Lors du récent Forum Global de l OCDE sur le commerce (4 novembre 2014), Richard Baldwin

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1 FriedlandPapers Lettre de prospective n LES CHAÎNES DE VALEUR MONDIALES, PARADIGME DU COMMERCE INTERNATIONAL Corinne Vadcar Analyste senior commerce international à la CCI Paris Ile-de-France Lors du récent Forum Global de l OCDE sur le commerce (4 novembre 2014), Richard Baldwin 1, Professeur d économie internationale, formalisait en quelques mots le basculement dont fait l objet le commerce international : entre le 20 ème siècle et le 21 ème siècle, l on est passé d un commerce qui aide à "vendre" des biens à un commerce qui aide à "fabriquer" des biens. Ce phénomène est formalisé par l expression "chaînes de valeur mondiales" (CVM). Plus facilement appréhendables sous les termes de chaînes d approvisionnement mondial ou encore de réseaux de production internationaux, celles-ci sont une réalité qui s impose à tous mais dont nous n avions pas forcément conscience qu elles avaient introduit un nouveau paradigme en termes d échanges internationaux. I - L ÉCLATEMENT GÉOGRAPHIQUE DES PROCESSUS DE PRODUCTION ET SES CONSÉQUENCES Leschaînesdevaleurmondialessontlefruitdelalocalisaon, depuis plus d!une vingtaine d!années, des processus de producon des entreprises dans des pays plus ou moins distantsoùlescoûtsdutravailsontlesplusavantageux.les entreprisesessaimentainsiàtraverslemondelesacvitésde producon et d!assemblage mais aussi, depuis plus récem ment,certainesacvitésenamontetenavaldecesphases: distribuon,servicesaprèsvente(vialescentresd!appel),pla teformeslogisques,bureauxd!étudesvoirecentresder&d, le tout étant de plus en plus souvent coordonné par des bureaux/pôlesrégionaux.lescvmpermeent,eneet,aux entreprises de bénéþcier d!économies d!échelle et/ou de gamme et gagner en ecacité/compévité, accéder aux marchésétrangerset,enoutre,avoiraccèsàd!autrestechno logies,connaissancesetsavoirfaire. Cet éclatement des étapes de la producon n!est pas nouveau 2 maisils!estaccélérécesdernièresdécenniesavecla réduconducoûtdeséchangesetdecoordinaondesacvi tés,ellemêmeconsécuveauxprogrèstechnologiques,aux évoluonsnumériquesetàlalibéralisaoncommerciale.les tempsd!assemblagedesdiérentsintrantsd!unproduitþnal sontrégulièrementréduitsgrâceàune supply chain(chaîne d!approvisionnement)deplusenplusecienteetcompé ve. L enjeud undéveloppementinternaonaln estplus d exportermaisdes insérerdansleschaînes devaleurmondiales Une chaîne de valeur représente l!ensemble des acvités menéesparlesentreprisespouramenerunproduitouunservice desaconceponàsonulisaonþnaleparleconsommateurþnal. Àchaqueétapedelachaîne,delavaleurestajoutéesousune formeouuneautre.sousl!eetdeladélocalisaonetdel!intercon necvitécroissante,lesacvitésquiformentleschaînesdevaleur denombreuxproduitsetservicessontdeplusenplusfragmentées surleglobeetentrelesentreprises.diversestâchestoutaulongde lachaînedeproduconpeuventêtreréaliséesdansdesendroits distants,enfoncondesavantagescomparafsrespecfsdesdié rentspays. Leprocessusdeproduconinterconnectéquetraversentlesbiens etlesservicesdepuislaconceponetledesignjusqu!àlafabrica on,aumarkengetàlacommercialisaonestsouventappelé chaînedevaleurmondialeouréseaudeproduconinternaonal (GereetFernandezStark,2011;OCDE,2013). Cité in: Les chaînes de valeur mondiales en Afrique, Perspecves écono miquesenafrique,bafd,ocde,pnud Voir aussi Richard Baldwin, "21 st Century Regionalism: Filling the gap between21 st centurytradeand20 th centurytraderules",staworkingpaper ERSD201108, WTO, 23 rd May 2013, hp:// reser_e/ersd201108_e.pdf Sur la dimension européenne, voir aussi Lucian Cernat et Michael Pajot, "AssembledinEurope TheroleofprocessingtradeinEUexportperfor mance",europeancommission,chiefeconomistnote,n 3,2012,hp://tra de.ec.europa.eu/doclib/docs/2012/october/tradoc_ pdf EuropeanCommission,CompenginGlobalValueChainsEUIndustrialStruc turereport2013,hp://ec.europa.eu/enterprise/policies/industrialcompe veness/compevenessanalysis/euindustrialstructure/þles/eu_ind_struct_ report_2013_en.pdf 2. Y.Bahi,Mesuredeséchangesenvaleurajoutée:unenouvellelecturedu commerceinternaonal,friedlandpapers,n 36,février FriedlandPapers - Lettre de prospective n

2 Cesréseauxdeproducontoujoursplusinternaonalisés depuisunevingtained!annéessontainsidevenuslenou veauparadigmedelamondialisaon.ilsfontqu!aujour d!huileséconomiesetlesentreprisesnes!insèrentplus tant dans le commerce internaonal pour exporter que pourfabriquer,pour"fairefaire". Fig.1 - Le commerce au 20 ème siècle : exporter des biens et des services Source:McKinsey&Company, Buildingthesupplychainofthefuture,January2011 Fig.2 - Le commerce au 21 ème siècle : fabriquer des biens et des services * Source:McKinsey&Company, Buildingthesupplychainofthefuture,January2011 *Alorsquel!éclatementdelachaîned!approvisionnementenplusieursunités peutparaîtrecompliqué,ceeapprochepermetauxentreprisesderéduirela complexitéetdelagéreraumieuxpuisquelesunitésopéraonnellessecon centrentsurlestâchespourlesquellesellessontlemieuxéquipées/dotées. Avecunemeilleurevisibilitésurlesopéraonsdelachaîned'approvisionne ment,lesentreprisesréalisentdeplusgrandsgainsd'ecacité. Lamontéeenpuissancedesbiensetdesservices intermédiairesdansleséchangesmondiaux Le fait que les entreprises séparent physiquement (unbundling) 3 #comparavementaupasséoùlesécono miesdisposaientd!industriesintégrées,toutaulongdela chaîne,surleurterritoireenfoncondeleursavantages comparafs # et fragmentent géographiquement les étapesdelaproduconendiérentspointsduglobefait quelapartdesintrantsenprovenancedecesdiérentes sources cequ!onappellelesbiensetservicesintermé diaires gagneenimportance. Lesentreprisessontalorssoitdesulisateursd!intrants étrangers,soitdesfournisseursdebiensetservicesinter médiairesquipeuventêtreintégrésdanslesexportaons d!autrespays.autrementdit,uneentrepriseexportatrice seretrouvedeplusenplusimportatricedebiensetdeser vices qu!elle réexporte en tant que nouveaux produits intermédiairesouproduitsþnals. Onesmequeprèsde30%ducommercedesmarchandises consistent,désormais,enproduitsintermédiairesouencom posants, selon le rapport 2014 de l!omc sur le commercemondial.etceepartestappeléeàaugmenter rapidement:ellepourraitaeindre60%dansvingtans,es mepascallamy 4.Lecontenuenimportaonsdesexporta ons peut même aeindre des niveaux très élevés dans certainssecteurs(85%danslesecteurdeséquipementsde télécommunicaonsenchine). Cee part devrait également s!accroître s!agissant des servicesdanslamesureoùl!onobserveune"serviciþcaon" desindustriesmanufacturières.l!éclatementdestâchesen amontetenavaldelaproduconàtraverslemondeadéjà fortementvalorisélesservices.selonlabasededonnéestiva del!ocde(cf.infra),lavaleurcrééedirectementouindirecte ment par les services en tant que facteurs intermédiaires représenteplusde30%delavaleurajoutéetotaledesbiens manufacturés.intrantsintermédiaires,lesservicesviennent aussiensouendufonconnementdescvm,qu!ils!agissede lalogisqueetdestransports,desservicesþnanciers,des servicesauxentreprises(businessservices),delacommunica on,desservicesaprèsvente,etc. Leséchangesdoiventêtrecomptabilisésenvaleur ajoutéeetnonplusdefaçonbrute Unedernièreconséquencemajeuredel!internaonalisaon desréseauxdeproduconestqu!onnepeutpluscomptabili serlecommerceinternaonalendonnéesbrutesmaisen valeur ajoutée. On parle de chaîne de valeur parce qu!à chaqueétapedelavied!unproduitestadjointedelavaleur. Danslecasd!espècecidessous,onvoitquelavaleurréelle deséchangesestde$110etnonpasde$210(endonnées brutes). Fig.3 - La mesure des échanges en valeur ajoutée - CalculdudéÞcitcommercialdetroispaysendonnéesbrutesetenvaleurajoutée Source:OCDE,Économiesinterconnectées:commentrerpardeschaînesde valeurmondiales,rapportdesynthèse,2013. Note:lesindicateurstradionnelsfontressorrqueCacheundéÞcitcom mercialde110usdàl!égarddebetn'aprocédéàaucunéchangeaveca, alorsmêmequeaestlepremierbénéþciairedelaconsommaondec.sil'on mesureleséchangesenvaleurajoutée,cn'acheplusqu'undéþcitcommer cialde10usdàl'égarddeb,maisdésormaisundéþcitde100usdàl'égard dea. 3. ExpressionconceptualiséeparRichardBaldwin(2006),Globalisaon:the greatunbundling(s). VoiraussiRichardBaldwin,"TradeAndIndustrialisaonAerGlobalisa on's2ndunbundling:howbuildingandjoiningasupplychainaredier entandwhyitmaers",nberworkingpaperno.17716,december2011, hp:// 4. Danssondernierouvrage,QuandlaFrances éveillera,odilejacob, FriedlandPapers - Lettre de prospective n

3 LabasededonnéesTiVA Leséchangesrésultantdeceemontéeenpuissancedesréseauxde produconmondiauxontreçuunenouvellelecturestasquegrâce auxtravauxdel!ocdeetdel!omcquiontcréélabasededonnées TiVA.Conscientesdelanécessitéd!apporterdesélémentsstas quesquipermeentd!appréhenderlecommerceinternaonalen valeur et non plus en chires bruts, l!ocde et l!omc ont développéconjointementunebasededonnéesquicapturecee nouvelleréalitédeséchangesmondiauxdebiensetdeservices,d!où l!iniavetiva(tradeinvalueadded). Cemodèleaétéétabliàparrdestableauxd!entréessoresinter naonauxconcernant37industrieset57pays(en2013),décrivant lesrelaonsdeventeetd!achatentrepaysproducteursetpays consommateurs. Il repose sur plusieurs hypothèses et ne peut fournirquedesesmaonscomptetenudelaqualitévariabledes donnéesiniales. Dans cee conþguraon où biens et services traversent plusieurs fronères, y compris d!un espace régional à un autre,laquesondelafacilitaonducommerce(passageen douaneetfacilitéslogisquesnotamment)estcrucialetout autantquelesrisquespoliquesetréglementaires. II - DES CHAÎNES PLUS OU MOINS LONGUES, PLUS OU MOINS COMPLEXES Source:OCDE Apanage hier d!industries comme le texlehabillement et l!automobile,lafragmentaondelaproducons!estétendue cesdernièresannéesàl!ensembledesindustriesetdesacvi tésdeservices;ledegrédefraconnementdesproducons est évidemment lié aux caractérisques techniques des produits(natureduproduit,pluralitéounondesescompo sants,degrédecontenutechnologique,réparondesparts matériel/immatérieldanssaconceponetsaréalisaon)et auxcoûtsinduitsparladispersiongéographiquedelaproduc on. Enconséquence,l!onobservedeschaînesdevaleurplusou moins longues, plus ou moins complexes. Les entreprises mulnaonales"étendentleursréseauxdeproduconaþnde trouverlameilleurecombinaisonmondialedesitesdeproduc on et d accès aux marchés" 5,cequiexplique,enpare, pourquoileschaînesdevaleurmondialesonteutendanceà s!étaler/s!allongeretàsecomplexiþercesdernièresannées. SilaCVMdel!Iphone6d!Apple,bienconnueaujourd!hui,est unexempletoutàfaitillustrafdel!étalementd!unechaîne deproducondemêmequel!assemblagedu787dreamliner deboeingrévèleunerichediversitédefournisseursàtravers lemonde,onobservedescvmbeaucoupplussimpless!agis sant,parexemple,deproduitsagroalimentairesoutexles. À michemin entre ces deux illustraons, d!autres CVM réalisent, d!une certaine façon, un mix entre la nécessité d!outsourcer plusieurs étapes de la fabricaon et celle de conserveruneparedelachaînedevaleurdanslepaysd!ori ginedel!entreprise. Onillustreranotreproposavecl!entreprisefrançaiseLook, fabricant de vélos haut de gamme qui, tout en faisant fabriquer les cadres [du vélo 795 Aerolight] à l!étranger (Tunisie)recourt,àhauteurde98%,àdesintrants/compo sants naonaux ("Made in France") et réalise un certain nombredetâchesd!assemblageetdemontageenfrance. LachaînedevaleurdeLookillustre,parailleurs,l!importance denepasminorerlesacvitésdeconceponetlesacvités intermédiairesaþndeconserverlacapacitédeproduireen petesmoyennes séries l!impression 3D ouvre tout un nouveauchampdespossiblesenlamaère,de"garderles savoirfaire et les bases de connaissances",soulignegabriel Colles,Professeurenscienceséconomiquesàl!Universitéde Toulouse1 Capitole 6. Fig.4 - Chaîne de valeur du Dreamliner 787 (Boeing) Source:TheBoeingCompanyreproduitparTheAustralianGovernment, hps:// Fig.5 - Chaîne de valeur du LOOK 795 Aerolight TUNISIE UsineLOOK Moulageetassemblage(notammentle795Aerolight) Finion:Peintureet décoraon(notamment le795aerolight) Source:LookCycle *Créditsphotographiques:JPEhrmann FRANCE SiègesocialetusineLOOK 98%descomposantsMadeinFrance NEVERS_FRANCE SiègesocialetusineLOOK Bureaud'étude(13ingénieurs) 100%delafabricaondespédales Atelierdemoulageetassemblagedecertainsmodèles AtelierdeÞnion:peinture&décoraon Laboratoiredetestsetcontrôledesproduits Assemblagedetouslesvélos,stockagedesproduits 5. PerspecveséconomiquesenAfrique,Bafd,OCDE,PNUD Maîtriserl!internaonalisaondeschaînesdevaleur,ClubduCepii, 13novembre FriedlandPapers - Lettre de prospective n

4 III - LE PROCESSUS DE MONTÉE EN GAMME DANS LES CHAÎNES DE VALEUR Mais"fairefaire"nesigniÞepasseulementdansleschaînesde valeur actuelles "fabriquer". On a, en eet, assisté depuis plusieursannées,àl!internaonalisaond!autresacvitésen amontouenavaldelaproducon.c!estpourceeraison qu!aémergélanoondecommercedetâchesetnonplusde commerce de produits, comme l!ont mis en exergue GeneGrossmanetEstebanRossiHanberg 7.Lecommercele longdelachaînedevaleurore,eneet,auxéconomiesla possibilitéd!exploiterleursavantagescomparafssansavoirà développerdesindustriesintégréesquifournissentlesbiens intermédiaires nécessaires aux producteurs de biens Þnis. Ceespécialisaonvercaleentraîneaussiladélocalisaon decertainestâchesoufonconsdanslemonde.lecommerce mondialrésulteainsi"deplusenplusd échangesàl intérieur des entreprises qui segmentent leurs processus de produc on" 8. Pourautant,lesétapesdepréoudepostfabricaonn!ont pasfaitl!objetd!undegréd!externalisaonaussiélevéqueles phasesdeproduconetd!assemblage.l!unedesraisonsen est que les avantages comparafs sur ces acvités sont probablement moins dius, davantage cantonnés aux pays industrialisésdontlesentreprisesontdéveloppédesbusiness modelstoujoursplusmaturesousophisqués.ils!agit,pour l!essenel, d!acvités de services (en BtoB ou BtoC) pour lesquelleslesentreprisesréalisentleplusdevaleurajoutée commelemontrela"courbedusourire"conceptualiséeparle fondateurd!acer.lacaptaondelavaleurajoutées!opèrede manièreprédominanteenamont(r&detconcepon)ouen aval (distribuon, markeng, branding, etc.) sur la chaîne Fig.6 - La courbe du sourire Réparondelavaleurtoutaulongdeschaînesdevaleurmondiales Source:hp:// _a_le_sourire.html Note : la courbe du sourire, auparavant relavement plate, a tendance à s!accentuerpourformerun"u",cequisigniþequelacréaondevaleurn!est plusréparedefaçonaussihomogèneetqu!entermesdevaleurajoutée,la fabricaonetl!assemblageontreculé.ladélocalisaondecesacvitésàforte intensitédemaind!+uvreversdeséconomiespraquantdesbassalairesa entraînéunevraiebaissedescoûts. d!acvités. Ceecourbeestillustravedel!intérêtpourleséconomieset lesentreprisesdeseposionnersurlessegmentsamontet avaldelaproduconetdel!assemblage.siceecourbeétait relavement"plate"durantlesdécenniespassées,ilapparaît aujourd!hui qu!elle pourrait s!incurver davantage à mesure quelesbricetautresgrandsémergentsmontentengamme dans les CVM en invesssant les acvités de services. La manièredontlachineparvientpeuàpeuàmaîtriserlaþlière aéronauque est tout à fait symptomaque, si non d!un rarapage,dumoinsdecerééquilibrage. Danslepassé,d!autressecteursontainsifaitl!objetd!une appropriaon/maîtrisecroissantedelachaînedevaleurpar leséconomiesémergentesvoireendéveloppement.lecasdu Mexiquedanslesecteurtexleillustrelàencorelacapacitéde montéeengammetrèsrapidedespaysémergents,unefois qu!unensembledefournisseurs,soustraitants,intégrateurs etsystémierssesontenquelquesorteclustériséssurunterri toire,apportantainsiuneoredeplusenpluscomplète. LaChine"sedéleste",parexemple,actuellementdeplusieurs acvitésdeproduconetd!assemblageenlesdélocalisant dansdespaysvoisinsàplusfaiblescoûtsdemaind!+uvreau proþtdesegmentsd!acvitésoùlavaleurestplusélevée:la partdesintrantsimportésdanslesexportaonschinoisesest passéede50%en2000à35%aujourd!hui 9.Celaillustre l!intérêtetlesouhaitdesautoritéschinoisesdemonteren gammedanslesacvitésdeproducon(qualité)maisaussi d!acherdenouveauxavantagescomparafssurdesservices enamontetenaval,notammentsurl!innovaonetlar&den faisantlapartbelleauxpartenariatstechnologiqueset/ouen ouvrantlargementlesportesauxbureauxd!étudesetaux centresderecherche. QuedireencoredelaCoréeduSudconscientedeslimitesde son modèle économique? Elle se donne comme objecf d!êtreune"économiecréave",ycomprisenallantrecher cheràl!étrangerouviadespartenairesétrangerssursonter ritoire,lesressources,lesclefsdelacréavité,del!entrepre neuriatetdel!innovaon,lesquelssontaujourd!huilesres sortsdelavaleurajoutéedansleschaînesd!acvitéset,par conséquent,delapuissance.onpourraitendireautantde nombred!économiesémergentesquiontacquisleurforce économiqued!aujourd!hui sur un modèle d!émergence par l!exportaon. Àl!échelledesentreprises,ilexistediérentesmanièresde monterengammedanslachaînedevaleur:soitenopmi santlavaleurdesonore,soitendéveloppantunestratégie avalparl!ajoutdeservicesàsapaleedeproduits(pardes services diérenciants, par des développements informa ques là où se trouve la valeur ajoutée), soit encore en meanten+uvreunestratégieclientspardesrelaonsplus solidesavecsaclientèle(développerdesrelaonsnouvelles viadenouveauxsupportsd!échange,retravaillersurlaproxi mitégéographiqueaveclesclients).ontouchelàauxbusiness modelsdesentreprises. 7. GeneGrossmanetEstebanRossiHanberg,"Theriseofoshoring:it'snot wineforclothanymore"in: The New Economic Geography: Eects and Policy Implicaons, Federal Reserve Bank of Kansas City, 2006, hp:// paper.0728.pdf 8. PatrickArtus,Lesnouvellescaractérisquesducommercemondial,Naxis, FlashÉconomie,n 132,8février2013,hp://cib.naxis.com/ßushdoc.aspx? id= "Howtorespondtonewpaernsofworldtrade",FinancialTimes,Novem ber23, FriedlandPapers - Lettre de prospective n

5 Processusdemontéeengammedanslachaînedevaleur Montéeengammeproduit celacorrespondàlaproduconde produitsplussophisqués; Montéeengammefonconnelle celacorrespondàuneaug mentaondescontenusencompétencesdelaproducon; Montéeengammedanslachaîneouintersectorielle celacorres pondàunmouvementd!uneindustrieàl!autre. IV - POSITIONNEMENT DE L ÉCONOMIE FRANÇAISE DANS LES CHAÎNES DE VALEUR MONDIALES Source:OMC S!agissantdelaFrance,lestravauxdel!OCDEetdel!OMCfont ressorr,danslecadreducommerceenvaleurajoutée,une perspecve et un éclairage diérents, probablement plus posifs,surlacompévitédel!économiefrançaise.lafrance auntauxmédiandeparcipaonauxchaînesdevaleurmon dialesentenduausensde"part de ses exportaons s'inscri vantdansunprocessusenplusieursétapes".elleserangeaux côtésd!économiescommel!allemagneetlacoréeetestta lonnéeparlachine.maiscestravauxensoulignentaussiles faiblesses:lafranceestenreculdansdessecteurscommeles véhiculesautomobilesouencorel!intermédiaonþnancière Audemeurant,legraphiquecidessousmontreque"letauxde valeurajoutéedomesquedanslesexportaonsd'unpaysale plus tendance à diminuer s'il est intégré aux CVM. De toute évidence,d'autresfacteurssousjacentsentrentenjeu,comme la taille de l'économie, la composion des exportaons ainsi quelastructureéconomiqueetlemodèled'exportaonadop tés par le pays" 10.Decepointdevue,lesquatrepaysles mieux posionnés (Belgique, PaysBas, Singapour et Hong Kong) peuvent se prévaloir de leurs avantages compéfs danslesacvitésportuairesetlogisques.envoulantcréer uneligneferroviaireentreleportd!anversetl!iledefrance, la communauté portuaire néerlandaise va plus loin encore pourrenforcerlacompévitéd!undesplusimportantsports mondiaux. Fig.7 - Comparaison du taux de participation aux CVM et de la part de valeur ajoutée domestique dans les échanges (en2010,en%)(principauxpaysexportateursdug20,horspaysexportateursdepétrole) Source:àparrd!UNCTADEoraGVCDatabase VoiraussiCNUCED,WorldInvestmentReport,2013,p.134,hp://unctad.org/ fr/publicaonslibrary/wir2013_en.pdf D!unepart,lesrésultatspourlaFrancenesontpastrèsdié rentsdelamoyennedespaysdel!ocde.commepourtous cespays,laproducondebiensetservicesenfrancedépend deplusenplusd!intrantsétrangersetdel!ulisaon,dansdes pays ers, de produits intermédiaires français. La France parcipe acvement aux CVM dans les secteurs suivants : matérieldetransport 11,véhiculesautomobiles,métauxde base,produitsalimentairesetappareilsélectriques(l!industrie laplusinternaonaliséeétantlenucléaire).envaleurajoutée, lafranceadesavantagesdansdesindustriesvuescomme moins compéves (fabricaon d!ouvrages en métaux, produits chimiques, produits alimentaires) car l!analyse se focaliseàdesétapesdelaproduconquinesontpluscelles oùlaspécialisaons!opèreaujourd!hui 12. D!autrepart,lavaleurajoutéedesservicesreprésenteplusde 50%desexportaonsmanufacturièresdelaFrance,cequi rangeceedernièreauxpremiersrangsmondiauxavecl!inde, leroyaumeunietlesétatsunisetquiillustrelephénomène de"servisaon"oude"serviciþcaon"croissantedesécono mies 13. Fig.8 - Valeur ajoutée en services des exportations brutes : comparaison entre pays du G20 Source:OECD/WTOTiVAdatabase,May2013release L!inserondespayseuropéensdansleschaînesdevaleurest avanttoutunprocessusinterneauconnenteuropéen 14,si bien que l!on peut parler de chaînes de valeur régionales (CVR). V - CONCLUSION - L AVENIR DES CHAÎNES DE VALEUR MONDIALES De1995à2009,premièrepériodederéférencedelabasede donnéestivadel!ocde,onremarquequeleschaînesde valeurmondiales(exceponfaitedusecteurautomobileet composantsautomobiles)n!ontcessédes!étaler,c!estàdire decomprendreunnombrecroissantd!étapesdanslaproduc onetce,malgrélacrise.selonl!omc,leschaînesdevaleur mondialesvontconserverleurdynamisme.cequel!onsait 10. IdeaConsult,Étuderelaveàlacaractérisaondesrelaonsinterindus triellesenwallonieetauposionnementdel!industriewallonneauseindes chaînesdevaleurmondialesvisionprospecve,juin Lematérieldetransport(automobileetaéronauqueprincipalement) inclutquasiment40%d!intrantsétrangersprovenantprincipalementdel!ue et,dansunemoindremesure,del!alenaetdel!asie. 12. OECD/WTOTradeinValueAdded(TiVa)IndicatorsFrance, hp:// 13. MathieuCrozetetEmmanuelMilet,"Versuneindustriemoins-indus trielle?",lalereducepii,n 341,février LionelFontagnéetAurélienD!Isanto,"Chaînesd!acvitémondiales:des délocalisaonsd!abordversl!unioneuropéenne",inseepremière,n 1451, juin FriedlandPapers - Lettre de prospective n

6 aussiaujourd!huiavecquasicertude,c!estquelaplusgrande paredelacréaondevaleurdanslescvmrelèverademain des services (services aux entreprises, transports et logis que). Certes,uneréorganisaondesétapesdelachaîned!acvités estàl!+uvre,laquelleposelaquesondesavoirsidesscéna rios de contracon des chaînes de valeur ne sont pas à prévoir:qu!ils!agissedel!impression3d,delarobosaon/ automasaon, des nouvelles formes de microindustrie-, toutcelavaimpacternécessairementlastructuredeschaînes devaleurs.dansquelleproporon?onestbienincapablede l!évaluer aujourd!hui. D!ores et déjà, on observe quelques relocalisaonsd!acvitésdemoulage,montageetd!assem blaged!uneparedelaproduconenfrancepourmieux répondreauxexigencesdesclientseuropéenseuégardaux surcoûts qui peuvent résulter, par exemple, d!une qualité défectueuseenprovenancedepaysdesourcing. Demême,lamontéeverslehautdegammeestaussiune orientaonquipermetderelocaliseruneparedesprocessus deproducon.quelquesentreprisess!appuient,enþn,surle labeloriginefrancegaraneouencorejouentsurdeslabels régionaux "Made in terroir". Si tout cela parcipe à des éléments de recomposion industrielle sur le territoire françaisoueuropéen,celanejoue,cependant,qu!àlamarge dansl!immédiatcommedansunprocheavenir.plusnotable, enrevanche,sembleêtrelesouhaitd!uncertainnombrede grandsgroupesderéduirelenombredefournisseursétran gers en sourcing manufacturier : l!iphone 6 d!apple en compte349enchine,139aujaponet42àtaïwan 15.Les coûtsdecoordinaonquiendécoulentpeuvent,àunmoment ouàunautre,êtrerédhibitoiresmême siladiversitédes sourcingsestimportantepourréduirelesrisquespoliques, réglementaires,climaquesoutechniques. Leschaînesdevaleurmondialesvont,enrevanche,connaître uneredistribuongéographiquemajeureàmesurequeles BRICetd!autresgrandsémergentsd!Asie(CoréeetMexique) vontchangerdemodèlesd!émergence Þndel!émergence par l!exportaon au proþt d!un modèle d!émergence par l!innovaon et la demande intérieure et qu!émergent d!autres pays à haute intensité de maind!+uvre pour le sourcingmanufacturier(lesphilippines,l!indonésie,plusieurs paysafricainsfontparedeceuxlà). Pour l!europe et la France, cet ensemble d!éléments qui reconþgurent,àlafois,lesmodèlesindustrielsetlesroutes commerciales,amènentàuncertainnombred!interrogaons surleurplaceàvenirdanslesréseauxdeproduconinterna onaux.lanouvelle"silk Road"chinoise,avecunedouble dimension terrestreetmarime vientdéþerl!unioneuro péenneàsesconþnsgéographiques.l!accorddepartenariat transpaciþque(tpp)entrelesétatsunisetl!asiepaciþque s!ilabout pourraitmodiþeruneparedeladonneauproþt desentreprisesaméricaines.dèslors,l!enjeun!estilpaspour l!europeetlafrance,quinesesontpastotalementinsérées danslemouvement,des!inscriredemaindansunjeugagnant gagnantaumoyendepoliquespubliquesancipatriceset appropriées? 15. hp:// phone6supplychain Une lettre de la Direction générale adjointe chargée des Études et de la Mission Consultative Directeur de la publication : Etienne GUYOT Rédacteur en chef : Jean-Luc BIACABE Conception : Laurence GUILLOT Contact : prospective@cci-paris-idf.fr Avertissement : Les opinions exprimées dans le présent document sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de la CCI Paris Ile-de-France. 6 FriedlandPapers - Lettre de prospective n

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