Journée Chefs de Travaux LP Jean Prouvé NANCY Mercredi 9 mai 2012
|
|
- Lucienne Roux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Journée Chefs de Travaux LP Jean Prouvé NANCY Mercredi 9 mai 2012 LA REFORME DU CADRE BUDGETAIRE ET COMPTABLE 1/50
2 LA RCBC : sommaire Objectifs, Enjeux et contexte La construction budgétaire : - Les sections - Les services généraux - Les services spéciaux - Les domaines et activités - La codification - Les budgets annexes L équilibre budgétaire L engagement juridique Le budget provisoire i 2/50
3 Objectifs Simplification et lisibilité des budgets des EPLE Mieux marquer au sein des budgets la destination de la dépense Permettre une meilleure expression de l autonomie des EPLE Faciliter les comptes rendus en cours de réalisation à destination des principaux financeurs (Collectivités de rattachement, Etat ) et bien sûr de l établissement Sécurisation des procédures comptables Rédaction d une instruction codificatrice M9.6 conforme au plan comptable général 3/50
4 Champs d application Sont concernés par la réforme Les EPLE : - Les lycées - Les lycées professionnels - Les collèges Les EREA Les ERPD 4/50
5 Les enjeux de la réforme Inscription dans l esprit lesprit de la LOLF (2006) Logique de pilotage par résultats t Intègre une plus large autonomie - Pour une meilleure utilisation des moyens - Avec des objectifs fixés par : l autorité académique Et les collectivités territoriales 5/50
6 Les principaux p axes de la réforme Simplifier le cadre budgétaire et le rendre plus lisible Simplifier les règles de notification, de gestion et de suivi des crédits Simplifier les procédures de modifications budgétaires Suivre financièrement les actions du projet d établissement Rendre compte en temps réel de l utilisation des subventions et des moyens attribués aux établissements 6/50
7 Les principales p modifications Le chef d établissement : peut transiger après avoir recueilli l autorisation du conseil d administration en application de l article 2044 du code civil qui définit la transaction (point 1346 et suivants) - peut obtenir une délégation du conseil pour la signature de contrats et conventions dans la limite fixée à l article 28 du CMP Le conseil d administration d i ti : - son quorum est calculé à la majorité des membres du CA en exercice et non plus à la majorité des membres théoriques Le comptable : - peut se faire représenter par une personne désignée 7/50
8 STRUCTURE BUDGETAIRE Chapitre 122 Instruction M9.6 SECTION 1 : FONCTIONNEMENT Service général «ACTIVITES PEDAGOGIQUES» Service général «VIE DE L ELEVE» Service général «ADMINISTRATION ET LOGISTIQUE Services Spéciaux «SAH BOURSES» SECTION 2 : OPERATIONS EN CAPITAL 8/50
9 Le budget : la section de Trois services généraux: fonctionnement - Activités Pédagogiques (AP) - Administration & logistique (ALO) - Vie de l élève (VE) Des services spéciaux - Certains prédéfinis i - Certains d opportunités - D autres libres de création selon les spécificités ité locales 9/50
10 Les services généraux Disparition des chapitres budgétaires alphanumériques (A1,A2, B, C, D, J1, J2 ) Création de trois services exclusifs : Dépenses pédagogiques : AP (activités pédagogiques) Fonctionnement t : ALO (administration d i i t ti & logistique) Vie de l élève : VE (vie de l élève) 10/50
11 Regroupement des dépenses par destination (1/3) Dépenses pédagogiques : AP - Regroupement de toutest les dépenses quel que soit le financement ou la spécificité pédagogique - Chapitres d origine : service général : A1 & A2 services spéciaux : J1, J2, J3, J5, J6, N3, R4, R8 (formation continue, par alternance, rémunérations) Demain un service général : Activités pédagogiques (AP) 11/50
12 Regroupement des dépenses par destination (2/3) Dépenses de fonctionnement t : ALO - Regroupement de toutes les dépenses quel que soit le financement ou la spécificité technique liée à l EPLE (EPLE autonome ou au sein d une cité scolaire ou support d une cité scolaire) - Chapitres d origine : service général : B, C, D & G (cité scolaire) services spéciaux : contrats aidés (hors service mutualisateur) Demain un service général : Administration & logistique (ALO) 12/50
13 Regroupement des dépenses par Vie de l élève : VE destination (3/3) - Regroupement de toutest les dépenses quel que soit le financement ou la spécificité de l activité - Chapitres d origine : service général : F (fonds sociaux de l Etat letat et éventuellement des collectivités locales) services spéciaux : N1, N2 et J3 pour les actions relevant de modules spécifiques (Ex. : C.E.S.C.) C Demain un service général é : Vie de l élève (VE) 13/50
14 LES SERVICES SPECIAUX Ilssont créés chaque fois qu il est nécessaire d isoler des dépenses et des recettes du fonctionnement général de l EPLE Pour respecter le principe d unicité et respecter l esprit de la réforme, ils ne seront créés que lorsqu ils enregistreront des opérations qui n ont pas trait aux activités principales p de l établissement ou lorsqu un texte le prévoit. 14/50
15 LES SERVICES SPECIAUX Un service spécial prédéfini : Les bourses nationales Un service spécial d opportunité : La restauration et l hébergement Des services spéciaux selon les besoins : Les services mutualisateurs 15/50
16 Les services spéciaux mutualisateurs L opportunité de les instituer s analyse tant en dépense qu en recette La dépense s entend comme détaillée et précise et non forfaitaire ou globalisée L opportunité de les instituer intègre la masse financière concernée Services mutualisateurs potentiels : Groupement de commandes Mutualisation des paies Agence comptable 16/50
17 Les services spéciaux : particularismes Ils sont intégrés dans le résultat global de l établissement Ils n ont pas de fonds de roulement propre p FDR de l EPLE = service général é et services spéciaux confondus L individualisation des réserves reste possible pour les services spéciaux avec réserves. Dans ce cas il appartient au conseil d administration lors de la répartition du résultat de décider de la mobilisation des réserves concernées Le prélèvement s effectue toutefois sur le fonds de roulement unique Ils n ont pas d inventaire distinct des biens immobilisés, pas d opérations en capital. 17/50
18 Les opérations en capital Elles comprennent : Les opérations d investissement : Les immobilisations corporelles Les immobilisations incorporelles Les autres opérations : Les sorties d inventaire 18/50
19 CORRESPONDANCE ANCIENNE STRUCTURE ET STRUCTURE RCBC Ancienne structure budgétaire Nouvelle structure budgétaire Chapitres et services concernés A1 - A2 - J1 - J2 - J31 - J32 - J38 - J4- J5 - J6 - J7 - N3 - R4. Dépenses Service - Activités pédagogiques J1 - J2 - J31 - J32 - Recettes J38 - J4- J5 - J6 - J7 - N3 - R4. Chapitres et services concernés Service - Vie de l'élève F - J31 - J32 - J38 - J4 - J6 - J7 - N1 - N2.. Dépenses J31 - J32 - J38 - J4 - J6 - Recettes J7 - N1 - N2.. Chapitres et services concernés Service - Administration et Logistique B - C - D - G Dépenses Recettes 19/50
20 La dépense & le plan comptable - compte Le compte n est nest plus saisi lors de la préparation budgétaire Le compte n est pas saisi lors de l approvisionnement Le compte n est pas saisi lors de l engagement Le compte n intervient qu au moment de la liquidation 20/50
21 La construction budgétaire Le budget est établi avec deux nouvelles nomenclatures : «Domaines» et «Activités» Elles sont construites selon les besoins de suivi de gestion Elles comprennent un code et un libellé Le domaine est obligatoire en dépenses mais facultatif en recettes Pour le domaine : pas de nomenclature imposée en dehors des opérations particulières (ex. : variations de stocks, opérations de fin d exercice ) 21/50
22 Les activités : codification L utilisation est obligatoire en dépenses L activité ité est obligatoire i en dépenses mais facultative ti en recettes L ensemble du code comporte 9 caractères maximum Le code commence toujours par 0 ou 1 ou 2 selon le destinataire du compte-rendu de la dépense Ex. : 0 = dépenses à l initiative de l EPLE 1 = dépenses relatives à l état 2 = dépenses relatives à la collectivité - des dépenses liées à la TA commenceront par le code 0 - des dépenses liées aux stages en entreprises, projets d établissement commenceront par 1 - des dépenses liées aux aides régionales commenceront par 2 Il n est pas possible d en ouvrir d autres, commençant par 3, 4 Les codes 1 et 2 sont saisis à la demande exclusive des financeurs. 22/50
23 La construction du code d activité 0 8 caractères réservés à l EPLE pour les besoins propres à son pilotage 4 caractères réservés à l Etat 4 caractères réservés à l EPLE 1 pour le report d information pour affiner sa gestion en tant que de besoin 2 4 caractères réservés é aux 4 caractères réservés é à l EPLE CT pour le report pour affiner sa gestion en tant d information que de besoin 23/50
24 Nomenclature des activités Etat Actions identifiées- Libellé Activités Manuels scolaires Droits de reprographie TICE Matériel pour la rénovation de l enseignement Carnets de correspondance Education artistique et culturelle Stages Actions internationales Besoins éducatifs particuliers SEGPA Classes relais Aides à l insertion professionnelle Apprentissage Autres dépenses pédagogiques Assistants d éducation (rémunération et charges) AVSCO (rémunération et charges) Ecole ouverte (vacation et fonctionnement) Education à la santé et à la citoyenneté Fonds de vie lycéenne Fonds social lycéen Fonds social des cantines Codification de l activité 13MS xxxx 13REPxxxx 13TICxxxx 13RENxxxx 13CORxxxx 13EACxxxx 13STAxxxx 13AI xxxx 13SEGxxxx 13CR xxxx 13AIPxxxx 13AP xxxx 13ADPxxxx 16AS xxxx 16AVSxxxx 16EO xxxx 16ESCxxxx 16FVLxxxx 16FSLxxxx 16FSCxxxx Autres dépenses éducatives 16ADExxxx 24/50
25 Autre nomenclature prédéfinie Domaines Activités Code libellé Code Code libellé VSTOCK Variation de stocks (Matières Premières et autres approvisionnements) 0AUGMxxxx Augmentation VSTOCK Variation de stocks (Matières Premières 0DIMIxxxx Diminution et autres approvisionnements) VECOUR Variation en cours et produits finis 0AUGMxxxx Augmentation VECOUR Variation en cours et produits finis 0DIMIxxxx Diminution OP-SPE Opérations spécifiques 0AMORxxxx Amortissement OP-SPE Opérations spécifiques 0NEUTxxxx Neutralisation amortissement OP-SPE Opérations spécifiques 0PROVxxxx Provisions risques, charges, etc. OP-SPE Opérations spécifiques 0RPROxxxx Reprises sur provisions OP-SPE Opérations spécifiques 0SINVxxxx Sortie inventaires OP-SPE Opérations spécifiques 0ANFIxxxx Annulation financement OP-SPE Opérations spécifiques 0PIMOxxxx Production immobilisée OP-N-1 Opérations année N-1 0CAP xxxx Charges à payer OP-N-1 Opérations année N-1 0PAR xxxx Produits à recevoir OP-N-1 Opérations année N-1 0CEXPxxxx Charges exceptionnelle OP-N-1 Opérations année N-1 0PEXPxxxx Produits exceptionnels 25/50
26 Les recettes Les domaines et activités (codes) sont facultatifs, mais vivement recommandés Le plan comptable - compte - est obligatoire dès la préparation budgétaire Les recettes s effectuent par service Les mêmes domaines et les mêmes activités peuvent être utilisés en dépenses et en recettes pour faciliter les rapprochements 26/50
27 Un budget type dépenses Section de fonctionnement Service général Service : activités pédagogiques - AP recettes Domaines Activités tés Domaines Activités tés Comptes (Obligatoire) (O) (Facultatif) (F) (O) dépenses Service général : administration et logistique - ALO Service : vie de l élève - VE Services spéciaux Service spécial : bourses nationales Services spécial : restauration recettes Domaines (O) Activités (O) Domaines (F) Activités (F) Comptes (O) dépenses Section opérations en capital Service investissement recettes Domaines (O) Activités i (O) Domaines (F) Activités i (F) Comptes (O) 27/50
28 Ils remplacent les SACD Les budgets annexes Ils sont indépendants d du budget principal i (vote distinct t du CA) Comme le budget principal, ils ont une section de fonctionnement et une section des opérations en capital Ils ont un seul service général nommé par l établissement t sauf s il fait partie de la nomenclature (formation continue et/ou par alternance) Ils ne peuvent comporter de services spéciaux Ils ont leur propre compte financier Ils ont un fonds de roulement propre. 28/50
29 Les budgets annexes Leur création est à l initiative de l EPLE : ex. : gestion de la formation par l apprentissage, cuisine centrale Un EPLE peut avoir plusieurs budgets annexes Il sont liés à la possibilité de réaliser des opérations en capital La collectivité peut les demander : ex. restauration et hébergement Néanmoins, la création d un budget annexe SAH est impossible dans gfc en /50
30 Les budgets annexes : construction Section de fonctionnement Service général : administration et logistique dépenses recettes domaines activités domaines activités compte obligatoire obligatoire facultatif facultatif obligatoire Section opérations en capital Service investissement dépenses recettes domaines activités domaines activités compte obligatoire obligatoire facultatif facultatif obligatoire 30/50
31 L équilibre budgétaire Il s analyse non par le calcul du résultat (recettes dépenses de fonctionnement) Mais par le calcul de : la capacité d autofinancement (CAF) si solde positif ou l insuffisance de capacité d autofinancement (IAF) si solde négatif La CAF corrige le résultat des variations induites par les opérations pour ordre: amortissements, provisions 31/50
32 L engagement g juridique L Etat Prévisionnel de la Commande Publique est supprimé comme autorisation budgétaire soumise au contrôle du comptable mais l outil de gestion demeure (état prévisionnel des achats) La préparation budgétaire intègre un module de suivi des contrats : Etat des marchés, contrats et conventions (EMCC) Objet titulaire procédure - périodicité coût annuel la validation du budget, entraine la génération automatique des engagements issus de l EMCC 32/50
33 Le budget provisoire en cas de fonctionnement au 1/12 Mis en œuvre si l établissement ne dispose pas d un budget exécutoire au 1 er janvier Ne concerne que la section de fonctionnement (idem BA) Crédits ouverts inférieurs ou égaux à ceux votés au budget initial précédent Les autorités de tutelle peuvent accepter la prise en compte des mesures de rentrée. 33/50
34 CONSEILS PRATIQUES POUR PRÉPARER LE NOUVEAU BUDGET Formation RCBC DAF/Esen - octobre /50
35 UNE POLITIQUE BUDGÉTAIRE PRÉALABLE Répartir le budget initial en cours entre les services généraux et spéciaux de la nouvelle structure budgétaire = maîtrise de la nouvelle structure avec un budget connu. Définir avec le chef d établissement des lignes générales de création des domaines et des activités compréhensibles et exploitables par le conseil d administration et les élus. Définir une présentation qui permette à tous les destinataires de s y retrouver (chef de travaux, enseignants, familles, collectivités ). 35/50
36 UNE COMMUNICATION BUDGÉTAIRE Informer en amont du premier budget : - le conseil d administration - les enseignants - le chef de travaux S assurer de : - l absence ou de l existence de consignes spécifiques des collectivités territoriales et de l Etat - bien communiquer sur le nouveau budget 36/50
37 BUDGET ANNEXES : LES CHOIX FONDAMENTAUX Nombre et objectifs fonctionnels de ces derniers Le Service Annexe d Hébergement est-il géré en service spécial ou en budget annexe? Y-a-t-il d autres fonctions financières exigeant un budget annexe en raison d opérations en capital qui leur sont rattachées (GRETA, CFA, dispositifs mutualisés ou services communs)? A évaluer pour préparer ces choix : Charges de gestion et moyens humains de l EPLE : (cellule comptable, comptabilités générales, comptes financiers) Objectifs d efficacité d un duntel suivi : (masse financière, taille de l établissement, nombre d opérations ) Recommandations de la collectivité territoriale 37/50
38 LA CONCEPTION DU BUDGET Si les nomenclatures des activités permettent un compte rendu aisé du financement notamment pour l Etat letatet pour la collectivité de rattachement (si celle-ci ci opte pour des nomenclatures obligatoires) Il convient également de concevoir un système de rédaction des nomenclatures adapté au pilotage de l EPLE Deux objectifs principaux : Préciser la destination de la recette et de la dépense (exemples : voyage scolaire, Taxe Apprentissage, locations ) ) permettre une analyse budgétaire par thème ou objet (exemples de regroupement par ensemble cohérent : charges liées à la sécurité, la communication, la reprographie ) 38/50
39 LES DOMAINES ET ACTIVITÉS À L INITIATIVE DE L EPLE Eviter la reconstitution par des lettres des comptes du PCG Eviter l imputation au service AP ou VE du financement de charges très indirectement liées à la pédagogie ou à la vie de l élève : AP et VE ne doivent pas être des mini-budgets Les reversements entre services sont limités au service spécial vers ou venant du service général Eviter l émiettement sur de trop nombreux domaines et activités pour ne pas perturber la lecture des crédits ouverts. 39/50
40 CONCEPTION DU BUDGET : EXEMPLE Exemple d utilisation des domaines et activités en dépenses et en recettes Subvention spécifique de la Collectivité Territoriale de Rattachement pour des travaux délégués au service ALO (code d activité imposé par la CTR - 2TVXD) Dépenses Recettes domaine activité domaine activité PCG MAINT 2TVXDxxxx 2TVXD MAINT 2TVXDyyyy Le domaine obligatoire en dépenses n a pas été utilisé en recettes L utilisation de l activité en recettes et en dépenses permet de contrôler que le montant de la recette est égal au montant t de la dépense Les caractères xxxx ou yyyy peuvent compléter l activité afin de préciser sa destination (à l initiative de l EPLE) 40/50
41 CONCEPTION DU BUDGET : EXEMPLE 2-A Budget d un voyage aux USA financé par les familles, la CTR et un don Dépenses Recettes domaine activité domaine activité PCG HOTEL 0VOYUSA 0VOYUSA VOYUSA VOYUSA 7468 Le domaine obligatoire en dépenses n a pas été utilisé en recettes. Il permet de rattacher ce voyage à une formation professionnelle (hôtellerie = HOTEL) L utilisation de l activité en recettes et en dépenses permet decontrôler tôl que lemontant t de la recette est égal au montant de la dépense Les financeurs sont caractérisés par le PCG 41/50
42 CONCEPTION DU BUDGET : EXEMPLE 2-B Budget d un dun voyage aux USA financé par les familles, la CTR et un don Dépenses Recettes domaine activité domaine activité PCG VOYAGE 0USA VOYAGE 0USA USA USA 7468 Le domaine obligatoire en dépenses a aussi été utilisé en recettes. Il permet une synthèse de tous les voyages L utilisation de l activité en recettes et en dépenses permet de contrôler que le montant de la recette est égal au montant de la dépense Les financeurs sont caractérisés par le PCG 42/50
43 LA DOTATION DE FONCTIONNEMENT Modes de répartition de la dotation de fonctionnement (et des ressources propres dont l affectation n est pas déterminée é -exemple l :loyers) ) la dotation globale de fonctionnement peut faire l objet d une recette (selon le vote du budget au CA) dans tous les services qu elle finance (AP- ALO-VE) Les ressources propres peuvent également faire l objet d une recette dans tous les services qu elle finance (décision du CA). 43/50
44 AMORTISSEMENTS : QUELQUES PRÉCAUTIONS Afin de présenter un budget sincère dès le budget initial : prévoir une ligne en dépenses pour les amortissements réels et neutralisés sur la base de l actif connu ou prévu au premier janvier n+1 prévoir une ligne en recettes au titre des amortissements neutralisés de l actif connu ou prévu au premier janvier n+1 44/50
45 INTÉGRATION DE L AMORTISSEMENT DANS LE BUDGET Les charges d amortissement non neutralisées devront faire l objet d une dune explication à l ensemble de la communauté éducative de leurs conséquences sur le résultat et la capacité d autofinancement de l EPLE Les durées d amortissement t affectées aux biens sont déterminées par le conseil d administration Prévoir une délibération générique pour l ensemble des catégories de biens Prévoir le cas échéant une délibération spécifique pour certains biens
46 L INVENTAIRE : MÉTHODOLOGIE S assurer de la présence d un dun inventaire Analyser la pertinence du support informatique (DOS, WINDOWS, date de la dernière mise à jour, qualité de la saisie ) S assurer que les fiches comprennent les montants d acquisition et les financements S assurer que les sorties antérieures ont fait l objet des écritures budgétaires et comptables conformes à la circulaire n Mettre en place une procédure de contrôles aléatoires de la qualité de l inventaire 46/50
47 LA TENUE DE L INVENTAIRE Afin de simplifier la gestion de la transition vers les amortissements, il faut avoir un inventaire à jour et pertinent. S assurer que la comptabilité patrimoniale est cohérente dans GFC et correspond à la comptabilité auxiliaire. Par défaut les corrections devront être apportées avant le 31/12/2012. Recenser les biens à sortir afin de réduire les difficultés éventuelles liées aux subdivisions du compte 1069 (notamment les biens à multi-financement). sont concernés par ces deux derniers points : les biens sans usage, disparus ou obsolètes 47/50
48 LE BUDGET PRESENTE AU VOTE : Synthèse PREVISIONS BUDGETAIRES SECTION DE FONCTIONNEMENT Dépenses Cadre réservé aux Proposition du Chef Vote du Conseil Proposition du Chef Autorités de d'établissement d'administration d'établissement Contrôle ACTIVITES PEDAGOGIQUES , ,52 VIE DE L'ÉLÈVE 1 651, ,62 ADMINISTRATION ET LOGISTIQUE , ,38 Total Services Généraux (1) , ,52 SERVICE DE RESTAURATION ET D'HÉBERGEMENT , ,00 BOURSES NATIONALES 2 000, ,00 Total Services Spéciaux (2) , ,00 Total Section de Fonctionnement , ,52 Recettes Vote du Conseil d'administration Cadre réservé aux Autorités de Contrôle Résultat prévisionnel 2 835,00 CAF ou IAF 1 835,00 SECTION OPERATIONS EN CAPITAL OPERATIONS EN CAPITAL 5 750, ,00 Total Dépenses et Recettes inscrites au Budget , ,52 48/50
49 LE BUDGET PRESENTE AU VOTE : Origine des financements PREVISIONS BUDGETAIRES Etat des origines des financement SECTION DE FONCTIONNEMENT Ouvertures de crédits Prévisions de Recettes Rappel des crédits ouverts au budget de l'année N 1 Proposition du Chef d'établissement Rappel des recettes admises au budget de l'année N 1 Total Etat Proposition du Chef d'établissement Collectivités Territoriales Ressources propres ACTIVITES PEDAGOGIQUES , , , , , , ,81 Autres VIE DE L'ÉLÈVE 1 450, , , , ,62 ADMINISTRATION ET LOGISTIQUE , , , , , , ,50 Total Services Généraux (1) , , , , , , , ,50 SERVICE DE RESTAURATION ET D'HÉBERGEMENT , , , , ,00 BOURSES NATIONALES 1 900, , , , ,00 Total Services Spéciaux (2) , , , , , ,00 Total Section de Fonctionnement , , , , , , , ,50 SECTION OPERATIONS EN CAPITAL OPERATIONS EN CAPITAL 5 750, , ,00 TOTAL GENERAL , , , , , , , ,50 49/50
50 LE BUDGET PRESENTE AU VOTE : Extrait PREVISIONS BUDGETAIRES SERVICE GENERAL ACTIVITES PEDAGOGIQUES OUVERTURES DE CREDITS PREVISIONS DE RECETTES Proposition du DOMAINES ACTIVITES LIBELLE Chef d'établissement DOMAINES ACTIVITES LIBELLE Comptes PCG LIBELLE Proposition du Chef d'établissement ACTIVITES PEDAGOGIQUES GENERALES 0ENSEIGNT Matériel d'enseignement ,71 0VOC OC 701 0LOC Locations 1 500,00 1AP OENT 0CDI Entretien Réparations Ouvrages divers CDI 1 000,00 2AP 1 200,00 0TRANSPT Transports 2 500,00 ACTIVITES PEDAGOGIQUES GENERALES Activités pédagogiques ETAT Activités pédagogiques CT Vente d'objets confectionnés 400, Subventions Etat 4 200, Subvention CT ,71 1MS Manuels scolaires 3 500,00 1REP Droits d'auteur 700,00 SOUS TOTAL , ,71 50/50
LA RÉFORME DU CADRE BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE
LA RÉFORME DU CADRE BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE CB1.2-1 les principales innovations budgétaires.ppt 1/33 LA RCBC : sommaire Enjeux et contexte La construction budgétaire : - Les sections - Les services généraux
Plus en détailPROJET DE BUDGET 2013
PROJET DE BUDGET 2013 Réforme du cadre budgétaire et comptable Livret à l attention des membres du conseil d administration Ce livret a pour objectif de vous présenter la réforme du cadre budgétaire et
Plus en détailLe nouveau cadre budgétaire
Le nouveau cadre budgétaire Le cadre budgétaire actuel des établissements publics locaux d enseignement remonte aux lois de décentralisation de 1983 et à la création des EPLE en 1985 ; il est décrit dans
Plus en détailL AMORTISSEMENT III NOUVEAUTE AVEC L INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6
L AMORTISSEMENT I DEFINITION L amortissement est la constatation comptable de l amoindrissement de la valeur d un élément d actif sur sa durée probable de vie. Les immobilisations demeurent les éléments
Plus en détailBUDGET PRIMITIF DE L'EXERCICE. Présenté par. Marc FAYE, chef d'établissement. Académie : LILLE. REGION : NORD PAS DE CALAIS Exercice :
Exercice : 2015 Téléphone : 03 20 63 02 63 Présenté par Marc FAYE, chef d'établissement Pièce B1.1 Exercice : 2015 Page n 2 RESULTAT DETAILLE PAR SERVICE SECTION DE FONCTIONNEMENT OUVERTURES DE CREDITS
Plus en détail2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT
2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT L article L4424-2 du code général des collectivités territoriales stipule que la collectivité territoriale de Corse assure l'accueil, la restauration, l'hébergement
Plus en détailPrésentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue
Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d
Plus en détailL audit des établissements publics locaux d enseignement
L audit des établissements publics locaux d enseignement L audit des EPLE 1 ère partie : le déroulement d une mission d audit 2 ème partie : les principaux constats MNA - 06/03/2015 2 L audit des EPLE
Plus en détailPlus de 43 000 recrutements et deux concours externes
Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes
Plus en détailGestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailChapitre I. Introduction L histoire et la normalisation de la comptabilité... 15
Sommaire Avertissement au lecteur....................................................... 11 Introduction générale........................................................... 13 Chapitre I. Introduction
Plus en détailAbrégé sur les imputations en classe 6. Bernard BLANC
Abrégé sur les imputations en classe 6 Bernard BLANC Avril 2014 UNE ETUDE SUR L IMPUTATION DES COMPTES DE CHARGES DE LA CLASSE 6 Bernard Blanc pour l AJI- 2014 Face à certaines dépenses, nous avons tous
Plus en détailClôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer
Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer I - Comptes établis avec le cahier de comptabilité 1. Calculer la situation générale (colonne 14). 2. Totaliser les
Plus en détailFORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION
FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables
Plus en détailLA COMPTABILITE MATIERE
INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité
Plus en détailCONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE
CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE ENTRE : le Lycée, représenté par M. André, proviseur le Lycée Professionnel, représenté par Mme, proviseure le Collège, représenté par
Plus en détailAssistants d éducation, Assistants Vie Scolaire, Assistants pédagogiques Texte En date
Assistants d éducation, Assistants Vie Scolaire, Assistants pédagogiques Circulaire n 2008-108 21 août 2008 concernant le recrutement et l emploi des assistants d éducation. Abroge et remplace toutes les
Plus en détailRAPPORT ANNUEL Association pour la formation par l apprentissage CCIV-ESSEC 31/12/2013
RAPPORT ANNUEL Association pour la formation par l apprentissage CCIV-ESSEC 31/12/2013 Rapport CFA CCIV-ESSEC 31/12/13 Page 1 Sommaire RAPPORT DE GESTION... 3 I- SITUATION DE L ASSOCIATION DURANT L EXERCICE
Plus en détailConseil d administration. Du 1 Avril 2011
Conseil d administration Du 1 Avril 2011 Vérification du quorum Nombre de membres : 24 Nombre de présents : 13 Quorum atteint au 13 ème membre présent Quorum atteint : Oui Début du conseil d administration
Plus en détailLes emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving)
Comité national de fiabilité des comptes locaux Les emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving) Écritures budgétaires et comptables Caractéristiques des crédits revolving Ils sont connus
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détail18 Cession d un bien Nomenclatures M14 / M52 et M71
18 Cession d un bien Nomenclatures M14 / M52 et M71 Quels textes de référence? Instruction M14 : Tome 1 Chapitre 2 fonctionnement des comptes Tome 2 - Titre 3 chapitre 3 Paragraphe 1.3 Tome 1 annexe 26
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailVisite de rentrée 2014 du Président du Conseil général
Visite de rentrée 2014 du Président du Conseil général Depuis les premières lois de décentralisation (entrées en vigueur en 1986), le Département assume la charge des collèges. Il en assure la construction,
Plus en détail!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5
"$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailSOMMAIRE DE L'ANNEXE TECHNIQUE. 1 - Le budget (Annexe A)
Circulaire n o 91-132 du 10 juin 1991 (Education nationale ; Economie, Finances et Budget ; Intérieur) Texte adressé aux préfets de région et de département, aux trésoriers-payeurs généraux, aux recteurs,
Plus en détailImpact de la réforme de la taxe d apprentissage dans les entreprises
Impact de la réforme de la taxe d apprentissage dans les entreprises Objectifs de la réforme et nouvelles modalités d affectation de la taxe d apprentissage Objectifs de la réforme Objectif principal :
Plus en détailBudget supplémentaire
Budget supplémentaire fonction Document budgétaire et annexes 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Conseil Régional de Picardie M 71 Compte Administratif 2010 Sommaire Page Page I - Informations générales IV - ANNEXES
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailProcès verbal de la séance du conseil d administration. Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin : 19 h 30
Établissement : 0352760K Collège de La Mézière Biardel N de séance : 4 35520 LA MEZIERE Procès verbal de la séance du conseil d administration Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin
Plus en détailETABLISSEMENT : 0911042N COLLEGE PAUL ELUARD ste genevieve des bois cedex ETAT PREVISIONNEL DE LA COMMANDE PUBLIQUE AU TITRE DE L'ANNEE 2010
PAGE : 1 pour les achats de fournitures et de services, et par opération pour les travaux, en fonction des d'achat retenues. Fournitures FE01 - Habillement-produits textiles 4 000.00 4 000.00 FE02 - Produits
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailREGLEMENT REGIONAL DU SERVICE D HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION
REGLEMENT REGIONAL DU SERVICE D HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION Vu le code de l Education, Vu le code général des collectivités territoriales, Vu la loi n 809 du 13 Août 2004 et notamment l article 82,
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS INFORMATIQUES 2015
CATALOGUE DES FORMATIONS INFORMATIQUES 2015 INFORMATISATION ET ASSISTANCE CONTACTS : 2015 hotline@asadac73.com ou 04.79.68.53.20 LE SERVICE INFORMATISATION ET ASSISTANCE LE SERVICE INFORMATISATION ET ASSISTANCE
Plus en détailMINISTERE DE LA DEFENSE
MINISTERE DE LA DEFENSE SECRETARIAT GENERAL POUR L ADMINISTRATION DIRECTION DE LA MEMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES (DMPA) SOUS-DIRECTION DE L ACTION CULTURELLE ET EDUCATIVE DEMANDE DE SUBVENTION
Plus en détailLES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE
LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE ETUDE ET PROPOSITIONS SEPTEMBRE 2010 SOUS LA PRESIDENCE DE : Bruno BERTHIER, Président du CCC COMITE DE PILOTAGE : Bernard BELLER, GAM BNP Paribas Bruno BERTRAND,
Plus en détailMesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution),
Ministère de l écologie, du développement durable, des transports et du logement Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités
Plus en détailCONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE
CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 1 AVRIL 28 NOTE DE SYNTHESE L an deux mille huit, le dix avril, le Conseil communautaire s est réuni en séance ordinaire sous la présidence de Patrick PETITJEAN, Président. Nombre
Plus en détailCadre et Structures Organiques
1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et
Plus en détailChapitre IV. La certification des comptes
Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine
Plus en détailCirculaire Départementale - Avril 2008 Inspection Académique de l AIN. Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré)
Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré) Introduction Sommaire P 2 Les différentes compétences des institutions ou des partenaires en ce qui concerne le financement des écoles I. Différentes
Plus en détailI. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD
TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD Adresse : 1 bis place de la Banque 21042 DIJON CEDEX Tél : 03 80 59 26 00 Fax : 03 80 50 14 75 Mail : tg21.contact@cp.finances.gouv.fr
Plus en détailLes aides financières
Entreprises La réforme de l apprentissage L ACCUEIL DES STAGIAIRES Les aides financières Focus sur la réforme de l apprentissage La loi du 5 mars 2014 sur la réforme de l apprentissage et de l enseignement
Plus en détailSur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP).
2014-25 Séance du 17 septembre 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret
Plus en détailCOMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER 2013. OLIVIER PARENT 06.16.71.46.72 oparent@seedsolutions.fr
COMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER 2013 OLIVIER PARENT 06.16.71.46.72 oparent@seedsolutions.fr Vocabulaire : Débiter un compte signifie inscrire une somme au débit de ce compte Créditer un compte
Plus en détailUn Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!
Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une
Plus en détailGuide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées
Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit
Plus en détailSystème d Information du CNRST - SIC -
1 Contre National pour la Recherche Scientifique et Technique Système d Information du CNRST - SIC - Nabil Talhaoui Service système d information talhaoui@cnrst.ma 2 Plan Introduction Projet SIC : Contexte
Plus en détailVIE ASSOCIATIVE ORGANISATION D ACTIVITES FACULTATIVES GESTION DE FONDS DANS LES ECOLES
Office central de la coopération à l école de Seine Saint Denis. 63 allée du colonel Fabien, 93320 Pavillons sous Bois Tel : 08.70.59.93.94 Tel/Fax : 01.48.50.27.10 Mail : ad93@occe.coop VIE ASSOCIATIVE
Plus en détailNote sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14
Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle
Plus en détailNbr de membres en exercice : 53 Quorum : 27 Date de la convocation : 07/11/2012 Affichée le : 11/12/2012
En vertu de l'article L.2131-1 du CGCT, le Maire de Poitiers atteste que le présent acte a été affiché, transmis en Préfecture le.. et/ou notifié le.. et qu'il est donc exécutoire. Pour le Maire, Par délégation
Plus en détailRÈGLEMENT DES STAGES SCIENCES PO BORDEAUX Conseil d Administration du 28.06.2013
RÈGLEMENT DES STAGES SCIENCES PO BORDEAUX Conseil d Administration du 28.06.2013 Textes de référence : Régime général Loi n 2006 396 du 31 mars 2006 relatif à l égalité des chances (article 9 modifié par
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailDOSSIER PARCOURS INDIVIDUEL DE FORMATION. Gestionnaire nouvellement nommé. Année 2014-2015
DOSSIER PARCOURS INDIVIDUEL DE FORMATION Gestionnaire nouvellement nommé Année 2014-2015 Guide d utilisation : Ce dossier comprend : Une grille de positionnement Le plan de formation (PIF) dans lequel,
Plus en détailConditions générales de vente
Conditions générales de vente 1 Dispositions générales Article 1 Objet Les présentes conditions s'appliquent à toutes les Prestations délivrées par Institut pour la Promotion de la Santé (IPS). Le Client
Plus en détailCependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.
Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailSupport application ProgrÉ. Académie de Paris
Support application ProgrÉ Académie de Paris 1 Dans ProgrÉ, la facturation est directement liée au conventionnement. En effet, les factures reprennent tels quels les éléments qui composent la (ou les)
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailSEGPA EREA. académie Versailles ENTRE : Nom du stagiaire : Prénom : Éducation Nationale Enseignement Supérieur Recherche
Convention relative à l organisation de stages d application en milieu professionnel. Élèves de 4 ème âgés de moins 15 ans Élèves de 3 ème âgés de plus 15 ans (Convention type approuvée par la cellule
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE
PROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FINANCEMENT MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA RÉFORME DE L
Plus en détailANNEXE A LA LOI DE FINANCES
REPUBLIQUE GABONAISE ANNEXE A LA LOI DE FINANCES MISSION POUVOIRS PUBLICS ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012014 [Tapez une citation prise dans le document ou la TABLE DES MATIERES I. MISSION
Plus en détailDirectives concernant l utilisation des crédits d exploitation des Départements, Instituts et Services. (Position budgétaire 319.
Directives concernant l utilisation des crédits d exploitation des Départements, Instituts et Services (Position budgétaire 319.004) 1. Dépenses autorisées avec les moyens de la position budgétaire 319.004
Plus en détailFICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS
FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS La Maison des lycéens (MDL) est une association qui rassemble les élèves qui souhaitent s engager dans des actions citoyennes et prendre des responsabilités au sein de
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailSite portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Dossiers réglementaires > Dossiers réglementaires > Avantages en nature
Avantages en nature Textes de référence : Arrêté du 10 décembre 2002 relatif l évaluation des avantages en nature en vue du calcul des cotisations de sécurité sociale. Observation préalable : Afin d accompagner
Plus en détailGuide méthodologique d utilisation des matrices budgétaires des établissements de formation du secteur sanitaire et social
Direction Générale Education Culture et Sports Direction de l Apprentissage et des Formations Sanitaires et Sociales Guide méthodologique d utilisation des matrices budgétaires des établissements de formation
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailLa Commission Permanente du Conseil Régional Nord - Pas de Calais réunie le 15 octobre 2012, sous la présidence de Monsieur Daniel PERCHERON,
REGION NORD - PAS DE CALAIS COMMISSION PERMANENTE DU CONSEIL REGIONAL Délibération n 20122339 Réunion du 15 octobre 2012 Exercice Budgétaire : 2012 Programme : 12 Apprentissage Thème : Apprentissage Objet
Plus en détailPRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances
PRESENTATION DES BUDGETS DE LA VILLE DE MEYLAN Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances Un budget construit sous le signe de fortes contraintes et en adéquation avec les réformes en
Plus en détailLES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE
LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE Les centres communaux d action sociale 2 (CCAS) Ils ont vocation à fournir des prestations d action sociale en nature
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DELEGUE CHARGE DES PERSONNES HANDICAPEES ET DE LA LUTTE CONTRE L EXCLUSION
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DELEGUE CHARGE DES PERSONNES HANDICAPEES ET DE LA LUTTE CONTRE L EXCLUSION Direction Générale de la Cohésion Sociale Sous-direction de l autonomie
Plus en détailChapitre 8 : Les provisions
Comptabilité générale IG 3 Cours et TD : Marie Musard Année 2007-2008 Chapitre 8 : Les provisions Cours Les provisions correspondent à des pertes ou des charges simplement prévisibles : la constitution
Plus en détailDémarrer son activité déco
Karine Mazeau Démarrer son activité déco Devis Factures Assurances Appels d offres Suivi de chantier Descriptifs 2013, Groupe Eyrolles ISBN : 978-2-212-13605-0 SOMMAIRE Introduction... 8 CHAPITRE 1 / LE
Plus en détailAnnexe aux comptes annuels de l exercice clos le. 31.08.2013 Montants exprimés en Euros. Ce rapport contient 12 pages
ABCD Avenir Agricole et Rural Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le 31.08.2013 Montants exprimés en Euros Avenir Agricole et Rural Ce rapport contient 12 pages 2014 KPMG S.A., société anonyme
Plus en détailAVIS. Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret n 2006-1267 du 16 octobre 2006 instituant un Conseil de l'immobilier de l'état ;
2013-29 Séance du 13 novembre 2013 AVIS Sur le suivi et la mise en œuvre du schéma pluriannuel de stratégie immobilière de l Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie (ADEME) Vu le décret
Plus en détailConseil Régional de Picardie
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Conseil Régional de Picardie M 71 Compte Administratif 2009 Sommaire Page Page I - Informations générales IV - ANNEXES - Présentation croisée joint sans objet 1 1 - Informations statistiques
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailNomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein
Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet
Plus en détailLES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS
LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS Définition des stocks Typologie LA GESTION DES STOCKS Les indicateurs de gestion des stocks Les documents de gestion des stocks Les méthodes de gestion des
Plus en détailLA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT
LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT 1 - AVANTAGES DE LA GMAO ACCEDER POUR ENSEIGNER 2 - GENERALITES POUR L EXPLOITATION EN BAC PRO ET BTS 3 LA GMAO ET LE NOUVEAU REFERENTIEL BTS 2014 MAINTENANCE
Plus en détailLe Président Nantes, le 18 juin 2012
Le Président Nantes, le 18 juin 2012 Greffe n 2012-210 Référence à rappeler : KPLGD120983KJF Monsieur le Président, Je vous ai adressé par lettre du 11 mai 2012, le rapport d observations définitives pour
Plus en détailCahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels)
Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieu culturels) Page 1 sur 19 TABLE DES MATIERES Cahier de charge application cartographie... 1 (base de données des acteurs
Plus en détailLE TRAITEMENT DES DONNEES COMPTABLES. Objectif(s) : Présenter une synthèse sur les différentes solutions comptables. TABLE DES MATIERES
LE TRAITEMENT DES DONNEES COMPTABLES Objectif(s) : Présenter une synthèse sur les différentes solutions comptables. Pré-requis : Principes comptables. Modalités : Schéma d'organisation comptable. TABLE
Plus en détailCONVENTION GENERALE DE STAGE relative à la formation des élèves du Lycée Professionnel Maritime du Guilvinec en milieu professionnel
Lycée Professionnel Maritime du GUILVINEC Aue Jos QUINIOU B.P 32 29730 TREFFIAGAT tél : 02.98.58.96.00 fax : 02.98.58..32.16 mél : LPM-Le-Guilvinec @equipement.gouv.fr Internet :www.lycee-maritimeguilvinec.com
Plus en détailCompte général de l État pour 2008
Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL
Plus en détailACCRE et auto-entrepreneur
ACCRE et auto-entrepreneur Il n y a pas incompatibilité entre ACCRE et régime de l autoentrepreneur, mais succession dans le temps de l effet des mesures. L ACCRE consiste en une exonération des charges
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailCIRCULAIRE d INFORMATIONS N 2010/05 du 23 JUIN 2010
CIRCULAIRE d INFORMATIONS N 2010/05 du 23 JUIN 2010 LE COMPTE EPARGNE TEMPS (CET) Textes de référence : Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique
Plus en détailBUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015
BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,
Plus en détailJANVIER 2011. L équipe SERIA SI vous adresse ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année. FICH INFO INTENDANCE. Informations DOMAINE GTI
Rectorat SERIA SI FICH INFO INTENDANCE Dossier suivi par Sarah Jaunet Philippe Lemercier 96, rue d'antrain CS 10503 35705 Rennes cedex 7 Site internet www.ac-rennes.fr JANVIER 2011 L équipe SERIA SI vous
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailL impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel
L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel Atelier régional sur le pilotage de la masse salariale Abidjan, 8 au 12 avril 2013 Bruno Imbert, Conseiller résident AFRITAC
Plus en détail