercial en s appuyant sur un outil commun et de référence. Je vous en souhaite bonne lecture. François EVEILLARD Président Commission régionale Commerce CCI Bretagne

3 Sommaire 04 LES ÉTABLISSEMENTS COMMERCIAUX 06 LES RESSOURCES HUMAINES DU COMMERCE 08 L URBANISME COMMERCIAL 10 LA CONSOMMATION DES MÉNAGES ET L ACTIVITÉ DU COMMERCE 12 LE COMMERCE ET L ÉQUILIBRE DU TERRITOIRE 14 GLOSSAIRE MÉTHODOLOGIQUE

4 Les établissements commerciaux La Bretagne compte en 2014 plus de commerces exerçant sur une surface cumulée de 5,8 millions de m². Malgré des évolutions différenciées selon les territoires, ce parc a repris, globalement, en 2013, une dynamique de croissance, après deux années de stabilité. La hausse demeure timide (+0,3%) comparativement aux rythmes connus jusqu en 2010 (+1,3% en moyenne annuelle sur la période ). Plus de commerces de détail en Bretagne En 2014, l Observatoire Régional du Commerce (ORC) recense en Bretagne commerces de détail. Le secteur hygiènesanté et l alimentaire (avec respectivement 22% et 19% des établissements) représentent les principales composantes du parc d établissements devant l équipement de la personne (17%) et l équipement de la maison (14%). Les commerces généralistes ne représentent que 6% des points de vente. Le parc d établissements breton renoue avec la croissance et s est enrichi de 83 unités supplémentaires sur l année 2013, après deux années consécutives de stabilisation. Cette évolution globale du tissu commercial reste timide (+0,3%). Elle est très en deçà des évolutions connues sur la période (+1,3%) et est deux fois moindres que l augmentation moyenne annuelle observée sur les cinq dernières années (+0,6%). Elle résulte principalement du dynamisme des commerces spécialisés en hygiène-santé (+1,9%) et dans une moindre mesure de celui des commerces en alimentaire spécialisé (+0,7%). A l inverse, les secteurs équipement de la maison, généralistes et culture, loisirs et services ont vu leur parc se contracter. Cette évolution régionale de l offre commerciale masque des dynamiques différentes d un département à l autre. Le Finistère affiche une croissance significative de son tissu commercial tandis que les Côtes d Armor présentent une hausse plus modérée. L Ille-et-Vilaine maintient son parc commercial alors que le Morbihan, présente, pour la première fois en cinq ans, un taux d évolution du nombre de commerces négatif, évolution qui résulte d un taux de mortalité plus important non compensé par les créations et les reprises. Etablissements commerciaux par activité Etablissements commerciaux par département Culture, loisirs et services Hygiène-santé Généralistes Équipement de la personne Alimentaire Équipement de la maison ,8% +0,8% ,3% +2,0% ,5% +0,7% ,2% -0,7% Evolution sur 1 an nombre taux Evolution sur 5 ans Taux annuel moyen Généralistes - 8-0,5 % + 0,4 % BRETAGNE Alimentaire ,7 % + 0,2 % Équipement de la maison Équipement de la personne ,0 % - 0,1 % ,5 % Hygiène-santé ,9 % + 2,1 % Culture, loisirs et services - 8-0,1 % - 0,6 % Nombre d établissements Taux d évolution sur 1 an Taux d évolution annuel moyen sur 5 ans ,3% +0,6% 4 CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

5 Densité et démographie des établissements commerciaux BRETAGNE Taux de création pour hab. 88 Taux de reprise pour hab. Source : CCI Bretagne - Champ : ORC Taux de création, reprise, radiation - année 2013 Nombre de points de vente 2014 Taux de radiation pour hab. Nombre de points de vente pour hab. 78 commerces pour habitants La densité commerciale bretonne s élève à 78 établissements commerciaux pour habitants. On note une relative surreprésentation de la présence commerciale dans le Morbihan (88 établissements pour habitants), liée en particulier à l alimentaire, ce qui permet l hypothèse d une contribution relative plus forte du tourisme à l équipement commercial dans ce département. A l inverse, la densité est plus faible en Ille-et-Vilaine. Dont plus la moitié exercent en SARL Les formes sociétales sont devenues depuis plusieurs années, le mode d exploitation commerciale privilégié par les commerçants et représentent aujourd hui près de 70% des commerces. 51% des commerçants bretons ont choisi la SARL comme statut juridique. L année 2013 confirme par ailleurs le recul des formes d exploitations individuelles (sous statut artisan-commerçant ou exploitation personnelle) qui ne représentent plus que 31 % des commerces en 2013, contre 53% dix ans plus tôt. Avec un tissu d entreprises sans cesse renouvelé commerces ont été créés en Bretagne en 2013, volume comparable à la moyenne annuelle des cinq dernières années. Le taux de création, de 52 pour habitants en moyenne régionale, est nettement plus élevé dans le Morbihan et diffère fortement selon les activités (2 commerces pour habitants pour les généralistes, 8 pour l alimentaire et l équipement de la maison, 9 pour le secteur hygiène-santé, 10 pour l équipement de la personne et 15 pour les activités culture, loisirs et services). 828 établissements commerciaux ont été repris en Bretagne en 2013, soit une centaine de moins qu en moyenne sur les cinq dernières années (taux de reprise moyen de 26 commerces pour habitants). 39% des reprises concernent les commerces généralistes et alimentaires, 23% les activités hygiène-santé et 20% les établissements de culture, loisirs et services établissements commerciaux ont été fermés en 2013 en Bretagne, conforme à la moyenne annuelle sur les cinq dernières années. Le taux de mortalité de 75 commerces pour habitants en moyenne régionale varie d un département à l autre avec une mortalité plus nette dans le Morbihan et plutôt en retrait dans le Finistère. Culture, loisirs et services et alimentaire sont les secteurs présentant les taux de mortalité les plus élevés. Sur un plancher commercial de 5,8 millions de m² Le commerce breton couvre, selon les estimations de l ORC, une surface commerciale totale de 5,8 millions de m² en Ce plancher commercial s est peu étendu au cours de l année + 0.3%, taux le plus faible enregistré sur les cinq dernières années. L augmentation du plancher commercial est plus marquée dans le Finistère que dans les trois autres départements, les Côtes d Armor affichant même un léger recul. Etablissements commerciaux par forme juridique BRETAGNE Répartition des formes de sociétés SARL SA Société en Nom Collectif Autres Côtes d'armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Bretagne Entreprises individuelles Sociétés Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Surface commerciale Surface totale Evolution de la surface totale sur 1 an (en millions de m²) en m 2 en % Côtes d'armor 1, ,4 % Finistère 1, ,6 % Ille-et-Vilaine 1, ,3 % Morbihan 1, ,4 % Bretagne 5, ,3 % CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

6 Les ressources humaines du commerce Près de actifs travaillent dans le commerce de détail en Bretagne. Après une progression soutenue sur les années , l emploi dans le secteur tend à se stabiliser depuis. Le nombre de demandeurs d emploi dans le commerce inscrits à Pôle Emploi progresse et les perspectives de recrutement pour 2014 sont plutôt en retrait par rapport aux années antérieures. 1 actif sur 10 travaille dans le commerce de détail en Bretagne Près de actifs travaillent en 2013 dans le commerce de détail en Bretagne, dont 82% de salariés. 34% d entre eux travaillent dans les commerces généralistes, 15% dans les activités culture, loisirs et services, 14% dans l alimentaire, 13% dans l hygiène-santé, 13% dans l équipement de la maison, et enfin 10% dans l équipement de la personne. Après une progression soutenue sur la période (comprise entre 1 et 2%), l emploi dans le secteur tend à se stabiliser depuis en Bretagne. Cependant, cette stabilité régionale masque une évolution légèrement différente d un département à l autre : les Côtes d Armor et l Ille-et- Vilaine présentent une légère croissance de leurs effectifs (+ 0,3%), le Finistère assure le maintien de ses postes et le Morbihan enregistre un léger repli (- 0,7%). Un marché du travail qui se tend Le nombre de demandeurs d emploi dans les métiers du commerce de détail inscrits à Pôle Emploi progresse (+ 6,3% en 2013 par rapport à 2012), Au 31/12/2013, Pôle Emploi comptabilisait demandeurs d emploi (catégories A, B, C,) dans les métiers relevant du commerce de détail. Les femmes restent largement majoritaires parmi les demandeurs d emploi (69%). Les jeunes de moins de 25 ans sont également plus fortement représentés (35% contre 16%, tous secteurs confondus). Le nombre de demandeurs d emploi de longue durée a également sensiblement augmenté dans le même temps (+ 16%). Parallèlement, les entreprises commerciales bretonnes ont proposé via Pôle Emploi offres sur l année, soit un recul de 19,8% par rapport à Le Finistère, l Ille-et-Vilaine et le Morbihan voient leurs offres d emploi fortement diminuer alors qu elles sont restées stables dans les Côtes d Armor. Selon l enquête de conjoncture menée en juin par la CCI Bretagne auprès des chefs d entreprise du commerce de détail, les recrutements se sont fortement ralentis sur le premier semestre 2014 et les perspectives d embauche pour le second semestre sont plutôt en retrait par rapport aux années antérieures. Seulement 6% des chefs d entreprise ayant répondu à l enquête envisagent de recruter d ici la fin 2014, contre 17% qui anticipent la contrainte de réduire leurs effectifs. Effectifs permanents du commerce de détail Marché de l emploi du commerce de détail ,3% ,1% ,7 % ,3% ,7% Offres d'emploi (flux sur l année) Offres déposées durant l année Evolution sur un an (catégories A, B et C) Côtes d'armor ,9 % Finistère ,2 % Ille-et-Vilaine ,1 % Morbihan ,6 % Bretagne ,8 % Emploi total (salarié et non salarié) Effectif / Evolution sur 1 an Emploi salarié Effectif / Evolution sur 1 an ,9% BRETAGNE Demandeurs d'emploi de catégories A, B, C Demandes d emploi (stock en fin d année) Evolution Effectif au 31/12/2013 sur un an ,3 % dont femmes ,2 % dont jeunes de moins de 25 ans ,9 % dont longue durée ,3 % Sources : CCI Bretagne - données provisoires 2013 d après URSSAF, INSEE et fichiers des CCI de Bretagne Source : DIRECCTE Bretagne d après DARES Pôle emploi - données au 31/12/ CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

7 Effectifs en formation initiale aux métiers du commerce Un effort de formation initiale qui demeure significatif En 2013, en Bretagne, près de personnes se trouvaient en année terminale d une formation initiale du commerce. Les effectifs en formation aux métiers du commerce restent relativement stables sur les cinq dernières années (en moyenne entre et en année terminale de formation par an). par niveau TOTAL BRETAGNE La formation initiale par apprentissage représente en 2013 un cinquième des effectifs en formation dans le commerce, tous niveaux de formation confondus. Près d un élève sur dix opte désormais pour la voie de l apprentissage dans les formations de niveau III (Bac+2) ou IV (Bac) et un peu moins de deux sur trois en niveau V (BEP, CAP). L Ille-et-Vilaine a accueilli 33% de ces effectifs, le Finistère 27%, le Morbihan 23% et les Côtes d Armor 17%. Rapporté aux emplois permanents dans le commerce de détail, ce nombre d apprentis, de scolaires ou d étudiants dans une section commerciale montre que l effort de formation permet de renouveler 8% des effectifs en place. tout comme l effort de formation continue Plus de 430 personnes (principalement des demandeurs d emploi) ont participé au «Programme régional des stages» en 2013, soit une baisse de 34% par rapport à l année précédente. La durée moyenne de ces stages a été également plus courte (787 heures contre 846 en 2012, soit une baisse de 7%) Niveau II et I Niveau III Niveau IV Niveau V par département Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Source : CCI Bretagne - d après Rectorat données - promotion 2012/2013 Effectif sous statut scolaire Effectif sous statut apprentissage Ensemble Cependant, rapporté à la moyenne sur les cinq dernières années, le nombre de stagiaires a connu une hausse significative (+ 23,9%) alors que dans le même temps la durée tend à se réduire (- 4,1%). Près de actifs issus des entreprises commerciales de moins de 10 salariés ont bénéficié en 2013 d une formation continue spécialisée dans le commerce. L effort de formation a été plus important puisqu en 2012, moins de actifs étaient concernés. La durée moyenne de formation a également augmenté en 2013, puisque chaque stagiaire a pu bénéficier en moyenne de 2 heures supplémentaires de formation, passant de 16 à 18 heures. L évolution de la formation continue pour les actifs du commerce dépendant de structures de moins de 10 salariés affiche une relative stabilité sur les cinq dernières années d observation (+1,1% en moyenne annuelle pour le nombre de stagiaires, - 1,8% pour le nombre d heures). Formation continue dans le commerce de détail Programme régional des stages (principalement demandeurs d emploi) Nombre de stagiaires Nombre d heures stagiaires Durée moyenne de formation (en heures) Taux d évolution sur 5 ans Taux d évolution sur 5 ans Taux d évolution sur 5 ans ,9 % ,9 % ,1 % Actifs des entreprises de moins de 10 salariés ,1 % ,8 % ,8 % Source : CCI Bretagne d après Conseil régional (PRS) et FAFTIC (- 10 salariés) - données 2013 et 2012 et évolution moyenne annuelle CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

8 L urbanisme commercial Avec près de commerces pour plus de 4 millions de m² en 2014, les Grandes et Moyennes Surfaces de 300 m² et plus occupent une place prépondérante dans le commerce de détail en Bretagne. L année 2013 confirme toutefois la tendance initiée depuis 2011 au ralentissement du développement de leur emprise. Près de Grandes et Moyennes Surfaces La région compte en 2014, Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Les GMS spécialisées dominent le paysage de la grande distribution bretonne avec commerces, soit 76% des points de vente de 300 m² et plus (contre 759 surfaces classées parmi les généralistes). Le nombre de GMS a légèrement diminué sur la dernière année (- 34 points de vente). Cette évolution résulte de l ouverture de 127 nouvelles GMS et de 161 fermetures. L année a été marquée par un nombre important de fermetures dans les activités hard-discount et équipement de la maison (respectivement 14 et 26 points de vente). Une surface cumulée de plus de 4 millions de m² Les GMS occupent une surface de plus de 4 millions de m². Les grandes surfaces spécialisées représentent plus des deux tiers de ce plancher commercial avec 42% de la surface totale dédiée à la seule activité de l équipement de la maison (meubles, bricolage, jardinage). Le poids relatif des surfaces généralistes dans la surface totale, est variable selon les départements (de 31% à 38%), avec une part plus forte dans les Côtes d Armor et une relative sous-représentation de ces activités en Ille-et-Vilaine. La part du plancher commercial occupée par les hypermarchés dans les Côtes d Armor est supérieure de 4 points par rapport à la moyenne en Bretagne. Inversement, les supermarchés occupent davantage de surfaces dans le Morbihan (15% contre 13% dans l ensemble de la région). Les commerces spécialisés en équipement de la maison représentent dans les quatre départements, à des degrés divers, l activité dominante en termes d occupation du plancher commercial des GMS. Le secteur culture-loisirs tient également une part plus ou moins importante (de 6% à 11%) selon les départements. La densité commerciale en GMS s élève en Bretagne en 2014 à m² pour habitants, avec une densité des grandes surfaces spécialisées (818 m²) double de celle des généralistes (414 m²). Le Finistère présente la plus forte densité (1 333 m² pour habitants), tandis que les départements des Côtes d Armor et du Morbihan sont en retrait avec respectivement et m². Le plancher commercial rapporté à la population en Ille-et-Vilaine est conforme à la moyenne régionale avec m² pour habitants. Nombre et surface des établissements commerciaux de 300 m² et plus par activité Nombre d'établissements Évolution du nombre sur 1 an Surface en milliers de m² Evolution de la surface sur 1 an Taux d'évolution de la surface sur 1 an Généralistes ,3 % Hypermarchés ,8 % Dont Supermarchés ,1 % Hard discount ,7 % Grands magasins / magasins populaires ,8 % Spécialisés ,1 % Équipement de la maison ,7 % Dont Équipement de la personne ,5 % Culture-loisirs ,5 % Autres ,8 % Bretagne ,2 % 8 CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

9 Répartition de la surface des établissements commerciaux de 300 m² et plus 10,6% 8,2% Source : CCI Bretagne Champ : ORC - données ,9% 40,6% 15,5% 13,0% 3,2% 9,2% 5,8% 8,4% 8,9% 7,5% 8,4% 38,7% 41,2% 20,9% 13,0% 4,0% 14,8% 15,3% 3,9% 6,7% 9,3% 8,4% 44,9% 17,6% 9,9% 3,2% Hypermarchés Supermarchés Hard discount Equipement de la maison Equipement de la personne Culture-loisirs Autres BRETAGNE 8,3% 16,9% 8,7% 8,3% 12,6% 3,5% 41,7% qui tend à se stabiliser Au cours de l année 2013, la surface des GMS en Bretagne est restée relativement stable ( m², soit une progression de + 0,2%), conformément à la tendance observée sur les dernières années, mais en rupture nette par rapport aux fortes progressions enregistrées au cours de la décennie La faible progression du plancher commercial en 2013 s explique par une évolution modérée des surfaces généralistes et de celles des surfaces spécialisées, contrairement à ces dernières années où l essentiel de la croissance était lié à l extension des surfaces de la distribution spécialisée. Les GMS généralistes affichent une progression de +0,3% de la surface sur un an. L année est particulièrement marquée par le recul des surfaces en hard-discount (-4,7%), après les fortes progressions enregistrées jusqu en Les hypermarchés enregistrent une hausse de +1,8% de leur plancher commercial : hausse qui s explique essentiellement par le fait de l extension de supermarchés. Le plancher commercial de la distribution spécialisée est resté relativement stable sur la période (+0,1%), dans la tendance ralentie déjà observée sur les dernières années. La surface des GMS spécialisées dans l équipement de la maison et dans les activités culture-loisirs a reculé sur l année (respectivement -0,7% et -1,5%). L équipement de la personne affiche en revanche une croissance de sa surface (+3,5%). La progression des GMS relevant de la catégorie «autres», composée notamment d activités relevant des services, de l hygiène-santé et de dépôt-vente, traduit la tendance à la généralisation d un format de vente de plus de 300 m² à d autres activités. Des dossiers de demandes d exploitation instruits en CDAC stables en 2013 Depuis 2008, l équipement commercial est régulé par les Commissions Départementales d Aménagement Commercial (CDAC), qui statuent sur l autorisation d exploiter, uniquement pour les projets de surface supérieure à m² (Décret n du 24 novembre 2008, relatif à l aménagement commercial, pris en application de la Loi de Modernisation de l Economie promulguée en août 2008 qui relève, pour la grande distribution, le seuil d autorisation des surfaces commerciales de 300 à m²). En 2013, les quatre Commissions Départementales d Aménagement Commercial ont instruit 89 dossiers de création ou d extension relevant de commerces soumis à autorisation (pour 92 demandes en 2012), totalisant une demande de surface nouvelle de m². Sur cette période, 93% des dossiers déposés et 91% des surfaces sollicitées ont été acceptés par les Commissions, pour une surface moyenne par dossier accepté de près de m². 63% des dossiers déposés ont concerné des projets de création de nouvelles surfaces, contre 37% des demandes d extension de surfaces déjà existantes. Equipement commercial - Dossiers soumis à autorisation Nombre de dossiers déposés % de dossiers acceptés Surfaces sollicitées (m²) % de surfaces acceptées Surface moyenne acceptée (m²) Côtes d'armor 15 80% % 827 Finistère 19 95% % Ille-et-Vilaine 17 94% % Morbihan 38 97% % 999 Bretagne 89 93% % Source : CCI Bretagne - Champ : ORC, d après sites préfectures départementales - données 2013 CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

10 La consommation des ménages et l activité du commerce Le contexte économique encore difficile et la stabilisation du pouvoir d achat des ménages ont freiné la progression de la consommation des ménages en De nombreux postes d achats connaissent une stagnation voire un recul. L opinion des commerçants sur leur activité reflète ce manque de dynamisme et laisse anticiper une dégradation des résultats euros consacrés par foyer aux dépenses de produits de consommation courante Les observatoires du commerce des CCI de Bretagne ont réalisé en 2012/2013 une enquête auprès des ménages bretons sur leurs comportements d achats pour un panel de 44 produits de consommation courante (cf méthodologie). Selon cette enquête, les ménages bretons ont dépensé 20,4 milliards d euros pour ces produits de grande consommation (hors automobile, carburant et fonctionnement du logement). L alimentaire représente le premier poste avec 42% des achats. Viennent ensuite les postes équipement de la maison (bricolage, jardinage, meubles, électroménager, ) et équipement de la personne (vêtement, chaussures, maroquinerie, bijouterie,..) avec respectivement 17 et 15% des dépenses. Les services et autres produits (hygiènesanté, pressing, journaux, cordonnerie, fleuristes, ) pèsent pour 12% dans le budget des ménages bretons. Enfin, 7% des dépenses sont dédiées aux loisirs et à la culture et 7% aux accessoires automobiles. En moyenne, chaque foyer breton consacre euros à ces dépenses de consommation courante, budget sensiblement comparable d un département à l autre. 2/3 des achats captés par la grande distribution L enquête réalisée par les observatoires du commerce permet de préciser également la répartition des dépenses effectives des ménages résidents entre les différentes formes de distribution. La grande distribution (grandes et moyennes surfaces), le commerce traditionnel (petit commerce de moins de 300 m²), et les autres formes de commerce (vente par correspondance, commerce ambulant, marchés, ) bénéficient des achats des ménages dans des proportions très proches d un territoire à l autre, à savoir que la grande distribution (GMS) draine les deux tiers des dépenses des ménages résidents, le petit commerce un quart et les autres formes de ventes 7%. Cependant, la ventilation par type de produits (alimentaire, équipement de la personne, équipement de la maison, cultureloisirs,...) montre quelques spécificités. La part de marché des GMS atteint 80% pour l alimentaire ; le petit commerce capte quant à lui près de la moitié des dépenses consacrées à l équipement de la personne. Structure des dépenses des ménages selon les familes de produits 7% 12% 17% 7% 42% Alimentaire Equipement de la personne Equipement de la maison Culture-loisirs Services et autres produits banals (hors auto) Accessoires auto Montant moyen des dépenses des ménages bretons Montant (en milliers ) Côtes d'armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Bretagne Source : Enquête Demande - Observatoires du Commerce - CCI de Bretagne - données 2013 Achats selon les formes de ventes 15% Montant total des dépenses des ménages bretons : 20,4 milliards d en 2013 alimentaire équipement de la personne équipement de la maison culture loisirs Petit commerce 14% 48% 13% 21% GMS 80% 43% 80% 67% Autres (yc commerce électronique) 6% 9% 7% 12% Source : Enquête Demande - Observatoires du Commerce - CCI de Bretagne - données 2013 Source : Enquête Demande - Observatoires du Commerce - CCI de Bretagne - données CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

11 Des dépenses des ménages qui se stabilisent en 2013 Les dépenses des ménages se stabilisent en 2013 (+ 0,2%) après une baisse significative en 2012 (- 0,5%), globalement au plan national, Cette évolution intervient dans un contexte où la croissance de leur pouvoir d achat est nulle. Cette consommation atone s applique à la quasi-totalité des postes de dépenses. La consommation de produits alimentaires se maintient en volume en 2013 (+ 0,8% après + 0,6%) dans un contexte de ralentissement de la croissance des prix. Déjà en baisse en 2012 (- 2,3%), les dépenses liées à l équipement de la personne (vêtements, chaussures) se contractent à nouveau en 2013 (- 0,9%), tout comme les dépenses liées à l équipement du logement (meubles, appareils ménagers, ) qui enregistrent un repli de 2,0% en volume en 2013 après une baisse de 1,3% en Les achats en biens et services de loisirs et de culture se replient également en 2013 (- 1,2% en volume après - 2,1%). La dépense de consommation en biens et services de l économie de l informatique reste cependant dynamique en volume (+ 4,2% après + 3,5%) mais se contracte en valeur (- 4,9%), portée principalement par le marché des téléphones mobiles. Les dépenses de santé des ménages, quant à elles, continuent de croître (+ 2,7% après + 2,4%). Chiffre d affaires du commerce par forme de distribution Un chiffre d affaires du commerce de détail breton estimé à 19,5 milliards d euros Les dépenses des ménages bretons ont permis au commerce de détail breton de générer un chiffre d affaires de 19,5 milliards d euros, dans un marché dominé par les GMS (67% du chiffre d affaires global). Ce chiffre d affaires estimé du commerce de détail breton a été réalisé à partir de l enquête menée auprès des ménages résidents et n intègre donc pas la consommation des touristes dans les commerces bretons. Or, avec ses résidences secondaires, ses 13,8 millions de nuitées touristiques (hôtellerie de tourisme et de plein air), la Bretagne se situe à la 7ème place des régions françaises. Cette importance de la fréquentation touristique de la Bretagne influence naturellement l équipement commercial de la région, sa localisation, sa taille et son niveau d activité. La consommation des touristes contribue de façon significative à la réalisation du chiffre d affaires du commerce de détail et s ajoute aux dépenses des ménages résidents. CA HT (en milliard ) Une activité du commerce freinée par le faible dynamisme de la demande des ménages Le commerce de détail enregistre en 2013 au niveau national une diminution des ventes en volume (- 0,7%) pour la deuxième année consécutive (- 0,5% en 2012), pénalisée par le faible dynamisme de la consommation des ménages. Comme l an passé, les ventes sont légèrement plus dynamiques dans le nonalimentaire (+ 0,2%) que dans l alimentaire (- 1,5%), portées principalement par les ventes en équipement de l information et de la communication. Toutes les formes de distribution sont concernées. L année 2013 est également marquée par une stabilité des prix de vente au détail. Des perspectives peu engageantes pour 2014 Dans une économie encore incertaine marquée par les effets de la crise, les commerçants font preuve de prudence à l égard de l évolution de leur activité. Selon les chefs d entreprise interrogés en juin par la CCI Bretagne, le climat conjoncturel n est pas favorable au commerce de détail. Sur le premier semestre 2014, les détaillants ont enregistré pour 47% d entre eux une baisse de leur chiffre d affaires, seuls 20% notent une hausse et 33% une stabilité. Pour le second semestre, les perspectives ne sont guère plus engageantes puisque seulement 11% anticipent une hausse de leur activité et 28% prévoient une baisse. Grandes et moyennes surfaces 67% Petit commerce (moins de 300 m²) 25% Autres formes de ventes 7% Evolutions de la dépense des ménages et de leur pouvoir d achat Source : Enquête Demande - Observatoires du Commerce - CCI de Bretagne - données 2013 Chiffre d affaires du commerce par département 3,0 2,5 23% 17% Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan 2,0 1,5 Dépense des ménages en volumes 1,0 27% 0,5 32% 0,0 Source : Enquête Demande Observatoires du Commerce CCI de Bretagne - données 2013 * CA réalisé par les ménages résidents Chiffre d affaires* du commerce de détail breton : 19,5 milliards d -0,5-1, Pouvoir d achat du revenu disponible brut Source : INSEE - Comptes nationaux - base données nationales CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

12 Le commerce et l équilibre territorial Bien que tous les territoires ne soient pas dotés à l identique, la répartition géographique du commerce en Bretagne, se révèle assez bien équilibrée. Si les pôles urbains majeurs et le littoral proposent une offre nécessairement plus étoffée, le maillage serré des pôles de proximité permet d assurer une couverture satisfaisante sur l ensemble du territoire de la région. 97 % de la population bretonne vit dans une commune disposant d au moins un commerce En 2014, 84% des communes de la région disposent au minimum d un commerce et près des deux tiers sont dotées d une gamme d équipement commercial à la fois alimentaire et non alimentaire. Le nombre de communes équipées de 20 commerces ou plus a légèrement diminué entre 2013 et 2014 (-10 communes). Le poids de l espace rural parmi ces communes bien équipées (50 %) traduit la vitalité des pôles commerciaux ruraux bretons. 184 communes (soit 14% des communes de la région) sont équipées d un seul commerce. Ce «dernier commerce» est dans la majorité des cas (58%) de type généraliste (une supérette) ou alimentaire. Dans les autres cas, il s agit souvent d un tabac-bar-dépôt de journaux. Ces communes ne disposant plus que d un seul commerce se trouvent le plus souvent (83 % d entre elles) en dehors des aires urbaines. 3% de la population bretonne résident dans une commune sans commerce (203 communes). Plus de huit communes sur dix (86 %) ne disposant plus d un seul commerce appartiennent à l espace rural, autrement dit situées en dehors des aires urbaines. Les Côtes d Armor et l Ille-et-Vilaine sont les départements bretons qui enregistrent la proportion la plus élevée de communes où il n y a plus d offre commerciale (dans l ordre 24% et 17% des communes). Dans les deux autres départements, la proportion est plus faible (9% pour le Morbihan et 12% pour le Finistère). Une offre commerciale bien équilibrée sur l ensemble du territoire L analyse de l implantation du commerce par pays met en évidence un assez bon équilibre global de l équipement commercial en Bretagne. La densité commerciale est plus élevée dans les pays disposant d un pôle urbain important et ceux situés Equipement commercial des communes Communes sans commerces (203) Communes ayant 1 seul commerce (184) Communes ayant entre 2 et 9 commerces (505) Communes ayant entre 10 et 19 commerces (150) Communes ayant plus de 20 commerces (228) 12 CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

13 Répartition des communes par nombre de commerces Bretagne Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Communes hors aires urbaines Communes des aires urbaines 0 commerce commerce à 4 commerces à 9 commerces à 19 commerces commerces et plus Ensemble sur la frange littorale. La densité de la population est également déterminante pour l implantation de commerces sur un territoire donné. Autrement dit, les pays les plus densément peuplés sont les mieux équipés en termes de nombre de magasins. Ainsi, les cinq pays de Rennes, Cornouaille, Brest, Vannes et Lorient, qui représentent 51% de la population totale de la région, concentrent 52% des commerces ; le pays d Auray faisant exception, avec une densité commerciale supérieure de 4 points par rapport à la moyenne de la région. Si, sur les cinq dernières années, le parc d établissements commerciaux n a progressé que de 0,6% à l échelle de la Bretagne, les pays du Centre Bretagne, Saint-Brieuc et Brest enregistrent des taux de progression de plus de 2% sur cinq ans. Inversement, les pays de Redon et Vilaine, Morlaix, Centre Ouest Bretagne, Brocéliande, Vitré-Porte de Bretagne et Vallons de Vilaine voient leur nombre de commerces se contracter sur la même période. La structure du parc d établissements est assez proche d un pays à l autre. Les commerces à prédominance alimentaire représentent de 21 à 32% du parc d établissements selon les pays. La part des commerces de type alimentaire est plus importante dans les pays du Centre Bretagne, de Brocéliande, du Centre Ouest Bretagne et des Vallons de Vilaine. Inversement, ces activités sont sous-représentées dans les pays de Rennes, Vannes et Brest. moins en ce qui concerne la grande distribution La présence de la grande distribution est plus déséquilibrée sur l ensemble du territoire breton. Les pays disposant d un pôle urbain important (Rennes, Brest et Cornouaille) sont nettement mieux équipés en Grandes et Moyennes Surfaces, généralistes ou spécialisées : ces trois pays concentrent à eux-seuls 41% de la surface totale des GMS de la région. Outre l intensité commerciale, la répartition de l offre entre Grandes et Moyennes Surfaces généralistes et spécialisées est assez variable d un pays à l autre. Les grandes surfaces généralistes occupent entre 28 et 47% du plancher commercial total de la grande distribution selon les pays. Les hypermarchés représentent le plus souvent (dans 14 pays sur 21) l activité dominante en termes de surface commerciale généraliste. Les commerces spécialisés de 300 m² et plus représentent de 53 à 72% de la surface totale des GMS bretonnes, suivant les pays. Au sein des commerces spécialisés, l équipement de la maison occupe dans tous les pays la première place, à des degrés divers (de 57 à 85% du plancher commercial des GMS spécialisées). Densité commerciale en 2013 et taux d évolution du nombre de commerces sur 5 ans par pays Trégor-Goëlo + 1,6 % Brest + 2,3 % Morlaix - 0,7 % Guingamp + 1,7 % Saint-Brieuc + 2,4 % Saint-Malo + 0,9 % Dinan + 1,9 % Centre-Ouest Bretagne - 0,7 % Centre Bretagne + 2,9 % Fougères + 0,8 % Densité commerciale pour habitants De 5 à 7 commerces (5) De 7 à 8 commerces (8) De 8 à 10 commerces (6) De 10 à 13 commerces (2) Taux d évolution du commerce sur 5 ans Cornouaille + 0,4 % Lorient + 0,1 % Auray + 0,3 % Pontivy + 0,1 % Vannes + 1,8 % Ploërmel- Cœur de Bretagne + 0,4 % Brocéliande - 1,5 % Redon et Vilaine - 0,6 % Vallons de Vilaine - 2,4 % Rennes - 1,0 % Vitré- Porte de Bretagne - 2,4 % et données cumulées sur 5 ans ( ) CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

14 Glossaire Méthodologique Champ ORC Le champ d analyse de l offre commerciale retenu par l ORC couvre le secteur du commerce de détail en magasin et comprend les activités suivantes : «généralistes» : petites et grandes surfaces à prédominance alimentaire : hypermarché, supermarché, hard discount, supérette, grand magasin et magasin populaire, alimentation générale = [NAF Rév.1 : 521 sauf 521A et J - NAF Rév. 2 : 47.1 sauf 47.19B, 47.11A] «alimentaire» : boucherie, charcuterie, boulangerie, pâtisserie, poissonnerie, crèmerie, caviste, surgelés, fruits et légumes, épicerie fine = [NAF Rév.1 : 151F, 158B, C, D, K, 521A, 522 sauf 522L - NAF Rév. 2 : 10.13B, 10.71B, 10.71C, 10.71D, 10.82Z, 47.11A, 47.2 sauf 47.26Z] «équipement de la maison» : meubles, cuisines-salles de bains, décoration, bricolage, fourniture de matériaux, jardinage, électroménager, TV-hifi = [NAF Rév.1 : 524H, J, L, N, P, U, X - NAF Rév. 2 : 47.59, 47.43Z, 47.54Z, 47.63Z, 47.52, 47.53Z, 47.76Z] «équipement de la personne» : vêtements, chaussures, textiles, maroquinerie, bagagerie, bijouterie = [NAF Rév.1 : 524A, C, E, F, V - NAF Rév. 2 : 47.51Z, 47.71Z, 47.72, 47.77Z] «hygiène et santé» : pharmacie, parapharmacie, optique, orthophonie, orthopédie, coiffure, esthétique, parfumerie = [NAF Rév.1 : 523, 524T, 930D et E - NAF Rév. 2 : 47.73Z, 47.74Z, 47.75Z, 47.78A, 96.02] «culture-loisirs» : livres, journaux, multimédia, articles de sport et de loisirs = [NAF Rév.1 : 524R, W, Z - NAF Rév. 2 : 47.64Z, 47.42Z, 47.65Z, 47.61Z, 47.62Z, 47.41Z] «services» : tabac, pressing, cordonnerieclés, location vidéo et biens domestiques, développement photo, imprimerie, équipements auto, dépôt-vente, brocante, solderies = [NAF Rév.1 : 222C, 503B, 521J, 522L, 524Y, 525Z, 527A, 714B, 748A et B, 930B - NAF Rév. 2 : 96.01B, 95.23Z, 77.22Z, 77.21Z, 77.29Z, 74.20Z, 18.12Z, 45.32Z, 47.19B, 47.26Z, 47.78B, 47.78C, 47.79Z] Compte tenu du changement de nomenclature d activité (NAF) mise en place par l INSEE en 2008 (passage de la NAF 2003 Rév.1 à NAF 2008 Rév.2), l utilisation de cette table de correspondance permet la mise en cohérence des données pour assurer la continuité des séries statistiques. Certaines statistiques concernent seulement l activité NAF Rév.1 52 (NAF Rév.2 47) qui comprend le commerce de détail et la réparation d articles domestiques. Le champ ORC d analyse de la demande commerciale couvre les produits et services correspondant aux secteurs et aux activités considérés pour étudier l offre. Densité commerciale Ratio permettant de comparer l importance quantitative du commerce d un territoire à l autre. Se mesure soit par un nombre de commerces par habitant, soit par une surface commerciale par habitant. Enquête flux de consommations des ménages Cette enquête a été menée par téléphone au cours du 4ème trimestre 2012 et du 1er trimestre 2013 auprès de ménages bretons, échantillon représentatif au sens socio démographique sur chacun des bassins de vie (taille du ménage, CSP du référent). Elle porte sur les comportements d achat d un panel de 44 produits de consommation courante et représente en moyenne actes d achats par département. Liste des produits enquêtés Alimentaire : pain pâtisserie ; viande volaille ; charcuterie traiteur ; poissons-crustacés frais ; fruits légumes ; épicerie-boissons non alcoolisées ; crèmerie ; glaces-produits surgelés ; vins-alcools Equipement de la personne : layette puériculture ; prêt-à-porter enfant (3-14 ans) ; prêt-à-porter masculin (15 ans et +) ; prêt-à-porter féminin (15 ans et +) ; lingerie-bonneterie-sous-vêtements ; chaussures villes ; vêtements de sport ; chaussures de sport ; maroquinerie ; horlogerie bijouterie bijouterie fantaisie ; parfums et produits cosmétiques ; Optique médicale et solaire Equipement de la maison : literie-salons-meubles meublants ; arts de la table-décoration luminaires ; petit et gros électroménager ; TV-Hifimatériel photo et vidéo ; tissus, voilages, linge de maison, mercerie ; revêtements sols et murs ; bricolage (outillage, quincaillerie, matériaux) ; Jardinage (végétaux, outillage, mobilier) Culture, loisirs : CD, DVD, Blue Ray ; téléphonie ; livres ; Jeux-jouets (hors jeux vidéo) ; micro informatique logiciels jeux vidéo ; papeteriefournitures de bureau, articles de sport-cyclespêche et chasse Services et autres produits banals : produits d entretien ménager ; produits de toilettehygiène corporelle ; pharmacie parapharmacie ; pressing-cordonnerie-clés minute ; fleurs coupéescompositions florales ; coiffure-soins esthétiques ; Journaux-revues magazines ; équipementpneumatique et petit entretien auto Etablissements commerciaux Les statistiques relatives au parc d établissements commerciaux et à sa démographie publiées dans ce document sont des données provisoires, disponibles au 1er janvier de l année et susceptibles de corrections intégrant notamment les radiations d établissements dont les Centres de Formalités des Entreprises auraient été informés après cette date. Par ailleurs, les données relatives à l urbanisme commercial présentées dans ce document pourront faire l objet d une actualisation, compte tenu de l évolution du mode de recueil d informations, liée à la mise en place de la nouvelle législation en matière d autorisation commerciale. Formes de distribution On distingue 3 formes de distribution : les GMS (ou grande distribution ) - Grandes et Moyennes Surfaces : établissements commerciaux de 300 m 2 ou plus (toute création ou évolution d un établissement dont la surface de vente est de 300 m 2 ou plus était, jusqu en 2008, soumise à autorisation délivrée en CDEC). Les GMS peuvent être généralistes (hypermarchés, supermarchés, hard discount, grands magasins et magasins populaires) ou spécialisées dans la distribution de certains produits (équipement de la personne, équipement de la maison ) ; les commerces traditionnels : établissements commerciaux d une surface de vente de moins de 300 m 2 ; les autres formes de ventes : VPC (vente par correspondance), commerce électronique, commerces non sédentaires (marché de détail), foires, salons Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) généralistes Surfaces commerciales non spécialisées classifiées suivant l orientation dominante du chiffre d affaires et la surface de vente. Orientation dominante du chiffre d affaires Surface Hypermarchés alimentaire (+ du 1/3 de CA en produits alimentaires) > m² Grands magasins non alimentaire (- du 1/3 de CA en produits alimentaires) > m² Magasins populaires alimentaire (de 1/3 à 2/3 de CA en produits alimentaires) 400 à m² Supermarchés alimentaire (+ de 2/3 de CA en produits alimentaires) 400 à m 2 Supérettes* alimentaire (+ de 1/3 de CA en produits alimentaires) 120 à 400 m 2 Maxidiscomptes ou hard discount* alimentaire (+ de 1/3 de CA en produits alimentaires) 120 à m 2 (Les maxidiscomptes ne constituent pas une catégorie particulière mais sont un sous ensemble des supermarchés ou des supérettes. Ils proposent à la clientèle des prix bas et un choix limité de produits) 14 CCI Bretagne Panorama du commerce de détail 2014

15 Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) spécialisées On entend par grande surface spécialisée toute surface commerciale d au moins 300 m 2 spécialisée dans la vente au détail d un type de produits ou services. Le classement par activité est fait au regard de l activité principale du commerce spécialisé. Par exemple, une grande surface spécialisée en bricolage disposant d un rayon jardinerie est affectée pour la totalité de sa superficie en bricolage. La classification par activité retenue est la suivante : Equipement de la personne : vêtement, lingerie, chaussures, laine, maroquinerie, montres, bijoux, accessoires ; Equipement de la maison : tissus voilages, décoration luminaire, vaisselle, meubles, cuisines, literie, droguerie, papiers peints, bricolage, quincaillerie, jardinage, TV-Hifi-Musique, électroménager ; Culture-loisirs : livres, papeterie-bureautique, disques, appareil photo-caméra, multimédia, jeuxjouets, journaux, articles de sports, cycles ; Hygiène-santé : parfumerie, pharmacie, esthétique, optique-orthophonie, articles médicaux & orthopédiques, puériculture, coiffure ; Autres : solderies, dépôt-vente, antiquitébrocante et services (pressing, location vidéo, développement photo, imprimerie, cordonnerie, clés, centres d équipements auto-moto (hors garages)...). Marché du travail Demandeurs d emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Les demandeurs d emploi sont des personnes inscrites à Pôle emploi, organisme issu de la fusion entre l ANPE et le réseau des Assédic. Ces demandeurs d emploi sont regroupés en différentes catégories. Conformément aux recommandations du rapport du Cnis sur la définition d indicateurs en matière d emploi, de chômage, de sous-emploi et de précarité de l emploi (septembre 2008), la Dares et Pôle emploi présentent à des fins d analyse statistique les données sur les demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en fonction des catégories suivantes : - catégorie A : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, sans emploi (catégories administratives 1, 2, 3 hors activité réduite) ; - catégorie B : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite courte (i.e. de 78 heures ou moins au cours du mois), (catégories administratives 1, 2, 3 en activité réduite) ; - catégorie C : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite longue (i.e. de plus de 78 heures au cours du mois), (catégories administratives 6, 7, 8) ; - catégorie D : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi (en raison d un stage, d une formation, d une maladie ), sans emploi, (catégorie administrative 4) ; - catégorie E : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, en emploi (par exemple : bénéficiaires de contrats aidés), (catégorie administrative 5) ; Les entrées et les sorties des listes de Pôle emploi sont enregistrées pour l ensemble A, B, C (catégories administratives 1, 2, 3, 6, 7, 8). Offres d emploi collectées à Pôle emploi Ces offres d emploi sont classées suivant trois types : - Type A : les offres d emploi durable, pour des contrats de plus de six mois ; - Type B : les offres d emploi temporaire, pour des contrats compris entre un et six mois ; - Type C : les offres d emploi occasionnel, pour des contrats de moins d un mois. Niveaux de formation Les niveaux de formation sont présentés selon la nomenclature en vigueur mise en place par la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (1969) et correspondent à des qualifications permettant de se positionner par rapport au marché de l emploi. - niveau V : BEP, CAP ; - niveau IV : bac, bac professionnel, brevet professionnel, brevet de technicien ; - niveau III : bac + 2 (BTS, DUT) ; - niveau II : bac + 3 (licence) ou bac + 4 (maîtrise) ; - niveau I : bac + 5 (diplôme d ingénieur, master professionnel). Population Le terme générique de «populations légales» regroupe pour chaque commune sa population municipale, sa population comptée à part et sa population totale qui est la somme des deux précédentes. La population municipale est celle qui est utilisée à des fins statistiques ; la population totale est la plus souvent utilisée pour l application de dispositions législatives ou réglementaires. Toutes les statistiques de ce document intégrant des données de population reposent sur les populations municipales des communes (populations légales 2011) entrées en vigueur le 1 er janvier 2014 et obtenues à partir des enquêtes de recensement annuelles réalisées par l INSEE sur la période Programme régional des stages Actions de formation continue aidées financièrement par le Conseil régional et s adressant principalement à des demandeurs d emploi. Ce programme intéresse le commerce de détail mais concerne également d autres secteurs économiques. Ratios de démographie d établissements Ils mesurent l évolution du parc des établissements. Cinq ratios sont plus particulièrement utilisés dans cet ouvrage : le taux d évolution (ou de renouvellement) = solde d une année (immatriculations - radiations)/ stock d établissements du début d année ; le taux de natalité = immatriculations (par créations ou reprises) d une année/stock d établissements du début d année ; le taux de création = créations d une année/ stock d établissements du début d année ; le taux de reprise = reprises d une année/stock d établissements du début d année ; le taux de mortalité = radiations (par liquidations judiciaires, fermetures volontaires ou transmissions)/stock d établissements du début d année. Panorama du commerce de détail Publication éditée par la CCI Bretagne. Directeur de la publication : Alain DAHER Responsable de la rédaction : Stéphanie BENVEL Rédaction : Stéphanie BENVEL Blandine LE VERGER Création graphique : korrigan-creations.com ISSN : en cours La reproduction des informations de ce document est autorisée sous réserve de la mention de la source : «CCI Bretagne Repères économiques Bretagne» CCI Bretagne Panorama du commerce de détail

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