Le Traitement hormonal de la Ménopause en 2012

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le Traitement hormonal de la Ménopause en 2012"

Transcription

1 Le Traitement hormonal de la Ménopause en 2012 Patrice Lopes CHU de Nantes Conflit d intérêt : aucun personnel. Président du GEMVi (soutenu par l industrie pharmaceutique, déclaration d intérêt sur

2 Distribution cumulative de l âge de la ménopause et taux d estradiol Collaborative Group on hormonal factors in Breast cancer; Lancet Oncol. 17/10/2012. Méta-analyse de 117 études épidémio, femmes sans cancer du sein, femmes avec cancer du sein

3 Les Traitements Hormonaux LES DEFINITIONS La ménopause précoce se définit par sa survenue à un âge moins deux DS par rapport à la population de référence : l âge de 40 ans est souvent l âge choisi arbitrairement THS = Traitement hormonal substitutif Pour les ménopauses avant l âge de 50 ans THM = Traitement hormonal de la ménopause Pour les ménopauses survenues après l âge de 50 ans Intérêt : Dissocier les durées des traitements hormonaux et ne pas se limiter à la notion de durée des symptômes climatériques

4 THM oui, mais ne pas oublier les REGLES HYGIENO-DIETETIQUES Activités physiques (30 à 45 mn de marche rapide par jour) : prévention des risques cardiovasculaires, osseux voir carcinologiques (E3N). Hygiène alimentaire : calcium 1200 à 1500 mg/jour et vitamine D (correction de l hypovitaminose D). Uvedose ( UI tous les 3 mois) Eviction du tabac. Limitation de la prise d alcool (3 verres/j = risque plus important de cancer du sein que le THM de la WHI) Traitement Hormonal Local (E3 et promestriène)

5 THM : BALANCE RISQUES-BENEFICES BENEFICES PROUVES BENEFICES PROBABLES RISQUES PROBABLES RISQUES PROUVES BVM, SUEURS Nocturnes et Douleurs articulaires OSTEOPOROSE, PREVENTION FRACTURES PREVENTION ATHEROME TROUBLES Humeur, sommeil Mémoire, fatigue, dépression Accidents cardiovasculaires et vasculaires cérébraux CEPHALEES CANCER SEIN ACCIDENT THROMBO EMBOLIQUE TROPHICITE VAGINALE Prévention Diabète type 2 CHOLECYSTITE CHIRURGIE VESICULAIRE CANCER COLON ALZHEIMER CANCER OVAIRE K ENDOMETRE (Estrogènes seuls) Il faut individualiser cette balance bénéfices/risques

6 Effets de la Progestérone Micronisée sur les BVM 133 femmes de 44 à 62 ans Progestérone 300mg/j pris au coucher n=75) vs placebo (n=58) VMS scores : difference en faveur de la progestérone : -4,3 (-6,6 à 1,9) VMS fréquence : différenve en faveur de la progestérone : -1,6 (-2,4 à -0,8) VMS sévères : -0,2 (-0,4 à - 0,0) : placebo : Progestérone 300mg/j Hitchcock CL, Prior JC : Oral micronized progesterone for vasomotor symptoms-a placebocontrolled randomized trial in healthy postmenopausal women. Menopause : Effet neuroprotecteur de la Progesterone

7 LES RISQUES DE LA MENOPAUSE Ménopause Troubles du climatère Tr. génito-urinaires Ostéoporose, fractures Athérosclérose, AVC Tr. cognitifs Démences

8 THM recommandations ANSM : Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé 12/7/ /1/2003 3/12/ /10/ /7/2006 : mise au point en juin 2006 et actualisation des recommandations et de l information destinée aux femmes Résultats complémentaires de la WHI (estrogènes seuls), E3N en fonction du type de THM ESTHER : risque thrombo-embolique veineux en fonction de la voie d administration Pas de remise en cause des reco précédentes Publications de documents Vous et votre THM Le THM : ce qu il faut savoir 12/2/2008 : mise au point sur le THM

9 THM recommandations ANSM : Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé 12/2/2008 : mise au point sur le THM Comité d experts épidémiologistes et biostatisticiens Nouvelles données WHI, MWS, NIH Cancers du sein et cancers de l ovaire Intégration de l étude E3N et de MISSION Pas de Modification des recommandations de juin 2006 Chez la femme ménopausée présentant des troubles fonctionnels liés à la ménopause, un THM peut être instauré si la patiente le souhaite, à la dose minimal efficace, et ce tant que durent les symptômes Ré-évaluation régulière de la balance B/R au moins une fois par an Ostéoporose chez la femme ménopausée : à envisager si syndrome climatérique gênant et/ou intolérance à un autre traitement indiqué dans la prévention de l ostéoporose Il était prévu d actualiser les recommandations. Aucune publication en

10 THM : BALANCE RISQUES-BENEFICES BENEFICES PROUVES BENEFICES PROBABLES RISQUES PROBABLES RISQUES PROUVES TVM, SUEURS NOCTURNES et TROUBLES CLIMATERIQUES OSTEOPOROSE, PREVENTION FRACTURES PREVENTION ATHEROME TROUBLES Humeur, sommeil Mémoire, dépression Accidents cardiovasculaires et vasculaires cérébraux CEPHALEES CANCER SEIN ACCIDENT THROMBO EMBOLIQUE TROPHICITE VAGINALE Prévention Diabète type 2 CHOLECYSTITE CHIRURGIE VESICULAIRE CANCER COLON ALZHEIMER CANCER OVAIRE K ENDOMETRE (Estrogènes seuls) Il faut individualiser cette balance bénéfices/risques

11 THM et risque cardio-vasculaire PARADOXE EFFET PROTECTEUR Biologie Modèles animaux Etudes d observation EFFET DELETERE Etudes d intervention Prévention II HERS, WHI

12 Women s Health Initiative LIMITES DE L ETUDE: -1 seul type de traitement pour toutes les femmes (Age = 63 ans) -35% de surpoids + 35% d obèse, -Type de THS : Posologie, Molécules, Voies d administration -Analyse en «intention to treat» mais sous estimation des résultats -42 % d arrêt du THS et 38% d arrêt du placebo -10,7% des femmes sous placebo ont pris un THS 21,5% AGE 45,3% 10 % 23,2% ans ans ans ans

13 Risque coronarien en fonction de l âge et de l ancienneté de ménopause (WHI) CEE CEE +MPA (Anc. MP) (Anc. MP) < 10 0,48 (0,20-1,17) < 10 0,88 (0,54-1,43) ,96 (0,64-1,44) ,23 (0,85-1,77) > 20 1,12 > 20 1,48 (0,85-1,46) (1,14-2,41) Roussov J et al, JAMA 2007

14 Les Publications récentes KEEPS (Kronos Early Estrogen Prevention Study) Oct 2012 DOPS : HRT on CV events in recently PMW : RT BMJ Oct 2012 Climateric juin ans après la WHI Cochrane data base de Juillet 2012 sur les effets à long terme du THM (23 études pris en compte mais en fait résultats essentiellement fondé sur HERS et WHI)

15 Kronos Early Estrogen Prevention Study (KEEPS) Présenté à la NAMS en octobre femmes de 42 à 59 ans (Etude Multicentrique randomisée en 3 groupes pour une durée de 4 ans. THM donné dans les 3 ans qui suivent la ménopause. Exclusion des femmes à risque CV Traitement estrogénique oral (0,45 mg de Prémarin*vs transdermique : Patch de Climara* de 50µg/j) vs Placebo Si E : Progestérone donnée de façon cyclique (200 µg/j pdt 12 jours) vs placebo Compliance : 64% (466) Le THM donné tôt après la ménopause est : Efficace : symptômes climatériques, sexualité: plus de lubrification et mons de douleur. t-e2 a de plus améliorer le désir et l excitabilité, humeur, DMO, et plusieurs marqueurs du risque CV (eim-cac) Sûr. Pas de complications significative mais effectif de petite taille

16 Effets cardio-vasculaires du THM. Etude DOPS Etude Ouverte prospective randomisée (DOPS : Danish Osteoporosis Prevention Study) planifiée initialement pour 20 ans. Danemark cas. Etude pendant 11 ans mais suivi ultérieur de la cohorte pendant 16 ans 1006 femmes de 45 à 58 ans, récemment ménopausée (m=7 mois) ont été randomisées (43 % de fumeuses) : 502 THM ((E2+NETA: trisequens*) ou E2 2mg (estrofem*) si Hysterectomie vs 504 sans traitement Réduction du risque cardio-vasculaire sans augmentation du nombre de cancers (36 vs 39 : RR= 0,92, 95% IC: 0,58-1,45) Décès 16 vs 33 (RR=0,48 : 0,26-0,87) ; 0,49 si ajusté à l âge Décès durant la période d intervention : 15 vs 26 RR= 0,57 (0,30-1,08) Défaillance cardiaque : 1 vs 7; infarctus du myocarde : 1 vs 4 Cancers du sein : 10 vs 17 RR= 0,58, (0,27-1,27) TVP : 2 vs 1; 1 embolie pulmonaire dans le groupe contrôle AVC : 11 vs 14 RR=0,77 (0,35-1,70) Schierbeck LL et coll; Effect of HRT oncv events in recently postmenopausal women : a randomised trial. BMJ oct 2012

17 Effets du THM en cas de ménopause récente Risque de décès ou d admission à l hôpital pour défaillance cardiaque ou infarctus du myocarde Risque du THM Schierbeck LL et coll; Effect of HRT oncv events in recently postmenopausal women : a randomised trial. BMJ oct 2012

18 Le Premier grand Principe du THM pour / Respect de la fenêtre d intervention Traiter de 50 à 60 ans Moins de 10 ans après le début de la ménopause Prévention de l athérosclérose et diminution de l insulino-résistance

19 PATHOLOGIE VEINEUSE ET THS : INFLUENCE DE LA VOIE D ADMINISTRATION 155 cas vs 381 témoins D après Scarabin PY et al, Lancet 2003 (Etude ESTHER)

20 THM et risque d accident thrombo-embolique veineux D après Olié V et al, Current Opin Hematol 2010

21 Influence de la voie d administration et de la posologie estrogénique sur le risque d AVC General Practice Research Database D après Renoux C et al, BMJ 2010

22 Le 2 grand Principe du THM pour / Respect de la fenêtre d intervention Prévention de l athérosclérose 2/ La voie d administration extradigestive des estrogènes diminue le risque thrombo-embolique

23 Discuter les molécules et les schémas thérapeutiques Les molécules : priorité aux hormones bio-identiques. Le MPA est neuro-toxique, athérogène et nocif sur les cellules mammaires cancéreuses en culture Les Schémas : SÉQUENTIEL = HÉMORRAGIE DE PRIVATION (règles) COMBINÉ = PAS D HÉMORRAGIE DE PRIVATION CONTINU Pas d arrêt du traitement estrogénique DISCONTINU Intérêt : doses minima efficace, apoptose? Arrêt périodique des estrogènes ou des estro-progestatifs 25 ou 28/mois 5 j / 7

24 THS : BALANCE RISQUES-BENEFICES BENEFICES PROUVES BENEFICES PROBABLES RISQUES PROBABLES RISQUES PROUVES TVM, SUEURS NOCTURNES et TROUBLES CLIMATERIQUES OSTEOPOROSE, PREVENTION FRACTURES PREVENTION ATHEROME TROUBLES Humeur, sommeil Mémoire, dépression Accidents cardiovasculaires et vasculaires cérébraux CEPHALEES CANCER SEIN ACCIDENT THROMBO EMBOLIQUE TROPHICITE VAGINALE Prévention Diabète type 2 CHOLECYSTITE CHIRURGIE VESICULAIRE CANCER COLON ALZHEIMER CANCER OVAIRE K ENDOMETRE (Estrogènes seuls) Il faut individualiser cette balance bénéfices/risques

25 THM et Cancers La diversité des THM Molécules E2 ou Prémarin Progestérone, rétrogestérone ou progestatifs Voies d administration Schémas d administration Combinés ou séquentiels Continus ou discontinus Posologies Administration Précoce : fenêtre d intervention Durée des THM La diversité des cancers Cancer du sein Cancer de l endomètre Cancer de l ovaire Cancer du Colon Cancer du Poumon Autres Cancers Facteurs individuels Age BMI FdR de chaque cancer

26 Cancer du sein et THM Retard de l âge de la ménopause augmente le risque de cancer du sein : (Méta-analyse Oxford 1997) RR= 1,028 par année de ménopause retardée RR= 1,023 par année d utilisation du THM Effet promoteur mais non inducteur du THM Collaborative Group on hormonal factors in Breast cancer; Lancet Oncol. 17/10/2012

27 E3N Le THM : Influence des molécules pour E3N et EPIC Total des THM : RR = 1,2 (IC 95% 1,1-1,4) Estro-progestatifs RR = 1,3 (1,1-1,5) F progestatif : Progestatifs de synthèse : RR = 1,4 (1,2-1,7) Progestérone micronisée : RR = 0,9 (0,7-1,2) EPIC Estrogènes seuls RR=1,42 (1,23-1,64) Estro-progestatifs RR=1,77 (1,40-2,24) Risque plus élevé avec les THM combiné (55 cancers / AF) Fournier A et al, Int J Cancer 2005 Bakken K et al, Int J Cancer 2010

28 Rôle des progestatifs et du schéma : Lyytinen H (2009) 1/ Avec le NETA THM contenant du NETA THM séquentiel THM Combiné-continu NETA ( 5 ans) 1,72 (1,52-1,93) 2,56 (2,55-2,88 ) NETA (> 10 ans) 1,90 (1,04-3,18) 3,83 (2,34-5,91) 2/ Avec la Dydrogestérone THM conten an t d e la dydrog estéro ne Exposi tion co ntrôlée 6 mois-<3 an s 3 - <5 an s 5 ans et pl us N Observ é Atten du SIR (95% IC) ,02 (0,82-1,26) 1,22 (0,83-1,72) 1,13 (0,49-2,22)

29 Le 3 grand Principe du THM pour / Respect de la fenêtre d intervention Prévention de l athérosclérose 2/ Privilégier la voie d administration extra-digestive des Estrogènes Diminution du risque thrombo-embolique 3/ L utilisation des molécules bioidentiques Diminution du risque de cancer du sein

30 Cancer du colon Simon MS, Chlebowski RT, Wactawski-Wende J, et al. Estrogen plus progestin and colorectal cancer incidence and mortality. J Clin Oncol 2012 (24 Sept) 11,6 ans de suivi Diagnostics/an : 0.12% vs. 0.16%; HR 0.72; 95% CI ; p = Cancers pour le THM : N+ :50.5% vs. 28.6%; p < 0.001) Stade du cancer plus élevé : regional ou à distance, 68.8% vs. 51.4%; p = 0.003) Mortalité non différente significativement

31 THM et cancer de l'ovaire 1/ 41 études épidémiologiques entre 1969 et 2006 dont 27 études cas-témoins, 10 études de cohorte et 4 méta-analyses. 2/ Si la majorité des études conclue à l'absence d'augmentation de ce risque, certaines études (parmi les plus récentes) seraient en faveur d'une augmentation légère du risque particulièrement avec les traitements estrogéniques ou estroprogestatifs séquentiels prolongés de plus de 10 ans. 3/ Risque absolu de 0,12/1000 (1 cancer de l ovaire supplémentaire pour 8300 femmes) Morch (JAMA 2009)

32 Trabert B, Wentzensen N, Yang HP, et al. Ovarian cancer and menopausal hormone therapy in the NIH- AARP diet and health study. Br J Cancer 2012 (28/8) Femmes en post menopause de 1996 à cancers de l ovaire Estrogènes seuls pendant 10 ans : RR 2.15, 95% CI Estrogen + progestatifs : RR 1.68, 95% CI Estrogen +progestatifs < 15 j/mois) RR 1.60, 95% CI ) Estrogen +progestatifs en combiné (25 j/mois) RR 1.43, 95% CI

33 Consensus Statement on APMF MHT. Paris le 10/11/2012

34 Key points- basic statement (1) 1 - Menopausal hormone therapy (MHT) is the most effective treatment for moderate to severe menopausal symptoms before the age of 60 years or within 10 years after menopause 2- MHT is an effective treatment for the prevention of fracture in at risk women before age 60 years or within 10 years after menopause 3 Randomized controlled trials and observational data as well as meta-analyses have provided strong evidence that standard dose estrogen alone MHT decreases coronary disease and all cause mortality in women younger than 60 years of age and within 10 years of menopause. Data on estrogen plus progestogen in this population show a similar trend but with less precision. MHT does not cause an increase in coronary events in healthy women less than 60 years of age or within 10 years of menopause.

35 Key points- basic statement (2) 4 - Local low dose estrogen therapy is preferred for women whose symptoms are limited to vaginal dryness or associated discomfort with intercourse. 5 - Estrogen as a single systemic agent is appropriate in women after hysterectomy but additional progestogen is required in the presence of a uterus 6 - The option of menopausal hormone therapy (MHT) is an individual decision in terms of quality-of-life and health priorities as well as personal risk factors such as age, time since menopause and the risk of venous thromboembolism, stroke, ischemic heart disease and breast cancer. 7 - The risk of VTE and ischemic stroke increases with oral MHT but the absolute risk is rare below age 60 years. Observational studies point to a lower risk with transdermal therapy.

36 Key points- basic statement (3) 8 - The risk of breast cancer in women over 50 years associated with MHT is a complex issue. The increased risk of breast cancer is primarily associated with the a addition of a progestogen to estrogen therapy and related to the duration of use. The risk of breast cancer attributable to MHT is small and the risk decreases after treatment is stopped. 9 - There is a lack of safety data supporting the use of MHT (ET or EPT) in breast cancer survivors The dose and duration of MHT should be consistent with treatment goals and should be individualized In women with premature ovarian insufficiency, systemic MHT is recommended until the average age of the natural menopause The use of custom compounded bioidentical hormone therapy is not recommended

37 Conclusions Avec le suivi des 3 grands principes de la prescription du THM pour / Respect de la fenêtre d intervention 2/ Utilisation des hormones bio-identiques 3/ L administration des estrogènes par voie percutanée ou transdermique Les bénéfices l emportent largement sur les risques 85 % des femmes gynécologues traitent leur ménopause et ce bien plus que 5 ans Pour plus d information :

Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause

Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Caractéristiques de l utilisation en France Effets sur la survenue de cancers du sein et d évènements cardiovasculaires en France Propositions d

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

T. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION****

T. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION**** J Gynecol Obstet Biol Reprod 2005 ; 34 (cahier 1) : 658-665. Travail original Méthodologie de l enquête MISSION (Ménopause, risque de cancer du SeIn, morbidité et prévalence) T. Chevallier*, J.-P. Daurès*,

Plus en détail

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT

IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PROMETRIUM Progestérone en capsules Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la «monographie

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

S. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.

S. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation. 2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

journées chalonnaises de la thrombose

journées chalonnaises de la thrombose Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Prise en charge de la ménopause

Prise en charge de la ménopause N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

En dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir?

En dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir? En dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir? L intérêt des NACOs ne se limite pas à la prévention du risque thrombo-embolique dans la FA non valvulaire. En effet, ces molécules

Plus en détail

Atelier santésuisse du 23.11.2005 Expériences en Grande- Bretagne: Mesure des résultats au niveau du NHS

Atelier santésuisse du 23.11.2005 Expériences en Grande- Bretagne: Mesure des résultats au niveau du NHS Atelier santésuisse du 23.11.2005 Expériences en Grande- Bretagne: Mesure des résultats au niveau du NHS Exposé de Robert Dobler PHD / NHS Mesure des résultats NHS, Grande- Bretagne Mon cabinet médical

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation

Plus en détail

Infospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014

Infospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement

Plus en détail

JSIam Introduction talk. Philippe Gradt. Grenoble, March 6th 2015

JSIam Introduction talk. Philippe Gradt. Grenoble, March 6th 2015 Introduction talk Philippe Gradt Grenoble, March 6th 2015 Introduction Invention Innovation Market validation is key. 1 Introduction Invention Innovation Market validation is key How to turn a product

Plus en détail

103 Boulevard Stalingrad 69100 LYON / VILLEURBANNE

103 Boulevard Stalingrad 69100 LYON / VILLEURBANNE Comité D ORGANISATION Dr. Gabriel André - Pr. Léon Boubli Dr. Evelyne Drapier-Faure - Pr. Anne Gompel Pr. Claude Hocké - Dr. Brigitte Letombe Pr. Patrice Lopès - Pr. Geneviève Plu-Bureau Dr. Florence Trémollieres

Plus en détail

Le cœur et les artères des femmes sont en danger

Le cœur et les artères des femmes sont en danger Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que

Plus en détail

La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse

La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements

Plus en détail

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

CHAPITRE III : LA MENOPAUSE

CHAPITRE III : LA MENOPAUSE CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir

Plus en détail

CœUR, artères et femmes aujourd'hui, LES FEMMES sont moins

CœUR, artères et femmes aujourd'hui, LES FEMMES sont moins CœUR, artères et femmes aujourd'hui, LES FEMMES sont moins protégées QUE LES HOMMES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

NACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière

NACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*

L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg

Plus en détail

Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012

Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL

Plus en détail

Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie

Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie 4ÈME JOURNÉE INTERRÉGIONALE DU GIRCI GRAND OUEST Etudes observationnelles sur les bases de données de l assurance maladie Dominique Polton Conseillère auprès du Directeur général Assurance maladie, caisse

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Anticoagulation chez le sujet âgé cancéreux en traitement. PE Morange Lab.Hématologie Inserm U1062 CHU Timone Marseille

Anticoagulation chez le sujet âgé cancéreux en traitement. PE Morange Lab.Hématologie Inserm U1062 CHU Timone Marseille Anticoagulation chez le sujet âgé cancéreux en traitement PE Morange Lab.Hématologie Inserm U1062 CHU Timone Marseille Le cancer est un FDR établi de TV X 4.1 Heit JA Arch Int Med 2000 Délai diagnostic

Plus en détail

PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN

PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN Présentation publique du jeudi 10 septembre, 2009 Public presentation of Thursday, September

Plus en détail

Frequently Asked Questions

Frequently Asked Questions GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the

Plus en détail

Une version du présent guide destinée aux patientes figure à l annexe 1.

Une version du présent guide destinée aux patientes figure à l annexe 1. Guide de pratique clinique pour la prise en charge et le traitement du cancer du sein : 14. Le rôle de l hormonothérapie de remplacement pour les femmes chez lesquelles on a déjà diagnostiqué un cancer

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

GROUPES D ALIMENTS ET MALADIES CHRONIQUES : QUELLES RELATIONS?

GROUPES D ALIMENTS ET MALADIES CHRONIQUES : QUELLES RELATIONS? DÉSÉQUILIBre ALIMeNTAIre I PAR ANTHONY FARDET1 ET YVES BOIRIE2 contact@edp-nutrition.fr OLGA LYUBKINA FOTOLIA.COM S il est difficile d établir un effet protecteur ou délétère sur la santé des groupes d

Plus en détail

Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette

Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette Hausse de l incidence du cancer : peut-on contribuer à réduire ce fardeau? Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette 2 M me Cormier, une ingénieure de 30 ans, vous consulte pour un bilan

Plus en détail

Après la prévention veineuse

Après la prévention veineuse Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que

Plus en détail

Data issues in species monitoring: where are the traps?

Data issues in species monitoring: where are the traps? Data issues in species monitoring: where are the traps? French breeding bird monitoring : Animations locales : - dealing with heterogenous data - working with multi-species multi-sites monitoring schemes

Plus en détail

CLIM/GTP/27/8 ANNEX III/ANNEXE III. Category 1 New indications/ 1 re catégorie Nouvelles indications

CLIM/GTP/27/8 ANNEX III/ANNEXE III. Category 1 New indications/ 1 re catégorie Nouvelles indications ANNEX III/ANNEXE III PROPOSALS FOR CHANGES TO THE NINTH EDITION OF THE NICE CLASSIFICATION CONCERNING AMUSEMENT APPARATUS OR APPARATUS FOR GAMES/ PROPOSITIONS DE CHANGEMENTS À APPORTER À LA NEUVIÈME ÉDITION

Plus en détail

Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE

Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE OEMéd Qu est-ce que Gyselle 20/Gyselle 30 et quand doit-il être utilisé? Gyselle 20/Gyselle 30 est un médicament anticonceptionnel hormonal, appelé contraceptif oral ou

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Point d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir

Point d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,

Plus en détail

Primeurs en cardiologie I

Primeurs en cardiologie I Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

Utilisation péri-opératoire des filtres caves

Utilisation péri-opératoire des filtres caves Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

APPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder

APPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder Page 1 APPENDIX 2 Provisions to be included in the contract between the Provider and the Obligations and rights of the Applicant / Holder Holder 1. The Applicant or Licensee acknowledges that it has read

Plus en détail

Apixaban. Rivaroxaban. Dabigatran (Pradaxa ) (Xarelto ) (Eliquis ) 6X (ClCr 10-30ml/min)

Apixaban. Rivaroxaban. Dabigatran (Pradaxa ) (Xarelto ) (Eliquis ) 6X (ClCr 10-30ml/min) dapté et modifié de: J.Eikelboom et l. Circulation. 2010;121:1523-1532 Apixaban (Eliquis ) Rivaroxaban (Xarelto ) Dabigatran (Pradaxa ) Mécanisme d action Inhibiteurs directs du FXa Inhibiteur direct du

Plus en détail

Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes

Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance

Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance Célia Boyer Directrice exécutive de la Fondation Liège, le 2 décembre 2013 Quelques chiffres sur l usage d Internet en santé

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 A REMPLIR

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Les Anticoagulants Oraux Directs en Pratique Courante

Les Anticoagulants Oraux Directs en Pratique Courante Les Anticoagulants Oraux Directs en Pratique Courante Philippe Mabo, CHU de Rennes CARDIORUN 2014 Boucan Canot, 1 er octobre 2014 Mes relations avec l industrie Bourses de recherche: Boston, Biotronik,

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia. Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)

La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0

Plus en détail

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement

Plus en détail