Ce qu il. Le marché du travail > page 4-5. > page 2-3. > page 6-7. > page 8. 9 mars 2010

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ce qu il. Le marché du travail > page 4-5. > page 2-3. > page 6-7. > page 8. 9 mars 2010"

Transcription

1 NOTE de conjoncture COMITÉ DE COOPÉRATION POUR LA DYNAMISATION DE L ÉCONOMIE ET DE L EMPLOI 9 mars 2010 Ce qu il faut retenir Concernant la situation économique et la vie des entreprises, 2010 reflète des situations très différentes, avec, d une part la situation des grands donneurs d ordre qui reste fragile et qui conditionne en grande partie l activité générale des TPME/PMI et d autre part, des pans de l économie comme l artisanat qui semblent résister. Le nombre d établissements continue donc à progresser, en partie grâce à la mise en place des dispositifs légaux facilitateurs de la création d entreprise et grâce, in fine, à l existence d un solde de création/cessation positif, porté justement, par les petites unités, moins impactées du fait de leur flexibilité. En effet, sur une courte période, le facteur travail a constitué la variable d ajustement, même si les entreprises ont reculé le moment de se séparer de leurs ressources humaines afin de pouvoir anticiper une éventuelle reprise. De fait, la baisse de l emploi salarié est considérable. Elle s accompagne d une modification de la structure des contrats de travail passés, avec une accélération du recours au CDD et une baisse du recours à l intérim par les donneurs d ordres ainsi que par les grands sous-traitants. Au sein de la demande d emploi et, en lien avec la structuration du tissu économique où l industrie lourde domine, ce sont les hommes qui sont le plus fortement touchés par la progression du chômage. Dans ce contexte fragile, mis en évidence par le fait que le bassin d emploi a été trois fois plus touché par la crise que le reste du département, mais en lien également avec les évolutions structurelles montrant une accélération de la place du tertiaire dans l économie, certains secteurs résistent banque/assurance, social, médical, services divers à la personne, arts et spectacles. Si la tenue de certains de ces secteurs s inscrit dans un mouvement longitudinal d accroissement du secteur tertiaire, si sous l effet de la précarisation, les ménages modifient leurs modes de consommations davantage de protection, thésaurisation, mais également davantage de loisirs, il est possible de penser également que la politique de développement des contrats aidés est en grande partie à l origine de la croissance du secteur social. Dans la période, ces évolutions favorables sont donc à relativiser. Sur le territoire, les enjeux de sortie de crise restent très importants, et ce d autant, que les villes le composant, ont renoué, pour la plupart, avec la croissance démographique. SOMMAIRE Vie des entreprises > page 2-3 Le marché du travail > page 4-5 Le Comité en action > page 6-7 ÉLÉMENTS DÉMOGRAPHIQUES > page 8

2 Vie des entreprises > les chiffres Une évolution positive du nombre d établissements Au 1 er janvier 2010, tous secteurs et tous statuts confondus, le territoire compte établissements. Évolution du nombre d établissements en 2009 Toutes les communes connaissent cette tendance mais à des rythmes plus ou moins élevés En 2009, l augmentation moyenne du nombre d entreprises a été de 7,4 % sur le territoire. Miramas a connu une progression significative du nombre d entreprises de plus de 10 %. Les villes d Istres, Saint-Mitre-les-Remparts et Grans ont, également, été très dynamiques mais avec une progression du nombre d établissements légèrement inférieure à 10 %. Les communes de Martigues et Port-de-Bouc affichent un taux de progression de plus de 7 %. Port-Saint-Louis-du-Rhône (+ 5 %), Fos-sur-Mer et Cornillon-Confoux ont été moins dynamiques (+ 6 %). Évolution du nombre d établissements en 2008 Evolution du nombre d établissements Les Services comptent pour 60 % dans le tissu économique du territoire, suivi du Commerce pour 19 %, du secteur de la Construction pour 9 %, de l Industrie pour 7 % et du secteur de l Agriculture / Pêche pour 5 %. Après l évolution positive de 2008 (+ 1,7 %), le nombre d établissements a continué d augmenter de manière encore plus soutenue en 2009 (+ 8,1 %). Ce dynamisme s explique par un nombre important de créations d entreprises (+ 54 % par rapport à 2008) et un nombre de cessations relativement stable (+ 6 %). Ce sont les Services qui progressent le plus : + 2,2 % en 2008 et + 9,8 % en 2009, suivi du secteur de la Construction avec respectivement + 2,1 % et + 9,7 %. Le secteur de l Industrie qui avait subit une légère baisse en 2008, a enregistré une progression de 3,2 % en Après s être maintenu en 2008, le secteur du Commerce a connu une progression de + 6,3 % en Le succès enregistré par le statut d auto entrepreneur formé à plus de 64 % par les Services, puis par le Commerce (19 %), le secteur de la Construction (12 %) et de l Industrie (4 %) peut être à l origine de ce phénomène. Evolution du nombre d entreprises par commune Une évolution à nuancer Les données conjoncturelles de l URSSAF (secteur privé) qui permettent d appréhender la situation économique du territoire d un point de vue des entreprises affiliées et de l emploi nuancent les bons résultats de la création d entreprises. Entre septembre 2008 et septembre 2009, la situation s est dégradée puisque le nombre d établissement a enregistré une légère diminution (- 0,9 %). L analyse conjoncturelle des différents grands secteurs révèle une dégradation importante dans la Construction qui a perdu, en un an, 3,8 % de ses établissements. Le Commerce est également en difficulté avec une perte de 0,4 % de ses établissements. L Industrie reste stable. Seuls les Services ont plutôt bien résisté à la crise et continuent de créer des établissements (+ 4,3 %). 2 Evolution des immatriculations en auto-entrepreneur en 2009 Nombre d établissements dans le secteur privé (établissements employeurs)

3 Vie des entreprises > ZOOM Contribution Contribution 2010 plus optimiste pour la chimie/pétrochime régionale Au sein d une région très diversifiée en terme d activité économique, le territoire se distingue par l importance de la filière chimie/pétrochimie, par son leadership sur certains segments, par le poids des emplois directs et indirects ainsi que par l importance des investissements. Ainsi, le complexe pétrochimique de Fos-Berre-Lavéra (Naphtachimie, Oxochimie, Arkema, LyondellBasell...) est l un des plus importants à l échelle de l Europe. Chiffres clés de la filière dans les Bouches-du-Rhône : 335 établissements et salariés 473 M de masse salariale Plus de 400 M de contrats annuels de sous-traitance 30 % de la capacité de raffinage nationale 30 % de la production française de polymères 50 % de la production de chlore français Un secteur en difficulté depuis Dès la fin 2008, les grandes industries avaient commencé à subir, par effet domino, les contrecoups de la crise automobile : Naphtachimie a diminué sa production de 40 %, les 3 sites d Arkéma du département se sont mis au ralenti, Inéos a réduit la voilure, LyondellBasell qui s est déclaré en faillite et mis sous la protection de l article 11 de la loi américaine permettant de geler les créances antérieures, a fermé le site de la Feuillane à Fos-sur-Mer. Cabot France a arrêté définitivement sa production, Albemarle a été vendu à Azur Chimie qui vient d annoncer sa fermeture définitive....mais en 2010, l activité devrait s améliorer Naphtachimie estime que le marché de la chimie/pétrochimie est aujourd hui en phase de stabilisation et qu il pourrait reprendre progressivement. De même pour les chloriers Arkema et LyondellBasell qui constatent des signes de reprise des commandes et des ventes. Bouches-du-Rhône L artisanat du territoire de l Ouest Etang de Berre, fait de la résistance face à la crise... Dans l artisanat, 2009 ne fut pas l année catastrophique que les spécialistes prédisaient. A contre-sens de la tendance générale, il enregistre un solde positif en matière d emploi et de création d entreprises. Ce secteur, de part son poids et son dynamisme, joue un rôle majeur dans le maintien des grands équilibres économiques locaux....et recrute Avec 2095 entreprises en 2010, soit près de 20 % des établissements du territoire 1 et 5600 salariés, soit 14 % des emplois salariés privés, l artisanat recrute 400 apprentis/an. Ces emplois sont le plus souvent durables car les entreprises artisanales ne sont pas délocalisables. Ainsi, malgré la stagnation conjoncturelle des immatriculations en 2009, imputable à la mise en place du régime de l auto entrepreneur, le nombre d entreprises artisanales a progressé de 13,7 % entre 2005 et 2010, soit 253 entreprises supplémentaires. Pour conforter ses acquis, l artisanat devra faire face à deux défis : l innovation et le renouvellement de sa pyramide des âges Le défi pour ces TPE sera de faire émerger des filières innovantes afin d améliorer leur compétitivité et leur résistance face aux mutations économiques existantes et à venir (crise économique, délocalisation des grands donneurs d ordres...). C est en particulier le cas de la filière du Travail des Métaux qui avec 144 entreprises et plus de 560 emplois directs représente 10 % des effectifs salariés artisanaux contre seulement 7,6 % au niveau départemental. Il convient également de se pencher sur le renouvellement de la pyramide des âges puisqu actuellement, 25 % des chefs d entreprise ont plus de 55 ans et près d 1/3 ont plus de 50 ans (soit 650 chefs d entreprises). 1 Établissements privés, publics, structures associatives et professions libérales. Source INSEE - SIRENE Si la transmission d entreprise n est pas anticipée, 1800 emplois pourraient alors être menacés. Ce sont les secteurs du bâtiment avec 560 salariés et des services avec 470 salariés, qui sont les plus touchés par cette problématique. 3

4 MARCHÉ DU TRAVAIL > les chiffres Forte diminution de l emploi salarié Entre septembre 2008 et septembre 2009, le nombre de salariés des établissements employeurs du territoire a connu une diminution de 4,2 % soit une perte de 1767 emplois. Au niveau départemental, cette baisse de l emploi a été moindre, - 1,6 % soit 9010 postes en moins. A lui seul, ce territoire qui concentre 7 % des emplois départementaux, enregistre 20 % des pertes d emploi des Bouches du Rhône. Globalement, il est 3 fois plus touché que le reste du département. La masse salariale est en baisse Avec une masse salariale de 256 millions d euros en septembre 2009, les salariés des établissements employeurs du territoire ont perdu en moyenne 7,4% de leur salaire brut en un an, soit une perte totale de 15,2 millions d euros. Au niveau départemental, la masse salariale a légèrement progressé soit + 1,4 %. Outre la perte d emplois enregistrée sur le territoire, les nombreuses mesures de chômage partiel prises par les entreprises peuvent expliquer ce phénomène. D autre part, le recours massif aux CDD, moins couteux que les CDI et l intérim, apparaît comme une variable d ajustement sur un marché de l emploi en tension et participe également à ce phénomène. Evolution des embauches par type de contrat dans le secteur privé Évolution de l emploi dans le secteur privé L emploi progresse dans les Services et se stabilise dans le Commerce Au troisième trimestre 2009, et après la baisse du premier semestre, l emploi dans le commerce semble se stabiliser. Dans les Services et notamment dans l Hôtellerie/Restauration l emploi est resté dynamique (+1,7 % en un an) et ce, de façon encore plus visible pendant la période estivale de juin à septembre (+ 9,2 % ). Cette évolution est également vraie dans le département et peut être expliquée, en partie, par les répercussions de la baisse du taux de TVA. La situation des demandeurs d emploi est toujours aussi préoccupante notamment pour les hommes Au 31 décembre 2009, il y avait demandeurs d emplois soit de plus qu un an auparavant (+ 17 %). Cette dégradation est plus forte qu au niveau départemental (+ 16 %). Le marché de l emploi connaît une légère amélioration puisque la progression est plus faible à fin décembre 2009 (+ 17 %) qu elle l était en septembre (+ 21 %). Le constat est le même au niveau départemental (+ 16 % en décembre contre + 17 % en septembre). Les hommes et les chômeurs de longue durée sont les plus touchés par l augmentation du chômage (respectivement + 23 % et + 26 %). Les jeunes, qui jusqu alors, été les premières victimes de la crise voient leur augmentation se stabiliser (+ 16 %). Malgré le fait que la hausse du chômage des hommes soit 2 fois plus rapide que celle des femmes, celles-ci sont toujours majoritaires dans la structure de la demande d emploi (52 % contre 48 %). Part et évolution des emplois salariés par secteur L emploi baisse fortement dans l Industrie et la Construction Si l Industrie connaissait depuis quelques années une diminution structurelle de ses effectifs, l effet conjoncturel dû à la crise a été particulièrement marqué puisque plus de 400 postes ont été supprimés en quelques mois. Dans la Construction, l emploi qui avait stagné au cours du premier semestre 2009, a enregistré une baisse de 4,7 % des ses effectifs au troisième trimestre. Ce secteur qui a longtemps connu des difficultés de recrutement a essayé de maintenir ses effectifs pour ne pas se démunir de ses ressources humaines. Mais aujourd hui cette stratégie n est plus envisageable. 4 La demande d emploi au 31 décembre 2009

5 MARCHÉ DU TRAVAIL > ZOOM Les secteurs traditionnels plus vulnérables à la crise économique Les secteurs gagnants Action sociale et hébergement médico-social Sans doute aidé par une politique active de développement des contrats aidés, ce secteur très dynamique a créé 189 emplois en un an soit une progression de 14 %, largement supérieure à la hausse départementale (+ 5,4 %). Activités financières et d assurance Dans la foulée des dix dernières années, durant lesquelles ce secteur a connu une augmentation de 4 % / an, l année 2009 est très dynamique avec une évolution de 20 % contre + 1,7 % au niveau départemental. Arts, spectacles et activités récréatives Ce secteur s inscrit dans une tendance à la hausse qui dure depuis dix ans soit + 3 % par an. En 2009, il a créé 97 emplois, soit une hausse de 18 % de ses effectifs. Typologie des embauches en CDI et CDD, du mois de novembre 2009 Tant au niveau départemental que sur le territoire, les entreprises de moins de 20 salariés sont les plus dynamiques sur le marché du travail, hors intérim. Ce dernier constitue un instrument d ajustement de l emploi pour les grandes entreprises dans une logique de flexibilité. Globalement, quelle que soit la taille de l entreprise, les embauches en CDD et en CDI sont en hausse par rapport à novembre C est la tranche d âge des 25 à 34 ans qui a le plus souffert de la dégradation du marché du travail. Les embauches dans la Construction, le Commerce et les Services sont en hausse. La reprise de l emploi dans le secteur de la Construction, au cours du quatrième trimestre 2009, devrait faire progresser le niveau général de l emploi. Évolution annuelle Les secteurs perdants Activités de services administratifs et de soutien Ce secteur composé par l intérim (55 %), la sécurité (20 %), le nettoyage de bâtiments (7 %) et la location (4 %) a été le plus impacté par les effets de la crise. Regroupant de nombreuses activités dépendantes des grands donneurs d ordre du territoire, il a perdu 1130 emplois salariés entre septembre 2008 et septembre 2009 soit une chute de 22 % du niveau des emplois. Ce secteur qui avait créé près de emplois en dix ans, a vu les 2/3 de ce gain balayé par la crise économique. Métallurgie et fabrication de produits métalliques Déjà fragilisée ces dix dernières années, cette activité phare du territoire a subi de plein fouet la crise économique en perdant 438 emplois soit - 9 % de ses effectifs en un an. Construction Au premier semestre 2009, le niveau de l emploi dans les entreprises du BTP a résisté à la crise mais au troisième trimestre celui-ci, a commencé à fortement diminuer ce qui s est traduit par une baisse de l ordre de 5 % depuis un an. Cependant, les embauches enregistrées au mois de novembre sont en hausse et devraient atténuer cette chute voire faire remonter le niveau de l emploi dans ce secteur. Le marché de l intérim est encore très tendu L Intérim représente seulement 5 % de l emploi salarié privé mais les 2/3 des embauches sur le marché du travail. Ce sont prioritairement les activités de BTP (28 %), industrielles (25 %) et de transport logistique (14 %) qui ont recours à ce type de contrat. Or, ces activités, très durement touchées par la crise, ont limité voire arrêté, l utilisation des missions intérimaires. L intérim a donc commencé à baisser, en septembre 2008, pour connaître une chute très importante au cours du premier trimestre Depuis le second trimestre 2009, le volume des missions intérimaires avait tendance à se redresser. Cependant, depuis le mois d octobre 2009 il enregistre une baisse importante. Cette dernière montre à quelle point le marché du travail est encore fortement tendu et incertain. 5

6 LE COMITÉ EN ACTION > le POINT, Les actions Anticiper les mutations économiques Création d un outil de veille conjoncturelle En attendant la mise en place d un outil extranet permettant la mutualisation des ressources documentaires et statistiques du territoire à destination de tous les partenaires, la première démarche a été d engager une harmonisation des banques de données des deux Services de Développement Economique. Ainsi, aujourd hui il est possible d avoir une vision globale des demandes d implantation et des mouvements de création/cessation d activité. Réalisation d une note de conjoncture trimestrielle à l attention des membres du Comité de Coopération Le Comité de Rédaction réunit des techniciens des Services de Développement Economiques des deux intercommunalité et des deux Maisons de l Emploi avec la participation de la CCIMP, de la CMA 13 et de Pôle emploi. Le présent document est le résultat d une réflexion partagée entre les différents membres de ce Comité de Rédaction. Lancement d une étude permettant de décrypter les stratégies des grands donneurs d ordre présents sur le territoire (chimie, pétrochimie, sidérurgie, logistique) et leurs implications Le portage de l étude est confié à l Institut d Etudes Politiques d Aix-en-Provence qui s est entouré d une équipe de 2 enseignants chercheurs pour une étude filière et d une économiste pour le diagnostic. La travail est engagé et un premier rendu doit être fait au Comité de Coopération du 9 mars La présentation finale de l étude est prévue avant l été Contribuer au développement de l activité des entreprises La première démarche a consisté à établir des passerelles entre les deux Associations Ouest Provence Initiative et Ouest Etang de Berre Initiative. Dans ce cadre, les Présidents, puis les membres des bureaux et enfin les membres des Conseils d Administration se sont rencontrés, pour prendre connaissance du Comité de Coopération et de ses objectifs, ainsi que des contributions attendues. Le Conseil d Administration du 7 janvier commun aux 2 Plateformes a acté leur volonté de participer au Comité de Coopération avec la mise en place d actions. L objectif à court terme est de proposer : la signature d une convention de partenariat entre les deux associations (le 9 mars 2009) ; une action centrée sur les 1000 emplois créés en dix ans (septembre 2010) ; une Coopération sur les actions de formation à destination des créateurs ; des rencontres avec les banques et les experts comptables ; la mise en place d un dossier de demande de prêt unique (déjà réalisé) ; une rencontre avec les structures accompagnantes : Accès Conseil et Sud Conseil afin de faire le point sur les collaborations et de proposer de nouvelles conventions de partenariat introduisant la notion d objectifs (déjà réalisé). Soutenir et accompagner l accès à l emploi et à la formation des publics les plus en difficulté Mise en oeuvre d une charte d insertion territoriale Le Comité de Coopération s engage à systématiser le recours aux clauses d insertion dans les marchés de travaux et de services des Maîtres d ouvrages publics et privés. La charte d engagement pour l insertion et l emploi matérialise cette volonté politique. La charte précise la nature et les modalités de mise en oeuvre des clauses et associera l ensemble des organismes publics et privés souhaitant utiliser ces dispositifs. La charte est actuellement soumise à l approbation des principaux donneurs d ordre du territoire. Elle a fait l objet de légères modifications permettant de tenir compte des remarques des donneurs d ordre du territoire souhaitant s engager avec nous. Les premiers retours soulignent une réelle volonté de s engager dans cette démarche. C est le cas notamment des communes de notre territoire, du Ministère de la Défense (Base aérienne), de l École Nationale de Police, de certains bailleurs (DOMICIL, La Phocéenne d Habitations, SNHM, LOGIREM) ainsi que de la société ELENGY (entreprise privée, filiale du groupe GDF SUEZ). Certains signataires potentiels restent dans l attente. Les travaux de réhabilitation du Colimaçon à Martigues par la LOGIREM, ont intégré ces clauses de promotion et d emploi et illustrent parfaitement la réussite de cette coopération. Une embauche sur la durée du chantier devrait intervenir prochainement. 6

7 LE COMITÉ EN ACTION > le POINT, Les actions Approche partagée sur le champ de l insertion par l activité économique et des relations avec les structures Le premier travail a consisté à réaliser un état des lieux cartographique des Structures d Insertion par l Activité Economique (SIAE) par les fonctions observation des deux Maisons de l Emploi, afin d améliorer la visibilité et le partage de l information entre les différents partenaires ; Le groupe de travail a validé la plus value de la création d une instance d animation, d information et d échanges institutionnels entre les SIAE du territoire et les pouvoirs publics. Cette instance apparait complémentaire des travaux du CTA animé par Pôle emploi sur le bassin de la CAPM et du groupe de travail SIAE co-animé par la Maison de l Emploi et Pôle emploi sur Ouest Provence ; La connaissance plus fine des structures et des publics étant indispensable, il est convenu d élaborer un état des lieux global et approfondi de la situation. Dans ce cadre, le groupe de travail a élaboré un questionnaire à destination des SIAE permettant outre le recueil d information, d élaborer des indicateurs d activités et de résultats ; La prochaine étape consistera à lancer une démarche d information. Faciliter l adéquation entre l offre et la demande d emploi Participer au développement de l alternance La première étape a consisté à réaliser un état des lieux de l alternance sur le territoire. Cet état des lieux a été réalisé par les fonctions observation des Maisons de l Emploi référençant entre autre l offre des établissements, le nombre d apprentis et la localisation des employeurs. D ores et déjà, afin d assurer la promotion de cette filière, le groupe de travail a préconisé l organisation de forums sur le territoire afin de sensibiliser les jeunes et les entreprises à cette voie professionnelle. Ainsi, même si la programmation est encore en cours de formalisation, deux dates sont arrêtées pour l organisation de ces journées : le 22 avril 2010 à Martigues et le 27 avril 2010 à Istres. Contribuer au développement d actions de formation professionnalisantes Cette thématique répond à un triple objectif : rehausser le niveau de qualification professionnelle des populations de nos deux bassins d emploi, prendre en compte les mutations économiques et les besoins en qualification des entreprises. La première étape a consisté à repérer les principaux secteurs d activité à investir et à mettre en place des groupes de travail «sectorialisés». Pour l heure, deux d entre eux sont opérationnels : le BTP et le Transport/Logistique. Le groupe de travail «BTP» est le plus avancé. Il a permis de déterminer 4 métiers pour lesquels une validation d opportunité a été demandé à la CAPEB et à la Fédération du Bâtiment : électricien en bâtiment, plaquiste, plombier sanitaire/climatisation et poseur menuisier aluminium. Une fois cette validation obtenue, un travail avec l AFPA sera nécessaire afin de déterminer les contenus des formations mais également le profil du public retenu. L option est prise d organiser des informations collectives avec l AFPA, les deux Maisons de l Emploi, les PLIE et Pôle emploi afin que l AFPA procède ensuite aux convocations. Lors de la dernière réunion du Comité de Coopération et suite à différentes interventions des partenaires, il a été décidé d élargir cette thématique aux Contrats de Professionnalisation. Le développement de l alternance se doit de prendre en compte la vision des entreprises qui est un élément moteur de la réussite ou non de cet objectif. Dans ce cadre, la participation active de l Agefos PME et la CMA 13 au groupe de travail constitue une plus-value intéressante. 7

8 Retour sur le périmètre DU SCoT OUEST ÉTANG DE BERRE > ÉLÉMENTS SOCIO-DEMOGRAPHIQUES Une croissance démographique retrouvée... Depuis la fin des années 60, le territoire de l Ouest Etang de Berre a connu un très fort développement. Mais, aux taux de croissance exceptionnels enregistrés jusque dans les années 70-80, a succédé une évolution beaucoup plus limitée. Ces dernières années, la croissance démographique des communes du territoire n a pas été homogène. Les communes de Fos-sur-Mer, Cornillon-Confoux et Miramas ont connu une forte augmentation, respectivement de + 1,67 %, + 1,59 % et + 1,22 % /an. A contrario, Saint-Mitre-les-Remparts voit sa population diminuer de 0,23 % /an. Les communes de Port-de-Bouc et Port-Saint-Louis-du-Rhône qui perdaient des habitants en gagnent de nouveau. À Istres, Miramas et Port-de-Bouc, c est le solde naturel qui contribue le plus à l augmentation de la population. Pour Port-Saint-Louis-du-Rhône, Fos-sur-Mer, Grans et Cornillon-Confoux, c est la composante migratoire qui explique la hausse du nombre d habitants. L augmentation de la population de Martigues est autant le fruit du solde naturel que du solde migratoire. Évolution de la population entre 1968 et 2007 Des flux importants de migrations et un solde naturel positif De 1999 à 2006, le nombre d habitants augmente de nouveau avec une progression de 6,9 %, soit une croissance annuelle de 1 % (+ 0,65 % pour la CAPM et + 1,2 % pour Ouest Provence). Cette croissance est supérieure a celle du département (+ 0,8 % /an). Les derniers résultats publiés par l INSEE montrent une reconduction de ce phénomène puisque pour la seule année 2007, le nombre d habitants a augmenté fortement, soit +2,2 %. Ainsi, au premier janvier 2007, l INSEE estime la population du territoire à habitants. Contribution du solde naturel à la croissance annuelle de la population...mais inégale selon les villes qui composent le Territoire Contribution du solde migratoire à la croissance annuelle de la population 8 Part et évolution des emplois salariés par secteur SERVICE DU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE COMMUNAUTÉ D AGGLOMÉRATION DU PAYS DE MARTIGUES (CAPM) Tél / helene.fossati@paysdemartigues.fr

Vie des entreprises > page 2-3. Le Comité en action > page 6-7. BILAN 2009 DE L ACCUEIL D ENTREPRISES > page 8. > page 4-5

Vie des entreprises > page 2-3. Le Comité en action > page 6-7. BILAN 2009 DE L ACCUEIL D ENTREPRISES > page 8. > page 4-5 NOTE de conjoncture COMITÉ DE COOPÉRATION POUR LA DYNAMISATION DE L ÉCONOMIE ET DE L EMPLOI N 2-12 juillet 2010 Ce qu il faut retenir La fin de la crise? En première approche, l actualité économique et

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre

bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre l auto entrepreneur bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre Hervé NOVELLI Secrétaire d Etat chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des

Plus en détail

Le pacte de responsabilité et de solidarité

Le pacte de responsabilité et de solidarité Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité

Plus en détail

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct.

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct. M a i s o n d e l E m p l o i L es Cahier s J a n v i e r 2 0 1 3 - N u m é r o 1 9 Avec la participation de : Ce cahier construit par et pour les acteurs de l Emploi, de la Formation et du Développement

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du

Plus en détail

Chantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC

Chantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC Chantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC LOCALISATION : Quartier des bassins à Cherbourg-Octeville

Plus en détail

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,

Plus en détail

Évolution du tissu artisanal en Bretagne

Évolution du tissu artisanal en Bretagne du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des

Plus en détail

La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises

La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises mardi 22 septembre 2009 La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises Baptiste MAUREL 04 67 22 80 35 ///

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Secteurs et métiers en tension à Paris : éléments de cadrage

Secteurs et métiers en tension à Paris : éléments de cadrage Secteurs et métiers en tension à Paris : éléments de cadrage Réunion du Service Public de l Emploi Départemental (SPED) Séminaire de travail thématique Préfecture de la région d Île-de-France Préfecture

Plus en détail

www.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2016

www.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2016 Les métiers porteurs Perspectives 2016 2 Rappel Titre Les métiers porteurs Cette présentation est basée sur les résultats d études publiées par la DARES et le Ministère du Travail en 2011 complétée par

Plus en détail

FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE

FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE Conseil d orientation pour l emploi 2 avril 2013 Michel Senaux, chargé de mission fédéral de la CFDT-F3C Jacques Fauritte, secrétaire

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

ateliers Aravis - les ateliers Aravis - les ateliers Aravis les ateliers Aravis - les ateliers Aravis Formes d emploi et de travail atypiques

ateliers Aravis - les ateliers Aravis - les ateliers Aravis les ateliers Aravis - les ateliers Aravis Formes d emploi et de travail atypiques Formes d emploi et de travail atypiques GLOSSAIRE document de travail A------------------------------------------------------------------------------------------------------ Auto-entrepreneur DEFINITION

Plus en détail

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012 Philippe PAYET MEFPIE Introduction... 3 L Entreprise et son dirigeant... 4 L entreprise et son marché... 6 L entreprise et son personnel... 9 Projets de recrutement... 11 En

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages

Plus en détail

A. Secteur des services aux entreprises

A. Secteur des services aux entreprises A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271

Plus en détail

EN LIGNE. EMPLOYEUR Pôle emploi

EN LIGNE. EMPLOYEUR Pôle emploi Août 2012 GUIDE PRATIQUE Guide de SAISIE EN LIGNE de l ATTESTATION EMPLOYEUR Pôle emploi Depuis le 1 er janvier 2012 les entreprises de plus de 10 salariés doivent transmettre leur attestation employeur

Plus en détail

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été

Plus en détail

www.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2015

www.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2015 Les métiers porteurs Perspectives 2015 2 Rappel Titre Les métiers porteurs Cette présentation est principalement basée sur les résultats d un rapport publié en janvier 2007 par le groupe «Prospective des

Plus en détail

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales FÉVRIER 2014 Présentation des résultats Pratiques et besoins de financement des

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi Agence Régionale des Territoires d'auvergne Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi En quelques mots L'Auverg ne L'Agence des Territoires d'auvergne L'accueil de nouvelles populations

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

Les autres obligations :

Les autres obligations : COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é

Plus en détail

La formation professionnelle continue en 2013

La formation professionnelle continue en 2013 La formation professionnelle continue en 2013 UNIFORMATION : OPCA de l économie sociale La contribution «Formation» Les dispositifs de la formation professionnelle continue : Financement du plan de formation

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise

Réussir sa création d entreprise Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La

Plus en détail

Groupements d employeurs

Groupements d employeurs Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page

Plus en détail

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur

Plus en détail

Fafiec au 1 er mars 2011

Fafiec au 1 er mars 2011 Financements Fafiec au 1 er mars 2011 Les partenaires sociaux, négocient chaque année les modalités de financement de la professionnelle. Pour 2011, ils ont souhaité que la qualité des services et de l

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014 BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations

Plus en détail

Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme

Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme La Délégation FORCE OUVRIERE était composée de Yannick GIRARDIN, René TISON et d Eric SIWCZAK. Présidence : Jean-Luc

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

L intergénérationnel, un enjeu pour tous

L intergénérationnel, un enjeu pour tous www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération

Plus en détail

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À L AUTO-ENTREPRENEUR, L EIRL ET LES ARTISANS Salon des entrepreneurs de PARIS 5 février 2015 MESURES RELATIVES À L AUTO- ENTREPRENEUR Pour rappel L auto-entrepreneur est

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les

Plus en détail

Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais. L artisanat de la région. Nord - Pas de Calais

Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais. L artisanat de la région. Nord - Pas de Calais Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais L artisanat de la région Nord - Pas de Calais Éditorial...5 I. État et évolution de l artisanat du Nord-Pas de Calais... 7 1. 46 341

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux

Plus en détail

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour

Plus en détail

Les métiers de la banque et des assurances

Les métiers de la banque et des assurances 18 juin 2015 Les métiers de la banque et des assurances Auteure : Itto BEN HADDOU-MOUSSET 1. Un secteur en mutation depuis les années 1980 L Ile-de-France est la région qui abrite les effectifs bancaires

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700

Plus en détail

Electricité - Plomberie

Electricité - Plomberie Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Cet article présente les principaux résultats de l enquête OPSIS de Marsouin

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

Maison de l Emploi l et de la Formation de Nanterre

Maison de l Emploi l et de la Formation de Nanterre Maison de l Emploi l et de la Formation de Nanterre Dossier de présentation Année 2006 Janvier 2006 Nanterre Terre d Entreprisesd d Emplois Nanterre 80 000 emplois publics ou privés à proximité de la Défense

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

N O R D - P A S D E C A L A I S

N O R D - P A S D E C A L A I S NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l

Plus en détail

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2 Dossier de presse La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche Synthèse page 2 Le contexte de la campagne page 5 Le déroulement de la campagne page 7 Faits

Plus en détail

Portrait statistique des entreprises et des salariés

Portrait statistique des entreprises et des salariés Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS 2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Réunion d informations du 12 novembre 2014 La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Rappel Les différents taux de cotisation : - Taux légal

Plus en détail

I. R. E. F BANQUE ET ASSURANCES

I. R. E. F BANQUE ET ASSURANCES Observatoire Régional de la Formation et de l'emploi (ORFE) I. R. E. F BANQUE ET ASSURANCES Date de mise en ligne : Janvier 29 INDICATEURS DE LA RELATION EMPLOI FORMATION Conception, méthodologie : Marie-Béatrice

Plus en détail

ACCORD DU 5 AVRIL 2006

ACCORD DU 5 AVRIL 2006 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 7501. CRÉDIT AGRICOLE (4 novembre 1987) ACCORD DU 5 AVRIL 2006 RELATIF AUX MODALITÉS D APPLICATION

Plus en détail

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories

Plus en détail

En 2030, 430 720 personnes résideraient dans le pays, soit 11,7% des bretons

En 2030, 430 720 personnes résideraient dans le pays, soit 11,7% des bretons de Brest En 2008, 12,3% des bretons résident dans le pays +0,4% de la population par an entre 1999 et 2008 contre +0,9% pour la région Evolution de la population de 1968 à 2008 (base 100 en 1968) Population

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

DOSSIER D INFORMATION

DOSSIER D INFORMATION DOSSIER D INFORMATION PRÉSENTATION DU PACTE NATIONAL POUR LA CROISSANCE, LA COMPÉTITIVITÉ ET L EMPLOI Mardi 5 mars 2013, à 9 heures 30 Préfecture de l Ardèche - Salle Jean Moulin CONTACTS PRESSE : Cabinet

Plus en détail

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le

Plus en détail

PANORAMA DES MESURES POUR L EMPLOI

PANORAMA DES MESURES POUR L EMPLOI MÉTROPOLE JANVIER 2015 PANORAMA DES MESURES POUR L EMPLOI POLE-EMPLOI.FR FORMER AVANT L EMBAUCHE ACTION DE FORMATION PRÉALABLE AU RECRUTEMENT (AFPR) Demandeurs d emploi inscrits auprès de Pôle emploi,

Plus en détail

5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*

5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE BOULOGNE- SUR-GESSE Canton de AURIGNAC MONTREJEAU SAINT-MARTORY SAINT-GAUDENS SALIES-DU- SALAT BARBAZAN Canton d'aspet de SAINT-BEAT COMMINGES 2010 Etude portant sur l Artisanat en zones d activités LUCHON

Plus en détail

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées L artisanat en Midi- Atlas Edition 2015 L Observatoire de l Artisanat de Midi- www.artisanat-mp.fr Sources : Observatoire de l artisanat Midi-, répertoire des métiers au 31/12/2014 URSSAF Midi- «Mieux

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus

Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus Communiqué de presse 2 ème édition du Baromètre Appel Médical des salaires de la santé Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail