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1 PAERPA _ARS-IDF Compte-rendu Deuxième Comité de Pilotage PAERPA Délégation territoriale de Paris 25 septembre 2014 Présents : - Caroline Kiaya, Responsable, Espace 19 Santé Médiation - Claire Bal dit Sollier, Responsable, CREATIF - Nicole Grillet, Bénévole, JALMALV - Thomas Le Cam, Responsable Domisiel IDF et Responsable 77, Siel Bleu - Joëlle Guignard, Membre du secrétariat, CODERPA 75 - Pierre-Yves Ducout, Responsable, Aceane - Guillaume Staub, Directeur du développement, Amelis - Aude Forissier, Domidom - Frédérique Lapierre, Responsable SSIAD, ADIAM - Nicolas Demagny, Directeur, EHPAD Canal des Maraichers - Benoit Vandermeersch, Directeur, EHPAD Alice Guy - Claude Cormier, Responsable, CLIC Paris Emeraude Nord Est - Odile Morilleau, Chef du bureau Personnes Agées, DASES - Ghislaine Grosset, Sous-Directrice de l autonomie, DASES - Hervé Spaenle, Sous-directeur des services aux personnes âgées, CASVP - Laurence Dauffy, Directrice de la régulation et de l action en santé, CPAM de Paris - Régine Haspel, Directeur des prestations sociales et individuelles, CRAMIF - Christiane Flouquet, Directrice de l'action sociale, CNAV Ile-de-France - Eve Parier, Directrice du Groupe Hospitalier (GH) Saint Louis-Lariboisière-Fernand Widal (AP-HP) - Albane Trihan, Référente gériatrie, SSR, MPR, AP-HP - Amel Belaid, Elève DESSMS, Service médecine, gériatrie, handicap, AP-HP - Dr Antonio Teixeira, Chef de service de gériatrie, GH Saint Louis-Lariboisière-Fernand Widal (AP-HP) - Cécile Battais, Coordinatrice de la filière gériatrique 9 ème -10 ème -19 ème arrondissements de Paris - Arnaud Marche, Directeur, Hôpital Jean Jaurès - Christine Fontaine, Conseillère technique, EPS Maison Blanche

2 - Olivia Ribardière, Directrice, Centre de santé médical et dentaire Clavel, Fondation de l Œuvre de la Croix Saint Simon - Martine Andrieu, Chargée de la mission stratégie, HAD AP-HP - Renaud Nadjahi, Président, URPS Pharmaciens Ile-de-France - Pascal Lambert, Infirmier, URPS Infirmiers Ile-de-France - Corinne Farges, Orthophoniste, URPS Orthophonistes Ile-de-France - Philippe Cochard, Président, URPS Masseurs-kinésithérapeutes Ile-de-France - Chloé Mons, Cabinet de Madame Dominique Versini, adjointe à la Maire de Paris, chargée de la solidarité, familles, petite enfance, protection de l'enfance, lutte contre les exclusions, personnes âgées - Dr François Dolveck, Directeur médical, GCS-D-SISIF - Isabelle Le Roux, Chef de projets, GCS-D-SISIF - Gilles Echardour, Délégué territorial de Paris, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Alexandre Farnault, Responsable du pôle Ambulatoire, Innovation et Démocratie Sanitaire, Délégation territoriale de Paris, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Bruno Xoual, MOA Stratégique, pôle Systèmes d Informations, Direction de la stratégie, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Laureen Welschibillig, Chef de projets, pôle Systèmes d Informations, Direction de la stratégie, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Sandrine Courtois, Responsable du Département Organisation de l'offre pour personnes âgées, pôle médico-social, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Dr Jean-Philippe Flouzat, Médecin gériatre, pôle médico-social, Agence Régionale de Santé Ile-de- France - Claire Davy, Chef de Projet Parcours de santé des personnes âgées, pôle médico-social, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Coralie Tremblay, Inspectrice, pôle médico-social, Délégation territoriale de Paris, Agence Régionale de Santé Ile-de-France - Sarah Livartowski, Coordinatrice PAERPA - Estelle Poux, Gestionnaire administrative, pôle Ambulatoire, Innovation et Démocratie Sanitaire, Délégation territoriale de Paris, Agence Régionale de Santé Ile-de-France Excusés : - Henri Naudet, Directeur, Fondation Maison des Champs - Dr Aurélie Misme, Médecin gériatre, Réseau de Santé Paris Nord - Anne-Claire de Reboul, Directrice des affaires médicales et de la biologie, GH Saint Louis-Lariboisière- Fernand Widal (AP-HP) - Emilie Marcazzan, Directrice, Clinique du Canal de l Ourcq

3 1. Introduction Cf. document joint Monsieur Gilles Echardour, Délégué Territorial de Paris de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France. Le programme PAERPA (Personnes Agées En Risque de Perte d Autonomie) est un projet national, qui mobilise neuf territoires en France aux profils extrêmement divers, plus ou moins urbains ou ruraux. Ce programme, qui doit être participatif et collectif, nécessite une responsabilisation large des acteurs, tant du côté des institutions (CPAM de Paris, Ville de Paris, CNAV Ile-de-France, CRAMIF, ) que des professionnels et des usagers. Il est la continuité d un travail antérieur, le Contrat de territoire, et mobilise depuis plus d un an une équipe-projet, composée de membres de la Délégation territoriale de Paris, et du siège de l ARS Ilede-France. L objectif essentiel de ce programme est de voir si les hypothèses de départ sont valides, c est-à-dire de déterminer si les actions expérimentées ont permis ou non de faire reculer l entrée en dépendance, d assurer un maintien à domicile dans un cadre renouvelé et adéquat, et plus généralement d améliorer la prise en charge des personnes âgées où qu elles soient. Cet objectif principal est sous-tendu par un second, celui de faire des économies financières dans cette prise en charge. Trois types d actions peuvent être identifiés à ce jour : o Celles qui sont suffisamment mûres pour être lancées sur le territoire, et pour lesquelles un passage à l acte dans les prochaines semaines est attendu. Ce sont ces actions qui vont être présentées et discutées aujourd hui ; o Celles encore en cours de réflexion au sein de l équipe-projet et/ou en négociation avec les partenaires de l Agence, et qui seront lancées lors d une deuxième vague ; o Celles non encore abordées par l équipe-projet et qui doivent être encore approfondies. Plusieurs mesures concernent l évolution des systèmes d information, question essentielle qui mobilise l Agence et ses partenaires. Quelques rappels // Etapes précédentes (page 4) Suite à la rencontre bilatérale entre l ARS Ile-de-France et la Direction de la sécurité sociale (DSS) le 28 mai dernier, les fiches-actions ont été soumises à la DSS. Le plan de travail DATAC a finalement été validé globalement, ainsi que les éléments prébudgétaires, même si plusieurs d entre eux sont encore en réflexion (ex : hébergement temporaire, articulation avec le programme Territoire de Santé Numérique pour lequel l ARS Ile-de-France a également été retenu). Les indicateurs qui devront faire l objet d un suivi régulier ont été finalisés. Ils feront partie des futures conventions qui seront signées avec les partenaires avant la mise en œuvre des actions.

4 Prochaines étapes // Sept 2014 Janvier 2015 (page 5) Il s agit désormais de passer à la mise en œuvre du Plan DATAC, avec la signature des conventions et l allocation de ressources, ceci avant la fin de l année (calendrier FIR) pour les premières actions mises en œuvre. Plusieurs éléments du diagnostic territorial, disponible sur le Site Internet PAERPA, doivent être approfondis et/ou corrigés. Deux groupes thématiques, «Médicament» et «Traitement des données», mis en place depuis le début de l été, vont permettre d analyser plus finement les données. Leurs travaux seront présentés lors du prochain COPIL. o o o o o Des travaux complémentaires de la CPAM de Paris ont permis d affiner le nombre de personnes âgées du territoire sans médecin traitant déclaré : il est de 15% et non de 30 comme présenté initialement, ce qui pose la question de l intérêt d une action spécifiquement sur ce sujet (la question de l utilisation véritable du médecin traitant pourrait, elle, faire l objet d approfondissements). De même, le nombre de personnes âgées sur le territoire PAERPA serait de et non de 18500, chiffre annoncé lors du lancement du projet ; Le taux de recours à l hôpital est significatif sur le territoire PAERPA, comparé à la moyenne nationale, notamment en SSR ; La consommation de médicaments est très importante chez les personnes âgées, même si sur ce point, le territoire PAERPA ne présente pas d éléments notables par rapport aux chiffres nationaux ; Il existe des éléments de différenciation importants entre les trois arrondissements concernés (nombre de personnes âgées, sociologie de la population, ) ; Une analyse plus fine concernant les professionnels de ville des 9 ème, 10 ème et 19 ème arrondissements de Paris, doit également être menée, avec des données de perspective à 5 ans. Réactions et échanges : Ghislaine Grosset, DASES : Quid des personnes âgées en établissement? o Gilles Echardour : Un travail sur les personnes âgées en EHPAD a été initié mais leur consommation n est pas toujours facile à suivre : 1/3 des personnes âgées domiciliées sur le territoire vont dans un des EHPAD du territoire, 1/3 dans un EHPAD parisien hors territoire PAERPA, 1/3 hors département.

5 2. La mise en œuvre des actions Cf. document joint Les actions PAERPA Rappel (page 7) L ensemble des actions expérimentées vise à répondre à un objectif commun : améliorer le parcours de santé des personnes âgées. L une des mesures phares au niveau national concerne la mise en œuvre du Plan personnalisé de santé (PPS), même si les actions autour du recul de la perte d autonomie ne se réduisent pas uniquement à cela, notamment le signalement des difficultés à domicile ; le repérage à l hôpital envisagé par le GH Saint Louis Lariboisière Fernand-Widal dans son projet ; ou encore la fluidité du parcours lors des changements critiques (entrées et sorties à l hôpital, coopération entre acteurs de secteurs différents, ). Les modalités de conventionnement (page 8) Le travail autour des conventions a déjà commencé. Plusieurs conventions-types ont été soumises par la DSS, dont l une qui concerne l hôpital et qui devra nécessairement être modulée pour tenir compte des spécificités des établissements signataires du territoire (ex : établissements SSR). L autre type de convention, dite «Convention FIR», est plus allégé et révisable pendant l expérimentation. Une convention à destination des professionnels libéraux est en cours d élaboration. Le premier euro provenant de l enveloppe FIR PAERPA pourra être engagé à partir du 23 octobre Réactions et échanges : Eve Parier, GH Saint-Louis Lariboisière Fernand-Widal : Ces conventions-types peuvent-elles évoluer lors des négociations avec les acteurs? o Gilles Echardour : Certains éléments des conventions-types devront nécessairement figurer dans les conventions signées (trame obligatoire). Les conventionnements directs (page 9) Il s agit aujourd hui de présenter les actions jugées les plus mûres pour être expérimentées dès octobre 2014 (partenaires identifiés, financements disponibles). Réactions et échanges : Ghislaine Grosset, DASES : A partir de quand sera signé le premier Plan personnalisé de santé (PPS)? o Gilles Echardour : Les secteurs principalement concernés par ces premières actions sont ceux du médico-social et des systèmes d information. Les actions concernant la ville et l hôpital ne figurent pas parmi les actions présentées car elles sont en cours de discussion. La mise en œuvre des PPS est donc encore en attente.

6 o Alexandre Farnault : La mise en œuvre effective des PPS nécessite l installation préalable, et prochaine, du noyau dur de la Coordination territoriale d appui (CTA) (voir infra). Ghislaine Grosset, DASES : A partir de quand peut-on déclarer qu une personne est en perte d autonomie? Comment pourra être mesuré le recul de l entrée en perte d autonomie? o Alexandre Farnault : Même si le sigle PAERPA fait référence à la perte d autonomie, toutes les personnes âgées de plus de 75 ans sont visées dans le cahier des charges national. o Gilles Echardour : On ne sait pas dire précisément combien de personnes âgées sont en risque de perte d autonomie, même si le chiffre de 8 à 10% des personnes âgées du territoire est régulièrement avancé. o Dr Antonio Teixeira : Ce chiffre de 8 à 10% concerne le pourcentage de personnes ayant déjà perdu leur autonomie. Plusieurs travaux, de l INSEE notamment, ont déjà été menés sur le sujet : 15% des personnes âgées seraient ainsi en perte d autonomie, même légère, et 33% le seront d ici 20 ans. Par ailleurs, pour mesurer le recul de l entrée en perte d autonomie, le GIR peut être un critère important, de même que le sentiment lui-même, pour les personnes, de se sentir elles-mêmes en perte d autonomie. Ce paramètre autour du ressenti de la personne peut être assez fin pour suivre la mise en œuvre d une action, et constitue même l un des meilleurs critères. o Claude Cormier : Le Gérontopôle de Toulouse a mené plusieurs travaux quant à l évaluation de la perte d autonomie. Au CLIC sont signalées par an 3 à 4% des personnes âgées (de plus de 60 ans) du territoire. Les places de SSIAD renforcées (fiche-action 27) Sandrine Courtois, ARS Ile-de-France : Un appel à candidature régional a été lancé début septembre, avec date limite de dépôt des dossiers fixé au 3 octobre prochain. L objectif est de renforcer sur le territoire PAERPA 20 places d un SSIAD déjà en fonctionnement, afin de faire le lien entre les services d aide et d accompagnement à domicile (SAAD) et l hospitalisation à domicile (HAD), et assurer une passerelle entre les deux types de prise en charge. Un autre opérateur sera retenu à Paris hors territoire PAERPA. Un travail méthodologique sera ensuite mené avec les opérateurs retenus, afin de déterminer avec eux les profils des personnes âgées qui seront prises en charge. Le travail mené par le SSIAD renforcé qui intervient déjà en partie sur le territoire PAERPA, servira de base à cette réflexion. Financier l intervention d un diététicien en SSIAD, SAAD et EHPAD (fiche-action 23) Coralie Tremblay, ARS Ile-de-France : Il s agit de doter les EHPAD, les SSIAD et les SAAD d un temps de diététicien pour monter des programmes de sensibilisation, accompagner les usagers et superviser les menus des personnes (2 ETP pour les 10 EHPAD, 2 ETP pour les SSIAD et SAAD volontaires du territoire). Financer la formation à la fonction d assistants de soins en gérontologie (ASG) en EHPAD, SSIAD et SAAD (fiche-action 20) Coralie Tremblay, ARS Ile-de-France : L objectif est de financer la formation de 30 % des personnels des EHPAD, SSIAD et SAAD du territoire, ce qui équivaut à une quarantaine de personnes par an (soit 117 sur trois ans).

7 Assurer la prise en charge par un infirmier de nuit en EHPAD (fiche-action 24) Dr Jean-Philippe Flouzat, ARS Ile-de-France : L objectif de cette action est de répondre aux besoins ponctuels de soins infirmiers la nuit et le week-end, en faisant appel à un IDE de nuit d astreinte, avec déplacements physiques possibles, pour mesurer in fine l impact éventuel sur les hospitalisations indues. Une expérimentation régionale a été mise en place en Ile-de-France mais il s agissait d un recrutement présentiel. Cette mesure sera débord proposée aux infirmiers des établissements, qui connaissent déjà les résidents. L EHPAD du CASVP (Herold, 19 ème arrondissement) bénéficie déjà d une IDE. Un travail sur une éventuelle mutualisation des ressources avec d autres établissements du territoire serait à discuter. Développer l activité physique en EHPAD (fiche-action 25) L association Siel Bleu interviendra auprès de chaque EHPAD (deux séances par semaine), autour de trois thèmes : prévention des chutes, gymnastique sur chaise, gym Alzheimer. Les groupes de travail SI (page 10) Bruno Xoual, ARS Ile-de-France : Les systèmes d information (SI) permettent de développer des outils destinés à faciliter la prise en charge des personnes âgées et non à assurer la prise en charge elle-même. Certaines mesures SI peuvent être d ores et déjà lancées sur le territoire, tandis que celles qui viennent soutenir les actions métiers adopteront le calendrier de ces dernières. Point sur l annuaire ROR Geronto Laureen Welschibillig, ARS Ile-de-France : Cet annuaire, initialement dénommé PagesGeronto et développé dans le cadre du Contrat de territoire, a été rebaptisé ROR Geronto et est désormais ouvert et référencé sur Google. Cet annuaire répond à un vrai besoin sur le territoire. Les membres du COPIL sont invités à s y inscrire et à relayer l information auprès de leurs collègues et partenaires, afin qu un maximum d acteurs y soient présents d ici la fin de l année. Réactions et échanges : Cécile Battais, Coordinatrice de la filière gériatrique : Ce Site est destiné uniquement aux professionnels, avec inscription obligatoire. L objectif est d arriver à obtenir une base d informations suffisamment complète pour savoir plus précisément qui fait quoi sur le territoire. Bruno Xoual, ARS Ile-de-France : Il serait aujourd hui possible d alimenter l annuaire avec les coordonnées des professionnels libéraux du territoire grâce aux outils nationaux auxquels l ARS a accès, dont les listes des Ordres. Des informations plus poussées seraient ensuite à renseigner par le professionnel lui-même (ex : visites à domicile). Un travail est à engager avec leurs représentants sur ce sujet.

8 Philippe Cochard, URPS Masseurs-kinésithérapeutes Ile-de-France : Comment est constitué l annuaire? Qui vérifie en amont la qualité professionnelle? Cécile Battais : L annuaire s est basé tout d abord sur les listes du CLIC, qui ont été corrigées puis mises en ligne. Il existe également une liste des professionnels libéraux, pour le moment non diffusé sur le Site : des discussions sont à engager avec les URPS pour répondre à plusieurs questions : quelles informations mettre à disposition? Quelles modalités pour les compléter? Dr Antonio Teixeira : Les modalités de réponse sont aléatoires, pour éviter d obtenir systématiquement les mêmes résultats, et donc les mêmes noms de professionnels (pas de liste figée selon l ordre alphabétique par exemple). Bruno Xoual : Chaque région a l obligation nationale de se doter d un ROR. Cet annuaire, qui se concentre d abord sur le territoire PAERPA, sera progressivement étendu à Paris puis à l Ile-de-France. Gilles Echardour : D autres territoires parisiens travaillent sur la mise en œuvre d un annuaire, l attente des acteurs est grande. Par ailleurs, cet outil n est pas destiné à faire de la publicité et des règles du jeu préalables sont nécessaires pour éviter la mise en avant de tel ou tel professionnel. Point sur les groupes de travail SI - Groupe de travail 1 : Mise en ligne d une plateforme destinée à centraliser tous les documents utilisés par les professionnels (évaluation, prise en charge, orientation, ) pour une mise à disposition facilitée. La première séance, très productive avec une grande implication de la Ville de Paris, a eu lieu mardi 23 septembre. - Groupe de travail 2 : Dispositif de coordination à domicile, avec plusieurs fonctionnalités possibles (agenda, annuaire des contacts de la personne, signalement d un aléa, ), destiné aux professionnels intervenant chez une même personne âgée. Ce thème nécessite un investissement important de la part des inscrits, qui doivent s engager à participer à toutes les séances prévues pour obtenir une expression fine des besoins et le développement progressif des fonctionnalités envisagées, avec l accompagnement d une assistance à maitrise d ouvrage (AMOA). - Groupe de travail 3 : Mise en ligne d une plateforme des actions de prévention sur le territoire, pour une meilleure lisibilité de l offre et une meilleure orientation des patients. Cette action nécessite un travail de recensement préalable de l existant, avant une réunion prévue le mardi 27 janvier Toutes les informations sont disponibles sur le Site PAERPA (dates et horaires des séances, inscriptions).

9 Les autres actions SI - Trois actions SI sont plus spécifiquement destinées aux EHPAD, et seront travaillées avec eux de façon individuelle, après la réunion du 30 septembre : le déploiement de ViaTrajectoire, l alimentation du DMP avec le dossier de liaison d urgence (DLU) ou encore le financement de postes de travail dédiés aux médecins traitants intervenant en EHPAD pour favoriser la saisie directe des prescriptions ; - L outillage de la Coordination Territoriale d Appui (CTA) par un SI efficient est une autre action SI, qui sera engagée dès lors que les missions exactes de cette dernière seront plus précisément déterminées. Point sur l articulation entre PAERPA et Territoire de Santé Numérique (TSN) L ARS Ile-de-France a été retenue dans le cadre de TSN, pour le territoire Nord-Ouest du Val de Marne (94) et une partie du 13 ème arrondissement de Paris. Une équipe-projet est en cours de constitution et le projet initial, de 30 millions d euros, doit être révisé pour tenir l enveloppe finalement allouée de 20 millions d euros. La coordination entre acteurs et la notion de parcours sont au cœur des deux programmes TSN et PAERPA, (qui présentent également des différences importantes : financements, populations visées, calendriers) et des ajustements doivent être faits pour éviter les actions en doublon (ex: annuaire médico-social, outil de coordination à domicile). 3. La mise en œuvre de la Coordination territoriale d appui (CTA) Il y a une volonté, au niveau national, de systématiser et formaliser la coordination déjà existante entre professionnels de proximité, notamment de ville, via les Plans personnalisés de santé (PPS), avec un partenaire en soutien : la Coordination territoriale d appui (CTA), dont plusieurs de ses missions sont détaillées dans le cahier des charges national PAERPA ; Le travail autour de la convention CTA est en cours, l objectif étant d éviter d ajouter une nouvelle structure à toutes celles déjà existantes (CLIC, MAIA, filière, ). Des ressources supplémentaires au CLIC, qui assure déjà une partie des missions de la CTA, seront apportées ; L ARS et la DASES travaillent ensemble autour des principales questions soulevées par la CTA : fonctionnement, gouvernance, ressources, réponses apportées, Un numéro unique sera mis en place pour répondre de façon réactive et organisée à toute demande sociale, médicale et médicosociale, et orienter vers les ressources adéquates du territoire. Réactions et échanges : Claude Cormier, CLIC : La collecte préalable des informations (ex : professionnels effectuant des visites à domicile, transports spécialisés, ) est essentielle pour permettre cette orientation.

10 Joëlle Guignard, CODERPA 75 : Le CLIC est un centre important de ressources mais il est encore mal connu du grand public et des professionnels. Un travail a par exemple été mené dans les 11ème, 12ème et 20ème arrondissements de Paris auprès des pharmaciens, montrant que 80% d entre eux ne le connaissaient pas. o Odile Morilleau, DASES : La connaissance de cette structure viendra avec la qualité du service rendu, dès lors que cette CTA aura assuré un véritable appui, en fournissant l information ou l aide recherchée au professionnel qui l aura sollicitée, par exemple pour remplir un PPS. Des moyens de communication plus élaborés seront d ailleurs nécessaires, au-delà de la distribution de flyers notamment. o Renaud Nadjahi, URPS Pharmaciens Ile-de-France : La mission première des pharmaciens concerne la dispensation des médicaments. C est la connaissance du service rendu, et non uniquement celle d un acronyme, qui est essentielle. La présentation des missions des uns et des autres est fondamentale. o Ghislaine Grosset, DASES : Une confusion est possible, en raison de la multiplication des sigles (CLIC, MAIA, CTA, ), nécessitant une communication claire. o Gilles Echardour : Le rôle des CLIC fera l objet d une présentation lors de la Conférence de territoire vendredi 26 septembre. Outre cet évènement, la connaissance des missions de la CTA devra évidemment être faite auprès du grand public et des professionnels pour que ce dispositif de coordination, novateur, puisse apporter un réel service rendu. Claire Davy, ARS Ile-de-France : Nous pouvons être optimistes autour de cette démarche d intégration, plusieurs regroupements entre acteurs (MAIA, CLIC, réseau) étant d ores et déjà en cours à Paris (Paris Centre et Paris Ouest). 4. Questions diverses Olivia Ribardière, Centre de santé médical et dentaire Clavel : L objectif pour les structures accueillant tout type de public dont des personnes âgées, est de repérer celles en risque de perte d autonomie et de mettre en place un Plan personnalisé de santé (PPS). En pratique, cet outil ressemble à ce qui a été déjà élaboré en cancérologie, avec les PPS en cancérologie déjà enregistrés dans les ordinateurs des praticiens et bien entrés désormais dans les pratiques. La problématique autour des personnes âgées est-elle aussi normée? Y-a-t-il des documents types pour encadrer le travail autour des PPS et éviter les multiplications d interprétations? o Gilles Echardour : Des discussions sont à engager avec les professionnels concernés, et des formations seront organisées. L une des tâches prioritaires est également de sélectionner un certain nombre de partenaires libéraux prêts à se lancer sur ce sujet pour éprouver la réalité du PPS. o Dr Jean-Philippe Flouzat, ARS Ile-de-France : la Haute Autorité de Santé (HAS) a publié une dizaine de critères officiels pour la mise en œuvre des PPS, publiés sur son Site Internet. Renaud Nadjahi, URPS Pharmaciens Ile-de-France : Beaucoup des discussions ont tourné autour des établissements, qui ne représentent qu une petite partie de la prise en charge des personnes âgées, alors que le programme PAERPA est avant tout centré sur le repérage des personnes âgées en risque de perte d autonomie.

11 Ghislaine Grosset, DASES : la moyenne d âge des personnes âgées qui entrent en EHPAD à Paris est de 87 ans, avec un GIR souvent élevé. Le gros du travail est donc à mener en préalable de l entrée en dépendance, et donc au domicile. o Gilles Echardour : Ce sujet autour du domicile fait partie de ceux où le passage à l acte n est pas encore possible, et des avancées sont fortement attendues en ce domaine (relations avec les acteurs de ville, prise en charge à domicile, ). Joëlle Guignard, CODERPA 75 : Le CODERPA de Paris organise sa journée annuelle le 5 novembre prochain à la Mairie du 10ème arrondissement. Deux thèmes seront particulièrement abordés : la prévention buccodentaire et la question du médicament. 5. Prochaines réunions des instances de gouvernance La prochaine réunion du COPIL est fixée au 16 décembre prochain de 14h30 à 16h30 (salle / ARS Ilede-France, DT de Paris). Pour toute question, n hésitez pas à contacter les membres de l équipe-projet PAERPA, à l adresse de messagerie ARS-DT75-PAERPA@ars.sante.fr ou via le Site Internet PAERPA (rubrique «Contact»), régulièrement alimenté pour tenir informés des avancées du programme et des actualités autour du projet.

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