Diarrhées du voyageur (DV)
|
|
- Jacqueline Dubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diarrhées du voyageur (DV) Quelle prévention? Quels traitements? Pr Bruno Marchou Service des Maladies Infectieuses et Tropicales Hôpital Purpan, Toulouse
2 Quizz La DV ne survient que chez les V. se rendant dans un PED Les salmonelles sont la 2 ème cause de la DV Les norovirus sont une cause fréquente de la DV Les cryptosporidies peuvent être responsables de diarrhée prolongée chez le sujet immunocompétent Blastocystis hominis peut être responsable de DV L eau est stérilisée par ébullition en une minute La lévofloxacine était active sur ~ 60% des ETEC en Inde dans les années 2000 L azithromycine n est pas active sur S. dysenteriae La rifaximine a une AMM dans la prévention de la DV Le Dukoral peut prévenir 2/3 des cas de DV
3 Sommaire Diarrhées aiguës ou Turista Diarrhées chroniques
4 Turista : définitions Diarrhée = selles 300gr / 24 h > 3 selles liquides en moins de 24 heures, ou > 2 en moins de 8 heures, associées à 1 signe d accompagnement : nausées, vomissements, douleurs abdominales, fièvre, selles glaireuses ou sanglantes
5 Travel broadens the mind, as it loosens the bowels Les différentes appellations de la diarrhée du voyageur : Aztec 2-step Backdoor sprint Bali bali Basra belly Canary disease Casablanca crud Delhi belly G.I. s Greek galop Gippy tummy Hong Kong dog Mie de la mer rouge Malta dog Montezuma srevenge Passion Poonah pooh Rangoon runs Rome runs San Franciscitis Tokyo trots Trotsky s Turkey trots Turista Zermattitis!
6 Turista : incidence En 2012, un milliard de touristes internationaux dont 45 % à destination tropicale (+50% en 10 ans). Incidence estimée : 160 millions de cas en 2009! GeoSentinel : 10,032 US travelers returning from outside US, Diarrhée : 22%, syndrome digestif sans diarrhée :15% Fièvre : 14% dont P.falciparum 19%;Dermatoses : 12% Jiang ZD et al, J Clin Microbiol 2010 ;48 : ; World Tourism Organization. Tourism highlights 2009 ed. United Nations World Tourism Organization, Geneva, Switzerland. MMWR Surveill Summ Jul 19;62:1-23.
7 Turista : fréquence (/ voyageur.mois de séjour) Incidence estimée : 160 millions de cas en 2009 Diarrhée sévère + Fièvre : 2 % Shigellose : 1 / Choléra : < 1 / Hospitalisation : 1/1000 Références - Steffen et al, J Infect Dis 1987, 156, 84 ; - Steffen R et al. J Travel Med 2004 ; 11 :231-8) ; - Jiang ZD et al, J Clin Microbiol 2010 ;48 : ; - World Tourism Organization. Tourism highlights 2009 ed. United Nations World Tourism Organization, Geneva, Switzerland.
8 Etiologie de la diarrhée des voyageurs Cabada Bauche J, DuPont HL. New developments in traveler s diarrhea. Gastroenterol Hepatol 2011 ; 7 (2) : 88-95) J Travel Med 2014;21(1):6-11 Etiologie Amérique Latine Afrique Inde ETEC EAEC Shigella Salmonella Campylobacter Aeromonas Plesiomonas Norovirus Non connu Protozoaires Pas de pathogène ETEC : Escherichia coli enterotoxinogène, EAEC : Escherichia coli entéroadhérent Protozoaires : Giardia, Cryptosporidium, Cyclospora, Isospora, Entamoeba histolytica.
9 Prevalence of enteric pathogens among travelers with diarrhea acquired in Kenya, India and jamaica DuPont, J Infect Dis 2002, 185 : BM, DESC Janvier 1012
10 Ouyang Latimer J. et al, Antimicrob Agents Chemother 2011; 55: 874-8
11 Ouyang Latimer J. et al, Antimicrob Agents Chemother 2011; 55: 874-8
12 Résistance croisée entre quinolones et azithromycine? Etude réalisée sur des entéropathogènes, Vietnam et Thaïlande, Campylobacter (Thaïlande) Salmonella (Thaïlande) AZM R AZM S AZM R AZM S CIP R S 29 (7.4%) P : NAL R S 12 (18%) p < 0.01 Emerg Inf Dis 2002, 8 :
13 Sensibilité réduite à la ciprofloxacine (CMI > mg/l) sur des souches de Salmonella enterica isolées chez des voyageurs Finlandais revenant d Asie du Sud-Est A : finlandais B : voyageur finlandais C : voyageur finlandais revenant de thaïlande Hakanen A, Kotilainen P, Huovinen P, Helenius H, Siitonen A. Emerg Infect Dis Nov-Dec;7(6):
14 Turista : prévention Hygiène alimentaire ++ Boil it, cook it, peel it yourself, or Forget it 9/10 succombent aux tentations : glaçons, salades, buffet froid,.. Ciguatera : caraïbes, océans indiens et pacifique (gros poissons des zones coralliennes) Boissons: bouteille fermée; eau filtrée, bouillie (1min) Lavage des mains ++ Chez le nourrisson : Allaitement au sein privilégié ; hygiène stricte des biberons
15 Chimioprophylaxie? en règle, non Sujets candidats pour une chimioprophylaxie de durée <3 semaines (Fluoro-quinolone ; US : rifaximine, sous-salicylate de Bismuth) Diarrhée de courte durée pouvant «ruiner» le voyage Athlètes, politiques, musiciens Terrain débilité DID, insuffisance cardiaque ; RCH, Crohn ; colostomie, paraplégique ; Sida ; HLA B27 ; Hypochlorhydrie, gastrectomie. DuPont et al. Expert Review of the evidence based for prevention of travelers diarrhea. J Travel Med 2009 ; 16(3) :
16 Vaccination? WC/rBS * : V. cholerae (Dukoral ), ETEC Efficacité de WC/rBS : 28% (95% CI: 12-42) ; nombre sujets à vacciner :10, pour prévenir 1 cas LT-ETEC ** DuPont et al. Expert Review of the evidence based for prevention of travelers diarrhea. J Travel Med 2009 ; 16(3) : *Lopez-Gigosos R et al.effectiveness of the WC/rBS oral cholera vaccine in the prevention of traveler's diarrhea: A prospective cohort study. Hum Vaccin Immunother Jan 16;9(3). **Steffen et al. Efficacy of a travelers' diarrhea vaccine system in travelers to India.J Travel Med Nov-Dec;20(6):374-9.
17 Traitement Réhydratation
18 Electrolytes : selles vs S. R.O. Selles liquides Na K Cl HCO3 Glucose enfant choléra (enfant) S. R.O. OMS diverses 45/60 20/25 35/
19 Professor Stanley G. Schultz In the Field of Public Health PRINCE MAHIDOL AWARDEES 2006
20 Electrolytes : selles vs S. R.O. Selles liquides Na K Cl HCO3 Glucose enfant choléra (enfant) S. R.O. OMS diverses 45/60 20/25 35/ Coca-Cola 5 <1 < Jus pomme <1 25 <1 <1 120 Jus d orange <1 50 < «Fait maison» : 6 cuillerées café de sucre + 1 cuillerée café de sel / 1 litre d eau
21 Traitement Réhydratation Traitement médicamenteux
22 Turista : Traitement de 5 à 3 jours Diarrhée > 4 selles liquides / 24 h 1. TMP/ SMX (320/1600 mg), 5 jours > Placebo 2. Ciprofloxacine (500 mg x 2), 5 jours > Placebo 3. Ofloxacine (600 mg/j) : 3 jours = 5 jours 4. Norfloxacine (800 mg/j), 3 jours > Placebo Références 1. DuPont et al, N. Engl. J. Med., 1982, 307, Ericsson et al, Ann. Intern. Med., 1987, 106, DuPont et al, Antimicrob. Agents Chemother., 1992, 36, Mattila et al, Clin. Infect. Dis., 1993, 17,
23 Turista : Traitement «minute» Diarrhée > 1-4 selles liquides / 24 heures Exclus : Fièvre > 38,3, ou, Rectorragie 1. Ciprofloxacine : 750 mg x 1 = 500 mg x 6 2. Ciprofloxacine : 500 mg, 1 prise > Placebo 3. Norfloxacine : 800 mg, 1 prise > Placebo Références 1. Petrucelli et al, J. Infect. Dis., 1992, 165, Salan et al, Lancet, 1994, 344, Johnson et al, Aviat. Space Environ. Med., 1992, 63, 717
24 Azithromycin vs levofloxacin dans la diarrhée aiguë du voyageur à Mexico 210 sujets randomisés : Azithromycin (1000 mgx1) vs levofloxacin (500mgx1) Exclues : formes sévères Entéropathogènes : ETEC >50% ; Salmonella sp : 8% ; Shigella sp : 2% Non infériorité de Azithro vs Levoflo Adachi DuPont, Clin Infect Dis 2003, 37 :
25 Azithromycine vs levofloxacine dans la diarrhée aiguë du voyageur en Thaïlande 156 militaires Etiologie : Campylobacter sp : 64% ; Az_S : 100% vs Levo_S : 50% «Non Typhoïdal» Salmonella sp : 17% E. coli enteropathogène : 11%, dont ETEC : 3%, EIEC : 8% Virus : 4% Absence de pathogène : 20% Azithro (1gr x1) > Levoflo ( 500 mg/j, 3 jours) : Guérison clinique à H48 et H72 : 65% vs 38% et 96% vs 70% Éradication bactério. à H72 post traitement : 96% vs 38% Trible et al. CID 2007;44(1 feb):338-46
26 Shigelloses : traitement minute? 1. Tétracyclines efficaces en 1 prise 2. Norfloxacine (800 mg), 1 prise = T/S, 5 jrs 3. Ciprofloxacine 1 gr, 1 prise = 1 gr, 5 jrs Sauf, si S. dysenteriae type 1 : 1 prise < 5 jrs Références 1. Garfinkel, 1953 ; Lionel, 1969 ; Pickering, Gotuzzo, Antimicrob. Agents Chemother., 1989, 33, Bennish, Ann. Intern. Med., 1992, 117,
27 Shigelloses Azithromycine (500 mg J1, 250mgx1, J2-5) vs Ciprofloxacine (500 mg x 2 /j, 5 jours) Evolution Azithro n=34 Ciproflox n=36 p Succès clinique (%) 28 (82) 32 (89) ns S.dysenteriae 1 12/17 (71) 15/18 (83) Succès bactério (%) 32 (94) 36 (100) ns Fièvre > 24h 1 0 ns Tenesme > 72h Nb selles ns Bennish, Ann Intern Med 1997, 126 :
28 Traitement de la shigellose à S. dysenteriae type 1 (OMS, 2008)
29 Diarrhée : Traitement médicamenteux cholériforme modérée Traitement symptomatique ; si inefficace > 3 selle liquide en 24h + Fluoroquinolone ou azithromycine * sévère Traitement symptomatique + Fluoroquinolone ou azithromycine* lopéramide (si âge > 30 mois), racécadotril (Tiorfan ) * durée : 1 jour
30 Diarrhée : Traitement médicamenteux cholériforme modérée Traitement symptomatique ; si inefficace > 3 selle liquide en 24h + Fluoroquinolone ou azithromycine * sévère Traitement symptomatique + Fluoroquinolone ou azithromycine* lopéramide (si âge > 30 mois), racécadotril (Tiorfan ) * durée : 1 jour dysenterie Fluoroquinolone ou azithromycine 3 à 5 jours Antipéristaltiques contre-indiqués «Antiseptiques» intestinaux : efficacité non prouvée Cotrimoxazole : souches R (Campylobacter, S.Typhimurium, E.coli)
31 Suggestions d études cliniques Efficacité d une chimioprophylaxie de la DV par ciprofloxacine/azitromycine chez les sujets sous IPP Applicabilité d un algorithme de traitement selon le tableau clinique
32 Diarrhées subaiguës et chroniques au retour d un voyage Étiologie : Infectieuse : Parasitaires : protozoaires (Giardia, Cryptosporidium, Cyclospora, Isospora, Entamoeba histolytica, Blastomyces hominis), helminthes (schistosomes, strongyloïdes) Bactéries : Campylobacter, E. coli enteroaggregans, Salmonella - C. difficile? Intolérance aux sucres, pullulation bactérienne, Dupont. CID 2008;46:594-9 Neuberger A et al. Clostridium difficile Infection in travelers--a neglected pathogen? J Travel Med Jan-Feb;20(1):37-43.
33 «Syndrome de l intestin irritable post- infectieux». Incidence : 3-32 % des patients ayant présenté une DV Douleurs abdominales (inconfort) > 3 jours par mois, depuis > 3 mois associées à >2 des éléments suivants : amélioration des symptômes après exonération, modification de la fréquence des selles, ou de la consistance des selles Facteurs de risque : durée de la DV, tabagisme, sexe féminin, facteurs psychologiques comme dépression, hypochondrie, évènements douloureux survenus au cours des derniers mois. DuPont AW. Clin Infect Dis 2008 ; 46 : Pitzurra R et al. J Travel Med 2011 ; 18 : El-Salhy et al. Irritable bowel syndrome: diagnosis and pathogenesis. J Gastroenterol Oct 7;18(37) Connor BA, et al. Post-infectious sequelae of travelers' diarrhea. J Travel Med Sep-Oct;20(5):
34 Diarrhées subaiguës et chroniques au retour d un voyage : CAT Coproculture ± C. difficile + EPS x 3 Si ex copro négatifs, traitement(s) d épreuve : Métronidazole (si giardiose : en 2ème intention, albendazole, quinacrine) Bactrim Fluoroquinolones (?) Si négatif : coloscopie
35 Quizz La DV ne survient que chez les V. se rendant dans un PED Les salmonelles sont la 2 ème cause de la DV Les norovirus sont une cause fréquente de la DV Les cryptosporidies peuvent être responsables de diarrhée prolongée chez le sujet immunocompétent Blastocystis hominis peut être responsable de DV L eau est stérilisée par ébullition en une minute La lévofloxacine était active in vitro sur ~ 60% des ETEC en Inde dans les années 2000 L azithromycine n est pas active sur S. dysenteriae La rifaximine a une AMM dans la prévention de la DV Le Dukoral peut prévenir 2/3 des cas de DV
36 «Turista» Take Home Messages Diarrhées aiguës Origine bactérienne prédominante : E. coli (ETEC++) Réhydratation orale : boisson salée et sucrée (pas trop!) Antibiotiques : - À réserver aux diarrhées cholériformes à partir de la 3ème selle liquide (<12h) et aux diarrhées fébriles avec dysenterie - Fluoroquinolone ou azithromycine - Durée : 1 à 3 jours
37 Take Home Messages : Diarrhées subaiguës et chroniques Diarrhée au retour Etiologie parasitaire prédominante : protozoaires > helminthes EPS x 3 Traitement(s) d épreuve : métronidazole (cotrimoxazole) Si inefficace(s): endoscopie digestive En dernière analyse : «post-infectious irritable bowel»
38 Take Home Message :! Don t forget!
Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris
Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)
Plus en détailDIARRHEE PERSISTANTE APRÉS UN VOYAGE
DIARRHEE PERSISTANTE APRÉS UN VOYAGE Relevé des maladies transmissibles au Canada Vol. 24 (DCC-1) 1 er janvier 1998 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif de la médecine tropicale
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPartie I Recommandations aux voyageurs des pays tropicaux - 15
8 Avertissement Mis à part quelques précisions sur la prévention du paludisme (malaria) et le traitement de la diarrhée chez les enfants, ce livre ne se consacre ni aux nouveau-nés et jeunes enfants, ni
Plus en détailLES TOXI - INFECTIONS ALIMENTAIRES
LES TOXI - INFECTIONS ALIMENTAIRES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Pr. N. MARTY (mail : ) Objectifs : I Introduction Les intoxications alimentaires sont fréquentes y compris dans
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailSurveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies
Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailL ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE
L ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE SOMMAIRE 1 La coloscopie, c est quoi?.......................... 4 2 Les objectifs de l examen........................... 5 3 Se préparer à l examen en toute securité...............
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLes animaux en EHPAD : règles d hygiène
5 ème journée régionale de formation et d information. Prévention du risque infectieux en EHPAD CHRU de LILLE Les animaux en EHPAD : règles d hygiène Annie BRENET, CDS Hygiéniste ARLIN Picardie Jeudi 23
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailConflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine
Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailRÉSULTATS DU SONDAGE SUR LES INTERVENTIONS DES DIRECTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE (DSP) RÉGIONALES
RÉSULTATS DU SONDAGE SUR LES INTERVENTIONS DES DIRECTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE (DSP) RÉGIONALES DU QUÉBEC RELATIVEMENT AUX MALADIES ENTÉRIQUES À DÉCLARATION OBLIGATOIRE LABORATOIRE DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détail2003-45 ème année - 3 ème Trim. - N 176
AAEIP 176.qxd:AAEIP 176.qxd 26/01/10 18:02 Page 53 ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DE L INSTITUT PASTEUR 2003-45 ème année - 3 ème Trim. - N 176 SOMMAI LE MOT DU PRESIDENT p. 54 TOXI-INFECTIONS PAR L EAU
Plus en détailINVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME
INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLes toxi-infections alimentaires collectives : aspects cliniques et épidémiologiques
Les toxi-infections alimentaires collectives : aspects cliniques et épidémiologiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Description... 3 I.1
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailNOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine
NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailÉlévation du niveau d'hygiène dans la restauration
Master in Advanced Studies Food Safety Services / 2009-2011 Travail de MAS Élévation du niveau d'hygiène dans la restauration Pierre Bonhôte Superviseur: Bernard Klein, chimiste cantonal du canton de Vaud
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailNOTICE. TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé
NOTICE ANSM Mis à jour le : 15/07/2014 Dénomination du médicament Encadré TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient
Plus en détailPIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.
Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailPayons-nous trop cher nos médicaments? Denis Rousseau, B. Pharm., D.A. Relations gouvernementales Merck Frosst Canada Ltée
Payons-nous trop cher nos médicaments? Denis Rousseau, B. Pharm., D.A. Relations gouvernementales Merck Frosst Canada Ltée Novembre 2005 1 Pourquoi prenons-nous des médicaments? Pour réduire la douleur
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailPrix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI
Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Paul M. Tulkens, Dr Med., Sp. Biol. Clin. Cellular and Molecular Pharmacology
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailFièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois
Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailTransmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»
Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailMicro-organismes et parasites des viandes : les connaître pour les maîtriser, de l éleveur au consommateur. Avant-propos
Avant-propos Les Cahiers Sécurité des Aliments du Centre d Information des Viandes (CIV) ont pour objet de rendre plus facilement accessible l ensemble des données techniques, réglementaires et scientifiques
Plus en détail